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L'iPhone Air 2 corrigerait le principal défaut du premier modèle

L’iPhone Air est un téléphone intéressant qui a plusieurs gros handicaps, dont son unique capteur photo. Les choses pourraient s’arranger dès l’année prochaine selon le parfois bien renseigné fuiteur Digital Chat Station. Il affirme qu’Apple envisage d’ajouter un ultra-grand-angle à la seconde version de son smartphone ultra-fin.

L'iPhone AIr. Image iGeneration

Dans un post Weibo, il avance que l’appareil devrait garder le même arrangement arrière : le capteur supplémentaire serait simplement placé à côté de l’actuel de 48 Mpx. L’iPhone Air aurait alors les mêmes capacités photo qu’un iPhone 17, ce qui devrait aider à faire passer la pilule auprès des clients. Apple devrait cependant sans doute bien revoir l’intérieur de son plateau, qui contient la plupart des composants essentiels du téléphone.

Apple a dû faire quelques compromis pour obtenir un smartphone aussi fin (5,6 mm). L’iPhone Air n’a certes qu’un seul objectif, mais aussi un unique haut-parleur à son sommet. L’autonomie est également moins bonne que les autres iPhone de la gamme 2025. Ces trois points combinés commencent à représenter de sacrées concessions pour le client, surtout pour un téléphone vendu plus cher que l’iPhone 17 n’ayant aucun de ces défauts.

Test de l’iPhone Air : mais pourquoi f’Air ?

Test de l’iPhone Air : mais pourquoi f’Air ?

Les rumeurs voudraient qu’Apple prépare un second iPhone Air, Ming-Chi Kuo le voyant arriver au côté de l’iPhone 18 Pro et de son premier modèle pliant en septembre prochain. Une troisième déclinaison avec un écran plus grand arriverait ensuite en 2027.

Reste à voir si Apple va réellement persévérer avec ce concept : les ventes d’iPhone Air seraient nettement sous les prévisions d’Apple, qui aurait demandé à fortement réduire la production. Le modèle est régulièrement en promotions chez les revendeurs, ce qui indique bien que les ventes sont décevantes. Samsung, qui a également tenté un modèle ultra-fin cette année, aurait carrément abandonné son successeur.

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OmniOutliner 6 va passer à l’achat universel et adopte Liquid Glass

OmniOutliner va bientôt passer la 6e avec une future grosse mise à jour : l’app s’apprête à adopter un système d’achat unique et le Liquid Glass d’iOS et de macOS 26. La nouvelle mouture est actuellement en phase de test, avec une possibilité de tester la bêta avant la sortie officielle pour les curieux.

La nouvelle interface sur Mac. Image MacGeneration

Pour rappel, OmniOutliner est un outil d’écriture et de structuration de la pensée : il permet d’organiser idées, projets ou notes sous forme de listes hiérarchisées, à mi-chemin entre un traitement de texte et un tableur. On peut l’utiliser pour un plan de roman, structurer un cours ou simplement ordonner des informations complexes.

Le principal changement de cette future révision est esthétique, avec un gros coup de frais dans l’interface, une iconographie revue et une nouvelle icône. Arrivent également des thèmes dynamiques adaptant les couleurs automatiquement selon que le système soit en mode clair ou sombre, avec la possibilité de reprendre la main si l’on veut son propre contraste.

L’arrivée des Omni Links devrait plaire aux équipes. On peut désormais créer des liens vers un document ou même vers une portion précise de contenu, et les partager avec d’autres utilisateurs sur n’importe quel appareil. Les pièces jointes sont plus souples (on peut redimensionner les images dans les notes) tandis que Omni Automation, le système de scripts maison, peut consulter les modèles locaux d’Apple sur les machines compatibles.

Et sur iPad. Image MacGeneration

Certaines nouveautés sont réservées au Mac, comme la possibilité d’ouvrir plusieurs fenêtres sur le même document pour le consulter sous différents angles, l’exécution de Raccourcis directement depuis Spotlight ou une barre d’état masquable pour gagner en sobriété. L’export RTF a été amélioré pour coller davantage au document d’origine.

Enfin, les déclinaisons iPhone et iPad se mettent à niveau de la version Mac. Elles récupèrent les outils de style avancé, un nouvel inspecteur d’attributs de style, des lignes de grille, une indentation réglable, des filtres puissants et une meilleure intégration aux nouvelles fenêtres d’iPadOS 26. Une version native pour visionOS est dans les cartons. Les notes de mises à jour sont disponibles à ce lien.

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Le Freebox Révolution Light repasse à 30 €/mois, après une promotion à 20 €/mois cet été

Xavier Niel doit vraiment aimer la Freebox Révolution, lancée en 2010, mais ceux qui veulent la Freebox dessinée par Philippe Starck vont devoir malheureusement payer plus chaque mois : alors qu'elle était proposée en « Série spéciale » à 20 €/mois cet été (uniquement la première année), elle vient de repasser à son prix d'origine, c'est-à-dire 30 €/mois. Free a beau indiquer que la Freebox Révolution Light est « à un prix mythique », ce n'est pas nécessairement la meilleure affaire du moment.

Le boîtier serveur. Image Free.

La Freebox Révolution est assez datée, mais elle a l'avantage de fonctionner avec les lignes ADSL et VDSL2. Si vous êtes reliés à la fibre optique, elle permet un débit de 1 Gb/s, mais vous devrez passer en Ethernet pour en profiter réellement : le Wi-Fi se limite à la norme 11ac (Wi-Fi 5).

Le boîtier TV. Image Free.

Free a tout de même la bonne idée de fournir un boîtier TV, ce qui n'est pas si courant dans les offres d'entrée de gamme. Il y a plus de 300 chaînes, un boîtier TV capable d'afficher en 1080p et un lecteur de Blu-ray, un anachronisme issu des années 2010. Le boîtier intègre un disque dur de 250 Go, pour des enregistrements en local, mais Free limite le nombre d'heures d'enregistrements en ligne (40 heures, contre 100 et 320 heures sur les offres plus onéreuses).

Free propose un an de fibre optique à 19,99 € par mois avec la Freebox Revolution Light

Free propose un an de fibre optique à 19,99 € par mois avec la Freebox Revolution Light

Si à 20 €/mois l'offre pouvait éventuellement trouver son public, c'est tout de même bien plus difficile à 30 €/mois. Même chez Free, vous pouvez avoir accès à la Freebox Pop pour le même prix. Et même si ce tarif est limité à la première année (l'abonnement passe à 40 €/mois ensuite), les offres sont sans engagement et il est donc possible de changer d'opérateur quand le prix augmentera. Chez les concurrents de Free, RED propose une offre à 21 €/mois (1 Gb/s, Wi-Fi 5, sans décodeur TV), Sosh est à 25 €/mois (2 Gb/s, Wi-Fi 7, sans TV) et B&You est à 24 €/mois (8 Gb/s, Wi-Fi 7, sans TV). Donc à part si vous avez vraiment envie d'une offre TV, la Freebox Révolution Light a peu d'arguments.

Bien évidemment, il n'est pas exclu que Free propose rapidement une nouvelle série spéciale. C'est ce qui était arrivé récemment : la promotion a été arrêtée le 16 juin 2025 et relancée deux semaines plus tard. Donc si vous comptiez vous abonner, ce n'est probablement pas le meilleur moment.

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Promo : la station de charge 2-en-1 d’Ugreen à seulement 24 € (-40 %)

Grosse promo ce matin chez Ugreen : Amazon propose sa station MagFlow 2-en-1 à seulement 23,99 €, contre 39,99 € en temps normal. Cela représente donc 40 % de remise ou 16 € d’économisés pour cet accessoire pouvant requinquer simultanément un iPhone et une paire d’AirPods.

Cet accessoire n’est pas le plus véloce étant donné qu’il est Qi1 pour une recharge à seulement 7,5 W. Il compense par son côté magnétique qui permet de profiter du mode « En veille » qui reste toujours à l’écran sur les iPhone 14 Pro et plus. Sa lenteur ne sera pas un souci si vous vous en servez pour charger votre téléphone la nuit ou pour les utilisateurs les moins exigeants.

L’accessoire se démarque par son format compact (11,6 x 6,6 x 2,4 cm) et son poids de seulement 220 g. L’angle d’inclinaison est réglable, ce qui sera pratique pour regarder des vidéos. La zone pour AirPods recharge à 5 W. Notons que le bloc secteur n’est pas inclus.

Si la vitesse de charge est un problème, Belkin a un produit similaire compatible QI2 pour une recharge à 15 W sur iPhone. Elle est en ce moment vendue 27,99 € au lieu de 34,99 € en temps normal, soit 20 % de moins. Le format est également compact, mais il faudra faire une croix sur la zone pour AirPods.

Pour du 2-en-1 Qi2, il faudra ajouter un billet pour cette station Ugreen au look original. Elle embarque un petit écran affichant un visage de robot et indiquant où en est la charge. Un port USB-C supplémentaire permet d’y greffer un chargeur d’Apple Watch. Ici aussi, il est possible d’incliner l’iPhone sous différents angles, ce qui sera pratique pour regarder des vidéos et comme support d’appoint.

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Après un changement controversé, iOS 26.1 donne le choix du geste pour arrêter une alarme

Alerte générale ! En modifiant l’interface de l’alarme sur iOS 26.0, Apple a fait des mécontents. Le bouton « Arrêter », auparavant petit et bien séparé du bouton « Rappel », est devenu plus grand et s’est dangereusement rapproché de ce dernier. Résultat, des utilisateurs ont coupé par mégarde leur alarme au lieu de la reporter — une différence de taille entre rester sous la couette et se lever.

Apple a entendu les critiques et a apporté des changements dans iOS 26.1. Désormais, pour couper une alarme, il faut faire glisser le bouton « Arrêter », un geste similaire à celui que l’on fait pour décrocher un appel. Ainsi, pas de risque d’interruption accidentelle.

Le bouton « Arrêter » à glissement par défaut d’iOS 26.1. Image iGeneration.

Néanmoins, si ce geste vous déplait, vous pouvez le désactiver ici : Réglages > Accessibilité > Toucher > Privilégier les actions à un toucher. Vous retrouverez dès lors un bouton « Arrêter » qui s’actionne d’un simple tap, comme sur iOS 26.0. Comme ça, tout le monde est content… sauf peut-être ceux qui préféraient le petit bouton à un tap en bas de l'écran d'iOS 18.

La nouvelle option dans iOS 26.1 pour retrouver le bouton « Arrêter » à un tap. Image iGeneration.

Comme cette option est intitulée « Privilégier les actions à un toucher », elle est susceptible d’influer sur d’autres commandes à glissement, même si nous n'avons pas encore repéré d’autres cas concrets. Elle ne modifie pas le geste pour décrocher un appel, notamment.

iOS 26 comprend d’autres nouveautés pour l’alarme. On peut enfin choisir la durée du rappel, c’est-à-dire le laps de temps après lequel l’alarme va de nouveau retentir, et les applications tierces peuvent faire sonner des alarmes natives. Nous avons détaillé ces ajouts dans l’article suivant :

Avec iOS 26, l’alarme se fait entendre : gros boutons et déclenchement par les apps tierces

Avec iOS 26, l’alarme se fait entendre : gros boutons et déclenchement par les apps tierces

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Apple simplifie le remboursement des achats d'apps effectués par les membres d’un partage familial

Se faire rembourser une app est généralement chose aisée et Apple a simplifié la manœuvre pour les membres d’un partage familial. Nous avons récemment eu droit à une petite fenêtre d’information en cherchant à nous faire rembourser un achat : elle rappelle que les personnes en charge de l'organisation d’une famille ont l'œil sur les achats facturés sur leur mode de paiement partagé, et qu'elles peuvent même demander un remboursement si besoin.

Autrement dit, vous pouvez entamer les démarches de remboursement si votre fils ou votre fille a effectué un achat non désiré sans avoir à passer par son compte Apple. Les pages de support indiquent que ce n’est pas vraiment une nouveauté, mais cela reste une astuce pratique. Attention cependant, la manœuvre ne peut être effectuée que tant que le membre en question fait partie du groupe familial.

Se faire rembourser une app est assez simple chez Apple. Il vous suffit de vous connecter avec votre compte Apple sur le site dédié. Choisissez « Demander un remboursement » dans le menu déroulant tout en haut, puis donnez une raison. Sélectionnez l’achat en question, puis envoyez la réclamation : les décisions arrivent sous 24 à 48 heures.

La création d’un groupe familial vaut le coup étant donné qu’elle permet de partager les achats sur l’App Store, la musique, les films et séries de l’iTunes Store, mais aussi les livres, les abonnements Apple et même le stockage iCloud. Il est possible d’autoriser ou de refuser les achats d’un enfant, et tout est facturé sur le mode de paiement de l’organisateur.

Attention toutefois : en cas de rupture, la configuration d’un groupe peut poser problème. Un seul administrateur est autorisé, ce qui donne l’ascendant à l’un des deux parents, d’autant qu’il n’est pas possible de transférer les enfants vers un autre groupe.

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Apple a vraiment envie que vous réessayiez les résumés des notifications fournis par Apple Intelligence

L’une des nouveautés d’iOS 26.1 et de macOS 26.1 sorties en version finale en début de semaine est visible durant le processus de configuration initiale qu’Apple affiche après installation des mises à jour. Sur les iPhone, iPad et Mac compatibles avec Apple Intelligence, un panneau demande à l’utilisateur s’il souhaite (ré)activer les résumés de notifications. On peut choisir de ne pas le faire immédiatement grâce à un bouton « Configurer plus tard » (un bel exemple de dark pattern, au passage) ou alors le système propose ensuite de choisir les catégories d’apps pour lesquelles les résumés seront activés.

Après installation de macOS 26.1, ce message s’affichera systématiquement sur les ordinateurs compatibles avec Apple Intelligence. Image iGeneration.
Si vous choisissez de configurer les résumés, le système affichera alors ce deuxième écran pour choisir les catégories concernées. Image iGeneration.

Cet écran sera affiché même si vous aviez testé les résumés de notifications lors de la sortie originale de la fonctionnalité et choisi de les couper pour une raison ou une autre. Je peux en témoigner puisque je l’ai constaté directement : j’avais testé et désactivé les résumés Apple Intelligence et pourtant, il m’a fallu confirmer que je ne voulais pas de la fonction sur tous mes appareils en les passant à 26.1. C’est quelque chose qu’Apple aime faire de temps en temps, pour des fonctions qu’elle juge probablement trop peu utilisées.

Le cas des résumés de notifications est d’autant plus intéressant que la fonctionnalité a fait la polémique lors de son premier lancement. Le premier modèle de langage utilisé par Apple lors de son apparition avec iOS 18.1 était manifestement incapable de résumer correctement les alertes, au point de changer profondément le sens des notifications, ce qui a rapidement posé problème, car Apple Intelligence indiquait le contraire de la réalité.

Apple Intelligence se fait étriller par la BBC

Apple Intelligence se fait étriller par la BBC

Apple Intelligence continue de créer de fausses informations en reformulant les notifications de la BBC

Apple Intelligence continue de créer de fausses informations en reformulant les notifications de la BBC

Apple Intelligence : le résumé des notifications peut vous inventer un mari

Apple Intelligence : le résumé des notifications peut vous inventer un mari

C’est en particulier la presse qui a le plus fait parler d’elle dans ce domaine, à tel point qu’Apple avait fini par réagir en désactivant temporairement la fonctionnalité pour les apps d’actualité et en mettant mieux en avant le rôle d’Apple Intelligence.

Après les bévues des résumés de notification, Apple bride la fonction et rappelle que c’est une beta

Après les bévues des résumés de notification, Apple bride la fonction et rappelle que c’est une beta

Depuis, Apple a amélioré son modèle de langage et, en théorie du moins, le résumé des notifications ne devrait plus faire d’erreurs aussi grossières que l’an dernier. C’est sans doute pour cette raison que la Pomme incite ses utilisateurs à réactiver la fonctionnalité, avec l’espoir qu’on lui laisse une deuxième chance. Cela dit, la fonction reste marquée comme bêta dans l’interface, avec une mention qui dit bien que « les résumés peuvent comporter des erreurs », ce qui n’est pas rassurant. On peut choisir de résumer les apps d’actualité, même si un message d’avertissement en rouge est présenté pendant la configuration, contrairement aux autres catégories d’apps.

Le résumé des notifications reste bien marqué en bêta, avec des messages qui rappellent qu’Apple Intelligence peut faire des erreurs. Image iGeneration.

D’un côté, on peut saluer l’honnêteté d’Apple. De l’autre, est-ce que cela veut dire que ses résumés pourront continuer de résumer l’inverse d’une notification ? Espérons que non, mais je garde les résumés d’alertes désactivés sur mes appareils. Même si la fonctionnalité était parfaite, je la trouve rarement utile au quotidien, avec des résumés souvent moins faciles à comprendre et tout aussi longs que les notifications complètes.

Avez-vous (ré)activé les résumés de notifications avec iOS 26.1 ? N’hésitez pas à indiquer dans les commentaires comment cela se passe jusqu’ici.

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macOS Tahoe 26.1 : des correctifs importants pour l’audio

Lors de la sortie de macOS Tahoe 26, Rogue Amoeba avait conseillé à ses utilisateurs d’attendre un peu avant de faire la mise à jour. L’éditeur qui propose plusieurs applications dans le domaine de l’audio, avait trouvé notamment deux bogues importants susceptibles d’entraîner des pertes audio.

L’app Fission de Rogue Amoeba

Dans ce domaine, macOS 26.1 règle un grand nombre de problèmes. Voici les changements notés par l’éditeur :

L’audio FaceTime et Téléphone ne se perd plus Un bug critique introduit avec macOS 26.0 pouvait provoquer des pertes audio lors des captures depuis FaceTime ou la nouvelle app Téléphone. Ce problème est corrigé avec macOS 26.1 : l’enregistrement audio depuis ces applications fonctionne désormais normalement.

Les différences de fréquences d’échantillonnage ne bloquent plus la capture audio Un second bug pouvait empêcher la capture audio lorsque la sortie secondaire n’utilisait pas la même fréquence d’échantillonnage que la sortie audio principale du système. Ce comportement a été corrigé dans macOS 26.1.

Amélioration de la capture audio depuis Safari en 44,1 kHz Lorsque la sortie audio du Mac était réglée en 44,1 kHz, l’audio provenant de Safari pouvait présenter des clics ou des micro-coupures lors de la capture. Ce problème est désormais résolu.

Un « Dis Siri » plus fiable Dans certains cas, la reconnaissance vocale pouvait échouer lorsque l’on capturait de l’audio. Avec macOS 26.1, « Dis Siri » fonctionne désormais comme prévu, même pendant une capture.

La capture à basse fréquence d’échantillonnage fonctionne à nouveau correctement Dans les dernières versions de macOS 15 (Sequoia), la capture pouvait échouer lorsque l’audio était émis à de faibles fréquences d’échantillonnage. Sur Tahoe, ce cas ne pose plus de problème.

Compatibilité améliorée avec certains appareils audio avancés Sur les anciennes versions de macOS, des interfaces audio comme celles de MOTU ou Apogee pouvaient produire un mauvais flux audio en capture, ou faire entendre du silence à la place du signal attendu. Les correctifs de macOS 26.1 améliorent la gestion de ces périphériques.

Filtre passe-bas moins agressif Avant macOS 26.1, le système appliquait automatiquement un filtre passe-bas marqué lors des captures audio. Ce filtre est désormais beaucoup moins prononcé.

Restrictions levées sur macOS Tahoe

L’éditeur recommande traditionnellement la prudence lorsqu’il s’agit de mettre à jour macOS. Toutefois, avec la version 26.1, les correctifs apportés rendent Tahoe suffisamment stable pour être conseillée dans la plupart des cas. Selon Rogue Amoeba, c’est aujourd’hui la version la plus appropriée pour la majorité des utilisateurs.

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Profitez vite de Microsoft Office 2021 à vie pour Mac ou Windows à partir de 30,11 €

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AirPods Pro 3 : un capteur cardiaque performant, sous conditions

La grande curiosité des AirPods Pro 3, c’est leur capteur de fréquence cardiaque. Est-il réellement performant ? Dans quelles conditions est-il pertinent ? Et comment se positionne-t-il face aux solutions déjà établies ?

Ces questions sont relativement nouvelles. La mesure de la fréquence cardiaque via les oreilles est une technologie relativement récente. Elle n’a pas le « track-record » des ceintures cardio ou des cardiofréquencemètres optiques. Pourtant, cette nouvelle technologie, que l’on trouve dans les AirPods Pro 3, a démontré d’excellentes performances.

À ce petit jeu, les meilleurs résultats sont offerts par les ceintures cardio, comme la Polar H10. Toutefois, porter une ceinture cardio n’est jamais confortable et cela fait un appareil de plus à gérer. Les cardiofréquencemètres optiques lorsqu’ils sont portés aux poignets ne sont pas toujours précis, notamment lorsque vous faites des exercices sollicitant beaucoup les bras.

Alors, qu’est-ce que les AirPods Pro 3 ont dans le ventre ? Après avoir fait rapidement un premier test après leur sortie, The Quantified Scientist a publié une nouvelle vidéo avec des tests plus poussés.

Initialement, ses premières impressions étaient excellentes. Deux mois plus tard, ses tests approfondis restent très positifs, mais un peu plus nuancés.

Surprise : les AirPods Pro 3 rivalisent avec les meilleures montres cardio

Surprise : les AirPods Pro 3 rivalisent avec les meilleures montres cardio

Toujours excellents pour le cyclisme

Certaines appréciations sont identiques deux mois après. Pour le cyclisme en intérieur, les résultats sont excellents et presque identiques à ceux d'une ceinture comme la Polar H10, qui est son maitre étalon pour les tests.

Pour le cyclisme en extérieur1, ils sont également très bons. Il obtient une corrélation de 0,99, mais note de rares moments où l'appareil cesse brièvement de détecter la fréquence cardiaque. Malgré cela, pour ce type d’activité, les AirPods Pro 3 restent dans le haut du panier.

Des résultats plus mitigés pour la course à pied et la musculation

Comme lors de ses premiers tests, les performances proposées par les AirPods Pro 3 ne sont pas totalement à la hauteur de ses attentes. Il a effectué plusieurs courses, beaucoup jonglé avec les différents embouts, mais a noté à bien des reprises des détections erronées de la fréquence cardiaque ou des « drop outs », des moments où les écouteurs étaient incapables de mesurer la fréquence cardiaque.

Dans son cas, il estime que les données fournies par Apple sont inutilisables. Pour la musculation, son avis a légèrement varié. C’était un domaine où les écouteurs d’Apple tiraient particulièrement leur épingle du jeu. Avec une corrélation de 0,96, les résultats sont « assez bons » selon lui, notamment lors d'exercices effectués debout. Cependant, des pertes de mesure ont été constatées lorsque le testeur était allongé sur un banc.

Il convient cela dit, de prendre ses résultats avec des pincettes. À la fin, c’est avant tout une affaire de morphologie. Et c’est là où les choses deviennent complexes : ce n’est pas parce que les AirPods Pro 3 tiennent parfaitement dans vos oreilles pour écouter de la musique, qu’ils sont dans la meilleure position pour mesurer votre fréquence cardiaque.

AirPods Pro 3 : pourquoi le test des embouts n’est pas à prendre à la légère

AirPods Pro 3 : pourquoi le test des embouts n’est pas à prendre à la légère

Encore une histoire de morphologie

The Quantified Scientist le reconnait volontiers. Il a confié une paire d’AirPods Pro 3 à une autre personne qui obtient de bien meilleurs résultats lorsqu’elle fait de la musculation.

J’ai analysé mes relevés lors de mes séances de reprise de course à pied. Pour l’heure, je n’ai pas noté de résultats farfelus comme je pouvais en avoir parfois avec l’Apple Watch. Lors de séance de fitness, le cardiofréquencemètre de l’Apple Watch pouvait s’égarer pendant de longues minutes. Avec les AirPods Pro 3, je n’ai jamais eu ce type de soucis.

De mon point de vue, le capteur des AirPods Pro 3 ravira tous ceux qui fréquentent assidument les salles de sport. C’est sans doute avec les bracelets de type Coros qui se placent sur le biceps, le meilleur compromis.

Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur

Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur

Si la praticité est le critère principal, les AirPods Pro 3 méritent clairement l’attention. Si la précision absolue est prioritaire, une ceinture thoracique restera préférable. Comme souvent, tout dépend de l’usage.


  1. On rappellera à toutes fins utiles que certains pays tolèrent l’utilisation d’écouteurs en vélo.  ↩︎

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iOS 26.2 : Apple stoppe la bêta sur iPhone Air, iPhone 16e et iPad Pro M5 Cellulaire

Apple a suspendu la diffusion d’iOS 26.2 et d’iPadOS 26.2 pour certains modèles. L’iPhone Air, l’iPhone 16e et les versions cellulaires des nouveaux iPad Pro M5 ne peuvent plus installer la première bêta de ces mises à jour. Les autres appareils ne sont pas concernés.

Les modèles équipés des modems C1 et C1X en cause

Apple n’explique pas ce changement pour le moment. Les trois appareils mentionnés partagent cependant un point commun : ils utilisent les nouveaux modems C1 ou C1X conçus par Apple. Il est donc plausible que la bêta d’iOS 26.2 contienne un bug affectant spécifiquement ces puces réseau.

Vers une nouvelle préversion dans les prochains jours

Initialement, la mise à jour continuait d’apparaître dans Réglages si l’appareil était inscrit au programme développeurs, mais l’installation échouait systématiquement. Depuis, Apple est allé plus loin : la mise à jour n’apparaît plus du tout sur les appareils concernés. Autrement dit, impossible de tenter une installation, même en étant inscrit au programme bêta.

Difficile de savoir combien de temps Apple prendra pour corriger le tir. Il faudra probablement attendre la bêta 2 d’iOS 26.2. En attendant, Apple a de nouveau publié la Release Candidate d’iOS 26.1 pour les appareils en question. Cela permet aux utilisateurs déjà sous les précédentes versions bêta de mettre à jour vers une version plus stable sans quitter le programme bêta.

L’analyste Max Weinbach rapporte qu’après avoir tenté d’installer la mise à jour, son iPad Pro M5 a démarré en mode récupération. Il a pu restaurer sa tablette sous iPadOS 26.1, sans perte de données majeure.

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Système et applications périmées, mots de passe absents : la sécurité informatique du Louvre défaillante

Alors que l’enquête concernant les vols spectaculaires commis au plus grand musée du monde se poursuit, et que les services de police ont déjà mis la main sur trois des voleurs, Libération avec son antenne CheckNews a mis la main sur des éléments plus que perturbants concernant la sécurité informatique du Louvre.

Windows Server 2003 en 2025... dans un sens ça colle : sa place est dans un musée, comme disait Indy.

Selon une foultitude de rapports de l’ANSSI, certains en libre accès et d’autres à diffusion restreinte que s’est procuré le journal, le réseau informatique du musée ferait frémir n’importe quel responsable sécurité informatique, ou même n’importe quelle personne formée à l’hygiène numérique : entre logiciels au support abandonné par le fournisseur, systèmes d’exploitation antédiluviens côté terminal comme côté serveur, ou même mots de passe dignes du fameux « 1234 » voire absents, c’est un joli cumul de tares basiques.

En 2014, l’ANSSI fait un audit dans le musée. Les choses commencent mal : l’intrusion dans les systèmes de sécurité, dont ceux gérant les caméras, se montre des plus faciles. Et pour cause, une fois sur un des postes du réseau interne, il suffit de taper « LOUVRE » pour accéder à une session, et le logiciel Thalès Sathi gérant les caméras est protégé par un simple « THALES ». Certains n’ont semble-t-il pas suivi les cours de sécurité informatique de base. Déjà à l’époque sont aussi relevés certains logiciels périmés, que l’ANSSI incite aussi à mettre à niveau.

2017, rebelote : cette fois, certains terminaux et autres sessions utilisateur n’ont carrément pas de mot de passe, et sont ainsi accessibles directement ! Mais de toute façon, un mot de passe n’arrêterait pas un malandrin un peu tenace : les terminaux disséminés dans le musée sont pour la plupart sous Windows XP, voire Windows 2000 Pro, tous deux abandonnés par Microsoft, depuis 2014 pour le premier et depuis 2010 pour le second, soit tout de même entre 4 et 7 ans sans mise à jour de sécurité... pour compléter le tableau, les anti-virus de ces postes ne sont pas à jour non plus.

Et en 2025, qu’en est-il ? Si certaines erreurs basiques comme les mots de passe ont été, espérons-le, corrigées, d’autres soucis plus profonds demeurent. Le logiciel de gestion des caméras Sathi de Thalès est, selon les audit, toujours en place alors que son support a été abandonné par Thalès depuis 2019, et d’autres logiciels dépassés sont aussi responsables de la gestion des badges, de la détection d’intrusion ou encore de la détection rapprochée des œuvres, en place pour détecter toute main un peu trop baladeuse auprès des pièces du musée. Au global, au moins l’un des serveurs, celui gérant entre autres Sathi, tourne sur un système d’exploitation périmé : en effet, le logiciel de Thalès n’est compatible qu’avec Windows Server 2003, abandonné par Microsoft depuis 2015. Une paille.

Toutes ces failles montrent une gestion où la sécurité informatique est prise à la légère, que ce soit par des personnes ne comprenant pas l’importance d’un mot de passe fort, ou par d’autres n’ayant pas les moyens financiers de mettre à niveau l’installation informatique du musée. Voilà qui est problématique, quand celle-ci doit gérer la sécurité des œuvres, ainsi que des personnes. Le responsable de l’audit mené suite au vol des bijoux estimé à 88 millions d’euros, Vincent Annereau, semble être réaliste sur l’état du parc informatique du lieu : « [Le parc informatique] avait besoin d’être, véritablement, modernisé [...] Ce dont je peux témoigner, c’est que la direction du Louvre avait pleine conscience de la... pas de la faiblesse, mais de la nécessité d’avoir un regard neuf sur le dispositif de sûreté de l’ensemble du musée ». Espérons qu’à la parole, se joignent les actes.

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Apple utiliserait une version à 1 200 milliards de paramètres de Gemini pour motoriser Siri

Ce dimanche, Mark Gurman annonçait parmi sa liste de fuites dominicales qu’Apple allait utiliser Google Gemini comme moteur pour son prochain Siri. Aujourd’hui, il en rajoute une couche avec des détails supplémentaires, dont le nombre de paramètres du LLM utilisé par la pomme.

Image généré par IA.

Si l’annonce était relativement discrète dans sa newsletter, ne prenant pas la première place du classement laissée à des rumeurs plus matérielles, elle n’en est pas moins intéressante : plutôt que de tout faire en interne, Apple aurait donc jeté l’éponge pour une partie de son chatbot, et décidé d’utiliser le moteur de Gemini à la place.

Un anniversaire très chargé, la bascule à l’OLED et Gemini sous le capot : la semaine Apple

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Le passage à Gemini n’est pas le premier test qu’Apple fait avec des moteurs d’intelligence artificielle extérieurs : en plus de celui de Google, la pomme aurait testé le moteur de Claude, ainsi que celui de ChatGPT. Cependant, c’est celui de Google qui aurait fini par avoir la préférence de la pomme, après une période de test intensive.

L’installation de Gemini sous le capot de Siri n’est pas définitive, et doit rester présente tant qu’Apple ne trouve pas son LLM assez compétitif pour gérer tout seul les requêtes de Siri, qui devrait arriver au printemps prochain avec iOS 26.4. Le moteur utilisé par la pomme devrait comprendre 1 200 milliards de paramètres, loin au-dessus des 150 milliards de paramètres de la version cloud d’Apple Intelligence actuellement. Il devrait être en charge des fonctions résumé et planification de Siri, qui aident le chatbot à résumer l’information et décider des tâches à accomplir. D’autres fonctions resteraient la chasse gardée de Siri.

Si Apple confie le moteur à Google, ce n’est pas pour autant que les données client iront vers les serveurs de Mountain View : le moteur Gemini devrait tourner exclusivement sur les serveurs d’Apple, le Private Cloud Compute déjà utilisé par Apple Intelligence. Pour ce faire, Apple aurait déjà alloué les infrastructures techniques nécessaires à l’arrivée du nouveau Siri dans ses data-centers.

Alors que l’utilisation de Gemini comme moteur de Siri devrait être temporaire, il faudra pour s’en passer qu’Apple juge que son LLM est assez compétitif pour venir concurrencer celui de Google et les autres. L’équipe dirigeante de Cupertino pense pouvoir mettre en ligne le moteur interne d’ici la fin de l’année prochaine, mais il faudra rajouter dans l’équation le fait que si Apple avance, les autres ne font pas du surplace pour autant. Parviendra-t-elle à rattraper des concurrents qui s’améliorent de jour en jour ?

Reste que cet aveu d’impuissance n’est pas pour faire plaisir à Apple, qui ne devrait pas crier sur tous les toits qu’elle a conclu un partenariat avec Google pour son chatbot. D’autant que celui-ci devrait lui coûter un petit milliard de dollars par an.

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iOS 18.7.2 est de sortie pour boucher de nombreuses failles

Après avoir lâché iOS 26.1, Apple ne s’arrête pas en si bon chemin, et laisse paraître ce soir une nouvelle version pour les appareils ne gérant pas le dernier système, avec iOS 18.7.2.

L’iPhone XS n’est pas compatible iOS 26, mais mérite sérieusement d’être mis en 18.7.2. Image MacGeneration.

Si iOS 26.1, en plus des correctifs de sécurité, comprend aussi des nouveautés intéressantes, il n’en est pas de même pour iOS 18.7.2 : comme souvent avec les mises à jour des anciens systèmes, il s’agit ni plus ni moins que de boucher toutes les failles de sécurité qui auraient pu être découvertes depuis la précédente mise à jour, dont Apple a fait la liste sur son site.

Si vous avez encore un de ces appareils en activité, ou si tout simplement vous ne souhaitez pas mettre à jour votre iPhone vers iOS 26, nous ne saurions trop vous conseiller d’installer cette nouvelle version d’iOS 18, celle-ci bouchant de nombreuses failles touchant l’App Store, l’audio, la caméra, l’app Localiser, et bien d’autres.

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Le casque Galaxy XR de Samsung devrait arriver en France en 2026

Le casque Samsung Galaxy XR, en vente depuis quelques jours en Corée du Sud et aux États-Unis, devrait débarquer en Europe. La marque coréenne va s'attaquer à quelques nouveaux pays en 2026, dont le Canada, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France, selon des rumeurs. Si le casque est vendu 1 800 $ aux États-Unis, il devrait être aux alentours de 1 900 à 2 000 € chez nous, étant donné que les prix américains sont affichés sans les taxes. C'est significativement moins que le Vision Pro, même après la (petite) diminution du prix lors du passage à la puce M5.

le Galaxy XR. Image Samsung.

Les raisons sont assez logiques : Samsung, qui a travaillé avec Google sur le sujet, a fait quelques choix plus pragmatiques que ceux d'Apple pour réduire les coûts. Il n'y a pas d'écran externe sur le Galaxy XR et les écrans internes, eux, sont un peu moins rapides. Mais les 90 Hz sont amplement suffisants pour les usages mis en avant : Samsung met nettement plus l'accent sur les usages récréatifs, avec l'intégration des outils de Google — Google TV, YouTube, etc. — et la présence d'une app pour Netflix, absente du Vision Pro.

Samsung Galaxy XR : un Vision Pro à moitié prix avec l’écosystème de Google et Netflix en prime

Samsung Galaxy XR : un Vision Pro à moitié prix avec l’écosystème de Google et Netflix en prime

Reste que si le casque a de bons arguments, et que le confort a été vanté par les premiers utilisateurs, le prix est tout de même assez élevé et les usages encore un peu limités. Comme pour le Vision Pro, le Galaxy XR peut être considéré comme une vision d'un futur, mais pas nécessairement celle du futur. Et ce ne sont pas les ventes du casque d'Apple, a priori assez faibles, qui vont contredire ce point pour le moment. Pour l'annonce officielle du lancement en France, nous devrons probablement attendre la prochaine conférence Galaxy Unpacked, attendue pour le 25 février 2026.

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Une procédure de suspension engagée contre la plateforme Shein par le gouvernement français

La plateforme Shein est dans la tourmente, et c'est peu de le dire. Si la marque a ouvert aujourd'hui son premier magasin physique en France, elle est aussi sous le coup d'une procédure de suspension, engagée par le gouvernement français. Si la plateforme est connue depuis longtemps pour ses produits à bas prix et de très mauvaise qualité (et souvent les deux), ce sont deux évènements récents qui ont amené cette procédure de suspension.

Le site de Shein est toujours accessible. Mais pour combien de temps ? Capture MacGeneration.

La première, nous en avons parlé, est la présence de poupées sexuelles à caractère pédopornographique sur la place de marché du site. Même si les poupées en question ont été retirées de la vente très rapidement et que la société a annoncé travailler avec la justice pour fournir la liste des éventuels acheteurs, cette affaire très médiatisée a évidemment eu un impact.

Shein vendait des poupées à caractère pédopornographique et pourrait être bloqué en France

Shein vendait des poupées à caractère pédopornographique et pourrait être bloqué en France

La seconde, détaillée dans un communiqué du gouvernement, vient du fait que la société vend visiblement des armes de catégorie A (sans plus de précisions, il peut s'agir d'armes à feu ou de certains types de couteaux, comme les fameux couteaux zombies). La plateforme doit démontrer aux pouvoirs publics que l’ensemble de ses contenus est en conformité avec nos lois et règlements français, sous peine d'exclusion. D'autres enquêtes sont aussi en cours pour des raisons similaires, et le ministre Laurent Nuñez a saisi la justice pour demander le blocage du site, pour faire cesser de façon certaine les graves dommages à l’ordre public causés par ses défaillances.

D'un point de vue pratique, l'exclusion devrait être la voie classique déjà vue pour les sites pornographiques, qui consiste à exclure la plateforme des DNS des grands fournisseurs d'accès. Comme souvent, les personnes qui utilisent un VPN à l'étranger, qui passent par des DNS alternatifs ou qui sont abonnées à des fournisseurs d'accès moins importants pourront donc encore accéder au site… à leurs risques et périls.

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N'achetez pas un adaptateur secteur USB sur Temu ou Shein, ils sont dangereux

Pour le moment, la réaction de Shein a été de supprimer l'accès à sa place de marché en France, et la société compte « engager dans les plus brefs délais un dialogue avec les autorités françaises. » Le gouvernement français devrait donner des détails sur la procédure de suspension dans les 48 heures.

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L'iPad Air M3 à 609 €, une réduction de 111 € sur son prix de lancement

L'iPad Air M3 est un modèle qui se place assez bien dans la gamme d'Apple : il est nettement plus puissant que l'iPad classique grâce à sa puce M3, tout en évitant le prix très élevé des iPad Pro. Le modèle de 11 pouces, dans sa livrée Lumière stellaire (un doré très léger) est en promotion sur Amazon : la version 128 Go Wi-Fi est à seulement 609 €, au lieu de 669 € chez Apple. Rappelons qu'Apple a diminué son prix le mois dernier, mais qu'il a été lancé à 720 €.

L'iPad Air M3 11 pouces (à droite) est en promotion. Image iGeneration.

Ce n'est pas le prix le plus bas qui a été vu pour ce modèle, qui est déjà descendu à 600 €, mais ça reste une réduction intéressante sur un produit Apple. Comme nous l’avons constaté dans notre test, l’iPad Air M3 est une tablette remarquable, offrant d’excellentes performances dans sa version 11 pouces et ne prenant pas trop de place. Il est évidemment possible de critiquer son écran LCD, qui n'atteint pas le contraste des dalles Mini LED des anciens iPad Pro ou des dalles OLED des modèles modernes, mais ça reste un écran de bonne qualité, parfait pour la majorité des usages.

Test des iPad Air M3 : ils ne manquent pas d’air

Test des iPad Air M3 : ils ne manquent pas d’air

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Fortnite débarque sur les PC Windows ARM, et ce n'est pas un changement anodin

Dans nos tests de PC sous Windows avec une puce ARM, nous avons une complainte récurrente, qui existe depuis le lancement de la plateforme, fin 2017 : l'absence de logiciels. Si quelques développeurs se sont mis à compiler leurs applications pour prendre en charge les puces de Qualcomm1 avec le temps et que les navigateurs majeurs proposent une version native, ce n'est pas le cas des jeux. En dehors du cas de World of Warcraft, aucun titre majeur ne propose de version native. Mais tout ceci vient de changer : Fortnite est enfin disponible et fonctionne sur les PC ARM.

Fortnite vient de recevoir une version dédiée à la famille Simpson. Image Signal65.
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Test de l'Asus Zenbook A14 : un PC portable ARM qui peine à convaincre

Pour le moment, Epic Games ne met pas ce changement en avant, mais la version 38.0 du jeu, sortie récemment, est bien compatible avec les PC ARM équipés d'une puce Snapdragon X. Les différents retours ne permettent pas actuellement de vérifier si les anciennes puces de Qualcomm sont aussi compatibles. Nous avons tenté de l'installer dans une machine virtuelle Windows 11 sur un Mac Apple Silicon, mais sans succès : le jeu indique qu'une puce TPM est nécessaire. La nouveauté se limite donc aux « vrais » PC équipés d'une puce ARM.

Il ne fonctionne pas dans notre machine virtuelle.

Les problèmes de Windows ARM

Le problème des jeux avec Windows ARM a trois causes principales. La première, c'est que certains moteurs de rendu ne sont pas adaptés aux puces de Qualcomm et que la dépendance au x86 est parfois forte. Une simple recompilation ne suffit pas nécessairement pour obtenir de bonnes performances, surtout quand les programmes emploient des optimisations pensées pour les puces x86, comme l'utilisation des instructions AVX.

La seconde, nous l'avions noté dans nos tests de PC sous Windows ARM, c'est que la partie graphique des puces de Qualcomm est un peu faible, et que la qualité des pilotes est perfectible. Le GPU Adreno est en retrait face à ce que proposent Intel et AMD (en x86) ou Apple (en ARM). Et les GPU en question sont totalement incapables de rivaliser avec des cartes graphiques dédiées. Ce n'est pas nécessairement un problème dans le cas de Fortnite : c'est un jeu compétitif qui est pensé pour fonctionner à peu près correctement sur la partie graphique intégrée d'un PC lambda.

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Test de l'Asus Vivobook S15 : enfin un PC Windows ARM qui tient la route grâce au Snapdragon X

Le troisième point, qui était bloquant chez Epic, vient des logiciels contre la triche. De nombreux jeux en ligne reposent sur ces derniers pour éviter que les joueurs trichent et rendent la compétition inégale, et d'autres ont des programmes de ce type pour éviter le piratage. Dans les deux cas, le problème est le même : ils reposent sur des solutions qui doivent avoir des accès bas niveau, et ils ne sont généralement pas adaptés aux puces ARM. Epic a mis à jour le sien il y a quelques mois dans une version bêta, et elle a été déployée avec la dernière mise à jour de Fortnite. Notons que nos confrères qui ont pu tester le jeu sur un PC équipé d'une puce Snapdragon n'indiquent pas si le jeu lui-même a été compilé pour les puces ARM, ou s'il repose encore sur l'émulation Prism de Microsoft. Mais les résultats tendent à prouver qu'il est bien natif.

Des performances correctes, sans plus

Le site Signal65 a pu tester le jeu, et les performances sont correctes, sans plus. Sur un PC Microsoft équipé d'un système sur puce Snapdragon X Elite (X1E-80-100, une variante qui se place dans le haut de la gamme), le jeu atteint 53 images/s en 1080p. C'est suffisant pour jouer de façon à peu près fluide, mais un PC équipé d'un Core Ultra 7 258V (Intel) atteint 74 images/s, et le Ryzen AI HX 370 d'AMD reste intouchable dans le même type de gammes, avec 86 images/s.

Les performances sont correctes. Image Signal65.

Même si les performances ne sont pas extraordinaires, voir arriver un jeu de ce type, très apprécié, est une bonne nouvelle pour l'écosystème. Il ne reste plus qu'à attendre que d'autres jeux arrivent et (surtout) que Microsoft laisse d'autres fabricants de systèmes sur puce proposer des PC sous Windows. Car une solution équipée des dernières puces de Nvidia — et donc d'une partie graphique dérivée des GeForce Blackwell — pourrait créer la surprise dans ce domaine.


  1. Les seules officiellement prises en charge par Microsoft.  ↩︎

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iOS 26 : Shazam passe au Liquid Glass et gagne une nouvelle interface

Grosse mise à jour pour Shazam, l’application de reconnaissance de morceaux achetée par Apple en 2018. Celle-ci est désormais prête pour iOS 26 et adopte les effets du Liquid Glass. Elle peut être téléchargée sur l’App Store si ce n’est pas déjà fait.

Avant/Après. Image iGeneration

L’app a gagné une nouvelle barre de navigation en bas de l’écran. Elle permet d’accéder facilement à la page principale et au gros bouton pour lancer l’écoute, mais aussi à sa bibliothèque de titres analysés. Un troisième onglet est dédié aux concerts, au côté duquel se trouve un bouton pour rechercher une piste.

Les titres récemment détectés s’affichent maintenant directement sur l’écran d’accueil, sans avoir à faire glisser depuis le bas de l’app. L’interface est plus transparente avec de nouvelles animations. L’icône a également gagné un style plus Liquid Glass.

Les différentes apps d’Apple n’étaient pas forcément prêtes pour iOS 26 à sa sortie. GarageBand a par exemple été mis à jour en début de semaine afin de récupérer une nouvelle icône. Même chose pour Pixelmator Pro et Photomator, mais on attend toujours du changement pour la suite bureautique d’Apple (Pages, Numbers et Keynote) ou iMovie. Notons qu’il s’agit ici simplement de nouvelles icônes, là où Shazam a eu droit à une refonte plus complète.

GarageBand et Pixelmator Pro améliorent leur stabilité, corrigent des bugs et gagnent une nouvelle icône

GarageBand et Pixelmator Pro améliorent leur stabilité, corrigent des bugs et gagnent une nouvelle icône

Apple a également réglé quelques petites imperfections au fil de l’eau. L’app Assistance Apple a par exemple une bulle au niveau de sa barre de navigation qui dépassait sur le bouton voisin. Cela n’est plus le cas, mais le problème est toujours là dans Music sur notre iPhone 15 Pro.

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eufy propose une caméra de surveillance qui peut vous suivre à 360° tout en filmant en 4K en parallèle

eufy, la marque spécialisée dans les objets connectés d'Anker, vient d'annoncer que la eufyCam S4 était disponible en précommande, pour 300 €. Ce modèle très haut de gamme pour eufy est une caméra de surveillance hybride, qui combine plusieurs objectifs, avec un double enregistrement.

La caméra et ses trois objectifs. Image eufy.

La caméra principale filme en 4K et a un angle de vue de 130°, fixe. Elle peut enregistrer en local sur sa mémoire de 32 Go, extensible à 256 Go (une valeur étonnante, les cartes de 512 Go et plus existent) via une carte microSD. La seconde partie, elle, intègre deux objectifs qui filment en 2K (sans plus de précisions, donc probablement en 2 560 x 1 440) avec un suivi à 360° et une inclinaison qui peut atteindre 70°. Cette solution permet de suivre une personne ou un objet, avec un zoom 8x (numérique) et un suivi par IA, si vous avez la base associée. La marque ne donne pas de détails sur la présence de deux objectifs 2K, mais il y a probablement une focale fixe avec un grand angle et une seconde avec un cadre plus resserré. Il est possible d'accéder aux deux flux en parallèle, ce qui rend la solution assez pratique.

Une caméra autonome

La caméra est Wi-Fi, et elle intègre une batterie de 10 000 mAh (la marque ne fournit pas la capacité en Wh). Alors que c'est une option chez beaucoup de fabricants, elle est livrée avec un panneau solaire amovible, qui devrait permettre à la caméra de fonctionner sur batterie (presque) indéfiniment. Le panneau de 5,5 W est en effet capable de charger la batterie de la caméra, mais pas nécessairement de l'alimenter directement. Elle peut donc être placée à peu près n'importe où, tant que votre réseau Wi-Fi est accessible.

Elle est autonome, avec un panneau solaire. Image eufy.

Une base pour l'IA

Si la caméra est autonome seule, elle n'est pas capable de filmer en continu, et les fonctions de suivi par IA — ainsi que les traitements d'images qui utilisent aussi l'IA — dépendent de la base HomeBase S380. Elle est livrée en kit avec deux caméras, qui diffèrent généralement du modèle vendu seul : elles n'ont que 16 Go de stockage. En contrepartie, la base peut accepter un disque dur qui peut atteindre 16 To selon eufy. Le kit en question vaut 700 €. Attention, l'enregistrement en continu nécessite d'alimenter la caméra avec un adaptateur secteur, il n'est pas disponible sur batterie.

La base, à droite, contient un disque dur (en option). Image eufy.

Si vous êtes amateurs de produit Apple, cette caméra a un petit défaut : alors qu'eufy propose souvent une compatibilité HomeKit sur ses modèles, ce n'est pas le cas ici. La seule manière d'accéder aux flux est de passer par l'app de la société. Et dans le cas d'eufy, ce n'est pas nécessairement une bonne nouvelle : eufy a longtemps « oublié » de chiffrer les flux issus de ses caméras. Et si ce n'est pas un problème dans l'absolu, les choix de la société sont parfois critiquables : elle achète par exemple les vidéos de ses clients pour entraîner son IA, ce qui pose tout de même des questions sur la vie privée.

Reste que les produits offrent généralement un bon rapport qualité/prix dans le domaine, et qu'il est toujours possible de refuser de vendre les vidéos, et d'empêcher les caméras d'accéder à l'extérieur, si vous avez peur des failles de sécurité. Et ce n'est pas une recommandation qui se limite aux caméras d'eufy…

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iOS 26.2 amorce l’ouverture des iPhone japonais aux boutiques tierces

Les murs de l’écosystème Apple continuent de s’effriter. Selon l’utilisateur de X @Tzzlala, les utilisateurs d’iPhone au Japon ayant téléchargé la première bêta d’iOS 26.2 peuvent désormais installer des boutiques alternatives comme AltStore PAL ou l'Epic Games Store sur leur iPhone.

iOS 26.2 Beta 1で代替アプリストアが日本でも利用可能になってる!!!!!!
AltStore PALとかEpic Games Store使える! pic.twitter.com/292ncTZrKJ

— しずく (@Tzzlala) November 4, 2025

Cela fait quelques années que le gouvernement japonais a Apple dans le collimateur : une loi inspirée du DMA a été votée en juin 2024 obligeant Cupertino à s’ouvrir à la concurrence sur sa plateforme. Les changements doivent être mis en place avant le 18 décembre 2025, ce qui explique le timing. Cependant, la loi ne se limite pas aux boutiques alternatives.

iOS va également devoir prendre en charge les plateformes de paiement concurrentes dans les apps et donner le choix aux utilisateurs dans les apps par défaut. Cupertino n’aura plus le droit d’utiliser les données des utilisateurs auxquelles les développeurs tiers n’auraient pas accès, et ne pourra plus faire la promotion de ses propres applications sur l’App Store.

La possibilité d’installer des apps tierces est arrivée dans l’UE avec iOS 17.4 afin de se mettre au pas du DMA. Altstore a ouvert le bal, suivi par Epic, mais aussi Setapp ou encore Aptoide. Les rumeurs voulaient qu’Apple ait préparé un système pour ouvrir iOS à travers le monde en cas de passage de lois similaires au DMA : on peut imaginer que c’est celui qui a été utilisé aujourd’hui. L’installation d’apps tierces n’est pour le moment pas possible en dehors de l’Union européenne.

iOS 26.2 devrait donc sortir avant le 18 décembre, probablement entre le 9 et le 16. C’est attendu : Apple laisse traditionnellement la fin d’année tranquille à ses développeurs. La mise à jour n’apporte pas de grosse nouveauté, et on y trouve principalement la traduction en direct des AirPods ainsi qu’un nouveau réglage pour ajuster le Liquid Glass de l’horloge sur l’écran verrouillé.

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Recharge des voitures : Tesla active son MultiPass en France

Tesla a activé le MultiPass pour ses clients français, cette idée originale qui transforme la carte NFC qui fait office de clé de voiture en carte de recharge pour les réseaux tiers. La fonctionnalité a été lancée en septembre dernier d’abord aux Pays-Bas et j’ai reçu une notification à l’heure du repas pour me signaler sa disponibilité pour mon compte. Mon collègue Cédric n’avait pas eu d’alerte, mais il a pu malgré tout activer la fonction, alors n’hésitez pas à faire un tour dans les notifications intégrées à votre app Tesla pour vérifier ce qu’il en est.

La carte fournie avec la voiture qui peut désormais servir à recharger sur les bornes tierces. Image MacGeneration.

Pour rappel, le principe du MultiPass est de transformer la carte NFC fournie avec toutes les Tesla en une carte de charge, compatible avec les bornes de charge publiques. Cela ne concerne pas les Superchargeurs de la marque, qui communiquent directement avec la voiture pour l’identifier et initier la charge automatiquement. Cela concerne en revanche la majorité des autres bornes, que ce soit les rapides que l’on trouve sur toutes les aires de service au bord des autoroutes ou les lentes que l’on peut dénicher dans les villes ou sur les parkings de supermarchés.

Ces bornes nécessitent un moyen de paiement, mais disposent rarement d’un lecteur de carte bancaire et on utilise alors une carte NFC pour s’identifier. De nombreux opérateurs fournissent de telles cartes, le plus connu en France étant sans doute Chargemap. Les conducteurs de Tesla n’en auront en théorie plus besoin, ils pourront utiliser la carte fournie avec leur voiture pour réaliser la même tâche. Le paiement sera alors prélevé de la même manière que pour les Superchargeurs. La carte Tesla pourra même fonctionner pour d’autres véhicules, elle n’est pas liée à une voiture en particulier… tout en gardant sa fonction de clé de voiture de secours (on utilise plutôt son smartphone au quotidien).

La notification (en anglais alors que mon iPhone est en français) pour activer le MultiPass à gauche, le message de l’app au centre et l’introduction à la fonctionnalité à droite. Image MacGeneration.
La suite de la description de la fonctionnalité à gauche et au centre, le MultiPass actif à droite. Image MacGeneration.

L’activation du MultiPass se fait dans l’app mobile de Tesla et nécessite de scanner l’une de ses cartes clés avec le lecteur NFC intégré au smartphone. On peut aussi choisir un moyen de paiement différent de celui utilisé pour les Superchargeurs, même si c’est celui qui est sélectionné par défaut. Si vous avez du crédit Tesla pour des charges gratuites, bonne nouvelle : vous pourrez aussi l’utiliser comme moyen de paiement sur les bornes tierces, comme Cédric a pu me le confirmer. Tout n’est pas parfait pour autant et cette carte ne devrait pas être aussi universelle qu’on l’aimerait.

Par rapport aux cartes dédiées à la charge, le MultiPass ne sera pas compatible avec toutes les bornes. Le fabricant indique sur son site que seules celles visibles sur l’écran de la voiture sont prises en charge et comme il en manque beaucoup, mieux vaut encore commencer par là et choisir une borne en fonction de ce que l’ordinateur de bord suggère. Côté tarifs, l’offre de Tesla est intéressante sur le papier, puisque le constructeur ne prélève pas de frais sur chaque session de charge alors que c’est systématiquement le cas avec les cartes dédiées. On aimerait néanmoins davantage de transparence dans ce domaine, où l’opacité est la norme : puisque le prix des bornes tierces n’est pas affiché dans la voiture, on ne saura pas combien on paye le kWh avant de recevoir la facture.

Le MultiPass devrait me permettre de charger sur ces bornes Allego, mais je n’ai aucune idée du prix que je vais payer. Image MacGeneration.

Malgré ces limites, le MultiPass est un plan B intéressant pour pouvoir charger hors du réseau de Superchargeurs. Au lieu d’acheter une carte dédiée, utiliser celle que l’on a déjà dans la voiture est une bonne idée et l’absence de frais supplémentaires prélevés par Tesla est une bonne nouvelle.

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Le Nintendo Store a maintenant son application iOS

Bonne nouvelle pour les joueurs Switch : Nintendo vient de mettre en ligne une app pour le Nintendo Store. On peut y retrouver les différents jeux de l’eShop, mais aussi consulter les produits matériels de la boutique (consoles, manette…). Elle est dès à présent disponible sur l’App Store et sur Android. On notera qu’elle est directement optimisée pour l’iPad.

Image iGeneration

Les achats passent toujours par une fenêtre web venant s’ouvrir dans l’app, mais cela reste plus pratique que de lancer Safari pour faire du lèche-vitrine. Un système de notification est en place, tout comme un fil d’actualité permettant de surveiller les dernières sorties. La liste de souhait est également facilement accessible, avec un filtre pour voir les titres en promotion.

Se connecter à son compte Nintendo permet d’accéder à quelques statistiques, comme ses heures passées sur les différents jeux ou les dates des parties. Il est même possible de remonter jusqu’à la 3DS et la Wii U en entrant son identifiant Nintendo Network. Les données vont jusqu’à 2020 et étaient auparavant un peu plus planquées dans les réglages du contrôle parental.

Image iGeneration

L’app n’est pas complètement nouvelle : elle a fait ses débuts il y a 5 ans… mais était exclusivement réservée au Japon sous le nom de My Nintendo. Ce second départ la rend disponible au Canada, aux États-Unis et dans une bonne partie de l’Europe.

Nintendo n’en finit pas de lancer de nouvelles applications ces derniers temps. Elle a revu l’app compagnon de sa Switch à l’occasion de la sortie de la deuxième génération, améliorant au passage son utilitaire dédié au contrôle parental. Elle a ensuite dévoilé Nintendo Music, une plateforme de streaming avec les OST de ses jeux. Nintendo Today est arrivée par la suite, permettant de suivre les dernières actualités de la marque.

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