↩ Accueil

Vue lecture

iPad mini 7 : le petite tablette d’Apple s’offre une rare baisse de prix à 549 € (-10 %)

C’est le bon moment pour acheter un iPad. En plus des promotions sur l’iPad Air ce matin, Amazon affiche en ce moment une bonne remise sur l’iPad mini. La tablette perd 10 % dans son format 128 Go pour tomber à 549 € en violet, soit 60 € de moins que son tarif en Apple Store. Les autres coloris sont vendus 10 € de plus.

iPad mini 7. Image iGeneration.

Les déclinaisons avec plus de stockage ne sont pas en reste. La tablette avec 256 Go et un coloris Lumière stellaire revient à 649 € (-12 %). En version 512 Go, cet iPad est vendu 50 € de moins. L’option cellulaire a droit à une ristourne similaire, ce qui peut être intéressant pour les voyageurs tant la petite tablette peut facilement être glissée dans un sac.

L’iPad mini 7 est sorti en octobre 2024, mais un successeur n’est pas attendu dans l’immédiat, le cycle de renouvellement de ce modèle étant plus long que les autres. La dernière génération est compatible 5G et embarque la puce A17 Pro des iPhone 15 Pro. Cela lui permet de prendre en charge les différentes fonctions Apple Intelligence. Elle est compatible avec l’Apple Pencil Pro, mais n’a pas de Magic Keyboard dédié comme c’est le cas du reste de la gamme.

Test de l’iPad mini 7 : un péché mignon

Test de l’iPad mini 7 : un péché mignon

Le format n'a pas évolué mais reste parfait pour ceux voulant une tablette compacte et facilement transportable. L’autonomie promise est de 10 heures, et l’appareil photo intégré pourra être pratique pour scanner des documents. La tablette n’a plus vraiment de défaut depuis que le jelly scrolling de la précédente version a disparu. On regrettera tout de même que la charge ne soit pas plus rapide, surtout maintenant que les iPhone et même le dernier iPad Pro s’y sont mis.

Si vous voulez un iPad plus performant, Amazon affiche des promotions intéressantes sur l’iPad Air. Le modèle 11" M4 est en ce moment à 599 €, soit 50 € de plus que cet iPad mini. La version compatible 5G est, elle, en promotion à 755 €.

  •  

PD2770U : BenQ lance un nouveau moniteur 4K 27" calibré pour les pros de l’image

BenQ a aujourd’hui présenté un nouveau moniteur 4K 27" : le PD2770U. Pensé avant tout pour les graphistes et autres créateurs ayant besoin d’une excellente fidélité d’image, il embarque un système de calibration automatique s'adaptant à la lumière, ainsi que de quoi la synchroniser facilement à d’autres moniteurs. Un capot anti-reflet magnétique est inclus pour cette dalle IPS 60 Hz éclairée à 400 nits.

Image BenQ/MacGeneration

BenQ vante un rendu des couleurs excellent avec une couverture de 99 % d’Adobe RGB, 99 % du DCI-P3 et 100 % du Rec.709. Le moniteur est certifié Pantone, Pantone SkinTone et vérifié Calman. Le fabricant promet une dalle « Nano Matte » éliminant les reflets. L’idée est que les professionnels soient certains que leurs couleurs restent constantes, du brouillon à la livraison au client. L’écran embarque un port RJ45 et un logiciel DMS local, servant à synchroniser la calibration et les paramètres d’affichage sur plusieurs postes de travail.

Côté connectique, on retrouve un duo de HDMI, un DisplayPort, un USB-C pour brancher un Mac avec Power Delivery 96W et un second pour les données (ou le switch KVM). L’écran est réglable en hauteur sur 115mm, et peut être tourné à 90° pour un affichage en mode portrait. Le calibreur intégré caché dans la bordure supérieure va permettre de garder une bonne précision des couleurs sans avoir à acheter une sonde supplémentaire. L’écran s’adaptera également à l’éclairage de la pièce.

Le moniteur est livré avec l’application BenQ Display Pilot 2, que nous avions trouvé sympathique et qui sera une bonne alternative à des utilitaires comme BetterDisplay. Aucun haut-parleur n’est embarqué, mais on y trouve tout de même une prise casque. Une petite molette pour des raccourcis est aussi incluse dans le carton. Ce moniteur sera vendu au début 2026 pour 1 699 €.

  •  

iPadOS 26.1 : l’app dédiée au Vision Pro arrive bientôt sur tablettes

Après l’iPhone, l’application du Vision Pro arrivera bientôt sur l’iPad. Cupertino a confirmé dans un communiqué de presse que l’utilitaire sera déployé au côté d’iPadOS 26.1, attendu en version finale prochainement et actuellement en bêta. L’annonce a été faite à l'occasion de la présentation du Vision Pro M5, dévoilé hier.

L’app sur iOS. Image iGeneration

L’app pour Vision Pro est arrivée au côté de visionOS 2.4 et d’iOS 18.4 en début d’année. Elle permet de gérer le casque et ses apps, mais aussi d’en découvrir de nouvelles. Apple y fait la retape de ses contenus immersifs et autres jeux Apple Arcade. On y trouve également une galerie spatiale avec des panoramas conçus par des tiers, ainsi que des astuces et diverses informations sur le casque. C’est enfin l’endroit où régler le mode Invité pour faire essayer son achat à ses amis.

À sa sortie, l’app s’était retrouvée installée par défaut sur les téléphones des propriétaires de Vision Pro : on peut imaginer qu’il en serait de même sur iPad. La version finale d’iPadOS 26.1 est attendue à la fin du mois ou au début novembre.

  •  

VMware Fusion passe en version 25H2 et virtualise macOS Tahoe sur les Mac Intel

VMware Fusion, devenu gratuit l'année dernière, évolue. Le logiciel de virtualisation passe de la version 13.6 à la version 25H2, un nouveau système de numérotation déjà employé par Microsoft, par exemple. Le 25 indique l'année de sortie (2025) et le H2 le semestre (le second, donc). Cette version 25H2, disponible pour les Mac Apple Silicon et Intel, ajoute la prise en charge de l'USB 3.2, passe à la version 22 de la plateforme matérielle et ajoute des outils (dictTool) qui permettent de modifier facilement les paramètres des machines virtuelles en ligne de commande.

Fusion 25H2.

La page de présentation indique que de nouveaux systèmes d'exploitation client sont de la partie : Red Hat Entreprise Linux 10, Fedora Linux 42, Debian 13, Oracle Linux 10 ou macOS Tahoe (uniquement sur les Mac Intel pour ce dernier). Du côté de l'hôte, macOS Tahoe est pris en charge sur les machines x86 ou ARM. Enfin, si en théorie la version 22 de la plateforme matérielle permet la virtualisation des cartes d'extension (PCI passthrough), comme l'indique Next, VMware Fusion ne semble pas en profiter.

Une erreur énervante en version 13.

Notons que la mise à jour automatique est cassée depuis quelques semaines. Broadcom, qui a racheté VMware, a visiblement un problème sur la maintenance des adresses nécessaires à la mise à jour. Il est donc obligatoire d'aller télécharger explicitement la version 25H2 manuellement. L'accès à la nouvelle version se trouve sur cette page et nécessite quelques manipulations, qui vont dépendre de votre compte chez Broadcom.

  •  

Amazon va plus loin qu’Apple : l’iPad Air M3 dès 599 €, un prix record

Au lendemain de la baisse de prix surprise d’Apple, au tour d’Amazon de revoir ses étiquettes. Alors qu’il est désormais vendu 669 € en Apple Store, l’iPad Air 11" M3 ne coûte plus que 599 € sur Amazon. C’est tout simplement le tarif le plus bas à ce jour sur Amazon France (il a déjà été vu furtivement sur Amazon Italie).

Toutes les couleurs sont disponibles à ce tarif record : lumière stellaire, bleu, gris sidéral et mauve. La version compatible 5G est, elle, en promotion à 755 €, là encore le prix le plus bas à ce jour. Si les 128 Go de stockage de base ne vous suffisent pas, les autres capacités jouissent aussi de nouveaux prix intéressants sur Amazon : 256 Go à 719 € (- 80 € par rapport au nouveau prix d’Apple) et 512 Go à 945 € (- 104 €).

iPad Air M3 11" et 13". Image iGeneration.

Et si vous préférez avoir une très grande tablette, Amazon vient aussi de baisser sensiblement tous les prix de l’iPad Air M3 de 13", qui démarre ainsi à 779 € (- 90 € par rapport à l’Apple Store).

Les iPad Air M3 sont d’excellentes tablettes. Elles surclassent largement l’iPad d’entrée de gamme en matière de puissance et sont en cela les modèles que l’on a tendance à recommander si le budget le permet. Avec la puce M3, il n’y a pas de souci à se faire sur les performances pendant des années et des années.

Test des iPad Air M3 : ils ne manquent pas d’air

Test des iPad Air M3 : ils ne manquent pas d’air

  •  

S25 Edge : face aux ventes décevantes, Samsung n'aurait pas prévu de successeur à son smartphone ultra-fin

Le premier smartphone ultra-fin de Samsung a visiblement du mal à trouver son public. Sorti au printemps, le Galaxy S25 Edge joue dans la même cour que l’iPhone Air avec son épaisseur de 5,8 mm pour un poids de 163 grammes. Malgré la prouesse technique, les ventes resteraient marginales, au point que Samsung n’aurait pas prévu de successeur direct dans l’immédiat.

Image Samsung

Selon le média coréen Newspim, les ventes seraient bien en deçà des attentes de Samsung. La direction aurait donc cessé la production du modèle actuel et abandonné ses plans (pourtant quasi finalisés) pour un S26 Edge. La possibilité d’un retour est jugée faible par un responsable de Samsung.

Le cabinet Hana Investment & Securities estime que Samsung n’a vendu que 190 000 S25 Edge sur son premier mois de commercialisation. Un chiffre bien loin de ceux du S25 (1,17 million d'unités), du S25 Plus (840 000 unités) ou du S25 Ultra (2,55 millions d'unités). Seules 1,31 million d’unités avaient été vendues au mois d’août, contre plus de 12 millions pour le modèle Ultra.

Le généralement bien renseigné Ice Universe a confirmé qu’il n’y aurait pas de S26 Edge. Les employés auraient été surpris de cet arrêt inattendu mettant le bazar dans un calendrier serré, Samsung envisageant de relancer son modèle Plus à l’avenir. Selon un autre fuiteur, la sortie des déclinaisons Pro et Plus pourraient être retardées. On sera fixé lors du traditionnel évènement Unpacked, qui devrait avoir lieu en janvier prochain.

Le S25 Edge n’avait pourtant pas à rougir face à l’iPhone Air grâce à son duo de capteurs et son autonomie parfois mesurée comme meilleure dans certains tests. Difficile de savoir où en sont les ventes d’iPhone Air, mais on notera que ce téléphone a été le seul facile à trouver après le lancement et qu’il est depuis régulièrement en promo.

  •  

Amazon offre des prix réduits sur les livres en point de retrait, ce qui ravive les tensions avec les libraires

Depuis la mise en place de la loi Darcos en 2023, Amazon tente de trouver des solutions pour éviter à ses clients de payer des frais de port pour les envois de livres, qui sont de 3 € pour les commandes inférieures à 35 €. Après avoir offert la livraison dans les points de retraits situés dans des commerces de vente au détail de livres (par exemple les supermarchés), Amazon vient d'annoncer une réduction sur le prix des livres, ce qui est vu comme une provocation de la part du monde de l'édition.

Si le point de retrait est dans un commerce qui vend des livres, Amazon offre une réduction de 5 %. Image Amazon.

La loi sur le prix unique du livre, mise en place en 1981, permet en effet une réduction de 5 %, avec une contrainte : elle ne s'applique pas aux commandes à distance. La Fnac, par exemple, offre cette réduction sur les livres commandés en ligne mais récupérés en magasin. Dans le cas d'Amazon, c'est la même astuce que pour les envois gratuits qui est employée : la réduction est appliquée sur les retraits livrés dans un commerce qui a le droit d'appliquer cette ristourne légale. Amazon explique que les points de retrait éligibles sont un peu plus de 3 000 en France et qu'ils sont situés essentiellement dans des zones rurales ou des petites villes. Il faut noter, comme l'explique Le Figaro, que la légalité des retraits dans les lockers (les casiers automatisés) est contestée, mais que l'avis du médiateur du livre sur ce sujet n'est pas contraignant et qu'aucune action en justice n'a été engagée sur ce point.

  •  

Votre souris peut vous écouter (sauf si vous avez un tapis de souris)

Des chercheurs viennent de publier une étude intéressante : les capteurs de nos souris optiques sont capables de récupérer de l'audio, et des outils logiciels peuvent ensuite reconstruire un signal audible dans certains cas. L'attaque, nommée Mic-E-Mouse ( ) (MICrophone-Emulating-MOUSE) consiste à utiliser le capteur très précis de certaines souris pour mesurer les vibrations du bureau, qui sont liées aux sons émis dans la pièce.

La Viper 8 KHz est vulnérable. Image Razer.

Rappelons qu'un capteur de souris est essentiellement un capteur optique d'une définition très faible (de l'ordre de 30 x 30 pixels) mais très rapide, capable de détecter le moindre changement dans l'image captée et de convertir ce changement en mouvement. Les trois systèmes d'exploitation principaux (Windows, macOS, GNU/Linux) permettent un accès bas-niveau aux données issues des souris et sont vulnérables sans que l'attaquant ait besoin de privilèges particuliers.

La souris devient un ADC.

L'attaque n'est pas efficace dans tous les cas, et dépend de deux choses. La première est la souris elle-même : un modèle haut de gamme doté d'un capteur d'une résolution d'au moins 20 000 ppp est nécessaire, avec une fréquence d'interrogation de 8 kHz dans l'idéal. Dans les faits, ces deux points excluent la majorité des souris liées à un usage bureautique, même haut de gamme (une MX Master 4, par exemple, est équipée d'un capteur d'une résolution de 8 000 ppp). Les souris compatibles avec l'attaque sont essentiellement les modèles destinés aux joueurs. Le second point nécessaire est un support capable de transmettre les vibrations. Les chercheurs indiquent qu'un bureau en bois ou en laminé d'une épaisseur de moins de 3 cm est bien adapté. Les conversations qu'il est possible de capter sont dans la zone des 0 à 80 dB, soit une discussion de bureau classique.

Une sorte de résumé du fonctionnement.

L'attaque peut être intégrée dans des applications qui accèdent aux données des souris, mais aussi tout simplement dans un navigateur, en JavaScript. Le résultat est un peu moins efficace dans ce cas, car le JavaScript limite généralement la récupération des données à la fréquence de rafraîchissement de l'écran, mais les systèmes avec un moniteur rapide (120 ou 144 Hz) peuvent améliorer les choses.

Les chercheurs ont ciblé deux capteurs précis, courants dans les souris de joueurs haut de gamme : le PAW3395 et le PAW3399 de chez PixArt Imaging. Ils peuvent atteindre une résolution de 26 000 ppp avec une fréquence d'interrogation élevée, en USB. Les détails techniques sur la manière d'analyser le signal sont dans l'étude et ont finalement peu d'importances, mais les résultats montrent que le signal récupéré est audible, sans évidemment être parfait. La limitation principale, en dehors du matériel, vient de l'usage de la souris : la technique n'est réellement efficace que si la souris est immobile. L'usage de cette dernière rend la détection des vibrations bien plus compliquées.

Certains phonèmes sont très audibles.

Les chercheurs proposent trois contre-mesures pour les personnes qui veulent éviter d'être écoutées de cette façon. La première est un peu étonnante : utiliser un tapis de souris. La mousse d'une bonne partie des modèles tend à réduire les vibrations. Les modèles très rigides sont aussi visiblement efficaces, tout comme les bureaux épais. Les deux autres solutions sont de bannir les souris équipées de capteurs haut de gamme, soit au niveau du périphérique lui-même, soit sur le capteur.

  •  

Bose : le nouveau QuietComfort Ultra 2 est désormais disponible pour 450 €

Bose a récemment annoncé une mise à jour de son casque QuietComfort Ultra, qui est désormais disponible à la vente. On le trouve pour 449 € chez Amazon en coloris blanc, noir ou or du désert. Une déclinaison violette est également proposée, mais uniquement à la Fnac.

Image Bose

Ce casque vient prendre la relève du premier modèle sorti il y a deux ans. L’autonomie a été revue à la hausse, Bose promettant désormais 30 heures au lieu de 24 et jusqu’à 45 heures sans la réduction de bruit. L'accessoire peut maintenant être utilisé en USB-C évitant les pertes du Bluetooth, et garde la connectique audio analogique du modèle précédent via une prise jack 2,5 mm. Un mode cinéma pour les films et autres vidéos a fait son apparition, tandis que la mise en veille a été améliorée.

Image Bose

Nous n’avons pas encore essayé ce casque, mais les premiers retours des testeurs sont positifs : ils louent une excellente réduction de bruit, un son très bon et une conception solide pour un modèle qui est plus une révision qu’un véritable successeur. La première version peut désormais être trouvée pour 330 € chez les revendeurs.

  •  

PayByPhone veut vous indiquer les places de parking libres en temps réel

PayByPhone, le service permettant d’éviter l’horodateur en payant depuis son téléphone, s’est associé à Upciti pour lancer « TrouveMaPlace ». L’idée est d’indiquer en temps réel aux utilisateurs les rues où ils ont le plus de chances de trouver une place pour se garer. Un pilote va être lancé prochainement dans le quartier des Batignolles du 17e arrondissement de Paris. Il devrait être accessible dans le quartier via l’app PayByPhone.

Les deux entreprises promettent un guidage « clair et en temps réel » grâce à une carte interactive directement intégrée à l’app PayByPhone. Un code couleur sera présent, bleu signifiant qu’il y a de bonnes chances de trouver une place là où une rue en rouge indique qu’il vaudrait mieux tenter sa chance plus loin. Les informations s'actualisent en temps réel à chaque interaction de l'utilisateur (zoom, déplacement, clic). Il sera ensuite simple de passer à l’étape du paiement, sans avoir à changer d’app.

En plus de simplifier la vie des utilisateurs, le projet vise également à limiter la pollution et à fluidifier le trafic urbain. Le système repose sur les capteurs d'Upciti installés sur les lampadaires du quartier des Batignolles. Ils analysent en temps réel l'activité en bordure de trottoir et partagent des données que l’on nous promet anonymisées. Celles-ci sont mises à disposition via le programme OpenBatignolles, qui vise à rendre plus sobre l'éclairage public.

  •  

Meta abandonne son application Messenger sur Mac et Windows

Il faut croire que les développeurs sont une denrée rare chez Meta. Le groupe vient enfin de sortir WhatsApp et Instagram sur iPad ? Il abandonne de l’autre côté Messenger sur macOS et Windows.

D’ores et déjà été retirée du Mac App Store, l’application de bureau de la messagerie cessera de fonctionner dans les prochaines semaines. Sa date d’expiration ne sera pas la même pour tous les utilisateurs. Meta prévient sur son site que l’arrêt interviendra 60 jours après la réception d’un message d’avertissement dans l’app. Dans notre cas, le compte à rebours est lancé : Messenger pour Mac s’éteindra le 16 décembre.

Message annonçant la mort de Messenger sur Mac. Image MacGeneration.

Attention, pour garder l’historique des conversations, il faut activer le stockage sécurisé qui passe par la configuration d’un code PIN, si ce n’est pas déjà fait. Sans cela, les échanges menés dans l’app Mac ou PC seront perdus.

La disparition de Messenger sur ordinateur est regrettable parce que, sans être exceptionnelle, cette application faisait malgré tout son boulot. Par quoi la remplacer alors ? Meta conseille simplement d’utiliser la version web, messenger.com, ou alors Facebook, qui intègre les messages.

Si vous préférez une application dédiée, rappelons que Safari permet d’encapsuler les sites web sous la forme de simili-apps. Autrement, pourquoi pas essayer une application Mac qui rassemble plusieurs messageries, notamment Beeper. Autre option : faire migrer tous vos contacts vers WhatsApp, un service qui dispose, lui, d’une app Mac — pour l’instant.

Test de Beeper, l

Test de Beeper, l'app qui réunit toutes les messageries ou presque

  •  

Fastmail encapsule ses sites web pour en faire des apps pour les ordinateurs

Fastmail, un fournisseur de comptes mail concurrent de Gmail, propose désormais des apps pour les ordinateurs, dont une version pour macOS. Pour l’heure, seuls les ordinateurs d’Apple qui reposent sur l’architecture Apple Silicon ont droit à une app, on ne sait pas encore si les Mac Intel pourront télécharger leur version à terme. Puisque l’entreprise a exploité Electron, un framework pour créer des apps pour ordinateurs à partir de technologies du web, il n’y a aucune raison technique qui empêche la création d’une variante pour l’architecture x86.

Fastmail en action. Image MacGeneration.

Electron permet à Fastmail d’encapsuler son interface web et d’en faire une app native. La présentation est identique au webmail que vous pouviez déjà utiliser dans n’importe quel navigateur et l’expérience assez similaire à l’ajout d’une webapp sur son ordinateur. L’app propose un stockage en local des données et peut ainsi fonctionner sans connexion à internet, mais ce n’est même pas une spécificité, puisque l’on peut faire la même chose dans son navigateur. Le service a ajouté cette possibilité à la fin de l’été et la seule différence pour autant que je puisse en juger est que l’app pour ordinateurs l’active par défaut1. Elle ne stocke que les derniers messages au départ, vous pouvez toutefois demander une archive locale complète.

Pour le reste, c’est la même interface et la même expérience, avec quelques rares avantages. Par exemple, le raccourci standard de macOS ⌘, ouvre bien les réglages de Fastmail, alors qu’il afficherait les paramètres du navigateur web. Pour le reste, ce sont les raccourcis clavier proposés sur le site qui sont proposés et on ne peut pas les changer malheureusement. Si vous avez l’habitude d’un client mail classique comme celui d’Apple, il faudra perdre ces habitudes et en prendre de nouvelles. De toute manière, le service propose des comptes mail qui respectent le standard IMAP, alors l’intérêt d’une telle app pour ordinateurs est surtout de répondre à la demande de ceux qui préfèrent un webmail.

Comme toutes les apps Electron, celle-ci pèse assez lourd dans le dossier des applications avec 318 Mo affichés sur mon Mac, l’essentiel de ces octets étant pour le framework sous-jacent. Cela étant, Fastmail ne m’a pas paru spécialement lente et l’app a bien fonctionné pendant mes essais. Point appréciable pour une nouvelle app, ses développeurs utilisent une version récente d’Electron, si bien qu’elle ne souffre pas du bug spécifique à macOS Tahoe.

Deux bugs touchaient les apps Electron sous macOS 26, le correctif va arriver progressivement

Deux bugs touchaient les apps Electron sous macOS 26, le correctif va arriver progressivement

Fastmail est une app gratuite, qui nécessite toutefois un compte sur le service pour fonctionner. Si vous découvrez, l’entreprise propose plusieurs offres à partir de 6 € par mois ou 60 € par an pour un seul utilisateur. Vous bénéficierez alors d’une boite mail de 50 Go associée à 10 Go de stockage pour des fichiers, ainsi que quelques fonctions annexes comme un calendrier ou un carnet d’adresses. Des formules existent aussi pour les familles et même les entreprises et si vous découvrez, vous pouvez tester gratuitement pendant 30 jours en suivant ce lien. Si vous décidez de payer, ce parrainage MacGeneration réduira la facture de 10 % la première année.

Outre les mails, Fastmail propose quelques fonctions annexes, dont un carnet d’adresses qui peut être partagé au sein d’une famille ou d’une entreprise. Image MacGeneration.

L’app de Fastmail nécessite macOS 12 (Monterey) au minimum et son interface est partiellement traduite en français. Le site web l’est, donc l’essentiel est aussi dans notre langue dans la version desktop, mais il manque tous les éléments de la barre des menus qui sont encore en anglais. Outre cette version pour macOS, l’entreprise propose une app pour Windows (uniquement x86 cette fois) et pour Linux.


  1. J’ai aussi noté un bug de l’app macOS : son compteur semble à l’ouest, car elle m’indique que le stockage local ne représente que 8 Mo, contre 1 Go sur le navigateur web. Étant donné le volume de mails que l’on reçoit tous les jours, je dirais que la vérité est plutôt du côté du navigateur.  ↩︎

  •  

Promo : le hub USB-C 7-en-1 d’Ugreen en promo à 26 € (-35 %)

Les ports des Mac se sont réduits au fil des années. Si le MacBook Pro en a récupéré quelques-uns, l’iMac et le MacBook Air restent limités à des ports USB-C. Pour diversifier la connectivité de votre machine, des accessoires existent : Amazon affiche par exemple une remise de 35 % sur ce hub USB-C signé Ugreen. Habituellement vendu 40 €, on peut le trouver ce matin pour 26 €, soit tout de même 13 € d’économisés.

Le hub USB-C 7-en-1 d’Ugreen.

Ce hub 7-en-1 embarque un port HDMI (4K60Hz), un Ethernet, un duo d’USB-A ainsi que deux emplacements pour des cartes SD et micro-SD. Cerise sur le gâteau, un port USB-C supplémentaire est présent, permettant de recharger son appareil pendant l’utilisation. Cela sera surtout pratique pour les propriétaires d’iPad, les tablettes n’ayant qu’un seul port USB-C.

Si vous n’avez pas particulièrement besoin du port RJ45, notons qu’un autre modèle 7-en-1 est en promo ce matin, troquant l’Ethernet pour un USB-C supplémentaire. Le port HDMI est moins avancé étant donné qu’il est seulement 4K30Hz, mais le prix est plus doux : 16,14 €, contre 28 € en temps normal. Et à l’inverse pour les utilisateurs exigeants, une version 9-en-1 avec encore plus de ports USB-C est actuellement en promo à 30 €, soit 30 % de moins que son tarif conseillé.

  •  

Des Mac fournis sans adaptateur secteur : une bonne idée ?

L’une des grandes nouveautés des annonces d’hier, c’est qu’Apple ne livre plus d’adaptateur secteur avec son MacBook Pro M5. Une première pour les portables de la marque, mais pas pour le reste du catalogue : les chargeurs ont disparu des boîtes d’iPhone depuis cinq ans, et des iPad depuis l’année dernière.

Le MacBook Pro M5 ouvre l’ère des Mac portables sans chargeur

Le MacBook Pro M5 ouvre l’ère des Mac portables sans chargeur

Cette mesure est spécifique à l’Europe, où Apple s’adapte à une réglementation désormais incontournable. A partir du 26 avril 2026, tous les ordinateurs vendus dans l’Union européenne devront proposer une charge en USB-C, comme les smartphones depuis décembre 2024. Mais ce n'est pas tout, la réglementation impose que le client puisse choisir d’acquérir — ou non — un adaptateur secteur. Résultat, Apple ne livre plus qu'un câble MagSafe avec son nouveau Mac.

Image : MacGeneration

D’un côté, on comprend la logique environnementale de Bruxelles, qui veut limiter les déchets électroniques. De l’autre, difficile de s’habituer à dépenser près de 2 000 € pour un ordinateur… et devoir racheter un chargeur en plus.

Le problème est d’autant plus sensible que tous les chargeurs USB-C ne se valent pas. Si un iPhone, un iPad Air ou un MacBook Air peuvent se contenter de la plupart des adaptateurs disponible sur le marché, les MacBook Pro haut de gamme réclament une puissance bien plus élevée. Ce n'est pas pour rien que le modèle M4 Max est livré avec un adaptateur secteur USB‑C 96 W.

Autant certaines décisions européennes font grincer des dents à Cupertino, autant celle-ci ne devrait pas susciter de plaintes : c’est de la marge supplémentaire, et un accessoire à forte rentabilité que les Apple Store ne manqueront pas de mettre en avant.

Que pensez-vous de cette décision de ne plus livrer par défaut d'adaptateur secteur sur les ordinateurs ?

  •  

Les nouveaux iPad Pro M5 gèrent les écrans 120 Hz… un signe qu’Apple va en lancer un ?

Parmi les nouveautés des iPad Pro équipés d’une puce M5 annoncés hier, il y en a une qui ne s’applique pas du tout à la gamme actuelle d’Apple. La tablette intégrait déjà depuis bien des années une dalle capable de se mettre à jour 120 fois par seconde pour un affichage encore plus fluide. Avec la mise à jour, cette capacité s’applique aussi à l’écran externe sur lequel on peut brancher un iPad. Avec la génération M5, si le moniteur gère le 120 Hz, alors iPadOS 26 pourra s’y afficher à cette fréquence.

Apple vante la possibilité de gérer les écrans externes à 120 Hz avec cette image qui semble représenter un Pro Display XDR à côté de la tablette, un moniteur qui n’est pas capable de dépasser les 60 Hz. Image Apple.

Faut-il lire avec ce changement l’annonce qu’un tel produit arrivera au sein de la gamme pommée ? Apple propose deux écrans externes actuellement et ni le Studio Display, ni le Pro Display XDR ne savent dépasser une vitesse de rafraichissement de 60 Hz. Les rumeurs évoquent des successeurs, au moins pour le premier, alors peut-être que l’écran bénéficiera à son tour d’un affichage « ProMotion » que les nouveaux iPad M5 prendront en charge. Cela dit, ne retenez pas trop votre souffle, car on ne sait pas quand ces moniteurs sortiront et puis on peut s’attendre à des prix au moins aussi élevés, voire encore plus haut s’ils bénéficient en effet d’une dalle rapide.

L’iPad Pro M5 pourra en attendant offrir cette possibilité avec des moniteurs tiers. Les écrans 120 Hz sont désormais assez courants, surtout dans la gamme « gaming » et ils ne sont même pas très chers puisqu’on en trouve à moins de 100 €. Par contre, ils reposent en général sur des dalles 1080p qui sont bien éloignées des standards Apple. On trouve facilement de la 4K aux alentours des 27 pouces (autour de 300 € chez Dell) voire 32 pouces comme le modèle OLED et 240 Hz d’Asus que l’on avait testé il y a quelques mois, ce qui reste inférieur à la résolution des écrans Retina d’Apple.

À vous de voir si vous privilégiez la densité de pixels ou le rafraichissement de l’écran. Et si vous voulez les deux, il faudra en effet peut-être attendre qu’Apple arrive sur ce segment…

  •  

MacBook Pro, iPad, Vision Pro et baisse de prix : tout ce qu’Apple a annoncé hier

Mercredi 15 octobre, c'était la journée des nouveautés chez Apple. En terme de quantité, il y avait sans doute de quoi faire un keynote. En terme de qualité, c'est autre chose tant les produits présentés sont relativement mineurs. Apple ne s'est même pas donné la peine de faire de petites vidéos de présentation, comme elle avait pu le faire à certaines occasions.

M5 : iPad, Mac, Vision Pro — même combat

Ces annonces ne devraient pas avoir un impact phénoménal sur les ventes d'Apple pour les fêtes de fin d'année, mais elles présagent l'avenir. Elles sont toutes placées sous le signe du M5, le nouveau processeur d'Apple. Cette fois, pas de jaloux : Mac, iPad et Vision Pro obtiennent en même temps la nouvelle puce d'Apple.

Suite aux différentes fuites, le M5 avait déjà révélé une partie de ses secrets. Le processeur central progresse d’environ 15 %, un gain attendu mais bienvenu, tandis que la partie graphique s’envole : jusqu’à 45 % plus rapide en ray tracing, et 30 % dans les usages courants.

Mais c’est surtout du côté de l’intelligence artificielle que la firme marque les esprits. Les calculs liés au machine learning seraient jusqu’à quatre fois plus rapides que sur la génération M4, grâce à une astuce héritée de l’A19 Pro : le GPU embarque désormais ses propres unités de calcul dédiées à l’IA, capables de travailler main dans la main avec le NPU. Enfin, Apple utilise de la mémoire plus rapide.

Apple M5 : Apple muscle son jeu dans la continuité

Apple M5 : Apple muscle son jeu dans la continuité

Vision Pro M5 : une mise à jour qui ne change pas le destin du casque

Un an et demi après le modèle original, Apple dévoile une mise à jour relativement modeste du Vision Pro. Cette nouvelle version, malgré une baisse de prix de 300 €, ne bouleversera pas le destin de ce produit toujours cantonné à une niche. Le design reste inchangé, mais Apple introduit un nouveau bandeau “Dual Knit Band”, plus souple et respirant, censé améliorer le confort d’utilisation.

Image : Apple

Le casque profite néanmoins pleinement des avancées de la puce M5, notamment sur la partie graphique. Contrairement au M2, il prend désormais en charge le ray tracing et le mesh shading, pour des effets de lumière et de texture plus réalistes. L’autonomie progresse également, avec jusqu’à 2 h 30 en usage mixte et 3 h en lecture vidéo.

Apple annonce le Vision Pro M5 : plus de puissance et de confort pour 300 € de moins

Apple annonce le Vision Pro M5 : plus de puissance et de confort pour 300 € de moins

On aurait pu imaginer qu’Apple fasse un geste envers les premiers acheteurs du Vision Pro. Il n’en est rien : aucune offre de reprise n’est proposée, même pour ceux qui envisagent de passer au nouveau modèle.

Apple ne propose aucune offre de reprise pour le Vision Pro, même si vous achetez le nouveau

Apple ne propose aucune offre de reprise pour le Vision Pro, même si vous achetez le nouveau

Apple ayant mis en veille le développement du Vision Pro pour concentrer ses efforts sur les lunettes, il devient de plus en plus difficile d’imaginer un avenir radieux pour le casque.

iPad Pro M5 : Apple signe une tablette 100 % maison, du processeur au modem

Suite aux fuites survenues en début de mois, les nouveaux iPad Pro n’avaient déjà plus beaucoup de secrets à révéler. Apple insiste dans son communiqué sur les capacités accrues en intelligence artificielle de ses tablettes, mais la véritable nouveauté se trouve ailleurs : l’arrivée des puces N1 (Wi-Fi 7) et C1X (modem maison). Après l’iPhone Air, l’iPad Pro devient ainsi le deuxième appareil entièrement équipé de puces Apple pour la connectivité — une étape symbolique dans la stratégie d’indépendance technologique de Cupertino.

Apple lance l’iPad Pro M5 et promet de grandes avancées en matière d’IA

Apple lance l’iPad Pro M5 et promet de grandes avancées en matière d’IA

Autre bonne surprise : les prix baissent enfin. Les nouveaux modèles sont 100 € moins chers que leurs prédécesseurs, avec un tarif d’entrée fixé à 1 119 € pour le modèle 11 pouces et 1 469 € pour la version 13 pouces. En revanche, Apple ne touche pas à tout : le supplément de 250 € pour passer d’un modèle Wi-Fi à un modèle Wi-Fi + Cellular reste inchangé… même avec un modem conçu en interne.

Image : Apple

Le MacBook Pro M5 : moins cher, mais sans chargeur

Tout comme l’iPad Pro, le MacBook Pro M5 est présenté comme une machine taillée pour l’intelligence artificielle — et c’est sans doute sa principale nouveauté. Aucune évolution du côté de la connectivité : pas de puce Apple pour le Wi-Fi, qui reste donc inchangé. Ce privilège pourrait être réservé aux modèles haut de gamme attendus début 2026.

Le MacBook Pro M5 ouvre l’ère des Mac portables sans chargeur

Le MacBook Pro M5 ouvre l’ère des Mac portables sans chargeur

Le MacBook Pro M5 ouvre l’ère des Mac portables sans chargeur

Le MacBook Pro M5 ouvre l’ère des Mac portables sans chargeur

Le modèle de base conserve sa configuration avec 16 Go de RAM et 512 Go de stockage, pour un tarif légèrement revu à la baisse : 1 799 €, soit 100 € de moins que la précédente génération. Mais la vraie surprise vient d’ailleurs : le chargeur disparaît de la boîte. Une décision rendue possible grâce aux nouvelles règles européennes, qu’Apple a manifestement accueillies avec le sourire. Tim Cook doit se féliciter de pouvoir désormais vendre un ordinateur sans adaptateur secteur — un accessoire que les revendeurs ne manqueront pas, bien sûr, de proposer en supplément.

Image : Apple

Des baisses de prix sur de nombreux produits

Outre le processeur M5, l'autre point commun entre toutes ces nouveautés, ce sont les baisses de prix spécifiques à l'Europe. Manifestement, Apple a pris en compte l'appréciation de l'Euro ces douze derniers mois - 12 % depuis le début de l'année.

Apple réduit ses prix sur de nombreux produits, dont des classiques comme le MacBook Air ou les iPad

Apple réduit ses prix sur de nombreux produits, dont des classiques comme le MacBook Air ou les iPad

La bonne nouvelle, c'est qu'Apple en a profité pour baisser le prix d'un grand nombre de produits : le MacBook Air M4 perd 100 €, le Mac Studio 200 €, l'iPad Air 50 €, l'iPad mini 50 € et l'iPad A16 de 20 €. Voilà qui annonce de belles promotions à venir pour les fêtes de fin d'année.

  •  

iOS 26 : attention à l’activation d’iMessage avec une eSIM

Apple a mis à jour son document d’assistance consacré à iMessage pour signaler un nouveau scénario pouvant poser problème sous iOS 26. Si vous configurez un nouvel iPhone sans activer immédiatement iMessage ou votre eSIM, il est possible que le service ne fonctionne tout simplement pas.

Le souci, explique Apple, vient du fait qu’iMessage ne s’active pas automatiquement lorsqu’on configure une eSIM après coup via les réglages d’iOS. Il faut donc le faire manuellement.

La procédure est simple : après avoir activé votre eSIM, ouvrez l’app Réglages, rendez-vous dans Apps > Messages, puis désactivez et réactivez iMessage. Cette manipulation devrait rétablir son fonctionnement normal.

Dans le cas contraire, vous risquez de voir apparaître le message « Non distribué », de constater que vos messages partent en bulles vertes (SMS/RCS), ou encore que vos iMessages s’envoient depuis votre adresse e-mail au lieu de votre numéro de téléphone.

  •  

Keynote à la sauce Liquid Glass existe bel et bien

Mais où sont passées les applications Apple ? La plupart d'entre elles n'ont toujours pas été mises à jour pour exploiter pleinement le potentiel d'iOS 26, d'iPadOS 26 et de macOS 26. Surtout, elles continuent d'ignorer Liquid Glass, la nouvelle interface d'Apple.

iOS 26 : où sont passées les mises à jour de Pages, Numbers et Keynote ?

iOS 26 : où sont passées les mises à jour de Pages, Numbers et Keynote ?

C'est le cas des applications iWork comme Pages et Numbers, mais également de Pixelmator Pro ou encore de GarageBand. La situation est d'autant plus frustrante qu'Apple pousse les développeurs à être les plus réactifs possibles à ce sujet. Faites ce que je dis, pas ce que je fais.

On pensait qu’Apple retenait ces mises à jour pour des raisons marketing — peut-être pour les lier à la sortie des nouveaux iPad. On imaginait un responsable d'Apple expliquer à quel point Pages était un super outil avec l'iPad Pro M5 sous iPadOS 26. Manque de chance : sur la page produit de sa tablette flambant neuve, Apple préfère… faire la promo de Microsoft Word.

Alors, peut-être qu'Apple attend tout simplement la sortie de macOS 26.1, iOS 26.1 et consorts pour présenter ses mises à jour. Des bogues de gestion de la mémoire dans macOS Tahoe peuvent expliquer pourquoi Apple ne se précipite pas à sortir ses mises à jour.

macOS 26 peut surconsommer la mémoire vive chez certains utilisateurs, y compris sur macOS 26.0.1

macOS 26 peut surconsommer la mémoire vive chez certains utilisateurs, y compris sur macOS 26.0.1

Mais ces versions, elles existent bel et bien. Comme Alexandre nous l'a fait remarquer, une version Liquid Glass de Keynote existe bel et bien. On peut l'admirer sur la page d'Apple dédiée au MacBook Pro M5 !

  •  

Apple perd encore un ingénieur IA qui fuit chez Meta

Les jours passent et se ressemblent... y compris pour les mauvais côtés. Selon Mark Gurman, une nouvelle tête d’affiche de l’intelligence artificielle d’Apple a pris la fuite vers Meta.

À un moment il faudra songer à colmater la fuite... Image générée par IA.

Ke Yang, puisque c’est son nom, vient de donner sa démission de Cupertino pour voler vers l’entreprise de Mark Zuckerberg. L’annonce est assez incroyable, et indique un souci palpable dans les équipes de l’Apple Park : l’ingénieur venait à peine quelques semaines plus tôt d’être nommé à la tête de l’équipe dédiée à AKI (Answers, Knowledge and Information, la réponse d’Apple à ChatGPT), directement sous les ordres de John Giannandrea.

Fuite de cerveaux : le responsable de l’IA robotique d’Apple et trois chercheurs claquent la porte

Fuite de cerveaux : le responsable de l’IA robotique d’Apple et trois chercheurs claquent la porte

Auparavant, Ke Yang faisait partie de l’équipe ayant créé AKI, et a fini par être assez remarqué pour se voir confier la tête de l’équipe toute entière. Selon Mark Gurman, ce départ marque la fuite de l’une des personnes les plus en vues de l’équipe AIML (Apple Artificial Intelligence and Machine Learning), sur la petite douzaine de lettres de démission que compte l’équipe depuis le début de l’année. Il rejoint dans la liste des fuites de ce mois-ci Sam Wiseman, ingénieur basé à New York parti chez Reflection AI, et Chong Wang, l’un des plus anciens chercheurs restant, parti chez Meta.

Si tous ne partent pas pour Meta, le nombre de responsables qui désertent les bureaux de l’équipe dédiée à l’intelligence artificielle de la pomme est tout de même signe d’un problème sérieux dans l’entreprise. À moins d’un problème insurmontable, il est rare de quitter un poste aussi haut placé dans une multinationale de la taille d’Apple, qui plus est quelques semaines à peine après l’avoir obtenu. L’équipe dédiée à AKI est maintenant placée sous les ordres de Benoit Dupin, qui était auparavant un des spécialistes de l’infrastructure de cloud machine learning sous les ordres de Giannandrea.

  •  

L’US Mint a révélé la pièce à l’effigie de Steve Jobs qui sera frappée en 2026

En février, le gouverneur de Californie Gavin Newsom avait indiqué vouloir créer une pièce de un dollar à l’effigie de Steve Jobs, pour le compte du programme « American Innovation Coin ». La pièce va entrer en production en 2026, et le design de celle-ci a été révélé aujourd’hui par l’US Mint.

La pièce de un dollar à l’effigie de Steve Jobs. Image US Mint.

Représentant Steve Jobs assis en tailleur dans un paysage californien de collines verdoyantes, elle fige ainsi le co-créateur d’Apple dans un moment de réflexion au milieu de la nature. Encerclant la gravure, les inscriptions « United States of America » et « California » sont complétées par la phrase « Make something wonderful » (Créez quelque chose de merveilleux/extraordinaire).

Elle fera partie d’une série de pièces commémorant les plus grands innovateurs ou innovations de chaque État. L’informatique n’est pas la seule représentée, le Minnesota ayant par exemple choisi de commémorer l’invention de la réfrigération mobile, ou encore l’Iowa célébrant le Dr. Norman Borlaug, auteur de nombreuses améliorations dans les techniques agronomiques.

Image US Mint.

Le Wisconsin de son côté a choisi comme la Californie de célébrer le monde numérique, en décidant de frapper une pièce à l’effigie du Cray-1, rendant ainsi hommage à l’entreprise de supercalculateurs dont le siège était installé à Chippewa Falls, lieu de naissance de Seymour Cray, avant d’être rachetée par Hewlett-Packard et déplacée à Seattle.

Le dos de chaque pièce est unifié. Image US Mint.

Toutes les pièces auront un dos commun, représentant la Statue de la Liberté avec l’inscription « In God we trust », devise des USA présente sur tous les billets et toutes les pièces du pays. La tranche contient les inscriptions « 2026 » et « E pluribus unum », autre devise célèbre des USA.

  •  

Chine : Tim Cook réaffirme vouloir investir en Chine, au risque de déplaire à la Maison Blanche

Alors que la guerre commerciale continue entre la Chine et les États-Unis d’Amérique, Apple a toujours semblé dans une position délicate, devant ménager la chèvre et le chou : si les entreprises de la tech veulent garder leur place au chaud près du Président des USA, elles doivent alors réduire leurs relations avec l’Empire du milieu au strict minimum.

Tim Cook à l’Apple Store de Wangfujing. Image Weibo/Tim Cook.

Jusqu’à présent, Tim Cook semblait jouer parfaitement le jeu, au point que le CEO d’Apple a fait partie de la liste des invités de Donald Trump lors de sa visite d’État au Royaume-Uni, étant même accompagné de l’une des filles du président.

Tim Cook, invité privilégié à la visite d

Tim Cook, invité privilégié à la visite d'État de Trump au Royaume-Uni

Les relations entre Apple et l’administration américaine semblent donc être au beau fixe... mais cette période durera-t-elle ? Rien n’est moins sûr, Apple ayant certes besoin de la bienveillance du gouvernement Trump, mais aussi de l’oreille du gouvernement chinois. Or, certaines entreprises US s’étant un peu trop inclinées devant le Président des USA, comme Nvidia ou Qualcomm, se sont vues visées par la Chine pour violation de la loi anti-trust locale.

Durant son voyage en Chine, comme le rapporte Reuters, Tim Cook a ainsi rendu visite à l’Apple Store de Shanghai, et aux développeurs de Labulu Dolls, sans oublier de rappeler que l’iPhone Air serait disponible bientôt dans le pays, une fois que le ministre de l’industrie aura validé l’utilisation de l’eSIM.

Et bien que le CEO d’Apple ait récemment offert un trophée de verre sur un support en or 24 carats au président américain pour commémorer l’« American Manufacturing Program » de Cupertino, Tim Cook aurait confirmé au ministre de l’industrie Li Lecheng que l’entreprise continuerait à investir en Chine, même si le montant de l’investissement à venir n’a pas été indiqué.

Mission réussie pour Tim Cook : Apple échappe aux nouveaux droits de douane

Mission réussie pour Tim Cook : Apple échappe aux nouveaux droits de douane

En plus des chaînes d’assemblage de Foxconn, qui restent majoritaires dans le pays bien qu’Apple tente de varier les sites de productions en allant s’installer en Inde ou au Vietnam, une bonne partie des pièces nécessaires à la production proviennent toujours de Chine. Ce n’est pas Sabih Khan, tout récent COO d’Apple, qui viendra dire le contraire après avoir visité entre autres Lens Technology, qui produit dans le pays le verre nécessaire à la fabrication des iPhone et Apple Watch.

La position d’Apple, encore plus que celle de certains de ses concurrents comme Google ou OpenAI, est très délicate : en tant qu’entreprise proposant de nombreux appareils, plutôt que de proposer quasi uniquement des services, elle doit garder un équilibre précaire entre les volontés du président US et celles de la Chine. Un jeu auquel Tim Cook semble être passé maître au fil des ans.

  •  

Apple ne propose aucune offre de reprise pour le Vision Pro, même si vous achetez le nouveau

Apple a tendance depuis quelques années à proposer de racheter votre matériel précédent quand vous souhaitez investir dans du neuf. L’idée a commencé avec l’iPhone en 2013, et à l’occasion de son extension à l’Europe en 2015 a inclus l’iPad et le Mac.

Vous voulez le nouveau ? Il faudra vendre le précédent vous-même. Image Apple.

Depuis, quasiment tous les produits d’Apple font partie de la liste vous permettant de gratter quelques dizaines ou centaines d’euros quand vous achetez une nouvelle machine. Mais « quasiment » n’est pas « totalement », et Apple a décidé que le Vision Pro n’en ferait pas partie.

Apple annonce le Vision Pro M5 : plus de puissance et de confort pour 300 € de moins

Apple annonce le Vision Pro M5 : plus de puissance et de confort pour 300 € de moins

Bien que la mise à jour dévoilée aujourd’hui ne soit qu’une amélioration des performances et de l’autonomie et risque donc peu d’intéresser les clients déjà équipés, Apple semble faire le minimum syndical, ne proposant même pas une reprise sur l’ancien matériel.

Pourquoi ne pas proposer de reprise ? Plusieurs raisons peuvent entrer en ligne de compte : dans un premier temps, parler de recyclage n’est pas tellement rentable, tant le nombre d’appareils concernés est faible. Monter une chaîne de recyclage complète serait bien trop coûteux. Pour la revente en seconde main, Apple s’appuyant sur des partenaires tiers, il est fort possible que ceux-ci n’aient pas souhaité intégrer le Vision Pro dans leur gamme de produits, jugeant l’appareil trop « niche » pour pouvoir en tirer quelque chose. Quoi qu’il en soit, si vous souhaitez passer à la nouvelle version alors que vous êtes déjà équipé, il faudra vendre le précédent par vous-même.

  •  

Les investissements dans les data-centers toujours plus nombreux pour faire face à la montée de l’IA

La course à l’intelligence artificielle continue, et avec elle, celle aux data-centers toujours plus grands, toujours plus chers, et toujours plus gourmands. Si bien entendu les USA mènent la danse dans le domaine, avec le plus grand nombre de milliards investis, l’Europe tente de suivre, et Orange a décidé de délier les cordons de la bourse.

2,21 GigoWatts ??? Image Universal/Retour vers le futur.

Les unités de mesure

Il fut un temps où la plupart des personnes parlant de data-centers parlaient en TFlops, permettant de classer les calculateurs selon leur puissance. Les usages s’étant diversifiés (il est loin le temps où ces fermes à calcul servaient « simplement » à calculer la météo de la semaine ou la forme du champignon que fera la prochaine bombe), et les fermes agrandies, l’unité de mesure utilisées est maintenant le watt.

Et plus précisément, le GigaWatt. Un GW, pour référence, est plus ou moins la puissance d’un réacteur nucléaire des années 80 en France, les derniers comme l’EPR développant 1,6 GW. Avec de telles demandes, on comprend mieux pourquoi Microsoft a investi pour redémarrer Three Miles Island (le réacteur 1 bien entendu, pas le n°2)...

Three Miles Island devrait redémarrer d'ici 2028 pour fournir Microsoft. Image Wikipedia/Z22, CC BY-SA 3.0.

OpenAI

La plus grosse « start-up » (à cette taille, le nom paraît un peu étrange) de l’intelligence artificielle a les moyens de ses ambitions, et les partenaires qui vont bien : avec un plan d’investissement de 1 000 milliards de dollars sur cinq ans, soutenu par AMD, Nvidia, Broadcom et Oracle, elle prévoyait l’installation de 10 GW de capacité d’ici à la fin de l’année, avec cinq nouveaux data-centers aux USA.

Une fois ce pallier atteint, elle a même décidé de le dépasser : une rallonge du contrat a été signée, afin de rajouter 4,5 GW supplémentaires répartis sur trois sites.

Meta

La firme de Mark Zuckerberg vient d’annoncer la création d’un nouveau data-center au Texas, d’une puissance de 1 GW. À un coût de 1,5 milliards de dollars, il fait partie du projet « Hyperion » dont le Président US avait déjà annoncé qu’il pourrait atteindre les 50 milliards de dollars d’investissements sur le premier data-center, situé lui en Louisiane.

Mark Zuckerberg, fier de son gros datacenter pour l’IA

Mark Zuckerberg, fier de son gros datacenter pour l’IA

Ces data-centers géants, d’une surface équivalente à plus de la moitié de Manhattan, sont donnés pour consommer chacun entre 1 et 2 GW, et seront basés sur des processeurs Arm. Pour l’occasion, Meta a signé un partenariat sur plusieurs années avec le concepteur de puces, afin de pouvoir utiliser ses modèles Neoverse et travailler aux futures évolutions du CPU.

Google

L’entreprise de Mountain View continue ses investissements, et a annoncé le 14 octobre la construction d’un data-center en Inde, amené à être le plus grand hub d’IA d’Alphabet en dehors des USA. À 15 milliards de dollars, il est amené à atteindre dans un premier temps la barre du GigaWatt, avant de monter encore en puissance plus tard.

Et l’Europe ?

L’Europe n’est pas en reste, et voit arriver des projets certes moins pharaoniques, mais tout aussi intéressants. La plupart des serveurs actuels sont réunis autour de cinq grandes villes : Francfort, Londres, Amsterdam, Paris et Dublin, qui à elles seules représentent 45 % de la capacité totale européenne.

L’Union européenne appelle à tripler les capacités en data-centers de la région d’ici 2030, en soutenant les infrastructures énergétiques nécessaires à cette augmentation. AWS, Google et Microsoft améliorent leurs capacités à Londres sur des projets de plus de cinq milliards de Livres.

Du côté français, les Hauts-de-France veulent se transformer en « vallée européenne de l’intelligence artificielle », et ont passé un partenariat d’investissement avec les Émirats arabes unis de 30 à 50 milliards d’euros durant le « Sommet pour l’action sur l’IA » tenu en février.

La course à l’IA promet toujours plus d’investissements, et de consommation : la demande rien qu’en Europe pour alimenter les data-centers représente déjà 35 GW, soit peu ou prou 35 réacteurs nucléaires. Au niveau mondial, les serveurs dans le monde consomment 2 % de l’énergie électrique produite, et la courbe ne devrait pas s’aplatir dans les années à venir.

Une tech plus verte : notre série au complet sur le Club iGen

Une tech plus verte : notre série au complet sur le Club iGen

  •  

Apple réduit ses prix sur de nombreux produits, dont des classiques comme le MacBook Air ou les iPad

Aujourd'hui, Apple a proposé trois nouveaux produits qui amènent deux nouveautés importantes : ils sont plus puissants et moins onéreux.

L'iPad Pro M5.

Le premier est le MacBook Pro M5 (14 pouces) : il embarque la nouvelle puce et est vendu 100 € de moins que son prédécesseur (soit 1 800 €). Une baisse de prix en partie liée à l'absence d'adaptateur secteur dans la boîte, mais tout de même.

Apple annonce un nouveau MacBook Pro avec puce M5 à partir de 1 799 €

Apple annonce un nouveau MacBook Pro avec puce M5 à partir de 1 799 €

Le second est le Vision Pro M5, qui gagne donc un processeur beaucoup plus rapide (il se contentait d'une puce M2) mais perd aussi 300 € dans nos contrées. Il passe de 4 000 € à 3 700 €.

Apple annonce le Vision Pro M5 : plus de puissance et de confort pour 300 € de moins

Apple annonce le Vision Pro M5 : plus de puissance et de confort pour 300 € de moins

Le troisième est l'iPad Pro, qui passe aussi en version M5. Le prix conseillé par Apple est de 1 120 € pour le modèle de base, soit 100 € de moins. Une réduction qui est partagée sur tous les modèles, une bonne nouvelle. Dans la pratique, cette version 11 pouces devrait donc peut-être même se trouver aux alentours de 1 000 € : l'iPad Pro M4 se déniche par exemple très facilement à 1 100 € (au lieu de 1 220 €) chez de nombreux revendeurs.

Apple lance l’iPad Pro M5 et promet de grandes avancées en matière d’IA

Apple lance l’iPad Pro M5 et promet de grandes avancées en matière d’IA

Des baisses de prix sur d'autres produits

Apple en a aussi profité pour diminuer les prix de nombreux produits. Le MacBook Air M4 perd 100 €, ce qui le place à 1 100 € en prix public. C'est 200 € de moins que le MacBook Air M3, mais surtout une bonne nouvelle pour les promotions : s'il était encore officiellement à 1 200 € ce matin, il se trouve en pratique assez facilement pour 1 000 € environ (1 027 € actuellement). Les promotions aux alentours de 900 à 950 € sont donc probables dans les prochaines semaines.

Test des MacBook Air M4 : faut-il lâcher la M1 ?

Test des MacBook Air M4 : faut-il lâcher la M1 ?

Un autre Mac perd aussi quelques euros : le Mac Studio. Le modèle M4 Max passe de 2 500 € à 2 300 €. Cette baisse de 200 € est plus une correction : le Mac Studio M1 Max avait été lancé à ce prix, le Mac Studio M2 Max avait monté le tarif.

Test des Mac Studio de 2025 : une drôle de gamme

Test des Mac Studio de 2025 : une drôle de gamme

Enfin, les iPad perdent aussi quelques euros. Le modèle de base et sa puce A16 passe de 410 € à 390 € chez Apple. Une baisse qui devrait se répercuter chez les revendeurs… et sur les promotions : un passage à 350 € ou moins en promotion pourrait devenir régulier.

Test de l

Test de l'iPad A16 : il fait l'essentiel sans zèle

L'iPad mini (A17 Pro) passe de 610 € en prix public à 560 €, une belle diminution de 50 €. Comme les revendeurs le vendent régulièrement déjà 550 €, il est possible qu'il se trouve donc assez facilement vers 500 € pour les fêtes.

Test de l’iPad mini 7 : un péché mignon

Test de l’iPad mini 7 : un péché mignon

Le dernier produit dont Apple a diminué le prix est l'iPad Air M3. La version 11 pouces démarre maintenant à 670 € chez Apple, contre 720 € auparavant. Étant donné que son prix réel est plutôt aux alentours de 640 €, il devrait se retrouver dans les faits vers 600 €. La version 13 pouces, elle, passe officiellement de 970 € à 870 €, mais les revendeurs proposent déjà depuis longtemps ce modèle vers 880 €, donc il devrait en pratique s'approcher de 800 €.

Test des iPad Air M3 : ils ne manquent pas d’air

Test des iPad Air M3 : ils ne manquent pas d’air

Si vous avez vu d'autres produits qui ont perdu quelques euros chez Apple, les commentaires sont là.

  •