À Lyon, une fresque sauvage anti-RN et anti-police projetée à la Fête des Lumières
© @EliottD5 via X
© @EliottD5 via X

© LUDOVIC MARIN / AFP

© Karine BIZARD / @Karine Bizard-CGLPL
Avant de devenir le visage incontournable d’Alex Hugo, personnage qu’il campe depuis maintenant 11 ans sur les antennes de France 2 puis France 3, Samuel Le Bihan a connu, comme tous les comédiens, la délicate étape des premiers pas. Et si aujourd’hui il parle d’Alex Hugo comme d’un “cadeau&
Article original publié sur AlloCiné
En 2021, Nick Robinson marquait les esprits dans Maid, succès surprise et l'une des séries les plus regardées de Netflix cette année-là. Il y incarnait Sean, le compagnon violent et alcoolique de Margaret Qualley, dans une performance glaçante qui démontrait toute l'étendue de son talent.
"C…
Article original publié sur AlloCiné
Héros mythique de l’Antiquité, Spartacus a été plusieurs fois immortalisé à l’écran. On se souvient bien sûr de Kirk Douglas dans le chef d'œuvre de Stanley Kubrick, mais aussi du regretté Andy Whitfield dans la première saison de la sanglante série créée par Steven S. DeKnight racontant la…
Article original publié sur AlloCiné
Algues, vers marins, éponges, mollusques et bactéries océaniques regorgent de molécules aux propriétés thérapeutiques insoupçonnées. Ils pourraient enrichir une pharmacopée traditionnelle qui s’essouffle.
Alix est sans pitié face au danger que court Lucas dans la suite de la série Un si grand soleil. La responsable de la galerie d'art va donc tout tenter pour le sauver dans le courant du mois de décembre 2025 sur France 3.
Le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orban a annoncé l'envoi d'une délégation d'hommes d'affaires en Russie dans les prochains jours, pour préparer l'après-guerre en Ukraine, samedi lors d'un meeting à quelques mois des élections législatives dans son pays. Cette mission se concentrera sur des coopérations économiques et s'inscrit dans la volonté de "penser dès maintenant au monde d’après-guerre et d'après les sanctions", a-t-il déclaré devant un millier de personnes réunies dans une salle de sport à Kecskemét, dans le centre de la Hongrie.
Viktor Orban, rare dirigeant européen proche à la fois du président américain Donald Trump et du président russe Vladimir Poutine, a affirmé discuter à la fois avec les Américains et les Russes, "même si je ne peux pas révéler tous les détails", a-t-il dit. "Il faut anticiper, car si Dieu nous aide et que la guerre se termine sans que nous y soyons entraînés, et si le président américain réussit à réintégrer la Russie dans l’économie mondiale, que les sanctions sont démantelées, nous nous retrouverons dans un tout autre espace économique", a-t-il encore déclaré.
Selon les médias hongrois, la compagnie pétrolière et gazière hongroise MOL envisage d'acquérir des raffineries et des stations-service en Europe, détenues par les groupes russes Lukoil et Gazprom soumis à des sanctions américaines ainsi que des participations dans des sites de production au Kazakhstan et en Azerbaïdjan — des sujets qui auraient été évoqués lors de la rencontre entre Viktor Orban et Donald Trump début novembre à Washington.
Fin novembre, Viktor Orbán s'est rendu à Moscou où il a promis à Vladimir Poutine de poursuivre les importations d'hydrocarbures russes dont la Hongrie continue de dépendre, défiant une nouvelle fois l'Union européenne sur le sujet.
Le dirigeant hongrois n'a en effet pas cherché à diversifier réellement les importations de son pays depuis le déclenchement de l'offensive russe en Ukraine en février 2022, contrairement à nombre de ses voisins européens.
Il a annoncé en novembre avoir saisi la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) pour s'opposer à la décision par la majorité des États membres d'approuver en octobre le principe d'une interdiction, d'ici fin 2027, des importations de gaz naturel russe.

© afp.com/Ludovic MARIN
Samuel Ollivier est aux commandes de Télématin du vendredi au dimanche sur France 2. Le journaliste s'est exprimé sur la concurrence avec son frère à l'antenne.
Pour beaucoup d’amateurs de séries, évoquer Lost suffit à faire remonter tout un flot de souvenirs : une île impossible, des phénomènes inexpliqués et surtout une série de nombres devenue culte. Parmi l’avalanche de mystères disséminés au fil des six saisons, aucun n’a suscité autant…
Article original publié sur AlloCiné
Spécialiste des comédies potaches plus ou moins réussies, Adam Sandler est également un acteur respecté par toute la profession. Ses rares incursions dans le registre plus dramatique ont mis en lumière ce talent exceptionnel, à commencer par Punch-Drunk Love de Paul Thomas Anderson.
Article original publié sur AlloCiné
Qui aurait cru voir le nom de Seth Rogen, le roi actuel de la comédie américaine, être un jour associé à celui de Kim Jong-un ? Cela paraît désormais improbable plus de dix ans après les faits, mais l’acteur et réalisateur canadien s’est retrouvé malgré lui au cœur d’une tempête…
Article original publié sur AlloCiné
Tout sourire, chemise hawaïenne et lunettes de soleil aviateur, Huang Chu-jung se présente sur sa page Facebook comme un grand-père taïwanais inoffensif. Cette photo, datant de novembre 2024, est la dernière publiée sur son compte. Quelques mois plus tard, en février 2025, l’homme est arrêté, soupçonné d’être à la tête d’un cercle d’espionnage pour le compte de la Chine. L’affaire a fait l’effet d’une bombe à Taïwan : cet ancien assistant d’un conseiller municipal avait en effet infiltré le cœur du pouvoir, recrutant trois informateurs au sein du DPP, le parti honni de Pékin pour ses racines indépendantistes, et qui dirige l’île depuis 2016.
C’est un an après ce changement de cap politique, que Huang semble entrer en action. Certains médias taïwanais rapportent qu’il aurait été approché dès 2003 par les services secrets chinois - c’était alors un homme d’affaires -, lors d’un de ses fréquents voyages sur le continent. Il recrute un conseiller auprès du Bureau présidentiel et un assistant de Joseph Wu, ministre des Affaires étrangères de 2018 à 2024. Ho Ren-chieh, qui a travaillé en étroite collaboration avec le chef de la diplomatie taïwanaise pendant tout son mandat, a ainsi pu transmettre des fichiers confidentiels, telles que des conversations avec des dignitaires étrangers, via une application de jeu sur téléphone, cryptée par les services secrets chinois.
Contacté par L’Express, le ministère des Affaires étrangères se dit "consterné", ces fuites pouvant "porter préjudice aux résultats diplomatiques accumulés pendant de nombreuses années". Même si ce cas de vol d’informations n’a pas encore eu de conséquences trop graves sur la sécurité nationale, il révèle les failles du système de contrôle du personnel au sein des institutions les plus sensibles.
Pour avoir recruté des espions et partagé des informations secrètes, Huang, le "gentil grand-père", aurait touché au moins 6 millions de dollars taïwanais (165 670 euros) pour l’ensemble de ses opérations, même s’il est difficile de retracer précisément les transferts d’argent.

Sa première recrue, Chiu Shih-yuan, occupait alors un poste de directeur adjoint de l’Académie pour la démocratie, un institut fondé par le DPP pour former ses membres politiques (il semble désormais inactif). Sur les réseaux sociaux, l'homme affiche une vie de faste, incompatible avec un salaire de militant du DPP, qui attire les soupçons. Sur une photo publiée en 2023, sa femme montre fièrement un sac d’emballage Hermès devant la boutique de luxe, à Munich, avec cette légende : "Sortons le portefeuille !".
Assistants de députés ou de ministres, haut gradés dans l’armée, soldats, directeurs de temples religieux, mafieux, influenceurs ou encore entrepreneurs : les services secrets chinois, tels une hydre invisible, se glissent dans toutes les strates de la société. Non seulement pour récolter de précieuses informations, mais aussi pour fragiliser la cohésion de la population taïwanaise face à la Chine, qui considère l’île comme l'une de ses provinces et juge l'unification "inévitable". En mars, le président taïwanais Lai Ching-te a tiré la sonnette d'alarme dans un discours : 64 personnes ont été poursuivies en 2024 pour espionnage au profit de la Chine, un chiffre trois fois plus élevé qu’en 2021. Au total, le nombre de personnes infiltrées pourrait dépasser les 5 000, selon Liu Te-liang, ex-directeur des renseignements militaires de Taïwan, que L’Express a pu rencontrer.
Casquette vissée sur la tête et vêtu d’un sweat-shirt, le sexagénaire parle discrètement et scrute de temps à autre les clients, dans un café de Taipei. A la retraite depuis 2018, il se sent toujours comme un homme traqué : "Après mon départ, je savais que les services de renseignement chinois, et notamment leur unité militaire, ne me laisseraient pas tranquille. C’est pourquoi j’ai fait profil bas pendant sept ans", confie-t-il. A peine huit mois après avoir quitté ses fonctions, une lettre manuscrite lui parvient, en provenance d’une mystérieuse entreprise de gaz chinoise, avec cette annonce : "La société Gitech Energy Technology Co. Ltd. basée au Sichuan recherche un partenaire à Taïwan". "Dès que j’ai vu l’enveloppe, j’ai su qu’ils me cherchaient. Leur objectif était clair : me signaler qu’ils savaient où je me trouvais et me pousser à collaborer", poursuit notre témoin.
Comme nombre d’anciens militaires, il est une cible de choix pour les espions chinois. D’après le Bureau de la sécurité nationale, sur les 64 personnes inculpées pour espionnage l’an dernier, 43 sont des militaires actifs ou retraités. Pourtant, le règlement est strict : pendant dix ans après leur départ, il leur est interdit de se rendre en Chine, à Macao ou à Hongkong. Liu Te-liang s’est lui-même fixé une règle : ne pas quitter le pays quoiqu’il arrive.
Rares sont les agents secrets chinois à poser le pied sur l’île. Exception notable : en 2015, les Taïwanais ont réussi à intercepter sur leur sol Zhen Xiaojiang, un ancien capitaine de l’Armée populaire de libération qui avait recruté des haut gradés de l’armée et transmis des informations militaires classifiées. Depuis, "toutes les personnes arrêtées sont des Taïwanais, jamais des Chinois", remarque Nieh Jui-i, avocat à Taipei et chargé de la défense des militaires soupçonnés d’espionnage. "Le PCC est intelligent : lorsqu’il recrute un intermédiaire pour aller corrompre des militaires, les responsables eux-mêmes n’entrent quasiment jamais à Taïwan. Ils opèrent depuis Hongkong, Macao ou le Japon", abonde Wang Cheng-hao, procureur du Parquet de Taïwan.
Ce sont les "intermédiaires" taïwanais - souvent des militaires à la retraite, donc - qui se chargent de sélectionner et approcher les profils jugés intéressants. "Il existe deux catégories de recruteurs : la première, ce sont ceux animés par une idéologie. Ils adhèrent aux idées de la Chine et souhaitent l’unification. La deuxième, ce sont des individus dont la position sur Pékin est floue, et qui sont avant tout motivés par l’argent", résume Lin Ta, autre procureur du Parquet.
Environ 70 à 80 % des militaires agiraient pour des motifs financiers, selon l’avocat Nieh Jui-i. De fait, les militaires endettés sont des profils particulièrement recherchés par les Chinois, qui leur proposent des missions en apparence sans danger. Ainsi, les vols de renseignement ne relèvent pas toujours de secrets d’Etat : "Dans une affaire, il s’agissait d’un tableau de service décrivant les horaires des tours de garde de nuit [sur un site sensible]. En soi, cela n’a pas de véritable valeur stratégique mais ils l’achètent tout de même" confie le procureur Lin Ta. En 2023, parmi les cas d’espionnage dans l’armée, les accusés ont pu toucher des sommes allant de 15 000 à 460 000 euros.
Derrière ce type d’opérations, se dissimule cependant une stratégie bien huilée : "Ils vous appâtent d’abord avec un leurre, puis, une fois que vous mordez à l’hameçon, la mécanique s’enclenche, petit à petit" poursuit le magistrat. Pris dans un engrenage, l’espion doit alors dérober toujours plus de renseignements. Les services chinois n’hésitent pas à faire peur pour pousser une recrue à aller plus loin. "Je me souviens d’une affaire où un soldat avait fourni des documents bons pour la poubelle. Un jour, ils lui ont donné rendez-vous en Chine : ils l’ont enfermé dans un terrain de basket et l’ont assis au milieu seul pendant plusieurs heures", relate le procureur. Isolé hors de son pays, l’espion craint alors d’être condamné par la justice chinoise, ou dénoncé à ses supérieurs.
Au-delà des risques pour la sécurité nationale, ces opérations d’espionnage relèvent surtout de la guerre psychologique. "Les documents ne sont pas toujours utiles en eux-mêmes, mais les fuites peuvent montrer à quel point l’armée est perméable", analyse l’avocat Nieh Jui-i. Sur une photo datée de 2020, un colonel de l’armée taïwanaise en uniforme brandit une pancarte prouvant sa défection : "En cas de guerre entre les deux rives du détroit, je ferai de mon mieux dans mon travail pour servir la patrie et accomplir la glorieuse réunification pacifique", peut-on lire en caractères chinois. La photo a d’autant plus choqué que le colonel était en poste à Kinmen, un territoire taïwanais situé à seulement 3 kilomètres de la Chine et subissant régulièrement le harcèlement des garde-côtes et des drones chinois. Dans le même ordre d’idée, des officiers ont été payés en 2023 pour se filmer en train d’affirmer leur soumission à l’Armée populaire de Chine.
De tels messages contribuent à casser la confiance déjà fragile des Taïwanais envers leur propre armée : seule la moitié des habitants estiment que l’armée a les compétences nécessaires pour protéger le pays, selon un rapport publié l’an dernier par l’'Institut national de recherche sur la défense et la sécurité de Taïwan. Mis en cause, le ministère de la Défense soutient que son programme d’éducation dans les casernes pour lutter contre les infiltrations donne des résultats.
Les quatre espions arrêtés au sein du DPP cette année, longtemps restés sous les radars, posent en revanche la question de la sensibilisation à ce sujet dans la classe politique. Huang Chu-jung et Chiu Shih-yuan ont notamment pu sans difficultés rencontrer les services chinois en Thaïlande et à Macao. "Aujourd’hui, au sein du DPP, on doit signaler nos déplacements, mais cela ne concerne pas les assistants. Comme ils ne sont pas membres du parti, tout dépend des règles que chaque député impose à son propre bureau. Dans le nôtre, on interdit à tout le monde d’aller en Chine, mais dans d’autres, les assistants peuvent tout à fait s’y rendre" commente Puma Shen, député du DPP et spécialiste des techniques d’infiltration chinoises. De fait, les assistants échappent à la surveillance du parti. "Celui-ci n’intervient pour enquêter qu’après un incident : s’il y a une dénonciation, une accusation de corruption ou d’infraction", déplore notre ancien directeur des renseignements militaires, pour qui le DPP devrait se doter de son propre service de renseignements, à l’instar de l’armée.
Étonnamment, nombre de cas d’espionnage échappent à des poursuites ou à des peines conséquentes. Même lorsque les accusés enfreignent la loi sur la sécurité nationale, la justice se montre parfois clémente : en 2024, deux officiers retraités de l’armée de l’air, pourtant de connivence avec un espion chinois, ont été condamnés chacun à seulement deux ans et seize mois de prison. Et Huang Chu-jung, le recruteur d’espions au sein du DPP, n’a écopé fin septembre que de dix ans de réclusion.
"Dans l’armée américaine, tout le monde sait que si vous êtes arrêté pour espionnage, c’est pratiquement la fin de votre vie. Vous allez en prison pour au moins vingt ou vingt-cinq ans, voire à perpétuité", commente John Dotson, ancien officier du renseignement naval et directeur de Global Taiwan Institute, basé à Washington DC. Toutefois, au moment où la menace chinoise ne cesse de grandir (comme en témoignent les exercices militaires chinois devenus presque routiniers dans le détroit), les procureurs affirment se montrer désormais moins tolérants à l’égard des affaires d’espionnage.
Encore faudrait-il que la justice dispose des outils adéquats. A ce titre, l’affaire "Wang Ping-chung" a laissé un mauvais souvenir. Membre du parti pro-unification "xindang", cet homme et quatre autres personnes ont été accusés en 2018 de développer des organisations d’espionnage pour le compte de la Chine. Toutefois, faute de preuve suffisante, les hommes ont été acquittés. "Le tribunal a tranché : tant qu’ils n’ont pas posé cette question précise à leurs contacts : 'Acceptez-vous de travailler pour le Parti communiste chinois ?' alors il n’y a pas infraction", regrette le procureur Wang Cheng-hao, qui a porté l’affaire devant la Cour suprême taïwanaise, sans succès.
Pour lui, ce dossier pose la question "de la frontière entre les libertés fondamentales et la protection de la sécurité nationale dans un régime démocratique". Le sujet du renforcement de la surveillance est particulièrement sensible pour la jeune démocratie encore marquée par son passé dictatorial. "Nous ne voulons pas devenir un autre Hongkong, où la loi sur la sécurité nationale de la République populaire de Chine a paralysé la société civile. Mais d’autre part, nous sommes conscients d’être confrontés à une menace grave", observe Su Yen-tu, professeur de droit à l’Academia Sinica, à Taipei. Si elle ne veut pas devenir un paradis pour espions chinois, l’île n’a cependant pas d’autre choix que d’en finir avec l’angélisme.

© Anadolu via AFP
"Rafraichissant", "une agréable surprise".... Les critiques spectateurs de la meilleure comédie française de l'année 2025 sont très enthousiastes.
Avec une note spectateurs moyenne de 3,7 étoiles sur 5 pour 2 344 notes et 377 critiques, Avignon est la comédie qui est la comédie française…
Article original publié sur AlloCiné
Alors que la fin se rapproche peu à peu, Liam emménage chez Steffy et Finn pour ne pas être seul. Nostalgique, il repense aux bons moments de sa vie et veut passer du temps avec sa fille Beth dans les épisodes inédits de Top Models à suivre entre le 8 et le 26 décembre 2025 sur RTL9.
Difficile à imaginer aujourd’hui, mais Ben Stiller, bien avant de devenir l’une des références de la comédie américaine, a failli incarner Marty McFly dans Retour vers le futur. À l’époque, il n’avait même pas 20 ans et n’avait quasiment aucune expérience devant une caméra. Pourtant,…
Article original publié sur AlloCiné
En 1999, John McTiernan, grand monsieur du cinéma d'action à qui l'on doit notamment les classiques Piège de cristal et Une journée en enfer, rentre les muscles et dévoile l'élégant film de braquage Thomas Crown, emmené par Pierce Brosnan et Rene Russo. Un remake tellement réussi de L'A…
Article original publié sur AlloCiné
Figure médiatique majeure dès ses débuts, Brigitte Bardot a longtemps cristallisé fantasmes, polémiques et passions, suscitant une multitude de documentaires. Avec Bardot, Elora Thevenet et Alain Berliner signent le premier film qui lui donne pleinement la parole, alors qu’elle approche de…
Article original publié sur AlloCiné



La biotech ARMR Sciences s'apprête à lancer début 2026 les premiers essais sur l'homme de son vaccin préventif contre le fentanyl. Conçu pour neutraliser l'opioïde avant qu'il n'atteigne le cerveau, ce projet vise à offrir une protection durable contre les overdoses, marquant un tournant potentiel de la réaction à la prévention dans la lutte contre la crise sanitaire qui frappe les États-Unis.



Retrouvez un résumé du meilleur de l’actu tech tous les matins sur WhatsApp, c’est notre nouveau canal de discussion Frandroid que vous pouvez rejoindre dès maintenant !