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Apple vire 50 employés pour une fraude touchant son programme de dons

Depuis 2018 Apple a mis en place, sous l’égide de Tim Cook, un programme de charité spécifique aux employés américains appelé « Matching Grants » : si une personne travaillant chez Apple fait un don à une œuvre caritative, la société en fait autant, et même double le montant. Ainsi, pour 10 dollars donnés par cet employé, Apple verse 20 dollars à l’ONG, et ceci jusqu’à 10 000 dollars de dons déclarés par an.

Le bâtiment de l’IRSà Washington D.C.. Image du domaine public.

Malheureusement, comme beaucoup de bonnes idées, il semble que celle proposée par Cupertino ait été déviée de son but premier par quelques forbans : selon 9to5Mac, une cinquantaine d’employés ont ainsi été pris la main dans le sac et virés par Apple, et six d’entre ont même été poursuivis en justice par l’entreprise.

La façon de procéder était simple en apparence, même si les détails ne sont pas donnés : certaines associations peu regardantes auraient permis à des employés de faire un don « temporaire », incitant ainsi Apple à verser le double de celui-ci. Une fois le don d’Apple effectué, l’association rendait discrètement à l’employé la somme qu’il avait versé. Le reçu restant en possession du coquin, celui-ci peut de son côté faire défiscaliser son « don » auprès des autorités américaines.

Les retombées pourraient être très lourdes pour les employés ayant participé à ce petit manège : non seulement Apple est en droit de les poursuivre pour extorsion, mais ils tombent aussi sous le coup de fraude à l’impôt, chose que l’IRS (Internal Revenue Service, le service des impôts US) laisse généralement très peu impunie.

Un groupe russe annonce avoir piraté un grossiste de données de géolocalisation

Vous avez frémi à l’annonce des fuites de données de SFR ? Serré les fesses à celle du piratage de Free ? Êtes passé au vélo lors du hack de Volkswagen ? Tremblez maintenant : ce n’est pas une marque bien particulière dont les données ont été siphonnées par un groupe de pirates russes... mais carrément un grossiste de la donnée en ligne, spécialisé dans la géolocalisation !

Hackers claim to have breached Gravy Analytics, a US location data broker selling to government agencies.

They shared 3 samples on a Russian forum, exposing millions of location points across the US, Russia, and Europe.

It's OSINT time! pic.twitter.com/sVlEEgEFcF

— Baptiste Robert (@fs0c131y) January 8, 2025

Comme le relatent nos confrères de Numérama, Grave Analytics et sa filiale Venntel sont spécialisés dans l’agrégation de données, et plus particulièrement la géolocalisation. Pour ce faire, ils prennent des sources chez les grandes entreprises comme Apple ou certains opérateurs téléphoniques, chez des centaines de développeurs d'apps, mais aussi chez les institutions publiques, pour agréger le tout et revendre le fichier à qui en fait la demande.

Le souci, c’est que non seulement ces données sont particulièrement intrusives, concernant la localisation des clients, mais même si celles-ci ne sont pas directement liées à un nom et un prénom, il reste très facile de faire des liens entre les différentes données récupérées.

Un « hacker éthique » s’est ainsi amusé à faire quelques croisements, et est facilement arrivé à des points correspondant à des points sensibles comme la Maison Blanche, le Kremlin, ou encore diverses bases militaires. De quoi savoir qui y va et avec quelques autres infos avoir le nom et le prénom de la personne, ainsi que ses habitudes.

Additional notes:

The total size of the sample is 1.4 GB, containing 30,449,271 locations

Based on the hacker’s claim of having 10 TB of history, the entire dataset would likely contain approximately 217,494,792,857 locations.

— Baptiste Robert (@fs0c131y) January 8, 2025

L’échantillon divulgué fait 1,4 Go, et contient déjà 30,5 millions de points, provenant de 3455 apps différentes. Les hackers russes annoncent avoir en stock un fichier de 10 To, ce qui pourrait facilement correspondre à plus de 217 milliards de localisations précises.

Si les malandrins annoncent demander (bien entendu) de l’argent, ils signalent aussi que si leurs exigences ne sont pas satisfaites, ils lâcheront le fichier complet dans la nature.

Que faire à notre niveau ? Concernant cette fuite, pas grand chose. Mais concernant la suite, un petit rappel ne fait pas de mal : autant on ne peut pas contrôler totalement ce que le fabricant de l’appareil ou de l’OS fait avec nos données, autant limiter leur fuite à travers des apps tierces est facile : qu’une app de cartographie demande votre position paraît logique, mais si un jeu en ligne la demande, réfléchir à deux fois avant de l’autoriser paraît évident...

iOS 18.3 Public Beta passe en version 2

Trois semaines après la première bêta publique pour iOS/iPadOS 18.3, voici arriver la seconde mouture, le lendemain de la version pour les développeurs. Comme d’habitude, elle vient accompagnée de macOS 15.3, tvOS 18.3 et watchOS 11.3.

Le même texte pour la version développeur comme publique, comme quoi les deux travaillent ensemble maintenant. Capture MacGeneration.

La grosse mise à jour pour les européens et les non-anglophones reste iOS/iPadOS 18.4, qui devrait arriver au mois d’avril. En attendant, comptez sur nous pour vous faire part des nouveautés qui apparaîtront dans ces nouvelles bêtas.

BMW présente son propre OS X destiné à ses futures voitures électriques

BMW prépare une plateforme dédiée à l’électrique, pour une génération de voitures construites sur une toute nouvelle base, tant matérielle que logicielle. Ces véhicules « Neue Klasse » proposeront non seulement un design extérieur différent de la production actuelle du constructeur bavarois, ils bénéficieront aussi d’une meilleure intégration de la batterie et des moteurs ainsi que d’un tout nouvel intérieur. C’est ce dernier que BMW a présenté lors du CES 2025, avec au passage un aperçu du nouveau système d’exploitation qui animera le tableau de bord et gérera les différents composants.

Le tableau de bord des voitures Neue Klasse se construit autour d’un grand écran central associé à un nouveau volant, et surtout une longue barre fine placée juste sous le pare-brise où seront projetées des informations. Image BMW.

L’entreprise le nomme « BMW Operating System X », un nom qui nous a évoqué un autre système d’exploitation qui se termine par un X. Il ne faut certainement pas y voir un hommage voulu au Mac OS X d’Apple sorti il y a plus de 25 ans (même si, comme chez Apple, il s’agit du chiffre romain X, qui succède à BMW OS 9 actuellement utilisé), c’est avant tout une manière pour le constructeur allemand de renforcer l’importance du logiciel dans ses voitures, devenues comme toutes les autres des ordinateurs sur roue. Le système est dérivé de la version open-source d’Android (mais pas sur Android Automotive) et il s’intègre mieux au matériel et permettra d’en faire plus à travers des mises à jour.

Puisque l’on est en 2025, ce système intégrera plusieurs fonctions liées aux IA et notamment un nouvel assistant vocal basé sur les grands modèles de langage, c’est un incontournable de nos jours. BMW annonce aussi qu’il pourra suggérer des fonctionnalités aux conducteurs, par exemple d’activer le mode sport sur une petite route sinueuse où cela s’y prête, avec l’intelligence aussi de ne pas répéter ces suggestions si elles ne sont pas appréciées. Surtout, c’est BMW OS X qui va gérer le nouveau tableau de bord et toutes ses fonctionnalités.

Le constructeur n’a pas hésité à bousculer et épurer son tableau de bord avec cette génération Neue Klasse. Les seuls boutons restants sont rassemblés sur et derrière le volant, qui est d’ailleurs nouveau lui aussi. Encore que parler de boutons est peut-être exagéré, il s’agit plutôt de surfaces tactiles, mais avec un retour haptique et du relief pour les distinguer. L’éclairage sera dynamique pour mettre en avant les boutons utiles à tout moment et il faudra attendre les retours sur la route pour savoir ce que tout cela vaut réellement sur le plan ergonomique.

Le conducteur pourra personnaliser les écrans pour choisir les informations affichées et même ajouter une image de son chien (ou chat) sur l’écran central : enfin ! Image BMW.

À côté du volant, on trouvera un écran central dont la taille variera selon les modèles et dont le format bizarre sur les photos presse du jour ne sera peut-être pas conservé. Il affiche l’essentiel des informations sur le trajet en cours ou encore la musique écoutée et permettra de contrôler toutes les fonctionnalités du véhicule. BMW a retiré l’écran qui correspondait aux compteurs juste derrière le volant, remplacé par le « Panoramic Vision », une barre qui fait toute la largeur du véhicule sur laquelle sont projetées diverses informations.

Comme cette barre est en hauteur, elle sera visible sans avoir à quitter trop les yeux de la route, si bien que BMW parle d’affichage tête haute. Au niveau du volant, elle affichera la vitesse actuelle et quelques informations supplémentaires indispensables à la conduite, comme l’autonomie restante. Pour le reste, le conducteur comme le passager pourront placer des widgets où ils le souhaitent, allégeant au passage l’écran central qui pourra ainsi afficher le reste des informations en plus grand. Une idée intéressante, déjà expérimentée par Citroën notamment, que l’on devrait retrouver dans tous les modèles de la gamme.

La barre panoramique, que BMW nomme aussi affichage tête haute, peut être doublée d’un véritable affichage tête haute projeté sur le pare-brise. Ce dernier s’adapte en fonction de qui est affiché en dessous. Image BMW.

Ce tableau de bord nouvelle classe sera utilisé dans une première voiture dont la présentation est prévue avant la fin d’année. BMW compte sortir six véhicules dans la gamme « Neue Klasse » et commencera par une berline équivalente à la Série 3 ainsi que l’inévitable SUV dérivé. Si le communiqué de presse du jour ne le mentionne pas, le BMW Operating System X devrait bien cohabiter avec CarPlay et Android Auto, comme c’est le cas aujourd’hui dans toutes les voitures du constructeur.

TSMC fabrique désormais des puces d’Apple Watch en Arizona

Malgré une période de construction compliquée, l’usine de TSMC en Arizona est bien en marche et a visiblement trouvé son rythme de croisière. En septembre dernier, on apprenait que le site produisait la puce A16 embarquée dans les iPhone 14 Pro et les iPhone 15. Le journaliste spécialisé Tim Culpan affirme aujourd’hui que le site produit le processeur d’un autre appareil Apple : celui de l’Apple Watch.

Plus précisément, il s’agirait de la puce S9 que l’on trouve sous le capot de l’Ultra 2 et de la Series 9. Ce n’est pas la plus avancée, la Series 10 embarquant une puce S10 qui n’est apparemment pas plus puissante que sa grande sœur. Tim Culpan indique que ses sources ne sont pas 100 % claires, mais dit être sûr « à 99 % » qu’il s’agit du SiP S9. Cela ferait sens : l’usine TSMC en Arizona dispose du matériel pour des gravures avec le procédé N4, soit du 4 nm utilisé… pour la puce A16. Les puces d’Apple Watch se basant sur celles des iPhone, c’est donc une hypothèse plutôt logique.

Bien que l’Apple Watch Series 9 ne soit plus vendue par Apple, la puce S9 se trouve encore dans l’Apple Watch Ultra 2. Mis à part ces deux puces Apple, le site produirait également des processeurs Ryzen 9000 sortis l’année dernière. L’usine d’Arizona sortirait actuellement 10 000 galettes de semi-conducteurs (wafers) par mois, avec pour objectif de faire grimper ce chiffre à 24 000. Difficile de dire à combien de puces cela équivaut, mais les chiffres ne sont pas décevants et TSMC n’est visiblement pas en retard sur son planning.

Samsung : les Galaxy S25 annoncés le 22 janvier, un abonnement lié à l’IA bientôt en Corée

Samsung va présenter cette année ses nouveaux smartphones phares un peu plus tôt que d’habitude. Le fabricant coréen a annoncé la tenue d’une conférence Unpacked le mercredi 22 janvier. Ce qui ne change pas, c’est que le programme a déjà été largement éventé — WinFuture a publié par exemple des images officielles des nouveaux produits.

On s’attend donc à découvrir un Galaxy S25, un Galaxy S25+ et un Galaxy S25 Ultra assez semblables à leurs prédécesseurs, mais aussi un tout nouveau S25 Slim. Ce dernier, qui se distinguerait par sa finesse, pourrait toutefois être lancé un peu après les autres. Tous ces modèles devraient gérer le standard de recharge sans fil Qi2, mais cette compatibilité pourrait passer par une coque aimantée.

Les Galaxy S25 attendus. Image publiée par WinFuture.

Par ailleurs, Samsung s’apprête à lancer sur ses smartphones en Corée du Sud un abonnement lié à des fonctionnalités d’intelligence artificielle, rapporte ETNews. L’AI Subscription Club est en fait un abonnement qui couvre plusieurs types d’appareils, comme les téléviseurs, les frigos, les machines à laver, les robots domestiques… enfin tout ce qui contient de l’« IA », si ce terme a encore un sens.

Cet abonnement ne sera pas obligatoire pour utiliser les fonctionnalités Galaxy AI sur les smartphones. Néanmoins, Samsung a d’ores et déjà prévenu que ses fonctions d’IA sur téléphone seront gratuites « a minima jusqu'à fin 2025 », ce qui ouvre la voie à une offre payante au-delà.

De son côté, si Google inclut sans frais de nombreuses fonctions d’IA dans ses Pixel, le géant du web propose depuis l’année dernière un forfait AI Premium qui ajoute des avantages. Quant aux iPhone, Tim Cook a assuré qu’il n’était pas dans ses plans de faire payer Apple Intelligence.

Le HDMI 2.2 monte en 12K à 120 Hz… avec de nouveaux câbles mais pas une nouvelle prise

C'était prévu, la norme HDMI 2.2 a été présentée au CES de Las Vegas, la grande messe des technologies. Cette nouvelle version de la norme est une évolution des précédentes, et elle garde donc une parfaite rétrocompatibilité avec les prises HDMI existantes. Les deux principaux changements viennent d'une bande passante doublée et d'une validation des câbles bien plus stricte.

96 Gb/s. Image HDMI Forum.

La bande passante du HDMI 2.2 passe à 96 Gb/s, contre 48 Gb/s en HDMI 2.1 (et parfois un peu moins, selon les téléviseurs). Cette bande passante accrue permet d'atteindre un taux de rafraîchissement de 480 Hz en 4K (120 Hz actuellement), 240 Hz en 8K et 120 Hz en 12K1.

Une partie des définitions prises en charge. Image HDMI Forum.

Notons, au-delà des nouvelles possibilités, l'ajout d'une technologie appelée LIP (Latency Indication Protocol) qui devrait permettre de réduire la latence dans les installations compliquées, qui comprennent des récepteurs, amplificateurs et autres barres de son. Actuellement, la synchronisation nécessite parfois quelques réglages au niveau de la source pour éviter les décalages audio, que le LIP devrait supprimer (ou automatiser).

Quelques possibilités du LIP. Image HDMI Forum.

Des câbles certifiés

Vous avez peut-être déjà lu qu'en HDMI, les câbles onéreux ne servent à rien, ce qui n'est pas totalement faux… mais pas totalement vrai. Pour afficher en 1080p à 60 Hz, n'importe quel câble devrait fonctionner, même s'il est de mauvaise qualité. Mais avec les définitions élevées, la bande passante nécessaire devient un problème et les câbles de mauvaise qualité ou qui n'ont pas été pensés pour les valeurs extrêmes peuvent poser des soucis. Pour régler ce problème, le choix a été fait de créer une certification des câbles, avec des tests poussés pour vérifier s'ils sont bien capables de prendre en charge une bande passante de 48 Gb/s (pour les câbles « Ultra High Speed HDMI ») ou 96 Gb/s (pour les câbles « Ultra96 HDMI »).

Comment reconnaître un vrai câble HDMI certifié. Image HDMI Forum (qui a oublié d'ajoute « Le câble est très cher »).

Les fabricants vont donc devoir certifier les câbles pour pouvoir apposer le fameux sésame (le logo officiel) et un code QR permettra aux acheteurs de vérifier si le câble est certifié. Les grandes marques devraient suivre cette certification, pour éviter qu'un client achète un câble d'entrée de gamme pour son nouvel ensemble haut de gamme. Cette certification n'empêchera évidemment pas de nombreux fabricants d'annoncer une compatibilité avec toutes les nouveautés de la norme, mais limitera peut-être les plaintes des clients.

Les membres du HDMI Forum devraient avoir accès aux spécifications durant le premier semestre 2025, et les premiers périphériques compatibles ne sont donc pas attendus avant la fin de l'année (et plus probablement en 2026).


  1. Compte tenu de la bande passante, le passage en 16K à 60 Hz est aussi a priori possible, une des images fournies par le HDMI Forum le montre.  ↩︎

Les premiers réfrigérateurs Matter vont arriver sur le marché, mais pas pour l'app Maison d'Apple

Le CES 2025 a été l’occasion pour Bosch de présenter un nouveau réfrigérateur connecté, jusque-là c’est désormais banal et ne mériterait aucun article, mais surtout compatible Matter. Quand il sortira dans le courant du printemps, il sera le premier réfrigérateur à adopter le nouveau standard de domotique, comme le relève The Verge. Le modèle en particulier semble destiné au marché américain, mais on devrait avoir un équivalent en Europe, ainsi qu’un modèle similaire sous la marque Siemens, puisque c’est la même entreprise derrière.

Image Bosch/iGeneration.

Matter gère les réfrigérateurs, congélateurs et autres caves à vin connectés depuis la version 1.2 sortie à l’automne 2023. Comme souvent, il faut faire preuve de patience pour que les évolutions du standard se concrétisent, en l’occurrence un an et demi environ pour qu’un premier électroménager exploite cette possibilité. Concrètement, les riches propriétaires de ce réfrigérateur pourront obtenir des alertes si la porte reste ouverte trop longtemps ou encore ajuster la consigne depuis n’importe quel écosystème de domotique qui gère Matter… à condition qu’il repose bien au moins sur la version 1.2.

C’est là que les problèmes commencent. La plupart des gros acteurs sont en retard, si bien que Bosch prévoit une compatibilité limitée au lancement à deux écosystèmes seulement : SmartThings de Samsung (qui compte certainement ajouter ses propres réfrigérateurs connectés à Matter) et Home Assistant, qui est toujours le meilleur élève en matière de suivi du standard. Le fabricant allemand a ajouté à nos confrères que la compatibilité avec Alexa d’Amazon est prévue d’ici la fin de l’année. En revanche, pas d’informations à ce stade ni pour Google, ni pour Apple qui est particulièrement à la traine.

Maison est restée bloquée sur les premières versions de Matter et elle accroit son retard au fil du temps. On en est à la version 1.4 et il manque toutes les nouveautés des mises à jour précédentes, dont celles de Matter 1.2. Ce qui veut dire que les réfrigérateurs de Bosch et Siemens resteront en dehors de l’app d’Apple jusqu’à nouvel ordre, sans que l’on sache quand (voire si ) la Pomme adoptera les nouveautés.

Si elle veut remplacer HomeKit par Matter, Apple ne montre pas le bon exemple

Si elle veut remplacer HomeKit par Matter, Apple ne montre pas le bon exemple

Si vous habitez aux États-Unis, que vous utilisez Home Assistant ou SmartThings et que vous avez besoin d’un nouveau réfrigérateur, le « French Door Bottom Mount Refrigerator 36" Stainless steel (with anti-fingerprint) » (ça c’est du nom) sera vendu prochainement à un prix de vente conseillé de 2 500 $, oui tout de même.

Meta se prépare à l’arrivée de Trump et annonce des changements dans la modération de ses plateformes

À deux semaines de l’investiture de Donald Trump, le monde de la tech se prépare. Tim Cook et Sam Altman ont déjà prévu une donation personnelle à 7 chiffres au futur président, tout comme Jeff Bezos qui le fera par le biais d’Amazon. Elon Musk est de son côté le mieux placé étant donné qu’il a été élu à la tête d’un nouveau « département de l’efficacité gouvernementale ». Nombreux sont les CEO a avoir fait le déplacement en Floride pour dîner avec les Trump à Mar-a-Lago, comme Sundar Pichai ou Mark Zuckerberg.

Mark Zuckerberg dans sa vidéo. Image Meta

Le patron de Meta justement, avait tout intérêt à se refaire une image auprès du futur président. La relation entre les deux hommes n’est pas au beau fixe : Meta a supprimé les comptes de Trump suite à l’attaque du Capitole, ce dernier a menacé de mettre Zuckerberg en prison, envisagé d’attaquer Facebook en justice… Le CEO de Meta veut se faire bien voir et vient d’annoncer de gros changements à venir sur ses plateformes. Facebook et Instagram vont abandonner les opérations de fact-checking aux États-Unis au profit d’un système de notes de communauté, un système inspiré du Twitter d’Elon Musk.

Dans une vidéo partagée sur ses différentes plateformes, Mark Zuckerberg indique vouloir « revenir aux bases » pour ce qui est de la liberté d’expression sur Facebook et Instagram. « Les gouvernements et les médias traditionnels ont fait pression pour censurer de plus en plus. Il s'agit en grande partie d'une question politique », affirme-t-il. Selon lui, les fact-checkers « ont été trop orientés politiquement et ont détruit plus de confiance qu'ils n'en ont créée, en particulier aux États-Unis ».

Le CEO explique vouloir supprimer différentes restrictions jugées trop éloignées du discours dominant sur des sujets comme l’immigration ou le genre. « Ce qui a commencé comme un mouvement visant à être plus inclusif a de plus en plus été utilisé pour fermer les opinions et exclure les personnes ayant des idées différentes, et c'est allé trop loin ». Le règlement sur les discours haineux de Facebook a été mis à jour dans la foulée aux États-Unis. Il autorise maintenant les utilisateurs à publier des propos injurieux sur les personnes LGBT :

Nous autorisons les allégations de maladie mentale ou d'anormalité lorsqu'elles sont fondées sur le sexe ou l'orientation sexuelle, compte tenu du discours politique et religieux sur le transgendérisme et l'homosexualité et de l'utilisation courante et non sérieuse de mots tels que « bizarre » […] Nous autorisons les contenus qui plaident en faveur de limitations fondées sur le sexe pour les emplois dans l'armée, les forces de l'ordre et l'enseignement.

Les équipes de modération de Meta vont déménager de la Californie démocrate au Texas républicain afin d’éviter ce que Mark Zuckerberg présente comme un « biais ». Dana White, ami de Trump et président d’une organisation de MMA (combat libre), va rejoindre le conseil d’administration de Meta. Le timing n’est évidemment pas anodin, Zuckerberg déclarant d’ailleurs que les récentes élections ont « donné l'impression d'un point de bascule culturel vers la priorité donnée à l'expression ». Ces appels du pied fonctionnent. « Honnêtement, je pense qu'ils ont parcouru un long chemin, Meta, Facebook », a déclaré Donald Trump lors d'une récente conférence de presse tenue après l'annonce de Meta.

Free Pro fera une annonce le 14 janvier

Free va démarrer l’année 2025 en choyant sa clientèle professionnelle. Free Pro a invité la presse à une conférence le 14 janvier. Aucun détail n’est donné, mais si les journalistes sont conviés au siège d’Iliad à Paris, c’est que l’annonce est sûrement d’importance.

Freebox Pro. Image Free Pro.

Free a lancé ses formules spécialement destinées aux entreprises en 2021. L’offre fixe consiste actuellement en un accès à internet par fibre optique (7 Gbit/s en réception et 1 Gbit/s en émission) avec une Freebox Pro (Wi-Fi 6E) à 39,99 € HT/mois pendant un an, puis 49,99 € HT/mois. Elle comprend aussi un forfait mobile Free Pro 5G avec 150 Go de data en France.

Si cette offre inclut plusieurs particularités pensées pour les entreprises (deux lignes téléphoniques fixes, réseau spécial, service client dédié…), elle est en retrait par rapport aux derniers abonnements grand public en matière de débits et de Wi-Fi. Free Pro compte 70 000 organisations clientes.

Flic présente une nouvelle version plus sophistiquée de son petit bouton qui dépasse le cadre de la domotique

Flic, créateur de mini interrupteurs très compétents, dévoile à l’occasion du CES 2025 son dernier produit. Le Flic Duo est un interrupteur malin qui propose deux fonctions en un : positionné sur le mur, il gère des éclairages connectés ; pris en main, il devient une télécommande sophistiquée pour contrôler la musique, des volets ou tout ce que vous voulez.

Le Flic Duo positionné sur son support mural. Image Flic.

Concrètement, le Flic Duo est une petite télécommande un petit peu plus grande que le Flic, mais plus fine encore (8 mm), de manière à disparaître autant que possible lorsqu’elle est posée sur la base aimantée, elle-même plaquée sur un mur. Un bouton est alors disponible, comme sur le Flic de base, pour contrôler des appareils connectés comme vous le souhaitez. En prenant le périphérique en mains, il peut alors changer de rôle automatiquement. Son bouton peut alors contrôler un appareil et surtout, on peut réaliser pas moins de 30 commandes différentes en glissant le doigt sur une zone tactile, en le faisant tourner sur lui-même ou encore en réalisant d’autres mouvements.

L’intérêt de cette double approche est d’offrir un interrupteur de domotique simple à utiliser pour la majorité et dédié aux tâches les plus courantes, tout en proposant des fonctions « cachées » pour les besoins plus complexes. Le Flic Duo intègre un accéléromètre pour identifier les mouvements, ce qui lui donne un intérêt même hors de la domotique. Par exemple, on peut le configurer comme un détecteur de chutes destiné aux personnes âgées, ou bien un bouton d’alarme qu’un employé pourrait garder sur lui et actionner discrètement. Flic proposera plusieurs accessoires pour répondre à ces besoins, comme des coques éventuellement étanches ou encore un support avec lanière.

Le même Flic Duo utilisé en mode télécommande. Image Flic.

Côté domotique, le Flic Duo sera accessible depuis tous les environnements compatibles avec Matter. Un hub Flic est nécessaire, il se connecte aux périphériques de l’entreprise suédoise en Bluetooth et pourra transmettre les commandes à l’app Maison ou encore Home Assistant par le biais du nouveau standard. On ne sait pas encore si cela se limite au bouton présent sur le Flic Duo, ou si tous les gestes pourront ainsi être associés à Matter.

Le Flic Duo devrait sortir au cours du deuxième trimestre 2025, avec des précommandes d’ici la fin du mois. On ne connaît pas encore le prix, sachant que le bouton Flic est vendu 38 €.

La Commission européenne met sur pause les enquêtes contre Apple et les autres géants américains avant l’investiture de Trump

Dans un contexte géopolitique extrêmement tendu, Ursula von der Leyen ne veut pas froisser Donald Trump avant sa prise de fonction le 20 janvier. Selon Le Monde, la présidente de la Commission européenne a décidé de mettre sur pause les enquêtes en cours concernant Apple, Meta et X, enquêtes qui pourraient valoir à ces entreprises américaines des amendes allant jusqu’à 6 % de leur chiffre d’affaire mondial. Ursula von der Leyen aurait également choisi de ne démarrer aucune nouvelle affaire à l’encontre de ces sociétés.

Ursula von der Leyen. Image Union européenne (CC BY).

La Commission européenne a plusieurs fers au feu avec Apple actuellement : une enquête sur les nouvelles conditions commerciales mises en place par Apple vis-à-vis des développeurs en lien avec le DMA ; une enquête sur de nouvelles conditions contractuelles (Core Technology Fee) en lien avec le DMA ; une procédure sur l’interopérabilité avec les accessoires tiers dans le cadre du DMA ; une injonction de mettre un terme au géoblocage de services dans l’Union européenne ; et une amende de 1,8 milliard d’euros pour abus de position dominante sur le marché des apps de streaming de musique pour laquelle Apple a fait appel. Avant son élection, Donald Trump avait affirmé que Tim Cook lui avait passé un coup de fil pour se plaindre des litiges de la Pomme en Europe.

Redoutant que le nouveau président des États-Unis cesse de soutenir l’Ukraine face à la Russie et qu’il augmente les droits de douane sur les importations du Vieux Continent, la Commission européenne préfère faire profil bas pour le moment. « Le dispositif européen de régulation numérique, soutenu par la France en particulier, est quasi mort. Il sera d’autant plus difficile de l’appliquer que les Européens divergent sur l’attitude à avoir face à Musk », estime une source européenne auprès du journal Le Monde. Le ministre français des affaires étrangères a appelé ce matin la Commission européenne à agir contre les ingérences du puissant homme d'affaires devenu conseiller spécial de Trump.

Malgré le milliard d'Apple, l'Indonésie bloque toujours l'iPhone 16

Le gouvernement indonésien s'oppose toujours à la vente des iPhone 16 dans son pays malgré les promesses d'investissement faites par Apple. Depuis octobre, la dernière génération d'iPhone est privée du marché indonésien (qui pèse encore peu pour Apple, mais dont le potentiel est conséquent dans ce pays de presque 280 millions d'habitants).

Le site indonésien d'Apple met les iPhone 16 à l'honneur, sans pouvoir les vendre.

Le gouvernement reprochait à Apple de vendre des appareils dont moins de 40 % des composants sont fabriqués localement (dans les faits, 0% du contenu des iPhone provient d'Indonésie, Apple y a uniquement des académies pour développeurs). Apple avait fait une promesse d'investissement de 10 millions de dollars comme contrepartie. Une aumône au regard de sa trésorerie. Le gouvernement ne s'est pas laissé amadouer et a fait grimper les enchères à 100 millions puis 1 milliard de dollars. De l'argent qui doit servir au lancement, l'année prochaine, d'une usine de fabrication d'AirTags.

Indonésie : une usine d

Indonésie : une usine d'AirTags en échange de la vente de l'iPhone 16

Finalement, cet accord ne résout pas le problème initial, car les AirTags n'ont rien à voir avec les iPhone. C'est ce qu'a expliqué, à Reuters, Agus Gumiwang Kartasasmita, le ministre de l'Industrie :

Il n'y a aucun fondement pour que le ministère accorde une certification de contenu local qui donne à Apple l'autorisation de vendre l'iPhone 16, car (l'installation) n'a pas de lien direct.

En résumé, si un accord doit être trouvé, il doit inclure des pièces pour l'iPhone. Deux réunions se sont tenues entre le vice-président des affaires gouvernementales mondiales d'Apple et le ministre. Le représentant de la Pomme a déclaré qu'un « investissement novateur » avait été proposé, mais qu'il avait été recalé par le ministre.

Indonésie : Apple investit 44 millions en échange du droit de vendre l

Indonésie : Apple investit 44 millions en échange du droit de vendre l'iPhone 7

Apple Store : le crédit à 0% revient bientôt

Des offres de financement vont revenir sur l'Apple Store avec parmi elles un crédit avec un taux à 0%. C'est une habitude qui s'était perdue sur l'Apple Store : le paiement en plusieurs fois sans frais. Sauf erreur ou oubli de notre part, la dernière opération remonte à l'automne 2022.

Apple Store de Cap 3000. Image Apple.

D'après nos informations, Apple prépare une nouvelle offre de ce type, sur son site et dans ses boutiques. Ce financement sera proposé sur tous ses produits d'une valeur d'au moins 79 €. Le partenaire serait cette fois Cetelem. Précédemment il y avait eu Alma — avec qui il y aurait eu des dysfonctionnements — et Sofinco avant cela. Le taux à 0% serait de la partie, mais cela varierait en fonction du nombre de mensualités choisi et du produit acheté.

Apple Store : le paiement en plusieurs fois sans frais n

Apple Store : le paiement en plusieurs fois sans frais n'est plus disponible

On devrait en savoir plus d'ici la fin du mois. Ces offres de financement débuteraient le 28 janvier, mais Apple communiquerait sur le sujet une semaine avant.

Soldes : le vénérable MacBook Air M1 à 724 €, son prix le plus bas

À l’occasion des soldes d’hiver, le MacBook Air M1 atteint un prix jamais vu jusque-là. L’ordinateur est vendu 724 € par Cdiscount. Le prix affiché est de 749 €, mais avec le code « 25DES299 » valable jusqu’à ce soir seulement, une remise supplémentaire de 25 € est appliquée. En comparaison, son successeur coûte un peu plus de 1 000 €.

MacBook Air M1. Image MacGeneration.

Même s’il est sorti fin 2020, le MacBook Air M1 reste un très bon ordinateur portable d’appoint et même un bon ordinateur principal pour des usages basiques. Il est même compatible avec Apple Intelligence. Il faut éventuellement lui adjoindre un hub USB-C pour combler sa connectique limitée et un SSD externe pour augmenter le stockage qui n'est que de 256 Go. Les 8 Go de RAM sont le plus gros point faible dans l’optique d’une grande longévité, mais ils peuvent encore convenir aujourd’hui pour des besoins élémentaires.

Soldes : pour l’achat d’un iPhone 15, 150 € reversés sur la carte Carrefour

Carrefour fait une opération intéressante sur l’iPhone 15. D’une part, le distributeur commercialise cet iPhone avec une remise immédiate de 46 €, soit un prix de vente de 823,99 €. Mais surtout, il reverse 150 € sur sa carte de fidélité. Cette somme pourra ensuite être dépensée pour faire ses courses chez Carrefour.

iPhone 15. Image iGeneration.

L’opération est valable sur l’iPhone 15 de base (128 Go) en plusieurs couleurs : noir, bleu, rose et vert. L’enseigne fait le même type d’offre avec l’iPhone 16, mais la remise accordée sur la carte Carrefour se limite à 70 €.

L’iPhone 15 est un très bon smartphone. Il est doté d’un bel écran OLED 6,1", d’un port USB-C, d’un très bon appareil photo et d’une puissance plus que convenable. Ce qui lui manque peut-être juste, c’est une compatibilité avec Apple Intelligence.

Pixel 4a : une mise à jour surprise réduit l’autonomie du téléphone

Sorti en 2020, le Pixel 4a va recevoir une mise à jour surprise longtemps après la fin de sa prise en charge officielle. Ce téléphone d’entrée de gamme signé Google n’est plus vendu depuis 2022, tandis que les mises à jour ont été arrêtées en 2023. Étonnamment, ce correctif tombé du ciel ne bouche pas de faille de sécurité importante : il va « améliorer la stabilité des performances de la batterie ». Ce n’est pas vraiment une bonne nouvelle, Google prévenant que cela va « réduire la capacité de la batterie disponible et affecter les performances de recharge ».

Image iGeneration

Les propriétaires de Pixel 4a ont été prévenus via un mail, et Google donne quelques détails sur une nouvelle page d’assistance. On peut y lire qu’une mise à jour automatique sera déployée dans la journée, et que certains « Appareils concernés » pourront constater une diminution des performances de recharge ou « des changements dans la façon dont l'indicateur de niveau de batterie du téléphone affiche la capacité de la batterie ». Ce changement ne touche pas tous les Pixel 4a, mais uniquement certains appareils : un questionnaire permet de savoir si son smartphone est dans le lot.

Google reste assez vague sur ce qui se passe et sur les critères de sélection. Cependant, les batteries des Pixel 4a ont entre 2 et 5 ans : un bon nombre sont potentiellement bien usées et trop vieilles pour alimenter à 100 % le téléphone dans toutes les conditions (dans le froid, pendant les périodes de forte chaleur…). Google a peut-être cru bon de déployer un correctif pour s’assurer que le smartphone continue de fonctionner normalement en toutes circonstances, quitte à rogner sur l’autonomie.

L’entreprise montre donc patte blanche sur ce changement en prévenant les utilisateurs par mail en plus de leur proposer un programme de compensation. Les propriétaires de Pixel 4a peuvent demander un changement de batterie gratuit, un remboursement de 50 $ ou encore un bon d’achat de 100 $ pour un nouveau téléphone Pixel. Les personnes concernées ont un an pour se manifester.

Soldes : l’iPhone 15 Pro Max 512 Go à 1 399 €

Pour le début des soldes d’hiver, l’iPhone 15 Pro Max avec 512 Go fait l’objet d’une remise. Il est vendu 1 399 € par la Fnac et par Darty. C’est 330 € de moins que son prix de départ. Cela reste une somme très importante, mais les promotions sur les Pro de précédentes générations sont rares et cela représente aussi une économie de 330 € par rapport à l’iPhone 16 Pro Max 512 Go.

iPhone 15 Pro Max. Image iGeneration.

Le 15 Pro Max est toujours un iPhone de pointe, équipé d’un écran magnifique, d’un appareil photo très polyvalent et d’une puce très puissante compatible avec Apple Intelligence. Le 16 Pro Max a apporté principalement un écran un poil plus grand, un bouton dédié à la photo et une autonomie plus importante, mais celle du 15 Pro Max est déjà confortable. Les 330 € demandés par le dernier modèle ne sont donc pas forcément justifiés.

Re-test de l

Re-test de l'iPhone 15 Pro Max : la force tranquille

Icy Blue : Nomad lance un nouveau bracelet phosphorescent en édition limitée

L’accessoiriste Nomad propose un paquet de bracelets pour Apple Watch et s’est récemment lancé sur le créneau des modèles phosphorescents. Après un premier modèle vert à l’effet réussi, en voici désormais un second au coloris « Icy Blue ». Celui-ci a visiblement une teinte très claire en temps normal et s’illumine d’un bleu plus foncé dans le noir.

Image Nomad

Il s’agit une fois de plus d’un bracelet Sport Band, que l’on commence à bien connaître : nous avons testé la déclinaison jaune ainsi que celle pensée pour les Jeux olympiques de 2024. Le modèle est fait d’un silicone assez épais avec un système de fermeture à clou classique, mais bien fichu. Il est confortable au quotidien, bien que ce ne soit pas le plus discret. Il est compatible avec les Apple Watch Ultra comme avec les boîtiers de tailles standard ou SE.

Ce nouveau coloris est disponible dès à présent sur le site de Nomad, où il est vendu 60 € dans une seule taille. Il faudra ajouter à cela 11 € de frais de port. Les éditions limitées Nomad arrivent généralement assez rapidement chez Band Band, où la livraison standard est offerte. Vous pouvez également surveiller Amazon, chez qui on trouve encore du stock pour le modèle vert phosphorescent.

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