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Un cadeau qui sert vraiment : Office 2021 pour Mac à 44,99 € pour Noël

Trouver un cadeau de Noël à la fois utile et pas hors de prix, c’est souvent plus compliqué que prévu. Sauf quand on tombe sur une promo qui coche toutes les cases : quelque chose de concret, qui sert vraiment, et qui ne finit pas au fond d’un tiroir dès janvier.

Avec les ventes Godeal24 de Noël, Microsoft Office Home & Business 2021 pour Mac est affiché à 44,99 € (au lieu de 249 €). L’intérêt, c’est que l’on parle d’une licence à vie : pas d’abonnement, pas de renouvellement, pas de « petit prélèvement » qui revient tous les mois.

Word, Excel, PowerPoint… les indispensables, version Mac

Il n’y a pas de fatalité : les utilisateurs Mac ne sont pas condamnés à vivre sans Office. Cette édition Home & Business 2021 embarque les classiques : Word pour écrire, Excel pour les tableaux (et les budgets), PowerPoint pour les présentations, ainsi qu’Outlook pour les mails. Bref, une boîte à outils qui colle aussi bien à un usage pro qu’aux études ou à la maison.

Autre point pratique : après l’achat, la livraison est annoncée comme immédiate, avec téléchargement dans la foulée. Et si besoin, un support client est inclus pour se débrouiller en cas de pépin.

Et si vous êtes plutôt PC (personne n’est parfait)

La promo ne s’arrête pas au Mac : si vous cherchez plutôt une licence Windows, MS Office Professional 2021 pour Windows est aussi proposé en licence à vie, à 30,25 € (au lieu de 249 €). Au final, si l’idée est d’offrir un cadeau vraiment utilisé — et qui ne se transforme pas en abonnement de plus — c’est typiquement le genre de bon plan qui a du sens.

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Clés Windows authentiques et à vie à partir de 6 € !

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Chez Godeal24, on trouve des licences Microsoft à prix réduits, mais aussi des solutions de sécurité et divers outils informatiques pour équiper son Mac ou son PC sans y laisser un rein.

Le principe est simple : tout se fait en livraison numérique. Une fois l’achat validé, le logiciel est envoyé par e-mail dans la foulée, ce qui évite l’attente et les complications. Le site met aussi en avant sa réputation sur Trustpilot, avec 98 % d’avis “Excellent”, de quoi rassurer au moment de passer commande.

Enfin, Godeal24 annonce un support technique 24 h/24 et 7 j/7 ainsi qu’un service après-vente à vie. Contact : service@godeal24.com

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Studio Dock Pro : l'écran qui transforme le Mac mini M4 en iMac 27

Cachez ce Mac mini M4 que je ne saurais voir ! Si le petit ordinateur d’Apple ne prend pas beaucoup de place, c’est visiblement encore trop pour certains. Avec le Studio Dock Pro, ses créateurs cherchent ni plus ni moins à ressusciter l’iMac 27 pouces.

Le projet, porté par l'entreprise Vexltech sur Kickstarter, repose sur une idée séduisante pour qui pleure encore la disparition du tout-en-un grand format d'Apple : un moniteur dont le pied est conçu pour avaler littéralement le Mac mini. Le résultat est un système tout-en-un qui, avouons-le, lorgne très fortement sur le design du Studio Display.

Une dalle 5K qui a de l'allure

Sur le papier, le Studio Dock Pro ne manque pas d'arguments. Il s'articule autour d'une dalle IPS de 27 pouces affichant une définition 5K de 5 120 x 2 880 pixels. La luminosité grimpe jusqu'à 800 nits et l'écran couvre 99 % de l'espace colorimétrique DCI-P3. Seule petite ombre au tableau pour les joueurs, la fréquence de rafraîchissement reste bloquée à 60 Hz. Le pied permet également une utilisation à la verticale.

Notez qu'une version "Mini" est aussi proposée : un petit écran 4K de 15,6 pouces, mais ici, le Mac mini reste à l'extérieur, logé dans un dock séparé.

Taillé exclusivement pour le M4

Attention toutefois, ce châssis est fait sur mesure. Les versions Standard et Premium du Studio Dock Pro sont spécifiquement moulées pour accueillir le Mac mini M4. Les modèles précédents (M1, M2), plus larges, ne rentreront pas. L'ordinateur se glisse à la verticale par l'arrière du pied, et sa connectique vient s'interfacer directement avec l'écran.

C'est là que Vexltech tente de se démarquer. La version Premium prend en charge le Thunderbolt 5, tandis que le modèle standard se contente de l'USB 3.2 Gen2 (10 Gb/s). Le modèle haut de gamme ajoute également un port Ethernet 2,5 Gb/s et un lecteur de cartes SD. Pour le reste, on retrouve sur les deux modèles deux ports USB-A et un USB-C (10 Gb/s) situés dans la base du pied pour un accès facile, ainsi qu'un emplacement pour SSD M.2, transformant l'écran en hub de stockage externe.

Patience (et prudence) de rigueur

Comme toujours avec Kickstarter, il ne s'agit pas d'un achat en magasin. C'est le premier projet de Vexltech, ce qui incite à la prudence. Côté tarifs, le ticket d'entrée est fixé à 600 $ pour la version standard et 700 $ pour la version Premium. La version "Mini" de 15 pouces débute à 200 $.

Mais le véritable prix à payer pourrait être celui de la patience : la livraison n'est pas prévue avant mars 2026. D'ici là, le Mac mini M5 aura peut-être déjà pointé le bout de son nez, rendant potentiellement l'accessoire obsolète avant même son arrivée sur votre bureau.

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Sherlocké avant d’être né, l'utilitaire LightBuddy veut illuminer vos appels vidéo

L’utilisation d’un anneau lumineux (ring light) est désormais monnaie courante chez les forçats de la visioconférence. C’est un accessoire abordable, pratique et qui améliore grandement le rendu vidéo. Mais cela prend de la place… D’où la bonne idée d’Apple d’en créer une version virtuelle dans macOS 26.2. Figurez-vous que celle-ci a déjà de la concurrence : LightBuddy se veut une alternative plus aboutie. Mais parler de « sherlocking » au sens strict serait ici inexact, car la genèse du projet remonte à plus loin.

Éclairage des bords : coup d

Éclairage des bords : coup d'œil sur l'anneau lumineux de macOS 26.2

Un « sherlocking » en guise de validation

Tout est parti d’un agacement familier pour le développeur Gui Rambo. Fatigué de devoir installer et désinstaller son éclairage physique à chaque appel pour éviter les ombres disgracieuses causées par l'éclairage de son bureau, il a réalisé qu’il avait déjà une gigantesque source lumineuse programmable sous les yeux : son écran. Un prototype bricolé à la va-vite sous Xcode au milieu de l’été avait permis de valider le concept, avant d'être aussitôt remisé au placard, son auteur jugeant l'idée finalement assez médiocre et indigne d'être commercialisée.

C’est là que l’ironie du sort intervient. En découvrant qu’Apple intégrait une fonction quasi identique, « Edge Light », dans la bêta de novembre, Rambo n'a pas vu rouge, mais y a vu une validation inespérée. Ce « sherlocking » d'un projet fantôme l'a convaincu que l'idée avait finalement un vrai potentiel commercial. Pariant sur le fait que l'implémentation de la Pomme se contenterait du minimum syndical, il a décidé de dépoussiérer son code pour offrir davantage d'options de personnalisation, prouvant que l'arrivée d'une fonction native est parfois le meilleur stimulant pour les développeurs tiers.

Au-delà du minimum syndical

Là où la fonction native d’Apple impose ses habituelles barrières à l’entrée (macOS 26.2 et une puce Apple Silicon obligatoires), LightBuddy joue la carte de l'ouverture. L’utilitaire tourne encore sur les Mac Intel et se contente de macOS Sonoma (14.0), permettant à ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas faire la mise à jour de profiter de l'éclairage.

L'application s'affranchit également des contraintes matérielles : elle fonctionne sur n'importe quel moniteur tiers et gère le multi-écran. On peut ainsi transformer l'écran d'un MacBook posé sur le côté en source de lumière secondaire pour déboucher les ombres, ou simplement activer l'éclairage manuellement sans que cela soit lié à l'activation de la webcam.

Sur le plan technique, Gui Rambo propose quelques raffinements bienvenus pour les utilisateurs exigeants. On retient surtout la prise en charge du HDR, qui permet de pousser la luminosité du cadre lumineux bien au-delà du reste de l'interface. Si la plupart des utilisateurs s'en tiendront au réglage de la température de couleur, l'application permet aussi de choisir n'importe quelle teinte, du vert au rose. Le développeur promet d'ailleurs d'enrichir sa copie rapidement, notamment avec le support des Raccourcis et une compensation automatique de l'affichage True Tone.

LightBuddy est distribué sous la forme d'un shareware vendu 4,99 €. Cela reste moins cher qu’un véritable anneau lumineux.

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ChatGPT pourrait bientôt créer vos playlists Apple Music

ChatGPT pourrait bientôt créer vos playlists Apple Music Alors qu’ils sont appelés à devenir rivaux — dixit Sam Altman —, Apple et OpenAI collaborent pourtant étroitement. Après l'intégration à venir dans Siri, le prochain terrain d'entente pourrait être Apple Music. C'est du moins ce que laisse penser un post de Fidji Simo, la directrice générale des applications d’OpenAI. Seul souci : la mention du service d’Apple a été discrètement retirée entre-temps.

La patronne des apps vend la mèche

Dans un billet publié sur Substack, Fidji Simo évoquait l'arrivée imminente d'un répertoire d'applications plus vaste pour le chatbot. Celle qui est désormais CEO of Applications chez OpenAI (après avoir dirigé Instacart) y listait noir sur blanc Apple Music parmi les partenaires attendus.

Si la mention a disparu depuis, le signal est fort. OpenAI semble vouloir transformer ChatGPT en véritable hub de services, où l'utilisateur n'a plus qu'à demander pour obtenir, sans jongler entre les apps.

Le DJ, c'est l'IA

Concrètement, si cette fonction voit le jour, elle devrait fonctionner sur le même modèle que l'intégration actuelle de Spotify. Le principe est d'une simplicité biblique : vous mentionnez l'application dans votre prompt, vous expliquez ce que vous voulez écouter, et l'IA s'occupe du reste.

IA : Spotify crée des playlists à partir de prompts

IA : Spotify crée des playlists à partir de prompts

Fini la recherche manuelle laborieuse. ChatGPT pourrait trier, sélectionner et ordonner les morceaux pour générer une liste de lecture prête à l'emploi dans Apple Music. L'intérêt réside surtout dans la compréhension du contexte : vous pourrez décrire une ambiance, une bande originale vague ou un vibe dont vous avez un souvenir flou, et laisser l'algorithme affiner la recherche bien plus vite que vous ne l'auriez fait à la main.

Reste une inconnue : le calendrier. La suppression de la référence à Apple Music suggère que l'annonce était peut-être prématurée, mais la direction est claire. ChatGPT veut devenir l'interface de commande, laissant à votre application de musique le simple rôle de lecteur. Mais sur le papier, est-ce que cela ne devrait pas être le rôle de Siri de faire tout ça ? Sam Altman n’a peut-être pas tort…

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple

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Wi-Fi : Apple garderait sa puce N1 pour ses produits premium

La puce N1 ne serait pas déployée aussi rapidement que certains l’espéraient dans les prochains produits Apple. MacRumors, notamment, imaginait qu’elle se retrouverait au cœur d’une bonne partie du catalogue dès l’an prochain, à commencer par le HomePod mini 2. Sauf que les dernières fuites du moment racontent une autre histoire. De quoi doucher les espoirs de ceux qui misaient sur une adoption « rapide » du Wi-Fi 7 sur tous les produits Apple.

Un macOS kernel debug kit distribué par Apple plus tôt cette année contiendrait des références à plusieurs appareils à venir, dont le HomePod mini 2. Dans le code associé à ce modèle, on trouve la mention d’un système sans-fil baptisé « Sunrise », qui correspondrait au nom interne des puces Wi-Fi/Bluetooth fournies par MediaTek.

À l’inverse, la N1 est visiblement identifiée sous un autre nom dans les systèmes internes d’Apple : « Centauri ».

Le HomePod mini 2 resterait chez MediaTek

Si l’on se fie à cette mention « Sunrise », le HomePod mini 2 ne profiterait donc pas de la N1. Un scénario qui contredit certaines rumeurs précédentes : Mark Gurman avait par le passé évoqué l’arrivée de la N1 à la fois dans l’Apple TV et le HomePod mini.

Autrement dit, soit Apple a revu ses plans entre temps, soit la N1 ne sera pas un remplacement immédiat et systématique des solutions de partenaires sur toute la gamme.

Une N1 réservée aux produits « premium » ?

La lecture la plus logique, à ce stade, c’est qu’Apple garderait sa puce réseau maison pour des produits plus ambitieux, tout en continuant à s’appuyer sur du matériel MediaTek sur l’entrée de gamme (au moins temporairement). Dans ce scénario, le HomePod mini 2 ne serait pas un cas isolé : l’iPhone 17e, l’iPad 12 et même un MacBook A18 Pro sont eux aussi attendus avec des puces MediaTek plutôt qu’avec la N1.

Introduite avec les iPhone 17, la N1 est le premier chip réseau conçu en interne par Apple. Elle prend en charge le Bluetooth 6, le Wi-Fi 7 et Thread. Et comme souvent quand Apple maîtrise un composant clé, la promesse est double : une intégration plus fine avec le matériel et le logiciel… et à la clé, de meilleurs gains d’efficacité et de fiabilité.

Pour les utilisateurs, l’adoption rapide de la puce N1 était synonyme d’une adoption rapide du Wi-Fi 7. Malheureusement, cela ne semble pas être le cas.

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Un nouveau défi pour les utilisateurs d'Apple Watch en janvier 2026 : Ring in the New Year

Comme chaque année, Apple va proposer un petit défi aux utilisateurs de l'Apple Watch, Ring in the New Year. Et comme chaque année, les autocollants qu'il va être possible d'obtenir sont apparus un peu avant l'annonce par Apple. Pour 2026, comme les années précédentes, il faudra simplement remplir vos anneaux pendant sept jours consécutifs pendant le mois de janvier.

Pour ceux qui n'ont pas d'Apple Watch, le premier (Bouger) mesure vos mouvements sur la journée, avec une valeur en kilocalories. Le second (M'entraîner) nécessite de lancer une activité, par exemple dans l'app Exercices (l'Apple Watch peut le détecter automatiquement dans certains cas). Et le troisième, Me lever, est normalement suffisamment clair pour ne pas nécessiter d'explications. Voici les différents stickers à obtenir.

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N'espérez pas acheter de SSD à bon prix chez Kingston : la société annonce que ça va être de pire en pire

Si la RAMpocalypse touche essentiellement la mémoire vive pour le moment, un autre type de mémoire est aussi touché : la mémoire flash. Après Crucial, que Micron a décidé de fermer, et Transcend — qui a annoncé ne plus recevoir de mémoire flash —, c'est au tour d'un autre grand acteur du domaine de communiquer, Kingston.

Crucial disparaît d’un marché de la mémoire vive déjà très tendu

Crucial disparaît d’un marché de la mémoire vive déjà très tendu

Cameron Crandall, responsable d'une des divisions dédiées aux SSD, a annoncé dans un podcast que les prix allaient encore largement augmenter pendant les trente prochains jours. Il a expliqué que le prix de la mémoire a augmenté de 246 % depuis le premier trimestre 2025 et que 70 % de cette hausse date des deux derniers mois.

Un SSD Kingston.

Dans les étals, les SSD de 1 To dépassent allègrement les 120 € actuellement, quand il était possible de trouver des modèles de 2 To à moins de 100 € il y a environ un an. Et compte tenu du décalage entre la hausse de la mémoire flash et celle des produits finis, les augmentations dans les prochaines semaines, une fois les anciens stocks vides, devraient être encore plus brutales.

Le cas de Kingston est par ailleurs le même que celui de nombreux fabricants : la société, contrairement à Samsung, Crucial ou Sandisk, ne produit pas sa propre mémoire et dépend de ses fournisseurs, qui ont décidé de vendre leurs produits aux sociétés qui installent des centres de données pour l'IA.

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Apple tente d'imposer iOS 26 sur les iPhone compatibles, même si iOS 18.7.3 est disponible

Apple joue un drôle de jeu avec iOS 18.7.3, la dernière version en date d'iOS 18. Si elle est proposée automatiquement sur les iPhone compatibles avec iOS 18 mais pas iOS 26 — iPhone XS, iPhone XS Max, iPhone XR —, ce n'est pas le cas sur les autres appareils selon nos constatations. Sur un iPhone 11 encore sous iOS 18.7.2, la seule version proposée était la 26.2.

Sans activer les mises à jour bêta, vous ne verrez qu'iOS 26.2.

Mais, car il y a une petite astuce, cette version existe bel et bien pour les appareils compatibles avec iOS 18. Il faut vous rendre dans Réglages > Général > Mise à jour logicielle et choisir iOS 18 Developer Beta dans Mise à jour bêta. Une fois cette petite manipulation effectuée, vous devriez pouvoir installer la version finale d'iOS 18.7.3.

Selon nos essais, la version installée sur un iPhone 11 a la même version de build (22H217) que la version finale.

La version est la même que celle de la version finale.

Bug ou volonté de forcer iOS 26 ?

Une question se pose évidemment : est-ce un bug ou un choix d'Apple ? Techniquement, c'est la version RC (Release Candidate) qui est installée de cette manière. C'est une version de test qui est dans le cas présent identique à la version finale (ce n'est pas toujours le cas).

Deux hypothèses existent. La première, c'est qu'un bug de dernière minute empêche Apple de proposer la version finale sur certains modèles. La seconde, c'est que c'est intentionnel, pour forcer les réfractaires à passer à Liquid Glass et iOS 26. La seconde est probablement la plus crédible : iOS 18.7.3 est bien proposé sur les iPhone qui n'acceptent pas iOS 26 et la version RC est toujours disponible pour les autres. S'il y avait un bug bloquant, Apple ne la proposerait plus.

iOS : Apple cherche toujours à forcer les mises à jour automatiques

iOS : Apple cherche toujours à forcer les mises à jour automatiques

Rappelons enfin que quelle que soit votre préférence, la mise à jour est importante : elle corrige des failles dans divers composants du système. Au passage, la page de présentation des corrections de sécurité tend à prouver que l'absence sur les iPhone compatibles avec iOS 26 est intentionnelle : elle liste uniquement les trois iPhone compatibles, sans ajouter le « and later » présent pour les iPad.

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Guide de Noël : des chargeurs à foison pour ne plus faire le coup de la panne

On a tous un ami qui « ne veut pas d’accessoires », mais qui vit branché à 12% de batterie, un câble douteux coincé entre deux coussins de canapé. Spoiler : cet ami s’est fait plaisir cette année, et a acheté un iPhone 17, 17 Pro ou même un iPhone Air. Et c’est peut‑être vous, qui sait ?

Chargeur MagSafe / Qi2 25 W : le nouveau socle

Avec la série 17, la charge sans fil cesse d’être un plan B mollasson pour devenir le mode par défaut crédible, grâce au Qi2 et à la montée à 25 W. Posé sur un chargeur magnétique certifié, l’iPhone se cale tout seul, exploite la pleine puissance, et enclenche les interfaces type StandBy sans gymnastique de placement.

Il est tout beau tout tressé, mais un peu cher, des alternatives existent. Image Apple.

C’est le cadeau « tech mais simple » par excellence : le galet magnétique ne prend pas beaucoup de place, n’est pas excessivement cher, et convient pour la plupart des iPhone récents. Apple propose le sien (49,00 €), mais d’autres sont disponibles moins cher et sont tout aussi compatibles, la norme Qi2 aidant, comme celui de Ugreen (32,99 €).

Batterie externe MagSafe 10 000 mAh

En mobilité, la batterie externe MagSafe 10 000 mAh prend le relais. Aimantée au dos de l’iPhone 17 Pro, elle suit les lignes du téléphone, laisse le port USB‑C accessible et évite le duo peu élégant câble tordu + poche déformée. Avec cette capacité, navigation, photos, partage de connexion et streaming s’enchaînent sans anxiété de fin de journée.

Ugreen fait une batterie qui viendra se cacher derrière votre iPhone 17 Pro. Image Ugreen.

En voyage, en salon professionnel ou simplement lors d’une journée bien chargée, cette batterie joue le rôle d’assurance discrète, permettant d’utiliser le 17 Pro comme un véritable outil de travail plutôt que comme un objet à ménager. Comme souvent, ce sont les mêmes qui s’y collent : Ugreen (26,78 €) est présent, tout comme Anker (49,99 €). D’autres marques plus obscures peuvent être à tarif encore plus faible, mais cette batterie pouvant être amenée à voyager avec vous en avion, être joueur n’est pas forcément le meilleur pari dans ce domaine.

Anker commercialise de nouvelles batteries externes compactes et un chargeur avec câble rétractable

Anker commercialise de nouvelles batteries externes compactes et un chargeur avec câble rétractable

De nombreuses compagnies dont Air France-KLM interdisent l’usage des batteries externes

De nombreuses compagnies dont Air France-KLM interdisent l’usage des batteries externes

Station de charge Qi2 2‑en‑1 / 3‑en‑1

Au domicile ou au bureau, la station de charge Qi2 change d’échelle : elle organise l’espace autant qu’elle alimente les appareils. En version 2‑en‑1 ou 3‑en‑1, elle accueille l’iPhone 17 Pro, des AirPods et éventuellement une Apple Watch sur un seul socle relié à un unique adaptateur.

Compacte, la station 3 en 1 de voyage de Belkin sera très pratique en voyage. Image Belkin.

Sur la table de nuit aussi, c’est bien pratique : on se débarrasse des câbles enchevêtrés et l’iPhone devient horloge, cadre photo ou panneau domotique pendant la charge. Pour qui possède une bonne partie de l’écosystème Apple, une station 3 en 1 ressemble moins à un gadget qu’à une pièce centrale du quotidien. Belkin est un incontournable du domaine, avec la BoostCharge 3 en 1 (59,98 €), mais aussi une version plus compacte de voyage bien utile, à peine de la taille d’une batterie externe, l’UltraCharge 3 en 1 Qi2 (89,99 €). Bien moins cher, Keepro propose une station 3 en 1 pliable à prix réduit (31,99 €), même si elle est moins compacte que celle de Belkin.

Test de la station Belkin UltraCharge Pro 25 W : l’air des chargeurs Qi2 ventilés pour iPhone démarre

Test de la station Belkin UltraCharge Pro 25 W : l’air des chargeurs Qi2 ventilés pour iPhone démarre

Chargeur secteur USB‑C multi‑ports

Dernier maillon souvent sous‑estimé : le bloc secteur. L’iPhone 17 Pro est livré avec un câble USB‑C, mais sans adaptateur, alors que beaucoup utilisent encore d’anciens chargeurs 5 ou 10 W. Un chargeur compact USB‑C multi‑ports, capable de délivrer suffisamment de puissance pour l’iPhone, la station Qi2 et éventuellement un iPad ou un MacBook, simplifie considérablement l’infrastructure.

Gadget mais indispensable : l’afficheur qui donne la puissance instantanée sur chaque port, et la température du chargeur. Image Anker.

Une collection de briques disparates se transforme en une seule alimentation cohérente, alignée sur les usages modernes. Ce n’est peut‑être pas l’accessoire le plus spectaculaire, mais c’est souvent celui qui améliore le plus silencieusement la vie numérique au quotidien. Ugreen, encore eux, proposent le Nexode 100 W (47,99 €), de quoi brancher un MacBook Air, voire un MacBook Pro à la consommation légère en même temps qu’un iPhone et une Apple Watch. Gros consommateur ? La marque propose une version 160 W (62,99 €) dans le même format. Fan des lumières et autres écrans partout ? Anker propose le Zolo 140 W (69,99 €), muni de trois ports USB-C, un port USB-A, et un écran indiquant la puissance instantanée consommée sur chaque port, et la température de l’adaptateur.

Anker lance cinq nouveaux chargeurs particulièrement puissants, jusqu’à 250 W

Anker lance cinq nouveaux chargeurs particulièrement puissants, jusqu’à 250 W

L’appareil portable sans batterie n’étant pas encore arrivé, les chargeurs restent un indispensable au quotidien. Ceux-ci ayant atteint un palier de maturité avec la démocratisation de la technologie GaN (nitrure de Gallium), autant en profiter en s’équiper sur du long terme, avec des marques reconnues pour leur qualité. Une fois fait, un chargeur pourra faire plusieurs générations d’iPhone sans souci !

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De l’iPhone 17e à l’iPhone 20 : les secrets de huit futurs iPhone révélés

Les révélations sur les futurs iPhone se poursuivent. Dans la foulée de l’identification de nouveaux modèles au sein d’une version confidentielle d’iOS 26, The Information enfonce le clou en livrant des informations très détaillées sur chacun d’entre eux.

Les renseignements du site, principalement issus de sources industrielles, sont à prendre au sérieux. The Information a déjà démontré par le passé sa capacité à décrire avec justesse, parfois plusieurs années à l’avance, des produits d’Apple encore secrets, comme le Vision Pro. Il s’agit toutefois d’appareils toujours en développement, ce qui implique des ajustements possibles en cours de route et des produits finaux susceptibles de différer. Le tableau du jour mêle de nouvelles révélations à des rumeurs déjà évoquées plus ou moins récemment.

Image Apple/iGeneration

iPhone 17e

  • Nom de code interne : V159
  • Date de sortie visée : printemps 2026

Cet appareil remplacerait l’iPhone 16e en entrée de gamme au printemps prochain. The Information indique qu’il « adoptera un dos en verre afin de prendre en charge la recharge sans fil, l’une des fonctionnalités qui manquaient le plus aux utilisateurs de l’iPhone 16e. » L’iPhone 16e est pourtant bien compatible avec la recharge par induction et son dos est déjà en verre. En fait, c’est le MagSafe (les aimants et la puissance de 15 W) qui lui manque. Cette approximation est étonnante de la part de The Information. Quoi qu’il en soit, on espère que la nouveauté présumée est bien le MagSafe. Par ailleurs, l’iPhone 17e profiterait de la puce sans fil C1X déjà employée dans l’iPhone Air.

iPhone 18 Pro et Pro Max

  • Nom de code interne : V63 et V64
  • Date de sortie visée : automne 2026

Apple prévoirait d’intégrer les capteurs nécessaires à Face ID sous l’écran de ces deux modèles. Cette évolution entrainerait la disparition de la Dynamic Island. La caméra frontale resterait, elle, bien visible. Elle serait repositionnée vers le coin supérieur gauche de l’écran, comme sur certains smartphones Android. Une information qui a de quoi surprendre, Apple ayant toujours privilégié jusque-là un centrage des composants frontaux.

La Pomme envisagerait aussi d’adopter une nouvelle technologie d’assemblage de puces proposée par TSMC rapprochant la mémoire du processeur principal de l’iPhone. Cette technologie, appelée Wafer-Level Multi-Chip Module, permettrait au smartphone de prendre en charge de nouvelles fonctions d’IA avancées.

iPhone Fold (nom provisoire)

  • Nom de code interne : V68
  • Date de sortie visée : automne 2026

Le premier appareil à écran pliable d’Apple serait toujours prévu pour l’an prochain. Décrit comme l’un des téléphones les plus complexes jamais conçus par l’entreprise — on s’en doute un peu —, l’iPhone Fold aurait demandé l’aide d’ingénieurs supplémentaires, repoussant au passage un projet d’iPad pliant. Vous suivez ?

Contrairement aux modèles pliants de Samsung ou de Google, une fois déplié en mode paysage, l’iPhone Fold adopterait un ratio d’affichage proche de celui des iPad. Il serait donc plus large que haut. Fermé, il aurait un écran externe d’environ 5,3 pouces, une diagonale très proche de l’iPhone mini. Une fois déplié, il offrirait une dalle plus grande de 7,7 pouces, comme… les anciens iPad mini. Les dimensions des écrans pourraient encore évoluer, car on croit comprendre qu’il y aurait des doutes sur l’attractivité d’un écran externe si compact.

Comme sur les iPhone 18 Pro, une unique caméra frontale serait intégrée dans le coin supérieur gauche de l’écran, accompagnée des capteurs de luminosité, de proximité et d’autres capteurs.

iPhone 18

  • Nom de code interne : V67
  • Date de sortie visée : printemps 2027

Comme The Information l’avait déjà indiqué, l’iPhone 18 pourrait ne pas sortir en même temps que les iPhone 18 Pro. Apple envisagerait un report volontaire à l’année suivante afin de mieux répartir ses lancements sur le calendrier.

Par rapport au très bon iPhone 17, l’iPhone 18 s’annoncerait comme une mise à jour incrémentale, voire comme un léger recul. Son bouton dédié à la photo pourrait perdre la détection tactile et le retour haptique. Ça ne serait pas une grosse perte, tant ce bouton est peu commode.

iPhone Air, Pro et pliable : Apple prépare de grands bouleversements

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iPhone 18e

  • Nom de code interne : V69
  • Date de sortie visée : printemps 2027

Successeur de l’iPhone 17e, ce modèle reste encore largement mystérieux. On croise les doigts pour l’intégration de la puce UWB qui fait défaut à l’iPhone 16e, ainsi que du MagSafe s’il n’a pas trouvé son chemin entre temps dans l’iPhone 17e.

Image Apple/iGeneration

iPhone Air 2 (nom provisoire)

  • Nom de code interne : V62
  • Date de sortie visée : printemps 2027

En dépit d’une première version qui fait un four, Apple redonnerait sa chance à l’iPhone Air. La seconde génération pourrait gagner un second appareil photo à l’arrière et coûterait moins cher. De quoi rendre, peut-être, la formule plus attractive.

iPhone 20 (nom provisoire)

  • Nom de code interne : V72
  • Date de sortie visée : automne 2027

Ne l’appelez pas iPhone 19. Le successeur de l’iPhone 18 pourrait sauter un numéro à l’occasion du 20e anniversaire du smartphone. Son enveloppe en verre courbé à l’avant comme à l’arrière, ainsi que sur les quatre arêtes, permettrait d’obtenir un écran dépourvu du cadre noir qui apparaît habituellement sur les bords des écrans.

On ne sait pas si l’affichage sera lui-même incurvé sur les côtés, mais si vous voulez notre avis, on espère que ce ne sera pas le cas, car c’est peu ergonomique. Tous les fabricants Android qui proposaient des écrans incurvés en sont d’ailleurs peu à peu revenus.

À la place d’un châssis métallique, l’iPhone 20 n’arborerait qu’un fin bandeau en métal courant au milieu de la tranche, là où sont positionnés les boutons. Apple prévoirait d’intégrer la caméra frontale sous l’écran, ce qui en ferait le premier iPhone à offrir un affichage véritablement bord à bord, sans aucune encoche ni poinçon.

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Apple a un iMac plus puissant avec une puce M5 Max dans les cartons

Bonne nouvelle pour les amateurs du tout-en-un d’Apple : l’iMac n’est pas abandonné et il devrait même de nouveau recevoir une variante plus puissante. Dans la vague de rumeurs du jour, toutes liées à un prototype avec une version d’iOS qui n’aurait jamais dû sortir, l’ordinateur d’Apple n’était pas mentionné une seule fois, pouvant laisser craindre un abandon de la part de son créateur. MacRumors a de quoi rassurer, en tombant sur les traces d’un futur modèle équipé d’une puce bien plus puissante, probablement une M5 Max.

Image MacRumors.

Précisons tout d’abord que la source n’est pas la même. Cette fois, nos confrères ont trouvé l’information dans le « kernel debug kit », un ensemble d’outils utilisé en interne qui sert notamment à développer le noyau des différents systèmes d’exploitation d’Apple. Ce n’est pas une brique qui devrait sortir des couloirs de Cupertino et le site ne précise pas comment il a mis la main dessus, mais toujours est-il que ce kit révèle des informations nouvelles.

En l’occurrence, un futur Mac porte le nom de code J833c qui n’est pas encore connu. Il fonctionne sur une plateforme nommée H17C et associée à un autre code, « Sotra C », qui désignerait en interne la future puce M5 Max. Ce nom a déjà été croisé par le passé et il venait d’une source fiable, tandis que MacRumors ajoute que tous ces codes ont aussi été croisés plus récemment sur le réseau social chinois Weibo.

Du M5 aux processeurs d

Du M5 aux processeurs d'IA pour serveurs, Apple a du pain sur la planche

Étant donné la source, il pourrait aussi s’agir d’un prototype qui ne sortira jamais. Néanmoins, la sortie d’un successeur à l’ancien iMac de 27 pouces, abandonné lors de la transition Apple Silicon, n’est pas une rumeur nouvelle. Mark Gurman l’a évoquée à plusieurs reprises, en parlant d’un écran bien plus large, peut-être de 32 pouces, pour mieux faire la différence avec l’iMac actuel, de 24 pouces.

Apple travaillerait sur un nouvel iMac de plus de 30 pouces

Apple travaillerait sur un nouvel iMac de plus de 30 pouces

On peut souligner qu’Apple avait pris la peine de réfuter les thèses d’un retour de l’iMac de 27 pouces en 2023. Cela dit, les plans ont pu changer depuis et surtout, la réfutation était très précise en donnant une valeur numérique précise. Il n’y aura peut-être plus d’iMac de 27 pouces, mais un iMac Pro de 32 pouces, par contre…

Apple : « Il n

Apple : « Il n'y aura pas d'iMac 27 pouces Apple Silicon »

On attend la présentation des variantes plus puissantes de la M5 dans le courant de l’année prochaine. Si un iMac doit utiliser ces puces, on le découvrira probablement dans la foulée.

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Fitness+ s’élance en Belgique, mais Apple One Premium reste à l’écart

Comme Apple l’avait annoncé, Fitness+ a fait ses débuts hier, le 15 décembre, dans 28 nouveaux pays. Les utilisateurs de Belgique, des Pays-Bas, de Finlande, Pologne, Norvège, Suède et Islande, pour ne citer que les Européens, peuvent ainsi goûter aux joies des séances d’exercice proposées par les coachs survitaminés d’Apple.

Les trois formules Apple One en France

Comme en France, un essai gratuit d’un mois est disponible en Belgique, avant un abonnement facturé 9,99 €/mois ou 79,99 €/an. Mais une formule semble faire défaut à nos amis belges. Dans l’Hexagone, on peut souscrire le forfait Apple One Premium à 34,95 €/mois qui comprend 2 To de stockage sur iCloud, Apple TV+, Apple Music, Apple Arcade, Apple Fitness+, et tout ça pour cinq personnes. Une offre qui permet de réaliser plusieurs euros d’économies par rapport à des abonnements pris séparément.

Or, en Belgique, comme dans les 27 autres pays où Fitness+ vient d’arriver, Apple One Premium n’est toujours pas proposé. La situation est d’autant plus étrange que la page belge d’Apple Fitness+ mentionne « un pack avec Apple Fitness+ et quatre autres services Apple pour un tarif mensuel unique et réduit. » La formule Apple One Premium est-elle en fait bien cachée ou est-ce une question de temps avant qu’elle n’arrive ?

Les deux seules formules Apple One en Belgique

À moins que cette absence ne soit le signe avant-coureur d’une réorganisation plus large autour de Fitness+. Le service a récemment changé de tutelle et dépend désormais de Sumbul Desai, la responsable santé d’Apple. En parallèle, des rumeurs évoquent le lancement d’un nouveau service baptisé Health+. Fitness+ pourrait-il, à terme, être rattaché d’une manière ou d’une autre à cette future offre ?

Quel avenir pour Apple Fitness+ ?

Quel avenir pour Apple Fitness+ ?

Apple Fitness+ ajoute la Belgique et 27 autres pays et des doublages générés par IA

Apple Fitness+ ajoute la Belgique et 27 autres pays et des doublages générés par IA

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Pour des analystes, Apple et Samsung sont les mieux placés pour résister à la RAMpocalypse

Vous avez dû le remarquer, nous sommes actuellement dans ce que certains nomment la RAMpocalypse : le prix de la mémoire vive a été multiplié par cinq ces dernières semaines, et le prix de la mémoire flash suit la même voie, avec un peu de décalage. Les hausses sont essentiellement liées à l'essor de l'IA : les principaux fabricants de RAM préfèrent fabriquer de la mémoire pour les serveurs (qui utilisent des puces spécifiques) que de la RAM pour les smartphones, PC et autres appareils qui se trouvent dans nos foyers. Cette RAMpocalypse a des effets bien concrets dans les étals (comme sur les prix des barrettes) mais va aussi toucher les fabricants de smartphones. Et pour Counterpoint Research, Samsung et Apple sont bien placés pour arriver à réduire la casse.

La RAM des iPhone est directement sur la puce (au centre). Image iFixit.

Pour les analystes, le marché des smartphones va être touché, avec une diminution des expéditions de l'ordre de 2,1 %. Et Apple et Samsung ont plusieurs avantages dans ce domaine sur leurs concurrents. Le premier est très structurel : la quantité de mémoire vive dans un smartphone ne diffère pas sensiblement entre un smartphone d'entrée de gamme et un smartphone haut de gamme. Une bonne partie de l'entrée de gamme possède déjà souvent 8 Go de RAM, quand le haut de gamme passe généralement à 12 ou 16 Go. Une différence qui implique que la part de la RAM dans le coût global est plus faible en haut de gamme. Pour les analystes, la hausse a un impact de l'ordre de 10 % sur un appareil haut de gamme, 15 % en milieu de gamme et 25 % en entrée de gamme1.

Les raisons, liées, qui expliquent que Samsung et Apple pourraient mieux résister sont évidentes : les deux sociétés vendent des smartphones haut de gamme (même si Samsung fait aussi du volume avec des modèles milieu de gamme, comme les séries A), elles ont des marges confortables sur lesquelles il est possible de rogner, au moins à court terme, et elles sont assez grosses pour tenter de continuer à avoir des prix préférentiels et obtenir des contrats à un prix fixe. Ce n'est pas une science exacte — la division mobile de Samsung a visiblement du mal à obtenir de la RAM de la division qui produit la mémoire — mais ce sont des points qui devraient permettre de limiter les dégâts.

La DDR5, c'est un peu comme un lingot d'or. Image Crucial.

Pour les fabricants chinois habitués à vendre des modèles d'entrée de gamme en masse, le problème est bien plus compliqué. Les coûts augmentent largement, les marges sont faibles et ne peuvent pas nécessairement être réduites, et ils ne peuvent pas se reposer sur des modèles plus onéreux pour limiter la casse. Les rumeurs actuelles tendent vers le pire scénario possible pour les utilisateurs : une réduction de la quantité de mémoire vive (probablement seulement 4 ou 6 Go) couplée à une hausse des prix.

Les ordinateurs dans le même bateau

Les ordinateurs en général sont touchés de la même façon, avec les mêmes problèmes. L'entrée de gamme est largement passée à 16 Go de RAM ces dernières années, et une grosse augmentation a donc plus d'impact sur un PC Dell vendu 500 € que sur un MacBook Pro qui est à 1 800 € avec la même quantité de RAM2. Les fabricants doivent donc augmenter les prix, et le retour des PC portables avec 8 Go de RAM n'est pas à exclure à court terme.


  1. Sans que ce soit détaillé, on peut probablement placer les premiers aux alentours de 800 € et plus, les autres vers 500 € et les derniers dans les modèles sous les 300 €.  ↩︎

  2. Même si la LPDDR5X choisie par Apple est plus rapide et donc un peu plus onéreuse.  ↩︎

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L’iPad mini 8 directement doté d’une puce A20 Pro, comme les iPhone 18 Pro ?

Alors comme ça, il n’y a aucun iPad mini dans l’énorme fuite portant sur les produits d’Apple en préparation ? Eh bien si ! En y regardant de plus près, le leaker Kang croit avoir identifié la prochaine petite tablette, avec même une surprise à la clé.

iPad mini A17 Pro. Image Apple.

Après inspection d’une version spéciale d’iOS 26, il apparait que l’iPad mini 8, qui porte les identifiants J510 et J511, est bien au programme et qu’il aura une puce A20 Pro. C’est une surprise, car une précédente rumeur mentionnait une puce A19 Pro, c’est-à-dire celle introduite par les iPhone 17 Pro et l’iPhone Air. Pour rappel, l’iPad mini actuel, sorti fin 2024, tourne avec une puce A17 Pro, comme les iPhone 15 Pro. C’est le système sur puce minimum pour profiter d’Apple Intelligence.

Si d’aventure l’iPad mini 8 passe directement à l’A20 Pro et non l’A19 Pro, on suppose qu’il ne sortira pas avant la fin de l’année prochaine, pour que les iPhone 18 Pro inaugurent cette nouvelle puce avant lui. Apple a déjà donné le coup d’envoi d’un système sur puce avec un iPad (la puce M4 dévoilée avec les iPad Pro 2024), mais on imagine mal l’iPad mini bénéficier d’un tel privilège.

Au-delà du processeur, l’iPad mini 2026 pourrait jouir d’un écran OLED et peut-être même d’une résistance à l’eau. Des changements d’ampleur qui pourraient redonner de l’allant à cette petite tablette qui avance à un rythme irrégulier.

Test de l’iPad mini 7 : un péché mignon

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Le code d

Le code d'iOS 19 révèle les produits en gestation chez Apple (Mac, iPhone...) pour 2026 et les années à venir !

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Apple met à jour son application Android de détection de traqueurs, peut-être pour les AirTags 2

Alors que les rumeurs sur les AirTags 2 se précisent, Apple a mis à jour une application Android qu'elle n'a pas souvent modifiée : Détection de traqueurs (Tracker Detect). Lancée en 2021, elle permet à un utilisateur de smartphone Android de détecter les traqueurs iOS.

Un AirTag vous suit ? Il y a une app pour ça. Image Apple.

Cette mise à jour est un peu étonnante : tant iOS qu'Android détectent automatiquement les traqueurs depuis quelques années maintenant. Apple avait mis en place une fonction pour détecter les traqueurs Android avec iOS 17.5 et Google a fait de même avec Android.

Les nouveautés sont vagues.
iOS 17.5 détecte les traqueurs Bluetooth du réseau de Google

iOS 17.5 détecte les traqueurs Bluetooth du réseau de Google

Apple prévient qu'Android détecte automatiquement les traqueurs.

Une des raisons possibles de la mise à jour de l'app en version 1.2 est probablement l'arrivée des AirTags 2. Ils sont présents dans le code d'iOS 26 et devraient être nettement plus précis. Nous avons regardé dans le code de l'app Android sans trouver de références claires aux nouveaux modèles, mais il est possible que les changements sur la précision ou la manière de remettre à zéro le traqueur soient modifiés avec les nouveaux modèles.

Vous pouvez faire sonner un traqueur détecté, ou apprendre comment le désactiver.

L'app d'Apple demeure intéressante si vous avez un smartphone Android et que vous soupçonnez qu'une personne a décidé de vous suivre avec un traqueur Apple : elle permet de lancer une détection manuelle. Si le traqueur est détecté près de vous pendant plus de dix minutes (un délai qui permet d’éviter en partie les faux positifs), vous pourrez ensuite le faire sonner pour tenter de le trouver et éventuellement le désactiver grâce aux instructions d'Apple.

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Tado° mise sur le logiciel pour équilibrer un réseau de chauffage à radiateurs

Tado° présente une nouvelle fonctionnalité pour ses clients qui sont chauffés avec des radiateurs à eau associés à une chaudière ou pompe à chaleur. À condition d’être équipé de la dernière génération « X » et d’avoir installé des têtes thermostatiques sur les radiateurs pour les contrôler individuellement, il est maintenant possible de réaliser un équilibrage hydraulique du réseau automatiquement depuis l’app. Cette opération améliore l’homogénéité du chauffage et augmente le rendement énergétique en faisant en sorte que tous les radiateurs reçoivent la même quantité d’eau chaude.

L’équilibrage hydraulique expliqué dans l’app de Tado°, à côté d’une tête thermostatique indispensable au bon fonctionnement de la fonctionnalité. Image Tado°.
L’équilibrage hydraulique expliqué dans l’app de Tado°, à côté d’une tête thermostatique indispensable au bon fonctionnement de la fonctionnalité. Image Tado°.

Par défaut, l’eau chaude envoyée par la chaudière ou pompe à chaleur va arriver avec force dans le radiateur le plus proche et il ne restera plus beaucoup d’eau chaude pour le radiateur le plus éloigné. Pour uniformiser le chauffage, on fait traditionnellement appel à un chauffagiste qui va intervenir sur le réseau de chauffage en commençant par une vidange complète, puis en modifiant le matériel pour que les flux soient plus homogènes. Tado° propose une solution alternative, qui ne nécessite aucune intervention et qui fonctionne uniquement grâce à ses produits.

Concrètement, vous devrez avoir à la fois le thermostat Tado° X qui contrôle la source du chauffage et des têtes thermostatiques de la même génération sur chaque radiateur. Avec cette base, l’app va réduire automatiquement le débit en fermant un petit peu les têtes les plus proches de la source et en ouvrant davantage celles qui sont éloignées. Le fabricant promet un processus automatisé, qui dépend seulement de la température observée par ses appareils. Si la tête installée sur un radiateur observe une chauffe très rapide de la pièce alors qu’une autre remarque une montée en température plus lente, le système partira du principe que le premier radiateur est proche de la chaudière et le deuxième éloigné.

Une fois ce premier constat établi, Tado° ajustera automatiquement l’apport d’eau chaude pour que tous les radiateurs soient à égalité. On devrait ainsi avoir l’équivalent d’un équilibrage hydraulique physique réalisé par un professionnel, mais dans une version logicielle permise par la domotique. Reste à savoir si cela fonctionne aussi bien que l’affirme le fabricant, même si au minimum, cela devrait améliorer le confort thermique du logement, en chauffant plus efficacement les différentes pièces.

La nouveauté nécessite une souscription à Tado° AI, le nouveau nom de l’abonnement proposé par le fabricant depuis bien des années. La formule propose de nombreuses autres fonctionnalités, essentiellement des automatisations pour limiter la consommation d’énergie tout en bénéficiant d’une température agréable, le tout avec une bonne dose d’intelligence artificielle, parce qu’on est presque en 2026. Comptez 3,99 € par mois pour en bénéficier.

Tado° bascule son système de contrôle du chauffage dans l’ère de l’IA avec tado° AI Assist

Tado° bascule son système de contrôle du chauffage dans l’ère de l’IA avec tado° AI Assist

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N'installez pas iOS 26.3 en bêta si vous avez une Apple Watch chez Free : ça ne fonctionne pas

Free a enfin lancé une option pour utiliser la fonction cellulaire des Apple Watch, en parallèle d'iOS 26.2. Mais attention, cette nouveauté (gratuite, contrairement aux autres opérateurs) ne fonctionne pas avec la version bêta 26.3 d'iOS, sortie hier.

L'eSIM sur Apple Watch chez Free ? Oui, mais pas avec la bêta 1 d'iOS 26.3.
Free Mobile adopte enfin l’Apple Watch, avec une option gratuite pour ses abonnés 5G

Free Mobile adopte enfin l’Apple Watch, avec une option gratuite pour ses abonnés 5G

C'est un problème confirmé par plusieurs personnes sur les réseaux sociaux, et qui est simplement dépendant du développement chez Apple. iOS a besoin d'un fichier avec les paramètres des opérateurs (l'IPCC) et il dépend de la version du système d'exploitation depuis quelques années. Si le fichier de la version finale d'iOS 26.2 est bien compatible avec les Apple Watch chez Free, ce n'est pas le cas de celui de la première bêta d'iOS 26.3, qui a probablement été finalisée un peu avant.

La seule solution est simple : attendre. Apple devrait probablement mettre à jour ses fichiers pour la seconde bêta. Mais compte tenu de la période, elle ne devrait pas arriver avant l'année prochaine.

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Crucial écoule ses stocks de SSD Externe : 1 To dès 80 €, 2 To dès 133 €, 4 To dès 240 €

RAM, SSD, stockage… Il est devenu difficile de faire de bonnes affaires, la faute à la frénésie d’achats causée par le boom des intelligences artificielles génératives.

On ignore si ces promotions sont liées au fait que Crucial va bientôt fermer rideau, mais elles sont intéressantes.

Les Crucial X10 Pro à partir de 150 €

Si vous êtes à la recherche d’un peu de stockage, on vous recommande de jeter un œil à ces SSD externes de Crucial. Il est possible de faire l’acquisition du X10 Pro 2 To pour 150 €, soit 45 € de moins que son prix public. Le modèle 4 To est proposé pour sa part à 295 €.

Les Crucial X10 Pro font partie des SSD externes haut de gamme sortis en 2023 : avec des débits annoncés jusqu’à 2 100 Mo/s en lecture et 2 000 Mo/s en écriture, ils visent ceux qui manipulent de gros fichiers au quotidien — vidéo, photo, bibliothèques de projets, sauvegardes rapides. À l’intérieur, on trouve de la mémoire 3D TLC en NVMe (bus PCIe), reliée en USB 3.2 Gen2x2 Type-C, et un chiffrement matériel AES 256 bits pour sécuriser les données sans plomber les performances. Le tout tient dans un boîtier en aluminium très compact (65 × 50 × 10 mm, 42 g) et conçu pour encaisser : IP55 (poussière/éclaboussures), résistant aux chocs, et annoncé comme hydrofuge.

Test des Crucial X9 Pro et X10 Pro, deux SSD externes compacts et rapides

Test des Crucial X9 Pro et X10 Pro, deux SSD externes compacts et rapides

Les Crucial X9 à partir de 80 €

Les Crucial X9 jouent une partition plus simple que les X10 Pro : ce sont des SSD externes compacts et faciles à emporter, pensés avant tout pour augmenter rapidement l’espace de stockage et déplacer des fichiers sans prise de tête. Ils misent sur un format discret, un boîtier conçu pour résister à la vie nomade et une connexion USB-C pour fonctionner aussi bien avec un Mac qu’avec un PC ou certains appareils mobiles. Ils offrent jusqu’à 1 050 Mo/s en lecture, et à peu près autant en écriture. En clair : une solution sobre et pratique pour des sauvegardes, des bibliothèques photo/vidéo, ou du stockage d’appoint au quotidien.

Bref, des SSD moins performants, mais des prix encore plus doux :

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Renault affiche les tarifs de sa nouvelle Twingo, techniquement sous la barre des 15 000 €

Dévoilée le mois dernier, la nouvelle Twingo E-Tech sera commercialisée dans quelques semaines, même si les commandes ont débuté aujourd’hui pour les plus pressés qui avaient acheté le « Twingo R Pass » (vendu 100 €) lors de la présentation officielle. De ce fait, le véhicule s’est glissé sur le configurateur en ligne de Renault et surtout, le constructeur a dévoilé la grille de prix. Sa promesse était de vendre la voiture à moins de 20 000 € avant les aides et c’est bien le cas, puisqu’elle sera proposée à partir de 19 490 €. Grâce aux aides en France, Renault revendique même un tarif de 14 720 €, même s’il y a quelques astérisques importants à prendre en compte.

Image Renault/MacGeneration.

Pour passer sous la barre des 15 000 €, il faudra tout d’abord patienter un petit peu plus, puisque cela concerne la variante d’entrée de gamme, « Evolution », qui ne sera pas vendue avant le printemps, sans plus de précision à ce stade. Le 6 janvier 2026, c’est la version « Techno » haut de gamme qui sera proposée en commande, un modèle qui débute cette fois à 21 090 € avant déduction des aides. Le coup de pouce destiné aux véhicules particuliers sera maintenu en 2026 et Renault annonce les aides qui seront accessibles à tous ses clients, avec une variation selon leurs revenus.

Voiture électrique : des aides maintenues et même augmentées en 2026, mais les détails restent flous

Voiture électrique : des aides maintenues et même augmentées en 2026, mais les détails restent flous

Tous les clients pourront bénéficier d’une aide de 3 620 € sur les Twingo électriques, soit un prix de départ de 17 470 € sur la Techno. Les ménages les plus précaires pourront obtenir une aide plus élevée, jusqu’à 4 770 €, et repartir avec une version haut de gamme à partir de 16 320 €. Pour le modèle de base, le tarif descend même à 14 720 €, ce qui concrétise la promesse de Renault. Tous ces prix s’entendent hors options et il y en a une qui aurait dû faire partie de la dotation de série et que l’on aura tout intérêt à cocher systématiquement dans le configurateur.

En effet, toutes les Twingo E-Tech se passent de charge rapide par défaut. Renault se limite à une recharge de série à 6,6 kW, bien loin des 22 kW de l’ancienne génération, et facture en supplément l’ajout du connecteur CCS pour atteindre une puissance de 50 kW. Un choix discutable pour un véhicule électrique lancé en 2026. Même si la voiture est pensée pour un usage urbain, l’absence de charge rapide risque de devenir une contrainte réelle au cours de sa vie. Faire de longs trajets sera pratiquement impossible : si l’autonomie annoncée (260 km théorique) constitue déjà un frein, c’est surtout le temps nécessaire pour remplir la batterie de 27,5 kWh (plus de quatre heures) qui pose problème.

Image Renault.

La recharge rapide en courant continu permettra de ramener l’opération à une demi-heure environ, ce qui est raisonnable sur ce segment. Le « Pack Advanced Charge » est vendu à 500 € quelle que soit la version de base, un tarif raisonnable qui devrait être systématiquement pris en compte dans le prix de la voiture. Même Renault en a conscience, en communiquant sur un prix de départ avec l’option à 15 220 € pour les ménages précaires. On repasse au-dessus du seuil des 15 000 €, certes, mais on a un véhicule bien plus polyvalent, capable de répondre à des situations d’urgence et bien plus désirable à long terme, notamment sur le marché de l’occasion. L’option ajoute aussi un chargeur embarqué de 11 kW, ce qui permet de remplir la batterie en 2h35, ainsi que les V2G et V2L qui deviendront incontournables dans quelques années1.

Pour le prix demandé, la Twingo E-Tech d’entrée de gamme n’est pas une voiture au rabais, loin de là. Renault n’a retiré aucun écran et on peut les utiliser sur la version Evolution pour projeter son smartphone avec CarPlay et Android Auto. Si la version Techno ajoute quelques raffinements appréciables, comme la conduite à une seule pédale ou encore le système complet de Google avec Maps intégré en guise de planificateur, le modèle de base est tout à fait correct… à condition toutefois d’intégrer d’emblée les 500 € nécessaires à une configuration réellement exploitable.

Renault assume le choix de ne pas intégrer la charge rapide de série, en s’appuyant sur les usages constatés de ses clients. Cela lui permet de revendiquer un prix plancher sous les 15 000 € : un symbole, plus qu’une réalité commerciale. En pratique, peu d’acheteurs paieront ce prix et il aurait sans doute été plus cohérent de supprimer l’option et d’augmenter l’ensemble de la gamme de 500 €. En l’état, de nombreux clients risquent de ne pas anticiper cette limite et de s’en mordre les doigts.


  1. « Vehicle-to-Grid » et « Vehicle-to-Load », c’est-à-dire la possibilité d’exploiter la batterie d’une voiture pour renvoyer de l’énergie sur le réseau public ou dans un logement, ou pour alimenter des appareils. Ces technologies sont encore balbutiantes, elles devraient toutefois prendre de l’importance.  ↩︎

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Apple ajoute la compatibilité Google Cast à Apple TV sous Android

Au début du mois de décembre 2025, Netflix supprimait la compatibilité Google Cast de ses applications, pour pousser l'usage de ses applications. Apple, dans le même temps, vient de l'ajouter à l'app Apple TV pour Android. Cette version longtemps attendue a été lancée en 2025, et elle permet donc d'accéder au service Apple TV d'Apple sur les appareils Android.

L'app Android permet de caster vers un appareil Google Cast. Image iGeneration.
Netflix désactive Google Cast dans la majorité des cas, la recopie vidéo est presque morte

Netflix désactive Google Cast dans la majorité des cas, la recopie vidéo est presque morte

Nous avons pu vérifier le fonctionnement avec l'app en version 2.2 et un Google Chromecast (avec Google TV) sans soucis particuliers : l'app affiche directement le Chromecast, et le transfert du smartphone au boîtier TV a été assez rapide. Rappelons que la technologie de Google n'est pas directement de la recopie : elle consiste à fournir au récepteur un lien direct vers la vidéo, qui sera lue par ce dernier.

Le chargement est en cours. Image iGeneration.

Notons tout de même que comme pour Netflix, il est plus simple de regarder le service directement depuis votre appareil. Apple propose l'app Apple TV sur de nombreux systèmes d'exploitation (Google TV, Tizen, les consoles, etc.) et la possibilité de caster n'est donc qu'une solution d'appoint. Mais si vous avez un vieux modèle de Chromecast ou si vous préférez lancer les contenus depuis un smartphone, c'est une nouveauté qui reste pratique.

Pluribus casté depuis un smartphone Android. Image iGeneration.

Bien évidemment, ce changement se limite à Android : sous iOS, il faut se contenter d'AirPlay.

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L'activation manuelle du TRIM n'est plus réellement nécessaire sous macOS

Une petite piqûre de rappel ne fait jamais de mal, même si nous avons déjà consacré plusieurs dossiers à cette commande particulière des SSD : avec les versions modernes de macOS et le matériel actuel, l'activation de la commande TRIM manuellement n'est plus nécessaire, sauf dans un cas précis, assez rare : si vous avez un SSD SATA connecté.

Sous macOS, l'activation manuelle du TRIM n'est nécessaire qu'avec les vieux SSD SATA. Image Crucial.

La commande TRIM est une optimisation des SSD apparue à la fin des 2000, qui permet d'indiquer au contrôleur d'un SSD qu'une zone de la mémoire flash a bien été effacée, et qu'il peut donc l'employer pour sa gestion de l'usure. Sans trop entrer dans les détails, le contrôleur du SSD, par défaut, n'a absolument aucune idée de la façon dont sont organisées vos données. Il ne peut pas déterminer si les informations sont importantes ou si le système de fichiers (APFS, HFS+, etc.) a effacé les données. En effet, si vous videz la corbeille, son contenu n'est pas réellement effacé : ce sont les liens vers les données, au niveau du système de fichiers, qui le sont. Les données, elles, sont toujours bien présentes. Le but du TRIM est simple : indiquer au contrôleur que la zone est libre, sans devoir remettre physiquement les données à zéro.

Entre 2009 et 2015 environ, Apple a fait un choix un peu surprenant : seuls les SSD équipés d'un firmware Apple (soit ceux installés en usine dans les Mac) acceptaient la commande TRIM. Des applications permettant de modifier Mac OS X, comme TRIM Enabler, sont alors apparues. En 2015, avec OS X Yosemite, Apple a ajouté une ligne de commande pour forcer le TRIM dans tous les cas… mais elle est largement obsolète en 2025.

Le point sur le TRIM avec macOS en 2024, pour prendre soin de vos SSD

Le point sur le TRIM avec macOS en 2024, pour prendre soin de vos SSD

Les SSD NVMe et USB acceptent le TRIM

La commande trimforce ne sert que dans un cas précis : si vous avez un SSD SATA branché en direct. Dans les Mac, vous en trouverez dans les Mac Pro avant 2013, dans les MacBook Pro jusqu'en 2012 environ et ensuite dans quelques Mac mini et iMac. Mais dès 2013, Apple a commencé à équiper les Mac avec des SSD PCI-Express (puis PCI-Express NVMe). Sur ces derniers, quel que soit le modèle, le TRIM est actif. De même, depuis macOS Monterey, le TRIM est actif en USB si votre adaptateur ou boîtier USB l'accepte.

TRIM Enabler ne sert plus à activer le TRIM.

En l'état, en 2025, la commande d'Apple (et TRIM Enabler) n’est utile que sur de vieux Mac avec un SSD SATA qui n'est pas d'origine Apple, et dans quelques rares boîtiers Thunderbolt qui acceptent les SSD SATA, comme certains vieux modèles LaCie. Si vous avez un SSD externe ou si vous installez un SSD dans un Mac Pro, elle n'est donc pas nécessaire. De même, si vous avez un SSD SATA avec un adaptateur USB, la commande n'est pas nécessaire.

Enfin, rappelons tout de même un point : si vous avez un SSD formaté en exFAT, le TRIM ne fonctionne pas. Ce n'est pas un bridage d'Apple dans ce cas précis, mais bien un défaut du système de fichiers. Si vous voulez prolonger la durée de vie d'un SSD externe et réduire l'usure, il faut le formater en APFS ou éventuellement en HFS+.

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ChatGPT annonce le retrait du mode Voice uniquement sous macOS

ChatGPT annonce dans son app macOS le retrait à venir de la fonction « Voice », l’assistant vocal imaginé par OpenAI. Quand on l’utilise sur le Mac, un message s’affiche pour signaler qu’elle sera désactivée à partir du 15 janvier 2026. Le texte associé précise que l’entreprise travaille sur « des expériences vocales plus unifiées et améliorées au sein de nos apps », tout en renvoyant sur cette page qui ne permet pas d’en apprendre beaucoup plus.

Le message indiquant la fin à venir de ChatGPT Voice sur le Mac. Image MacGeneration.
Le message indiquant la fin à venir de ChatGPT Voice sur le Mac. Image MacGeneration.

Précisons que ce retrait ne concerne que l’app macOS, pas la fonctionnalité elle-même. Voice restera disponible sur iOS, Android et même sous Windows et sur la version web de ChatGPT, bref partout, sauf sur le Mac. Pourquoi ce retrait ? Si OpenAI ne donne pas de raison, le site Apple Ch. qui a remonté l’information fait le lien avec un message publié en octobre sur X par Stephan Casas, développeur iOS et macOS au sein de l’entreprise. Il y indique que l’équipe de développement de ChatGPT pour le Mac a été sollicitée pour créer ChatGPT Atlas, le navigateur web d’OpenAI sorti fin octobre.

J’ai passé une semaine avec ChatGPT Atlas en guise de navigateur principal

J’ai passé une semaine avec ChatGPT Atlas en guise de navigateur principal

De ce fait, le développement de ChatGPT sur le Mac a fortement ralenti, ce que les utilisateurs ont pu constater. Son interface native reste un argument fort face à ses concurrents qui reposent largement sur les technologies du web, mais il est vrai qu’elle n’évolue plus trop depuis plusieurs mois. Alors qu’OpenAI avait ajouté plusieurs ponts avec des apps, il n’y a plus eu d’ajouts depuis bien longtemps et j’ai noté quelques bugs d’interface avec les versions récentes de macOS, notamment sur la position du curseur. Bref, on sent que l’app n’a pas été une priorité pour le créateur de ChatGPT et cela se ressent fortement.

Fort heureusement, OpenAI a probablement un plan pour le Mac, qui tient en trois lettres : Sky. Cette app d’automatisation a été créée par les concepteurs de Workflow, devenue Raccourcis, avant d’être achetée par la firme de Sam Altman. L’opération a également été rendue publique en octobre dernier et on peut imaginer que l’équipe de Sky travaille aussi vite que possible sur une grosse mise à jour de ChatGPT pour macOS.

Sky, la nouvelle app des créateurs de Raccourcis, automatise tout le Mac grâce à l’intelligence artificielle

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OpenAI achète Sky, l’outil d’automatisation basé sur IA des créateurs de Raccourcis

OpenAI achète Sky, l’outil d’automatisation basé sur IA des créateurs de Raccourcis

Est-ce que l’on commencera à voir les fruits de cet effort d’ici le 15 janvier 2026, c’est-à-dire avant l’arrêt de la fonctionnalité Voice ? C’est une hypothèse très intéressante et on aura (peut-être) un début de réponse d’ici un mois…

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Le prix des iPad Pro M5 commence enfin à baisser

Si le prix des MacBook Pro M5 ont rapidement baissé, celui des iPad Pro M5 sont resté longtemps stable si l’on met de côté les filiales d’import.

Voici les différents modèles qui font l’objet d’une promotion :

Seuls les modèles Wi-Fi sont concernés par cette promotion. Pour toutes ces références, Amazon promet une livraison avant Noël. Si le prix est le facteur premier dans votre choix, on trouve par exemple des iPad Pro M5 11” 256 Go 899 € chez Rakuten. Il s’agit d’un modèle d’import. Quitte à se répéter, vu l’économie constatée, on ne peut que vous conseiller de prendre un contrat Apple Care.

Test des iPad Pro M5 : toujours plus forts, pas vraiment plus pros

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