Le partenariat entre Apple et (RED), s’il fait moins parler qu’à la grande époque de feu Steve Jobs et Bono (qui au passage est le co-créateur de l’association), a le mérite d’exister depuis 2006, ce qui en fait un des partenariats les plus longs de la firme à la pomme, si ce n’est le plus long.
Et si celui-ci se voit relativement réduit de nos jours (et même totalement disparaître en Union européenne pour le moment, les seuls produits (RED) étant encore au catalogue jusqu’à aujourd’hui étant les iPhone 14 et SE3), il n’empêche que la dernière opération organisée par Cupertino vient de rapporter 3 millions de dollars à l’association, qui remercie Apple au passage d’un tweet.
Ainsi, entre le 29 novembre et le 8 décembre, toute personne achetant un produit sur l’Apple Store en ligne et dans les boutiques avec Apple Pay a permis le versement de 5 dollars, à concurrence d’un plafond de 3 millions, qui a donc été atteint. (RED), qui aide à la lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme, a été fondée en 2006 par Bono, chanteur de U2, accompagné par Bobby Shriver, fondateur de l’association ONE.
Si vous allez sur le magasin en ligne de Google, Google Play, vous pourrez voir quelque chose d'un peu étonnant : dans les meilleurs articles à 0 € de la section Applications, une application Apple est classée 6e. La marque à la pomme ne propose pas beaucoup d'applications Android, et celle qui a visiblement été téléchargée en masse cette semaine est Migrer vers iOS.
Nous ne pouvons pas tirer de conclusions hâtives, étant donné que Google ne donne pas la méthodologie pour son classement ni le nombre de téléchargements par jour (elle est simplement annoncée à plus de 100 millions de téléchargements depuis son lancement), mais nous pouvons donc supposer que beaucoup de personnes en France se sont retrouvées avec un iPhone sous le sapin. Nous avions pris en main cette application à son lancement en 2015 — imaginez, nous passions d'Android 5.1 à iOS 9 — mais Apple met à jour régulièrement son app pour permettre aux utilisateurs d'Android de retrouver leurs données sur un iPhone.
Nintendo est connue parmi les joueurs et les YouTubeurs pour être une entreprise extrêmement pointilleuse sur ses droits d’auteur, si ce n’est LA plus pointilleuse. Quand Sony, Microsoft ou bien d’autres laissent généralement libre cours à nombre de vidéos traitant des sujets variés, allant du simple « Let’s Play » au petit manuel du parfait déplombage de jeux, en passant par les actus et autres critiques comme celles du célèbre Joueur du grenier, Nintendo ne laisse rien passer, et gare à celui qui dépasserait d’un cheveu la limite du droit de citation.
Avec le temps, les seules diffusions autorisées par l’éditeur japonais sont les Let’s Play, le nippon ayant compris (enfin !) que ce type de vidéos aidait ses jeux à se vendre, plutôt que l’inverse. Mais il suffit d’un petit écart pour se retrouver attaqué sauvagement par l’équipe juridique de l’entreprise, comme le youtubeur Russ Crandall en a fait l’amère expérience. La crainte de voir sa chaîne disparaître est si grande (YouTube effaçant toute chaîne ayant fait l’objet de trois « strikes » ou plaintes consécutives) qu’il a décidé de s’auto-censurer, et de ne plus jamais présenter le moindre contenu appartenant à Nintendo, légitime ou non.
Mais il semble que certains petits malins en profitent maintenant pour faire peur de manière totalement illégitime à des youtubeurs connus. Ainsi Domtendo, créateur allemand de vidéos sur la marque rouge, a reçu plusieurs demandes, de plus en plus agressives et larges, de la part d’un certain « Tatsumi Masaaki », dans un premier temps par l’intermédiaire de YouTube lui demandant de supprimer certaines vidéos (et lui occasionnant donc un « strike » par la même occasion), puis directement par sa boîte mail.
Ne souhaitant pas risquer de voir disparaître son gagne-pain, Domtendo s’exécute, mais les demandes se font de plus en plus nombreuses, avec plusieurs mails par jour, et toujours plus agressives. Au fur et à mesure de la correspondance, les exigences paraissent totalement irréelles pour les initiés, mais feraient peur à n’importe quel créateur. Même s’il continue d’accepter les suppressions, Domtendo commence à avoir un doute, et en parle autour de lui.
The Verge finit par être mis dans la boucle, et effectue quelques recherches. S’il apparaît qu’un Masaaki Tatsumi apparaît bien dans les registres de Nintendo, ce n’est cependant pas en tant qu’avocat ou membre de l’équipe juridique, mais plutôt en tant que concepteur. Voilà qui est étrange, de la part d’une entreprise assez grande pour éviter l’implication de quelqu’un d’autre que son équipe juridique dans ce type de demande.
Dans le même temps, Domtendo tente d’envoyer un mail à la supposée adresse interne à Nintendo de Masaaki Tatsumi, qui lui répond alors de ne pas utiliser ce mail, et que tout est géré plus haut que lui. Entre temps, Nintendo of America lui répond... qu’ils ne sont pas au courant, et que l’adresse utilisée pour l’attaquer étant une adresse personnelle, ils ne sont pas à l’origine de ces attaques !
De son côté, le mystérieux avocat continue de plus belle, cette fois modifiant l’en-tête de son mail pour le faire apparaître comme venant de l’unité anti piratage de Nintendo. Mais le pot aux roses est découvert, et Domtendo confirme avec les instances officielles de Nintendo qu’il ne fait l’objet d’aucune attaque officielle.
Cette affaire, si elle paraît insignifiante pour les utilisateurs de la plateforme YouTube, révèle un grand danger pour nombre de créateurs qui ont fait de ce métier leur gagne-pain : la firme de Mountain View est bien trop laxiste concernant la vérification de la légitimité des plaintes pour infraction au DMCA, et cela occasionne de plus en plus de dégâts parmi la communauté de youtubeurs. N’importe qui, du moment que le message est rédigé de manière à peu près correcte, peut ainsi faire tomber une vidéo sur la plateforme, et mettre en danger une chaîne, quelle que soit sa popularité.
Si YouTube bat en retraite en ne faisant que signaler qu’ils ont une équipe dédiée à la lutte contre ce type de fausses déclarations, il semble que ce problème amené à grandir doive-t-être traité assez rapidement, avant que des dégâts plus conséquents mettent à mal la relation entre les créateurs et la plateforme. Quant au fameux Masaaki Tatsumi, joint par The Verge, il semble être resté jusqu’au bout dans la peau du personnage :
Dear Sean, I am an authorized agent for Nintendo of America Inc,
Heureusement pour les youtubeurs concernés, il semble que cette fois-ci YouTube tout comme Nintendo soient au courant de cette mascarade. Jusqu’à la prochaine...
Être chapeauté par une organisation à but non lucratif, c’était bien sympa au début, mais maintenant qu’on veut rivaliser avec les plus grands, il est temps de rentrer dans le rang. Tel est, en substance, le message du jour d’OpenAI. Dans un billet de blog, le créateur de ChatGPT annonce son intention de changer significativement sa structure.
OpenAI a en effet comme particularité d’avoir débuté en 2015 sous la forme d’une organisation à but non lucratif. L’équipe originelle pensait que sans le joug de la finance, elle pourrait faire passer le bien-être humain avant le reste. En 2019, alors qu’il se rend compte qu’il aura besoin de beaucoup d’argent pour faire avancer ses recherches, le laboratoire crée OpenAI LP, une société à profit plafonné. Mais c’est OpenAI Nonprofit (l'organisation originale à but non lucratif) qui continue de gouverner l’entité à but lucratif.
Le conseil d’administration d’OpenAI veut maintenant renverser la logique, à savoir que la société à but lucratif prenne le pouvoir, et ce afin de « devenir une entreprise pérenne. » Pas de mystère sur l’objectif concret de ce changement : « cela nous permettra de lever les capitaux nécessaires à des conditions classiques, comme les autres acteurs de ce secteur », indique le board.
L’entité à but non lucratif opérera alors séparément, avec son propre comité de direction et sa propre équipe, pour poursuivre des initiatives caritatives. En se réorganisant ainsi, outre attirer toujours plus d’investissements, OpenAI veut s’éviter des situations rocambolesques, comme l’éviction avortée de Sam Altman l’année dernière. Selon The Information, l’opération doit aussi servir à réduire l’emprise que Microsoft a acquise au fil des ans.
Voir OpenAI lutter à armes égales avec leurs entreprises n’enchante ni Elon Musk ni Mark Zuckerberg, qui essayent tout deux de faire échouer sa transformation en une société à but lucratif.
Clap de fin pour l’iPhone SE, l'iPhone 14 et l'iPhone 14 Plus sur l’Apple Store. Comme on pouvait s’y attendre, ces téléphones ont été retirés du catalogue et ne sont plus vendus officiellement par Apple. Leur page redirige maintenant sur l'accueil de la gamme iPhone, où toute trace de ces appareils Lightning a disparu. La Pomme se plie à la directive de l'Union européenne imposant le chargeur universel (l’USB-C) pour différents types de produits, dont les smartphones. Cette nouvelle règle entre en vigueur demain, le 28 décembre 2024.
Ces trois téléphones étaient les derniers à embarquer un port Lightning, une connectique propriétaire lancée en 2012 avec l’iPhone 5. Apple a commencé à doucement passer ses tablettes à l’USB-C avec l’iPad Pro 2018, puis ses smartphones avec l’iPhone 15 de 2023. Même les accessoires comme le Magic Keyboard y sont récemment passés, la dernière version Lightning encore en vente ayant elle aussi été évincée. Le seul produit Lightning vendu par Apple est désormais l’Apple Pencil de première génération, qui n’est pas concerné par la directive de l’Union européenne. Celle-ci ne touche en effet que certains appareils spécifiques tels les casques et écouteurs, les consoles de jeu ou les liseuses.
Si ces iPhone Lightning ont également disparu du Refurb et des offres pour les entreprises et l'Éducation, ils ne vont pas complètement disparaitre des étals. Les revendeurs agréés pourront continuer de les écouler dans la limite des stocks disponibles. Les iPhone Lightning reconditionnés vont aussi continuer d’être commercialisés.
Ce changement étant lié à l'Union européenne, il ne touche évidemment pas les Apple Store américains ou d’autres régions du globe. L’Angleterre, le Pays de Galles, ou l'Écosse ne sont pas concernés, contrairement à l’Irlande du Nord. La Suisse a pris un peu d’avance et retiré les 3 iPhone le 20 décembre dernier. L’iPhone SE devrait avoir droit à un remplaçant très bientôt, qui passera à l’USB-C et dont le design devrait se rapprocher de celui de l’iPhone 14.
Vous avez reçu un nouvel iPhone ou iPad à Noël ? Pourquoi ne pas en profiter pour y installer quelques jeux ! Cela tombe bien, car de nombreux titres sont en promo à l’occasion des fêtes. Le sympathique Death Stranding est par exemple à 22,99 € au lieu de 40 € en temps normal. Il s’agit d’une app universelle fonctionnant sur les Mac et iPad M1 ainsi que sur l’iPhone 15 Pro ou plus.
Si vous préférez les RPG, de nombreux jeux Square Enix sont en réduction. Les rééditions « Pixel Remaster » des deux premiers Final Fantasy sont un peu moins chères que d’habitude et tombent à 10 € là où le portage du huitième est à -45 %. D’autres titres comme Chrono Trigger ou Dragon Questsont en promo, ainsi que d’autres plus récents tels The Centennial Case ou Paranormasight. Vous devriez trouver votre bonheur en fouillant dans le catalogue de l’éditeur, qui est bien garni. Le montant de la ristourne est généralement indiqué dans la description sur la fiche produit.
La version mobile de l’excellent Slay the spireperd quelques euros pour les fêtes, tandis que le grand classique FTL: Faster than Light ne coûte plus que 2 € pour iPad. Alto's Odyssey n’est qu’à 2 € tout comme sa suite Alto’s Adventure. Plusieurs jeux Capcom sont également moins chers que d’habitude : les Resident Evil, mais aussi la collection Ace Attorney, Ghost Trick ou Street Fighter IV CE. Notons pour terminer une remise sur le sympathique Townscaper ainsi que sur les deux Don’t Starve.
C'en est presque devenu anecdotique : tous les deux à trois ans environ, Apple ajoute 1 000 milliards de dollars à sa valorisation boursière, et devient la première (ou presque) à franchir un cap.
En 2018, Apple passait pour la première fois au-dessus de 1 000 milliards de dollars — un billion en échelle longue, employée en France —, un record à l'époque. En 2024, ce n'est plus si impressionnant : le club des sociétés qui dépassent le billion actuellement comprend Apple, Nvidia, Microsoft, Saudi Aramco, Amazon, Alphabet (Google), Meta (Facebook), Tesla ou Broadcom.
En août 2020, Apple a dépassé les 2 000 milliards, mais ce n'était pas la première société à le faire : Saudi Aramco avait atteint ce palier en décembre 2019. Depuis, Microsoft a dépassé les 2 billions (en juin 2021), tout comme Alphabet (novembre 2021), Nvidia (février 2024) et Amazon (juin 2024). Actuellement, cinq entreprises sont au-dessus de cette capitalisation : Apple, Nvidia, Microsoft, Alphabet et Amazon.
Pour les 3 000 milliards, il a fallu attendre encore à peu près deux ans : début 2022, Apple dépassait cette valeur. Microsoft a dépassé ce nombre deux ans plus tard (janvier 2024), suivi rapidement par Nvidia en juin 2024.
Pour le moment, nous en sommes là, personne n'a encore atteint les 4 000 milliards de dollars. Mais pour Fortune, Apple pourrait dépasser ce nombre rapidement. L'action Apple a pris 40 % en 2024, les produits de la marque se vendent bien et même si Apple Intelligence ne semble pas intéresser le public outre mesure, l'IA est le mot à la mode chez les investisseurs. Apple a atteint 3,92 billions avant l'ouverture du 27 décembre, et donc la limite des 4 billions est très proche. Nvidia et Microsoft, les deux autres sociétés cotées à plus de 3 billions, restent assez loin de la limite, avec respectivement 3,31 et 3,18 billions de dollars actuellement. Même un lancement en fanfare de nouvelles puces dédiées à l'IA ou de cartes graphiques aux CES 2025 ne devraient donc pas permettre à Nvidia de rattraper Apple rapidement.
Terminons par rappeler la différence entre l'échelle courte et l'échelle longue. La courte est essentiellement employée dans les pays anglophones, et 1 000 millions correspondent à 1 billion. 1 000 billions sont appelés 1 trillion, etc. Dans l'échelle longue, employée en Europe et en France, 1 000 millions valent 1 milliard, 1 000 milliards valent 1 billion, etc.
Cupertino profite de la période des vacances de fin d’année pour faire la retape d’Apple TV+. L’entreprise a partagé les huit premières minutes de la très attendue deuxième saison de Severance, disponible dans la rubrique « En bonus » sur la fiche de la série. La saison complète sera mise en ligne le 17 janvier prochain. En parallèle, une mystérieuse campagne a été lancée annonçant quelque chose de spécial sur le service le 4 et 5 janvier.
Plusieurs publications sur les réseaux sociaux invitent les internautes à « voir par eux même » lors du premier week-end de 2025. L’évènement durant deux jours, certains estiment qu’il s’agira d’un week-end gratuit sur la plateforme. Apple n’en a jamais fait jusqu’à présent, mais propose des mois cadeaux très régulièrement. D’autres imaginent qu’Apple pourrait donner des nouvelles sur son planning de 2025.
On peut espérer avoir plus d'informations prochainement. Un week-end gratuit permettrait d’attirer quelques nouveaux abonnés pour Apple TV+. La fin d’année a été plutôt mouvementée pour le service : elle a été marquée par l’annulation de sorties en salle, une décision déplorée publiquement par plusieurs réalisateurs. Jon Watts a par exemple déclaré avoir renoncé à réaliser la suite des Wolfs sous prétexte qu’il ne fait « plus confiance [à Apple] en tant que partenaire créatif ».
Jusqu’au lundi 30 décembre à 12 h, Top Achat fait une remise de 7 % sur de nombreux Mac en saisissant le code « BUCHE » lors de la commande. Cette réduction ne parait pas énorme, mais elle est valable sur les très récents Mac M4, sans compter que sur des machines à plusieurs milliers d’euros, l’économie n’est pas négligeable.
Grâce à cette promotion, vous pouvez acquérir par exemple un Mac mini M4 Pro, avec 24 Go de RAM et 512 Go de stockage, à 1 534 € au lieu de 1 649 €. Si vous préférez les tout-en-un, l’iMac M4 en configuration 16/512 Go revient à 1 841 € au lieu de 1 979 €.
C’est évidemment sur les machines les plus onéreuses que la réduction de Top Achat fait le plus de différence. Dans les Mac portables, le MacBook Pro M4 en 16 Go/1 To passe sous les 2 000 €. Pour plus de puissance, le MacBook Pro 14" M4 Pro en 24 Go/1 To est à 2 696 € au lieu de 2 899 €. Et pour un très grand écran, il y a par exemple le MacBook Pro 16" M4 Pro 24/512 Go à 2 696 € au lieu de 2 899 €.
Que vous choisissiez un Mac mini M4, un iMac M4 ou un MacBook Pro M4, vous ne risquez pas d’être déçu par votre achat, ce sont des machines très performantes et agréables à utiliser.
Il y a eu beaucoup de mouvements autour des méthodes de recharge des iPhone au cours de ces dernières années. Cela a commencé en 2020 avec le retrait de l’adaptateur secteur de la boîte ainsi que le remplacement du câble USB-A inclus par un câble USB-C vers Lightning. La même année, les iPhone 12 ont inauguré le MagSafe, une technologie propriétaire de recharge sans fil plus rapide (jusqu’à 15 W) et magnétique. En 2023, le bon vieux port Lightning a été remplacé par un connecteur USB-C dans les iPhone 15, Apple suivant ainsi les fabricants Android… et la loi européenne sur le chargeur universel.
Cette année, tandis que les chargeurs Qi2 ont poussé comme des champignons et ont rendu la recharge magnétique à 15 W plus accessible, Apple a repris les devants avec sa solution propriétaire. Associé aux iPhone 16, le nouveau chargeur MagSafe est capable de délivrer jusqu’à 25 W pour une charge à peu près aussi rapide qu’avec un câble. Et on ne parle même pas des évolutions logicielles, comme les limites de charge optionnelles sur les iPhone 15 et 16.
Tous ces changements vous ont peut-être amenés à revoir la façon dont vous alimentez votre iPhone. Alors, comment chargez-vous votre iPhone ?
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Vous allez recevoir un joli Mac mini ou MacBook et vous souhaitez l’égayer de quelques accessoires ? Pas de panique, laissez-nous vous guider dans les entrelacs de possibilités ! Voici un petit guide de ce que vous pourrez trouver de plus sympathique pour votre nouvelle machine.
Le pouvoir de la puissance… et la puissance du pouvoir
Même si théoriquement tout est fourni avec une nouvelle machine pour pouvoir l’alimenter correctement, Apple a souvent la fâcheuse tendance de faire le minimum syndical. Depuis cette année, il n’y a plus d’adaptateur secteur dans les boîtes des iPad. Et c’est moins gênant mais le chargeur fourni avec le MacBook Pro 14" de base n’est pas suffisamment puissant pour le mode Performances.
Si vous voulez rester chez la pomme, vous pourrez y trouver cet adaptateur 96 W à 85 €, mais les MacBook Pro ayant des ports USB-C, le choix est quasi illimité. Attention toutefois aux produits de mauvaise qualité, voire contrefaits ! Heureusement, il y a des valeurs sûres, comme Ugreen et son très compact Nexode X 100 W (65,99 €), qui a l’avantage de proposer deux ports USB-C et un port USB classique. Besoin de charger en balade, pour augmenter encore la confortable autonomie de la nouvelle machine ? Anker propose une grosse batterie externe Prime 250 W (169 €) capable de charger un MacBook Air plus d’une fois. Elle dispose de 3 ports USB-C dont deux pouvant fournir jusqu’à 140 W, et un port USB classique.
Des claviers, des souris, pour aller sur le chat
Les MacBook intègrent certes déjà tout le nécessaire pour taper tranquillement un texte ou se balader entre les applications, mais de temps en temps, surtout si vous utilisez un moniteur externe, un couple clavier/souris peut être agréable à utiliser. Pour le Mac mini, la question ne se pose pas, la machine n’étant fournie avec aucun de ces accessoires.
Concernant les versions pommées, j’espère que vous aimez le touché des claviers d’ordinateurs portables, parce qu’en dehors de ça, point de salut : le seul et unique type de touches que vous aurez sera peu ou prou le même que celles des MacBook sous forme de clavier séparé. Mais les claviers d’Apple ont un avantage sur tous les autres : ils ont, pour la plupart, un capteur Touch ID très pratique. Vous devrez faire un choix : avec (199 €) ou sans (169 €) pavé numérique. Si vous êtes amateur de touches noires, pas de chance, le choix sera réduit à la seule version avec le pavé numérique, et il faudra rajouter un petit billet, étant à 229 €.
Les accessoiristes tiers proposant des claviers spécifiquement Apple se font rares. Vous pourrez cependant y trouver Logitech, qui propose le MX Mechanical mini (125 €). Une version avec pavé numérique est bien proposée (125 € aussi), mais est cependant moins recommandable, du fait de sa disposition de touches perturbantes, celle-ci cherchant absolument à être compatible à la fois Mac et PC, plusieurs touches se retrouvent avec deux sérigraphies différentes. Vous aimez les claviers ergonomiques depuis que vous y avez goûté dans les années 2000 ? Pas de souci, Logitech est là pour vous : le Wave Keys for Mac (79,99 €) vous tend les bras, et cette fois, avec un pavé numérique !
Vous adorez le style rétro des claviers Apple du début des années 90 ? Ne cherchez plus : le HHKB Classic (245 €) est là pour ça, avec son design rappelant les belles années des Mac époque Motorola ! Plus exotique et ergonomique ? Félix a testé pour vous, avec le ZSA Moonlander (350 $) ou encore le Kinesis Advantage 360 (555 €).
Niveau pointeurs, le choix est bien plus large : quasiment toutes les souris et trackpad du marché sont compatibles avec un Mac. Dans tous les cas, les grands acteurs du marché font en sorte que les ordinateurs Apple ne soient pas oubliés. La pomme de son côté a ses incontournables, avec la Magic Mouse en blanc (85 €) ou en noir (119 €), mais aussi le Magic Trackpad, lui aussi proposé en blanc (139 €) ou en noir (169 €).
Pas envie de rester chez Cupertino ? Les cadors du secteur vous proposent leurs créations, et il y a du choix : de la souris faite pour la bureautique confortable avec la Logitech MX Master 3S (99 €) à la souris gamer G502 X Plus Lightspeed (119 €) en passant par la souris ergonomique MX Vertical (69 €). Pour les amateurs de trackball, ça existe encore (si si !) : Logitech propose le MX Ergo S (115 €).
Des ports, des ports, on veut des ports !
Bon, c’est bien gentil tout ça, mais on ne peut pas dire que les Mac soient les ordinateurs les plus fournis en ports divers et variés… mais il y a une solution à ce manque, grâce à la magie de l’USB-C/Thunderbolt.
Satechi est le roi du domaine avec une gamme pléthorique, allant de l’incontournable USB-C Slim (63 €) comprenant déjà 3 ports USB dont un USB-C, un lecteur SD/MicroSD, un port HDMI et un Ethernet, à la station complète Thunderbolt 4 (399 €) munie de 6 USB-A, 1 USB-C, une sortie audio, un port Ethernet 2.5G, 2 HDMI, 2 DisplayPort et un lecteur SD/MicroSD ! Mais Anker a aussi une offre intéressante, avec la Prime Station (199 €), donnant accès à 3 ports USB pour la charge, 6 ports USB pour le transfert de données, 1 port Ethernet Gigabit, 1 port ascendant complet, 1 prise jack audio 3,5 mm et 2 sorties HDMI 4K 60 Hz.
Spécifiquement pour le Mac mini M4 fraîchement sorti, Satechi proposera bientôt un dock complètement intégré, mais le tarif n’est pas encore communiqué.
Vous voulez de l’Ethernet, et juste de l’Ethernet ? Pas de souci. Vous aurez à votre disposition des adaptateurs simple Gigabit, comme le UGREEN Ethernet 1 Gb/s(19 €), mais aussi 2.5 Gb/s, avec le UGREEN Ethernet 2.5G (29 €), et si vous voulez encore plus rapide, le QNAP SFP+ vers Thunderbolt T310G1S (240 €), auquel il faudra adjoindre le transceiver de votre choix, ou la version RJ45 10 Gb/s vers Thunderbolt T310G1T (269 €). Attention avec cette dernière, le ventilateur peut s’avérer perturbant si vous êtes sensible sur ce point, contrairement à la version SFP+ qui n’en a pas.
Tous les goûts sont dans la nature
Nous n’avons fait qu’effleurer quelques possibilités qui s’offrent à vous, bien que les accessoires Apple ne soient pas aussi variés que ceux proposés sur PC, le choix est quasiment infini. Bon Noël à tous !
Une étude récente vient de montrer que de nombreux bracelets de montres connectées — dont les bracelets Sports des Apple Watch — contiennent un composant proche des PFAS, les polluants éternels. Les PFAS — SPFA en français, pour substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées — sont très utilisés dans l'industrie et sont considérés comme des polluants éternels car ils se dégradent difficilement et peuvent s'accumuler dans les tissus organiques.
Le problème présenté dans l'étude, qui n'est pas accessible publiquement, est que les bracelets en fluoroélastomère contiennent de l'acide perfluorohexanoïque, qui fait partie de la famille des PFHxA. Ce composé diffère d'autres PFAS car il semble être évacué naturellement par l'organisme, alors que d'autres PFAS tendent à s'accumuler. Le résumé de l'étude explique que la présence de ce produit — qui devrait être interdit en Europe en 2026 — demeure un problème selon eux, spécialement dans des bracelets qui sont portés contre la peau plusieurs heures par jour et potentiellement pendant un effort physique, un cas qui peut accélérer l'absorption. Sur les vingt-deux bracelets analysés, six contenaient aussi des précurseurs d'autres PFAS.
Dans une interview au site Salon, Graham Peaslee — un des auteurs de l'étude — qu'il ne s'attendait pas à trouver autant de traces de PFAS, et qu'il existe des alternatives pour les bracelets dans la majorité des cas. Enfin, le résumé de l'étude ne donne pas les quantités d'acide perfluorohexanoïque détectées, ce qui ne permet pas de vérifier si le seuil de toxicité (qui est de 0,32 mg/kg/j) est atteint.
En théorie, une fois qu’une ampoule connectée ou qu’une prise connectée est paramétrée, on n’a plus besoin de son code de configuration. En pratique, la domotique pouvant être capricieuse, il n’est pas rare de devoir installer une nouvelle fois ses objets connectés. C’est pour simplifier cette opération que HomePass se charge de rassembler tous les codes de configuration des appareils HomeKit et Matter.
Disponible sur iPhone, iPad, Mac et même Apple Watch (les données sont synchronisées entre les appareils via iCloud), cette application a reçu récemment une mise à jour majeure qui l’améliore à plusieurs niveaux. HomePass 2 donne plus de latitude dans la synchronisation des données avec l’application Maison. Elle peut importer tous les objets présents dans l’app d’Apple ou bien seulement certains d’entre eux.
Une nouveauté très utile est l’enregistrement de pièce jointe dans les fiches des produits. On peut par exemple ajouter le manuel de son thermostat ou bien une photo de l’emplacement de son capteur de porte. Par ailleurs, HomePass 2 gère mieux les QR codes : ils sont affichés aussi souvent que possible, c’est-à-dire quand un code de configuration a été enregistré en ayant scanné un de ces codes. De plus, l’application prend en charge les ponts de connexion, comme les ponts Hue, ce qui n’était pas le cas avant, et permet d’exporter toutes les données en Markdown ou au format CSV.
Avec cette version 2.0, l’éditeur a introduit un abonnement à 9,99 €/an, mais un achat unique à 44,99 € reste disponible (les possesseurs de la v1 bénéficient gratuitement des nouveautés). Vu son prix, HomePass 2 ne s’adresse qu’à ceux qui ont beaucoup d’objets connectés et qui sont régulièrement amenés à les reconfigurer. Autrement, même si ce n’est pas aussi pratique, on peut très bien sauvegarder les codes de configuration dans un gestionnaire de mots de passe ou même dans Notes.
Le casque Vision Pro d'Apple est un moyen fantastique de regarder des films et des séries… mais c'est aussi un appareil singulièrement limité sur ce point. En effet, si les écrans font des merveilles pour afficher les contenus compatibles, il n'existe pas d'applications pour Netflix, YouTube ou d'autres services. Tout du moins, pas d'applications natives ou fournies par les services en question. Une des solutions, Theater, vient d'être mise à jour.
L'application simule de nombreux environnements, comme un planétarium, une pièce dédiée luxueuse, un dôme, etc. L'application permet de louer des films immersifs (et d'en acheter certains) mais elle a surtout un avantage : elle intègre un client YouTube et (la nouveauté) un client Plex. Si vous avez accès à un serveur Plex, l'app peut donc se connecter dessus et afficher vos vidéos dans un cinéma virtuel immersif. L'application est gratuite, mais l'accès complet à tous les environnements est à 4 € selon la fiche technique.
Alors que l’on pensait connaitre le Qi2, le nouveau standard de charge sans fil basé sur le MagSafe d’Apple, les Pixel 9 ont semé le doute il y a quelques mois : les derniers téléphones de Google étaient présentés comme compatibles Qi2 sans pour autant intégrer d’aimants. Un chargeur ou un smartphone peut-il avoir le logo Qi2 sans système d’alignement magnétique ? La réponse est non, finalement.
Le Wireless Power Consortium (WPC) a récemment clarifié la situation alors que la confusion régnait, en bonne partie par sa faute. « Un téléphone portant le logo Qi2 utilise la spécification Qi v2.0 et le Magnetic Power Profile (MPP). Donc oui, s’il est marqué Qi2, il doit avoir des aimants », a répondu sur X l’organisation à un journaliste il y a quelques jours.
L’imbroglio venait notamment du fait qu’un document du WPC mentionnait deux logos (légèrement différents) pour le Qi2 : l’un pour les produits dotés d’aimants et l’autre pour ceux sans aimants. Au bout du compte, comme le note le spécialiste d’Android Mishaal Rahman, ce document obsolète a été retiré et les consignes sont maintenant claires : un produit ayant le logo Qi2 gère la recharge magnétique.
Toutefois, ce n’est peut-être pas tout à fait la fin de l’histoire. Le WPC a mis au point en septembre une nouvelle version de la norme, le Qi v2.1, qui ajoute des profils spécifiques pour les coques (Magnetic Cover Power Enhancement et Magnetic Cover Power Magnet). Cela va permettre aux fabricants Android de prendre en charge le Qi2 par le biais de coques incluant des aimants. C’est la solution que Samsung emploierait pour ses futurs Galaxy S25. En théorie, le logo Qi2 ne devrait donc pas apparaître sur la boîte des Galaxy S25, mais il ornera peut-être celles des coques spéciales.
L’année du dragon touche à sa fin, et Apple se prépare à célébrer l’année du serpent au Japon : le fabricant vient de lancer son offre annuelle permettant d’obtenir un AirTag exclusif. Les clients achetant certains produits entre le 2 et le 5 janvier pourront repartir avec une carte cadeau et une petite balise gravée d’un serpent stylisé.
Il est possible d'obtenir une carte cadeau allant jusqu’à 30 000 yens (182 €) pour l’achat d’un MacBook Air M2 ou M3. Apple offre sinon 11 000 yens (67 €) pour l’achat d’un iPhone SE, de l'iPhone 14 ou 15. Le AirTag serpent n’est offert qu’avec l’un de ces téléphones, et uniquement pour les 50 000 premières commandes passées sur le site officiel ou effectuées en boutiques. Les achats via l’application Apple Store ne sont pas éligibles.
Mis à part cela, les iPad, AirPods et Apple TV n’ont pas été oubliés : les différentes offres sont détaillées sur la page de l’opération. On notera que les accessoires pour iPad et certains produits Beats sont aussi éligibles. Apple a l’habitude de ce type d’opération et a déjà proposé un AirTag pour l’année du tigre, du lapin et du dragon. Elle vend également depuis quelques années des AirPods gravés pour célébrer le Nouvel An lunaire.
Boulanger fait en ce moment de grosses réductions sur des MacBook Pro M3 Pro et M3 Max. La quasi-totalité des machines a déjà été vendue, mais il reste une bonne affaire :
MacBook Pro 14" M3 Max 36 Go de RAM et 1 To de stockage à 2 999 €
C’est 800 € de moins que le MacBook Pro équivalent avec puce M4 Max. La génération M4 a apporté de la puissance en plus, une webcam sophistiquée et des ports Thunderbolt 5, mais cela ne vaut pas forcément 800 € selon vos usages.
Google a souvent par le passé suivi les grandes modes, adaptant de petits easter eggs à son interface pour marquer le coup. L’engouement pour la série Netflix Squid Game n’échappe pas à la règle, et le moteur de recherche nous gratifie donc d’une petite animation sympathique pour la sortie de la saison 2 de la série sud-coréenne.
Si vous tapez « Squid Game » dans le moteur de recherche, vous aurez alors un petit carton d’invitation flottant en bas de la page. Cliquez dessus, et vous aurez droit de faire une partie de « un, deux, trois, soleil » (ou le plus poétique « Mugunghwa kkoci pieot seumnida » (무궁화 꽃 이 피었 습니다), soit « les fleurs d'hibiscus ont fleuri » en VO), rappelant la première épreuve de la saison 1. De quoi s’amuser quelques minutes en attendant d’aller regarder la suite de la série.
Pas d'inquiétude à avoir concernant les graphismes de ce petit jeu, contrairement à la série dont il s'inspire directement, il est 100% tout public.
Alors que Japan Airlines a subi ce 26 décembre une cyber-attaque ayant retardé un nombre conséquent de ses vols de la journée, le dénouement d’une affaire ayant fait chuter une plateforme d’échange de cryptomonnaies japonaise a été révélé, impliquant la Corée du Nord.
En mai 2024, la plateforme d’échange DMM, spécialisée dans les cryptomonnaies, fait état d’un vol de bitcoins, pour une valeur record de 305 millions de dollars. La société ne s’en remettra pas, mettant la clé sous la porte un mois plus tard, malgré un prêt de 367 millions de dollars accordé pour tenter de se refaire : les clients échaudés par la faille et la perte sèche ne reviendront pas, poussant l’entreprise à la faillite.
Et c’est donc en ce mois de décembre qu’on en apprend plus sur cette affaire, grâce à l’enquête conjointe de la police japonaise et du FBI relatée par Numérama : les malandrins, se faisant passer pour des recruteurs sur LinkedIn, ont d’abord approché un employé de Ginco, société travaillant avec DMM. Ils sont ensuite entrés petit à petit en profondeur dans le réseau de l’entreprise, usurpant un nombre toujours plus grand de comptes d’employés.
Une fois atteint le système de traitement des transactions, ils ont observé le système suffisamment longtemps pour y trouver de multiples failles, conduisant à l’attaque du mois de mai, et la perte de plus de 4500 bitcoins. Mais où sont-ils donc allés ?
Selon les résultats de l’enquête, pas si loin de l’archipel nippon : c’est le groupe de pirates Lazarus, connu pour être en lien avec le gouvernement nord-coréen, qui serait responsable de cet acte de piratage. Le pays est devenu spécialiste dans le domaine, avec 660 millions de dollars de revenus venant de vols de données, rançons et autres cyber-attaques en 2023, et même 1,34 milliard de dollars en 2024 ! Bénéfices records entrant directement dans la poche du régime en place...