↩ Accueil

Vue lecture

N'installez pas iOS 26.3 en bêta si vous avez une Apple Watch chez Free : ça ne fonctionne pas

Free a enfin lancé une option pour utiliser la fonction cellulaire des Apple Watch, en parallèle d'iOS 26.2. Mais attention, cette nouveauté (gratuite, contrairement aux autres opérateurs) ne fonctionne pas avec la version bêta 26.3 d'iOS, sortie hier.

L'eSIM sur Apple Watch chez Free ? Oui, mais pas avec la bêta 1 d'iOS 26.3.
Free Mobile adopte enfin l’Apple Watch, avec une option gratuite pour ses abonnés 5G

Free Mobile adopte enfin l’Apple Watch, avec une option gratuite pour ses abonnés 5G

C'est un problème confirmé par plusieurs personnes sur les réseaux sociaux, et qui est simplement dépendant du développement chez Apple. iOS a besoin d'un fichier avec les paramètres des opérateurs (l'IPCC) et il dépend de la version du système d'exploitation depuis quelques années. Si le fichier de la version finale d'iOS 26.2 est bien compatible avec les Apple Watch chez Free, ce n'est pas le cas de celui de la première bêta d'iOS 26.3, qui a probablement été finalisée un peu avant.

La seule solution est simple : attendre. Apple devrait probablement mettre à jour ses fichiers pour la seconde bêta. Mais compte tenu de la période, elle ne devrait pas arriver avant l'année prochaine.

  •  

Crucial écoule ses stocks de SSD Externe : 1 To dès 80 €, 2 To dès 133 €, 4 To dès 240 €

RAM, SSD, stockage… Il est devenu difficile de faire de bonnes affaires, la faute à la frénésie d’achats causée par le boom des intelligences artificielles génératives.

On ignore si ces promotions sont liées au fait que Crucial va bientôt fermer rideau, mais elles sont intéressantes.

Les Crucial X10 Pro à partir de 150 €

Si vous êtes à la recherche d’un peu de stockage, on vous recommande de jeter un œil à ces SSD externes de Crucial. Il est possible de faire l’acquisition du X10 Pro 2 To pour 150 €, soit 45 € de moins que son prix public. Le modèle 4 To est proposé pour sa part à 295 €.

Les Crucial X10 Pro font partie des SSD externes haut de gamme sortis en 2023 : avec des débits annoncés jusqu’à 2 100 Mo/s en lecture et 2 000 Mo/s en écriture, ils visent ceux qui manipulent de gros fichiers au quotidien — vidéo, photo, bibliothèques de projets, sauvegardes rapides. À l’intérieur, on trouve de la mémoire 3D TLC en NVMe (bus PCIe), reliée en USB 3.2 Gen2x2 Type-C, et un chiffrement matériel AES 256 bits pour sécuriser les données sans plomber les performances. Le tout tient dans un boîtier en aluminium très compact (65 × 50 × 10 mm, 42 g) et conçu pour encaisser : IP55 (poussière/éclaboussures), résistant aux chocs, et annoncé comme hydrofuge.

Test des Crucial X9 Pro et X10 Pro, deux SSD externes compacts et rapides

Test des Crucial X9 Pro et X10 Pro, deux SSD externes compacts et rapides

Les Crucial X9 à partir de 80 €

Les Crucial X9 jouent une partition plus simple que les X10 Pro : ce sont des SSD externes compacts et faciles à emporter, pensés avant tout pour augmenter rapidement l’espace de stockage et déplacer des fichiers sans prise de tête. Ils misent sur un format discret, un boîtier conçu pour résister à la vie nomade et une connexion USB-C pour fonctionner aussi bien avec un Mac qu’avec un PC ou certains appareils mobiles. Ils offrent jusqu’à 1 050 Mo/s en lecture, et à peu près autant en écriture. En clair : une solution sobre et pratique pour des sauvegardes, des bibliothèques photo/vidéo, ou du stockage d’appoint au quotidien.

Bref, des SSD moins performants, mais des prix encore plus doux :

  •  

Renault affiche les tarifs de sa nouvelle Twingo, techniquement sous la barre des 15 000 €

Dévoilée le mois dernier, la nouvelle Twingo E-Tech sera commercialisée dans quelques semaines, même si les commandes ont débuté aujourd’hui pour les plus pressés qui avaient acheté le « Twingo R Pass » (vendu 100 €) lors de la présentation officielle. De ce fait, le véhicule s’est glissé sur le configurateur en ligne de Renault et surtout, le constructeur a dévoilé la grille de prix. Sa promesse était de vendre la voiture à moins de 20 000 € avant les aides et c’est bien le cas, puisqu’elle sera proposée à partir de 19 490 €. Grâce aux aides en France, Renault revendique même un tarif de 14 720 €, même s’il y a quelques astérisques importants à prendre en compte.

Image Renault/MacGeneration.

Pour passer sous la barre des 15 000 €, il faudra tout d’abord patienter un petit peu plus, puisque cela concerne la variante d’entrée de gamme, « Evolution », qui ne sera pas vendue avant le printemps, sans plus de précision à ce stade. Le 6 janvier 2026, c’est la version « Techno » haut de gamme qui sera proposée en commande, un modèle qui débute cette fois à 21 090 € avant déduction des aides. Le coup de pouce destiné aux véhicules particuliers sera maintenu en 2026 et Renault annonce les aides qui seront accessibles à tous ses clients, avec une variation selon leurs revenus.

Voiture électrique : des aides maintenues et même augmentées en 2026, mais les détails restent flous

Voiture électrique : des aides maintenues et même augmentées en 2026, mais les détails restent flous

Tous les clients pourront bénéficier d’une aide de 3 620 € sur les Twingo électriques, soit un prix de départ de 17 470 € sur la Techno. Les ménages les plus précaires pourront obtenir une aide plus élevée, jusqu’à 4 770 €, et repartir avec une version haut de gamme à partir de 16 320 €. Pour le modèle de base, le tarif descend même à 14 720 €, ce qui concrétise la promesse de Renault. Tous ces prix s’entendent hors options et il y en a une qui aurait dû faire partie de la dotation de série et que l’on aura tout intérêt à cocher systématiquement dans le configurateur.

En effet, toutes les Twingo E-Tech se passent de charge rapide par défaut. Renault se limite à une recharge de série à 6,6 kW, bien loin des 22 kW de l’ancienne génération, et facture en supplément l’ajout du connecteur CCS pour atteindre une puissance de 50 kW. Un choix discutable pour un véhicule électrique lancé en 2026. Même si la voiture est pensée pour un usage urbain, l’absence de charge rapide risque de devenir une contrainte réelle au cours de sa vie. Faire de longs trajets sera pratiquement impossible : si l’autonomie annoncée (260 km théorique) constitue déjà un frein, c’est surtout le temps nécessaire pour remplir la batterie de 27,5 kWh (plus de quatre heures) qui pose problème.

Image Renault.

La recharge rapide en courant continu permettra de ramener l’opération à une demi-heure environ, ce qui est raisonnable sur ce segment. Le « Pack Advanced Charge » est vendu à 500 € quelle que soit la version de base, un tarif raisonnable qui devrait être systématiquement pris en compte dans le prix de la voiture. Même Renault en a conscience, en communiquant sur un prix de départ avec l’option à 15 220 € pour les ménages précaires. On repasse au-dessus du seuil des 15 000 €, certes, mais on a un véhicule bien plus polyvalent, capable de répondre à des situations d’urgence et bien plus désirable à long terme, notamment sur le marché de l’occasion. L’option ajoute aussi un chargeur embarqué de 11 kW, ce qui permet de remplir la batterie en 2h35, ainsi que les V2G et V2L qui deviendront incontournables dans quelques années1.

Pour le prix demandé, la Twingo E-Tech d’entrée de gamme n’est pas une voiture au rabais, loin de là. Renault n’a retiré aucun écran et on peut les utiliser sur la version Evolution pour projeter son smartphone avec CarPlay et Android Auto. Si la version Techno ajoute quelques raffinements appréciables, comme la conduite à une seule pédale ou encore le système complet de Google avec Maps intégré en guise de planificateur, le modèle de base est tout à fait correct… à condition toutefois d’intégrer d’emblée les 500 € nécessaires à une configuration réellement exploitable.

Renault assume le choix de ne pas intégrer la charge rapide de série, en s’appuyant sur les usages constatés de ses clients. Cela lui permet de revendiquer un prix plancher sous les 15 000 € : un symbole, plus qu’une réalité commerciale. En pratique, peu d’acheteurs paieront ce prix et il aurait sans doute été plus cohérent de supprimer l’option et d’augmenter l’ensemble de la gamme de 500 €. En l’état, de nombreux clients risquent de ne pas anticiper cette limite et de s’en mordre les doigts.


  1. « Vehicle-to-Grid » et « Vehicle-to-Load », c’est-à-dire la possibilité d’exploiter la batterie d’une voiture pour renvoyer de l’énergie sur le réseau public ou dans un logement, ou pour alimenter des appareils. Ces technologies sont encore balbutiantes, elles devraient toutefois prendre de l’importance.  ↩︎

  •  

Apple ajoute la compatibilité Google Cast à Apple TV sous Android

Au début du mois de décembre 2025, Netflix supprimait la compatibilité Google Cast de ses applications, pour pousser l'usage de ses applications. Apple, dans le même temps, vient de l'ajouter à l'app Apple TV pour Android. Cette version longtemps attendue a été lancée en 2025, et elle permet donc d'accéder au service Apple TV d'Apple sur les appareils Android.

L'app Android permet de caster vers un appareil Google Cast. Image iGeneration.
Netflix désactive Google Cast dans la majorité des cas, la recopie vidéo est presque morte

Netflix désactive Google Cast dans la majorité des cas, la recopie vidéo est presque morte

Nous avons pu vérifier le fonctionnement avec l'app en version 2.2 et un Google Chromecast (avec Google TV) sans soucis particuliers : l'app affiche directement le Chromecast, et le transfert du smartphone au boîtier TV a été assez rapide. Rappelons que la technologie de Google n'est pas directement de la recopie : elle consiste à fournir au récepteur un lien direct vers la vidéo, qui sera lue par ce dernier.

Le chargement est en cours. Image iGeneration.

Notons tout de même que comme pour Netflix, il est plus simple de regarder directement le service directement depuis votre appareil. Apple propose l'app Apple TV sur de nombreux systèmes d'exploitation (Google TV, Tizen, les consoles, etc.) et la possibilité de caster n'est donc qu'une solution d'appoint. Mais si vous avez un vieux modèle de Chromecast ou si vous préférez lancer les contenus depuis un smartphone, c'est une nouveauté qui reste pratique.

Pluribus casté depuis un smartphone Android. Image iGeneration.

Bien évidemment, ce changement se limite à Android : sous iOS, il faut se contenter d'AirPlay.

  •  

L'activation manuelle du TRIM n'est plus réellement nécessaire sous macOS

Une petite piqûre de rappel ne fait jamais de mal, même si nous avons déjà consacré plusieurs dossiers à cette commande particulière des SSD : avec les versions modernes de macOS et le matériel actuel, l'activation de la commande TRIM manuellement n'est plus nécessaire, sauf dans un cas précis, assez rare : si vous avez un SSD SATA connecté.

Sous macOS, l'activation manuelle du TRIM n'est nécessaire qu'avec les vieux SSD SATA. Image Crucial.

La commande TRIM est une optimisation des SSD apparue à la fin des 2000, qui permet d'indiquer au contrôleur d'un SSD qu'une zone de la mémoire flash a bien été effacée, et qu'il peut donc l'employer pour sa gestion de l'usure. Sans trop entrer dans les détails, le contrôleur du SSD, par défaut, n'a absolument aucune idée de la façon dont sont organisées vos données. Il ne peut pas déterminer si les informations sont importantes ou si le système de fichiers (APFS, HFS+, etc.) a effacé les données. En effet, si vous videz la corbeille, son contenu n'est pas réellement effacé : ce sont les liens vers les données, au niveau du système de fichiers, qui le sont. Les données, elles, sont toujours bien présentes. Le but du TRIM est simple : indiquer au contrôleur que la zone est libre, sans devoir remettre physiquement les données à zéro.

Entre 2009 et 2015 environ, Apple a fait un choix un peu surprenant : seuls les SSD équipés d'un firmware Apple (soit ceux installés en usine dans les Mac) acceptaient la commande TRIM. Des applications permettant de modifier Mac OS X, comme TRIM Enabler, sont alors apparues. En 2015, avec OS X Yosemite, Apple a ajouté une ligne de commande pour forcer le TRIM dans tous les cas… mais elle est largement obsolète en 2025.

Le point sur le TRIM avec macOS en 2024, pour prendre soin de vos SSD

Le point sur le TRIM avec macOS en 2024, pour prendre soin de vos SSD

Les SSD NVMe et USB acceptent le TRIM

La commande trimforce ne sert que dans un cas précis : si vous avez un SSD SATA branché en direct. Dans les Mac, vous en trouverez dans les Mac Pro avant 2013, dans les MacBook Pro jusqu'en 2012 environ et ensuite dans quelques Mac mini et iMac. Mais dès 2013, Apple a commencé à équiper les Mac avec des SSD PCI-Express (puis PCI-Express NVMe). Sur ces derniers, quel que soit le modèle, le TRIM est actif. De même, depuis macOS Monterey, le TRIM est actif en USB si votre adaptateur ou boîtier USB l'accepte.

TRIM Enabler ne sert plus à activer le TRIM.

En l'état, en 2025, la commande d'Apple (et TRIM Enabler) n’est utile que sur de vieux Mac avec un SSD SATA qui n'est pas d'origine Apple, et dans quelques rares boîtiers Thunderbolt qui acceptent les SSD SATA, comme certains vieux modèles LaCie. Si vous avez un SSD externe ou si vous installez un SSD dans un Mac Pro, elle n'est donc pas nécessaire. De même, si vous avez un SSD SATA avec un adaptateur USB, la commande n'est pas nécessaire.

Enfin, rappelons tout de même un point : si vous avez un SSD formaté en exFAT, le TRIM ne fonctionne pas. Ce n'est pas un bridage d'Apple dans ce cas précis, mais bien un défaut du système de fichiers. Si vous voulez, prolongez la durée de vie d'un SSD externe et réduire l'usure, il faut le formater en APFS ou éventuellement en HFS+.

  •  

ChatGPT annonce le retrait du mode Voice uniquement sous macOS

ChatGPT annonce dans son app macOS le retrait à venir de la fonction « Voice », l’assistant vocal imaginé par OpenAI. Quand on l’utilise sur le Mac, un message s’affiche pour signaler qu’elle sera désactivée à partir du 15 janvier 2026. Le texte associé précise que l’entreprise travaille sur « des expériences vocales plus unifiées et améliorées au sein de nos apps », tout en renvoyant sur cette page qui ne permet pas d’en apprendre beaucoup plus.

Le message indiquant la fin à venir de ChatGPT Voice sur le Mac. Image MacGeneration.
Le message indiquant la fin à venir de ChatGPT Voice sur le Mac. Image MacGeneration.

Précisons que ce retrait ne concerne que l’app macOS, pas la fonctionnalité elle-même. Voice restera disponible sur iOS, Android et même sous Windows et sur la version web de ChatGPT, bref partout, sauf sur le Mac. Pourquoi ce retrait ? Si OpenAI ne donne pas de raison, le site Apple Ch. qui a remonté l’information fait le lien avec un message publié en octobre sur X par Stephan Casas, développeur iOS et macOS au sein de l’entreprise. Il y indique que l’équipe de développement de ChatGPT pour le Mac a été sollicitée pour créer ChatGPT Atlas, le navigateur web d’OpenAI sorti fin octobre.

J’ai passé une semaine avec ChatGPT Atlas en guise de navigateur principal

J’ai passé une semaine avec ChatGPT Atlas en guise de navigateur principal

De ce fait, le développement de ChatGPT sur le Mac a fortement ralenti, ce que les utilisateurs ont pu constater. Son interface native reste un argument fort face à ses concurrents qui reposent largement sur les technologies du web, mais il est vrai qu’elle n’évolue plus trop depuis plusieurs mois. Alors qu’OpenAI avait ajouté plusieurs ponts avec des apps, il n’y a plus eu d’ajouts depuis bien longtemps et j’ai noté quelques bugs d’interface avec les versions récentes de macOS, notamment sur la position du curseur. Bref, on sent que l’app n’a pas été une priorité pour le créateur de ChatGPT et cela se ressent fortement.

Fort heureusement, OpenAI a probablement un plan pour le Mac, qui tient en trois lettres : Sky. Cette app d’automatisation a été créée par les concepteurs de Workflow, devenue Raccourcis, avant d’être achetée par la firme de Sam Altman. L’opération a également été rendue publique en octobre dernier et on peut imaginer que l’équipe de Sky travaille aussi vite que possible sur une grosse mise à jour de ChatGPT pour macOS.

Sky, la nouvelle app des créateurs de Raccourcis, automatise tout le Mac grâce à l’intelligence artificielle

Sky, la nouvelle app des créateurs de Raccourcis, automatise tout le Mac grâce à l’intelligence artificielle

OpenAI achète Sky, l’outil d’automatisation basé sur IA des créateurs de Raccourcis

OpenAI achète Sky, l’outil d’automatisation basé sur IA des créateurs de Raccourcis

Est-ce que l’on commencera à voir les fruits de cet effort d’ici le 15 janvier 2026, c’est-à-dire avant l’arrêt de la fonctionnalité Voice ? C’est une hypothèse très intéressante et on aura (peut-être) un début de réponse d’ici un mois…

  •  

Le prix des iPad Pro M5 commence enfin à baisser

Si le prix des MacBook Pro M5 ont rapidement baissé, celui des iPad Pro M5 sont resté longtemps stable si l’on met de côté les filiales d’import.

Voici les différents modèles qui font l’objet d’une promotion :

Seuls les modèles Wi-Fi sont concernés par cette promotion. Pour toutes ces références, Amazon promet une livraison avant Noël. Si le prix est le facteur premier dans votre choix, on trouve par exemple des iPad Pro M5 11” 256 Go 899 € chez Rakuten. Il s’agit d’un modèle d’import. Quitte à se répéter, vu l’économie constatée, on ne peut que vous conseiller de prendre un contrat Apple Care.

Test des iPad Pro M5 : toujours plus forts, pas vraiment plus pros

Test des iPad Pro M5 : toujours plus forts, pas vraiment plus pros

  •  

Maison active l’ajout simultané de plusieurs accessoires Matter avec iOS 26.2 

Nous étions passés à côté dans la liste des nouveautés d’iOS 26.2 diffusée par Apple en même temps que la version finale du système. On peut ainsi lire dans cette liste que « dans l'app Maison, le jumelage d'accessoires vendus ensemble simplifie leur configuration : un seul code suffit pour ajouter facilement plusieurs accessoires ». C’est un changement intrigant, car l’ajout des accessoires dans l’app Maison se faisait jusqu’ici un par un, y compris si vous achetiez un pack de plusieurs ampoules, par exemple. C’est aussi une nouveauté très certainement venue de Matter.

Image iGeneration.

Apple ne le mentionne pas explicitement dans ses notes de version, mais c’est en effet le plus probable, puisque le standard de domotique gère cette capacité depuis quelques mois. C’est la mise à jour 1.4.1 sortie au printemps dernier qui a ajouté la fonctionnalité, pensée spécifiquement pour des produits vendus en pack. Par exemple, quatre ampoules Matter pourraient être fournies avec un seul code QR et en le scannant pour un ajout dans Maison, tous ces appareils pourraient rejoindre la domotique en même temps.

Matter 1.4.1 veut simplifier la connexion initiale des appareils

Matter 1.4.1 veut simplifier la connexion initiale des appareils

À ma connaissance, cette possibilité reste encore théorique, puisqu’aucun fabricant d’accessoire ne la prend en charge. Mais cela n’avait pas de sens de toute manière tant que les écosystèmes de domotique ne géraient pas aussi la fonctionnalité et l’ajout dans Maison est une grosse étape en ce sens. Les autres acteurs devront aussi la prendre en charge, ce qui n’est pas vraiment le cas pour le moment.

Terminons sur un rappel un petit peu triste : ce n’est pas parce qu’Apple gère cette nouveauté spécifique de Matter 1.4.1 que cela veut dire que Maison gère toutes les nouveautés du standard jusqu’à ce point. Malheureusement, la Pomme préfère l’ajout à la découpe, en piochant dans le catalogue pour ne garder que les fonctionnalités qui l’intéressent. Elle reste dans l’ensemble sur une ancienne version du standard et cet ajout ne comble qu’à peine son retard.

Si elle veut remplacer HomeKit par Matter, Apple ne montre pas le bon exemple

Si elle veut remplacer HomeKit par Matter, Apple ne montre pas le bon exemple

  •  

Une vieille bêta d’iOS 26 met au jour des dizaines de nouveautés logicielles à venir

Pour le plus grand malheur des dirigeants d’Apple, une vieille bêta d’iOS 19 (avant qu’Apple ne décide de la renommer iOS 26) circule dans la nature. Cette version n’avait évidemment pas vocation à sortir des laboratoires de Cupertino. Elle contient de nombreuses informations sur les produits à venir — que nous avons déjà détaillées dans un autre article — mais aussi une moisson d’indices sur les futures fonctionnalités et services de la marque.

Le code d

Le code d'iOS 19 révèle les produits en gestation chez Apple (Mac, iPhone...) pour 2026 et les années à venir !

Toujours à partir de cette même bêta, Macworld a fait déjà publié une liste de fonctionnalités en chantier chez Apple pour iOS 27.

Une build interne d’iOS 26 dévoile les plans d’Apple jusqu’à iOS 27

Une build interne d’iOS 26 dévoile les plans d’Apple jusqu’à iOS 27

MacRumors va un peu plus loin en listant tout ce que renferme cette vieille bêta. Parfois, le nom de certaines fonctions se laisse deviner sans effort, parfois, c’est nettement plus obscur. Quoi qu’il en soit, voilà ce qu’il en ressort.

Des produits en filigrane

Premier objet non identifié : un accessoire domotique rattaché à l’architecture J229. Le code ne dit pas clairement ce que c’est, mais il parle tout de même de briques comme sensor manager et sensing predict models, ce qui colle assez bien avec l’idée d’un produit bardé de capteurs. MacRumors évoque deux hypothèses : la caméra de sécurité dont les rumeurs se font plus insistantes depuis quelques temps ou une autre plus terre-à-terre : une base autonome pour le futur Home Hub.

L’AirTag 2 apparaît ensuite en filigrane, avec plusieurs intitulés qui pointent vers des améliorations de fond : Bluetooth, gestion de batterie faible, et progrès sur la localisation participative. Dans les chaînes remontées, on retrouve notamment AirTag2025_Phone_Finding, AirTag2025_Watch_Finding, Distribution, Battery et Switchover. Le détail amusant, c’est justement ce AirTag2025… : Apple visait vraiment une sortie en 2025. Il n’est pas trop tard, mais cela semble désormais hautement improbable.

Qu

Qu'attendre des AirTag 2, promis avant la fin de l'année ?

Les AirPods, eux, sont associés à une salve de fonctions datées printemps 2026 : ContextualReminders, ConversationBreakthroughVQA et Visual Lookup. D’autres entrées vont dans le sens d’une meilleure compréhension de l’environnement, comme Precise outdoor location understanding et Room Aware Connect Controls. On croise aussi une technologie estampillée automne 2025, Extended_Precision_Finding_Core_Tech, ainsi qu’un intitulé qui intrigue : SRAudioMixing - Mix audio with the active streaming device. Si l’on se fie au libellé brut, Apple voudrait mieux gérer le mélange audio avec l’appareil qui streame déjà.

Enfin, côté Vision Pro, une bascule de fonctionnalité mentionne Enable AUSM Enhanced Room Spatializer, avec un marquage printemps 2026. Là encore, c’est succinct, mais ça confirme qu’Apple continue d’améliorer la brique audio de son casque.

Fonctionnalités iOS 26 et iOS 27 : le grand inventaire

Le gros morceau, c’est la liste de fonctions logicielles — certaines pour iOS 26 au fil des mises à jour, d’autres qui ressemblent davantage à des chantiers iOS 27.

Le cas le plus parlant : Health+, daté printemps 2026, qui fait évidemment écho aux rumeurs d’un service santé « dopé à l’IA ». Dans le même panier, on voit passer Gumdrop (sans explication limpide) et une mention beaucoup plus lointaine, Geronimo, associée à 2030 : difficile d’y voir autre chose qu’un marqueur interne à ce stade.

Health+ : le service de santé d

Health+ : le service de santé d'Apple attendu pour 2026

Les sous-titres en direct reviennent aussi, avec une extension à davantage de langues (taguée WWDC 2026). Et, côté accessibilité, une autre chaîne apparaît : LiveCaptionsForAll — sans qu’on sache si cela désigne une version plus large, plus systématique, ou simplement un renommage interne.

Sur le front des paiements, AutoFillUI est associé à l’automne 2026 : l’idée, c’est que des apps tierces puissent accéder au remplissage automatique des cartes bancaires, là où aujourd’hui on s’en remet surtout à Apple Pay ou à la capture de carte à la volée.

Siri revient évidemment dans la liste, avec un marquage printemps 2026 et une grappe de chaînes qui donnent une idée de la direction : IntelligenceFlow, PlanOverrides, SpotlightPersonalAnswersSiri, SpotlightSearchToolLLMQueryUnderstanding et SpotlightExtSemanticSearch. Dit autrement : Apple cherche plus que jamais à relier Siri à Spotlight, avec une couche de compréhension sémantique plus ambitieuse. Mais précisons que la bêta d’où provient ces information date d’il y a près d’un an. Entre-temps, Apple a beaucoup tergiversé au sujet de Siri et a revu en grande partie ses plans.

Deux apps « modestes » gagnent aussi un peu d’épaisseur. Freeform récupérerait des dossiers au printemps 2026 (c’est pas trop tôt !). Et Journal afficherait des relances pour continuer l’écriture, via Followup prompts (printemps 2026 également).

Wallet se signale avec des notifications liées aux paiements à venir : BankConnectUpcomingPaymentNotifications et AppleCardUpcomingPaymentNotifications, taguées WWDC 2026.

Photos n’est pas en reste, avec Photos Connections et Shared Collections, cette fois calées sur l’automne 2026. Enfin, un intitulé plus étrange se glisse entre deux lignes : Dynamic Sports Tier Manager, associé au printemps 2026.

2027 : le sommeil comme chantier de fond

Plus loin, quelques entrées sont taguées WWDC 2027 et tournent autour du sommeil : sleepCloudKitManatee, sleepCloudKitSync, sleepOnIpad et sleepOnMac. Les noms parlent d’eux-mêmes : synchronisation iCloud/CloudKit et extension plus nette de ces fonctions au Mac et à l’iPad.

Accessibilité : une pluie de chaînes

Dans les entrées accessibilité, on note aussi Background Sounds avec une version 2 en chantier. Sur Mac, il est question de Full Keyboard Access VoiceOver Support for macOS, et d’une extension de la plage de tailles de police.

L’app Loupe se voit associée à des intitulés très concrets : Announce Stairs (annoncer les escaliers), Find My Item (trouver un objet) et Human Hand Pose (pose de la main / position de la main).

Live Listen récupère de nouveaux contrôles : Live Listen controls from watch, Live Mic levels on watch, et une option Rewind 30 seconds pour revenir en arrière.

Enfin, on trouve une fonction intitulée Tilt to Scroll.

Autres indices : appels, finances, Mail, Podcasts, stickers

Pour les appels, CallKit mentionne une option Push-to-Talk. Et ConversationKit glisse une chaîne au nom assez mystérieux : Experimental_CallScreening_LiveActivity.

Une section FinHealth évoque reverse lookup (recherche inversée), habitual spend (dépenses habituelles) et spending summaries (résumés de dépenses). Là aussi, c’est parlant. Cela pourrait être lié à Apple Card.

Mail mentionne CatchUpHighlightsV2, daté hiver 2025.

Podcasts, enfin, accumule les petits chantiers : activation du “Home Siri assistant” dans CarPlay, une page Connected Subscriptions Account settings page, un bouton pour traduire une transcription, et la possibilité de toucher un paragraphe traduit pour l’entendre lu à voix haute.

Et visionOS se voit attribuer un bloc “stickers”, avec une fonction de création, des “sticker effects”, et même de la création d’emoji.

Une photo datée, pas une prophétie

Dernier rappel (et c’est le plus important) : ce leak est une photographie figée. Certaines fonctions peuvent avoir changé de nom, de périmètre, ou avoir été purement abandonnées. D’autres ont peut-être déjà été repoussées. Et, évidemment, tout cela ne reflète pas l’intégralité de ce qu’Apple prépare — seulement ce que cette build a laissé traîner derrière elle.

  •  

Free Mobile adopte enfin l’Apple Watch, avec une option gratuite pour ses abonnés 5G

C'était devenu un secret de polichinelle et c'est maintenant officiel : Free Mobile adopte enfin l'Apple Watch. L'opérateur saute finalement le pas en commercialisant aujourd’hui la montre sur sa boutique et en proposant gratuitement l’option à ses abonnés ! Pas de forfait adapté, pas d’option supplémentaire, ni même de frais d’activation, il suffit d’être abonné chez Free Mobile avec un forfait 5G pour bénéficier gratuitement d’une eSIM dédiée à la montre d’Apple. La connexion se fera en 4G uniquement sur l’Apple Watch, ce qui n’est pas bien gênant à l’usage, surtout à ce prix-là.

Capture site Free Mobile, image WatchGeneration.

Si vous êtes déjà abonné Free Mobile et que vous avez une Apple Watch avec puce cellulaire, vous pouvez activer l’option dès maintenant. L’opération se fait dans l’app Watch de l’iPhone associé à la montre, le site de l’opérateur s’affichera par ce biais et après connexion avec vos identifiants Free, vous pourrez activer la SIM virtuelle indispensable au bon fonctionnement de la fonction. Vous trouverez aussi un bouton pour activer l’option depuis l’app mobile de Free et le site client dans un navigateur.

Dans tous les cas, Free indique qu’il n’est possible d’activer l’eSIM pour Apple Watch qu’une seule fois par forfait, ce qui semble assez logique. C’est la seule restriction notable, pour le reste, on a accès au réseau 4G (et uniquement 4G) de l’opérateur depuis sa montre, avec les mêmes limites de données que depuis un smartphone. Ajoutons qu’iOS 26.2 et watchOS 26.2 sont nécessaires et la fonction ne sera pas proposée si vous avez une ancienne version ou une plus moderne, puisque les premières bêtas des OS 26.3 sorties hier soir ne gèrent pas encore le profil Apple Watch de Free Mobile.

Image WatchGeneration.

D’expérience, on sait que l’Apple Watch consomme très peu de données, alors on peut dire que Free Mobile n’a pas pris un grand risque. Reste que la gratuité est une exception sur ce marché : Orange comme SFR demandent 5 € par mois en plus du forfait de base pour le droit d’utiliser le réseau cellulaire depuis sa montre. Il faut souvent aussi ajouter des frais de mise en place, en général facturés 10 €, si bien que l’offre de Free Mobile est vraiment compétitive par rapport aux autres.

Il aura donc fallu attendre six ans et demi pour qu'un nouvel opérateur français prenne en charge la montre. Pourquoi une attente si longue ? Xavier Niel avait affirmé l’année dernière qu’il n’y avait pas (ou plus) d’obstacle technologique. Le dernier point de blocage se situait dans les négociations avec Apple, qui exige que ses partenaires distribuent la montre dans l’ensemble de leurs points de vente. C’est aussi le cas sur le site, où Free a ajouté une rubrique dédiée aux montres connectées.

Capture site Free Mobile, image WatchGeneration.

Si vous cherchiez une montre, Free Mobile propose à ses abonnés une offre de remboursement sur l’achat d’une nouvelle Apple Watch. L’offre est valable jusqu’au 29 décembre et elle peut atteindre 50 € sur une Ultra 3, qui vous reviendra ainsi à 849 € au lieu de 899. Les Series 11 ont droit à 40 € de remboursement et 20 € encore pour la petite SE3. De quoi affiche un prix de base à 299 € pour ce lancement.

Orange a été le premier à gérer les Apple Watch cellulaires, et ce dès 2017, année de sortie de la Series 3, celle qui a inaugurée cette connexion. SFR l’a suivi deux ans plus tard. Maintenant que Free a rejoint le mouvement, il ne manque plus que Bouygues.

  •  

Le code d'iOS 19 révèle les produits en gestation chez Apple (Mac, iPhone...) pour 2026 et les années à venir !

C'est le cauchemar absolu de Tim Cook et le rêve de tout passionné de tech. Une brèche de sécurité rarissime vient de faire voler en éclats le culte du secret d'Apple. Tout est parti d'un simple prototype vendu sous le manteau : en analysant ses entrailles, on n'a pas seulement trouvé un nouveau logiciel, mais une véritable machine à voyager dans le temps.

Cachée dans les lignes de code d'une version primitive d'iOS 26, la feuille de route complète d'Apple pour les années à venir a été exposée. Oubliez les analystes et les rumeurs floues : le code ne ment pas. Voici ce qui nous attend.

L’origine du leak

Comment Apple a-t-elle pu laisser filer autant d'infos ? Tout part d'un prototype matériel vendu sous le manteau.

L'appareil tournait sous une version très précoce de ce qui deviendra iOS 26.

  • Le numéro de build : 23A5234w. Pour les personnes en quête de scoop, c'est de l'or. La première bêta développeur d'iOS 26 était la 23A5260n. Ce logiciel est donc antérieur à la sortie officielle des bêtas. Autrement dit, il n’était pas du tout destiné à sortir des laboratoires de Cupertino

  • La confusion "iOS 19" : À ce stade de développement, Apple appelait encore ce système "iOS 19" en interne. Il est d’ailleurs fort probable qu’elle n’était même pas dotée de Liquid Glass, à l’image de ces photos qui ont circulé la semaine dernière.

Un prototype d

Un prototype d'iPhone 16 Pro sous iOS 19, sans Liquid Glass

Toute la semaine dernière, Macworld a distillé des informations sur des produits attendus dans les prochains mois. On aurait très bien pu s’en contenter — et c’était déjà pas mal. Mais quelqu’un a ensuite transmis à MacRumors l’ensemble des fonctionnalités et des noms de code présents dans cette bêta. De quoi obtenir, d’un seul coup, un aperçu particulièrement complet de ce que prépare la marque à la pomme. Gardez toutefois un point en tête : on parle d’une photo à l’instant T, figée il y a presque un an.

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile

Une build interne d’iOS 26 dévoile les plans d’Apple jusqu’à iOS 27

Une build interne d’iOS 26 dévoile les plans d’Apple jusqu’à iOS 27

iPhone : Le "Pliant" est confirmé (et bien plus)

C’est sans doute la section la plus attendue. Le code confirme qu’Apple travaille activement sur plusieurs nouvelles références, dont le fameux « Graal ». Rappelons qu’Apple a prévu de changer son calendrier pour la sortie de ses nouveaux iPhone. Les modèles Pro et l’iPhone pliant sont attendus à la rentrée, alors que les modèles « standard » auraient droit à leur mise à jour au printemps.

iPhone Air, Pro et pliable : Apple prépare de grands bouleversements

iPhone Air, Pro et pliable : Apple prépare de grands bouleversements

  • L'iPhone Pliant (V68) : Il existe ! C'est la première fois qu'un nom de code (V68) est aussi clairement associé à un "Foldable iPhone".

  • iPhone 17e (V159) : Le nouveau modèle d'entrée/milieu de gamme est attendu pour le printemps

  • iPhone Air 2 (V62) : Attention, le code indique que ce logiciel date d'avant la décision supposée d'Apple de retarder ce modèle. Il pourrait donc être en pause.

  • La gamme iPhone 18 : Les modèles Pro (V63) et Pro Max (V64) sont déjà référencés.

Image : MacRumors

AirTags et Maison : de nombreux produits dans les tuyaux

La maison connectée devrait être l’un des grands thèmes de 2026, si l’on en croit le nombre de références en gestation chez Apple. Certains produits, d’ailleurs, comme le fameux HomePad, auraient déjà dû sortir à vrai dire si Apple n’avait pas enchaîné les déboires avec Siri.

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile

  • Le robot de table (J595) : la rumeur n’est pas entièrement nouvelle. La mention d’un robot de table a été évoquée en octobre notamment. Conçu comme une évolution directe du Home Hub, l’appareil reprendrait l’apparence du futur écran domestique, mais reposerait sur un bras motorisé capable de déplacer l’écran autour de l’utilisateur, que ce soit dans un bureau ou une cuisine. Un tel produit n’est pas attendu avant 2027.
  • Le Home Hub (que l’on a tendance à appeler HomePad) : il serait décliné en deux versions, J490 (avec une base) et J491 (une version murale). Ce produit devrait être présenté au printemps.
  • Accessoire mystère (J229) : possiblement une base autonome ou la fameuse caméra de sécurité, de plus en plus présente dans les rumeurs, et qui serait un complément idéal au Home Hub.
  • AirTag 2 (B589) : la nouvelle génération du traqueur est en route, probablement pour 2026.
  • HomePod mini 2 (B525) : on espérait ce produit pour 2025, ce sera manifestement pour 2026.

iPad : une année sans surprise

Alors que les iPad Pro sont récemment sortis, Apple travaille déjà à des successeurs de l’iPad A16 et de l’iPad Air M3. Cela tombe bien : le code d’iOS 19 contient des références relatives à ces modèles.

Une question reste sur toutes les lèvres, ou presque : quid de l’iPad mini ?

Mac : le MacBook low-cost existe bel et bien

La roadmap des Mac est gargantuesque. On y trouve des MacBook Pro M5 et M6, ainsi que le fameux MacBook « low cost ». 2026 devrait être une très belle année pour le Mac, à moins que la hausse du prix de la RAM ne vienne quelque peu gâcher la fête.

OLED, tactile, 5G : le futur MacBook Pro M6 s’annonce spectaculaire

OLED, tactile, 5G : le futur MacBook Pro M6 s’annonce spectaculaire

2026 : la feuille de route d’Apple pour le Mac (et elle est chargée)

2026 : la feuille de route d’Apple pour le Mac (et elle est chargée)

  • MacBook entrée de gamme avec A18 Pro (J700) :sans doute le Mac le plus attendu l’année prochaine.
  • MacBook Pro M5 Pro/Max - J714c, J714s, J716c, J716s (modèles 14 et 16 pouces avec variantes de puces M5 Pro et Max) : Apple a déjà sorti le MacBook Pro M5 de base. La transition devrait être bouclée au premier trimestre 2026.
  • MacBook Air M5 - J813 et J815 (formats 13 et 15 pouces) : le MacBook Air M5 ne devrait pas connaitre de changements majeurs si ce n’est l’adoption de cette nouvelle puce.
  •  Mac Studio M5 - J775c et J775d (variantes M5 Max et M5 Ultra) : cela pourrait être le one more thing de la WWDC
  • Mac mini M5 - J873g et J873s (variantes M5 et M5 Pro) : le Mac de bureau par excellence ?
  • MacBook Pro 14 pouces M6 - J804 : ce modèle ne devrait pas être doté du nouveau design en cours d’élaboration chez Apple.
  • MacBook Pro M6 Pro/Max - K114c, K114s, K116c, K116s (modèles 14 et 16 pouces avec puces M6 Pro et M6 Max) : cette gamme est attendue soit pour fin 2026, soit pour début 2027

A cela, il faut ajouter un Apple Studio Display 2 (J427 et J527). Il n’y a par contre nulle trace de Mac Pro. L’iMac n’est pas mentionné non plus !

Du code relatif aux lunettes d’Apple

Plus que jamais, il convient d’insister sur le fait que la build qui a fuité a un an d’âge. Les ambitions d’Apple en matière de VR/AR ont beaucoup évolué ces derniers mois.

Pas d

Pas d'écran, mais de l'IA : voici à quoi pourraient ressembler les premières lunettes d'Apple

  • Casque Vision Air - N100 : une version plus légère et plus abordable du Vision Pro. On ignore si ce modèle est encore une priorité chez Apple.
  • Prototype de lunettes AR - N421 (un prototype de lunettes de réalité augmentée légères, qui aurait été abandonné)
  • Lunettes AR connectées au Mac - N107 : des lunettes de réalité augmentée se connectant à un Mac, qui auraient été abandonnées). C’est sans doute ce modèle qui avait semé la confusion au premier trimestre. Gurman avait d’abord laissé entendre qu’Apple abandonnait l’idée de développer des lunettes connectées.
  • Vision Pro plus abordable - N109 : aussi désigné comme Vision Pro de deuxième génération. Est-ce le Vision Pro M5 sorti récemment ?
  • Lunettes connectées IA - N50, mais Apple les référence désormais comme N401 (concurrent des Ray-Ban Meta)
  • Apple Watch Series 12 - N237 et N238 : Wi-Fi et Cellulaire, du grand classique
  • Apple Watch Ultra 4 - N240 : avec une seule question, aura-t-on le droit à une sortie en 2026 ou en 2027 ?

Les puces en préparation

Dans ces fichiers, on trouve également des noms de code de nombreuses puces.

Puce Nom de code Utilisation probable
U3 T2034 Ultra Wideband pour les AirTags et les iPhone
M5 T6050 Déjà sur le MacBook Pro, l’iPad Pro et le Vision Pro
M6 T8152 Pour les terminaux à partie de fin 2026
A20 T8160 Pour les iPhone 18
S11 T8320 Apple Watch Series 11/12

Cette liste n’a rien de surprenant en soi. Il existe aussi plusieurs noms de code mystérieux, sans lien avec les rumeurs actuelles. Mais retenez bien ces codes : ce sont peut-être les rumeurs de demain — N110, N209, N216, J349, J190 et J226.

Notez enfin qu’il y a un versant logiciel à ces révélations. Vous pouvez retrouver toutes les fonctionnalités en gestation chez Apple dans cet article :

Une vieille bêta d’iOS 26 met au jour des dizaines de nouveautés logicielles à venir

Une vieille bêta d’iOS 26 met au jour des dizaines de nouveautés logicielles à venir

  •  

Apple Watch chez Free : la 5G ne serait pas au menu, d’après watchOS 26.2

Il n’est pas impossible que Free lève enfin le voile sur son offre Apple Watch aujourd’hui même. En attendant l'annonce officielle, une découverte non négligeable a été partagée par TiinoX83 sur les réseaux sociaux. L'analyse du fichier de configuration opérateur (IPCC) destiné à Free Mobile a permis de mettre en lumière plusieurs informations cruciales sur la connectivité de la montre connectée. Première observation : la 5G ne sera pas prise en charge.

watchOS 26.2 apporte la compatibilité avec le réseau Free Mobile

watchOS 26.2 apporte la compatibilité avec le réseau Free Mobile

La VoLTE au programme

Si l'absence de 5G peut décevoir, il faut rappeler que sa prise en charge est pour le moment limitée à une poignée de modèles sur le marché. Précisons que si Orange offre la prise en charge de la 5G sur la toquante d’Apple, ce n’est pas le cas de SFR. D’autre part, le fichier de configuration confirme cependant une prise en charge complète de la 4G, socle de la connectivité de la montre.

Les paramètres indiquent l'activation de la VoLTE (Voice over LTE), garantissant des appels de bonne qualité. Cette qualité audio est renforcée par la présence du codec EVS-WB (Enhanced Voice Services - Wideband). Concrètement, cela signifie que les abonnés profiteront d'une voix en haute définition (16 kHz) avec un débit allant jusqu’à 24,4 kb/s.

Je viens de décortiquer le carrier bundle watchOS de Free Mobile (37.1), et voilà quelques infos

✅ 4G
❌ 5G
✅ VoLTE
✅ VoWiFi (également autorisé en roaming)
✅ SMS via 4G
✅ SMS via Wi-Fi
✅ IPv6
✅ Codec EVS-WB (16 kHz, jusqu’à 24,4 kb/s)
✅ Itinérance Orange 2G/3G autorisé pic.twitter.com/z6ibWmw48l

— Tiino-X83 (@TiinoX83) December 14, 2025

VoWiFi et continuité des services

L'autre bonne nouvelle concerne la couverture en intérieur. Le profil opérateur valide la présence du VoWiFi (appels via Wi-Fi), une fonctionnalité essentielle lorsque le réseau cellulaire pénètre mal dans les bâtiments. Fait notable : cette fonction est également autorisée en roaming, ce qui laisse à penser que l’offre de Free fonctionnera à l’étranger.

Côté messagerie, la continuité est assurée : l'envoi et la réception de SMS sont configurés pour fonctionner aussi bien via le réseau 4G que via le Wi-Fi. Enfin, et c’est tout sauf une surprise concernant Free, la prise en charge de l’IPv6 est bel et bien au programme.

L’itinérance Orange : un filet de sécurité bien actif

Le fichier de configuration révèle également un point important pour la couverture : l'itinérance sur le réseau Orange 2G/3G est officiellement autorisée.

Contrairement à certaines idées reçues, cette option est loin d'être anecdotique. En effet, les modèles d’Apple Watch avec connectivité cellulaire (ceux de 2024 comme les générations précédentes) sont parfaitement compatibles avec les réseaux 3G. Cette configuration signifie donc que dans les zones où le réseau propre de Free ne passe pas, la montre devrait être capable de basculer automatiquement sur le réseau partenaire Orange. Cela assure une continuité de service vitale pour les appels et les notifications, agissant comme un véritable filet de sécurité pour l'abonné.

  •  

iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés

Troisième mise à jour “majeure” d’iOS 26, iOS 26.3 poursuit son travail d’optimisation et de correction de bogues. Cette bêta apporte bien quelques nouveautés, mais Apple semble avoir levé le pied, pour le moment, sur les retouches autour de Liquid Glass.

Attendue pour la fin janvier, cette version a tout d’une mise à jour de transition. Il n’est pas impossible qu’à Bruxelles, on la surnomme déjà “l’UE Edition” : deux des trois nouveautés mises en avant ici étaient ardemment désirées par les autorités européennes.

Les premières bêtas des OS 26.3 sont disponibles, avec le transfert simplifié entre iOS et Android

Les premières bêtas des OS 26.3 sont disponibles, avec le transfert simplifié entre iOS et Android

Un nouveau transfert vers Android, sans application à installer

Apple facilite (un peu) la vie de ceux qui veulent quitter l’iPhone pour un smartphone Android. Avec iOS 26.3, un nouvel outil de transfert permet de lancer l’opération simplement en plaçant un iPhone à côté d’un appareil Android.

Une fois les deux téléphones “connectés”, l’utilisateur peut choisir quoi récupérer : photos, messages, notes, applications, mots de passe, numéro de téléphone, et autres données du quotidien. Le plus notable, c’est que tout se fait sans passer par une app dédiée à télécharger au préalable, ce qui rend la manœuvre nettement plus directe.

Tout ne suit pas pour autant. Les données Santé, les appareils appairés en Bluetooth, ainsi que certains éléments protégés (comme les notes verrouillées) ne sont pas transférés.

À noter que Google propose déjà une fonction comparable pour faire le chemin inverse, d’Android vers l’iPhone : sur le papier, le transfert devient donc un aller-retour un peu plus équilibré entre les deux plateformes.

Les notifications peuvent être “déléguées” à une montre non-Apple…

Deuxième nouveauté, iOS 26.3 introduit un réglage baptisé Transfert des notifications. Le principe : autoriser le transfert des notifications reçues sur l’iPhone vers un objet connecté tiers, typiquement une montre sous Android (ou tout autre wearable compatible).

L’option se trouve dans Réglages, au sein de la section Notifications, via un nouvel intitulé “Transfert des notifications”. Apple précise qu’on ne peut transférer les notifications que vers un seul appareil à la fois. Autrement dit, si vous activez cette redirection vers une montre concurrente, votre Apple Watch ne pourra plus recevoir et afficher les notifications.

Ce n’est pas un hasard si la fonction est annoncée comme une réponse aux critiques et plaintes antitrust autour de l’accès privilégié de l’Apple Watch aux fonctions d’iOS. Et c’est aussi pour ça que la disponibilité est très encadrée : Notification Forwarding est réservé à l’Union européenne.

Les fonds d’écran Météo prennent leur indépendance

Dernier ajustement, plus léger mais visible : la personnalisation de l’écran verrouillé accueille une nouvelle catégorie Weather (Météo) dédiée aux fonds d’écran. Jusqu’à présent, Apple mélangeait Météo et Astronomie dans une même section : iOS 26.3 les sépare.

Apple propose désormais trois fonds d’écran Météo “préconçus”, avec des variantes de typographies pour l’heure et différents widgets météo. L’idée est clairement de montrer, d’un coup d’œil, comment ce type de fond d’écran peut être exploité sans passer dix minutes à tout régler.

Une bêta de transition

iOS 26.3 ne bouleverse pas iOS 26, et c’est assez logique : le calendrier est serré, d’autant plus en plein milieu des fêtes de fin d’année. Cette version est attendue pour la fin janvier. Le vrai morceau du premier semestre 2026 devrait plutôt être iOS 26.4, avec, en ligne de mire, l’arrivée du nouveau Siri.

  •  

À défaut de CarPlay, le groupe GM va ajouter Apple Music à ses voitures

General Motors s’est rangé aux côtés de Tesla et de Rivian, dans le camp des anti-CarPlay (et Android Auto, pas de jaloux). Le constructeur de Detroit a choisi il y a bientôt trois ans de cela de créer une expérience logicielle unique en se basant sur le système d’exploitation de Google et surtout ses propres services, fermant la porte au passage à la projection des écrans de smartphones sur ses tableaux de bords. Un choix qui a été maintes fois critiqué, mais GM s’y tient jusque-là et continue d’enrichir son offre de services directement proposés par ses soins.

Apple Music sur le millésime 2026 de la Cadillac VISTIQ. Image GM.

Le groupe annonce justement l’arrivée d’Apple Music dans certains de ses véhicules, preuve au passage que Cupertino n’est pas fâché par l’absence de CarPlay. Comme souvent dans le monde des constructeurs automobiles historiques, le déploiement ne sera pas aussi simple qu’une mise à jour distribuée à tout le parc, même si la plupart des voitures sorties avec le nouveau système basé sur Android Automotive devraient en bénéficier. Les voitures de GM ne sont plus très nombreuses sur nos routes européennes et on ne sait même pas si la nouvelle se limite à son propre pays.

Quoi qu’il en soit, les voitures électriques sorties depuis 2024, les millésimes 2025 et 2026, donc, devraient avoir droit à la nouveauté. Le groupe promet aussi son arrivée sur les futurs modèles, dont la Bolt de Chevrolet qui fera son retour l’année prochaine aux États-Unis. Dans le haut de gamme, chez Cadillac principalement, il y a même de l’audio spatial grâce au Dolby Atmos, codec justement pris en charge par Apple Music depuis 2021. La VISTIQ millésime 2026 est la première voiture du groupe à le gérer, grâce à ses 23 haut-parleurs répartis dans tout l’habitacle.

Test du lossless et du Dolby Atmos sur Apple Music

Test du lossless et du Dolby Atmos sur Apple Music

On peut saluer l’effort de GM pour ajouter des services et les prendre en charge pleinement… ou alors noter que CarPlay aurait permis de bénéficier du service d’Apple depuis le premier jour et surtout sans surcoût. Comme c’est la voiture qui se connecte aux serveurs d’Apple, la question du paiement des données transférées via la connexion cellulaire se pose. De fait, l’accès à Apple Music se fait dans le cadre de l’offre OnStar, une offre de services qui remonte au milieu des années 1990 et qui servait à l’époque de système d’appels d’urgence, de suivi en cas de véhicule volé ou encore de GPS amélioré.

La Bolt de Chevrolet sera sans doute la voiture la moins chère du groupe (moins de 30 000 $ en entrée de gamme), avec Apple Music intégré au tableau de bord. Image GM.

Trente ans plus tard, ce même OnStar regroupe tous les services connectés que GM compte bien vendre à ses clients et qui est la véritable raison de son choix d’abandonner CarPlay et Android Auto, en dépit des excuses données par ses dirigeants. Comptez au minimum 10 $ par mois pour accéder à Apple Music… avec votre propre abonnement Apple bien sûr, le tarif ne comprenant que l’accès à internet pour les services de streaming musical, pas les services eux-mêmes. Les conducteurs qui ne sont pas abonnés au service d’Apple pourront le faire depuis l’écran de la voiture, mais dans tous les cas, ce n’est pas GM qui paie.

Notons pour finir que cette intégration n’est pas une exclusivité, Tesla puis Rivian proposent tous deux exactement le même mécanisme. Un accès à Apple Music depuis l’écran de la voiture, à condition toutefois de payer le constructeur pour l’accès à internet mobile.

Apple Music se fait enfin entendre dans les Tesla

Apple Music se fait enfin entendre dans les Tesla

Rivian intègre Apple Music et l

Rivian intègre Apple Music et l'audio spatial dans ses véhicules, avec une option payante

  •  

Guide de Noël : bagues, balances, les appareils de suivi de santé les plus utiles sous iOS

Avec la fin d’année vont arriver les vœux. Et parmi eux revient très souvent un élément : la santé. Et ça tombe bien, parce que des accessoires en rapport avec la santé, il en existe pléthore de disponibles pour accompagner l’iPhone ! Petit tour de cette longue liste, histoire de choisir de quoi bien commencer l’année à mettre sous le sapin.

L’Apple Watch, grand classique de la pomme

Bien entendu, dès qu’on s’attaque à la santé liée à un produit pommé, l’un des choix les plus évidents reste l’Apple Watch. Le gros avantage, c’est qu’on est sûr de ne pas se tromper : un produit Apple sera fait pour aller comme un gant à votre iPhone (du moment que celui-ci n’est pas trop vieux, bien entendu), et avec le temps, quasiment toutes les Apple Watch proposées cette année sont devenues de bons choix.

Plus discrète que l’Ultra 3, la Series 11 est déjà très complète pour suivre vos constantes. Image MacGeneration.

Et niveau santé, dès l’Apple Watch SE c’est relativement complet : capteur de fréquence cardiaque avec mesure en continu, alertes en cas de rythme cardiaque trop élevé ou irrégulier, suivi du sommeil, mais aussi accès aux nombreux programmes de sport intégrés dans l’app Exercice, que la montre saura monitorer grâce à son accéléromètre et son altimètre intégré, ainsi qu’à la puce GPS. Pour compléter le tableau, elle saura aussi mesurer les variations de température du corps, ce qui s’avèrera bien pratique pour le suivi des cycles menstruels de ces dames. Elle est disponible en deux variantes, uniquement wi-fi (249,00 € en 40 mm et 279,00 € en 44 mm), ou wi-fi + cellulaire (299,00 € en 40 mm et 329,00 € en 44 mm).

Test de l’Apple Watch SE 3 : la montre qui a tout compris

Test de l’Apple Watch SE 3 : la montre qui a tout compris

Vous en voulez plus ? L’Apple Watch Series 11 rajoute à la liste déjà confortable l’électro-cardiogramme, et la mesure du taux d’oxygène sanguin (pour une fois que l’Europe a une fonction que les US n’ont pas sur la montre, il ne faudrait pas s’en priver !). Par rapport à la SE 3, la Series 11 propose aussi un écran légèrement plus grand et plus lumineux, en plus d’un boîtier en aminci du plus bel effet. Comme la SE 3, elle est disponible en version wi-fi uniquement (419,00 € en 42 mm ou 449,00 € en 46 mm), ou wi-fi + cellulaire (569,00 € en 42 mm ou 599,00 € en 46 mm). Cerise sur le gâteau, la version Wi-Fi + Cellular est aussi proposée en titane, au choix naturel, doré ou noir.

Test de l

Test de l'Apple Watch Series 11 : on prend la même et on recommence

Mais la plus complète de toutes, c’est bien entendu l’Apple Watch Ultra 3 : étanche à 100 mètres, elle complète les fonctions déjà présentes sur les Series 11 par un profondimètre intégré et un boîtier renforcé lui donnant cet aspect baroudeur prêt à toutes les aventures. Elle n’est disponible qu’en une seule taille et obligatoirement avec l’option cellulaire intégrée, en deux goûts au choix, titane naturel ou titane noir, pour 899 €.

Test de l’Apple Watch Ultra 3 : deux ans après, une mise à jour ultra décevante ?

Test de l’Apple Watch Ultra 3 : deux ans après, une mise à jour ultra décevante ?

Vous préférez porter une montre classique ? Alors l’anneau vous guidera tous

Il est des moments où on n’a pas envie de montre connectée, que ce soit pour des raisons esthétiques (tout le monde ne veut pas forcément avoir un écran allumé sur un bracelet, et certaines soirées ne s’y prêtent pas) ou pour des raisons de préférence (le charme d’une montre automatique...). Mais dans ce cas, comment faire pour suivre ses constantes, et ses prouesses sportives ?

C’est là que l’anneau connecté arrive. Avec ses multiples capteurs, il est tout aussi précis et utile que la montre connectée, avec deux avantages sur celle-ci : vous pouvez mettre la montre de votre choix à votre poignet (voire ne pas en mettre du tout), et l’autonomie est bien plus conséquente que la tocante d’Apple, avec une bonne semaine avant de demander à être rechargé.

Si les utilisateurs Android ont le choix le plus large, ceux sur iOS se voient amputés de la possibilité Samsung, le Galaxy Ring n’étant compatible qu’avec l’OS de Google. Ne reste alors que trois solutions vraiment sérieuses : le RingConn Gen 2 (271,00 €), l’Ultrahuman Ring Air (265,00 €), ou le Oura Ring 4 (399,00 €). Si les trois se valent niveau nombre de fonctions, Oura a l’avantage de proposer les mesures les plus fiables, et l’app la mieux intégrée à iOS. Quelque chose me dit d’ailleurs qu’on reviendra sur le sujet très bientôt...

Balance, thermomètre, tensiomètre... le festival Withings

Grand spécialiste depuis des années maintenant de la balance connectée à iOS, Withings continue de proposer toute une gamme de pèse-personnes aux fonctions diverses et variées : de la version de base Body Smart (99,00 €) donnant déjà le poids (heureusement !), la masse musculaire, la masse grasse, la masse osseuse, mais aussi le pourcentage d’eau ainsi que la fréquence cardiaque mais aussi l’IMC, elle est chapeautée par la Body Comp (199,95 €), qui rajoute des indications plus poussées comme la santé artérielle, ainsi qu’un suivi du stress cardio, grâce entre autres à la mesure de la vitesse d’onde de pouls. Ça ne vous suffit toujours pas ? Pour les plus inquiets, la Body Scan (399,95 €) est la plus affûtée : avec un ECG en 6 points et l’analyse de la composition corporelle séparée entre bras, jambes et tronc, il y a de quoi avoir tous les détails de votre corps.

Oui, il faut tenir une poignée pour le scan complet de la Body Scan. Mais ça vaut le coup ! Image Withings.

Envie de surveiller encore plus de choses ? La gamme comprend aussi le thermomètre BeamO (249,00 €) qui réunit température sans contact, moniteur ECG, oxymètre et stéthoscope (oui oui !), mais aussi le BPM Connect (125,07 €), tensiomètre connecté qui vous permettra de suivre votre tension sur l’année grâce à l’app maison.

Withings lance son BeamO, un scanner santé de poche 4-en-1

Withings lance son BeamO, un scanner santé de poche 4-en-1

Il existe encore bien d’autres appareils de santé connectés à iOS : la liste serait tellement longue qu’il faudrait y passer des jours ! Mais au moins, avec cette petite sélection, vous devriez pouvoir surveiller vos constantes au plus près pour bien commencer la nouvelle année.

  •  

Les premières bêtas des OS 26.3 sont disponibles, avec le transfert simplifié entre iOS et Android

Les mises à jour 26.2 des systèmes d’exploitation étant évacuées depuis la toute fin de la semaine dernière, place aux versions 26.3, bien entendu ! Sans trainer, Apple propose ce soir les premières bêtas d’iOS 26.3, iPadOS 26.3, macOS 26.3, tvOS 26.3, watchOS 26.3, visionOS 26.3 et même (probablement) des systèmes des HomePod. Les serveurs de Cupertino vont chauffer.

iOS 26.3 bêta 1 sur un iPhone 17 à gauche, watchOS 26.3 b1 sur une Apple Watch Series 9 à droite. Image iGeneration.
macOS 26.3 b1 sur un MacBook Pro M1. Image iGeneration.

On ne sait pas encore ce qu’il y a dans cette mise à jour, mais comptez sur nous pour le découvrir dès la fin des téléchargements et installations. Si ces premiers bêtas sont réservées aux développeurs, les utilisateurs qui souhaitent les installer devraient bientôt pouvoir le faire grâce aux bêtas publiques, peut-être dans les prochains jours. Les versions finales devraient sortir en début d’année prochaine, sans doute à la fin du mois de janvier. Pour référence, iOS 18.3 était sortie le 17 janvier 2025.

D’ici là, voici les différentes nouveautés dénichées dans les premières bêtas d’iOS 26.3.

Mise en place du transfert simplifié entre iOS et Android

On s’y attendait, puisque Google avait vendu la mèche il y a quelques jours en annonçant l’arrivée de la nouveauté : iOS 26.3 b1 contient bien le code nécessaire pour transférer plus simplement un smartphone Android vers iOS. Cette nouveauté est accessible du côté de l’iPhone depuis l’écran de transfert ou de réinitialisation de l’appareil : dans l’app Réglages, puis Général et « Transférer ou réinitialiser l’iPhone ». En bas, un nouveau bouton « Transférer vers Android » est affiché et c’est lui qui va enclencher le processus.

Le nouveau bouton pour débuter un transfert à gauche, les explications données par iOS 26.3 à droite. Image iGeneration.

L’écran suivant demande de placer l’appareil Android cible à côté de l’iPhone, pour que les deux téléphones puissent échanger et être reliés par un réseau Wi-Fi direct, exactement comme lors d’un transfert entre deux iPhone. Le texte indique que les photos, messages, notes, apps et même le numéro de téléphone basculeront d’une plateforme à l’autre. En revanche, quelques éléments ne seront pas transmis pendant la procédure :

Les données Santé, les appareils jumelés via le Bluetooth et les éléments protégés, tels que les notes verrouillées, ne pourront pas être transférés.

Par rapport aux méthodes précédentes, qui reposaient à chaque fois sur une app fournie par Google ou Apple, tout se fait ici directement. C’est le résultat d’une collaboration entre les deux entreprises et une réponse aux exigences d’interopérabilité du DMA, comme l’a rappelé l’Union européenne.

Le transfert simplifié entre iOS et Android répond à une exigence du DMA, rappelle l’Union européenne

Le transfert simplifié entre iOS et Android répond à une exigence du DMA, rappelle l’Union européenne

Pour que cela fonctionne, il faudra ainsi non seulement un iPhone sous iOS 26.3 ou plus, il sera aussi nécessaire d’avoir un smartphone Android qui prend en charge la fonctionnalité. De ce côté, c’est plus flou, une première version destinée aux développeurs a été distribuée uniquement pour les Pixels et on ne sait pas quand la nouveauté sera déployée largement.

Transfert des notifications vers des appareils tiers

Autre nouveauté qui semble dictée par la Commission européenne : iOS 26.3 intègre la mécanique nécessaire pour transférer des notifications vers des appareils tiers. Apple n’a pas le choix, l’Europe a jugé que l’Apple Watch avait un avantage sur ses concurrents en étant le seul appareil à pouvoir relayer les notifications de l’iPhone. L’entreprise devait ainsi permettre à ses utilisateurs d’envoyer les notifications d’iOS sur des appareils tiers, typiquement une montre connectée concurrente.

Ce que les exigences de la Commission européenne vont changer dans (le développement) d’iOS 19 et iOS 20

Ce que les exigences de la Commission européenne vont changer dans (le développement) d’iOS 19 et iOS 20

Ce changement devrait être mis en œuvre dès iOS 26.3, en tout cas côté Apple. On ne sait pas encore comment les fabricants pourront faire en sorte que leur produit apparaisse sur l’iPhone comme destination potentielle pour les notifications. On sait en revanche que la Pomme a prévu une implémentation assez stricte : dans l’app Réglages, puis dans « Notifications », une nouvelle section « Transfert des notifications » est désormais disponible. À l’intérieur, on devrait trouver la liste des appareils qui peuvent recevoir les alertes et le message est sans ambiguïté sur le fonctionnement.

Le nouveau bouton ajouté par iOS 26.3 à gauche, le texte qui détaille la fonctionnalité à droite. Image iGeneration.

En effet, le transfert ne sera possible que vers un seul appareil à la fois et l’Apple Watch compte comme appareil. En clair, si vous possédez la montre conçue à Cupertino, vous ne pourrez pas diffuser vos notifications en même temps sur un autre accessoire. Et si vous choisissez un transfert des alertes, il faudra sélectionner une seule cible à tout moment.

Les notifications peuvent être transférées à un seul accessoire à la fois. Lorsque le transfert des notifications est activé, celles-ci n'apparaissent pas sur l'Apple Watch.

Eric Migicovsky, fondateur de Pebble qui a signé son retour sur le marché des montres connectés, était l’un des principaux partisans de l’ajout de cette mesure au DMA. On imagine ainsi que ses futures montres seront compatibles. Est-ce que Google le fera aussi pour WearOS ? Ce serait un sacré changement sur ce marché.

Mise à jour à 21h10 : ajout du transfert entre iOS et Android.

Mise à jour à 21h36 : ajout du transfert de notifications.

  •  

Comme prévu, Meta abandonne la version Mac de l'app Messenger

C'était prévu, et c'est en cours : si vous utilisez l'app Messenger de Meta pour Mac, elle ne fonctionnera plus dès demain, le 16 décembre 2025. Meta, qui n'a visiblement pas assez de développeurs pour maintenir ses apps desktop1, abandonne en effet les versions Mac et Windows.

Message annonçant la mort de Messenger sur Mac. Image MacGeneration.

Lancée en 2020, l'app de Meta était native sous macOS et ne passait pas par Catalyst (une fonction qui permet de développer pour iPadOS et macOS en parallèle). Elle a donc été abandonnée sans qu'une raison particulière soit évoquée, et elle n'était déjà plus présente sur le Mac App Store depuis quelques mois. Meta explique comment récupérer les messages sur une page dédiée, et recommande simplement de passer par la version web du service. Il est en effet possible d'utiliser le site Messenger.com pour accéder à la messagerie dans votre navigateur.

Meta abandonne son application Messenger sur Mac et Windows

Meta abandonne son application Messenger sur Mac et Windows

Meta ne permet malheureusement pas d'utiliser l'app iPad sur les Mac Apple Silicon, une fonction qui dépend du bon vouloir des développeurs. X avait fait ce choix l'année dernière, avant de changer d'avis récemment.


  1. Il faut soutenir les petits développeurs, ne l'oubliez pas.  ↩︎

  •  

HomePad, l'app qui transforme un iPad en centre de contrôle pour la maison (HomeKit, Musique, etc.)

Si certains attendent un « HomePad », une rumeur qui indique qu'Apple pourrait sortir une tablette fixe pour la maison, certains décident de la créer. Quentin, un de nos lecteurs, a décidé de proposer sa version du HomePad, sous la forme d'une application. HomePad fonctionne sur iPhone, iPad et Mac (Apple Silicon) mais prend tout son sens avec une tablette. L'app est payante (10 €)1 mais la mise en place est soignée et intéressante, nous allons le voir.

C'est le moment de contrôler votre bureau. Image iGeneration.

HomePad, comme son nom l'indique un peu, est une application qui transforme l'iPad en centre de contrôle pour la maison. C'est une réinterprétation de l'interface de l'app Maison d'Apple (HomeKit) mais avec l'intégration de widgets (météo, horloge, calendrier, etc.) et de différentes pages à faire défiler. L'app est clairement pensée pour un iPad accroché au mur ou posé sur un support fixe, plus que pour une tablette qu'on va garder à la main.

La page des widgets, qui sert d'accueil.
La vue de la Musique.

Elle propose différentes pages : une qui contient les widgets, une seconde avec tout ce qui est lié à la sécurité dans HomeKit (caméras, serrures, capteurs, etc.), une troisième qui permet de voir ce qui est allumé (ou éteint) et avoir des informations importantes, comme le fait que la batterie d'un accessoire est bientôt vide.

L'ajout de widgets.
La page des widgets.

En faisant défiler, vous verrez ensuite les différentes pièces de votre installation HomeKit, avec une organisation (un peu) différente de celle de Maison.

La sécurité.
Le statut.

Ensuite, HomePad propose un calendrier, avec les données évidemment présentes dans celui d'Apple, un accès à la musique (qui prend tout son sens avec Apple Music), à vos photos et enfin aux réglages, pour choisir la couleur de fond, par exemple, ou lancer l'app automatiquement dès que l'iPad est branché.

Les réglages.

L'ensemble est bien intégré, même si la mise en place nécessite pas mal d'autorisations. Ce n'est pas totalement un défaut, dans le sens où il est intéressant de pouvoir éviter à n'importe quelle app' d'accéder à vos données, mais c'est un peu fastidieux dans le cas présent, avec une solution qui a besoin de beaucoup d'autorisations.

Beaucoup d'autorisations.

On peut tout de même noter un petit défaut pratique : si vous êtes sur la vue du calendrier, le fait de faire défiler la page va changer la date et pas vous diriger vers la section dédiée à Maison ou celle de la musique. Sur cette vue précise, il est nécessaire de passer par les onglets.

Est-ce qu'HomePad vaut les 10 € demandés ? Dans l'ensemble, probablement. Même si elle ne fait qu'intégrer les données des services d'Apple, l'app le fait bien et le travail de Quentin est soigné. Qui plus est, elle peut aussi enregistrer l'historique de certaines actions dans HomeKit, ce qu'Apple ne propose pas (HomePad doit être actif pour cette tâche).

En attendant (peut-être) une solution Apple, c'est donc une solution intéressante si vous avez un iPad à disposition pour contrôler votre domotique… au moins si vous utilisez les outils d'Apple2.

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile


  1. Quentin nous a fourni une licence pour l'essai.  ↩︎

  2. Cette note de bas de page est contractuelle : je dois indiquer qu'Home Assistant permet ce genre de choses tout en expliquant que c'est nettement plus performant et complet. Si je ne le fais pas, Nicolas se fâche (et il a raison).  ↩︎

  •  

Bons plans : les robots aspirateurs compatibles Matter et HomeKit à prix cassés

Après la hausse technique des prix suite au Black Friday, de nombreux robots aspirateurs sont revenus à leur tarif le plus bas. Certains modèles s'affichent même à des prix inférieurs à ceux pratiqués durant la semaine de promotions. Voici une petite sélection de valeurs sûres. Tous ces modèles ont un point commun crucial pour les utilisateurs de l'écosystème Apple : ils sont compatibles Matter (et donc intégrables à Maison/HomeKit).

SwitchBot K11+ : Le petit poucet qui passe partout

C'est sans doute le modèle le plus atypique de cette sélection. Avec son diamètre réduit (24,8 cm contre 35 cm pour la moyenne du marché), le K11+ est conçu pour se faufiler là où les autres bloquent : entre les pieds de chaises serrés ou dans les recoins exigus. Malgré sa taille de guêpe, il ne sacrifie rien à la puissance avec une aspiration de 6 000 Pa et une navigation LiDAR précise.

Nous testons ce modèle actuellement et le bilan est pour l'instant très positif : il est agile, étonnamment silencieux et sa station de vidage automatique (incluse) lui offre une autonomie de plusieurs semaines. Un excellent choix pour les appartements encombrés ou les petites surfaces.

Prix : 199,99 € au lieu de 259,99 €

SwitchBot S20 : Le nettoyage par rouleau

Si vous avez de grandes surfaces, le S20 est un candidat sérieux. Sa particularité réside dans son système de lavage : contrairement aux patins classiques, il utilise un rouleau "RinseSync" qui se nettoie en continu pendant le cycle. Résultat, il ne traîne pas une serpillière sale sur votre carrelage.

Avec une puissance brute de 10 000 Pa, il avale tout sur son passage. C'est un modèle très complet qui gère parfaitement le multi-étages. Revers de la médaille de son efficacité : le système à rouleau demande un peu plus d'entretien régulier qu'une serpillière statique pour rester performant, mais le résultat en vaut la chandelle.

Prix : 399,99 € au lieu de 499,99 €

Roborock Q7 M5 : La puissance brute à petit prix

159,99 € (au lieu de 239,99 €) | Voir sur Amazon

Roborock décline ici une version musclée de son milieu de gamme. Le Q7 M5 fait l'impasse sur la station de vidage automatique pour casser son prix, mais il conserve l'essentiel : un moteur surpuissant de 10 000 Pa (rare à ce tarif) et la fameuse navigation LiDAR de la marque, réputée pour sa fiabilité.

Il intègre une brosse duo anti-enchevêtrement, idéale si vous avez des animaux à poils longs. À moins de 160 €, c'est un excellent point d'entrée dans l'univers Roborock si vous êtes prêt à vider le bac à poussière vous-même tous les deux ou trois jours.

Prix : 160 € au lieu de 250 €

Roborock Q7 L5+ : Le confort de la station automatique

Pour 40 euros de plus que le modèle précédent, le Q7 L5+ vous offre la tranquillité d'esprit avec sa station de vidage automatique. Concrètement, le robot vide son bac tout seul à la fin de chaque nettoyage, stockant la poussière dans un sac hygiénique que vous ne changerez que toutes les 7 semaines environ.

Sa puissance d'aspiration est légèrement inférieure (8 000 Pa), ce qui reste largement suffisant pour sols durs et tapis fins. C'est le meilleur rapport qualité/prix/confort du moment pour qui veut oublier la corvée de ménage pendant plus d'un mois.

Prix : 200 € au lieu de 220 €

Roborock Q10 S5+ : L'intelligence VibraRise

On monte en gamme avec le Q10 S5+. Ce modèle combine le meilleur des deux mondes : une aspiration de 10 000 Pa, une station de vidage automatique, mais surtout la technologie VibraRise.

Contrairement aux modèles précédents qui traînent leur lingette humide partout, le Q10 S5+ est capable de soulever sa serpillière lorsqu'il détecte un tapis ou une moquette. Il frotte également le sol par vibrations soniques (3000 fois/minute) pour désincruster les taches séchées. Si vous avez un mélange de parquet et de tapis chez vous, c'est le modèle à privilégier pour éviter de mouiller vos textiles.

Prix : 270 € au lieu de 300 €

  •  

Deux boîtiers pour SSD capables d'atteindre 40 Gb/s en promotion

Si vous avez un SSD M.2 dans un boîtier un peu ancien ou dans un tiroir, deux boîtiers externes sont en promotion pour le moment. Le premier est un modèle de chez Orico, proposé pour 53 €, contre pratiquement 80 € en temps normal.

Le boitier SSD d'Orico.

Le M224 accepte les SSD M.2 2280 (PCI-Exress NVMe) et compte tenu des débits annoncés — 2,8 Go/s en lecture —, il est probablement équipé d'un contrôleur Thunderbolt 4 Intel. C'est nettement plus que le débit de 1 Go/s qu'il est possible d'atteindre sur un modèle USB-C à 10 Gb/s, et un peu plus que les 2 Go/s que la norme USB 3.2 Gen 2x2 (qu'Apple ne prend pas en charge) permet. Le choix du Thunderbolt 4 à l'avantage d'amener une compatibilité USB-C en parallèle du Thunderbolt : n'importe quel appareil avec de l'USB acceptera le SSD externe, avec un débit évidemment limité par les capacités de l'hôte.

Le modèle d'Ugreen.

Le second est un peu plus onéreux — 60 € au lieu de 100 € — mais aussi un peu plus rapide. C'est un modèle Ugreen équipé d'une puce Asmedia (ASM2464PD). Elle permet de tirer totalement parti de l'USB4 avec des débits qui peuvent atteindre 3,6 Go/s. Attention, vous aurez besoin d'un SSD PCI-Express 4.0 dedans pour en profiter. Comme le modèle Orico, les débits dépendront de l'hôte : 3,6 Go/s sur un Mac Apple Silicon, 2,8 Go/s sur un Mac Intel, etc.

Petite astuce pour les boîtiers de ce type : l'interface externe va limiter les performances dans la majorité des cas, donc il n'y a pas besoin de vous tourner vers des modèles PCI-Express 5.0 ou PCI-Express 4.0 haut de gamme. Un modèle milieu de gamme comme un WD Blue suffit amplement. Et choisir un SSD milieu de gamme amène aussi un avantage : ce sont des modèles qui chauffent généralement moins que les modèles plus rapides, un point important dans un boîtier externe.

  •  

La fin des SSD SATA se précise : Samsung aurait abandonné ce marché

Dans le monde des SSD, le marché se divise encore en 2025 en deux : d'un côté les SSD PCI-Express (généralement de type NVMe) et de l'autre les SSD SATA. La différence se fait essentiellement sur le format1 : barrettes rapides d'un côté, et format 2,5 pouces issu des SSD des disques durs de l'autre. Et selon Moore's Law Is Dead, Samsung devrait abandonner ce marché en 2026.

C'est vraisemblablement la fin pour les SSD Samsung.

Actuellement, les SSD SATA se retrouvent essentiellement en entrée de gamme, dans des PC portables à bas prix et dans des mini PC, mais ils sont aussi prisés par ceux qui veulent mettre à jour de vieux PC, équiper un NAS qui n'a pas d'emplacement M.2 ou installer un SSD secondaire dans un PC qui n'a plus de M.2 libre. C'est donc un coup dur pour certains, après la disparition de Crucial, un autre habitué des SSD SATA.

Crucial disparaît d’un marché de la mémoire vive déjà très tendu

Crucial disparaît d’un marché de la mémoire vive déjà très tendu

Le point important, c'est que Samsung était le dernier constructeur majeur à proposer des SSD SATA avec ses propres contrôleurs et de la mémoire TLC (le MX500 de Crucial n'est plus disponible depuis un an) et que le reste du marché est essentiellement composé de modèles équipés de mémoire de type QLC (moins fiable dans le temps) et de contrôleurs d'entrée de gamme. Il existe bien de nombreux constructeurs chinois qui proposent des SSD SATA à bas prix, mais la fiabilité et les performances laissent souvent à désirer. Il ne s'agit même pas ici d'une vague remarque sur les produits noname : lors d'un test d'un NAS, des SSD Fanxiang nous ont posé des soucis, avec des pertes de données à la clé. Pour mettre à jour un vieux PC, un modèle comme le 870 EVO est généralement un bon choix, par exemple.

Test du Ugreen DXP480T Plus : le NAS (à quatre SSD) qui se détache de la masse

Test du Ugreen DXP480T Plus : le NAS (à quatre SSD) qui se détache de la masse

Une des raisons, expliquée dans la vidéo, vient de la rentabilité. Un SSD SATA rapide, dans l'absolu, contient les mêmes composants qu'un SSD M.2 NVMe d'entrée de gamme, au moins sur la mémoire. Mais pour des questions de segmentation, un SSD SATA limité par la norme à environ 550 Mo/s ne peut évidemment pas être vendu aussi cher qu'un modèle qui atteint (par exemple) plus de 3 Go/s. Ou, si vous prenez le problème dans le sens de Samsung, un SSD NVMe d'entrée de gamme peut être vendu plus cher qu'un SSD SATA pour un coût de revient globalement proche.

Samsung vend ses SSD SATA à un prix élevé. Image Samsung.

C'est un problème à moyen terme

Le problème de l'arrêt de la production par Samsung est plus important que la fin de la marque Crucial, et il faut bien le comprendre. Dans le marché de la RAM, Micron ferme sa filiale Crucial, mais vend toujours de la RAM à ses partenaires. Un mouvement qui va augmenter les prix, mais pas forcément la disponibilité : ce que Crucial vendait va être redirigé (au moins en partie) vers d'autres marques. Mais dans le cas des SSD SATA, ce mouvement n'existe tout simplement pas et donc ceux qui ont besoin de SSD SATA performants vont probablement acheter rapidement les stocks existants, ce qui va mécaniquement faire augmenter les prix. Et sans alternatives, ils vont rester élevés pendant un moment. Dans le cas précis de ce domaine, le résultat final est évident : le marché va abandonner le SATA pour le PCI-Express.


  1. Il existe des SSD SATA en barrettes (mSATA et M.2) mais ils sont devenus rares en 2025.  ↩︎

  •  

ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 : l'IA s'invite sur votre Mac (et votre PC)

L'intelligence artificielle débarque sur votre bureau, au sens propre. ONLYOFFICE franchit un cap avec sa version 9.2 en intégrant un agent conversationnel capable d'automatiser vos tâches documentaires, de fouiller dans vos fichiers et de remplir des formulaires à votre place. Le tout sans jamais quitter votre machine, grâce au support des modèles locaux.

ONLYOFFICE a sorti récemment la version 9.2 de sa suite bureautique gratuite pour Windows, Linux et macOS. La nouveauté qui retient l'attention ? L'arrivée d'un véritable agent conversationnel d'intelligence artificielle, directement intégré à l'application de bureau.

Une première dans l'écosystème des suites bureautiques grand public qui mérite qu'on s'y attarde.

Un agent IA qui fait bien plus qu'assister

Contrairement aux assistants d'écriture que l'on croise désormais un peu partout, l'agent IA d'ONLYOFFICE ne se contente pas de reformuler vos phrases ou de corriger vos fautes. Il agit comme un véritable bras droit numérique, capable d'interagir avec vos fichiers, votre système de fichiers et vos documents de manière autonome.

Concrètement, on peut lui demander de générer un nouveau document, de retrouver un fichier perdu dans les méandres de votre disque dur, d'extraire le contenu d'un PDF sans même l'ouvrir, ou encore de remplir automatiquement un formulaire administratif en suivant vos instructions.

L'idée n'est pas simplement de faciliter la rédaction, mais d'automatiser des tâches répétitives qui grugent du temps au quotidien. Besoin de lister tous les fichiers récents dans un dossier spécifique ? De comprendre la structure d'un document complexe avant de l'ouvrir ? De transformer une plage de dates vague en dates précises dans un formulaire ? L'agent s'en charge. On tape une instruction en langage naturel, et l'IA exécute. C'est aussi simple que cela en apparence, mais la promesse derrière est ambitieuse : rendre les workflows documentaires plus fluides et moins chronophages.

La souveraineté des données comme argument de poids

Là où ONLYOFFICE marque un point intéressant, c'est dans sa gestion de la confidentialité. L'application permet de connecter différents fournisseurs d'IA : Anthropic, OpenAI, TogetherAI, OpenRouter... Mais aussi, et c'est crucial, Ollama. Pour ceux qui ne connaissent pas, Ollama est une solution qui permet d'héberger localement des modèles de langage sur sa propre machine. En clair, vos données ne quittent jamais votre ordinateur. Aucun envoi vers le cloud, aucune fuite potentielle, aucune dépendance à une connexion internet stable.

Dans un contexte où les questions de confidentialité et de souveraineté numérique deviennent de plus en plus prégnantes, cette approche hybride séduit. Les entreprises sensibles, les professions réglementées ou simplement les personnes soucieuses de protéger leurs informations peuvent ainsi bénéficier des avantages de l'IA sans en subir les inconvénients. ONLYOFFICE ne fournit pas de clés API, c'est à chacun de se procurer la sienne auprès du fournisseur choisi. Une manière de rester neutre et de laisser l'autonomie aux utilisateurs finaux.

MCP : la personnalisation poussée à son paroxysme

Pour ceux qui aiment bidouiller et adapter leurs outils, ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 introduit également le support des serveurs MCP. Cette fonctionnalité permet de configurer des tâches automatisées sur mesure, adaptées aux besoins spécifiques d'une personne ou d'une organisation.

On quitte alors le terrain de l'assistant générique pour entrer dans celui de l'outil façonné selon ses propres routines de travail. C'est une couche de sophistication supplémentaire, destinée à ceux qui veulent aller plus loin dans l'automatisation.

Deux niveaux d'IA pour deux usages distincts

Il faut bien distinguer l'agent IA, qui agit comme un assistant global capable de manipuler fichiers et système, du plugin IA intégré directement dans les éditeurs. Ce dernier propose des outils contextuels, comme la correction grammaticale et orthographique dopée à l'intelligence artificielle. On sélectionne un texte, on clique sur l'onglet IA dans la barre d'outils, et le plugin repère et corrige les erreurs. Pratique pour peaufiner un document avant de l'envoyer, sans avoir à jongler entre plusieurs applications.

Ces deux niveaux d'IA coexistent et se complètent. L'un travaille en coulisses sur l'ensemble de votre environnement documentaire, l'autre intervient ponctuellement au cœur même de vos documents. Cette dualité offre une flexibilité bienvenue.

Des améliorations annexes qui comptent

Au-delà de l'IA, ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 apporte son lot de raffinements. Les raccourcis clavier sont désormais personnalisables, ce qui ravira ceux qui ont leurs propres habitudes ancrées depuis des années. L'enregistrement de macros fait également son apparition, permettant d'automatiser des séquences d'actions sans écrire une seule ligne de code. Enfin, l'outil de rédaction des PDF s'enrichit d'une personnalisation de la couleur de masquage, un détail qui compte lorsqu'on manipule des documents sensibles.

Une suite gratuite qui continue de séduire

ONLYOFFICE reste fidèle à son positionnement : proposer une alternative open source, gratuite et compatible avec les formats Microsoft Office.

La version Desktop ne coûte rien, fonctionne sur les trois principaux systèmes d'exploitation (Windows, Linux, macOS), et bénéficie d'un développement continu. Téléchargeable gratuitement, elle franchit avec cette version 9.2 un cap en intégrant l'IA de manière native et réfléchie, sans imposer un modèle unique ni forcer la main sur la collecte de données.

Pour ceux qui cherchent une suite bureautique performante, respectueuse de la vie privée et capable de s'adapter à des workflows modernes, ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 mérite clairement un essai. L'IA n'y est pas un gadget marketing, mais un outil pensé pour gagner du temps et automatiser l'ennuyeux. Et ça, c'est précisément ce qu'on attend d'une bonne technologie.

Pour en savoir plus sur cette mise à jour, l'annonce officielle détaille l'ensemble des nouveautés.

  •  

X arrête son application X pour Mac (qui n'était que l'app iPad mal intégrée)

X (anciennement Twitter, même si ce nom a perdu de son aura) a mis à jour récemment son application, et elle vient de perdre la compatibilité avec macOS. L'app macOS native historique, avec l'oiseau bleu, avait été abandonnée en août 2024 et X avait poussé une solution alternative et peu satisfaisante : l'app X pour iPad.

La dernière version de l'app n'est plus compatible macOS. Image MacGeneration.

Cette dernière n'est qu'une application iPad qui peut être lancée sur les Mac Apple Silicon (pas les Mac Intel) et l'intégration dans le système d'exploitation était minimale, avec des fenêtres liées à l'app et non détachables (par exemple). Mais malgré une bonne partie du code partagé entre toutes les versions, la variante pour Mac a souffert de nombreux bugs ces derniers mois. Et visiblement, les développeurs en ont eu assez : la 11.47 est la dernière qui était compatible avec macOS. La 11.48, sortie récemment, n'est plus compatible avec macOS.

Soit les développeurs ont décidé d'arrêter la prise en charge des Mac, soit c'est un problème de leur côté. Nous avons contacté X, mais comme toujours depuis le rachat par Elon Musk nous n'avons pas eu de réponse1. Et la page officielle de support pour macOS renvoie encore et toujours vers l'ancienne app, qui n'est plus disponible depuis plus d'un an. Si vous utilisez encore le réseau social, c'est donc le moment de chercher une solution, qui est probablement de passer par le site directement, plutôt qu'une app dédiée.


  1. Au moins, la réponse automatique limitée à un ne semble plus en place.  ↩︎

  •