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Donald Trump au secours d’Intel en faisant entrer l’État à hauteur de 10 % de l’entreprise

Alors qu’Intel est dans la tourmente, à la fois pour ses résultats catastrophiques, son impasse technique et son patron contesté pour ses accointances avec la Chine, voilà que le président des États-Unis d’Amérique décide de se poser en sauveur, faisant entrer à hauteur de 10 % le pays dans les actions du fondeur pour la rondelette somme de 10 milliards de dollars.

Alors qu’il avait publiquement critiqué Lip-Bu Tan pour ses liens financiers avec la Chine, Donald Trump a ensuite demandé au CEO d’Intel de venir le rencontrer à la Maison Blanche. Suite à cette rencontre, Trump semblait avoir changé d’avis sur le patron, comprenant son histoire personnelle l’ayant mené au poste de CEO du fondeur.

Le CEO d’Intel appelé à démissionner par Donald Trump

Le CEO d’Intel appelé à démissionner par Donald Trump

J’ai rencontré M. Lip-Bu Tan, patron d’Intel, avec le Secrétaire d’État au Commerce, Howard Lutnick, et le Secrétaire au Trésor, Scott Bessent. La réunion fut intéressante. Son succès et son ascension sont une histoire incroyable. M. Tan et les membres de mon cabinet vont passer un peu de temps ensemble, pour ensuite m’apporter des suggestions la semaine prochaine. Merci de votre attention sur ce sujet !

Donald Trump aurait ensuite proposé au patron d’Intel une solution pour garder sa place : laisser le gouvernement américain entrer à hauteur de 10 % dans l’entreprise, comme rapporté par TheVerge.

J’ai dit « Vous savez quoi ? Je pense que les États-Unis devraient recevoir 10% d’Intel. » Et il m’a répondu « Je vais y réfléchir. » Et j’ai ajouté « Eh bien, j’aimerais que vous le fassiez parce qu’Intel a été laissé pour compte, comme vous le savez, par rapport à Jensen et quelques-uns de nos amis, Nvidia, et parmi certaines personnes et… parce qu’Intel n’aurait jamais dû… Intel était la plus grande, la plus puissante entreprise de puces au monde. Et puis ils ont commencé à partir. Ils ont commencé à aller dans des pays étrangers, et particulièrement à Taïwan. Et si on avait eu un président qui aurait dit ‘Ok, vous pouvez aller à Taïwan, mais on va mettre une taxe de 100%, ou 200%, ou 300, ou 500% : quiconque vend aux États-Unis devra payer’, ils ne seraient pas partis. »

S’il n’a pas précisé les détails de l’accord, il a en revanche bien fait comprendre que la signature de celui-ci est la seule issue permettant à Lip-Bu Tan de sauver sa place à la tête d’Intel. Suite à cette prise de parole du président américain, protégeant d’une certaine manière le fondeur d’une chute probable en le rapprochant du giron de l’État, les actions d’Intel ont grimpé de 6 %.

Panther Lake, la prochaine génération Intel, déjà dans la tourmente à cause de la gravure en 18A

Panther Lake, la prochaine génération Intel, déjà dans la tourmente à cause de la gravure en 18A

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Apple porte plainte contre un ancien employé parti chez Oppo avec des secrets industriels

Apple a déposé une plainte contre un ancien ingénieur spécialiste des capteurs sur l’Apple Watch, Chen Shi, travaillant maintenant pour l’entreprise Oppo. Le gredin aurait profité de ses accès privilégiés aux secrets de fabrication de Cupertino pour les amener avec lui chez son nouvel employeur.

Selon la plainte dévoilée par MacRumors, Shi aurait indiqué quitter son emploi chez Apple afin de retourner en Chine s’occuper de ses parents devenus âgés. Cependant, il aurait omis dans le même temps de préciser qu’il avait accepté un poste chez Oppo, et en a profité avant son départ pour faire une razzia sur les serveurs de son désormais ex-employeur. Il aurait même poussé le vice jusqu’à discuter avec un bon nombre de ses collègues ingénieurs de l’équipe Apple Watch pour savoir sur quoi ils travaillaient et où ils en étaient.

Trois jours avant son départ, Shi a récupéré 63 fichiers techniques sur le serveur protégé de l’équipe de développement, les transférant sur une clé USB. Il aurait ensuite cherché le meilleur moyen d’effacer un MacBook, et de cacher les accès qu’il aurait pu avoir sur les serveurs. Décidément bien peu discret, il aurait ensuite envoyé un message à son nouvel employeur, indiquant qu’il « collectera autant d’informations que possible » pour les partager avec Oppo, spécifiquement celles sur le capteur de rythme cardiaque.

La plainte d’Apple demande une injonction interdisant à Oppo et Shi d’utiliser les secrets industriels d’Apple, la restitution des fichiers volés, ainsi que des dommages et intérêts.

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Orange France touchée par un ransomware

Le mois de juillet a décidément été chaud pour les équipes de sécurité d’Orange : après avoir été piratés sur ses serveurs de Belgique, vu des données sur les employés de sa branche Orange Roumanie publiées sur le dark web, voilà maintenant qu’un groupe spécialisé dans le ransomware (ou rançongiciel en bon français) s’en est pris à ses serveurs français, comme le rapporte Bloomberg.

C’est grâce à la solution « clés en mains » de Warlock, un fournisseur de ransomware pour d’autres groupes de pirates informatiques, que les ordinateurs de l’agrume ont été attaqués. Si normalement toute fuite de donnée chez un opérateur doit être signalée à la CNIL, Orange SA ne l’a pas fait, indiquant qu’aucun des documents récupérés par les hackers ne contenait de fichier client.

Orange Belgique victime d’une cyberattaque fin juillet, des données clients compromises

Orange Belgique victime d’une cyberattaque fin juillet, des données clients compromises

Selon l’opérateur, les données récupérées ne sont que des « données périmées ou de faible sensibilité ». Celles-ci concernant des entreprises extérieures à Orange, les partenaires concernés ont été mis au courant :

Les entreprises affectées par le piratage en ont été informées par Orange avant cette communication, et nous collaborons avec elles ainsi qu’avec les autorités depuis le début de cet incident.

Généralement, les hackers utilisant la solution de Warlock récupèrent les données et verrouillent ensuite les ordinateurs cibles, demandant ensuite une rançon pour les déverrouiller et ne pas faire fuiter les éléments récupérés. Le groupe de pirates responsable de la fuite d’Orange a déjà laissé 4 Go de données appartenant à l’opérateur sur le dark web mi-août.

Si Orange a été « bien servi » ce mois-ci, ses concurrents n’ont pas été en reste depuis quelques mois. Les opérateurs téléphoniques restent des cibles de choix, leurs serveurs contenant des données particulièrement intéressantes pour les pirates, que ce soit les fichiers clients ou les renseignements sur les infrastructures de ces réseaux, permettant de chercher des failles utiles à d’autres piratages.

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Siri motorisé par Gemini ? Apple rajoute Google aux possibilités

Depuis plusieurs semaines, les bruits de couloir indiquent qu’Apple travaille en même temps sur une version interne du nouveau Siri et sur une version motorisée par une solution externe. Ce matin, Mark Gurman indiquait même qu’Apple penchait de plus en plus vers la seconde possibilité. Le fuiteur en remet une couche, en dévoilant le partenaire avec lequel Apple serait en train de travailler : Google, et son IA Gemini.

Siri motorisé par Gemini ? Image Google.

Si Cupertino pourrait donc utiliser Gemini pour Siri, ce n’est pas faute d’avoir tenté d’autres partenariats selon Bloomberg : avant d’aller voir Google et son IA, Apple aurait démarché Anthropic (Claude) et OpenAI (ChatGPT) plus tôt dans l’année.

Apple envisage de remplacer le moteur de Siri par celui de ChatGPT ou Claude AI

Apple envisage de remplacer le moteur de Siri par celui de ChatGPT ou Claude AI

Cependant, Apple se tâte encore : Cupertino se laisse plusieurs semaines pour décider si oui ou non elle utilisera un partenariat pour motoriser Siri, et laquelle de ces IA externes prendra ce rôle.

Pourquoi aller voir plusieurs partenaires possibles, et donc multiplier les développements parallèles ? Selon Gurman et ses oreilles bien placées, si Anthropic était le favori en début d’année, ses revendications financières auraient été bien trop élevées pour les décisionnaires d’Apple et auraient poussé Cupertino à élargir les possibilités.

Dans le cas d’une collaboration, la mise en place ne serait pas une partie de plaisir : si Apple n’est pas contre utiliser un moteur venant d’une autre entreprise, elle souhaite garder la main sur l’endroit où vont se balader les données de ses utilisateurs, et celles-ci seraient obligatoirement envoyées non seulement dans des data-centers appartenant à Apple, mais tournant en plus sur ses propres puces.

Meta a encore capturé un ingénieur IA d’Apple, le sixième depuis juillet

Meta a encore capturé un ingénieur IA d’Apple, le sixième depuis juillet

Quoi qu’il en soit, la décision finale aura une importance capitale : toute l’IA d’Apple se reposera dessus. Les équipes internes avancent rapidement, étant déjà passées à des modèles à 1 000 milliards de paramètres selon Gurman, mais restent à distance des meilleurs comme OpenAI, qui sont déjà sur des LLM à plusieurs milliers de milliards de paramètres. Qui plus est, l’équipe voit partir depuis juillet ses têtes de pont les unes après les autres, soit pour une meilleure motivation, soit attirés par l’argent proposé par Meta.

Meta qui, d’ailleurs, est le seul qui n’aurait pas été approché par Apple. Un souci de compatibilité entre les machines... ou entre les hommes ?

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Apple a cessé de signer iOS 18.6 et devrait faire de même avec 18.6.1 la semaine prochaine

Alors qu’Apple a enchaîné coup sur coup deux mises à jour d’iOS, la firme de Cupertino a cessé de signer iOS 18.6. Rappelons que nous en sommes déjà à iOS 18.6.2, publié cette semaine afin de corriger plusieurs failles de sécurité jugées importantes. Juste avant cela, Apple avait rendu disponible iOS 18.6.1, une mise à jour notable puisqu’elle réactivait la mesure du taux d’oxygène sanguin aux États-Unis sur l’Apple Watch Series 9, la Series 10 et l’Apple Watch Ultra 2 sous watchOS 11.6.1.

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D'importants correctifs de sécurité avec macOS 15.6.1 et iOS 18.6.2 [ : iPadOS 17.7.10, macOS 14.7.8 et macOS 13.7.8 aussi proposés]

iOS 18.6 est donc condamné, ce qui signifie qu'il n'est plus possible de revenir en arrière si vous êtes sur iOS 18.6.1 ou iOS 18.6.2. Et au vu des habitudes d’Apple, iOS 18.6.1 devrait subir le même sort d’ici quelques jours seulement, probablement au début de la semaine prochaine.

Image réalisée à l'aide d'une IA

Rien de surprenant dans cette politique de signatures : Apple verrouille méthodiquement l’accès aux anciennes versions pour limiter les failles potentielles et maintenir son parc à jour. Une pratique qui peut frustrer ceux qui aiment conserver la main sur leur appareil, mais qui s’inscrit dans la logique de sécurité et de contrôle chère à Cupertino

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Des supports pour faire de la place sous le Mac mini M4

Particulièrement compact, le Mac mini n'occupe pas beaucoup de surface sur le bureau. Quelques supports permettent toutefois de le relever et de glisser en dessous de petits accessoires ou par exemple un SSD de sauvegarde si vraiment votre espace est compté. Et si vous utilisez régulièrement le bouton d'extinction — plutôt que de laisser la machine en veille — il pourrait être plus accessible ainsi placé en hauteur.

Image Hagibis.

Amazon référence plusieurs articles qui font peu ou prou la même chose à des tarifs inférieurs à 20 €. Ils mettent en avant leur fonction d'aide au refroidissement, mais cela peut être un intérêt secondaire.

Bon plan : le Mac mini M4 sous la barre des 600 €, la petite machine qui fait la grande affaire

Bon plan : le Mac mini M4 sous la barre des 600 €, la petite machine qui fait la grande affaire

On ne se ruinera pas avec le support de Gewokliy. Vendu 22,99 €, il est muni de patins pour mieux tenir en place et, comme les autres, il présente une découpe en son centre pour laisser respirer la machine et accéder au bouton à l'arrière. Le même est proposé sous le nom de Akkyajaure à un tarif identique, mais il peut être en promotion à 19,99 €.

Image Gewokliy.

Autre look pour le support Hagibis dont le rôle est identique aux précédents et le prix plus bas encore puisqu'il est actuellement à 16,99 €.

Image Hagibis.

Toujours dans ce registre, le support de Omoton soutient le Mac mini sur ses quatre pieds et un loquet a été ajouté qui paraît simplifier la manipulation du bouton arrière. Comptez 19,99 € pour celui-ci.

Image Omoton.
Promo : 170 € sur le Mac mini M4 Pro, 300 € sur l

Promo : 170 € sur le Mac mini M4 Pro, 300 € sur l'iMac M4

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Orange : la 5G+ bientôt compatible avec l’option Multi-SIM sur iPhone ?

Les clients les plus fidèles ne sont pas toujours les mieux servis. Si Orange a activé la 5G+ sur iPhone début juin, les abonnés équipés de l’option Multi-SIM en étaient privés jusqu’à présent. Avec les récents changements apportés aux options Multi-SIM, la situation semble évoluer.

Plusieurs lecteurs détenteurs de l’option Multi-SIM nous ont indiqué avoir vu apparaître dans leur espace client une bannière leur proposant de bénéficier gratuitement de la 5G+. Après quelques clics, l’un d’eux a reçu un SMS validant son inscription au nouveau service. L’activation n’est pas immédiate, Orange annonce un délai pouvant aller jusqu’à cinq semaines.

La bannière dans l’espace client d’un abonné avec option Multi-SIM.
La SMS de confirmation.

La prudence reste de mise. La documentation d’Orange indique toujours que la 5G+ est incompatible avec l’option Multi-SIM (et avec l’option eSIM Apple Watch). Et contrairement à d’autres, certains abonnés Multi-SIM ne voient toujours pas de bannière 5G+. Contacté, l’opérateur n’a pas répondu à notre demande d’éclaircissement au moment d’écrire ces lignes.

S’appuyant sur le réseau 3,5 GHz de l’opérateur, la 5G+ (ou 5G standalone) offre de meilleures performances car elle repose sur une architecture totalement pensée pour la 5G. À la clé, la latence est réduite ; la voix passant en 5G, le smartphone ne bascule plus sur la 4G lors des appels téléphoniques ; et la sécurité est renforcée. Pour en profiter côté Apple, un iPhone 15 ou un iPhone 16 est nécessaire et il faut penser à activer l’option 5G+ (gratuite sur tous les forfaits 5G) dans son espace client.

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Les iPhone 18 auraient un bouton moins cher pour commander l'appareil photo

Les iPhone 18 en 2026 n'abandonneraient pas leur bouton "Commande de l’appareil photo" mais sa conception serait revue pour des questions de coût.

En début de semaine une rumeur venue d'Asie, d'un compte peu connu, affirmait que la génération 2025 des iPhone supprimerait son bouton dédié pour la prise de photos. Celui-là même qui est apparu avec les iPhone 16 l'an dernier (mais que le 16e n'a pas eu). Apple aurait jugé que l'attrait de ce bouton de "Commande de l’appareil photo" n'était pas assez marqué chez les clients pour justifier son maintien.

Bouton "Commande de l’appareil photo". Image iGeneration.

Cette affirmation est contestée par un autre fuiteur, plus connu, Instant Digital, qui livre une autre version. Il affirme que ce bouton de commande est toujours au programme des futurs iPhone mais qu'Apple va simplifier son fonctionnement interne. Au lieu d'un capteur de pression pour valider l'action et d'un système capacitif pour agir sur la minuscule interface, il n'y aurait plus que le capteur de pression pour s'occuper de tout. Oppo et Vivo le font déjà avec leurs X8 Ultra et X200 Ultra, ajoute le fuiteur.

Utilisation du zoom via le bouton dédié à la photo. Image iGeneration.

Le bouton d'Apple dans sa forme actuelle serait trop onéreux et les coûts ne seraient pas minces non plus en cas de réparation. Il serait aussi un peu trop cher au vu de l'usage qu'en font les utilisateurs. Le bouton a gagné une fonction liée à Apple Intelligence mais les opinions restent tranchées sur l'utilité et la commodité de ce dispositif.

Visual Intelligence est réservée aux iPhone avec la nouvelle commande de l’appareil photo

Visual Intelligence est réservée aux iPhone avec la nouvelle commande de l’appareil photo

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Le « MagSafe 2 » n’est plus seul : Belkin lance ses chargeurs Qi2 à 25 W pour iPhone

Le chargeur MagSafe Apple de deuxième génération n’a plus le monopole de la vitesse. Quasiment un an après sa sortie, Belkin lance à son tour des chargeurs Qi2 pouvant recharger sans fil les iPhone 16 à une puissance de 25 W. Le fabricant exploite le standard Qi2.2 récemment officialisé.

Pour mémoire, le premier chargeur MagSafe d’Apple et les chargeurs Qi2 disponibles jusqu’à présent ne fournissent pas plus de 15 W. Les iPhone 12 à 15 n’acceptent pas davantage, mais Apple a relevé la puissance maximale à 25 W pour les iPhone 16 (à l’exception du 16e). Cela permet de remplir jusqu’à la moitié de la batterie d’un iPhone 16 en 30 minutes, soit le même rythme que la charge rapide filaire.

Socle 3-en-1 UltraCharge. Image Belkin.

Jusqu’à aujourd’hui, seul le chargeur « MagSafe 2 » d’Apple, comme on le surnomme parfois, pouvait alimenter les iPhone 16 à 25 W. Belkin propose finalement trois alternatives pour qui veut remplumer son iPhone récent aussi vite que possible. Ces produits font tous partie d’une nouvelle gamme nommée UltraCharge.

Socle de recharge 2-en-1 pliable UltraCharge

Le premier (référence WIZ038) est un socle 2-en-1 compact et pliable. Fermé, il permet de recharger un iPhone (ou un Pixel 10) jusqu’à 25 W. Le refroidissement est passif, donc sans aucun bruit. Si vous avez « seulement » un iPhone 12/13/14/15, la recharge sera limitée à 15 W. Avec un iPhone 8/X/XS/11/SE, la puissance ne dépasse pas 7,5 W.

Socle de recharge 2-en-1 pliable UltraCharge Belkin

Déplié, ce socle peut recharger simultanément un second appareil jusqu’à 5 W, comme un boîtier d’AirPods. Un port USB-C sur le côté permet de recharger avec un câble un troisième appareil, mais pas à plus de 5 W.

Cet accessoire fait 105 x 59 x 23 mm pour 162 g. Il est décliné en noir, blanc et bleu. Un adaptateur secteur USB-C 45 W et un câble USB-C de 1,5 m sont fournis. Il est vendu 59,99 € et est en précommande sur Amazon et chez d’autres revendeurs. Sortie programmée le 5 septembre. Il a une variante (WIZ039) avec des coins arrondis.

Socle de recharge 3-en-1 pliable UltraCharge

Le socle 3-en-1 UltraCharge (WIZ036) est similaire, si ce n’est qu’il cache en plus un galet pour l’Apple Watch. Il est compatible avec la charge rapide de la montre apparue sur la Series 7.

Socle de recharge 3-en-1 pliable UltraCharge

Il est disponible dans les mêmes couleurs et livré avec les mêmes accessoires. Il coûte 89,99 €. Précommande ouverte Amazon et sortie le 5 septembre.

Station de recharge 3-en-1 UltraCharge Pro

Enfin, pour un usage plus sédentaire, Belkin propose la station de recharge 3-en-1 UltraCharge Pro (WIZ040). Son chargeur Qi2 25 W dispose du refroidissement actif ChillBoost, autrement dit d’un ventilateur, pour réguler la température et ainsi charger l’iPhone aussi rapidement que possible (jusqu’à 50 % en 25 minutes).

La recharge sans fil a en effet ceci de problématique qu’elle fait chauffer l’iPhone, ce qui peut entraîner une surchauffe dans certaines conditions (lors d’une canicule, au hasard), qui a comme effet final de couper totalement l’alimentation. Un ventilateur est un moyen efficace pour régler ce souci… mais génère du bruit en contrepartie. C’est pour cette raison que Belkin dote son produit d’un interrupteur servant à couper le refroidissement actif si on le trouve gênant. Cela servira notamment la nuit si le ventilateur est bruyant.

À l’arrière de la base, l’interrupteur pour arrêter le refroidissement actif.

Le chargeur iPhone est inclinable jusqu’à 70°. Par ailleurs, cette station a un chargeur rapide d’Apple Watch et un chargeur Qi 5 W qui servira essentiellement pour des AirPods. Sa base lestée est faite d’un silicone doux au toucher et son bras a une finition chromée.

Image Belkin

La station vient avec un adaptateur secteur 45 W et un câble USB-C de 1,5 m. Elle est en précommande dès maintenant à 119,99 € pour une sortie le 12 septembre.

D’autres fabricants (Anker, Aukey…) vont annoncer prochainement leurs propres produits Qi2 25 W. Si seuls les iPhone 16 sont compatibles avec cette puissance à l’heure actuelle, on s’attend à ce que les iPhone 17 reprennent cette caractéristique.

Test du nouveau chargeur MagSafe 25 W : Apple accélère bien la recharge sans fil des iPhone 16

Test du nouveau chargeur MagSafe 25 W : Apple accélère bien la recharge sans fil des iPhone 16

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Google : l'IA pourrait influencer la conception des smartphones

Il n'y aura pas de lunettes, de bague connectée ou de tablette dans un avenir proche chez Google qui préfère concentrer ses efforts sur d'autres développements.

Dans une interview accordée à Bloomberg, plusieurs responsables des développements matériels de Google ont dessiné un périmètre d'activité pour cette partie. Le fabricant n'est pas avare en appareils et accessoires — il a présenté de nouveaux téléphones, écouteurs et montres cette semaine — mais ailleurs, il laisse les autres à la manœuvre tout en leur fournissant le logiciel et les outils d'IA.

La gamme de l'été 2025. Image Google.

Rick Osterloh qui pilote les divisions matérielle et Android déclare ainsi que ses équipes ne travaillent pas sur des bagues connectées, que le développement d'une tablette a été suspendu le temps de trouver une approche originale dans cette catégorie et qu'il n'est pas prévu non plus de téléphone pliant au format vertical. Google s'en tient à la disposition des écrans comme un livre, en témoigne sa nouvelle génération de Pixel Fold.

Quant aux lunettes connectées, un domaine que Google a défriché très tôt avant de s'en retirer, il fait toujours l'objet de discussions sur l'opportunité d'y revenir. Pendant ce temps, Google se concentre sur la partie logicielle (Android XR) pour les produits prévus par Samsung et une petite équipe cogite néanmoins sur des écrans de toute petite taille.

Le téléphone demeure indétrônable

Car le téléphone reste un incontournable : « Le smartphone fait trop de choses trop bien pour être détrôné aussi facilement » estime Shakil Barkat, responsable Devices & Services, qui précise : « Le contenu visuel est le principal problème à résoudre avant qu’un changement majeur ne se produise. ».

Pour des lunettes qui ne sont pas le support idéal pour la consommation de contenus sur la durée, Google imagine un utilisateur les seconder par un téléphone de poche, compact car pliant façon clapet comme en font certains de ses partenaires. Plus généralement, Shakil Barkat rejette l'idée d'une surabondance d'appareils et de gadgets sur l'utilisateur : « Chaque fois qu’un nouveau type de produit se rajoute, c'est quelque chose de plus dont l’utilisateur final doit s'occuper pour son fonctionnement et son entretien. C’est déjà assez pénible comme ça. ». Pour l'avenir immédiat, Google envisage plutôt les gens s'en tenir à leur téléphone, une paire d'écouteurs, une montre et des lunettes connectées. Ce qui est déjà pas mal.

À propos des smartphones, Rick Osterloh considère que leur évolution matérielle s'est stabilisée, les produits sont devenus matures (Shakil Barkat ne cache pas son envie de faire disparaître la trace de pliure qui orne toujours les modèles à écran pliant, mais c'est de l'ordre du détail esthétique). C'est grâce au logiciel que de nouveaux progrès sont maintenant faits : « L’IA deviendra la manière d’interagir avec un téléphone pour “accomplir quelque chose” » et d'envisager que cela « commencera ensuite à influencer sur sa conception. ».

Google a montré de nouveaux usages de Gemini cette semaine, comme la capacité — encore exclusive à l'anglais — de demander la suppression d'un élément sur une photo en le désignant oralement, sans manipuler un quelconque élément d'interface. Pour Osterloh, il n'y a pas débat, si on veut être en pointe, c'est chez Google que ça se passe : « C’est à nous de faire en sorte que cela compte dans le mobile au cours des prochaines années, où je pense qu’il est assez clair que nous avons une nette avance. ». Et d'asséner, non sans raison : « Si vous utilisez Android, vous serez à l’avant-garde de l’évolution de l’IA. ».

Enfin, il est suggéré que l'on devrait voir arriver des changements plus significatifs dans le design des tout prochains Pixel (la gamme 2026 est en passe d'être finalisée et les développements ont débuté sur la 2027). « Tous les deux à trois ans, nous cherchons à faire quelque chose avec un nouveau langage de design. », explique Ivy Ross, en charge de cette partie. Le look actuel des Pixel 10 — avec l'épais bandeau à l'arrière — trouve ses origines dans la 6e génération puis il s'est affirmé avec les Pixel 8. L'heure est probablement venue de tenter autre chose.

Les Pixel 10. Image Google.

Cette gamme reste néanmoins assez confidentielle dans ses ventes. En dépit de l'avance de Google sur l'IA et de la couverture médiatique autour des difficultés d'Apple sur le sujet, les grands équilibres ne bougent guère. Peut-être par habitude et satisfaction de ce que l'on a, peut-être par la difficulté à quitter un écosystème et peut-être aussi parce que l'IA n'attire pas encore les foules au-delà de quelques usages basiques sur le texte ou les images.

Google n'a pas observé une « avalanche » de switchers venus de l'iPhone vers les Pixel. D'après le cabinet d'études Canalys, Google aurait distribué 800 000 Pixel aux États-Unis au second trimestre 2025, soit 3 % du marché local quand Apple s'en accapare presque 50 %. Rick Osterloh concède que Google ne deviendra jamais un « acteur de premier ordre » sur les smartphones mais il y a une croissance, des innovations et cela suffit semble-t-il à faire « un bon business » pour sa division.

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« Les Trésors de l’Aventure Apple » : 1 000 articles pour replonger dans l’histoire d’Apple

Compagnon de route de longue date de MacGeneration, Jean-Baptiste Leheup vient de franchir un joli cap : il a publié le 1000e article de son blog Les Trésors de l’Aventure Apple. Une belle occasion pour aller y faire un tour tant il regorge d’histoires et de produits étonnants autour de la Pomme.

Jean-Baptiste partage depuis des années des anecdotes, des trouvailles ou encore des astuces qui font partie de la grande (et parfois de la petite) histoire d’Apple. Vous voulez savoir comment redonner de l’éclat aux plastiques jaunis de vos vieux Mac ? La réponse est là. Envie de découvrir l’improbable Renault Clio Apple ? Elle aussi vous attend. Tout comme les goodies d’Apple, les slogans oubliés, et bien d’autres pépites. On ne va pas tout divulgâcher : avec 1 000 billets à son actif, le blog Les Trésors de l’Aventure Apple a de quoi vous occuper un bon moment !

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Bon plan : le Mac mini M4 sous la barre des 600 €, la petite machine qui fait la grande affaire

Déjà abordable en temps normal, le Mac mini M4 est plus accessible que jamais grâce à une nouvelle promotion. Sur la plateforme Rakuten, le petit ordinateur de bureau est vendu 629 € par Darty, un vendeur de confiance. Ajoutez à ça le code « ORDI50 » lors de la commande, et la facture baisse à 579 €, le prix le plus bas à ce jour, à notre connaissance. En comparaison, cette machine est vendue 699 € par Apple.

Si les 16 Go de RAM et 256 Go de stockage de la configuration de base ne vous suffisent pas, il y a aussi de bonnes affaires sur des modèles plus musclés. La configuration 16 / 512 Go revient à 804 € sur Rakuten (vendeur Darty), soit 145 € de moins que chez Apple. La version 24 / 512 Go est quant à elle en promotion à 1 029 €, une économie de 170 €.

Mac mini M4. Image Apple.

Pour des performances d’un autre niveau, notamment sur le plan graphique, le Mac mini M4 Pro 24 / 512 Go est disponible à 1 479 €, soit 220 € de moins que sur l’Apple Store.

Le Mac mini M4 est un ordinateur de bureau assez exceptionnel. Il est à la fois compact, économe, silencieux, puissant… et abordable. Nous le recommandons les yeux fermés. C’est « simplement » à vous de faire les bons choix en matière de mémoire vive et de stockage.

Test des Mac mini M4 et M4 Pro : petits et mignons, mais costauds et économes

Test des Mac mini M4 et M4 Pro : petits et mignons, mais costauds et économes

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L'IA est là : notre série de l'été pour tout comprendre sur l'IA

S'il y a bien un sujet clivant actuellement dans le grand monde de l'informatique, c'est celui de l'intelligence artificielle. Ce sujet, nous allons le démystifier dans une nouvelle série estivale sous la plume de Jean-Baptiste Leheup, créateur du site L’Aventure Apple et auteur de plusieurs ouvrages sur l’IA.

L’intelligence artificielle, il y a ceux qui sont pour, ceux qui sont contre, et ceux qui considèrent qu'ils ne sont pas concernés…

« L'IA ? Ah non, moi je n'en vois pas l'intérêt. On est encore en train de se créer un besoin qu'on n'avait pas avant. Tout ça c'est pour nous vendre le dernier iPhone. Et bonjour le bilan carbone ». Un utilisateur parmi d'autres.

C'est bien simple, on se croirait revenus aux débuts d’internet, il y a plus d’un quart de siècle. Les mêmes arguments, les mêmes réticences. Internet, on vivait très bien sans, aussi. Ça nous obligeait à acheter un Power Macintosh récent et à rajouter de la mémoire vive. Ça coûtait des sous. Et ça bouffait de l'électricité. Et pourtant, on y est tous passé.

Qu'elle soit vraiment « intelligente » ou non (vous connaissez déjà l'avis de Jean-Baptiste sur ce sujet), l'IA est une nouvelle révolution dans la grande histoire des révolutions technologiques. On a inventé la roue, puis on a chargé des bêtes ou des rivières de la faire tourner. On a ensuite inventé le moteur pour que la roue tourne plus vite et plus fort, et on l'a utilisé pour produire de l'électricité. On a maîtrisé l'électricité pour donner naissance à l'électronique, qui a permis de concevoir des ordinateurs pour triturer des informations, d'abord des chiffres, puis des textes, des images, des sons, des vidéos. Et pour interagir de manière naturelle avec les ordinateurs, on a inventé les interfaces graphiques. Et voici maintenant l'ère de l'IA, dont la dernière avancée, l’IA générative, donne à ces tas de ferraille la capacité d'apprendre et l'apparence d'une forme de compréhension.

La glorieuse histoire des révolutions techniques et technologiques, selon ChatGPT.

La question n'est plus d'y croire ou de ne pas y croire. L’IA est là ! Vouloir échapper à l'IA aujourd'hui, c'est comme vouloir échapper à la révolution industrielle ou à la généralisation de l'électricité au dix-neuvième siècle. Les humains ont passé une nouvelle étape, et ils ne feront pas marche arrière. Alors pour ne pas se contenter de regarder passer le train en restant sur le quai, MacGeneration vous propose cet été de faire un point sur les premières étapes de cette révolution que nous vivons ensemble, sans indulgence et sans dogmatisme.

Au programme de « L’IA est là », notre série estivale disponible exclusivement pour les membres du Club iGen :

Bonne lecture !

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Auchan piraté : des données personnelles de centaines de milliers de clients compromises

La liste des entreprises victimes de cyberattaques continue de s’allonger. Après Air France au début du mois, Auchan a informé jeudi une partie de ses clients d’un « accès non autorisé à certaines données personnelles » associées à leur compte fidélité.

Les informations compromises sont la civilité, le statut client professionnel, le nom, le prénom, les adresses email et postale, le numéro de téléphone ainsi que le numéro de la carte de fidélité. En revanche, les données bancaires, les mots de passe des comptes Auchan et le code PIN des cartes de fidélité n’ont pas été touchés. Cela fait malgré tout une belle moisson de données personnelles parties dans la nature.

Email reçu par les clients concernés. Merci Johann.

La cyberattaque, dont le mode opératoire n’a pas été précisé, a été stoppée et la CNIL a été saisie, comme le veut la loi. Auchan a précisé à l’AFP que « quelques centaines de milliers » étaient concernés. « Nous regrettons sincèrement cette atteinte à la confidentialité de vos informations et nous vous invitons à rester attentif à votre cagnotte fidélité », ajoute Auchan dans son email destiné aux malheureux clients. Au-delà du risque sur leur cagnotte, ceux-ci devront être très vigilants face aux tentatives d’hameçonnage ciblé qui pourraient exploiter ces renseignements.

Pour éviter de faire partie des personnes touchées par des cyberattaques, le mieux est encore de ne pas créer de comptes superflus. Lorsque c’est inévitable, il est parfois possible de renseigner des informations approximatives. Toutes les entreprises n’ont pas besoin de connaitre votre date de naissance exacte ou votre adresse postale précise. Pour l’email, vous pouvez recourir aux adresses masquées d’iCloud+, qui cachent l’adresse d’origine.

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Apple.com ouvre des pages pour le secteur public

Une nouvelle section "Secteur public" est apparue sur le site d'Apple aux États-Unis, mais aussi dans plusieurs autres pays dont la France. Elle rejoint de précédentes rubriques thématiques comme l'Éducation ou l'Entreprise. À leur instar, on y trouve rassemblés quelques cas d'étude sur l'utilisation des solutions Apple dans ledit secteur et des liens vers des ressources d'information (Certifications de sécu­rité, Sécurité et déploie­ment des plateformes, Fonction­nalités de sécurité, etc.).

Image Apple.

La traduction des pages d'accueil de ces rubriques s'efface vite derrière des contenus qui n'ont rien à voir avec l'Hexagone (pour les témoignages venus du terrain) et beaucoup de documentation en anglais. Autre exemple, le chapitre "Certifications de sécu­rité requises par les réglemen­tations nationales" donne des informations pour trois pays : les États-Unis, l'Espagne et l'Allemagne.

Différence importante par rapport aux sections Éducation et Entreprises qui jouent à peu près le même rôle, chacune est flanquée de son Apple Store particulier. L'achat de matériels au sein de la fonction publique ne se faisant pas en remplissant son panier sur la boutique en ligne, il faudra contacter directement Apple ou ses revendeurs.

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Promo sur des adaptateurs secteur et grosses batteries pour iPhone, iPad et MacBook

Adapteur secteur à plusieurs prises ou grosses batteries externes capables d'alimenter un MacBook… il y a quelques promos du jour sur des accessoires UGREEN.

Pour brancher directement à la prise et éventuellement remplacer l'accessoire d'Apple, il y a cet adaptateur à quatre prises USB-C capable de fournir 100W lorsqu'une seule est utilisée. C'est largement assez pour un MacBook Pro 14" et cela peut servir pour deux MacBook Air par exemple. Il est vendu 35,99 €, c'est une petite baisse supplémentaire sur son dernier meilleur prix.

Image Ugreen.

Plutôt destiné à un usage sédentaire, ce bloc 200W est muni de 6 ports USB-C et deux USB-A. Pour le coup il alimentera sans problème le plus gros des MacBook Pro 16" même lancé dans une activé lourde (ils sont vendus avec des adaptateurs 140W). L'accessoire coûte 57,99 € mais on peut retrancher quelques euros avec un coupon 10 %.

Image Ugreen.

Deux volumineuses batteries externes ensuite. La première avec 20 000 mAh et 130W comporte deux ports USB-C, un USB-A et un écran de contrôle. Elle servira aussi bien à remplir des iPhone que des iPad ou MacBook. Elle coûte 56,99 €, là encore c'est un peu mieux que le précédent prix le plus bas. Sinon il y a cet autre modèle de 20 000 mAh et 100W avec trois ports USB-C, pas d'USB-A. Cette batterie coûte 64,99 € qu'on peut réduire avec un petit coupon de 5 %.

Image Ugreen.
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Un solide disque dur portable 6 To à 213 €, son meilleur prix

Si les disques durs n’ont plus tellement la cote chez les particuliers, ils restent tout de même intéressants quand on cherche une très grande capacité de stockage pour pas trop cher. Le SanDisk Professional G-DRIVE ArmorATD en est un bon exemple. Ce disque dur portable est en promotion sur Amazon à 212,99 € dans sa version 6 To, son prix le plus bas à ce jour. Sa version 5 To est quant à elle vendue 169 €.

SanDisk Professional G-DRIVE ArmorATD

En comparaison, un SSD externe 4 To coûte au minimum 250 €. Évidemment, ce dernier est beaucoup plus rapide et compact, mais dans certaines conditions ces avantages ne sont pas si déterminants. Et puis le budget n’est pas toujours extensible.

Le SanDisk G-DRIVE ArmorATD est un disque dur renforcé doté d’un boîtier en aluminium anodisé qui résiste à la pluie, à la poussière (protection IP54) et à une pression de 450 kg. On ne craindra donc pas de l’emmener en vadrouille. Il fait 133 x 88 x 32 mm pour 381 g. Son port USB-C est compatible Thunderbolt 3 et USB 3.1 Gen1 (5 Gbit/s). La vitesse maximale en écriture et en lecture est de 135 Mo/s.

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Des photos des futures coques « TechWoven » d’Apple dans la nature

Les rumeurs voudraient qu’Apple présente cette année un remplaçant au FineWoven, ce matériau dévoilé avec l’iPhone 15 ayant fait un flop et abandonné un an après son lancement. Selon le parfois bien renseigné Majin Bu, Apple aurait dans l’idée de lancer cette année des coques « TechWoven » moins premium mais plus pratiques. Il a aujourd’hui partagé des photos des différents coloris :

Image Majin Bu.

D'après lui, ces nouveaux modèles auraient une texture caoutchouteuse plus adhérente pour faciliter la prise en main. Le but serait également d’améliorer la résistance à l’usure et aux rayures, un gros point faible du FineWoven. Elles pourraient être composées de PET (un plastique pétrosourcé) recyclé et devraient être disponibles pour les différentes tailles de téléphones.

Les photos de Majin Bu permettent de découvrir des coques noires, bleues, vertes, violettes et orange. Selon lui, elles procureraient de meilleures sensations au niveau des boutons et disposeraient de deux petits trous en bas afin d’y faire passer une éventuelle lanière. Le MagSafe serait logiquement de la partie, tout comme un emplacement dédié au bouton de commande de l’appareil photo. Rien ne dit que ces coques ne sont des vraies, mais la rumeur fait sens. On sera fixé lors du keynote de rentrée d’Apple, qui devrait avoir lieu le 9 septembre selon les rumeurs.

Image Majin Bu.
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Promo : le MacBook Air M4 descend à 949 € pour tout le monde

Pas besoin d'être étudiant pour obtenir le MacBook Air M4 à un bien meilleur prix. Darty et Boulanger, par l'entremise de Rakuten, proposent un coupon de réduction pour retrancher 50 € au tarif déjà en promotion de cette machine ("ORDI50" à saisir au moment du choix de la livraison).

Image Apple.

Le MacBook Air M4 de 13" en 16/256 Go en promo à 999 € descendra à 949 € et si on préfère un peu plus de stockage, la version 512 Go à 1 249 € reviendra donc à 1 199 €.

Ce sont de bons prix pour une machine sortie cette année qui maintient toutes ses qualités : puissante, excellente sur l'autonomie et pourvue de quelques améliorations sur la webcam et avec la possibilité désormais de lui brancher 2 écrans externes sans avoir à éteindre l'écran intégré.

Promo : le MacBook Air M4 à seulement 899 € pour les étudiants !

Promo : le MacBook Air M4 à seulement 899 € pour les étudiants !

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Des iPad bradés : du modèle d’entrée de gamme à l’iPad Pro M4, des prix jamais vus

Apple n’est pas réputée pour brader ses produits, mais les sites de commerce en ligne s’en chargent. En ce moment, plusieurs iPad affichent des prix rarement vus, voire jamais vus : le modèle de 10e génération tombe sous la barre des 300 €, l’iPad A16 s’affiche à 325 €, l’iPad Air M3 est proposé à 449 €, l’iPad Pro M4 descend à 779 € et l'iPad Pro 13” Wi-Fi + Cellular à 1049 €. Autant d’occasions de s’équiper d’une tablette Apple récente sans exploser son budget.

Un iPad sous les 300 €

Un iPad à moins de 300 €, cela vous tente ? Apple continue d'écouler le stock de ses "anciens" iPad de 10e génération sur Amazon. Le modèle Rose est proposé actuellement au prix de 284 €, soit une réduction de 65 € sur son ancien tarif.

Techniquement parlant, sa puce A14 Bionic n'est pas toute récente, mais pour une tablette destinée à un enfant pour des jeux éducatifs, au salon pour de la consultation de contenus, elle fait parfaitement l'affaire. Rappelons que ce modèle embarque un connecteur USB-C, dispose du Wi-Fi 6 et possède Touch ID. Précisons enfin qu'elle est vendue sans adaptateur secteur.

Un iPad A16 plus puissant pour 325 €

Toutefois, si vous préférez un iPad A16, on vous a trouvé une configuration intéressante. La nouvelle tablette entrée de gamme d'Apple, proposée à 409 € en temps normal, est proposée ce jour au prix de 325 €.

Il s'agit d'un modèle d'import, vendu sur la plate-forme Rakuten. Pour l'obtenir à ce prix, il est nécessaire de saisir le code coupon ORDI15. Petite cerise sur le gâteau, vous obtenez en supplément 17 € sur votre cagnotte utilisable pour un prochain achat.

Test de l

Test de l'iPad A16 : il fait l'essentiel sans zèle

Cela vaut quand même le coup de mettre 30 euros de plus à notre avis si vous en avez les moyens. Vous obtenez un processeur plus puissant (A16), le double de capacité de stockage (128 Go au lieu de 64 Go) et sans doute l'assurance de pouvoir bénéficier des mises à jour d'iPadOS plus longtemps. Rappelons que ces deux modèles ne prennent pas en charge Apple Intelligence.

L’iPad Air M3 à prix plancher : 449 €

Mais ce n'est pas tout, il est possible aujourd'hui de faire l'acquisition d'un iPad Air M3 pour 449 € seulement. Cela représente une économie de 270 € sur son prix public. Une telle tablette à ce prix, c'est très tentant. Pour l'obtenir à ce prix, il vous faudra saisir le code ORDI50 lors de la commande. Là encore, il s'agit d'un modèle d'import.

Écran 11 pouces, processeur M3, 128 Go de stockage… Cette tablette a tout ce qu'il faut pour exploiter au mieux les nouveautés proposées par iPadOS 26.

Notre test avait décerné un 4/5 à la dernière tablette d’Apple. Nous avions salué sa puissance hors norme et les progrès empruntés à la génération précédente, comme le Wi-Fi 6E ou la caméra recentrée. Côté bémols : un écran vieillissant, l’absence de charge rapide et un surcoût non négligeable pour la 5G ou certains accessoires. Mais le test se basait sur le prix d'une tablette vendue plus de 700 € et non 449 € !

Un iPad Pro M4 vendu 779 € soit presque au prix d’un Air

L'iPad Pro M4 11” fait également l'objet d'une offre canon. En saisissant le code ORDI50 lors de la commande, vous pouvez obtenir la tablette d'Apple au prix de 779 €. À titre de comparaison, le prix public de la tablette d'Apple est de 1219 €. Soit une économie de 440 € !

Souvent, le plus gros reproche fait aux iPad Pro, ce sont leurs prix. Dans notre test de l’iPad Pro M4 11”, nous étions emballés par l’écran Ultra Retina XDR ainsi que par la puissance sans fin de la puce M4. Notre plus gros reproche alors, c’était iPadOS. La version 26.0 qui sortira dans quelques semaines, doit pouvoir changer la donne.

iPad Pro 13" : le top du top de l'iPad à 1049 €

Si, pour vous, un iPad Pro est synonyme d'un grand écran, alors cette promotion est susceptible de vous intéresser. Vous pouvez obtenir ce modèle pour 1049 € à condition de saisir le code ORDI50. Ce modèle est complet : écran 13”, 256 Go de stockage, 5G. Comme les autres modèles présentés, il s'agit d'un modèle d'import. Toutefois, ce n'est pas un souci. La référence vendue A2926 est la même qu'en Apple Store. Il n'y a donc aucun souci à prévoir au niveau du modem. On rappellera que ce modèle est vendu 1819 €. On parle là d'une économie de 770 €. De quoi vous offrir l'iPad Pro 11” présenté juste avant.

Quelques précisions utiles avant d’acheter

À l'exception du premier iPad présenté, tous les autres sont importés. Vu que ce sont des iPad, cela ne pose guère de problème. Il n’y a pas de souci de compatibilité à prévoir. Les appareils sont livrés sans chargeur. Juste au cas où, sachez que Ugreen propose un modèle en promo avec 4 ports USB-C pour 36 €. Enfin, avec l’économie réalisée, on ne peut que vous recommander de prendre un contrat Apple Care

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Jay Blahnik, le patron d'Apple Fitness, est accusé de harcèlement et de propos déplacés

Jay Blahnik le responsable d'Apple Fitness+ est accusé par plusieurs employés d'entretenir un environnement toxique. Apple a contesté la réalité de ces faits.

Dans un article du New York Times, plusieurs employés actuels — sous couvert d'anonymat — ou partis d'Apple, décrivent un environnement de travail toxique entretenu par Jay Blahnik, le vice-président des technologies Fitness.

Jay Blahnik. Image Apple.

Ce spécialiste de santé sportive, auteur d'ouvrages sur le fitness et consultant pour Nike, avait été recruté en 2013 pour participer à la conception de l'Apple Watch. C'est à lui qu'on devrait les 3 anneaux colorés à fermer. En 2017, Apple lui a confié la tâche de mettre sur pied le service Fitness+, avec ses cours sur abonnement, lancé trois ans plus tard. Au fil de keynotes ou de reportages, il est devenu le visage de l'activité Fitness d'Apple, toutefois il a progressivement disparu de ces rendez-vous, assurés par d'autres responsables.

Neuf employés, anciens ou actuels, d'Apple affirment que Jay Blahnik, à la tête d'un groupe d'environ 100 personnes, a créé un environnement de travail fait de harcèlement, de réprimandes, de manipulation et de propos déplacés. Depuis 3 ans, cela a conduit 10 personnes à partir en arrêt maladie ou à quitter Apple.

Des témoins rapportent des remarques faites par Jay Blahnik sur certains entraineurs de Fitness+ à qui il attribuait des liaisons extra-conjugales (au vu par exemple de la couleur des cheveux de l'un de ses enfants). L'une des personnes, partie en arrêt maladie, dit avoir reçu des messages textuels inappropriés. Une autre, dont la plainte est actuellement en attente d'un procès, raconte avoir vu sa situation professionnelle au sein d'Apple fragilisée après que les ressources humaines l'ont obligé à participer à l'enquête interne sur son supérieur. Avec un autre salarié qui avait rapporté des faits de harcèlement sexuel, Apple a signé un accord pour éteindre ses accusations.

Lance Lin, un porte-parole d’Apple a répondu que l'entreprise menait des enquêtes approfondies lorsque des problèmes liés au travail surgissaient, mais « qu'elle ne discutait pas des cas impliquant des employés individuels, par souci de respect de leur vie privée ». Quant à l'article, Lance Lin affirme qu'il contient de « nombreuses affirmations inexactes et déformations », mais il n'en cite aucune en exemple.

Pour quelques-uns de ces employés interrogés par le quotidien, il apparaît qu'Apple préfère protéger son employé vedette plutôt que de se préoccuper de ceux de plus bas niveau.

Des détails sur le départ de Tony Blevins, le cadre d

Des détails sur le départ de Tony Blevins, le cadre d'Apple viré pour une blague sur TikTok

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Meta a encore capturé un ingénieur IA d’Apple, le sixième depuis juillet

À chaque semaine, ou presque, son nouveau cerveau qui part... Frank Chu, qui menait une équipe de développeurs dédiés à l’intelligence artificielle spécialisée dans le cloud, le machine learning et la recherche chez Apple, rejoint lui aussi les équipes de Meta.

Encore un joli coup de Zuckerberg... Image Anthony Quintano, CC BY.

Le plus ironique dans l’histoire, comme le rapporte Mark Gurman, c’est encore Meta qui se permet d’affirmer dans un memo interne qu’elle a diminué et va encore diminuer ses efforts de capture d’ingénieurs spécialisés dans l’IA :

Nous voulons manager de manière responsable nos équipes, et faire en sorte que les nouveaux arrivants soient alignés sur nos plus grandes priorités, nous mettons donc en pause nos embauches dans l’équipe MSL [Meta Superintelligence Labs], à l’exception des rôles critiques

Frank Chu est le sixième départ des équipes dédiées à l’IA de Cupertino vers Meta, à grands coups de millions, commencés avec Ruoming Pang qui s’est vu gratifié un bonus d’entrée de 200 millions de dollars.

IA : Meta continue de déstabiliser Apple en recrutant ses talents

IA : Meta continue de déstabiliser Apple en recrutant ses talents

L’homme est le plus gros coup de Meta après Ruoming Pang, étant l’un des plus haut gradés de l’équipe d’Apple : il servait de lieutenant à Benoit Dupin, qui est directement sous l'autorité de John Giannandrea. Dans sa nouvelle position, Chu aura la responsabilité d’une équipe dédiée à l’infrastructure des serveurs IA de Meta.

Meta ne s’interdit pas de recruter d’autres têtes pensantes, Alexander Wang continuant dans son mémo en précisant qu’il évaluerait avec son équipe la possibilité de nouvelles embauches au cas par cas.

C'est une grosse perte de plus pour Apple, et selon Bloomberg, l’entreprise se concentre de plus en plus sur la possibilité d’utiliser une architecture externe pour motoriser la prochaine version de Siri, plutôt que de développer une solution maison.

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Un ancien employé accuse Meta de contourner les mesures interdisant le suivi des utilisateurs d’iOS

En 2021, Apple a sorti en même temps qu’iOS 14.5 l’App Tracking Transparency (ATT). Initialement prévu pour iOS 14, ce système interdisant aux apps d’utiliser les données personnelles des clients sans leur consentement avait été repoussé suite aux cris d’orfraies de propriétaires d’apps et de réseaux sociaux, Meta en tête.

Apple et Craig Federighi font le service après vente de l

Apple et Craig Federighi font le service après vente de l'App Tracking Transparency

« 1 Hacker Way »... pas White Hat il semblerait. Image Wikipedia/Nokia621, CC BY-SA 4.0.

En effet, selon le CFO (directeur financier) de Meta à l’époque, l’ATT risquait de faire perdre à l’entreprise la somme mirobolante de 10 milliards de dollars par an. Nonobstant, la règle a été mise en place par Apple. Mais alors, comment se fait-il que Meta ne semble pas avoir été affectée plus que cela ?

Selon un ancien employé de l’entreprise, qui occupait la place de « product manager », Meta a trouvé des méthodes permettant de contourner la bride logicielle mise en place par Apple, et ainsi de récupérer les données personnelles des utilisateurs sans avoir à demander leur consentement.

Meta a discrètement lié les données personnelles avec d’autres informations, leur permettant de pister l’activité des utilisateurs sur d’autres sites internet sans leur permission – bien qu’Apple ait introduit en 2021 des mesures obligeant à demander le consentement de l’utilisateur. [...] Une équipe secrète et isolée de Meta est connue pour avoir mis au point le « deterministic matching », un croisement de plusieurs données permettant le suivi des utilisateurs sur de multiples plateformes dont celles d’Apple, violant les conditions de l’ATT.

Cet ancien employé accuse aussi Meta de gonfler artificiellement les revenus publicitaires engrangés sur ses plateformes.

Le navigateur web « custom » des apps Facebook et Instagram peut vous suivre à la trace

Le navigateur web « custom » des apps Facebook et Instagram peut vous suivre à la trace

Ce n’est pas la première fois que Meta se retrouve accusé de contourner les mesures mises en place par Apple. Déjà en 2022, le chercheur Felix Krause avait mis le doigt sur le comportement de Facebook et Instagram, les deux intégrant un bout de code appelé « Meta Pixel » permettant de suivre l’utilisateur à la trace. Meta a bien entendu réfuté toutes les accusations et indiqué contacter Felix Krause pour lui prouver son erreur. Si le chercheur a bien mis à jour ses accusations, indiquant que si le « Meta Pixel » n’était pas en cause, d’autres bouts de code le sont...

Meta has provided additional information, which I included in the publication.

The article is still correct, however it’s not the Meta Pixel that gets injected, but a script called “pcm.js”https://t.co/dj5CMJUwHc https://t.co/PG5qp2W4UR pic.twitter.com/8bFRGZO23c

— Felix Krause (@KrauseFx) August 11, 2022

Une class-action a été lancée en 2022 concernant ce contournement de l’ATT par Meta. Le jugement n’a toujours pas été rendu.

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