Si les AirTag sont les accessoires les plus évidents pour retrouver des objets perdus ou volés grâce à leur capacité de localisation, ce ne sont pas les seuls accessoires compatibles. Une histoire racontée par La Provence montre que les AirPods, les écouteurs d'Apple, peuvent aussi aider à retrouver du matériel volé. Et dans le cas évoqué, le bilan était assez important.
Une partie du matériel dérobé. Image La Provence.
Lors d'un tournage pour une télé-réalité belge (Ma mère, ton père) à Saint-Rémy-de-Provence, l'ensemble du matériel de la production a été dérobé dans la nuit du 21 au 22 octobre. Entre les caméras, les drones, les appareils photo et tous les accessoires, le préjudice s'élevait à plus de un million d'euros.
Les AirPods Pro 3 localisent même le boîtier.
Mais grâce à une paire d'AirPods présente dans les objets volés, les enquêteurs ont pu découvrir la planque des malandrins, dans un appartement de la commune de Milhaud, au sud de Nîmes. Pour rappel, les AirPods — et dans certains cas les boîtiers — participent au réseau Localiser d'Apple, comme les iPhone, les iPad ou les AirTags. Comme pour tous les appareils compatibles, ils peuvent indiquer leur position1 à leur propriétaire si un appareil Apple passe dans les environs immédiats. Comme l'expliquent nos confrères, la géolocalisation a permis de retrouver l'ensemble du matériel.
Plus exactement celle de l'iPhone qui les a détectés. ↩︎
Le Black Friday s’étant transformé en « Black Month »1 chez certains revendeurs, on trouve déjà des réductions importantes sur des produits très populaires. Voyez un peu : les AirPods 4 sont en promo à 119 € sur Amazon et Cdiscount. C’est 30 € de moins que chez Apple et le tarif le plus bas à ce jour, hors Prime Day.
À 119 €, il s’agit des AirPods 4 dans leur version d’entrée de gamme. Les AirPods 4 avec la réduction active de bruit et le boîtier compatible avec la recharge sans fil sont quant à eux vendus 179 € sur Amazon et Cdiscount, soit une remise de 20 € sur le prix d’Apple.
Image Apple
Les AirPods 4 ne sont pas aussi évolués et n'isolent pas autant que les AirPods Pro 3, mais si vous ne supportez pas les écouteurs intra-auriculaires, c'est un excellent choix. Ils délivrent une très bonne qualité sonore et s’intègrent parfaitement à l’iPhone, au Mac et aux autres produits Apple. Ils ont même gagné de nouvelles fonctions avec iOS 26, comme la mise en pause automatique de la musique quand vous vous endormez.
La station de charge Qi2 (15 W) d'Ugreen est en promotion à 40 € au lieu de 60 €. C'est un modèle doté d'un emplacement Qii2 magnétique qui permet d'orienter l'iPhone dans différentes positions, mais la station intègre aussi un second emplacement Qi, qui cible spécifiquement les AirPods mais qui peut servir pour d'autres appareils. C'est aussi et surtout un périphérique assez mignon, avec un petit écran monochrome qui affiche un visage souriant et s'anime lors de la charge.
Le chargeur Ugreen.
En plus des deux emplacements Qi, il y a une sortie USB-C qui a été pensée pour un chargeur d'Apple Watch, pour le transformer en chargeur 3-en-1. Le chargeur n'est pas livré avec un adaptateur secteur, et Ugreen recommande un modèle d'une puissance de 30 W au minimum. Bonne nouvelle, de nombreux modèles de la marque sont aussi en promotion.
Apple vient de lancer une campagne de promo originale pour la saison des fêtes. Elle invite tous les habitants du Royaume-Uni à prendre leur Apple Pencil pour dessiner un sapin de Noël sur iPad. Les plus beaux seront projetés sur la façade de l’ancienne centrale électrique de Battersea, depuis réhabilité en centre commercial et abritant le QG britannique d’Apple.
Le concours est animé par l'humoriste Munya Chawawa. Les créations gagnantes du public seront projetées aux côtés de dessins commandés à des artistes et des personnalités comme Stephen Fry et David Shrigley. Les candidatures peuvent être envoyées jusqu’au 23 novembre à minuit à ce lien, et 24 gagnants seront sélectionnés. La nationalité britannique est obligatoire pour participer.
Sur son site, Apple propose un modèle pour Procreate et d’autres applications afin de ne pas déborder des cheminées du bâtiment. Les couleurs vives sont logiquement recommandées, tout comme le fait d’avoir différents calques pour l’animer. Apple interdit d’utiliser l’IA et tout texte potentiellement offensant. Les gagnants seront révélés le 4 décembre, avec une projection commençant dans la foulée sur les deux cheminées du côté de la Tamise.
Apple a mis en ligne un fond d’écran pour l’occasion, à télécharger à ce lien.
Ce n’est pas la première fois qu’Apple illumine Battersea : elle a commencé par de grands sapins signés de l'artiste David Hockney en 2023 avant d’enchaîner l’année suivante avec une immense vidéo de Wallace et Gromit. Celle-ci avait été réalisée avec pas moins de 6 000 photos prises à l’iPhone 16 Pro Max.
La centrale de Battersea a longtemps alimenté Londres et est devenue un bâtiment iconique de la ville, que certains ont sans doute aperçu sur la pochette de l’album Animals de Pink Floyd. Éteinte entre 1975 et 1983, elle a passé quelques années à l'abandon avant d’être rachetée en 2012 puis réouverte en 2022. Le quartier général d'Apple au Royaume-Uni se trouve à l’étage, tandis qu’un Apple Store est présent dans la galerie marchande.
Shein, une plateforme de vente en ligne chinoise très connue (et très populaire) ne fait pas que vendre des produits de mauvaise qualité et dangereux (comme des chargeurs USB), elle vendait aussi des « poupées sexuelles à caractère pédopornographique ».
Nous ne parlons pas de ce genre de poupées. Image PickPik.
C'est un constat de la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes), qui explique avoir constaté la commercialisation de poupées sexuelles d'apparence enfantine. Selon le communiqué, « leur description et leur catégorisation sur le site permettent difficilement de douter du caractère pédopornographique des contenus. ». Les faits ont été signalés au procureur de la République, mais aussi à l'ARCOM, le régulateur compétent en la matière. Comme le rappelle le ministère de l'Économie dans son communiqué, « la diffusion, via un réseau de communications électroniques, de représentations à caractère pédopornographique, est passible de peines pouvant aller jusqu'à 7 ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende. » Le ministère indique aussi que des contenus pornographiques liés à des poupées adultes sont aussi accessibles, sans mesures de filtrage efficace.
Shein pourrait être interdit
Le ministre de l'Économie, Roland Lescure, a indiqué dans une interview à nos confrères de BFM TV que l'accès à Shein pourrait être bloqué en cas de récidive. Ce n'est pas une première : le site Wish, assez proche de Shein dans la philosophie, avait été déréférencé en France en 2021. Contrairement au déréférencement, Shein pourrait même directement être bloqué dans nos contrées grâce à la loi pour la confiance dans l’économie numérique (LCEN), à la manière de certains sites pornographiques.
iOS 26 apporte un nouveau Lecteur d’accessibilité bien pratique assez semblable au mode lecteur de Safari. La différence entre les deux ? Le petit dernier fonctionne dans n’importe quelle app, ce qui permet de lire de longs textes provenant de n’importe où dans de meilleures conditions.
Ici avec un fichier .txt d’un article de Nicolas. À gauche dans Fichiers, à droite dans le Lecteur d’accessibilité.
Ce lecteur est à aller activer dans les Réglages, rubrique Accessibilité puis Lire et énoncer. On peut ensuite l’invoquer en ajoutant un raccourci au centre de contrôle, ou plus simplement grâce au Raccourci Accessibilité en appuyant trois fois sur le bouton latéral de l’iPhone. La fonction est également disponible sur iPadOS et sur macOS (le raccourci est alors ⎋ + ⌘).
Ce lecteur peut transformer n’importe quel texte à l’écran en version plus lisible. Dans le cas d’un article, il se base sur le texte à l’écran et en dessous. Il ne prendra donc pas en compte le début d’un article si vous l’activez à mi-chemin. Il a fonctionné dans la majorité des apps que j’ai essayées, d’une grosse annonce sur Leboncoin à différentes apps de presse. En revanche, impossible de le démarrer sur un long post Reddit.
Une fois démarré, il est possible de personnaliser le texte en cliquant sur le menu « … » en haut à droite. Le lecteur propose plusieurs thèmes de base, comme un mode sombre ou livre avec un fond jaune pour imiter une page papier. On peut modifier plus en détail chacun d’entre eux, par exemple pour changer la couleur du texte ou de l’arrière-plan, la taille du texte, la police… Les réglages sont très complets, permettant d’ajuster l’espacement des lignes ou des caractères ou encore de modifier la couleur des liens.
Ce lecteur propose une fonction pour écouter le texte avec un petit lecteur audio. On peut avancer la lecture ou la reculer grâce à une petite barre de lecture, mais on peut aussi la masquer si l’on n’en a pas besoin. Il utilise la voix robotique choisie dans les paramètres d'accessibilité, on peut cliquer sur un endroit du texte pour commencer la lecture à cet endroit-là. Il est possible d’activer une option pour automatiquement lire le contenu à voix haute dès l’apparition du lecteur. On peut ensuite passer sur une autre app tout en profitant d’une lecture en arrière-plan.
Le concept est avant tout pensé pour les gens ayant des problèmes de vue, mais pourra également servir pour une lecture plus confortable de certains textes. Je l’ai par exemple trouvé utile pour lire un long fichier .txt qui ne peut pas être ouvert par une application de base sur téléphone. On pourra aussi l’utiliser pour se créer des articles « à écouter » sur une app de presse, même s’il faudra penser à télécharger les voix d'accessibilité « de qualité » afin d’avoir une expérience agréable.
Une société américaine, Substrate, veut s'attaquer à la gravure des puces avec une nouvelle solution qui devrait permettre (si tout se passe bien) de réduire le coût de la gravure de façon importante. Leur solution ? De la lithographie aux rayons X, ce qui demande quelques explications.
Des *wafers*. Image MacGeneration
La fabrication d'une puce passe parce ce que l'on appelle un wafer, un composant circulaire sur lequel les puces vont être gravées. La technologie utilisée pour graver les transistors sur la surface du wafer porte le nom de lithographie, et les techniques de gravure modernes reposent sur de la lithographie EUV (Extreme Ultraviolet). De façon très schématique, la machine doit découper le substrat pour dessiner les transistors, avec une précision extrême. Si les usines qui fabriquent les puces sont essentiellement asiatiques (notamment à Taiwan et en Corée), les machines qui permettent la lithographie, elles, proviennent d'un seul grand fabricant : le néerlandais ASML. Les machines en question sont particulièrement onéreuses (plusieurs centaines de millions de dollars) mais nécessaires : ASML est la seule société qui maîtrise cette technologie. Et les évolutions de la technologie devraient encore faire exploser les coûts.
La solution de Substrate
Substrate emploie une technologie différente, à base de rayons X. L'idée n'est pas nouvelle, mais n'avait jamais été mise en œuvre à grande échelle. La société explique qu'elle permet de créer des puces de classe 2 nm (la technologie la plus avancée actuellement, qui n'est pas encore employée en masse) pour un coût plus faible que les solutions d'ASML. Selon eux, alors que la technologie à base d'ultraviolets va augmenter largement les coûts, leur solution est meilleure. Ils anticipent des usines à 50 milliards de dollars en 2030, et des wafers à 100 000 $, contre 25 milliards et 30 000 $ actuellement (pour un wafer en 2 nm). Le coût du wafer a un impact direct sur le prix des puces car il a un coût fixe. Si le prix du wafer augmente, celui des puces aussi, même si le résultat dépend en partie du rendement et de la taille des puces, des points que nous avons expliqués dans un dossier.
Subtsrate montre pour le moment de la gravure en 12 nm. Image Substrate.
Avec sa technologie aux rayons X, Substrate espère descendre le prix du wafer aux alentours de 10 000 $ en 2030, soit un prix plus faible qu'actuellement (et beaucoup plus bas que ce qu'ils anticipent). Visiblement, la société américaine a donc réussi à maîtriser les problèmes que la lithographie aux rayons X amène, comme le fait qu'elle nécessite une source de rayons X stables et efficaces.
Si la solution semble intéressante, Substrate reste encore visiblement assez loin de la production en masse. La production actuelle, pour des essais, serait en 12 nm, ce qui est déjà dans l'absolu une prouesse. Mais selon les spécialistes de SemiAnalysis, si leurs assertions sont vraies, la lithographie aux rayons X pourrait modifier largement les rapports de force, sur un marché qui dépend largement d'ASML et dont les coûts actuels explosent.
Si les prix exacts ne sont pas connus, Substrate espère vendre ses machines de lithographie environ dix fois moins cher que celles d'ASML pour les prochaines technologies de gravure (2 nm et moins). La société américaine pourrait surtout devenir un acteur important dans le monde de la gravure, et détrôner les fondeurs asiatiques. Même si TSMC et Samsung possèdent des usines aux États-Unis, les technologies les plus avancées restent réservées à leurs pays d'origine (Taiwan et la Corée du Sud) et le troisième fondeur important, Intel, est nettement en retard sur les deux autres. Selon nos confrères, il reste quelques doutes sur les possibilités réelles de Substrate, qui sont un peu trop belles pour être vraies. Un doute notamment lié au fait que la société donne peu de détails sur sa technologie, en partie parce qu'il y a de gros risques d'espionnage industriel dans ce domaine. Et il y a évidemment un écueil important à prendre en compte : passer de la production de puces de tests dans des laboratoires à une production en masse avec un rendement suffisant pour que tout devienne rentable n'est pas une évidence dans ce domaine.
Les gros utilisateurs de PDF se sont rendus compte d’un changement avec l’arrivée de macOS 26 Tahoe : l’app Aperçu arrondit les bords des PDF. Une modification qui n’est pas passée inaperçue et qui a été relevée sur les forums d’Apple comme par le média japonais Applech2. Apple a rétropédalé avec macOS 26.1, qui ramène des bords carrés plus traditionnels.
Un PDF sous macOS 26…
« Comment désactiver les coins arrondis dans l'aperçu lors de la visualisation d'un fichier PDF ? » se demande un utilisateur du forum d’Apple. Il affirme que les PDF doivent toujours avoir la même apparence, peu importe la façon dont on les ouvre. « Arrondir les coins d'un document est totalement inutile et compromet la conception d'un PDF », appuie-t-il, jugeant le changement « inacceptable ».
Son commentaire a été appuyé par plus de 145 autres utilisateurs, tandis que 190 ont répondu avoir le même problème. Un fil Reddit sur le même sujet a amassé plus de 200 votes, où beaucoup recommandent de passer par un autre logiciel de lecture de PDF. Un utilisateur très remonté déclarait dès la première bêta du système :
Ils ont complètement massacré Aperçu.app. Ce qui était un outil stable et fiable est devenu le projet portfolio d'un graphiste débutant. Arrondir les coins des pages d'un PDF, c'est de la folie pure.
…et sous macOS 26.1.
Le changement mis en place par Apple ne concernait que les PDF, et les images restaient affichées normalement sur macOS 26. Si certains commentaires véhéments prêtent à sourire, le changement a pu gêner certains gros utilisateurs s’en servant par exemple pour visionner des fichiers avec deux pages côte à côte ou des mots croisés (la grille disparaît dans les angles). Certain ont également observé des plantages lors des annotations, ce qui devrait s’arranger sur macOS 26.1. Notons cependant qu’Apple arrondit toujours les angles dans Coup d’œil, même sur la future mise à jour.
Aperçu a eu droit à pas mal de changements cette année, à commencer par une déclinaison iPad et iPhone. La version pour tablette fait la part belle aux effets Liquid Glass grâce à une loupe présente sur la page d’accueil comme un petit easter-egg.
Dans son traditionnel démontage de la nouvelle tablette d'Apple, l'iPad Pro M5, iFixit montre quelques points intéressants. On peut voir que la batterie (en deux parties) s'enlève assez facilement ou que le port USB-C est amovible. Mais il y a aussi des choses intéressantes à noter, comme le fait que les vis sont essentiellement des variantes de type JIS (Japanese Industry Standard) et pas des PH (Phillips, aucun rapport avec la société batave). Les deux empreintes sont très similaires, mais pas totalement interchangeables, et employer le mauvais tournevis peut poser des soucis.
Même si la batterie se détache facilement, le score de réparabilité n'est que de 5/10 pour l'iPad Pro M5, une valeur élevée pour un iPad mais faible dans l'absolu. La raison est simple : pour accéder à la batterie, il faut décoller l'écran, ce qui n'est pas à la portée de n'importe qui.
Une rumeur (presque) confirmée
Dans les rumeurs et bruits de couloirs de Mark Gurman, l'iPad Pro M5 devait intégrer une seconde caméra en face avant. Les iPad Pro M2 (et les précédents) avaient une caméra placée pour un usage en mode portrait, les iPad Pro M4 et M5 ont un objectif pensé pour un usage en mode paysage. Si l'iPad Pro M5 n'a finalement pas cette caméra, la vidéo d'iFixit sous-entend clairement qu'il y a la place nécessaire pour intégrer cette seconde caméra au niveau du microphone, et la découpe du châssis ne laisse pas trop de doutes.
L'emplacement du microphone pourrait parfaitement recevoir une caméra. Image iFixit.
Le fait d'abandonner un accessoire de ce type à la fin du développement n'est pas hypothétique chez Apple. Le premier iPad devait avoir un second connecteur 30 broches (en mode paysage) et l'emplacement de ce dernier est parfaitement visible quand on ouvre la tablette. Et en remontant un peu dans le temps, l'iPod touch de 3e génération devait recevoir une caméra (finalement apparue avec la 4e génération). Pour ce modèle, encore une fois, l'emplacement de la caméra est présent et de nombreux prototypes intègrent l'appareil photo en question. Il n'est donc pas exclu, dans quelques années, de découvrir un prototype d'iPad Pro M5 avec deux caméras en face avant.
Apple aurait tranché dans le vif au sujet du « moteur » de Siri. Voilà des semaines qu’elle hésitait entre miser sur ses propres modèles et s’appuyer sur ceux de la concurrence. Des fuites avaient déjà révélé que Cupertino avait étudié de près les solutions d’OpenAI et de Google.
Si l’on en croit Mark Gurman, Apple aurait finalement décidé de s’appuyer en partie sur Gemini, le modèle d’intelligence artificielle de Google. Apple paierait son concurrent pour développer une version personnalisée de Gemini, hébergée sur ses serveurs Private Cloud Compute, afin d’alimenter Siri sans compromettre la confidentialité des données des utilisateurs.
Apple mise sur Google pour relancer Siri
Il ne s’agirait pas d’intégrer directement des services Google ou des fonctions Gemini dans Siri, mais d’utiliser un modèle Gemini « sur mesure » en arrière-plan pour améliorer la pertinence et la réactivité de l’assistant. Autrement dit, Siri resterait made by Apple, mais avec un moteur d’IA externe sous le capot — une première pour la marque, qui avait toujours tenu à garder le contrôle total sur ses technologies clés.
Image Apple
Cette révélation de Mark Gurman intervient quelques jours après les déclarations de Tim Cook qui a confirmé que le nouveau Siri verrait bel et bien le jour en 2026. Lors de la conférence audio suite à la publication des résultats trimestriels, le patron d’Apple avait en quelque sorte vendu la mèche, affirmant que d’autres accords dans le domaine de l’intelligence artificielle, étaient dans les tuyaux.
Les rumeurs évoquent toujours une sortie au printemps pour le nouveau Siri. Sachant qu’Apple ne peut pas se rater, la firme semble avoir opté pour la carte de la sécurité. En misant sur les technologies de Google, le timing d’Apple apparaît serré, mais jouable. Ce chantier est autant logiciel que matériel : Cupertino a récemment commencé à expédier des serveurs d’IA fabriqués aux États-Unis, destinés à ses centres de données. Petit à petit, le puzzle se met en place.
Si la décision venait à être confirmée, ce serait un nouveau coup dur pour la division IA d’Apple, en charge du développement de modèles maison. On disait cette division déjà affectée par les nombreux débauchages réalisés par Meta tout au long de l’été. La direction va devoir remobiliser ses troupes pour éviter une véritable hémorragie.
Google : un choix qui n’est pas si surprenant
Qu’Apple jette son dévolu sur les technologies de Google n’est pas très surprenant en soi. Dans ce domaine, les technologies de Google font partie du haut du panier.
D’autre part, si Apple et Google peuvent se livrer une guerre sans limites dans certains domaines, notamment sur le marché des smartphones, les deux sociétés entretiennent de bonnes relations et savent coopérer quand cela est nécessaire.
Image : iGeneration
L’exemple le plus marquant est bien entendu l’accord qui lie Safari au moteur de recherche de Google : un partenariat qui rapporte plus de 20 milliards de dollars par an à la firme de Cupertino. Avec une telle manne, Apple a largement de quoi financer les modèles de Google, qui ne doivent pas être donnés. Anthropic demandait, paraît-il, 1,5 milliard de dollars par an, un montant jugé trop élevé par Apple.
Par le passé, les deux sociétés ont montré qu’elles pouvaient collaborer dans certains domaines. En 2020, face à l’épidémie de COVID-19, les deux géants de la tech avaient travaillé main dans la main sur Exposure Notification : la fameuse API qui permettait l’usage du Bluetooth sur iOS et Android pour que les autorités sanitaires puissent mieux tracer les contacts d’une personne infectée.
Quand le logiciel trébuche, le matériel triomphe
Avec cette nouvelle version, Apple joue gros. La réputation de Siri est déjà écornée ; autant dire que la marque à la pomme n’a pas le droit à l’erreur.
Mark Gurman est d’ailleurs assez méfiant. Il précise que, malgré cet accord, rien ne garantit que cette nouvelle version « fonctionnera de manière fluide » ni qu’elle « parviendra à réparer des années de désamour autour de Siri ».
Quoi qu’il en soit, que ce soit pour Siri ou Apple Intelligence, Apple dépend plus que jamais des autres. Cette situation est à l’opposé de celle que nous connaissons sur le plan matériel. Après des années de développement, Apple a lancé cette année ses premières puces pour gérer les communications sans fil — Wi-Fi, Bluetooth ou connexions cellulaires. Si l’on en croit les dernières rumeurs, Apple ne voudrait pas s’arrêter en si bon chemin et travaillerait désormais à l’élaboration de son propre capteur photo.
Apple est-elle devenue plus forte sur le matériel que sur le logiciel ? Il faut cependant se remémorer les débuts de l’iPhone, quand Apple mettait déjà bien en avant les solutions Google — que ce soit avec YouTube ou Plans, qui embarquait alors les cartes de Google.
Dans le cas de Plans, il avait fallu des années pour qu’Apple parvienne à ne plus dépendre de Google — avec toutes les difficultés que l’on sait au début de cette transition, qui avait coûté sa place à Scott Forstall…
Lancée en Europe le mois dernier, la Model Y Standard a finalement reçu son éco-score et bénéficie ainsi en France du « Coup de pouce véhicules particuliers électriques », le dispositif officiel qui a remplacé la prime sur les véhicules électriques. Tous les foyers peuvent ainsi bénéficier d’un prix réduit de 3 180 €, ce qui permet au SUV de Tesla de débuter à 36 810 €. Selon ses revenus, on pourra même recevoir une aide plus importante encore et descendre le prix de base à 35 790 €. À ces prix, il faudra toutefois ajouter les frais de carte grise, ce qui fera probablement remonter la facture finale juste au-dessus des 37 000 €, même si le montant varie d’un département à l’autre.
Image Tesla.
Quoi qu’il en soit, autour de 37 000 € est un excellent prix fin 2025 pour qui cherche une voiture électrique avec une grande capacité et une très bonne autonomie. Si la version Standard n’affiche que 534 km d’autonomie selon la norme WLTP, elle compense avec une petite batterie qui sera rapide à charger sur les longs trajets. On ne présente plus les qualités de la Model Y en termes de capacité de stockage, elle conserve le plus grand coffre de sa catégorie, même si c’est un gros SUV par rapport à ses concurrents directs en Europe, qui souffre notamment d’un grand diamètre de braquage.
Cette variante « Standard » fait l’impasse sur plusieurs équipements qui étaient de série jusque-là sur les voitures de Tesla. Le plus spectaculaire est peut-être le toit vitré, toujours bien présent, mais caché à l’intérieur par du tissu. C’est censé améliorer l’efficience de la voiture, qui est déjà la reine de sa catégorie et qui devrait faire encore mieux avec cette variante. On attend les premiers tests en conditions réelles pour en savoir plus, mais il ne fait aucun doute que la Model Y devrait garder son avance et peut-être creuser encore un petit peu l’écart.
En contrepartie, il faudra accepter plusieurs retraits esthétiques (phares simplifiés, moins de couleurs…) et pratiques (sièges en tissu à l’avant, volant manuel, pas d’écran à l’arrière, sièges manuels à l’arrière…), même si la version européenne est bien plus intéressante que l’américaine, très dépouillée. En particulier, on ne perd pas les aides à la conduite sur le Vieux continent, si bien que la Model Y est comparable aux autres voitures de la marque sur ce point important.
La Model 3 étant produite en Chine, elle ne bénéficie pas du coup de pouce comme la Model Y qui vient d’Allemagne. Néanmoins, le constructeur réduit également son prix avec un « Bonus Tesla » de 3 100 €. À l’arrivée, le tarif est similaire au SUV, mais avec les mêmes fonctions de confort qu’avant, puisqu’il s’agit toujours de la Propulsion et non d’une version Standard. Si vous préférez les berlines, c’est aussi une excellente affaire à environ 37 000 € en prix de base.
Tesla précise que l’on pourra tester la Model Y Standard en France à partir du 8 novembre. Le configurateur en ligne promet quant à lui des livraisons entre décembre 2025 et janvier 2026.
L’Apple Store s’est enrichi d’une nouvelle option pour ceux voulant limiter les regards indiscrets sur leur téléphone : le filtre de confidentialité UltraGlass 2 de Belkin. Vendu 49,95 €, il est disponible pour iPhone 17 Pro et 17 Pro Max. Ce filtre limite l’angle de vision de la dalle, qui reste claire bien en face de l’utilisateur, mais qui s’assombrit quand on la regarde de côté.
Belkin annonce une résistance « jusqu’à 25x plus résistant que le verre classique » pour une épaisseur de 0,29 mm seulement. Il ne devrait donc pas trop se faire sentir sous le doigt tout en pouvant encaisser des chutes allant jusqu’à 2,2m. Il est livré avec un support en plastique facilitant l’installation et qui devrait limiter les risques de bulles d’air.
Ceux cherchant de quoi protéger leur nouveau téléphone sans filtre de confidentialité pourront trouver leur bonheur sur Amazon : l’UltraGlass 2 « simple » y est vendu pour 24,95 €, soit moitié moins cher. Toutefois, les commentaires des clients sont loin d’être unanimes, plusieurs d’entre eux se plaignant de bulles et d’une mise en place pas évidente. On trouve également un filtre de confidentialité « InvisiGlass Privacy » pour seulement 20 €.
Belkin est une marque reconnue dont Apple est proche, proposant par exemple de poser ses vitres de protection en magasin. Nous sommes mitigés sur leur qualité au sein de la rédaction. J’ai voulu en faire poser un sur mon iPhone 15 Pro Max à la sortie, mais il a commencé à se décoller au bout d’une petite semaine. Malgré trois (!) changements en Apple Store, je n’ai jamais réussi à en avoir un qui tienne et me suis finalement fait rembourser.
Les rumeurs voudraient qu’Apple ait travaillé sur un filtre de confidentialité, ayant même déposé un brevet pour les écrans incurvés. Elle réfléchit à une couche de protection n’étant pas ancrée physiquement dans le filtre, mais pouvant être ajustée à la demande, par exemple pour activer un mode de consultation privé. Samsung envisageait également à un tel système pour son futur Galaxy S26.
SwitchBot commercialise depuis quelques jours un kit prêt à l’emploi pour contrôler par la domotique un radiateur traditionnel à eau. Il se compose naturellement d’une tête thermostatique connectée, qui viendra remplacer celle déjà présente sur le radiateur. Comme celle-ci se connecte en Bluetooth par défaut, le fabricant l’a associée à son Hub mini qui vient relier la tête au réseau local et la rend compatible avec Matter, ce qui permet de l’ajouter à Maison. Pour compléter le kit, un thermostat et panneau de contrôle est glissé dans le paquet, à la fois pour mesurer la température au cœur de la pièce et pour offrir un contrôle sans domotique.
Les deux tiers du kit, avec la tête thermostatique sur le radiateur à gauche et le panneau de contrôle sur le mur à droite. Le Hub mini n’est pas sur la photo et pour cause, il n’a pas besoin d’être visible. Image SwitchBot.
L’ensemble est vendu 110 €, même si une promotion de lancement permet de réduire le prix à 88 €, à condition de cocher une case sur la fiche produit Amazon avant de l’ajouter au panier. À ce prix, vous aurez non seulement tout ce qu’il faut pour contrôler un premier radiateur, mais aussi une base pour contrôler davantage de radiateurs et potentiellement tout un logement. En effet, le système conçu par SwitchBot peut servir à gérer plusieurs têtes thermostatiques à la fois et les organiser par pièces. Le Hub mini saura les remonter toutes dans Maison d’Apple, Home Assistant ou un autre environnement compatible Matter, tandis que le panneau de contrôle peut gérer plusieurs têtes en parallèle.
Chaque tête thermostatique est fournie avec six adaptateurs qui sont censés couvrir la majorité du marché et vous trouverez un test de compatibilité sur la fiche produit pour savoir si votre radiateur est compatible. Le cas échéant, vous pouvez contacter SwitchBot et l’entreprise pourra vous proposer une solution, comme un adaptateur spécifique. L’appareil est alimenté par deux piles AA fournies qui devraient suffire pour une saison de chauffage. Une roue permet d’ajuster la consigne directement sur la tête et elle intègre quelques fonctionnalités automatiques, comme la fermeture de la vanne en cas de chute de température synonyme de fenêtre ouverte.
La tête thermostatique et les six adaptateurs fournis. Image SwitchBot.
Le panneau climatique domestique, c’est son nom, est un appareil qui propose plusieurs fonctions. Il gère la consigne des têtes thermostatiques, tout en intégrant son propre thermomètre et un hygromètre connectés, deux informations qui pourront remonter dans la domotique via Matter même si elles sont aussi affichées sur son écran rétroéclairé. Il intègre également un détecteur de mouvements qui peut servir dans des automatisations et un bouton supplémentaire, que l’on peut configurer pour contrôler un tout autre appareil, soit au sein de l’écosystème SwitchBot, soit là encore via Matter. Quatre piles AAA fournies sont nécessaires et le fabricant annonce un an d’autonomie.
L’app de SwitchBot peut contrôler l’ensemble, avec la possibilité de définir un programme de chauffe pour gérer les périodes d’absence et même d’utiliser la géolocalisation fournie par le smartphone pour couper automatiquement le chauffage en quittant le logement. On peut aussi le faire par le biais de l’environnement domotique de son choix, c’est tout l’intérêt de Matter.
Si le kit de base ne vous suffit pas, vous pourrez ajouter des têtes thermostatiques pour 36 € l’une, tandis que le panneau climatique seul est vendu uniquement chez son fabricant, pour 40 € en promotion de lancement.
Apple ne l’a pas dit officiellement, mais on peut sans trop de risque affirmer que l’année 2025 est bouclée côté Mac. La dernière nouveauté marquante restera donc le MacBook Pro M5, dévoilé en octobre.
Image : Apple
Tim Cook ne l’a pas exprimé aussi clairement lors de la publication des résultats trimestriels, mais il a laissé entendre à plusieurs reprises que le trimestre en cours ne serait pas favorable au Mac. Et pour cause : à l’automne 2024, Apple avait renouvelé une grande partie de sa gamme — MacBook Pro M4, Mac mini M4, iMac… De quoi rendre la comparaison difficile, malgré les qualités du MacBook Pro M5.
Autrement dit, si le PDG d’Apple ne s’attend pas à un grand trimestre pour le Mac, c’est qu’aucun nouveau modèle ne viendra animer la fin d’année. Il faudra patienter jusqu’au premier semestre 2026 pour voir Apple poursuivre la transition vers la puce M5, notamment sur les MacBook Air et le reste de la gamme Pro.
2026, un grand cru pour le Mac ?
2026 pourrait d’ailleurs être une grande année pour le Mac. Deux modèles en particulier attirent déjà l’attention. Le premier serait ce fameux MacBook équipé d’un processeur iPhone, qui pourrait être vendu à un prix assez inédit pour Apple. Cette machine pourrait sortir assez tôt dans l’année. Selon certains, la production de masse devrait commencer au quatrième trimestre 2025 chez Quanta.
L’autre machine qui pourrait crever l’écran, c’est le fameux MacBook Pro M6 attendu dans un an environ. Cette machine serait assez spectaculaire à tous les niveaux : nouveau processeur, nouveau design, écran tactile OLED, 5G… Apple met tout en oeuvre pour que cette machine marque une rupture avec les générations actuelles.
Notez que dans son infolettre, Mark Gurman laisse entendre que le prix de cette machine pourrait être relativement salé. Dans un premier temps, seules les déclinaisons Pro et Max auraient le droit à ce nouveau design ! Le MacBook Pro équipé d’une puce M4 Pro démarre à 2299 €…
L’année Apple n’est pas encore totalement bouclée en matière de nouveautés. Au moins deux produits manquent encore à l’appel : l’Apple TV et le HomePod.
Une réorganisation des Apple Store le 11 novembre
Mark Gurman ne met pas sa main à couper, mais il avance le 12 novembre, comme date possible de commercialisation de ces deux produits. Selon ses informations, une réorganisation des Apple Store serait prévue la veille au soir. Les employés seraient chargés de modifier les présentoirs et la disposition des produits en vue du lendemain.
Ce type d’opération intervient généralement lorsqu’Apple s’apprête à dévoiler de nouveaux produits, mais aussi lorsque la marque renouvelle ses visuels à l’approche d’une période commerciale importante. Le journaliste de Bloomberg tempère toutefois les attentes : « Compte tenu de la date, il est plus probable qu’il s’agisse de la préparation des magasins pour les fêtes de fin d’année. »
Quoi qu’il en soit, les stocks d’Apple TV et de HomePod mini se font de plus en plus rares, signe qu’une mise à jour du matériel semble imminente.
D’après les rumeurs, l’Apple TV 4K devrait passer à la puce A17 Pro et 8 Go de RAM, de quoi accueillir Apple Intelligence. Elle embarquerait aussi la nouvelle puce N1, dédiée au Wi-Fi, Bluetooth et Thread, et pourrait même changer de nom pour mieux se distinguer du service vidéo Apple TV.
Le HomePod mini 2 suivrait le même mouvement avec une puce plus récente, la N1, une meilleure qualité audio et de nouveaux coloris à la clé. L'enceinte disposerait également d’un processeur plus puissant, hérité de l’Apple Watch Series 9.
Le shutdown américain, un grain de sable dans la machine
Reste que tous ces lancements pourraient être ralentis par le “shutdown” américain. Plusieurs agences fédérales sont à l’arrêt, à commencer par la FCC (Federal Communications Commission). Or, cette dernière joue un rôle clé dans la commercialisation d’un nouveau produit : c’est elle qui certifie la conformité des appareils avec les normes américaines en matière d’émissions radio. Sans ce précieux sésame, aucune mise en vente n’est possible.
Enfin, comme le note Consomac, Mark Gurman a oublié d’évoquer un dernier produit attendu pour cette année : les AirTags 2. Aura-t-on droit à une commercialisation tardive, comme ce fut parfois le cas pour les AirPods ou les AirPods Max ?
Cette semaine s’annonce chargée côté téléchargements. En théorie, Apple pourrait déployer la première salve de mises à jour majeures de ses systèmes sortis à la rentrée.
Les versions 26.1 de macOS, iOS, iPadOS, watchOS, tvOS et consorts ont atteint le statut de release candidate la semaine dernière. Si Apple n’a pas découvert de problème de dernière minute, ces mises à jour devraient être proposées au grand public dès cette semaine, voire dès ce soir.
Les changements apportés par iOS 26.1 sont plutôt nombreux. Apple Intelligence s’ouvre à de nouvelles langues, avec l’arrivée du danois, du néerlandais, du norvégien, du portugais (Portugal), du suédois, du turc, du chinois traditionnel et du vietnamien. Hors d’Europe, les AirPods gagnent eux aussi en polyvalence, avec la traduction disponible dans davantage de langues.
La première bêta d’iOS 26.2 dès mardi ?
Apple étant légèrement en retard sur son planning, elle ne devrait pas perdre de temps et proposer dans la foulée — sans doute mardi — la première bêta d’iOS 26.2.
Pour l’heure, deux nouveautés sont attendues, même si l’une d’elles ne nous concerne pas directement. Apple promet toujours que le support du passeport américain dans Apple Wallet sera lancé avant la fin de l’année, même si cela ne sera pas forcément lié à une nouvelle version d’iOS. La firme de Cupertino a également promis le chiffrement de bout en bout pour RCS dans le cadre de « futures mises à jour logicielles ». Cela ne signifie pas forcément que la fonctionnalité arrivera avant la fin de l’année, mais iOS 26.2 constituerait une bonne fenêtre de lancement.
Cette mise à jour pourrait également inclure des changements liés au DMA. Concrètement, Apple doit mettre fin aux privilèges réservés à l’Apple Watch et aux AirPods. Les montres connectées tierces doivent enfin pouvoir interagir aux notifications iOS, tandis que les écouteurs concurrents bénéficieront à leur tour du jumelage simplifié et de la commutation audio automatique. Ces changements doivent faire leur apparition en version bêta d’ici la fin 2025, avant une mise en place définitive au plus tard le 1er juin 2026.
Si Apple reste fidèle à son planning, iOS 26.2 et consorts seront disponibles au téléchargement aux alentours du 10 décembre.
Début Novembre, c’est à la fois le moment du souvenir, mais aussi la petite pause de respiration avant les fêtes de fin d’année, cette pause bienvenue avant de voir les derniers jours partir à une vitesse folle. Profitons de cette respiration pour suivre Mark Gurman qui nous donne les dernières nouvelles bien cachées sous le tapis... avant de les trouver sous le sapin ?
L’Apple Park aux couleurs du Dia de los Muertos. Image générée par IA.
House of Gold (Maison en or)
Le 1er avril 2026, Apple fêtera ses 50 ans. La marque qui avait commencé dans le garage des parents Jobs, au 2066 Crist Drive à Los Altos, est maintenant une grande multinationale qui brasse des milliards de dollars par trimestre. Et le prochain devrait selon les prévisions être le meilleur qu’ait connu l’entreprise, avec une croissance de 10 à 12 % par rapport au même l’année dernière, soit près de 140 milliards de dollars !
Après, tout n’est pas paisible pour autant : la marque doit lutter contre les volontés de l’Union européenne, souhaitant une ouverture drastique de l’iPhone et de l’App Store, le Président américain qui assomme le monde de taxes diverses et variées, la justice US qui voudrait démonter le partenariat lucratif existant depuis des années entre Apple et Google,... et c’est sans compter les déboires de l’intelligence artificielle, où Apple est plutôt en retard pour le moment face à ses concurrents.
Mais Apple n’a pas dit son dernier mot, loin de là, et son anniversaire devrait être fêté comme il se doit : le premier trimestre devrait voir sortir l’iPhone 17e, de nouveaux iPad et iPad Air, ainsi que les MacBook Air M5 et MacBook Pro M5 Pro/Max et de nouveaux écrans. Les mois suivants devraient accueillir, eux, les fameux nouveaux HomePod avec écran, que ce soit en version murale ou de table, ainsi que le tant attendu nouveau Siri, accompagnés par de nouveaux appareils dédiés à la sécurité à la maison plus tard dans l’année.
Les nouveaux systèmes « 27 » seront bien entendu présentés en mi-2026 à la WWDC, avec un accent mis sur l’intelligence artificielle qui devrait s’implanter encore plus profondément au cœur d’iOS et macOS, avant de se tourner vers les nouveaux iPhone en fin d’année, avec la présentation de l’iPhone « Fold ». Un programme chargé !
Screen (Écran)
L’une des plus grosses évolutions attendues dans les mois à venir, c’est le passage progressif d’une bonne partie des appareils Apple à l’écran OLED. Si l’iPad Pro a montré la voie pour les appareils plus volumineux qu’un iPhone (qui lui a sauté le pas dès l’iPhone X, après l’Apple Watch qui a directement commencé avec un écran OLED en 2015), Cupertino a pris son temps pour sortir d’autres gammes avec ce type d’affichage : comme souvent, l’entreprise a attendu que la technologie arrive à maturité avant de l’étendre sur ses ordinateurs.
L’iPhone X a été le premier appareil Apple (hors Apple Watch) à proposer un écran OLED. Image MacGeneration.
Le MacBook Pro devrait recevoir son premier écran OLED en 2026 ou début 2027, mais ne devrait pas être le seul : la grande bascule est en marche pour Apple, et le « grand » Mac portable devrait être rapidement suivi par le MacBook Air, et même l’iPad Air et l’iPad mini !
Au final, d’ici un à deux ans, une majeure partie des appareils produits par Apple devraient être équipés d’écrans OLED. Bien entendu, si l’iPad « Fold » doit sortir d’ici 2029, il sera lui aussi équipé de ce type de dalle, l’OLED étant nécessaire pour tout appareil souhaitant intégrer un écran pliable.
The Contract (Le contrat)
Si le nouveau Siri est attendu pour le premier semestre 2026, Apple a encore beaucoup de travail pour y parvenir et obtenir un résultat qui satisfasse à la fois les dirigeants de l’entreprise et les clients. Mais elle ne devrait pas être seule pour ce développement : comme pour la recherche sur internet, Google devrait être là pour l’épauler techniquement avec son intelligence artificielle Gemini.
De la même manière que Mercedes fournit les moteurs à McLaren, Google devrait fournir le moteur à Siri. Invisible à l’œil nu. Image McLaren F1 Team.
Cela ne veut pas dire pour autant que les données des clients partiront vers des serveurs appartenant à Google, ou même que l’utilisateur aura la moindre publicité Google Ads ou se rendra compte de quoi que ce soit. Non, le partenariat devrait être un équivalent à ce qu’on trouve en F1 avec les écuries clientes d’un motoriste : si Google donne le moteur faisant tourner l’IA, Apple reste responsable de tout l’habillage, des serveurs et des données client. Tout devrait être fluide pour l’utilisateur, qui ne se rendra même pas compte d’une quelconque différence.
Next Semester (Prochain semestre)
L’actu Apple, si elle fait une pause en attendant les fêtes de fin d’année, promet d’être très, très chargée dans les mois à venir. Il va falloir suivre ! En attendant, je vous souhaite une bonne semaine, et à dimanche prochain !
Parmi les nouveautés de septembre, l’Apple Watch Series 11 est sortie dans une relative discrétion. C’est une excellente montre connectée, mais les nouveautés apportées par rapport à sa devancière restent assez légères. Reste que si vous cherchez une montre à la fois performante, légère et discrète, on ne fait pas mieux !
Concrètement, avec sa promotion, vous pouvez obtenir une Apple Watch Series 11 Cellular au prix de la version normale. Autrement dit, il est possible de faire l’acquisition d’une Apple Watch Series 11 Cellular pour 442,60 € au lieu de 569 €. Le modèle en question est un boiter aluminium 42 mm en finition noir de jais. Elle est livré avec un bracelet sport assorti comme le montre la photo.
Le produit en question est proposé sur Amazon Italie. Pas de panique si vous ne maîtrisez pas l’italien : le site d’Amazon est également disponible en français, et vous pouvez vous y connecter avec votre compte Amazon France.
Le prix affiché est de 445 €, mais une fois la TVA ajustée et les frais de port appliqués, le total revient à 442,60 €.
L’Apple Watch Ultra 2 à 639 €
Si vous penchez davantage sur une Apple Watch Ultra 2, sachez que Rakuten propose en ce moment l’Apple Watch Ultra 2 à 639 €. Ce modèle est livré avec le bracelet Ocean noir, un choix à la fois robuste et élégant. Pour l’obtenir à ce prix, il vous faut saisir le code BLACK20.
À titre de comparaison, l’Apple Watch Ultra 3 est actuellement vendue 899 €. C’est un excellent modèle, certes, mais la différence de 260 € ne se justifie pas forcément pour la plupart des usages. À vous de voir si la nouveauté vaut le supplément.
Après l’affront lancé par son ancien associé Sam Altman, qui a annulé sa commande du Tesla Roadster après 7 ans et demi d’attente sans espoir de voir sa voiture arriver rapidement, Elon Musk ne pouvait pas laisser le dernier mot au patron d’OpenAI... et a décidé de faire parler de sa marque, en prenant la parole dans le podcast de l’agitateur Joe Rogan.
Fantomas a été plus rapide qu’Elon Musk, avec sa fameuse DS volante. Image Gaumont.
Il faut dire que celui-ci l’a un peu aidé en abordant le sujet après une petite demi-heure d’interview, avec une question sans ambiguïté : « Travaillez-vous toujours sur le Roadster ? ». Et la réponse d’Elon Musk a de quoi étonner, et amener beaucoup de questions :
Oui, bien sûr. Nous sommes proches d’une démonstration du prototype, et je pense qu’elle sera assurément inoubliable. [...] Tu sais, mon ami Peter Thiel a toujours rappelé que le futur était représenté par la voiture volante, pourtant, nous n’avons toujours pas de voitures volantes. [...] Je pense que si Peter veut une voiture volante, nous devrions pouvoir lui en proposer une.
Elon Musk ne donnera pas beaucoup plus de détails sur la façon d’y parvenir, bien que Joe Rogan se soit montré insistant, demandant si le Roadster aurait des ailes rétractables, ou d’autres éléments lui permettant de voler. Pour toute réponse, Elon Musk lui a demandé d’attendre la démonstration, qu’il a encore une fois promis d’être incroyable. Reste donc une question : quand ? Avec son aplomb habituel, Elon Musk a donné une date plus que proche :
Si tout va bien, d’ici la fin de l’année. [...] Dans quelques mois. Si tout va bien dans quelques mois. Tu sais, on doit faire en sorte que ça fonctionne.
Mais dans son exubérance habituelle, le patron de Tesla n’a pas pu s’empêcher d’en rajouter une petite couche, allant jusqu’à se demander si la voiture qu’ils vont présenter est bien encore... une voiture :
Des technologies incroyables ? Oui, il y en aura. Est-ce encore une voiture ? J’ai quelques doutes. Oui, elle ressemble à une voiture. Mais franchement, c’est encore plus fou qu’une voiture de James Bond. Si tu prends toutes les technologies folles des voitures de James Bond et que tu les combines, [le Roadster] est encore plus fou.
Cependant, étant donné le passif de l’homme, quelques doutes ne manquent pas de s’installer : si les technologies qu’il promet, dans leur grande majorité, finissent par devenir réalité, Elon Musk n’est pas connu pour être la personne la plus fiable du monde concernant les délais annoncés. Les propriétaires de Tesla attendent toujours le Full Self Driving promis pour 2018 et toujours pas sorti, la Model 2 promise pour 2022-2023 qui n’a toujours pas donné ne serait-ce qu’un prototype, Le Robotaxi promis en 2020 mais repoussé à 2026,...
image : Tesla
Même dans les autres domaines, les retards se multiplient : la colonisation de Mars annoncée comme lancée vers 2025 n’est toujours pas présente, la fiabilisation de Starship tellement en retard que même la NASA a perdu patience et a rouvert un appel d’offre, ou encore le robot Optimus, devant arriver vers 2022-2023, mais qui n’a toujours pas été produit ni finalisé.
Le Roadster lui-même était à l’origine annoncé comme sortant en 2020. Nous sommes maintenant cinq pleines années plus tard, et à part la promesse d’une démonstration à la fin de l’année, rien n’a été aperçu depuis les quelques départs-arrêtés de 2017. Alors, fantasque rêveur, bonimenteur ? Ou véritable date de présentation officielle à venir, suivie d’une commercialisation ? La réponse dans quelques mois.
Les prix fondent sur les produits Apple : l’iPhone 16e à 499 €, l’iPad Air M3 à 479 €, l’iPhone Air à 825 €, l’iPad Pro dès 959 € et même l’Apple Watch Ultra 2 à 639 €. Autant de bons plans qui tombent avant le Black Friday, pour ceux qui veulent préparer les fêtes sans se ruiner.
L’iPad A16 à 319 €
Avec l’iPad, c’est toujours la même histoire : on est prêt à investir, mais les poches sont souvent un peu moins profondes que lorsqu’il s’agit d’un iPhone.
Si vous cherchez une tablette d’entrée de gamme, foncez sur l’iPad A16, actuellement proposé à 319 €. Pour l’obtenir à ce tarif, pensez à saisir le code BLACK20 lors de la commande. À ce prix, on peut difficilement faire mieux — c’est probablement le plus bas jamais constaté pour ce modèle.
iPad (A16). Image iGeneratio
Il s’agit d’un modèle d’import, ce qui ne pose aucun problème technique. En revanche, l’achat se faisant hors du circuit officiel, la deuxième année de garantie européenne ne s’appliquera sans doute pas1.
L’iPad A16 n’a pas les ambitions des versions Pro, mais il reste un excellent compromis pour la navigation web, la bureautique légère ou les loisirs numériques. Idéal pour les plus jeunes (avec modération), dans le salon pour un usage partagé, ou pour un proche qui veut simplement accéder au web sans se ruiner. Vous l’aurez compris : à 319 €, c’est une excellente affaire.
iPad Air M3 à 479 €
Si vous souhaitez profiter pleinement d’iPadOS 26, mieux vaut vous tourner vers un iPad Air M3 ou un iPad Pro M5.
Le choix entre les deux ? Soyons honnêtes : il se joue souvent sur le prix. Certes, l’iPad Pro est plus puissant, mais la vraie différence se situe ailleurs — dans la qualité de l’écran, le rendu audio et les finitions. Son système à quatre haut-parleurs offre notamment un son bien supérieur à celui de l’Air.
Si vous souhaitez rester raisonnable, vous pouvez faire l’acquisition d’un iPad Air M3 pour 479,99 €. Mais le meilleur rapport qualité/prix se trouve sans doute du côté de la version 256 Go, éligible au code BLACK20, soit 568 €. Un tarif tout simplement imbattable, quand on sait que le même modèle est vendu 799 € sur l’Apple Store.
L’iPhone 16e à 499 €
Son succès ne se dément pas. Depuis qu’il est passé sous la barre des 500 €, l’iPhone 16e se vend comme des petits pains. Il faut dire qu’il a presque tout pour lui : un processeur puissant, une excellente autonomie et la plupart des ingrédients qui font le succès des smartphones d’Apple. Son appareil photo, sans être exceptionnel, s’en tire très bien.
On regrettera seulement l’absence de MagSafe et de la puce U1, pratique pour la géolocalisation précise des AirTags. Des manques qui resteront sans doute anecdotiques pour la majorité des utilisateurs.
Image : iGeneration
Quoi qu’il en soit, aujourd’hui encore, avec le code BLACK20, vous pouvez obtenir ce modèle pour 499 €. Il s’agit d’un modèle d’import, mais c’est bien le même modèle (A3409) que celui vendu en France. Comptez une à deux semaines pour la livraison.
L’iPad Pro M4 13” Wi-Fi + Cellular en promo à 1079 €
De son côté, alors qu’elle vient juste de sortir, la nouvelle tablette d’Apple à destination des pros commence déjà à faire l’objet de réductions importantes. En 11”, vous pouvez obtenir le modèle Wi-Fi + Cellular 256 Go pour seulement 959 €. Là encore, pensez à utiliser le code coupon BLACK20.
Image : iGeneration
Autre bon plan à signaler : cet iPad Pro 13” équipé d’une puce M4. Vous ne verrez probablement aucune différence notable à l’usage face au M5… sauf sur le prix. Avec le code BLACK20, il tombe à 1 079 €, contre 1 469 € pour le modèle M5 équivalent.
L’iPhone Air sous les 825 €
Si l’iPhone 16e a vraiment décollé une fois passé sous la barre des 600 €, où se situe le seuil psychologique pour le nouveau smartphone d’Apple ? Difficile à dire, mais à 825 €, l’iPhone Air pourrait bien être la meilleure affaire du moment.
L’iPhone Air n’est sans doute pas parfait, mais les tests à son égard étaient positifs. Son tarif avait été critiqué à sa sortie, mais avec cette promotion qui fait gagner 400 €, la donne change complètement. De quoi, littéralement, financer l’achat d’un iPad !
A quand la promo cinq pour le prix d’un ?
Pour l’obtenir à ce prix, pensez simplement à saisir le code coupon BLACK20 lors de la commande. Comme pour les autres modèles évoqués, il s’agit d’un modèle d’import, mais pas d’inquiétude : il est parfaitement fonctionnel en France.
Dans ce cas précis, on parle de la version américaine de l’iPhone Air (A3260). Aucun souci à prévoir : ce modèle gère plus de bandes réseau que la version européenne, ce qui en fera même un meilleur compagnon de voyage si vous mettez le cap sur l’Amérique.
Plusieurs vendeurs proposent l’iPhone Air à 825 €, mais on vous recommande de passer par le vendeur OnePro. Si l’iPhone Air vous laisse de marbre, pour 20 € de plus, vous pouvez obtenir un iPhone 17 !
L’Apple Watch Ultra 2 à 639 €
Désireux de passer à l’Ultra sans vous ruiner ? Rakuten vous propose l’Apple Watch Ultra 2 à 639 €. Ce modèle est livré avec le bracelet Ocean noir, un choix à la fois robuste et élégant.
À titre de comparaison, l’Apple Watch Ultra 3 est actuellement vendue 899 €. C’est un excellent modèle, certes, mais la différence de 260 € ne se justifie pas forcément pour la plupart des usages. À vous de voir si la nouveauté vaut le supplément.
image accroche : Apple
Précisons que le vendeur affirme le contraire. On n’est pas à l’abri d’une bonne surprise ! ↩︎
Vous avez dû le voir, même si vous n'avez pas de PC : Microsoft a arrêté de prendre en charge Windows 10, son système d'exploitation phare sorti il y a une dizaine d'années. Dans notre nouvelle série pour les abonnés du Club iGen, nous allons nous intéresser à la manière dont la société de Redmond a géré la fin de Windows 10 et nous n'allons pas divulgâcher le sujet en vous disant qu'elle a raté son coup.
Image Microsoft
Nous vous expliquerons aussi dans les différentes parties comment essayer de contourner la fin de Windows 10 et de continuer à l'utiliser tout en conservant un peu de sécurité, comment passer à Windows 11 même si votre PC n'est pas compatible officiellement, et nous vous présenterons quelques alternatives, comme les distributions GNU/Linux. Dans la troisième partie, nous nous intéresserons à un cas bien précis : la migration vers un Mac. Et dans la dernière, nous vous donnerons quelques conseils pour bien gérer la transition vers les Mac et macOS. Bonne lecture.
Après un mois de septembre comme toujours chargé en nouveautés Apple et donc en articles dans nos colonnes, le mois d’octobre n’a pas été de tout repos non plus. En plus de toute notre production « gratuite » sur MacGeneration, iGeneration et WatchGeneration, les abonnés au Club iGen ont eu droit à de nombreux articles exclusifs.
Un économiseur d'écran qui donne envie d'aller cueillir des champignons.
Tests
Après avoir disséqué les iPhone 17 et Air en septembre, nous avons publié nos avis détaillés sur les nouvelles Apple Watch début octobre.
À côté des incontournables produits de Cupertino, nous avons aussi testé des accessoires en tout genre, du plus utile (la MX Master 4) au plus insolite (le combiné téléphonique USB-C), et du plus réussi (les boutons physiques pour les Tesla) au plus raté (le Fire TV sans Android) :
Si beaucoup de matériel est passé entre nos mains, c’est aussi le cas du logiciel. Nous avons décortiqué quelques applications, notamment le navigateur d’OpenAI, et partagé une astuce pour gagner du temps sur iOS — astuce qui a donné beaucoup de fil à retordre à Nicolas, tant Raccourcis est perclus de bugs.
Nous sommes aussi allé interroger les constructeurs automobiles, les opérateurs télécoms et des sources dans ces deux industries pour démêler deux problèmes : pourquoi ne peut-on toujours pas regarder de vidéos sur CarPlay ? Et la certification Wi-Fi 7 est-elle anodine ou importante ?
Enfin, les membres du Club iGen ont pu plonger dans notre série consacrée aux NAS, des appareils toujours d’actualité malgré l’essor du cloud et des services de streaming. Ces boîtiers permettent d’avoir véritablement la main sur ses données personnelles et, à la longue, de faire des économies.