C’est le moment de craquer pour l’Apple Watch Ultra 2. La montre pour grands sportifs d’Apple est en ce moment à 669 € chez Rakuten, ce qui en fait une excellente affaire. Le produit est vendu par Boulanger avec la Boucle Alpine Sahara, en taille Medium ou Large. Il faudra entrer le code SINGLES30 à l’étape du paiement pour obtenir ce tarif. L’offre n’est valable que jusqu’à minuit ce soir et permet de cagnotter 30 € utilisables sur votre prochaine commande.
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L’Apple Watch Ultra 2 dispose d’un grand écran OLED toujours allumé éclairé à 3 000 nits. Elle résiste jusqu’à 100 mètres sous l’eau et embarque un profondimètre fonctionnel jusqu’à 40 m. Elle permet de suivre son sommeil, son oxygène sanguin et sa fréquence cardiaque. Elle peut détecter les apnées du sommeil, l’hypertension et permet d’utiliser Siri en local. Apple promet jusqu’à 36 heures d’autonomie, et jusqu’à 72 heures avec le mode économie d’énergie.
L’Apple Watch Ultra 2 reste une excellente montre connectée qui n’a pas grand-chose à envier à la plus récente Ultra 3. Celle-ci a gagné une communication par satellite, un GPS plus précis et une autonomie légèrement meilleure. On notera aussi l’apparition de la 5G et une recharge plus rapide, mais rien ne faisant véritablement pencher la balance ou qui vous manquera sans l’avoir essayée.
Si vous trouvez l’Apple Watch Ultra trop grosse, on notera également une ristourne intéressante sur la Series 11 chez Rakuten : elle revient à 359 € au lieu de 479 € en Apple Store, soit 25 % d’économies. Ici aussi, il faudra entrer le code SINGLES30 à l’étape du paiement pour obtenir ce tarif. Il s’agit du modèle 46 mm avec le bracelet et le boîtier noir.
Attention car le vendeur est OnePro, qui propose des montres d’import. Un de nos lecteurs en a fait l’expérience récemment, découvrant que l’app Oxygène Sanguin n’est pas disponible directement sur watchOS. Un détail pour certains qu’il reste important de noter.
Le LG UltraFine 27UP850K-W est actuellement proposé à 243 € sur Amazon, son plus bas prix constaté à ce jour. Ce moniteur se vend habituellement autour de 285 €, ce qui en fait une offre particulièrement intéressante pour quiconque souhaite acquérir un écran 4K d’entrée de gamme.
Avec sa dalle IPS de 27 pouces affichant 3 840 × 2 160 pixels, l’UltraFine peut accompagner aussi bien un MacBook qu’un Mac mini ou un Mac Studio. Ses 10 bits de couleur (1,07 milliard de teintes) et son pic de luminosité de 400 cd/m² assurent un rendu fidèle et homogène, tandis que la compatibilité HDR10 améliore la perception des contrastes et des détails dans les zones claires comme dans les zones sombres.
Pensé pour un usage quotidien comme professionnel, ce modèle intègre plusieurs fonctions de confort visuel, dont la réduction de la lumière bleue et la gestion adaptative de la luminosité. La connectique est complète, avec un port USB-C (alimentation du Mac incluse), DisplayPort 1.4, HDMI, deux ports USB 3.0 et une sortie casque. Deux haut-parleurs de 5 W offrent un son d’appoint.
L’écran peut être utilisé aussi bien en mode portrait qu’en mode paysage, un atout pour la photo, le code ou la mise en page. Bref, il ne lui manque que la webcam, mais à 243 €, on peut facilement s’en passer
Free revient sur ces promesses. Au mois de mai, l’opérateur lançait la Freebox Pop S : une offre Internet sans la télévision, mais avec un débit de 5Gb/s. Celle-ci était alors affichée à 24 € par mois, avec la promesse d’un tarif fixe pendant 5 ans. Ce dernier point n’est visiblement plus d’actualité, car le fouineur Tiino-X83 a remarqué que la mention de « prix garanti pendant 5 ans » avait tout bonnement disparu.
La petite ligne a été supprimée du site comme de la brochure tarifaire. Les changements ont été effectués le 6 novembre sans communication officielle ou explication de la part de Free. C’est pourtant un atout phare qui s’envole, les nouveaux clients ayant moins de sérénité sur le long terme que ceux s’étant abonnés le mois dernier.
Cela ne signifie pas que les tarifs vont augmenter dans l’immédiat, mais le changement a de quoi interroger. L’offre Freebox Pop S reste facturée à 24 € par mois et n’embarque qu’une Freebox milieu de gamme Wi-Fi 7. Il n’y a ni boîtier TV, ni d’accès à l’app TV Oqee. C’est un plutôt bon choix si vous voulez simplement une box : le débit descendant est de 5 Gbit/s, et le débit montant de 900 Mbit/s.
D’autres offres similaires sont proposées chez la concurrence. RED by SFR affiche une box Wi-Fi 7 avec 1 Gbit/s en descendant comme en ascendant pour 21 € par mois, sachant qu’on y trouve aussi l’accès à 35 chaînes et les appels illimités vers les fixes. On peut ajouter 2 € pour 2 Gbit/s en téléchargement : ce n’est pas encore l’offre de Free, mais ce sera peut-être suffisant pour vous.
De son côté, Bouygues propose une offre B&YOU Pure fibre à 24 € par mois avec 8 Gbit/s en descendant et 1Gbit/s en ascendant. On y trouve une box Wi-Fi 7 tri-bandes, tandis qu’un répéteur supplémentaire peut être commandé pour 4 € par mois. C’est donc très intéressant si vous n’avez pas besoin d’un décodeur TV, d’autant plus que l’offre est sans engagement.
Coros a présenté hier une quatrième version de sa montre Pace, un modèle ultra léger pensé pour les coureurs. Elle a principalement troqué son écran LCD pour de l’AMOLED et gagné des fonctionnalités vocales. L’accessoire est vendu à un tarif de 269 €.
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La PACE 4 joue la carte du minimalisme, affichant un poids de 32 g avec son bracelet nylon et un boîtier 43mm de 11,8 mm d’épaisseur. Un bon point qui permettra de facilement l’oublier au poignet. Elle conserve le design de son prédécesseur mais embarque un écran AMOLED 1,2" éclairé à 1 500 nits pour une bonne lisibilité en plein soleil et pour le mode lampe de poche. Cela reste moitié moins que les dernières Apple Watch.
La montre a gagné une couronne rotative pour naviguer dans l’interface ainsi qu’un bouton « action » pour accéder rapidement à certaines fonctionnalités. Sous le capot, le capteur de fréquence cardiaque a été repensé afin de mieux coller à l’effort réel. On retrouve sinon les capteurs attendus : altimètre, température, GPS double-fréquence… Un micro a été ajouté, servant à enregistrer des notes vocales ou à tenir son journal d’entraînement. La Vo2Max et le suivi du sommeil sont également de la partie.
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Les coureurs auront de quoi faire grâce à des plans de marathons personnalisés, des séances d’entraînement structurées, un suivi de la récupération ou encore un système d’objectifs. Coros promet 19 jours en utilisation standard quotidienne et jusqu'à 41 heures d'autonomie en mode GPS, ce qui sera suffisant pour un marathon. La montre est étanche jusqu’à 50m et dispose de 4 Go de stockage interne pour écouter de la musique. Apple Music et Spotify ne sont pas directement pris en charge.
La Coros Pace 4 est disponible sur la boutique officielle du constructeur pour 269 €. Si elle n’est pas encore proposée sur Amazon, c’est le cas de la version précédente qui ne devrait pas tarder à tomber en promo (son tarif devrait baisser à 229 €). On peut imaginer qu’elle y arrivera prochainement. Notons que le câble USB-C n’est pas inclus dans la boîte.
Apple a présenté ce matin iPhone Pocket, un accessoire tricoté en 3D que l’on peut voir comme un successeur de la chaussette iPod. Né d’une collaboration avec la marque Issey Miyake, il s’agit d’une pochette extensible enveloppant entièrement l’iPhone et laissant entrevoir l’écran quand on l’étire. Elle se porte à la main, noué à un sac, ou directement sur le corps et peut aussi accueillir de petits indispensables (AirPods, baume à lèvres, cartes…). Pourquoi Issey Miyake ? Il ne s’agit nul autre que du fabricant de cols roulés d’un certain… Steve Jobs.
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Fabriqué au Japon, ce produit en édition limitée est disponible en deux formats : une sangle courte déclinée en huit couleurs (citron, mandarine, violet, rose…) et une plus longue en trois teintes (saphirs, cannelle, noir). Les prix annoncés sont de 159,95 € pour la version courte et de 249,95 € pour la longue. La palette a été pensée pour s’accorder aux finitions des iPhone actuels, avec des combinaisons ton-sur-ton ou d’autres plus contrastées.
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« Le développement et la conception de l'iPhone Pocket se sont déroulés en étroite collaboration avec l'Apple Design Studio, qui a apporté son expertise en matière de conception et de production tout au long du processus », explique le communiqué. L’accessoire est fait d’un mélange de nylon, de polyester et de polyuréthane. Détail amusant : un manuel d’utilisation est inclus dans la boîte.
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Le Monde a eu la chance de le prendre en main en avant-première et décrit un rectangle tricoté en 3D qui peut faire penser à une écharpe. Cette espèce de longue chaussette avec un petit trou en son milieu va grossir petit à petit selon les objets glissés à l’intérieur. La texture évoque évidemment les plissés d’Issey Miyake, qui consiste à à plisser le tissu en polyester dans du papier avant de le presser à chaud pour fixer les plis.
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C’est loin d’être le premier rapprochement entre Apple et le monde de la mode. On pense évidemment aux Apple Watch Hermès, à la collaboration avec Colette pour la première montre ou à un récent défilé Jacquemus filmé entièrement à l’iPhone 16 Pro Max. Les curieux pourront commander leur iPhone Pocket à partir du 14 novembre directement sur le site d’Apple, sachant qu’il sera directement proposé dans une poignée d’Apple Store (notamment dans la boutique du Marché Saint-Germain à Paris).
Samsung met à jour son app SmartThings avec plusieurs nouveautés utiles aux utilisateurs de Galaxy comme d’iPhone. L’entreprise annonce la prise en charge des Raccourcis Siri : on peut désormais déclencher des routines SmartThings à la voix depuis un iPhone ou un HomePod (via l’app Raccourcis) pour piloter différents éléments de la maison.
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Samsung donne plusieurs exemples d’utilisations. On pourra par exemple se créer une routine matinale ajustant les lumières, allumant la cafetière et ouvrant les volets. On pourra sinon en prévoir un autre au moment de quitter la maison, éteignant les lampes et activant les caméras de surveillance. Samsung propose également une routine de retour au calme le soir, éteignant tout ce qui doit l’être dans la maison et tamisant les lumières.
Les Activités en direct venant se nicher dans la Dynamic Island ou apparaissant sur l’écran verrouillé ont été améliorées. Elles peuvent désormais montrer « jusqu'à cinq de vos appareils les plus récemment utilisés en un coup d'œil ». Cela comprend des appareils comme des purificateurs d'air, des climatiseurs, des aspirateurs robots…
Si cette intégration est intéressante, ce n’est pas tout : les nouveautés sont entièrement compatibles avec l’app SmartThings pour Apple Watch. « Les propriétaires d'Apple Watch équipés de SmartThings peuvent maintenant consulter la liste complète de leurs appareils, envoyer des commandes et exécuter des routines où qu'ils se trouvent », indique Samsung.
La plateforme SmartThings est compatible Matter depuis quelques années, tout comme l’application. À terme, Samsung voudrait que son écosystème soit compatible avec les voitures Hyundai et Tesla. SmartThings peut être téléchargée sur l’App Store.
Bonne nouvelle pour celles et ceux qui cherchent un iPhone à prix réduit : plusieurs modèles sont en promotion aujourd’hui. L’iPhone 17 s’affiche à 829,99 € avec le code SINGLE30, l’iPhone Air descend à 815 € avec le code SINGLE5 (et 41 € de cash-back à la clé), tandis que l’iPhone 16e passe à 489 € et l’iPhone 16 à 634 € grâce au code SINGLE30. Autant dire que c’est le bon moment pour craquer, quel que soit votre budget.
L’iPhone 17 en promo et en stock à 830 €
Trouver un iPhone 17 en stock n’est pas une mince affaire, mais aujourd’hui, non seulement des modèles sont disponibles, mais ils sont également en promotion. Il est ainsi possible de faire l’acquisition d’un iPhone 17 pour 829,99 €. Pour obtenir ce tarif, pensez à saisir le code SINGLE30.
Image : Apple
À titre de comparaison, le même modèle est vendu 969 € sur l’Apple Store. Le vendeur sur Rakuten précise qu’il s’agit d’un modèle européen, aucun problème de compatibilité à prévoir par conséquent.
L’iPhone 17 est la sensation de cette rentrée. Apple a beau avoir augmenté la production de son nouveau modèle, elle peine encore à répondre à la demande. Profitez-en ! Et dernier petit détail : plusieurs coloris sont disponibles.
Le prix de l’iPhone Air ne cesse de baisser : 815 €
Alors qu’Apple ne semble pas très satisfaite des ventes de l’iPhone Air, son prix continue de chuter. Il se rapproche dangereusement des 800 €, alors qu’on était déjà surpris de le voir passer sous la barre des 900 €.
Quoi qu’il en soit, avec le code SINGLE5, vous pouvez obtenir le téléphone mal-aimé d’Apple (mais aux qualités bien réelles) pour 815 €. Petite cerise sur le gâteau : si vous optez pour ce modèle, vous bénéficiez de 41 € de cash-back, à utiliser lors d’une prochaine commande.
Il s’agit d’un modèle d’importation, portant la référence A3260. Aucun souci à signaler : ce modèle prend en charge un plus grand nombre de bandes réseau que la version européenne, ce qui en fait même un compagnon de voyage idéal si vous partez en Amérique.
iPhone 16e à 489 € ou iPhone 16 à 634 € ?
Il n’y a pas que les iPhone 17 et iPhone Air dans la vie. Si vous recherchez un modèle plus abordable, deux options s’offrent à vous : l’iPhone 16e et l’iPhone 16.
Image : iGeneration
Le premier s’affiche à 489 €, en saisissant le code SINGLE30 lors de la commande. À ce prix-là, c’est un excellent appareil, capable de répondre aux besoins de la grande majorité des utilisateurs. Le modèle en vente est destiné au marché européen : aucune inquiétude à avoir, la compatibilité sera totale.
Si les capacités photo de l’iPhone 16e vous paraissent un peu justes, vous pouvez vous tourner vers l’iPhone 16. Lui aussi est compatible avec Apple Intelligence, mais surtout, il embarque deux capteurs photo. Avec le code SINGLES30, son prix tombe à 634 € ! Ce qui en fait une excellente affaire.
Longtemps, l’Apple Watch a été le leader incontesté des montres connectées. Mais sa mainmise sur ce marché commence sérieusement à vaciller. En début d’année, Apple s’était fait piquer sa place de numéro un mondial par Xiaomi. Et selon une nouvelle étude, elle cède au moins dans les esprits du terrain aux États-Unis face à Garmin. Faut-il parler d’une « fatigue Apple Watch », comme il y a eu une « fatigue iPhone » ?
Comme le note le site Gadgets & Wearables, l’Apple Watch domine largement les tendances de recherche aux États-Unis. Mais cette suprématie n’est plus aussi écrasante qu’avant. En 2020, l’intérêt hebdomadaire pour la montre d’Apple sur Google était plus de huit fois supérieur à celui pour Garmin. L’écart s’est nettement réduit depuis.
D’après les données compilées par Google Trends, le volume de recherche de Garmin ne représentait que 6 % de celui de l’Apple Watch en novembre 2020. Cinq ans plus tard, il atteint désormais près de 50 %. La courbe d’Apple baisse régulièrement, tandis que celle de Garmin grimpe lentement mais sûrement. Ce ralentissement ne signifie pas que l’Apple Watch perd en popularité. Le produit reste la référence du marché et continue d’évoluer régulièrement, notamment sur le plan de la santé, du suivi d’activité et de l’intégration logicielle. Mais les données traduisent un changement dans la dynamique d’attention : les utilisateurs s’intéressent davantage à d’autres types d’expériences, plus spécialisées ou plus indépendantes de l’écosystème Apple.
C’est là que Garmin excelle. La marque a su diversifier sa gamme, bien au-delà du sport de performance : randonnée, cyclisme, plongée, ou même usages du quotidien. Des montres souvent plus endurantes, plus polyvalentes et moins dépendantes du smartphone, qui séduisent un public en quête d’indépendance.
Alors, est-ce Apple qui se repose sur ses lauriers ou Garmin qui fait un excellent travail ? Sans doute un peu des deux. Mais une chose est sûre : Garmin est le seul acteur du marché à vraiment progresser. Fitbit et Samsung, eux, stagnent depuis plusieurs années.
Apple est incapable de régler les défauts de l’Apple Watch
L’un des soucis de l’Apple Watch, c’est l’incapacité d’Apple à faire évoluer de manière significative ses montres, que ce soit d’un point de vue logiciel ou matériel. Sur le plan matériel, les défauts demeurent d’un modèle à l’autre. Trop sensible le bouton Action de l’Apple Watch Ultra ? Deux générations plus tard, le problème demeure.
Image : WatchGeneration
Sur le plan logiciel, hormis de temps à autre des ajouts de cadran, watchOS n’évolue vraiment qu’une fois par an. Pendant ce temps, des sociétés comme Coros ou Garmin proposent plusieurs fois par an des mises à jour significatives pour leurs montres. A Cupertino, l’ampleur des mises à jour dépend des chantiers des autres systèmes d’exploitation jugés prioritaires.
Quels sont les freins à l’achat d’une Apple Watch ? À tort ou à raison, les arguments sont toujours les mêmes depuis des années : autonomie insuffisante et lien exclusif à l’iPhone… À cela, on aurait pu ajouter un modèle entrée de gamme largué par rapport à la concurrence, mais avec l’Apple Watch SE 3, Apple a largement rectifié le tir. Mais pour le reste, les défauts demeurent. Apple a failli s’ouvrir à Android avant de faire machine arrière. Et au lieu d’essayer de se mettre à niveau face à la concurrence sur le plan de l’autonomie, Apple préfère miser sur la recharge rapide.
Une division en recul depuis plus de deux ans
À la fin, le souci de l’Apple Watch, c’est d’être la cinquième roue du carrosse de Cupertino, alors que la vente de montres constitue l’activité principale d’une société comme Garmin.
Chez Apple, quand l’iPhone va, tout va… mais cette fatigue autour de l’Apple Watch s’exprime également à travers une dernière statistique. Cela fait plus de deux ans que la division « Wearables, Home and Accessories » à laquelle elle appartient, enchaine trimestre après trimestre des baisses de son chiffre d’affaires.
Le HomePod mini se fait de plus en plus rare chez les revendeurs, signe qu’un renouvellement pourrait être imminent. D’après MacRumors, plusieurs enseignes américaines ont déjà cessé d’en proposer à la vente.
Le revendeur américain B&H a marqué tous les modèles sont arrêtés et ne les propose plus à la vente. D’autres sont en rupture de stock ou en attente de réapprovisionnement.
Chez Adorama, le haut-parleur est en rupture, plusieurs coloris sont épuisés chez Target, et Walmart ne propose plus que des exemplaires via des revendeurs tiers. Staples n’a plus aucun modèle disponible en ligne, et même Verizon signale des coloris épuisés. Du côté de Best Buy, la version Minuit n’est plus livrable, mais les autres restent encore en stock.
La pénurie gagne aussi la France
En France également, la pénurie gagne du terrain. Plusieurs références sont en rupture de stock sur le site de la Fnac. Au passage, on notera également que le HomePod 2G est également en rupture de stock.
Apple, de son côté, continue de vendre toutes les couleurs sur son Apple Store en ligne, avec livraison immédiate ou retrait en magasin.
Une mise à jour dans les tuyaux ?
Ces tensions sur les stocks laissent penser qu’un nouveau HomePod mini est en approche. Selon Bloomberg, une révision du petit haut-parleur connecté d’Apple pourrait voir le jour avant la fin de l’année.
Les rumeurs évoquent un processeur de la série S plus récent et la puce réseau N1 d’Apple, déjà utilisée dans d’autres produits récents. En revanche, aucune évolution majeure du design ne serait prévue, hormis de nouvelles couleurs.
Apple ayant déjà enchaîné un événement en septembre et une salve de sorties produits en octobre, le calendrier reste incertain. Mais la baisse de disponibilité chez les revendeurs est souvent le signe avant-coureur d’une mise à jour imminente.
Vous cherchez un joli fond d’écran dynamique ? Cela tombe bien : Hector Simpson propose depuis quelques temps une série de fonds d’écran adaptés aux Mac et aux appareils iOS. L’artiste est un habitué, il avait déjà lancé une version repensée du fond d’écran de Mac OS X Tiger en 2021.
Ces fonds d’écran sont payants, le lot pour toutes les plateformes étant facturé 4 $. Il donne accès aux 8 variations pour iPhone, iPad et Mac. Chacune est déclinée en format clair, standard et sombre sur iOS, là où il y a 5 teintes sur macOS. Il est possible d’essayer la version bleue pour voir le rendu avant de passer à la caisse.
Le créateur propose une app pour macOS Tahoe, mais on peut sinon recevoir un fichiers ZIP contenant 40 fichiers au format WEBP et 24 en PNG. Les images sont toutes en 6K et avec des couleurs P3, et sont donc optimisées pour les Mac comme pour les écrans Apple (y compris le Pro Display XDR).
Les fonds d’écran sont dynamiques pour peu que vous ayez macOS Mojave ou plus récent. Ce n’est malheureusement pas possible sur iPhone, mais on peut s’en sortir avec un peu de bidouille. Nicolas avait créé un raccourci pour changer l’image de fond selon que le mode clair ou sombre soit activé :
Ce n’est pas la première création d’Hector Simpson. Il propose également une série inspirée du fond d’écran de l’iPhone 14 Pro, une autre très colorée et une troisième pensée pour l’iMac.
Mise à jour le 11 novembre à 11:45 : The Information a publié un second papier avec quelques détails. Selon le généralement bien renseigné Wayne Ma, Apple voudrait se laisser le temps de proposer un redesign plus attirant pour les clients. Une deuxième caméra serait embarquée dans cet iPhone Air 2, que certains ingénieurs espèrent pouvoir lancer au printemps 2027.
Article original : Ça sent le sapin pour l’iPhone Air. Selon The Information, Apple aurait repoussé le successeur de son téléphone ultra-fin suite aux ventes décevantes du premier modèle. Il ne sera donc pas dévoilé à l’automne prochain comme c’était initialement prévu, et aucune nouvelle date n'a été fixée. Apple aurait déjà fortement réduit la production de la première version, et s’apprêterait à l’arrêter.
L’iPhone Air. Image Apple
Le but initial était de présenter une seconde version lors du keynote de septembre prochain. Connue en interne sous le nom de code V62, cette révision devait être encore plus légère et avec une plus grosse batterie. Une chambre à vapeur était envisagée afin d’améliorer le refroidissement de l’appareil. Il faudra attendre avant de mettre la main dessus : les dirigeants d'Apple ont informé les ingénieurs et les fournisseurs qu'ils retiraient ce modèle du calendrier sans donner de nouvelle date de sortie. Une décision rare, voire sans précédent selon des anciens d'Apple.
L’iPhone Air a reçu un accueil critique mitigé. Si les testeurs ont loué son design innovant, les compromis restent nombreux. Le téléphone a la plus faible autonomie de la cuvée 2025 et n’embarque qu’un unique capteur photo. Il ne dispose que d’un seul haut-parleur et est vendu plus cher que l’iPhone 17 standard, qui n’a aucun de ces défauts.
Face au manque d’intérêt des clients, la production de l’iPhone Air actuel serait sur la fin. Foxconn n’aurait plus qu’une chaîne de production et demie dédiée à ce modèle, qu’elle aurait prévu d’arrêter d'ici la fin du mois. Luxshare, l'autre entreprise qui assemble l'appareil, a cessé toute fabrication à la fin octobre. En face, les deux géants gardent des dizaines de lignes pour des modèles plus vendus comme l'iPhone 17 Pro.
Apple n’avait dédié que 10 % de sa production à l’iPhone Air, un plan visiblement beaucoup trop optimiste. Elle se retrouverait désormais avec trop de stocks sur les bras, ce qui se traduit par de nombreuses remises chez les revendeurs. Si le futur du produit semble bien sombre, un employé estime que l’iPhone Air 2 pourrait arriver à l’automne 2027 au côté des iPhone 18 et 18e.
Apple a supprimé deux des principales applications de rencontres gay de l’App Store chinois. L'entreprise a confirmé que la démarche faisait suite à une demande directe du gouvernement auprès de Wired, qui rapporte que les apps sont toujours utilisables sur les smartphones où elles sont installées. Les deux programmes ont également disparu de plusieurs boutiques Android.
Les applications en question sont Blued et Finka, deux des plateformes de rencontres gay les plus populaires en Chine. Si l’homosexualité a été décriminalisée en Chine dans les années 90, le Parti communiste fait monter la pression depuis quelques années sur la communauté LGBTQ+. Plusieurs grandes applications de rencontres dédiées sont déjà bloquées en Chine : Grindr a par exemple été retirée de l'App Store chinois en 2022.
Blued avait 49 millions d’utilisateurs inscrits et plus de 6 millions d’usagers mensuels en 2020. La maison mère avait racheté Finka, son principal concurrent, la même année. Si ce retrait semble définitif, le sort de telles apps reste imprévisible. Blued a brusquement fermé ses inscriptions au mois de juillet sans donner de justification, avant de les réouvrir à la mi-août. L’app a une déclinaison internationale appelée HeeSay, populaire dans certains pays d’Asie du Sud et du Sud-Est (Inde, Pakistan, Philippines).
Capture d’écran de la page App Store de Blued, désormais désactivée. Image iGeneration
« Nous respectons les lois des pays dans lesquels nous opérons. Conformément à une décision de l'Administration chinoise du cyberespace, nous avons retiré ces deux applications de la boutique en ligne chinoise uniquement », a déclaré un porte-parole d'Apple dans un e-mail. La marque a ajouté que ces applications n'étaient plus disponibles dans d'autres pays depuis un certain temps. « Au début de l'année, le développeur de Finka a décidé de retirer l'application des boutiques en ligne hors de Chine, et Blued n'était disponible qu'en Chine ».
Ce n’est pas la première fois qu’Apple adapte ses valeurs pour rester sous le bon œil du Parti communiste. On sait que l’arrivée d’Apple Intelligence a été ralentie par le besoin de mettre en place une censure à la racine des modèles d’IA. Apple a supprimé tout un tas d’applications portant sur des sujets controversés, fait en sorte de cacher le drapeau taïwanais de ses systèmes et limité l’utilisation d’AirDrop avec des inconnus à 10 minutes dans la foulée des manifestations de Hong-kong.
La version bêta de tvOS 26.2 amène deux nouveautés intéressantes pour ceux qui partagent un téléviseur. La première permet de créer un profil utilisateur sans compte Apple, ce qui est encore obligatoire avec tvOS 26.1. Un utilisateur sans compte Apple ne pourra évidemment pas télécharger des applications — sauf a priori en se connectant temporairement — mais ça reste une solution pratique pour permettre à une personne d'utiliser AirPlay (par exemple) sans qu'elle puisse accéder à l'App Store de l'Apple TV. Les apps déjà installées, elles, restent visiblement accessibles.
Il est possible de créer un utilisateur sans compte Apple. Image Consomac.
Cette fonction amène aussi une seconde nouveauté intéressante : la possibilité de créer un profil pour un enfant, avec des restrictions d'accès automatisées. Actuellement, il est possible de le faire, mais en utilisant les fonctions de partage familial, avec des restrictions gérées par le compte principal d'une famille.
Avec tvOS 26.2, il est donc possible de créer un profil pour un enfant, et sans compte Apple. Les restrictions de base permettent de directement bloquer certains contenus en fonction de l'âge, comme le montrent nos confrères de Consomac.
Les restrictions pour un enfant. Image Consomac.
Une classification assez large
Pour les séries TV, Apple propose plusieurs paliers : tout public, déconseillé aux moins de 10 ans, de 12 ans, de 16 ans ou un accès à toutes les séries. Pour les films, les limites sont les mêmes, avec en plus un réglage pour les films sans classification. Les réglages dépendent des pays : les classifications européennes diffèrent de celles employées aux États-Unis, par exemple.
Les restrictions françaises. Image Consomac. Montage iGeneration.Les américaines. Image MacRumors.
Si vous avez un peu suivi le fonctionnement du Wi-Fi 7 (et 6E), vous connaissez peut-être la bande des 6 GHz. Elle permet d'améliorer les performances des réseaux Wi-Fi, car les bandes classiques — 2,4 GHz et 5 GHz — sont saturées dans certaines zones. Mais cette bande des 6 GHz est aussi convoitée par les opérateurs de téléphonie mobile, qui voient des avantages dans cette bande de fréquence. Orange et Nokia, par exemple, ont montré récemment qu'elle était intéressante pour de la 5G, et la future 6G devrait aussi en profiter.
Actuellement, la question de la bande des 6 GHz est compliquée. Aux États-Unis, la bande en question est dédiée au Wi-Fi, avec 1 200 MHz du spectre (de 5,925 à 7,125 GHz). C'est une valeur élevée, qui permet à la technologie de bien fonctionner, sans que les canaux se chevauchent. En Europe (et en France), la bande des 6 GHz est utilisable depuis fin 2021 mais avec seulement 480 MHz (de 5,945 à 6,425 GHz), ce qui est dans certains cas insuffisant. Il est par exemple impossible d'avoir deux liaisons avec des canaux de 320 MHz qui ne se chevauchent pas (quand les appareils ne sont pas bridés à 160 MHz).
La partie qui pose des soucis dans nos contrées est la partie haute, comme l'explique Next, soit celle comprise entre 6,425 et 7,125 GHz. Les 700 MHz en question attisent en effet la convoitise des opérateurs de téléphonie mobile, mais aussi de la Wi-Fi Alliance, qui gère la norme du même nom.
Cette Livebox 7 se passe de la bande des 6 GHz. Image Orange.
Le principal problème, c'est que l'attribution des fréquences ne semble pas aller vers un compromis. Pour le moment, les scénarios impliquent soit l'attribution exclusive aux réseaux Wi-Fi, soit aux réseaux de téléphonie mobile, mais pas un partage. C'est une solution qui n'a pas été envisagée car si sur le papier la bande permet une séparation assez simple, la pratique n'est pas aussi évidente. En théorie, un réseau Wi-Fi en intérieur (de faible puissance) ne devrait pas perturber un réseau cellulaire qui émet plus fort en extérieur, et le fait que la bande des 6 GHz pénètre mal les bâtiments devrait permettre de séparer les deux technologies. Dans la pratique, les utilisateurs tendent à employer le réseau cellulaire en intérieur, et donc un partage avec le Wi-Fi pourrait réduire largement les performances ou empêcher la connexion.
Une bataille rangée se prépare donc entre les opérateurs de téléphonie et les adeptes du Wi-Fi. Mais certains pays ont déjà pris une décision, comme l'Allemagne : le ministère fédéral de la Transformation numérique et de la Modernisation de l'administration veut réserver la bande à la téléphonie. De même, Orange a visiblement pris une décision depuis un moment, entre les tests de la 5G dans cette bande de fréquence et l'abandon de la bande des 6 GHz dans ses Livebox. De nombreux opérateurs européens ont d'ailleurs publié une lettre ouverte sur le site de la GSMA, qui explique que la bande des 6 GHz est cruciale pour le futur de l'Europe dans ce domaine, selon eux. Ils mettent notamment en avant le fait que la bande inférieure des 6 GHz est déjà attribuée au Wi-Fi, mais qu'elle est peu utilisée… en partie parce qu'une partie des acteurs (comme Orange) ne l'utilise pas.
La CEPT (Conférence européenne des administrations des postes et télécommunications) ne devrait pas prendre de décision avant juillet 2027 selon nos confrères, mais la bande devrait être à l'ordre du jour de la prochaine réunion du (RSPG) (Radio Spectrum Policy Group), qui va se tenir le 12 novembre.
L’année prochaine s’annonce particulière pour Apple et ses fans. L’entreprise soufflera ses cinquante bougies le 1er avril et devrait jalonner l’année de lancements inédits. Les habituelles mises à jour de Mac, d’iPhone, d’iPad et d’Apple Watch seront bien au rendez-vous, mais 2026 pourrait aussi marquer l’arrivée de produits très spéciaux.
Y aura-t-il aussi des nouveautés à la tête d'Apple, avec un John Ternus, responsable de l’ingénierie matérielle, qui semble en marche pour devenir le futur CEO ? Image Apple/MacGeneration.
Sept ans après le premier Galaxy Fold, Apple pourrait enfin dégainer un iPhone à écran pliant, un concept dont l’iPhone Air donne déjà un léger aperçu par sa finesse extrême. Le HomePod pourrait, lui, changer d’envergure avec l’intégration d’un écran. À défaut de pouvoir discuter avec Siri sans s’arracher les cheveux, on pourrait au moins piloter l’enceinte plus facilement grâce à une interface tactile.
Côté Mac, la gamme pourrait accueillir deux nouveautés majeures à ses deux extrémités. D’un côté, il y a ces rumeurs insistantes de MacBook « low-cost », une machine potentiellement autour de 700 € qui serait équipée d’une puce d’iPhone. De l’autre, un MacBook Pro entièrement repensé, qui franchirait plusieurs caps d’un seul coup : dalle OLED, écran tactile, connexion 5G et design aminci, rien que ça.
Alors, quel tout nouveau produit attendez-vous le plus ? On écarte volontairement les iPhone 18, iPad Air M4 et autres mises à jour de routine.
Dans les deux cas, il s'agit d'un SSD externe compact — 5,8 x 5,8 x 1 cm —, livré avec une housse et deux câbles (USB-C vers USB-C et USB-C vers USB-A). Amazon n'indique pas qui fabrique la mémoire ou le contrôleur (ce que, du reste, les autres fabricants ne détaillent que rarement) mais on apprend tout de même que le SSD est compatible USB 3.2 Gen 2x2. Cette norme permet un débit maximal de 20 Gb/s (environ 2 Go/s), une valeur assez élevée pour un SSD externe. Attention, les Mac, iPhone et iPad ne prennent pas en charge cette norme, et avec les appareils Apple, le SSD externe sera limité artificiellement à 10 Gb/s, soit un débit pratique de l'ordre de 1 Go/s.
Une housse et deux câbles. Image Amazon.
Dans la pratique, les deux variantes (1 To et 2 To) sont proposées avec une belle réduction, et même si Amazon ne fait pas partie du pré carré des grandes marques dans le domaine des SSD, les produits Amazon Basics offrent généralement un bon rapport qualité/prix. Pour se donner une idée, l'équivalent de ce SSD chez une marque spécialisée serait par exemple le Crucial X10. Un modèle vendu 115 € (1 To) ou 185 €.
La caméra avant de l’iPhone 20271 pourrait être invisible, ou du moins quasiment imperceptible. Selon le leaker chinois Digital Chat Station, qui a parfois de bonnes infos, Apple veut en effet intégrer ce composant sous l’écran.
Devinez où se cache la caméra avant du OnePlus 7 Pro. Image iGeneration.
Avant d’en arriver là, l’iPhone 18 Pro pourrait déjà inaugurer une Dynamic Island plus petite, même si l’appareil photo frontal resterait visible à travers un trou dans l’écran. Apple masquerait d’abord les autres éléments du système TruDepth (projecteur de points, caméra infrarouge…), avant de s’attaquer à la caméra elle-même.
L’idée d’un capteur frontal placé sous l’écran revient régulièrement dans les rumeurs depuis des années. Pour Apple, ce serait l’ultime étape vers le rêve formulé depuis l’iPhone X : un écran parfaitement uniforme, sans aucune découpe.
Elle n’est pas sous l’écran, mais derrière l’écran, dans un module rétractable ! OnePlus n’a pas gardé longtemps ce système. Image iGeneration.
D’autres fabricants ont sauté le pas il y a bien longtemps, mais avec des résultats mitigés. Samsung a caché la caméra sous l’écran interne des Galaxy Z Fold3 à Fold6, avant de faire machine arrière sur le Fold7 en raison d’une qualité d’image trop dégradée. C’est dire la difficulté de bien réussir ce type d’intégration.
La logique voudrait qu’il s’appelle iPhone 19, puisqu’il succédera à l’iPhone 18, mais Apple pourrait l’appeler iPhone 20 afin de souligner le vingtième anniversaire de son smartphone. Dans le doute, restons prudents. ↩︎
Grosse mise à jour pour Notices médicaments : l’app a été réécrite en Swift UI et adopte au passage la nouvelle interface Liquid Glass d’iOS 26. Ce programme destiné aux patients liste les notices des médicaments commercialisés en France. Il a l’avantage de pouvoir être utilisé en mode hors-ligne.
La nouvelle interface. Image iGeneration
Notices médicaments permet d’accéder à plus de 12 000 notices avec une recherche par scan, d’indication de référents ou de génériques équivalents ainsi qu’un système de signets. L’utilitaire est bien intégré à l’écosystème Apple étant donné qu’il fonctionne avec Spotlight, qu’il est optimisé pour iPad et qu’il prend en charge la synchronisation entre les appareils.
La mise à jour apporte une recherche par nom plus souple, comprenant les approximations phonétiques ou les recherches par préfixe. L’app a gagné des effets de transparence et un historique sur la page d’accueil. Il est désormais possible de faire des recherches dans les notices affichées, ce qui n’était pas le cas auparavant.
Le système de scan se base sur les codes Datamatrix. Image iGeneration
Notices médicaments est donc une chouette boîte à outils développée par le français Simon de Bernard. Elle repose sur le contenu des notices mis à disposition par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et par l'Agence européenne des médicaments (EMA). Elle est téléchargeable gratuitement, mais un abonnement à 3 € par an est nécessaire pour voir les notices complètes. L’app fonctionne sur iOS 12.4 ou plus récente.
Les professionnels pourront se tourner vers Médicaments, qui repose sur la même base avec quelques éléments en plus, comme les interactions entre plusieurs traitements. Son développeur propose également une app permettant d’identifier des champignons, facturée 10 € en achat unique et habilement nommée Champignons.
Actuellement, Apple utilise de la mémoire LPDDR5 dans les Mac et les iPhone, après avoir utilisé de la LPDDR4 (notamment avec la puce M1). La prochaine génération de mémoire, la LPDDR6, est déjà sur les rails et Samsung va montrer les premières puces au CES 2026. Comme d'habitude, cette nouvelle mémoire devrait amener un gain sur la bande passante, mais qui restera léger au départ.
Samsung annonce plus ou moins ses premières puces. Image Samsung.
La mémoire en question atteint une fréquence de 10 700 MHz en équivalent SDRAM1, ce qui est assez faible dans l'absolu. La LPDDR5X peut déjà atteindre ces valeurs chez certains constructeurs, et Apple utilise de la LPDDR5-9600 (9 600 MHz) dans le MacBook Pro M5, ce qui est assez proche. Mais comme souvent, ce n'est que le début : les premiers Mac avec de la LPDDR5, les modèles M1 Pro et Max, se contentaient de 6 400 MHz. Avec l'évolution de la mémoire, on a donc atteint en quelques années une fréquence 50 % plus élevée. Par ailleurs, les rumeurs relayées par Hardware and co indiquent que la mémoire pourrait atteindre 14 400 MHz assez rapidement.
Dans le cas d'Apple, cette mémoire devrait probablement être intégrée rapidement. Comme la société développe ses puces, elle ne doit pas attendre qu'un de ses partenaires — comme Intel à l'époque — daigne se pencher sur une nouvelle technologie. Il est probablement un peu tôt pour espérer de la LPDDR6 avec les Mac équipés des (futures) puces M5 Pro ou Max, mais il est envisageable d'en voir avec une puce M6.
Un autre changement pourrait aussi augmenter la bande passante : un passage sur une architecture 24 bits en interne, contre 16 bits avec la LPDDR5. Avec un bus de données plus large, Apple pourrait intégrer deux puces (comme sur les puces M5) mais avec un bus sur 192 bits au total, contre 128 bits actuellement. Un MacBook Pro avec une puce M6 pourrait par exemple avoir une bande passante de 256 Go/s avec de la LPDDR6-10700, contre 154 Go/s actuellement.
Il y a deux puces de LPDDR5 sur la puce M4, au centre. Image iFixit.
Enfin, le passage à la LPDDR6 serait aussi efficace sur les iPhone que les iPad, pour les mêmes raisons. Et comme toujours, les gains ne se limiteront a priori pas aux performances : la LPDDR6 devrait amener une diminution de la tension de fonctionnement, ce qui a un impact direct sur la consommation. Même si la mémoire n'est pas le composant le plus crucial dans ce domaine, il est toujours intéressant de réduire l'énergie nécessaire au fonctionnement des puces.
La norme est d'utiliser une fréquence équivalente à celle d'une mémoire SDRAM pour la comparaison. La mémoire DDR6 fonctionne à des fréquences relativement faibles, mais transmet 64 bits par cycles. ↩︎
Connaissez-vous les ordinateurs CHRP (ça se prononce chirp) ? Probablement pas : cette initiative d'IBM et Apple à la fin des années 90 a fait long feu. Elle devait permettre de créer des ordinateurs équipés d'un processeur PowerPC avec des composants et des interfaces logicielles standardisées, pour lutter contre les compatibles IBM, comme on disait encore à cette époque. Pratiquement trente ans plus tard, une version compatible de Mac OS 8 a été retrouvée.
Il faut se remettre dans le contexte de l'époque. Au début des années 90, Apple avait effectué une transition des processeurs Motorola 68K vers les puces PowerPC, portées par IBM, Apple et Motorola. En plus des Power Macintosh, différents constructeurs proposaient des ordinateurs compatibles avec Mac OS (System 7.x) et équipés d'un processeur PowerPC, les fameux clones. Ces clones étaient généralement équipés d'une carte mère directement conçue par Apple, et d'une ROM Apple, un composant physique1 qui contenait une partie du code nécessaire pour faire fonctionner Mac OS.
Le projet CHRP
Le projet CHRP (Common Hardware Reference Platform) consistait à tenter de rendre cette ROM inutile, en standardisant les ordinateurs à base de PowerPC. Un système compatible CHRP aurait dû permettre de lancer Mac OS, mais aussi NetWare et d'autres systèmes. Apple avait donc développé une version de Mac OS adaptée. Son existence n'est pas une nouveauté : des versions bêta existent depuis des années, mais les trois disques retrouvés par Mac84 sont parfaitement démarrables. Le premier est une version compatible CHRP de Mac OS 7.6. Elle est pensée pour deux ordinateurs précis, les Motorola Viper et Cobra. Ce sont des tours à base de PowerPC, a priori développée avec Apple pour la prochaine génération de clones.
Un des disques. Image Mac84.
Mais un peu avant l'arrivée des premiers ordinateurs CHRP, un certain Steve Jobs est revenu chez Apple. Dès son retour, il a décidé d'arrêter les clones, car il considérait (à raison) que les ordinateurs en question empêchaient Apple de vendre des Power Macintosh à prix d'or (et avec une belle marge). Comme les clones étaient vendus moins chers et proposaient souvent mieux que les Power Macintosh, Apple perdait une partie de ses revenus. La fin des clones a logiquement signé l'arrêt du programme CHRP, du moins du côté d'Apple.
Les deux autres disques sont des variantes de Mac OS 8, qui intègrent un mécanisme apparu plus tard dans les Mac : une ROM en RAM. Au lieu de charger la ROM depuis le matériel, cette version peut récupérer le code en question (toujours nécessaire) depuis un volume de stockage (CD, disque dur, etc.) et le charger en RAM. Une solution qui sera finalement mise en place avec l'iMac, sous le nom « New World ROM ».
Une découverte inutile en pratique
Les disques, disponibles sur Internet Archive, sont intéressants d'un point de vue historique, mais pas forcément d'un point de vue pratique. En effet, les ordinateurs compatibles CHRP sont assez rares, et comprennent quelques modèles Motorola, quelques IBM (certaines variantes des RS/6000) et une série de cartes mères sorties au début des années 2000 pour animer les versions modernes d'AmigaOS (les Efika et les Pegasos). Pour le moment, les essais montrent que ces versions CHRP de Mac OS ne démarrent pas sur les ordinateurs en question. Comme le standard n'a jamais réellement été un succès, il manque visiblement certaines parties logicielles, indispensables pour lancer Mac OS. Il n'est évidemment pas exclu que certains bidouilleurs trouvent une solution pour régler ce petit défaut, et permettent la création de « hackintosh » des années 90, mais en l'état, ces versions CHRP de Mac OS ne fonctionnent que sur des Power Macintosh.
Une carte mère CHRP, équipée d'un PowerPC G3. Mais elle ne permet pas de démarrer Mac OS 8 pour CHRP. Image MacGeneration.
Il pouvait être soudé sur la carte mère ou sur une barrette amovible. ↩︎
Il y a quelques semaines, Amazon a lancé un nouveau Fire TV Stick, le 4K Select. Ce modèle vendu 55 € fonctionne sous Vega OS, un nouveau système d'exploitation maison, basé sur un noyau GNU/Linux. Et pour mettre en avant son nouveau modèle, Amazon propose une promotion : si vous avez un vieux modèle de Fire TV Stick, vous pouvez l'acheter pour 30 € seulement.
La publicité est apparue sur l'écran d'accueil. Image iGeneration.
La promotion est réservée aux utilisateurs de vieux modèles de Fire TV Stick, qui ne sont plus vendus et surtout plus mis à jour. Amazon tente donc de faire disparaître les modèles qui ont été abandonnés. Pour accéder à la promotion, vous devrez d'ailleurs probablement démarrer le vieux modèle (c'est notre cas). La liste comprend les Fire TV Stick de 2014, 2016 (avec Alexa) et 2019. Les Fire TV Stick Lite de 2020 et 2022 sont aussi de la partie et la promotion est valable jusqu'au 16 novembre 2025.
Est-ce une bonne affaire ? Dans l'absolu, oui : le nouveau modèle est nettement plus réactif que les anciens modèles et va être mis à jour quelques années. SI vous avez l'habitude d'utiliser un Fire TV Stick pour regarder Netflix, Amazon Prime Video ou un des nombreux autres services de streaming pris en charge, vous y gagnerez réellement en confort d'utilisation. Le seul défaut à prendre en compte est le fait que Vega OS ne permet pas d'installer des applications qui ne proviennent pas du magasin en ligne d'Amazon, comme les applications d'IPTV. Mais ce n'est évidemment pas un problème pour vous : vous n'allez pas pirater du contenu payant, n'est-ce pas ?
Les grands modèles de langage ont pris une telle importance que leurs nouvelles versions font désormais l’objet de rumeurs et de fuites, comme les produits Apple. BleepingComputer affirme ainsi qu’OpenAI est en train de préparer le lancement de GPT-5.1, GPT-5.1 Reasoning et GPT-5.1 Pro. Ces nouveaux modèles seraient en cours d’intégration sur Azure, la plateforme cloud de Microsoft, signe d’une disponibilité dans les prochaines semaines.
Sam Altman présentant GPT-5 en août. Image OpenAI/MacGeneration.
Des références à GPT-5.1 ont également été repérées récemment dans le code d’OpenAI, avec une possible date de lancement fixée au 24 novembre. Que faut-il attendre de ces versions ? BleepingComputer évoque des améliorations sur les garde-fous liés à la santé ainsi qu’un gain de performances, mais ça semble plus du doigt mouillé qu’autre chose.
Lancée en plein milieu de l’été, la famille GPT-5 avait créé la polémique : des utilisateurs reprochaient notamment une perte de « personnalité », des réponses trop courtes et la disparition soudaine de GPT-4o. OpenAI avait corrigé ces problèmes dans les jours suivants et promis des déploiements plus prudents à l’avenir. On pourra bientôt vérifier si ces engagements tiennent.
Pendant ce temps, la concurrence bouge également. Anthropic a annoncé son intention d’ouvrir des bureaux à Paris et à Munich. Le créateur de Claude est déjà présent en Europe, à Londres, Dublin et Zurich. Au cours de la dernière année, il a triplé ses effectifs dans la région Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA). « La région EMEA est devenue notre région à la croissance la plus rapide, avec un chiffre d'affaires annualisé qui a été multiplié par plus de 9 au cours de l'année écoulée », souligne l’entreprise. L’ouverture de nouveaux bureaux en France et en Allemagne doit lui permettre de poursuivre cette accélération.