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Google offre un petit jeu Squid Game dans son moteur de recherche

Google a souvent par le passé suivi les grandes modes, adaptant de petits easter eggs à son interface pour marquer le coup. L’engouement pour la série Netflix Squid Game n’échappe pas à la règle, et le moteur de recherche nous gratifie donc d’une petite animation sympathique pour la sortie de la saison 2 de la série sud-coréenne.

Cliquez sur la petite enveloppe en bas de l'écran. Capture MacGeneration.

Si vous tapez « Squid Game » dans le moteur de recherche, vous aurez alors un petit carton d’invitation flottant en bas de la page. Cliquez dessus, et vous aurez droit de faire une partie de « un, deux, trois, soleil » (ou le plus poétique « Mugunghwa kkoci pieot seumnida » (무궁화 꽃 이 피었 습니다), soit « les fleurs d'hibiscus ont fleuri » en VO), rappelant la première épreuve de la saison 1. De quoi s’amuser quelques minutes en attendant d’aller regarder la suite de la série.

Capture MacGeneration.

Pas d'inquiétude à avoir concernant les graphismes de ce petit jeu, contrairement à la série dont il s'inspire directement, il est 100% tout public.

La Corée du Nord responsable d’un vol record de 300 millions de dollars en Bitcoin

Alors que Japan Airlines a subi ce 26 décembre une cyber-attaque ayant retardé un nombre conséquent de ses vols de la journée, le dénouement d’une affaire ayant fait chuter une plateforme d’échange de cryptomonnaies japonaise a été révélé, impliquant la Corée du Nord.

L’histoire ne dit pas si les pirates étaient sous RedStar OS... Image Wikipedia/Korea Computer Center.

En mai 2024, la plateforme d’échange DMM, spécialisée dans les cryptomonnaies, fait état d’un vol de bitcoins, pour une valeur record de 305 millions de dollars. La société ne s’en remettra pas, mettant la clé sous la porte un mois plus tard, malgré un prêt de 367 millions de dollars accordé pour tenter de se refaire : les clients échaudés par la faille et la perte sèche ne reviendront pas, poussant l’entreprise à la faillite.

Et c’est donc en ce mois de décembre qu’on en apprend plus sur cette affaire, grâce à l’enquête conjointe de la police japonaise et du FBI relatée par Numérama : les malandrins, se faisant passer pour des recruteurs sur LinkedIn, ont d’abord approché un employé de Ginco, société travaillant avec DMM. Ils sont ensuite entrés petit à petit en profondeur dans le réseau de l’entreprise, usurpant un nombre toujours plus grand de comptes d’employés.

Une fois atteint le système de traitement des transactions, ils ont observé le système suffisamment longtemps pour y trouver de multiples failles, conduisant à l’attaque du mois de mai, et la perte de plus de 4500 bitcoins. Mais où sont-ils donc allés ?

Selon les résultats de l’enquête, pas si loin de l’archipel nippon : c’est le groupe de pirates Lazarus, connu pour être en lien avec le gouvernement nord-coréen, qui serait responsable de cet acte de piratage. Le pays est devenu spécialiste dans le domaine, avec 660 millions de dollars de revenus venant de vols de données, rançons et autres cyber-attaques en 2023, et même 1,34 milliard de dollars en 2024 ! Bénéfices records entrant directement dans la poche du régime en place...

Google offre un petit jeu Squid Game dans son moteur de recherche

Google a souvent par le passé suivi les grandes modes, adaptant de petits easter eggs à son interface pour marquer le coup. L’engouement pour la série Netflix Squid Game n’échappe pas à la règle, et le moteur de recherche nous gratifie donc d’une petite animation sympathique pour la sortie de la saison 2 de la série sud-coréenne.

Cliquez sur la petite enveloppe en bas de l'écran. Capture MacGeneration.

Si vous tapez « Squid Game » dans le moteur de recherche, vous aurez alors un petit carton d’invitation flottant en bas de la page. Cliquez dessus, et vous aurez droit de faire une partie de « un, deux, trois, soleil » (ou le plus poétique « Mugunghwa kkoci pieot seumnida » (무궁화 꽃 이 피었 습니다), soit « les fleurs d'hibiscus ont fleuri » en VO), rappelant la première épreuve de la saison 1. De quoi s’amuser quelques minutes en attendant d’aller regarder la suite de la série.

Capture MacGeneration.

Pas d'inquiétude à avoir concernant les graphismes de ce petit jeu, contrairement à la série dont il s'inspire directement, il est 100% tout public.

La Corée du Nord responsable d’un vol record de 300 millions de dollars en Bitcoin

Alors que Japan Airlines a subi ce 26 décembre une cyber-attaque ayant retardé un nombre conséquent de ses vols de la journée, le dénouement d’une affaire ayant fait chuter une plateforme d’échange de cryptomonnaies japonaise a été révélé, impliquant la Corée du Nord.

L’histoire ne dit pas si les pirates étaient sous RedStar OS... Image Wikipedia/Korea Computer Center.

En mai 2024, la plateforme d’échange DMM, spécialisée dans les cryptomonnaies, fait état d’un vol de bitcoins, pour une valeur record de 305 millions de dollars. La société ne s’en remettra pas, mettant la clé sous la porte un mois plus tard, malgré un prêt de 367 millions de dollars accordé pour tenter de se refaire : les clients échaudés par la faille et la perte sèche ne reviendront pas, poussant l’entreprise à la faillite.

Et c’est donc en ce mois de décembre qu’on en apprend plus sur cette affaire, grâce à l’enquête conjointe de la police japonaise et du FBI relatée par Numérama : les malandrins, se faisant passer pour des recruteurs sur LinkedIn, ont d’abord approché un employé de Ginco, société travaillant avec DMM. Ils sont ensuite entrés petit à petit en profondeur dans le réseau de l’entreprise, usurpant un nombre toujours plus grand de comptes d’employés.

Une fois atteint le système de traitement des transactions, ils ont observé le système suffisamment longtemps pour y trouver de multiples failles, conduisant à l’attaque du mois de mai, et la perte de plus de 4500 bitcoins. Mais où sont-ils donc allés ?

Selon les résultats de l’enquête, pas si loin de l’archipel nippon : c’est le groupe de pirates Lazarus, connu pour être en lien avec le gouvernement nord-coréen, qui serait responsable de cet acte de piratage. Le pays est devenu spécialiste dans le domaine, avec 660 millions de dollars de revenus venant de vols de données, rançons et autres cyber-attaques en 2023, et même 1,34 milliard de dollars en 2024 ! Bénéfices records entrant directement dans la poche du régime en place...

Apple vous motive à rester en forme pendant et après les fêtes

Vous avez passé un bon Noël ? Trop bon même ? Un peu trop abusé des bonnes choses ? Le souci est que c’est dans un mois, en janvier, (selon une étude présentée dans cette réclame Apple) le moment de l’année où le plus de personnes se démotivent et se laissent aller, décidant qu’il était trop difficile de se remettre en forme.

Et c’est bien entendu là qu’intervient la pomme : avec une Apple Watch au poignet, vous allez retrouver la motivation rapidement, grâce aux incitations de la tocante à vous bouger le popotin ! Si l’on peut ne percevoir dans cette pub qu’une vilaine volonté de vous faire acheter une montre Apple (nooooon, loin de Cupertino cette idée, voyons...), elle a au moins le mérite de rappeler qu’il faut tout de même faire un minimum attention, et que même si vous avez un peu abusé des repas, rien n’est inéluctable... et au pire, si l’achat de l’Apple Watch ne vous a pas fait perdre de poids, elle aura allégé celui de votre portefeuille !

Apple vous motive à rester en forme pendant et après les fêtes

Vous avez passé un bon Noël ? Trop bon même ? Un peu trop abusé des bonnes choses ? Le souci est que c’est dans un mois, en janvier, (selon une étude présentée dans cette réclame Apple) le moment de l’année où le plus de personnes se démotivent et se laissent aller, décidant qu’il était trop difficile de se remettre en forme.

Et c’est bien entendu là qu’intervient la pomme : avec une Apple Watch au poignet, vous allez retrouver la motivation rapidement, grâce aux incitations de la tocante à vous bouger le popotin ! Si l’on peut ne percevoir dans cette pub qu’une vilaine volonté de vous faire acheter une montre Apple (nooooon, loin de Cupertino cette idée, voyons...), elle a au moins le mérite de rappeler qu’il faut tout de même faire un minimum attention, et que même si vous avez un peu abusé des repas, rien n’est inéluctable... et au pire, si l’achat de l’Apple Watch ne vous a pas fait perdre de poids, elle aura allégé celui de votre portefeuille !

Vous avez un nouvel iPhone ? Voici le guide des accessoires à avoir

Vous avez trouvé un iPhone sous le sapin ? Pour en profiter pleinement, il va falloir penser aux accessoires ! Mais dans la jungle des différents objets Made for iPhone, il y a de quoi se perdre… Suivez le guide !

Des robots ? Non, des chargeurs. Image Ugreen.

Chaaaaaaaargez !

Depuis maintenant fin 2020, Apple ne met plus de chargeur dans la boîte de ses téléphones mobiles. Et depuis cette année, les iPad non plus n’y ont plus le droit. Que faire ?

Même si généralement c’est le genre d’accessoire qui pullule dans les tiroirs, chaque chargeur ne se vaut pas forcément : ceux fournis avec les iPhone jusqu’à leur suppression étaient de bien faibles versions 5 W, ce qui suffit certes pour une charge lente, mais très, très lente.

Avant, le chargeur était fourni... mais ça, c’était avant. Image MacGeneration.

Dans la gamme Apple, plusieurs choix pourront faire votre bonheur : il y a le classique USB-C 20 W (25 €), mais ceux qui veulent aller au plus vite préféreront la version USB-C 30 W (45 €). Enfin, la pomme propose pour les propriétaires de plusieurs appareils USB-C à charger en même temps une version USB-C 35 W (65 €) à deux ports.

Il est pas mignon tout plein ce chargeur ? Image iGeneration.

Mais tous ces appareils blancs sont d’un triste, vous ne trouvez pas ? Heureusement, Ugreen a pensé à ça, en proposant toute une gamme de chargeurs tout mignons sous forme de robots. Nous avons testé le Nexode RobotGaN (46 €) qui mêle sa petite bouille à 65 W sur 3 ports, mais depuis la famille s’est agrandi, avec une version 100 W quatre ports (70 €), une version Qi2 (60 €) pouvant recharger en même temps les AirPods sans fil et une Apple Watch (galet Apple Watch non fourni). Il y a même une batterie magnétique 5 000 mAh (45 €) ! Si leurs petites bouilles changeant de forme suivant l’état de charge ne vous fait pas craquer, on ne peut plus rien pour vous…

Mini-test du chargeur Ugreen Nexode RobotGaN  : pour charger son iPhone en toute mignonitude

Mini-test du chargeur Ugreen Nexode RobotGaN : pour charger son iPhone en toute mignonitude

Pour les iPhone 16, n’oubliez pas non plus que MagSafe a été mis à jour pour pouvoir charger sans fil à 25 W. Pour cela, il vous faudra forcément le nouveau galet d’Apple, vendu en deux versions, soit câble de 1 mètre (49 €), ou câble de 2 mètres (59 €). Si vous êtes moins pressés, Belkin propose une promotion intéressante sur sa station de charge 2-en-1, vous pourrez actuellement la trouver à 39,99 € sur Amazon.

Test du nouveau chargeur MagSafe 25 W : Apple accélère bien la recharge sans fil des iPhone 16

Test du nouveau chargeur MagSafe 25 W : Apple accélère bien la recharge sans fil des iPhone 16

Toujours aux manettes

Si jouer est votre passe-temps préféré, vous aurez rapidement appris que l’écran de l’iPhone n’est pas ce qu’il y a de plus grand et pratique pour s’adonner aux titres les plus exigeants. Et maintenant que certains gros clients arrivent sur iPhone comme Assasin’s Creed ou Resident Evil, une manette devient quasiment indispensable pour le joueur régulier.

Qui résisterait à un bon vieux Sonic avec une manette adaptée ? Image iGeneration.

Si jusqu’à récemment l’un des meilleurs choix restait la Backbone One v2 (120 €), un sérieux concurrent s’est ajouté à la liste avec la Scuf Nomad (110€), qui pour 10 € de moins a certes l’inconvénient d’être en Bluetooth et non directement USB-C, mais profite de cette différence pour permettre la compatibilité avec une gamme bien plus vaste d’appareils, de l’iPhone à l’iPad en passant par l’Apple TV. À noter aussi l’excellente Razer Kishi Ultra, mais à 169 €, elle n’est vraiment pas donnée.

Test de la manette Backbone One v2 pour iPhone, compatible avec les coques

Test de la manette Backbone One v2 pour iPhone, compatible avec les coques

Test de la manette Scuf Nomad pour iPhone, qui cible les joueurs exigeants

Test de la manette Scuf Nomad pour iPhone, qui cible les joueurs exigeants

Se protéger en vacances

Vous partez en vacances pour les fêtes ? Pensez à vous protéger… non, pas comme ça (enfin si, aussi), mais en évitant les ports USB un peu trop indiscrets qui en voudraient à vos données et à votre intimité.

Protégez votre iPhone. Si si. Image iGeneration.

Pour ça, au choix, vous pouvez opter pour le câble dédié de Startech (10 €), qui ne fera que charger votre téléphone sans laisser fuiter de data, soit prendre un adaptateur qui se branche sur n’importe quel câble USB, comme la version USB-C vers USB-A de chez PortaPow (12 €), grâce à qui vous serez enfin serein face aux prises USB des aéroports.

Test de quatre préservatifs USB pour protéger votre iPhone sur les chargeurs publics

Test de quatre préservatifs USB pour protéger votre iPhone sur les chargeurs publics

Un vaste monde…

Nous n’avons fait qu’effleurer le vaste monde des accessoires pour iPhone. N’hésitez pas à vous balader dans les différents tests que nous réalisons toute l’année, afin de trouver ce qui vous correspondra le mieux en évitant les pièges et embûches !

Vous avez un nouvel iPhone ? Voici le guide des accessoires à avoir

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Des robots ? Non, des chargeurs. Image Ugreen.

Chaaaaaaaargez !

Depuis maintenant fin 2020, Apple ne met plus de chargeur dans la boîte de ses téléphones mobiles. Et depuis cette année, les iPad non plus n’y ont plus le droit. Que faire ?

Même si généralement c’est le genre d’accessoire qui pullule dans les tiroirs, chaque chargeur ne se vaut pas forcément : ceux fournis avec les iPhone jusqu’à leur suppression étaient de bien faibles versions 5 W, ce qui suffit certes pour une charge lente, mais très, très lente.

Avant, le chargeur était fourni... mais ça, c’était avant. Image MacGeneration.

Dans la gamme Apple, plusieurs choix pourront faire votre bonheur : il y a le classique USB-C 20 W (25 €), mais ceux qui veulent aller au plus vite préféreront la version USB-C 30 W (45 €). Enfin, la pomme propose pour les propriétaires de plusieurs appareils USB-C à charger en même temps une version USB-C 35 W (65 €) à deux ports.

Il est pas mignon tout plein ce chargeur ? Image iGeneration.

Mais tous ces appareils blancs sont d’un triste, vous ne trouvez pas ? Heureusement, Ugreen a pensé à ça, en proposant toute une gamme de chargeurs tout mignons sous forme de robots. Nous avons testé le Nexode RobotGaN (46 €) qui mêle sa petite bouille à 65 W sur 3 ports, mais depuis la famille s’est agrandi, avec une version 100 W quatre ports (70 €), une version Qi2 (60 €) pouvant recharger en même temps les AirPods sans fil et une Apple Watch (galet Apple Watch non fourni). Il y a même une batterie magnétique 5 000 mAh (45 €) ! Si leurs petites bouilles changeant de forme suivant l’état de charge ne vous fait pas craquer, on ne peut plus rien pour vous…

Mini-test du chargeur Ugreen Nexode RobotGaN  : pour charger son iPhone en toute mignonitude

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Pour les iPhone 16, n’oubliez pas non plus que MagSafe a été mis à jour pour pouvoir charger sans fil à 25 W. Pour cela, il vous faudra forcément le nouveau galet d’Apple, vendu en deux versions, soit câble de 1 mètre (49 €), ou câble de 2 mètres (59 €). Si vous êtes moins pressés, Belkin propose une promotion intéressante sur sa station de charge 2-en-1, vous pourrez actuellement la trouver à 39,99 € sur Amazon.

Test du nouveau chargeur MagSafe 25 W : Apple accélère bien la recharge sans fil des iPhone 16

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Toujours aux manettes

Si jouer est votre passe-temps préféré, vous aurez rapidement appris que l’écran de l’iPhone n’est pas ce qu’il y a de plus grand et pratique pour s’adonner aux titres les plus exigeants. Et maintenant que certains gros clients arrivent sur iPhone comme Assasin’s Creed ou Resident Evil, une manette devient quasiment indispensable pour le joueur régulier.

Qui résisterait à un bon vieux Sonic avec une manette adaptée ? Image iGeneration.

Si jusqu’à récemment l’un des meilleurs choix restait la Backbone One v2 (120 €), un sérieux concurrent s’est ajouté à la liste avec la Scuf Nomad (110€), qui pour 10 € de moins a certes l’inconvénient d’être en Bluetooth et non directement USB-C, mais profite de cette différence pour permettre la compatibilité avec une gamme bien plus vaste d’appareils, de l’iPhone à l’iPad en passant par l’Apple TV. À noter aussi l’excellente Razer Kishi Ultra, mais à 169 €, elle n’est vraiment pas donnée.

Test de la manette Backbone One v2 pour iPhone, compatible avec les coques

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Test de la manette Scuf Nomad pour iPhone, qui cible les joueurs exigeants

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Se protéger en vacances

Vous partez en vacances pour les fêtes ? Pensez à vous protéger… non, pas comme ça (enfin si, aussi), mais en évitant les ports USB un peu trop indiscrets qui en voudraient à vos données et à votre intimité.

Protégez votre iPhone. Si si. Image iGeneration.

Pour ça, au choix, vous pouvez opter pour le câble dédié de Startech (10 €), qui ne fera que charger votre téléphone sans laisser fuiter de data, soit prendre un adaptateur qui se branche sur n’importe quel câble USB, comme la version USB-C vers USB-A de chez PortaPow (12 €), grâce à qui vous serez enfin serein face aux prises USB des aéroports.

Test de quatre préservatifs USB pour protéger votre iPhone sur les chargeurs publics

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Un vaste monde…

Nous n’avons fait qu’effleurer le vaste monde des accessoires pour iPhone. N’hésitez pas à vous balader dans les différents tests que nous réalisons toute l’année, afin de trouver ce qui vous correspondra le mieux en évitant les pièges et embûches !

Apple sonne à la porte et les AirPods jettent un œil : la semaine de la pomme avec Mark Gurman

Alors, avez-vous été sage cette année ? Attention, de la réponse dépendra le contenu laissé sous le sapin. Suivant la réalité des choses, n’oubliez pas que vous pourriez passer d’un magnifique Mac mini M4 Pro à un... Chromebook première génération avec une imprimante HP. Santa Claus ou Grinch, à chacun sa médaille... Voyons ce qui se cache dans la hotte de Mark Gurman.

Accroche-toi à la rambarde Hans, c’est de nouveau Noël. Yippee-ki-yay. Image Die Hard/20th Century Fox.

Inform - Educate - Entertain

Si depuis quelques semaines, voire mois, les couloirs bruissent d’un retour en force d’Apple dans le domaine de la maison connectée, il semble que ce ne soit que le début. Déjà, les détails de la famille HomePod semblent de plus en plus précis : doté d’un écran de 6 pouces carré, l’engin serait capable d’utiliser FaceTime, de lire des vidéos, et bien d’autres choses encore. Pour ce faire, il disposerait d’un tout nouveau système d’exploitation, lui permettant de mener ces tâches à bien, le tout mâtiné d’IA (on n’y échappera pas) et contrôlant tous les appareils connectés de la maison.

Mais ce n’est pas tout, loin de là : Cupertino plancherait sur de nouveaux objets à même de marcher sur les platebandes de ses camarades de Google et Amazon, à savoir dans un premier temps des caméras connectées, qui liées aux capacités de reconnaissance faciale développées depuis bien longtemps par la pomme permettraient des notifications précises plutôt que de simples « Un mouvement a été détecté dans la pièce ». Même si c’est du déjà vu, l’intégration à l’écosystème Apple serait un grand point fort du système, et la pomme compte jouer à fond la carte de la protection de la vie privée, chose pour laquelle elle est bien connue et met le paquet depuis maintenant belle lurette.

Une sornette euuuuh... sonnette connectée ? Si elle n’est pas faite en interne, il va falloir choisir soigneusement le partenaire... Image Netatmo.

Et si tout se passe bien, Apple pourrait présenter un autre objet, qui serait en développement depuis le début de l’année : une sonnette connectée qui disposerait d'un système de reconnaissance faciale similaire à Face ID et que l'on pourrait associer à une serrure connectée. Le développement n’en est qu’à ses débuts, et il ne faudrait pas s’attendre à voir pointer quelque chose avant la fin 2025, si toutefois le projet aboutit avec toutes les sécurités nécessaires : si les grands pontes d’Apple étaient déjà moyennement chauds à l’idée d’une voiture pommée du fait du risque de voir l’image de la marque associée à des accidents, ils feront tout pour éviter de ruiner l’image de protection de la vie privée par un appareil qui laisserait entrer un quidam non sollicité dans la demeure de ses clients...

Bien entendu, tout ce matériel serait prévu pour fonctionner en parfaite harmonie avec tout le matériel Apple existant : des HomePods présents jusqu’aux Apple TV, en passant par l’iPhone et l’Apple Watch qui ne manquera pas d’être au poignet du propriétaire du palace. Qui plus est, tout ce beau monde pourra bénéficier à plein de la prochaine puce Wi-Fi/Bluetooth du constructeur, qui devrait comprendre une enclave sécurisée qui tombe à point nommé pour servir la cause, même si un routeur pommé pour reprendre le flambeau des bases AirPort ne serait pas dans les cartons. Autre petit bonheur pour Apple, le tout sera bien entendu largement intégré dans iCloud, ce qui devrait permettre à la marque d’augmenter le nombre de services inclus dans sa suite en ligne, et la rendre encore plus incontournable !

E.V.A.

Si les écouteurs de la pomme mettent déjà plus qu’un orteil dans le domaine de la santé cette année avec l’arrivée de fonctions de protection et d’amélioration de l’audition, ce n’est qu’un début, tant les idées germent dans la tête des ingénieurs de Cupertino.

Des écouteurs toujours plus connectés, à se demander où ils trouvent la place pour mettre tout ça. Image Apple.

Dans un premier temps, l’idée serait d’intégrer un moniteur d’activité cardiaque dans les écouteurs, pour aider ceux qui trouvent désagréable de porter une montre durant leurs exercices, ou qui veulent garder leur tocante habituelle au poignet. Mais d’autres idées plus folles trottent dans la tête des ingénieurs, avec notamment la possibilité d’intégrer des caméras (!) dans les écouteurs, afin de nourrir toujours plus efficacement l’IA et ainsi rendre naturelle toute demande d’aide à celle-ci. Si la tâche paraît ardue, notamment pour ce qui est de l’autonomie de l’ensemble, le projet serait parmi les plus grandes priorités de l’équipe chargée du développement des AirPods, ce qui donne une idée des volontés de la pomme.

Tomorrow

Pour un Siri qui répond plus efficacement, la patience est mère de toutes les vertus. Capture MacGeneration.

Dans un futur un peu plus proche, Apple va continuer à faire évoluer iOS 18, avec notamment la version 18.4 : si elle devrait apporter Apple Intelligence à l’Union européenne, elle doit aussi amener le Siri un peu plus évolué, capable d’interagir avec toutes les apps présentes sur le téléphone, ainsi que de voir ce qui se passe à l’écran de celui-ci. Mais ne vous attendez pas pour autant à voir Siri devenir un équivalent à ChatGPT, avec une conversation naturelle au point d’avoir l’impression de dialoguer avec un ami : si Apple a bien prévu cette finalité, Mark Gurman ne la voit pas venir... avant iOS 19.4. Non, il n’y a pas de faute de frappe.

Concernant les Mac, les choses devraient être relativement tranquilles, et suivre le chemin déjà connu d’avance : les MacBook Air vont avoir droit à leur M4, suivis des Mac Studio et enfin des Mac Pro à la fin de l’année. Pour ce qui est du M5, il devrait bien faire son apparition, en premier sur les MacBook Pro, comme c’est souvent le cas depuis qu’Apple produit ses propres puces : les machines portables haut de gamme restent le fer de lance de la marque.

Late Night Final

C’est avec toutes ces prévisions, rêves pour certains, cauchemars pour d’autres que l’année 2024 se finit, Mark Gurman faisant une trêve jusqu’à la fin de l’année... qui va me permettre à moi aussi de me reposer le dimanche, même si l’actualité ne dort jamais. Dans l’attente de promesses futures l’année prochaine (qui n’engagent que ceux qui y croient, comme dirait un homme célèbre de l’hexagone), passez de bonnes fêtes, et à bientôt pour la suite des aventures dominicales !

  • Dis Siri, mets-moi Public Service Broadcasting.
  • Désolé, Greg, je n’ai pas compris. Voulez-vous dire la BBC ?
  • Raaaaah, vivement 2025 !

TikTok publie une partie de son code, dans l’espoir d’éviter le ban aux USA

Alors que la date fatidique se rapproche pour le réseau social préféré des ados, ByteDance tente le tout pour le tout pour sauver sa tête aux USA, en publiant sur GitHub une partie du code qui régit son algorithme, comme repéré par Numérama.

Le GitHub de Monolith. Image MacGeneration.

L’action n’est pas anodine, ce genre de publication étant très, très rare parmi les grands réseaux sociaux. On n’imagine que difficilement Meta, Alphabet ou X publier le code leur permettant de retenir encore et toujours plus le client sur leur site ! Mais TikTok n’est pas non plus dans une situation anodine : si rien ne vient bloquer la décision, le réseau devrait se voir interdit aux États-Unis à partir du 19 janvier 2025, veille de l’entrée en fonction du 47ème président des USA.

En faisant cette manœuvre, ByteDance espère contrer l’un des principaux arguments contre son réseau : il apparaît en effet que le code employé par la firme, appelé « Monolith » en interne, se repose en grande partie sur Keras, une bibliothèque open source basée sur TensorFlow, développée par Google.

Cependant, le code livré n’a pas été mis à jour depuis 2023, une éternité dans le domaine, et ne dévoile pas non plus toute la logique de fonctionnement de TikTok. Non seulement beaucoup de choses ont pu changer entretemps, mais même si ce n’était pas le cas, cela ne permet de toute façon pas de connaître toute la machinerie derrière le réseau social, ce qui semble logique, la gestion des utilisateurs et de leurs préférences étant le nerf de la guerre dans le domaine.

Reste que ByteDance a besoin d’un miracle, et fait tout pour qu’il arrive : entre un recours devant la cour suprême (qui a peu de chances d’aboutir), un dîner avec le président élu, et maintenant l’ouverture d’une partie de son code, les dirigeants US du réseau social sont très chargés en cette fin d’année. Si l’issue paraît inéluctable, leur plus grande chance pourrait cependant être l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, qui voit en TikTok l’un des leviers lui ayant permis d’accéder de nouveau au pouvoir durant les dernières élections présidentielles. Le mois de janvier va être mouvementé pour ByteDance et son réseau, qui fait la majeure partie de son chiffre d’affaires aux USA...

Le Vision Pro atteint 5 % des ventes en 2024

Alors que beaucoup s’accordent à dire que le Vision Pro n’est pas LA grande vague que certains espéraient en voyant Apple arriver sur le marché des casques à réalité augmentée, la fin de l’année et ses bilans permettent de faire le point sur la réalité des choses... et ça ne s’annonce finalement pas si mal pour le casque pommé.

5 % de PDM... c’est déjà correct vu le tarif. Image TrendForce.

5 % de parts de marché... c’est le bilan du Vision Pro dans le domaine des casques VR/XR. Alors ok, 5 %, ça paraît faible, voire très faible pour un acteur du poids d’Apple. Mais si on regarde les premiers du podium, il y a une différence de taille : le tarif. Si Meta se targue de prendre la part du lion, avec 73 % du marché, et Sony arrive second avec 9 %, il faut bien se rendre à l’évidence que leurs produits n’ont strictement rien à voir avec le Vision Pro.

Ainsi, le casque qui représente l’écrasante majorité des ventes chez Meta est la version Quest 3S qui se trouve entre 330 et 450 €, quand l’unique casque de Sony est présenté entre 400 et 500 €. Donc être troisième avec 5 % du marché quand on propose un casque quasiment 10 fois plus cher que la concurrence, ce n’est pas si mal !

9to5Mac en profite pour faire un point sur une autre réalité : alors que les casques VR de Meta ou Sony sont quasi exclusivement dédiés aux jeux vidéos et à un usage ludique, le Vision Pro, à l’opposé, voit son usage particulièrement orienté vers l’entreprise et le médical.

Comme cas d’école, le site relate l’expérience d’un chirurgien au Brésil, ayant utilisé avec bonheur le casque pommé durant une opération, lui permettant ainsi de consulter le dossier du patient ainsi que des vues 3D en temps réel, améliorant ainsi l’efficacité du médecin durant la chirurgie. Le docteur a particulièrement apprécié la qualité des écrans du Vision Pro, sa réactivité, ainsi que la tenue des caméras face aux lumières vives d’une salle d’opération.

Il n’est pas le seul à faire ce constat, et certains commencent déjà à faire un parallèle assez marquant, mettant face à face un Vision Pro et ses capacités pour 4 000 €, quand un « simple » moniteur adapté aux salles d’opérations est vendu plus de 30 000 $. Dans une interview, un autre chirurgien compare l’arrivée du Vision Pro dans le domaine médical à celle des premiers robots d’aide à la chirurgie, rien de moins.

Il semble quoiqu’il en soit que le Vision Pro ait trouvé sa voie, même si elle n’est pas encore celle du grand public. Mais tout vient à point à qui sait attendre, et il va sans dire qu’Apple devrait rendre plus accessible cette technologie dans les années à venir.

Sortie de route pour la date de sortie de CarPlay 2

La fin d’année est souvent l’occasion de faire le bilan, de voir ce qui a fonctionné... et ce qui a plutôt l’air et la chanson d’un échec. Si Apple a rarement des éléments dans la seconde catégorie (bon, ok, le Vision Pro a un peu un pied entre les deux, suivant si on se base sur le nombre de ventes ou sur les perspectives plus lointaines), il y a quand même une petite tache sur le joli tableau de la pomme, comme le rappelle 9to5Mac : CarPlay 2.

« Les premiers modèles arrivent en 2024 »... Vraiment ? Capture MacGeneration.

Le site Apple ne trompe pas, même si lui-même est dans l’erreur : il indique toujours une arrivée des premiers modèles en 2024, ce qui semble compliqué à réaliser, peu de constructeurs ayant pour habitude de sortir de nouveaux véhicules durant les fêtes de fin d’année. Et 2024 n’ayant plus que quelques jours à vivre... la promesse semble un échec.

On notera d’ailleurs que si Apple y croit toujours, c’est très discrètement : alors que d’habitude elle met en avant toutes les innovations qu’elle met en œuvre, la page parlant de CarPlay ne mentionne que discrètement la nouvelle version dans un encart, et ne s’avance surtout pas sur les marques partenaires, préférant mettre en avant celles compatibles avec CarPlay 1.

Reste que le projet n’est peut-être pas mort, si on en croit la découverte d’une version Audi du système dans une base de données de l’Union européenne, ou encore les promesses de Porsche et Aston Martin. Mais pour cette année, Apple ne mettra pas de voiture compatible CarPlay 2 sous le sapin (de toute façon elle n’aurait pas tenu, ou alors il aurait fallu un très grand sapin...). Rendez-vous en 2025, pour voir si une automobile équipée apparaît... ou si l’encart disparaît discrètement.

YouTube force le doublage par IA, mais heureusement il est encore débrayable

Dans la sphère des vidéos YouTube, il existe déjà une plaie dont les utilisateurs se seraient bien passé : les sous-titres automatiquement générés par IA. Alors que ces derniers s’ajoutent automatiquement et poussent à devoir désactiver vidéo par vidéo leur apparition, la plateforme de Google semble vouloir aller encore plus loin et impose maintenant... le doublage par IA.

Ainsi, comme le rapporte The Verge sur certaines vidéos (heureusement tout le catalogue n’y est pas encore passé, de loin, la masse de celui-ci devant se mesurer en milliers ou millions d’heures de calcul pour y parvenir), YouTube change automatiquement la langue d’origine pour la remplacer par un doublage dans votre langue par défaut, effectué par une IA.

Si la chose peut s’avérer utile pour comprendre certaines vidéos dans une langue que vous ne parlez pas, quelques soucis sont à relever : dans un premier temps, rien ne vient vérifier si l’IA a bien traduit ce que dit réellement la personne, et ne fait pas un énorme contresens. Ensuite, la traduction des émotions est... totalement absente : vous vous retrouvez avec une voix digne d’un répondeur automatique qui vous parle tout le long de la vidéo.

Pour finir, et ce point est probablement le plus désagréable, YouTube mettra systématiquement son doublage artificiel par défaut si la vidéo que vous lancez n’est pas dans votre langue et que celui-ci est disponible. Ainsi, sur chaque vidéo concernée, vous devrez aller dans l’icône de réglages, puis choisir « piste audio » et enfin cliquer sur la VO. Encore plus agaçant, votre choix n’est pas retenu après fermeture de la vidéo : vous devrez effectuer cette manipulation à chaque visionnage.

Le réglage est disponible, mais pourquoi ne pas proposer un réglage par défaut ? Capture MacGeneration.

Si l’idée part d’une bonne intention, l’imposer par défaut la rend plus pénible qu’autre chose. Il reste à espérer que YouTube entende la grogne, et laisse au moins la possibilité de choisir la VO comme réglage par défaut, plutôt qu’une IA.

Suite à l’erreur BBC, RSF demande l’interdiction des résumés par IA

L’intelligence artificielle développée par Apple est jeune, mais il est des domaines où l’erreur n’est pas permise. Ainsi, la bourde d’Apple Intelligence dans le résumé des infos de la BBC semble ne pas passer, et Reporters Sans Frontières (RSF) en rajoute une couche en demandant rien moins que le bannissement de la fonction résumé de l’IA pommée, comme rapporté par 9to5Mac.

RSF a Apple Intelligence en ligne de mire, et ne s’en cache pas. Image RSF.

Dans un communiqué transmis à l’Organisation des Nations Unies, au Conseil européen, ainsi qu’à d’autres agences gouvernementales liées à la liberté de la presse et au journalisme, les demandes de l’ONG semblent être le bannissement de toute fonction de résumé par IA qui toucherait les journaux.

Reporters Sans Frontières (RSF) est très inquiète des risques posés aux médias par les nouveaux outils proposés par l’intelligence artificielle (IA), après qu’un nouveau produit d’Apple ait généré une notification erronée et l’ait attribuée à la BBC. Cet accident démontre que les services d’IA générative sont pour le moment trop immatures pour produire une information fiable pour le public, et ne devraient pas être autorisés pour de tels usages.

Si le communiqué semble ne pas avoir de destinataire précis, Vincent Berthier, responsable du bureau technologies et journalisme de l’ONG se veut plus précis :

Les IA sont des machines à probabilités, or la véracité d’une information ne se joue pas sur un coup de dés. RSF appelle Apple à prendre ses responsabilités en retirant cette fonctionnalité. La production automatisée de fausses informations portant le sigle de médias est une atteinte à leur crédibilité, et un danger pour le droit du public à disposer d’informations fiables sur l’actualité. L'AI Act européen, pourtant la législation la plus avancée au monde en la matière, n'a pas classé les IA générant de l'information comme systèmes à haut risque, laissant un vide juridique critique. Cette lacune doit être comblée rapidement.

RSF en appelle ainsi clairement à la révision du droit européen, déjà l’un des plus stricts en la matière, pour bannir l’utilisation de l’IA générative dans les résumés de sites et d’apps utilisant les informations provenant des journaux et médias en ligne. Si l’inquiétude est compréhensible, reste à savoir si elle sera entendue ou restera lettre morte, dans une Europe que certains considèrent déjà comme trop stricte sur l’intelligence artificielle...

Le Flint Center, lieu des présentations historiques d’Apple, en cours de démolition

Vous l’avez vu en 1984 pour la présentation du Macintosh, mais aussi pour celle de l’iMac G3 14 ans plus tard. Encore une fois, il a été présent pour la révélation de l’Apple Watch, et pendant de nombreuses années il a fait les beaux (et les mauvais) jours des réunions d’actionnaires. Qui ? Plutôt quoi : le Flint Center Auditorium du De Anza College, à Cupertino.

Michael Fassbender sur la scène du Flint Center, pour son rôle dans le biopic sur Steve Jobs. Image Universal.

Si Apple est connue pour être sise à Cupertino, elle n’a, pendant très longtemps, pas eu la capacité de tenir les grandes présentations publiques et les réunions d’actionnaires dans ses locaux. Ce n’est qu’avec l’avènement de l’Apple Park que c’est le cas, avec le Steve Jobs Theater, qui n’est ouvert que depuis 2017.

Et même une fois Apple dans ses propres locaux, les aficionados l’ont encore revu, immortalisé dans le film d’Aaron Sorkin, avec Michael Fassbender reprenant le rôle de Steve Jobs pour le biopic le concernant, où nombre de scènes se passent sur l’estrade du Flint Center.

Mais en 2019, après de nombreuses années à vivoter de petites conférences en petites conférences, l’auditorium n’était plus à même de maintenir ses comptes, ni même... de se maintenir tout court : en décrépitude, une étude avait estimé les coûts de rénovation à plus de 50 millions de dollars, comme le rapporte Apple Insider. C’est ainsi que la décision fut prise de le démolir, afin de construire un tout nouveau centre à sa place. Décision exécutée en ce moment même... il restera les souvenirs.

La première bêta publique d’iOS 18.3 disponible

Après la sortie de la version réservée aux développeurs, voici venir la la bêta d’iOS/iPadOS 18.3 pour le grand public. Bien entendu, comme c’était le cas déjà pour les développeurs, cette nouvelle version s’accompagne de ses camarades tvOS 18.3 et watchOS 11.3.

Bien entendu, vous pourrez retrouver toutes les nouveautés de cette version au fur et à mesure de leur découverte.

Anne Hidalgo piégée par un hors forfait de 30 000 € : attention, ça n’arrive pas qu’aux autres

Pour les plus vieux d’entre nous, le souvenir des notes de hors forfait à l’étranger peut être quelque peu... amer. Si les forfaits pour le grand public doivent légalement avoir une bride au-delà de 60 € depuis quelques années, ce n’est pas forcément le cas sur les forfaits professionnels. Et c’est ce qui est arrivé à Anne Hidalgo dans son déjà très controversé voyage à Tahiti...

Si la dame sourit sur la photo, elle n’a pas dû avoir la même tête au retour de Tahiti... Image Muratti800/Wikipedia, CC BY-SA 3.0.

30 000 €. C’est la facture relevée par le Canard Enchaîné, comme rapporté par Numérama, suite au voyage d’Anne Hidalgo en Polynésie française. Si la maire de Paris elle-même ne devrait pas avoir à régler la facture, celle-ci émanant de son téléphone professionnel, c’est en revanche le contribuable parisien qui devrait en faire les frais. Mais comment en est-elle arrivée à ce montant ?

Si la plupart des forfaits actuels comprennent dans le territoire national les DOM (ou Département d’Outre-Mer), la Polynésie française, tout comme la Nouvelle-Calédonie (comme on le verra plus tard) n’en font pas partie : ils ont le statut spécial de « collectivité d’outre-mer ». Et ce petit détail change tout : là où les premiers sont donc intégrés dans le forfait, la Polynésie n’y est pas, et la facture peut être salée. Chez Orange, par exemple, l’appel vous coûtera 1,4 € la minute, le SMS revient à 28 centimes, et le Mo (oui oui, Mo) de données à... 13,31 € !

Ainsi, un petit Go de data (facilement atteint avec une grosse mise à jour ou un simple épisode sur Netflix) vous coûtera la bagatelle de 13 310 €. On comprend mieux comment Anne Hidalgo a pu atteindre facilement les 30 000 € de facture, avec de tels prix.

Et ne croyez pas qu’elle soit la seule à s’être fait piéger, même si elle semble une cible facile : d’autres en ont fait les frais récemment aussi. C’est ainsi que le youtubeur Tev, de la chaîne Ici Japon, raconte sa mésaventure avec le fournisseur japonais SoftBank : pensant que, la France faisant partie de son forfait monde, la Nouvelle-Calédonie devait être incluse, il ne s’est pas restreint durant un tournage. Il a eu la surprise en rentrant de trouver une facture de 23 000 €.

Contrairement à la maire de Paris qui n’ira sûrement pas plus loin, lui a tenté de négocier, et même de traîner en justice son opérateur pour mauvaise information et prix abusifs. Mal lui en a pris, SoftBank ayant gagné et le youtubeur se retrouvant au final avec une facture encore plus élevée qu’au départ.

En conclusion, même si les forfaits contiennent de plus en plus de pays inclus sans surcoût, faites bien attention aux détails, tout particulièrement quand vous ne vous rendez pas sur le territoire métropolitain, mais sur une île : si celle-ci ne fait pas partie de la zone incluse dans votre forfait, vous risquez de regretter amèrement votre voyage...

Un Noël très sonore : notre guide des enceintes connectées et des casques qui valent le coup

S’il est un domaine où le choix est complexe, tant l’offre est immense, c’est bien celui des appareils de diffusion sonore. Entre les enceintes connectées, les écouteurs sans-fil, les casques à réduction de bruit, les amplis-casque, les barres de son… Mais pas de panique, iGeneration va vous aider à trouver si vous êtes encore indécis !

Une enceinte connectée, d’accord... mais laquelle ?

Dans la jungle des constructeurs, il faudra d’abord faire un choix : cette enceinte est-elle amenée à écouter vos ordres, à diffuser de la musique ou à faire office d’aide pour la télé du salon ?

Le HomePod mini reste une valeur sure quand il s’agit de se faire entendre par Siri. Image iGeneration.

Pour ce qui est d’être attentif à vos demandes, si vous êtes un adepte des produits pommés (ce qui est fort probable si vous lisez ces colonnes), il y a de fortes chances que vous soyez habitué à Siri. Le choix est alors simple : c’est HomePod… ou HomePod mini. Si le premier à 349 € sonorise correctement une pièce, surtout en en mettant deux en paire stéréophonique, le second à 109 € restera plus facilement campé à exécuter vos ordres ou donner un fond sonore. Il reste un très bon compagnon pour coller en paire autour d’un moniteur externe : un ajout plus qu’agréable pour compléter votre nouveau Mac mini !

La surprenante enceinte-tableau de Samsung, la Music Frame. Image Samsung.

Si l’idée est de se trémousser sur le dernier Coldplay ou la poésie d’un William Sheller, le choix est plus large : les fans de rock pourront se lâcher sur une JBL Authentics 200 (249 €), avec son design à l’ancienne mais sa connectivité moderne (AirPlay 2, Spotify Connect…), tout comme ceux qui veulent rester discrets trouveront leur bonheur avec la Samsung Music Frame HW-LS60D (279 €) qui se cache discrètement dans un cadre photo. Dans le milieu de gamme, il y a aussi la Sonos Era 100 (279 €) particulièrement à l'aise en multiroom.

Test de la Sonos Era 100 : la petite One a bien grandi

Test de la Sonos Era 100 : la petite One a bien grandi

Elle a beau être lourde comme un Zeppelin de plomb, l’enceinte de Bowers & Wilkins est indéboulonnable depuis plus de 10 ans. Image Bowers & Wilkins.

Si la montée en gamme ne vous effraie pas, commencent ensuite les choses sérieuses : se trouvent ainsi des noms connus comme Elipson avec sa W35Xi (699 €) toute en rondeurs, ce qui ne manquera pas de rappeler des souvenirs aux anciens amateurs. Mais il sera difficile de passer à côté du fameux Bowers & Wilkins Zeppelin (599 €), là depuis 2008, qui a été mis à jour cette année.

Nouveau venu dans les enceintes connectées haut de gamme, mais nom connu et reconnu dans l’audio, la Cambridge Audio EVO One. Image Cambridge Audio.

La suite pour les amateurs plus fortunés encore se conjugue avec Technics et son SC-70 Mk2 (849 €) qui intègre, chose de plus en plus rare, un lecteur CD, mais aussi des poids lourds comme le Naim Mu-So 2 (990 €) ou encore le tout nouveau Cambridge Audio EVO One (1 499 €). Mieux ? Ce qu’il y a de meilleur, même si le prix est indécent ? Alors les Focal Diva Utopia sont là pour vous. Mais même si le son est parfait, il va vous falloir de la place, un solide plancher (79 kg chacune, elles sont bien sûr par paire) et... un solide compte en banque, à 35 000 € !

Le prix d’une voiture, mais un son à tomber : les Focal Diva Utopia. Image Focal.
Focal sort des enceintes connectées. Devialet ? Pas assez cher, mon fils...

Focal sort des enceintes connectées. Devialet ? Pas assez cher, mon fils...

Les écouteurs et casques, pour s’enjailler en solo

Pour ce qui est de se mettre des enceintes dans les oreilles, la grande mode reste aux écouteurs à réduction de bruit, nous resterons donc cantonnés aux protagonistes qui proposent cette fonction… ce qui élimine d’office les AirPods 4 de base (149 €, si vous y tenez). Les AirPods 4 à réduction de bruit active (199 €) viennent de sortir et bluffent leur monde de part leur efficacité pour des écouteurs non intra-auriculaires, mais la star reste les AirPods Pro 2 (279 €).

Même si les AirPods 4 sont sortis, les AirPods Pro 2 restent les rois du secteur. Image Apple.

Si vous êtes allergique au blanc, ou que vous voulez goûter autre chose qu’un produit pommé, les concurrents sont pléthore, mais les concurrents sérieux un peu moins : Sony démarre avec les très raisonnables WF-C510 (49 €), mais les vrais concurrents aux AirPods Pro restent les Sennheiser Momentum True Wireless 4 (215 €), seuls à même de rattraper la pomme, voire de la dépasser niveau qualité sonore pour le tarif demandé. Autrement, avec un penchant Android, les JBL Tour Pro 3 (299 €) innovent avec leur boîtier qui transmet la musique dans n'importe quelle condition.

Test des JBL Tour Pro 3 : des écouteurs qui ne manquent pas d’écran

Test des JBL Tour Pro 3 : des écouteurs qui ne manquent pas d’écran

Le petit chouchou du rédacteur, on ne va pas se le cacher... Un son excellent à la hauteur de la réputation de la marque, le Focal Bathys. Image Focal.

Vous préférez les casques ? Pas de problème ! Si Sennheiser et Sony se tirent la bourre dans les premiers prix avec l’Accentum (149 €) et l’ULT WEAR (139 €), le « cœur de gamme » est bien plus bataillé, avec l’indéboulonnable Bose QuietComfort (249 €), le Bowers & Wilkins PX7S2 (260 €) et le Sennheiser Momentum 4 (219 €). Reste ensuite le haut du panier, avec l’Apple AirPods Max (579 €) malgré sa maigre mise à jour récente, le Focal Bathys (799 €) ou encore le Mark Levinson 5909 (899 €). Une petite folie ? Comme pour les écouteurs, Bang & Olufsen se targue d’avoir le plus gros ticket, avec le Beoplay H95 à... 999 €.

Se payer une bonne barre... de son

Pour ce qui est de sonoriser correctement le téléviseur du salon, les choses commencent tranquillement avec l’incontournable Sonos Beam (369 €) : si le constructeur a eu quelques soucis logiciels, ses barres de son restent un excellent choix au pied du sapin pour bien équiper la télé sans trop se ruiner. Ensuite, les choses bougent un peu plus : Sennheiser propose son Ambeo Soundbar mini (449 €), qui vient titiller la Sonos Arc (629 €). Vous avez un téléviseur Sony ? Alors il n’y aura rien de mieux pour l’épauler que la Sony Bravia Theatre Bar 8 (990 €), conçue pour ne faire qu’un avec la série Bravia du constructeur.

La Sennheiser Ambeo mini. Lynx non inclus. Image Sennheiser.

Passé la barre des 1 000 €, on retrouve du très solide, avec un ensemble Sonos Arc 5.0 Era 300 composé de la barre de son et de deux enceintes arrières pour 1 390 €, ou la très imposante mais au son très très lourd Sennheiser Ambeo Max à 1 890 €. Et comme d’habitude, le prix du plus grand prix est décerné à… Bang & Olufsen, pour la magnifique mais extraordinairement chère petite nouveauté Beosound Theatre, dont les 18 kg vous seront proposés pour la modique somme de... 9 490 € !

Bang & Olufsen ne se trompe pas de cible pour ses clients, avec une édition Ferrari de sa Beosound Theatre. Image Bang & Olufsen.

De tout, pour toutes les bourses

Au bout du compte, quel que soit l’équipement sonore que vous cherchez, l’époque est la bonne : jamais le choix n’a été aussi pléthorique dans le domaine, même si ce sont souvent les mêmes marques que l’on retrouve au fil du temps. La plupart se sont fait un nom dans le domaine, pour certaines depuis quasiment un siècle, et méritent leur réputation. Et à part quelques cas spécifiques, notamment danois, il y en a vraiment pour toutes les bourses, de quoi aider le sapin à être un peu plus garni.

Apple TV+, c’est bientôt la F1

Il est des films qui paraissent maudits... et généralement, ceux sur la F1 font partie de la liste. Si on ne lui souhaite pas le « succès » de Driven, on ne peut pas dire pour autant que le tournage du film « F1 » financé par Apple ait été un long fleuve tranquille, le COVID ayant entraîné de multiples retards et la reprise de nombreuses scènes pour des raisons de cohérence, les monoplaces ayant changé de design et de sponsors entre les saisons. Heureusement pour l’équipe, comme le rappelle PetaPixel, c’est fini !

Si la plupart des tournages de films tentent par tous les moyens de cacher le tournage des scènes les composant, il a fallu faire un choix concernant celui-ci : soit recréer une grande partie des décors et de l’ambiance en 3D sur fond vert, soit faire participer bon gré mal gré les spectateurs de véritables grand-prix. Des deux possibilités, le réalisateur a choisi la seconde, pour une question de réalisme (on l’en remerciera, tant la 3D a certes évolué, mais n’est pas encore capable de se faire oublier).

Cette volonté donne des situations particulières, dont bien entendu des portions de course recréées avec la participation des véritables voitures de course autour des « vraies-fausses » F1 du film, l’écurie Apex, mais aussi d’autres auxquelles on s’attend moins, comme un véritable podium... utilisé pour remettre les prix d’un GP qui n’existera que sur pellicule. Ainsi, les spectateurs de la dernière course de la saison ont pu assister à une remise de récompenses un peu particulière, avec un Brad Pitt sur la première marche du podium, entouré des véritables George Russell (Mercedes-Petronas F1 Team) et Charles Leclerc (Scuderia Ferrari).

Really enjoyed this moment. surrounded by passion, speed, and an incredible crowd. Felt alive. #F1Vibes #GoodTimes #RacingSpirit #EnjoyTheRide #speedandcenima pic.twitter.com/XFlOCrqsgI

— Brad Pitt (@BradpittHQ) December 10, 2024

Encore plus particulier, quelques spectateurs présents au GP de Las Vegas ont pu assister au tournage d’une scène de post-accident sur le circuit d’origine de la course, durant le week-end de celle-ci, avec un Brad Pitt sortant groggy de sa F1 artificiellement détruite pour l’occasion !

BRAD PITT FAINTED AT VEGAS F1?!

Racegoers freaked out when Brad Pitt “collapsed” on the Las Vegas Grand Prix track.

Plot twist: it’s not a medical emergency—it’s Hollywood BS.

The 60-year-old star was filming his F1 movie, playing fictional driver Sonny Hayes, and nailed… pic.twitter.com/4fGbqmoqP0

— Mario Nawfal (@MarioNawfal) November 23, 2024

Bien que toutes ces images pourraient spoiler une partie du film, Eddy Cue (qui bien entendu, en tant que ponte d’Apple mais aussi de Ferrari, et fan de sport auto, suit de très près le projet) tient à rassurer, et se rassurer par la même occasion :

Si vous êtes sur le tournage d’un film, et que vous en voyez un bout, vous n’avez pourtant aucune idée de ce qui se passe. Ce n’est pas comme si on tournait dans l’ordre de visionnage, vous voyez ? J’ai vu moi aussi ces vidéos sur YouTube de la séquence où Brad s’évanouit à Las Vegas ou d’autres moments, mais vous n’avez aucune idée du contexte, et de ce qui se passe avant ou après. Je pense au final que ça aide le film plus qu’autre chose.

Pour Jerry Bruckeimer (producteur bien connu pour plusieurs films d’action mêlant l’automobile ou l’aviation, comme Top Gun et sa suite Maverick, Gone in sixty seconds, ou encore Days of Thunder), ce n’est pas un souci non plus :

Nous avions les équipes de sécurité, nous avions tout ce dont nous avions besoin. Et les fans ont été extraordinaires, vraiment. Ils nous ont adoptés. Ils ont été incroyables avec Brad et le film en lui-même, tout ce qu’ils ont tweeté à propos du film a été vraiment bon. Ils réalisent l’impact qu’un film peut avoir sur ce sport.

Alors que des inquiétudes ont pu naître chez les fans du sport auto le plus regardé au monde, certains indices peuvent rassurer, notamment le fait que le septuple champion du monde Lewis Hamilton (récemment encore chez Mercedes-Petronas F1 Team, à partir de l’année prochaine à la Scuderia Ferrari) fait partie des conseillers du film et y a apporté toutes ses connaissances.

Reste à voir ce que donnera ce long métrage, attendu courant 2025 dans les salles IMAX, et un peu plus tard sur les plateformes de diffusion habituelles. Souhaitons-lui autant de succès que Grand-Prix, ou plus récemment Rush, seuls films ayant réussi à traiter de ce sport mécanique.

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