En 2023, nous vous présentions un nouveau résolveur DNS pensé pour les Européens, dns0.eu. Français et lancé par deux fondateurs de NextDNS, il devait permettre de vous protéger des sites malveillants et de réduire les publicités tout en protégeant un peu mieux votre vie privée. Las, le service a fermé fin octobre, sans explications (et sans prévenir).
La page officielle est plutôt sobre : elle indique que le service est coupé avec une petite phrase de justification, dont voici la traduction : « Nous aurions aimé le maintenir en fonctionnement, mais ce n’était pas durable pour nous en termes de temps et de ressources. » Ses créateurs recommandent assez logiquement NextDNS, qui est beaucoup plus complet mais est payant au-delà de 300 000 requêtes mensuelles. L'autre solution recommandée est DNS4EU. Il s'agit d'un autre résolveur européen (comme son nom l'indique), qui offre à peu près les mêmes fonctions. Mais contrairement à dns0.eu, il est porté par les autorités, ici la Commission européenne.
Dans tous les cas, les résolveurs DNS alternatifs ont de plus en plus de problèmes. Google et Cloudflare sont obligés de respecter la loi française et de bloquer certaines entrées qui renvoient vers des sites illégaux. Quad9, un autre résolveur alternatif, a par exemple expliqué récemment que le service allait bloquer des sites partout dans le monde car la justice française lui impose, et qu'ils ne peuvent pas définir l'origine des requêtes pour effectuer cette censure uniquement pour les Français.
Enfin, et c'est une mésaventure qu'un de nos lecteurs a vécue, méfiez-vous si vous aviez choisi de passer par dns0.eu sur un de vos appareils : un résolveur DNS inaccessible peut en effet poser de nombreux problèmes et empêcher le chargement de certaines app ou sites, même si vous avez indiqué un serveur secondaire.
Chaque année, le Black Friday cristallise cette même tension : celle de ne pas laisser passer une vraie bonne affaire tout en évitant les pièges du marketing agressif.
CyberGhost déploie son arsenal promotionnel avec une réduction de 83 % assortie de quatre mois gratuits, abaissant le tarif mensuel à 2,43 € TTC. Une offre calibrée pour séduire les possesseurs de Mac qui hésitent encore à franchir le pas du VPN.
Pourquoi Safari ne suffit plus à protéger votre vie privée
La question de la confidentialité en ligne n'a jamais été aussi prégnante. Entre les annonceurs qui tracent chacun de vos clics, les pirates qui guettent la moindre faille sur les réseaux publics et les gouvernements qui légifèrent sur la surveillance de masse, naviguer sans protection ressemble de plus en plus à traverser une autoroute les yeux bandés. Safari, malgré ses efforts en matière de prévention du pistage, ne peut pas grand-chose face à un fournisseur d'accès déterminé ou à un administrateur réseau curieux.
Le chiffrement comme rempart numérique
CyberGhost encapsule l'intégralité de votre trafic dans un tunnel chiffré. Concrètement, cela signifie que personne, pas même votre fournisseur d'accès internet, ne peut déchiffrer ce que vous faites en ligne. Vous consultez vos comptes bancaires depuis un café ? Vos identifiants restent illisibles pour quiconque tenterait de les intercepter. Vous téléchargez des documents professionnels sensibles ? Le contenu demeure opaque aux yeux indiscrets.
Une infrastructure tentaculaire de 11 000 serveurs
L'architecture réseau de CyberGhost s'appuie sur 11 000 serveurs répartis dans plus de cent pays. Cette densité géographique n'est pas qu'une statistique marketing. Elle garantit des connexions rapides en vous rapprochant physiquement d'un serveur, réduit les risques de saturation et ouvre la porte à des contenus géo-restreints. Vous partez en voyage ? Un serveur vous attendra à destination. Vous voulez accéder à un catalogue de streaming étranger ? Il suffit de choisir le bon pays.
L'écosystème Mac entièrement couvert
Que vous possédiez un iMac de bureau, un MacBook Pro pour vos déplacements ou un iPhone pour vos consultations nomades, CyberGhost fonctionne de manière transparente sur tous ces appareils. L'application macOS s'installe en quelques clics, sans configuration byzantine ni manuel d'instructions kafkaïen. Une fois lancée, elle s'efface discrètement dans la barre de menu, prête à basculer d'un serveur à l'autre selon vos besoins.
La confiance se mesure : 4,7 sur 5 sur Trustpilot
Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Plus de 14 800 personnes ont pris le temps de laisser un avis sur Trustpilot, attribuant une note moyenne de 4,7 sur 5 à CyberGhost. Cette agrégation d'expériences réelles offre un aperçu bien plus fidèle que n'importe quelle plaquette commerciale. On y croise des éloges sur la stabilité du service, quelques reproches sur des ralentissements ponctuels, mais globalement un consensus autour de la fiabilité du produit.
2,43 € TTC par mois : anatomie d'une réduction
Décomposons cette offre Black Friday. La réduction de 83 % s'applique sur un abonnement longue durée, probablement deux ans. Les quatre mois supplémentaires viennent gonfler cette période, diluant encore le coût total. Résultat : 2,43 € TTC par mois, un tarif qui place CyberGhost dans une fourchette compétitive sans sacrifier les performances.
L'équation temps-prix du Black Friday
Cette mécanique promotionnelle repose sur l'urgence. Le Black Friday conditionne les esprits à l'immédiateté, cette crainte irrationnelle de rater une occasion qui ne repassera peut-être jamais. CyberGhost capitalise sur ce levier psychologique, en limitant volontairement la durée de son offre. Une fois la période écoulée, les tarifs remonteront inexorablement vers leurs niveaux habituels. C'est frustrant, c'est calculé, mais c'est aussi le jeu auquel tout le monde participe pendant cette période de l'année.
Pour ceux qui cherchent à sécuriser leur navigation sur Mac sans vider leur compte en banque, cette promotion offre un point d'entrée cohérent. Reste à décider si l'engagement sur deux ans correspond à votre horizon numérique.
Connecter tous les ouvrants de son logement est un bon ajout à la domotique. Une serrure connectée sur la porte d’entrée permet de s’assurer qu’elle est bien fermée en partant ou d’ouvrir la porte à distance pour un visiteur. Des volets ou des rideaux connectés sont intéressants à la fois pour économiser de l’énergie en hiver et limiter la chaleur en été. Une porte de garage connectée est utile pour des fermetures automatiques et l’ajout d’un bouton à CarPlay. Quel que soit votre équipement et vos désirs, voici les meilleures promotions dans le cadre du Black Friday.
Image iGeneration.
Serrures connectées
Les serrures connectées permettent de se passer de trousseau de clés, en ouvrant ou fermant la serrure pour vous. La domotique apporte de nombreuses opportunités dans ce domaine, avec des automatisations pour verrouiller automatiquement la porte après votre départ ou le soir venu, ou encore ouvrir l’accès au logement pour un proche. Dans ce domaine et dans l’écosystème Apple, la référence reste l’U200 d’Aqara : plus d’un an après sa sortie, c’est toujours la seule serrure connectée européenne qui prend en charge les clés du domicile de l’app Maison. On peut l’acheter en ce moment à 159 € au lieu de 190, son meilleur prix.
Pour rappel, cette fonctionnalité permet d’ouvrir ou fermer la serrure en approchant simplement son iPhone ou Apple Watch d’un pavé numérique placé à l’extérieur. Inutile de déverrouiller l’appareil avant, cela fonctionne comme avec Apple Pay pour les paiements et c’est très confortable si vous êtes équipé. Pour le reste, c’est une serrure connectée à tous les écosystèmes Matter par le biais de Thread et son pavé extérieur permet aussi de saisir des codes, voire d’utiliser une empreinte digitale pour ouvrir la porte.
La Lock Ultra de SwitchBot sur ma porte de jardin. Image iGeneration.
Si la compatibilité avec les clés du domicile d’Apple ne vous intéresse pas, je peux aussi vous recommander la Lock Ultra de SwitchBot. Le pack avec la serrure, le hub obligatoire pour Matter et le pavé numérique et lecteur d’empreintes est affiché à 180 € au lieu de 250. C’est un petit peu plus cher, mais la serrure elle-même est à mon avis meilleure que celle d’Aqara, notamment grâce à sa triple alimentation qui doit limiter tout risquer de tomber en panne de batterie. Elle est installée sur ma porte depuis plus de six mois et je n’ai eu aucun problème avec elle à l’usage, ce qui n’était pas le cas des anciens modèles de la marque.
SwitchBot propose aussi la reconnaissance faciale en option, pour 230 € au lieu de 300 également avec le hub associé. Cela a mieux fonctionné que je le pensais pendant mes tests et avec l’avantage à l’approche de l’hiver de ne pas nécessiter de sortir les mains des poches ni de retirer ses gants.
Pour finir, Nuki reste la valeur sûre en matière de serrure connectée européenne, mais le fabricant autrichien a un petit peu boudé le Black Friday cette année. Le seul modèle à son catalogue en promotion est la Smart Lock Go d’entrée de gamme, vendue 99 € au lieu de 149. Ce n’est pas une mauvaise affaire, même s’il faut garder en tête qu’elle est vendue nue, sans pavé numérique pour l’extérieur, ni même un capteur de porte ouverte. Elle se connectera directement à Maison par le biais de Thread, mais il faut aussi noter que l’accès distant nécessite d’ajouter 49 €… ce qui la ramène au prix du produit d’Aqara.
Contrôle des volets et rideaux
La connexion de vos volets électriques dépend de la technologie utilisée à votre logement. Si vous avez des volets sans-fil Somfy, solaires ou non, il vous faudra un boîtier pour faire le lien et malheureusement, je n’ai pas trouvé d’offre dans ce Black Friday. Le kit de connectivité compatible HomeKit est vendu 79 € et c’est l’option la moins chère.
Si vous avez des volets filaires, le plus simple est d’intervenir au niveau de l’interrupteur mural et de le remplacer par un modèle connecté. Les options ne manquent pas dans ce domaine, comme cet interrupteur Meross qui est compatible avec Matter et vendu 31 € au lieu de 35 à l’unité ou bien 110,2 € au lieu de 120 pour un lot de quatre. Il vient se connecter à la domotique en Wi-Fi et nécessite un fil neutre dans le mur.
Image Meross.
Si vous ne voulez pas de Wi-Fi pour cet accessoire, le Shutter Switch d’Eve se connecte à la domotique en Thread, même si le prix n’a rien à voir : 85 € au lieu de 100. Notez aussi qu’il s’agit d’un accessoire HomeKit et non Matter, ce qui n’a aucune importance pour l’utiliser dans Maison d’Apple.
Enfin, si vous ne voulez pas toucher aux interrupteurs muraux existants, les micromodules sont une bonne option. Comptez 16 € au lieu de 20 pour ce modèle Tapo qui se connecte en Wi-Fi et qui est compatible avec Matter, ou alors 28 € au lieu de 35 pour le Relais Double T2 d’Aqara qui repose sur du Zigbee et nécessite un hub maison.
Vos volets roulants sont manuels et associés à une sangle ? Meross a un produit spécialisé pour les motoriser et les relier à la domotique ouverte avec du Wi-Fi. L’appareil est en promotion à 133 € au lieu de 150, mais vérifiez bien avant achat que vos volets sont compatibles.
Vous cherchez à automatiser l’ouverture et la fermeture de rideaux ? Le Curtain 3 de SwitchBot est en promotion à 64 € au lieu de 90 et c’est une excellente option. J’en utilise un sur le rideau placé devant ma porte d’entrée et il fonctionne parfaitement bien, notamment pour automatiser son ouverture dès que l’on ouvre la serrure ou que quelqu’un sonne à la porte. Deux variantes sont proposées à ce prix : celle pour les rideaux avec œillets sur une barre et celle pour les rideaux sur un rail.
Avant d’acheter, vérifiez la compatibilité sur le site du fabricant. Rappelons aussi qu’un hub Bluetooth de la marque est nécessaire pour l’ajouter à Maison grâce à Matter. Si vous n’êtes pas équipé, comptez 52,5 € au lieu de 70 pour le hub mini ou bien 60 € au lieu de 80 pour le Hub 2 qui fait aussi office de thermomètre et contrôleur infrarouge.
Le moteur de rideau de SwitchBot en place au-dessus de ma porte d’entrée. Image iGeneration.
Pour finir, vos stores peuvent être connectés en leur ajoutant un moteur MotionBlinds conçu par Eve et vendu actuellement 170 € au lieu de 200. Il intègre une puce Thread pour se connecter à la domotique par le biais de Matter et permet d’avoir un résultat aussi discret que possible.
Plus simple et moins cher, Aqara vend un moteur qui vient se positionner sur le cordon perlé qui ouvre et ferme les stores, à 48 € au lieu de 64. Il fonctionne en Zigbee et nécessite ainsi un hub. Vous comptez acheter des stores ? Ceux de SwitchBot sont en promotion, à partir de 143 € au lieu de 230 (le prix dépend du format) et ils nécessiteront également un hub de la marque.
Gestion de la porte du garage
La porte du garage peut être contrôlée depuis l’app Maison en reliant un module connecté au moteur. Celui de Meross est actuellement vendu 39,5 € au lieu de 46, il ne nécessite que du Wi-Fi dans le garage et il est compatible avec HomeKit. C’est un produit simple, mais bien suffisant pour ouvrir et fermer la porte en utilisant Maison, Siri ou encore le bouton qui s’affichera automatiquement dans CarPlay, ce qui est certainement le plus pratique si votre voiture gère le système d’Apple. Si vous avez un garage avec plusieurs portes, le modèle du dessus (qui en gère trois au maximum) est lui aussi en promotion à 57 € au lieu de 70.
Image Meross.
Côté Matter, le micromodule Sonoff est encore moins cher, à 12,8 € au lieu de 21 et lui aussi se connecte en Wi-Fi. Il lui manque en revanche le capteur d’ouverture, indispensable pour un système complet, même si on pourra s’en passer grâce à un capteur également compatible Matter. Sinon, le micromodule de SwitchBot, fourni avec un capteur dédié, est quant à lui vendu 26,6 € au lieu de 39 et il se connecte lui aussi en Wi-Fi, évitant l’achat d’un pont propriétaire.
Pour le Black Friday, il a deux belles réductions sur des produits de chez Logitech. Premièrement, la récente souris MX Master 4 passe à 89 € au lieu de 120 €. C'est la version « pour Mac » (sans le récepteur Bolt) en blanc. Il faut passer par Rakuten, mais c'est Boulanger qui livre et il y a une réduction de 30 € avec le code BOULANGER30. C'est réellement une excellente souris, comme notre test le montre.
L'autre promotion très intéressante est sur un pack : le clavier MX Keys S (qui possède un double marquage pour être utilisé sur Mac et PC), un repose-poignet et une souris MX Master 3S. Le pack est à seulement 120 € sur Rakuten, via Boulanger. Comme pour la souris, il faut utiliser le code BOULANGER30 pour obtenir 30 € de réduction.
120 € pour l'ensemble, un excellent prix. Image Logitech.
En temps normal, la souris seule vaut 120 €, tout comme le clavier. Pendant le Black Friday, il est possible de trouver la souris pour 80 € et le clavier pour 70 €, ce qui montre bien que le pack est intéressant. Ce sont deux accessoires haut de gamme, très efficace pour le travail. Si vous préférez un clavier moins large, la variante Mini (sans pavé numérique) est aussi en promotion à 62 €.
La saga de Traqués, la série française du service Apple TV qu'Apple a voulu faire disparaître, continue. Le spécialiste des médias Clément Garin, qui a récemment expliqué que la raison de sa disparition était liée à une affaire de plagiat, revient sur le sujet. Selon lui, Apple voudrait payer les droits sur le roman Shoot de Douglas Fairbairn pour régler le problème.
La couverture du livre qui a « inspiré » la série.
Petit résumé de l'affaire : Apple a fait disparaître toutes les traces de The Hunt (Traqués) le 21 novembre, alors que la série française devait arriver sur le service Apple TV le 3 décembre. La raison, dévoilée quelques jours plus tard, serait un problème de plagiat : le réalisateur Cédric Anger se serait un peu trop inspiré d'un roman des années 70, Shoot, sans prévenir Gaumont et Apple.
Dans sa newsletter, Clément Garin explique deux choses. Premièrement, après avoir nié, le réalisateur a finalement admis s'être « librement et étroitement inspiré. » Selon Variety et Deadline, qui ont vu la série, les œuvres sont très proches, en dehors de la fin.
Deuxièmement, la série est un problème pour Apple. Elle aurait coûté 16 millions de dollars, et Apple ne souhaite évidemment pas les perdre. Pour régler le problème, la seule solution est donc d'acheter les droits rétroactivement, ce qui augmente les coûts. Douglas Fairbairn est décédé en 1997, mais ses ayants droit pourraient demander 1 million de dollars, alors que le chèque aurait été de l'ordre de 300 000 dollars avec un achat classique. Selon des sources de Clément Garin, il faut aussi prendre en compte le fait qu'Apple et Gaumont n'auraient tout simplement jamais financé une série adaptée d'un roman des années 70, déjà adapté dans un film (oublié) dans la même décennie.
Mais pour Apple, il n'y a probablement pas d'autres choix pour le moment et l'achat des droits est probablement le seul compromis pour éviter de perdre les millions investis dans la série.
Jusqu’à présent, le Mac mini M4 s’est fait assez discret pendant le Black Friday. Il n’est pas (ou peu) passé sous la barrière psychologique des 600 €. Voilà qui est fait avec cette offre.
Il est possible d’acquérir le Mac mini M4 pour 589 €. Pour l’obtenir à ce prix, il faut l’acheter sur Rakuten en utilisant le code BLACK40, puis aller le retirer dans un magasin Boulanger. Si vous en avez un à proximité, c’est une offre intéressante.
Ce code coupon est valable sur le reste de la gamme. Vous pouvez obtenir :
le modèle 16 Go / 512 Go pour 774 € (prix public : 929 €)
le modèle 24 Go / 512 Go pour 1 039 € (prix public : 1 160 €)
le modèle M4 Pro 24 Go / 512 Go pour 1 489 € (prix public : 1 649 €)
Petite cerise sur le gâteau : Rakuten vous propose également plusieurs dizaines d’euros sous forme de cagnotte, à utiliser ultérieurement.
Si vous êtes vidéaste, que vous avez envie de vous lancer ou que vous cherchez simplement à améliorer vos vidéos de vacances, le Black Friday est une bonne occasion pour vous équiper à bas prix. Le sympathique stabilisateur Flow 2 Pro d’Insta360 perd aujourd’hui 25 % sur son tarif initial pour tomber à 149 €. Il a l’avantage de tourner à 360° et d’être compatible nativement avec iOS grâce à sa prise en charge de DockKit.
Nous avons eu l’occasion de tester ce stabilisateur, qui nous avait entièrement convaincu. Il s’agit d’un modèle agréable et complet avec un trépied intégré et une perche à selfie. L’application incluse est complète, mais vous pouvez vous en passer pour l’utiliser simplement avec l’app Appareil photo. La version plus basique (sans DockKit) Flow 2 Plus est à 99 € pour le Black Friday (-50 €). DJI commercialise un modèle un peu moins avancé qui n’a pas cette prise en charge native, mais qui est vendu moitié moins cher pour seulement 69 € (-30 %). Il sera très bien pour débuter ou comme cadeau de Noël.
Pour capter du son, rien ne vaut un bon micro. DJI propose un micro-cravate basique, le Mic mini, qui est justement en promo aujourd’hui. Le pack contenant 2 émetteurs et un récepteur USB-C est à 45 €, soit le même prix que le pack avec un seul émetteur. Cela vous fera ainsi deux micros-cravates pour discuter à deux, et le récepteur peut se brancher en USB-C sur votre iPhone.
Plusieurs caméras pour sportifs sont en promo, comme la sympathique Osmo Action 4 qui perd 16 % sur son tarif initial pour tomber à 174 €. Il sera sans doute intéressant d’ajouter 5 € pour obtenir le « pack aventure » intégrant notamment une batterie supplémentaire en plus de différents accessoires. L’équivalent chez Insta360, la Ace Pro, est à seulement 249 € au lieu de 329,99 € (-25 %). Elle a l’avantage d’être 8K avec un écran rabattable. Dans un autre format, la caméras pour vlog Osmo Pocket 3 de DJI est à 383 € au lieu de 495 € chez Boulanger (-23 %).
Enfin pour les plus investis, on peut noter une grosse réduction sur le Drone Flip RC 2 de DJI : il est à 374,99 € au lieu de 550 € chez Cdiscount en entrant le code 25DES249 à l’étape du paiement. Il embarque une caméra 4K, une nacelle 3 axes et a une portée de 13 km. La version RC N3, sans écran de retour sur la télécommande, est à 259 € avec le même code (-28 %). Il faudra donc utiliser son smartphone pour surveiller ce que filme le drone.
Controller for HomeKit (abonnement ou achat) propose toujours plus de fonctionnalités avancées pour enrichir la domotique d’Apple. La dernière grosse mise à jour a ainsi ajouté une fonction que Maison a toujours largement ignoré : un historique des entités, avec la possibilité d’afficher un graphique pour visualiser les valeurs au fil du temps. C’est un outil précieux pour aller plus loin dans la domotique, par exemple pour vérifier que des automatisations fonctionnent correctement.
Trois graphiques dans Controller for HomeKit, avec de gauche à droite, un thermomètre, un détecteur de fumée et un thermostat. Image iGeneration.
La Pomme n’a jamais voulu ajouter une telle fonctionnalité à son app, ou alors très timidement. Les versions récentes de Maison permettent en effet d’enregistrer jusqu’à un mois d’activité pour certains accessoires, notamment ceux qui offrent des accès au logement comme les serrures connectées et autres portes de garage. Rien d’équivalent toutefois à l’historique proposé par Home Assistant, au hasard, qui conserve l’état de toutes les entités et peut les stocker pendant des mois, voire années. Controller for HomeKit corrige cet oubli, même si l’implémentation n’est pas aussi simple qu’on l’aimerait.
Puisque Maison n’enregistre aucun historique, l’app tierce doit surveiller tous vos accessoires pour suivre tous les changements et les collecter dans sa propre base de données. Cela veut dire que l’app doit rester constamment ouverte en arrière-plan, sur un appareil qui ne sort pas de la maison. C’est le rôle du Controller Hub, une sorte de serveur de domotique qui va, entre autres, stocker les données des accessoires. L’app de base intègre aussi le hub et le principe est de choisir un appareil, comme un Mac, une Apple TV ou même un iPad, installer Controller for HomeKit dessus et y activer le hub. Les appareils reliés au même réseau devraient identifier ce serveur et l’utiliser pour afficher les graphiques.
Pour les besoins de cet article, j’ai activé le hub sur mon Mac Studio, qui présente le double avantage d’être toujours sur mon bureau et de n’être jamais entièrement éteint. L’app doit tourner en arrière-plan sur macOS et elle affiche une icône dans la barre des menus, que macOS Tahoe peut masquer sans gêner son fonctionnement. Le Mac ne doit pas entrer en veille, mais j’ai noté que l’app le réactivait après quelques minutes de veille, alors cela ne gêne pas trop la collecte des données.
L’app Controller for HomeKit pour macOS, ici configurée comme hub. On peut noter sur le graphique à chaque fois que je mettais mon Mac en veille et le retour du bon fonctionnement du hub après quelques minutes. Image iGeneration.
C’est un petit peu contraignant à mettre en œuvre et ce serait plus logique qu’Apple collecte elle-même cet historique au niveau du concentrateur HomeKit (Apple TV ou HomePod). Néanmoins, le système fonctionne bien d’après mes essais et permet en effet d’obtenir des graphiques pour de nombreux accessoires gérés par Maison. Sans offrir la puissance de Home Assistant, c’est une bonne manière de garder un œil sur l’historique et le hub a d’autres avantages, dont ses « Workflows », des automatisations bien plus avancées que celles de Maison. Vous trouverez quelques idées à cette adresse si vous êtes intéressé par le concept.
Si Controller for HomeKit est proposée gratuitement au téléchargement, ses fonctionnalités avancées sont payantes avec deux options. Controller Essentials propose toutes les fonctions sauf celles qui dépendent du hub et on peut l’obtenir sous la forme d’un achat unique de 100 € (62 € pendant le Black Friday) ou d’un abonnement facturé 5 € par mois ou 40 € par an. Controller Plus est une nouvelle formule qui ajoute le hub et ses fonctions associées, dont l’historique avec les graphiques évoqués ici ou encore les automatisations avancées. Comptez cette fois 9 € par mois ou bien 80 € par an, sauf si vous aviez payé l’achat unique Essentials, auquel cas l’abonnement passe à 5 et 40 € respectivement. Dans tous les cas, un abonnement est obligatoire pour utiliser le hub, ce qui n’était pas le cas auparavant.
Controller for HomeKit demande iOS 17, macOS 14 ou tvOS 18 au minimum. Son interface est traduite en français.
C’est le grand jour ! Il sera difficile de faire de meilleures affaires d’ici la fin de l’année. Alors que l’Apple Store reste de marbre, les revendeurs, eux, n’ont pas tardé à dégainer des remises assez agressives, y compris sur la toute dernière gamme.
Précisons d’entrée qu’il s’agit de modèles qui ont été importés. Vu les prix affichés, on ne peut que vous recommander de prendre un contrat AppleCare. Les vendeurs ont été sélectionnés soigneusement par Rakuten.
L’iPhone 16e à 499 €
L’iPhone pour monsieur tout le monde, c’est l’iPhone 16e. Il est performant, compatible avec Apple Intelligence, dispose de la puce 5G d’Apple et offre une autonomie tout à fait satisfaisante.
Alors oui, il n’a pas d’écran 120 Hz, pas d’ultra grand-angle ni de puce UWB… Mais autant on pourrait considérer ces manques comme problématiques pour un modèle vendu un peu plus de 700 €, autant, à 499 €, ces lacunes paraissent tout à fait acceptables.
Non seulement cet iPhone 16e n’est pas cher, mais grâce à son processeur récent, ce modèle bénéficiera aussi d’une très longue durée de vie. Le modèle proposé à la vente, a comme référence A3409. Autrement dit, il s’agit du modèle qui est disponible à la vente en Europe. Vous n’aurez donc pas de problème de compatibilité.
Son grand frère, l’iPhone 16 (128 Go), n’est pas en reste. Il profite même de la plus forte démarque du lot (-26 %) pour atterrir à 639,99 € au lieu de 869 €.
De belles promos sur l’iPhone 17 et l’iPhone 17 Pro Max
Après avoir longtemps connu des problèmes de stock, l’iPhone 17 est désormais disponible en quantité et fait l’objet de belles promotions. Ce n’est pas le grand bradage des modèles 16, mais les économies restent substantielles pour du matériel aussi récent.
iPhone 17 (256 Go) : de 969 € à 829,99 € (-14 %). Le modèle mis en vente a pour référence A3520. Il s’agit du même modèle qui est vendu en Apple Store en France.
Le vaisseau amiral, iPhone 17 Pro Max (256 Go), bénéficie d’une remise de 12 %. Il est affiché à 1 299,99 € au lieu de 1 479 €.
Même si la facture reste salée sur le Pro Max, une économie de près de 180 € permet de s’offrir une bonne coque et un chargeur (toujours absents de la boîte) pour accompagner l’appareil. Comme souvent durant le Black Friday, les stocks à ces prix-là risquent de ne pas faire long feu.
Le Black Friday a commencé chez Boulanger, qui a dégainé pour l’occasion toute une salve de codes promo pour sa boutique sur Rakuten. Le code BLACK40 permet par exemple d’obtenir 40 € de remise sur un MacBook Pro ou sur une Apple Watch Ultra 3, là où BLACK15 fait économiser 15 € sur un MacBook Air M4. Le plus intéressant est sans doute BLACK150, permettant d’obtenir 150 € de remise dès 1 999 € d’achat. Attention, car il sera désactivé à 14h.
BLACK15 permet de grappiller 15 € sur l’Apple TV 4K. Le boîtier passe de 189 € à 174 € une fois dans le panier. On peut également économiser un peu sur un iPhone 16e ou un iPhone 17. De tels achats devraient être éligibles au code BOULANGER30 offrant 30 € dès 119 € d’achat, mais il n’est étonnamment pas activable dans le panier. Celui-ci devrait fonctionner jusqu’au premier décembre selon des annonces faites sur divers sites.
Deux autres codes promo seront activés ce soir : BLACK30 et BLACK150. Le premier redonne 30 € dès 299 € d’achat, et le second 150 € dès 1 999 €. Ils ne fonctionneront aujourd’hui qu’entre 17 h et minuit. N’hésitez pas à faire le tour de la boutique Rakuten de Boulanger pour voir si de nouveaux codes n’ont pas été mis en ligne entre temps, les choses ayant l’air d’évoluer assez vite. Notons qu’une livraison en magasin est possible gratuitement, ce qui sera pratique si vous en avez un vers chez vous.
En dehors de Boulanger, les codes de Rakuten permettent de récupérer quelques bonnes affaires. On trouve par exemple les AirPods Max à 464,99 € avec le code BLACK15 ou a de bonnes ristournes sur les Apple Watch.
Drôle de bug dans Apple Podcasts. 404 Media a récemment relevé que l’app pouvait s’ouvrir sans raison pour montrer une émission à laquelle vous n'êtes pas abonné. Un couac sans réel danger dans l’immédiat qui interroge, les programmes en question abordant des sujets comme la religion, l’éducation ou la spiritualité.
« J'ai remarqué que les versions iOS et Mac de l'application Podcasts ouvrent des podcasts sur la religion, la spiritualité et l'éducation sans raison apparente », explique le journaliste. « Parfois, lorsque je déverrouille mon appareil, l'application Podcasts s'est lancée toute seule et m'a présenté l'un de ces podcasts étranges ». Une des pages contenait un lien vers un site web potentiellement malveillant.
Les émissions ne sont pas décrites en détail, mais l’une d’entre elles avait un titre en arabe qui pourrait se traduire librement par « Paroles de vie » et qui comprenait une adresse Gmail personnelle. Les podcasts contiennent parfois réellement du son, là où d'autres sont complètement silencieux. Ils datent souvent de plusieurs années, ce qui est encore plus intrigant.
À ce stade, rien n’indique une compromission des appareils : tout laisse penser à un déclenchement via des liens web capables d’ouvrir Podcasts et de charger une émission sans action de l'utilisateur. Un chercheur interrogé par 404 Media dit avoir reproduit ce scénario sur macOS. L’ouverture d’une fiche programme n’entraîne ni installation ni abonnement automatique, mais peut exposer à des URL externes présentes dans la description. Dans au moins un cas, le lien « Site web de l’émission » pointait vers une page testant une injection XSS (exécution de code dans le navigateur), sans preuve d’exploitation aboutie pour l’instant.
Ce n’est pas un cas isolé d’abus des services Apple par des acteurs malveillants. En septembre, une campagne d’hameçonnage exploitait des invitations Calendrier envoyées depuis l’infrastructure d’Apple, rendant les pièges particulièrement crédibles. La prudence s’impose donc : évitez de cliquer sur des liens inconnus de podcasts que vous ne connaissez pas.
C’est le moment ou jamais d’acheter un MacBook Air. Le tout dernier modèle avec sa puce M4 est affiché à seulement 874 € chez Cdiscount dans sa configuration avec 16 Go de RAM et 256 Go de stockage. Pour en profiter, il faudra entrer le code 25DES249 à l’étape du paiement. Il s’agit de la meilleure offre sur ce modèle en cette journée de Black Friday. Le modèle M2 en 16/256 Go est de son côté proposé à 773 € par la plateforme avec le même code.
Image MacGeneration
C’est une excellente affaire : en comparaison, la MacBook Air M4 est affichée à 1 099 € chez Apple. Cela représente donc 225 € d’économisés ! Les nouveaux clients peuvent optimiser en récupérant 10 € de remise supplémentaire avec le code HELLO10. La configuration identique est sinon à 899 € chez Amazon ou à la Fnac, sachant que l’enseigne française ajoute 80 € de bons d’achat pour les adhérents à la carte Fnac+ utilisant le code BLACKFD10. Darty le propose à 884 € avec le code BLACK15via Rakuten.
Si vous voulez du stockage en plus, la version avec 16 Go de RAM et 512 Go de SSD est à 1 099 € chez Boulanger via Rakuten en entrant le code BLACK40 à l’étape du paiement. Il est sinon possible de le trouver à la Fnac pour 1 149 € tout en récupérant au passage 110 € de bon d’achat utilisable sur une prochaine commande avec le code BLACKFD10.
Et pour la version 15" ? Le prix est globalement tombé à 1 189 € chez les revendeurs pour l’entrée de gamme (16/256 Go). On peut cependant économiser 40 € supplémentaires chez Boulanger via Rakuten en entrant le code BLACK40 dans le panier. Cela ramène son tarif à 1 149 €.
Le MacBook Air M4 a l’avantage d’être totalement silencieux tout en offrant une puissance polyvalente suffisante pour les tâches du quotidien comme pour des usages plus avancés. Sa caméra avec Cadre centré et Desk View améliore nettement la qualité des visioconférences. Son aspect léger en fera un bon compagnon pour les étudiants comme pour ceux souhaitant le trimballer d’une pièce à l’autre dans la maison. Pas besoin d’attendre une future révision M5 : elle ne devrait pas arriver avant plusieurs mois et n’apporter qu’un gain limité pour un usage classique.
Grosse promo sur les Apple Watch ce matin ! L’excellente Apple Watch SE 3 est à 229 € chez Amazon au lieu de 269,99 €, en version 40 mm, tandis que la déclinaison 44 mm est vendue seulement 234 € chez Darty par l’intermédiaire de Cdiscount en utilisant le code promo 25DES249. L'Ultra 3 est de son côté affichée à seulement 699 € sur Rakuten, soit 200 € de moins que son tarif en Apple Store. Un tel prix peut être obtenu en entrant le code BLACK40 dans le panier via le vendeur OnePro.
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L’offre sur l'Ultra 3 est intéressante et les retours sur le vendeur sont bons. Attention cependant à un point : il s’agit d’un modèle d’import, ce qui peut causer soucis avec l’app Oxygène Sanguin suite au procès opposant Apple avec Massimo. Sur les montres américaines, l’app n’est plus autonome et implique que les données captées par la tocante soient transmises et consultées sur le téléphone. Un petit désagrément qui n’est pas un handicap majeur au vu du prix.
L’Apple Watch Ultra 3 reprend le boîtier en titane de 49 mm de ses prédécesseures et conserve son positionnement orienté sport et activités outdoor. Elle profite surtout d’un nouvel écran LTPO3 qui reste actif même en veille. La montre garde l’ensemble des fonctions de santé et de sécurité déjà présentes sur la gamme : suivi de la fréquence cardiaque, détection de chutes et d’accidents, suivi du sommeil et appels d’urgence.
Les profils sportifs restent nombreux, avec notamment la plongée jusqu’à 40 m, la randonnée, la course ou encore les sports aquatiques. L’Ultra 3 bénéficie aussi d’améliorations côté performances grâce à sa puce S10. Apple annonce jusqu’à 42 heures d’autonomie, sachant que l’on peut récupérer 80 % de batterie en 45 minutes.
Apple Watch SE 3. Image WatchGeneration
De son côté, l’Apple Watch SE 3 est une excellente montre maintenant qu’elle a gagné un écran toujours allumé. Elle hérite du nouveau processeur S10 qui améliore les performances et la réactivité, mais aussi d’un capteur de température et est compatible avec de nouveaux gestes. N’hésitez pas à relire nos tests pour plus de détails, et pourquoi pas à jeter un coup d’œil sur ces promos pour bracelets intéressantes.
C’est le moment de renflouer votre compte Apple. Amazon propose pour ce Black Friday un bon d’achat de 10 € pour toute commande d’une carte cadeau Apple de 100 € ou plus. L’offre ne fonctionne qu’avec les cartes dématérialisées envoyées par e-mail et est valable jusqu’au 1er décembre au soir.
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La promo n’est valable qu’une fois par client et compte, et le code promotionnel sera automatiquement déduit de votre prochain achat éligible. Ce code est valable jusqu’au 16 janvier prochain.
L’intérêt de cette offre, au-delà du bonus de 10 €, vient surtout de la grande souplesse des cartes cadeaux Apple : elles sont valables dans tout l’écosystème, que ce soit sur l’App Store (apps et abonnements comme Apple One, Apple Music ou Apple TV+), dans l’Apple Store en ligne, sur Livres pour les bouquins et audiobooks ou encore pour payer un forfait iCloud.
Le bon d’achat de 10 € sera pratique pour obtenir une ristourne sur un futur cadeau de Noël. Même sans cela, je m'en sers de mon côté pour toucher à bon prix certains produits du quotidien déjà en promo Black Friday comme des têtes de brosse à dents, des cartouches filtrantes ou des piles pour AirTags.
Attention cependant, car Amazon indique que le coupon ne pourra être utilisé sur « les livres (y compris les livres électroniques), du contenu numérique, des cartes cadeaux, des produits tiers (non vendus et expédiés par Amazon.fr) et des produits Amazon Warehouse ».
Si vous attendiez le Black Friday d’Apple pour vous offrir les dernières pépites de la marque à prix cassé, vous risquez de déchanter. Comme à son habitude, la Pomme vient de lancer son « événement shopping » de ce vendredi 28 novembre au lundi 1er décembre, mais les conditions tiennent davantage du service minimum que de la braderie.
Soyons clairs : Apple ne pratique aucune remise immédiate sur le prix de ses produits. Vous paierez votre matériel au prix fort. En échange, Apple vous glissera une carte cadeau Apple à dépenser lors d’un prochain achat. Une mécanique bien rodée pour vous faire revenir à la caisse. Le seul intérêt de cette offre, c’est que vous pouvez utiliser cette somme pour financer vos dépenses sur l’App Store ou un abonnement Apple.
Les nouveautés ? Circulez, il n'y a rien à voir
C’est le point noir de l’opération. Si Apple est avare en remises directes, elle l’est encore plus sur la sélection. Cupertino a soigneusement exclu tout ce qui suscite l’intérêt en cette fin d’année 2025.
Ne comptez pas récupérer le moindre centime sur les tout derniers iPhone, ni sur les nouveaux iPad Pro. Même régime sec pour l’Apple Watch Ultra 3 ou le récent MacBook Pro M5. Pour Apple, ces produits n'ont visiblement pas besoin de coup de pouce pour trouver preneur.
Des miettes pour les anciens modèles
Pour espérer obtenir ce crédit, il faut se rabattre sur les générations précédentes ou le milieu de gamme. Et les montants, honnêtement, ne cassent pas trois pattes à un canard :
Mac (jusqu’à 150 € en bon d’achat) : C’est le maximum, valable pour le MacBook Air, l’iMac, le Mac mini et les MacBook Pro M4 Pro/Max. Si vous visez la puce M5, vous repartez bredouille.
iPad (jusqu’à 80 € en bon d’achat) : Valable sur l’iPad Air, l’iPad mini et l’iPad d’entrée de gamme (A16).
iPhone (jusqu’à 60 € en bon d’achat) : Il faut se contenter de l’iPhone 16 ou de l’iPhone 16e pour obtenir ce crédit. Un peu chiche.
Apple Watch (jusqu’à 40 € en bon d’achat) : Uniquement sur la Series 11 ou la SE 3.
Audio et Maison : On récupère jusqu’à 60 € sur les AirPods (4, Pro 3, Max) et 40 € sur une sélection de produits Beats, l’Apple TV 4K ou le HomePod.
Dans l’ensemble, on trouvera mieux ailleurs. À titre de comparaison, on peut acheter un MacBook Air M4 à moins de 900 € sur la Fnac et repartir avec 80 € de chèques cadeaux. Reste que, dans le cas des AirPods Pro 3, l’offre d’Apple n’est pas inintéressante.
Rappelons enfin que ce « cadeau » n’est pas cumulable avec les tarifs éducation. Si vous êtes éligible, la remise étudiante reste bien plus intéressante. Bref, une offre qui a le mérite d'exister, mais pour Apple, on a surtout l'impression dans cette histoire que l'essentiel, c'est de participer.
Et si l’une des promotions phares de ce Black Friday était l’AirPods Max. Le casque d’Apple est proposé actuellement à 464,99 € après application du code BLACK15, contre 579 € en temps normal. Soit une remise de 20 % sur le casque haut de gamme d’Apple. Précision importante : il s’agit d’un modèle d’import, ce qui explique en partie ce tarif agressif. La promotion concerne uniquement trois coloris — Bleu, Violet et Lumière stellaire — proposés dans leur version USB-C.
Pour rappel, cette révision « 2024 » du casque circum-aural d’Apple abandonne le Lightning au profit de l'USB-C, simplifiant la recharge pour ceux qui sont déjà passés à l'iPhone 15 ou 16. Si la puce reste la H1 (et non la H2 des AirPods Pro 2 et 3), le casque conserve ses excellentes qualités acoustiques et sa réduction de bruit de premier plan. On y retrouve toujours une réduction de bruit active redoutable, un mode Transparence très naturel, une spatialisation audio dynamique, et surtout une intégration logicielle parfaitement huilée avec l’écosystème Apple.
Passer sous la barre des 470 € pour ce modèle reste suffisamment rare pour être souligné. Pour ceux qui attendaient un vrai point d’entrée sur ce produit, ce Black Friday pourrait bien être le bon moment. Pour ceux qui préfèrent Amazon, sachez enfin que le modèle noir est proposé à 509 €.
Apple profite du Black Friday pour consentir d’importantes remises sur sa gamme de tablettes. De l’iPad A16 à l’iPad Pro M5, en passant par l’Air M3, plusieurs modèles affichent des baisses rarement vues. Tour d’horizon des meilleures offres du moment
Si vous caressiez l’idée de changer de tablette pour exploiter au mieux iPadOS 26, c’est le moment de se lancer ! La plupart des modèles d’iPad sont disponibles avec de grosses réductions. Alors, ne tardez pas, il n’y en aura peut-être pas pour tout le monde !
L’iPad A16 : le retour en grâce de l’entrée de gamme
Commençons par le plus simple. L’iPad équipé de la puce A16, dans sa version 128 Go, est proposé à 324 € après application du code BLACK15, contre 399 € en temps normal. Cela représente une remise de 75 €.
C’est la tablette du quotidien par excellence. Celle que l’on pose sur la table de la cuisine pour lire la presse, que l’on glisse dans un sac pour un long trajet, que l’on confie aux enfants ou que l’on utilise le soir pour un film. Elle ne cherche pas à éblouir. Elle se contente de faire juste — et elle le fait bien.
À ce prix, elle reprend tout son sens : devenir l’iPad du plus grand nombre.
iPad Air M3 : le point d’équilibre
Plus haut dans la gamme, l’iPad Air M3 reste fidèle à sa philosophie : un équilibre entre finesse, légèreté et performances. Et pour ce Black Friday, il s’offre une remise particulièrement agressive.
Il passe à 474,99 € au lieu de 669 € avec le code BLACK15, soit une réduction de 29 %. Une baisse rare sur un modèle aussi récent et polyvalent.
C’est sans doute l’offre la plus séduisante de cette sélection. L’iPad Air, c’est le modèle que l’on choisit quand on veut une machine durable, capable d’encaisser les usages créatifs, le multitâche, la bureautique ou la consommation de contenu, sans basculer dans l’excès — ni dans le prix — de la gamme Pro.
iPad Pro M5 : même le sommet cède
Enfin, il y a le Pro. D’ordinaire, il reste à distance respectable des promotions. Mais cette année, même lui est touché par la vague.
L’iPad Pro M5 tombe à 849,99 € après application du code BLACK40, contre 1 119 € en temps normal, soit une réduction de 23 %.
On parle ici d’une machine conçue pour aller loin : montage vidéo, dessin professionnel, retouche photo avancée, modélisation 3D… Une tablette qui flirte ouvertement avec le monde du Mac portable, mais qui se fait hélas parfois rattraper par ses lacunes logicielles.
À ce niveau de remise, l’offre devient difficile à ignorer pour celles et ceux qui cherchent une machine de travail puissante au format tablette.
iPad Pro M4 : 13 pouces à un bon prix
Si vous cherchez une grande tablette très puissante, l’iPad Pro M4 de 13 pouces est disponible pour 1 049 € au lieu de 1 569 lors de sa sortie. Ce prix est accessible sur Rakuten à condition de saisir le code BLACK40 avant de passer la commande. Il s’agit du modèle de base, avec ses 256 Go de stockage et une puce Wi-Fi uniquement et même si ce n’est plus la dernière génération de l’iPad Pro, cela reste un bon prix pour une excellente tablette.
Image iGeneration.
La génération M4 est associée à un nouveau design encore plus fin et un peu de légèreté bienvenue. Dans notre test, nous regrettions surtout le retard côté logiciel, mais iPadOS 26 a totalement modifié la donne et ce modèle est évidemment compatible avec cette mise à jour. Il sera bien assez puissant pour gérer de nombreuses fenêtres et même un moniteur externe, si vous comptez l’utiliser ainsi.
Précisons enfin qu’il s’agit de modèles importés, déjà. Cela dit, dans le cas d’un iPad, cette origine n’a aucune incidence sur l’usage ni sur la compatibilité en Europe : les tablettes d’Apple sont identiques, quel que soit leur marché d’origine. Au vu des tarifs particulièrement agressifs, on ne peut que vous recommander de souscrire à AppleCare+ pour prolonger la couverture et acheter en toute sérénité. À noter enfin que les vendeurs ont été sélectionnés et vérifiés par Rakuten.
ChatGPT et les autres LLM ont inclus récemment une fonction qui manquait étonnamment à ces chatbots : étrangement, ils étaient totalement incapables de donner correctement l’heure qu’il était avec précision. L’ajout de cette fonction temporelle, si elle paraît mineure, engage pourtant des changements et évolutions bien plus importants qu’on ne le pense à première vue.
Pas forcément besoin d’une montre de luxe pour ça, mais ironiquement, une bonne vieille montre mécanique est plus fiable qu’un LLM pour donner l’heure... Image Grand Seiko.
À force d’en parler comme d’un « assistant intelligent », on finissait presque par oublier un détail embarrassant : jusqu’à récemment, ChatGPT ne savait pas quel jour on était. Il pouvait disserter sur la théorie de la relativité, mais était incapable de dire si votre rendez‑vous de demain avait déjà eu lieu. L’illusion tenait tant qu’on restait dans les généralités. Dès que la conversation se rapprochait un peu trop du réel, elle se fissurait : l’IA vivait dans un passé figé, et vous dans le présent.
L’ajout de la date et de l’heure en temps réel vient colmater cette fissure apparente, comme rappelé par TheVerge. Tout à coup, le chatbot peut répondre à « on est quel jour ? » sans partir en vol plané. Il peut vous aider à organiser votre soirée sans confondre hier, aujourd’hui et demain. Techniquement, ce n’est qu’un signal de plus qu’on lui injecte. Symboliquement, c’est autre chose : on ne discute plus seulement avec un modèle statistique, mais avec un système branché sur un flux, même minuscule, de réalité. Au final, sans ce petit ajout qui paraît insignifiant, pas de Siri vous aidant à organiser tous vos rendez-vous, vos trajets, vos appels... rien de ce que propose la démonstration de la WWDC 2024 depuis supprimée par Apple n’est possible sans un repère temporel exact dans l’IA, chose qui n’était pas vraiment implémentée jusqu’à récemment.
Ce petit branchement ouvre des portes très banales, donc essentielles. La to‑do list du matin, le mail à envoyer « avant ce soir », le rappel pour ne pas rater le train de 18 h 12 : tout ce qui suppose un minimum de synchronisation avec le temps devient soudain crédible. Avant, le modèle simulait la compréhension de ces contraintes ; maintenant, il peut les ancrer dans une horloge commune avec l’utilisateur. Le gain n’est pas spectaculaire comme une démo vidéo, mais il change la texture du quotidien: moins de réponses hors‑sol, moins de dialogues où l’on se surprend à expliquer le calendrier à son « assistant ».
Évidemment, ce réveil temporel a ses limites. Connaître l’heure ne donne pas magiquement accès au monde. Savoir qu’il est 21 h 35 ne dit rien de l’état d’une élection en cours ou de la météo dehors. Le risque, c’est que la précision sur le temps donne l’illusion d’une précision sur tout le reste. Si le chatbot sait que l’on est jeudi soir, pourquoi ne saurait‑il pas aussi ce qui vient de se passer « à l’instant » ? La tentation de surinterpréter cette petite capacité est forte, alors qu’elle repose toujours sur la même mécanique: un modèle doué pour la langue, pas pour la perception.
Ce qui se joue derrière cette mise à jour, c’est le contrat implicite entre l’IA et son utilisateur. Pendant des années, le discours officiel expliquait qu’un modèle était « figé » à une date de coupe de données, comme un livre dont on connaît la dernière page. En lui donnant accès à l’heure, puis à d’autres signaux, on fabrique peu à peu une créature hybride : un texte figé, augmenté par des bribes de présent. L’assistant devient moins un oracle enfermé dans ses archives qu’un logiciel qui improvise à partir d’un décor mis à jour en temps réel, et peut venir en aide à son utilisateur en proposant des solutions adaptées à l’instant « t ».
Preuve de la complexité de la chose, Google dans les pages de programmation liées à Gemini conseille fortement aux développeurs de rechercher l’heure système locale, plutôt que de la récupérer en interne sur les serveurs du LLM. Procéder ainsi limite les erreurs temporelles dues à des interprétations erronées du LLM, en allant chercher l’information sûre sur des serveurs ou dans des fonctions qui sont faites précisément pour une chose et une seule : donner l’heure exacte.
On peut se réjouir de ce mouvement : pour une fois, la nouveauté ne tient pas à un score de benchmark, mais à quelque chose de concret pour les gens qui n’ont jamais prononcé le mot « paramètre ». On peut aussi y voir un avant‑goût de ce qui attend l’IA grand public : des modèles reliés à l’heure, puis au calendrier, puis au compte bancaire, puis aux appareils domestiques, jusqu’à ce qu’il devienne difficile de dire où s’arrête la simple commodité et où commence la délégation massive. Pour l’instant, ChatGPT sait seulement que le temps passe. C’est déjà beaucoup, parce que c’est exactement ce que les plateformes passent leur temps à oublier, et probablement ce qui rend si difficile la création de ce Siri omniscient qu’Apple a vanté un peu trop vite dans sa présentation il y a un an et demi.
L’effervescence de la rentrée est retombée, tout comme les premiers émois autour de la sortie de macOS Tahoe. Cela fait désormais plusieurs semaines que le nouveau système d’exploitation est disponible pour le grand public. macOS 26.1 a déjà corrigé un premier lot de bugs, et une prochaine mise à jour attendue d’ici une quinzaine de jours devrait finir de stabiliser l’ensemble.
Dans les grandes lignes, macOS Tahoe se distingue par une interface modernisée, qui fait la part belle — parfois un peu trop — à la transparence. C’est aussi un Spotlight largement revu, qui gagne en puissance et commence à marcher sur les plates-bandes d’outils comme LaunchBar ou Alfred. Cette version marque également l’arrivée de trois nouvelles apps : Téléphone, Journal et Jeux, ainsi qu’une intégration plus poussée d’Apple Intelligence dans le système.
Comme évoqué plus haut, en termes de stabilité, macOS Tahoe 26 n’est sans doute pas parfait, mais ce n’est pas forcément un mauvais cru. Cependant, si l’on met de côté les fonctions liées à l’intelligence artificielle, il semble qu’Apple ait décidé de se focaliser sur la stabilité et la cohérence des systèmes. On sera fixé sur tout cela en juin prochain.
Mais en attendant, utilisez-vous au quotidien macOS Tahoe 26 sur votre machine principale ?
Il y a maintenant quelques années, en 2021, Apple annonçait l’implantation à venir d’un système de détection des contenus pédopornographiques, autrement appelés CSAM chez les anglo-saxons (pour Child Sexual Abuse Material), avant de revenir sur sa décision suite au tollé provoqué par les défenseurs de la vie privée, y voyant une atteinte majeure à celle-ci. Quatre ans plus tard, il est possible qu’Apple doive revenir à cette solution, à la demande de l’Union européenne.
Le Conseil de l’Europe. Image Wikipedia, CC BY 3.0.
L’affaire avait fait grand bruit à l’époque : afin de prévenir l’utilisation de médias, que ce soit images, vidéos ou autres pouvant présenter des abus sexuels sur mineur, Apple a indiqué avoir mis au point un système les traquant non seulement sur iCloud, mais aussi sur les appareils de l’utilisateur. Pour ce faire, le système comparait la photo ou la vidéo avec une base de données du NCMEC (National Center for Missing and Exploited Children, ou centre national pour les enfants disparus ou exploités), une ONG spécialisée dans la lutte contre la traite d’êtres humains.
Si un contenu était découvert, il ne déclenchait pas forcément une alerte immédiate, mais l’usage répété de tels contenus remontait les informations aux autorités, afin que celles-ci puissent décider d’une enquête sur l’individu soupçonné, après vérification manuelle pour éviter tout faux-positif. Apple a bien tenté de défendre sa position, mais peine perdue : la levée de bouclier pour défendre le droit à la vie privée a été tel qu’elle a dû faire machine arrière, et abandonner son projet en 2023. En 2024, la position d’Apple avait d’ailleurs fait un 180 degrés total : l’Australie, indiquant vouloir mettre en place ce type de surveillance, s’est vue opposer un refus par Apple, jugeant une telle proposition démesurée face aux risques pour la vie privée des utilisateurs :
L’analyse de contenus spécifiques ouvre la voie à une surveillance de masse des communications et des systèmes de stockage qui contiennent des données relatives aux aspects les plus privés de la vie de nombreux Australiens. De telles capacités, comme l’enseigne l’histoire, finiront inévitablement par s’étendre à d’autres types de contenus (images, vidéos, textes ou audio) et à d’autres catégories de contenus.
La position est donc claire : hors de question d’implanter une backdoor permettant à un quelconque gouvernement de vérifier le contenu des utilisateurs, sous quelque prétexte que ce soit.
Cependant, l’idée n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd : l’Union européenne l’a reprise à son compte peu de temps après, dans un projet imposant aux géants de la tech de scanner automatiquement les contenus stockés et échangés sur leurs serveurs pour y chercher des contenus pédopornographiques. Si entre temps les associations de défense de la vie privée ont réussi à faire revenir l’UE à la raison, l’idée n’a cependant pas totalement été enterrée.
Comme le rapporte Euractiv, les discussions ont continué, et le Conseil est arrivé à un consensus sur la méthode à utiliser : si dans un premier temps l’idée était de forcer les entreprises de la tech à implémenter des méthodes de recherche automatique de contenu à caractère pédopornographique sur les ordinateurs et services cloud, la nouvelle version du texte ne leur force plus la main. Cependant, la possibilité reste ouverte, et chaque entreprise pourra la mettre en place, si elle le juge nécessaire pour satisfaire les exigences de lutte contre la pédocriminalité.
Si le projet doit encore passer la validation du Parlement européen, il a cependant passé une étape importante, pouvant ouvrir la porte à une loi d’ici quelques mois. Si les ONG de protection de la vie privée resteront sur leurs gardes, elles devront lutter contre toute une part de législateurs comme Peter Hummelgaard, ministre danois de la justice, pour qui ce projet est le bienvenu :
Je suis heureux que les membres du conseil soient parvenus à un accord pour aller de l’avant [...] chaque année, des millions de fichiers pédopornographiques sont partagés.
Alors, lutter contre la pédocriminalité, ou préserver à tout prix la vie privée ? Si en 2021 le choix semblait évident pour une majorité, est-ce toujours le cas aujourd’hui ?
ShopSystem casse les prix du 27 novembre au 5 décembre avec des réductions qui grimpent jusqu'à - 50 % sur ses coques et accessoires iPhone. L'occasion rêvée pour protéger son appareil sans le transformer en brique.
Parce que soyons honnêtes : les coques épaisses ont leur utilité quand on part faire du vélo ou randonner en montagne. Mais pour sortir dîner entre amis, glisser son iPhone dans une poche de costume ou simplement retrouver les sensations du téléphone nu, ces monstres de protection deviennent vite encombrants. ShopSystem s'est spécialisé dans l'ultra-finesse, cette zone où la protection rencontre l'élégance sans compromis disgracieux.
La PHANTOM détient le titre de coque transparente la plus fine au monde. Avec ses 0,33 mm d'épaisseur, elle se fait oublier tout en protégeant des rayures et des petits chocs du quotidien. Le matériau utilisé ne jaunit pas, même après des années d'utilisation intensive. Fini les coques qui virent au beige douteux au bout de six mois.
Cette transparence préserve le design de l'iPhone tel qu'Apple l'a conçu. Les nuances de couleur, les finitions, la typographie au dos : tout reste visible. On protège sans masquer. Pour ceux qui ont choisi leur iPhone aussi pour son esthétique, cette coque représente le compromis idéal.
La coque PHANTOM S : la transparence poussée plus loin
La PHANTOM S va encore plus loin avec une transparence trois fois supérieure à la PHANTOM. Le rendu devient presque imperceptible. Cette version intègre le MagSafe, ce système d'aimants qui permet de fixer chargeurs, batteries externes et autres accessoires magnétiques sans manipulation.
L'anneau MagSafe incorporé développe une puissance de maintien conséquente. Les accessoires ne se décrochent pas au moindre mouvement. Le traitement anti-rayures de haute qualité complète le tableau. Cette coque vise ceux qui veulent le summum de la discrétion sans renoncer aux fonctionnalités modernes.
La coque ORIGINAL : le minimalisme mat
Pour ceux qui préfèrent le mat au transparent, la coque ORIGINAL affiche la même finesse de 0,33 mm dans une texture mate élégante. Le toucher change radicalement par rapport au transparent : plus doux, moins glissant, avec un rendu qui évoque les finitions haut de gamme.
Cette version existe également avec MagSafe intégré. Le look minimaliste plaît à ceux qui recherchent la sobriété. Pas de motifs, pas de couleurs criardes, juste l'essentiel. L'iPhone conserve ses proportions d'origine, la coque se contente de l'habiller discrètement.
Protéger la coque ne suffit pas si l'écran se fissure à la première chute. Le verre trempé 3D de ShopSystem affiche une dureté 9H sur l'échelle de Mohs. Concrètement, il résiste aux clés, aux pièces de monnaie, aux autres objets métalliques qui traînent dans les poches ou les sacs.
Le traitement hydrophobe et oléophobe repousse l'eau et les traces de doigts. L'écran reste propre plus longtemps. Le kit d'installation fourni garantit une pose sans bulles et un alignement parfait. Plus besoin de galérer vingt minutes dans sa salle de bain en priant pour que ça tombe droit. Le système guide la pose, le verre se positionne tout seul.
Certaines situations réclament davantage de protection. Les coques DANA et ONE adoptent une conception antichoc qui absorbe les impacts jusqu'à trois mètres de hauteur. La structure interne dissipe l'énergie du choc, les bords renforcés protègent les coins vulnérables.
Ces modèles restent compatibles MagSafe malgré leur épaisseur accrue. On peut toujours utiliser les chargeurs et accessoires magnétiques sans retirer la coque. Pour les maladroits chroniques ou ceux qui travaillent dans des environnements exigeants, ces coques apportent la tranquillité d'esprit.
Les modules photo des iPhone récents dépassent franchement du dos. Cette protubérance les expose aux rayures et aux chocs. La protection de caméra ShopSystem combine verre trempé 9H et anneaux en aluminium anodisé.
Le verre conserve une transparence totale qui n'altère pas la qualité des photos. Pas de teinte parasite, pas de flare ajouté, pas de perte de netteté. Les anneaux métalliques encadrent chaque objectif en absorbant les chocs si le téléphone tombe côté caméra. Une fois installée, cette protection devient invisible mais efficace.
ShopSystem a bâti sa réputation sur le savoir-faire français et la rigueur. La marque affiche d'excellentes notes sur Trustpilot, signe que les clients obtiennent ce qu'on leur promet. La livraison et les retours sont gratuits en France. Si la coque ne convient pas, le renvoi ne coûte rien.
Cette politique rassure quand on achète en ligne. On peut commander plusieurs modèles, tester chez soi, renvoyer ce qui ne plaît pas. Pas de mauvaise surprise, pas de frais cachés.
L'offre Black Friday à ne pas rater
Les réductions grimpent jusqu'à -50% du 27 novembre à 9h00 au 5 décembre à 23h59. Les prix baissent directement sur le site, sans code promo à chercher ou à copier-coller. On ajoute au panier, le prix réduit s'affiche automatiquement.
Ces huit jours représentent l'occasion d'équiper son iPhone pour l'année à venir. Coque ultra-fine pour le quotidien, coque renforcée pour les week-ends actifs, verre trempé pour l'écran, protection de caméra : on compose sa panoplie selon ses besoins réels.
Les stocks ne sont jamais infinis pendant les opérations promotionnelles. Les modèles populaires disparaissent vite. Mieux vaut anticiper que regretter.
ShopSystem prouve qu'on peut protéger son iPhone sans le dénaturer. L'ultra-finesse n'est plus un fantasme mais une réalité tangible. Cette semaine de promotions permet de découvrir cette approche à prix réduit. De quoi abandonner définitivement les coques qui transforment un bijou de technologie en parpaing !
L'iPhone Air n'est pas un succès, et nous ne vous l'apprendrons probablement pas. Mais l'iPhone le plus fin d'Apple a tout de même pas mal d'avantages et certains peuvent être intéressés par le poids, la finesse, l'esthétique, etc. Si vous êtes de ceux-là, c'est le moment : la version dotée de 1 To de stockage, normalement vendue 1 730 €, est à seulement 1 330 € sur Amazon en blanc. Une réduction de 400 € qui amène ce dernier sous le prix du modèle doté de 512 Go de stockage.
L'iPhone Air blanc. Image Apple.
C'est une capacité qui peut être intéressante pour ceux qui stockent beaucoup de données ou veulent filmer, car l'iPhone Air (comme l'iPhone 17) ne peut pas profiter d'un SSD externe pour enregistrer de la vidéo.
Bien évidemment, les plus acharnés d'entre vous voudront peut-être aussi avoir dans leur collection un iPhone mal-aimé, ou tenter de spéculer sur une possible hausse dans quelques années quand tout le monde voudra acheter l'iPhone le plus fin par esprit de contradiction. Il faut tout de même rappeler que nous ne sommes pas au temps des premiers Macintosh et autres iPod du début des années 2000 : même si l'iPhone Air est déjà considéré comme un échec, les ventes estimées n'en font pas un objet collector pour autant…
Le Parlement européen souhaiterait que les réseaux sociaux soient interdits aux mineurs de moins de 16 ans dans l'Union européenne, à la manière de l'Australie qui a déjà choisi cette limite en 2024. Une proposition qui se base sur de nombreuses études et rapports qui montrent les problèmes que peuvent amener ces derniers pour les adolescents1.
Vous ne verrez peut-être plus uniquement ce logo à la télévision.
Dans un rapport sur la protection des mineurs en ligne, les parlementaires veulent unifier les lois européennes, pour que les méthodes mises en place (par exemple pour la vérification de l'âge) soient cohérentes. Comme le note Politico, une majorité des votants était pour ce changement (483), 86 se sont abstenus et 92 étaient contre. Ces derniers sont majoritairement issus de groupes parlementaires de droites, qui sont surtout contre le fait que l'Union européenne s'immisce trop dans ce domaine.
Au-delà de l'interdiction pour les mineurs de moins de 16 ans, les parlementaires aimeraient aussi que les patrons des plateformes (Elon Musk pour X, Mark Zuckerberg pour Meta, etc.) soient tenus responsables personnellement si les plateformes en question violent les dispositions mises en place dans l'Union européenne.
Ces mineurs, dont certains avaient probablement moins de 16 ans, n'avaient pas accès aux réseaux sociaux. Image Adolph F. Isler.
Dans tous les cas, il ne s'agit pour le moment que d'un rapport, même s'il devrait vraisemblablement influencer les prochaines lois et amener la mise en place probable de cette limitation dans les pays de l'Union européenne.
Et qui par ailleurs touchent aussi les adultes. ↩︎