↩ Accueil

Vue lecture

Amazon prête James Bond à Netflix, la guerre du streaming est terminée

James Bond Daniel Craig

Dès le 15 janvier, plusieurs films de la saga James Bond, dont les récents avec Daniel Craig, seront disponibles sur Netflix. Cet accord inattendu entre Amazon et son concurrent direct marque un tournant stratégique majeur : l'exclusivité cède la place à la monétisation des catalogues, redessinant les règles du jeu dans l'univers du streaming.

  •  

La Libye orientale, sanctuaire des paramilitaires anti-Khartoum

« Guerre au Soudan, l’onde de choc régionale » (3/8). Sous pression émiratie, le maréchal Khalifa Haftar, homme fort de l’Est libyen, a laissé son territoire servir de base d’appui aux Forces de soutien rapide du général soudanais « Hemetti », au risque de tendre ses relations avec l’Egypte et l’Arabie saoudite.

© ESAM OMRAN AL-FETORI / REUTERS

Le maréchal libyen Khalifa Haftar, lors de la fête de l’indépendance à Benghazi, en Libye, le 24 décembre 2020.
  •  

La justice française ordonne le blocage du site choc WatchPeopleDie

Youtube blocage

Le tribunal judiciaire de Paris a ordonné aux principaux fournisseurs d'accès Internet français de bloquer le site américain WatchPeopleDie. Cette décision radicale, qui doit être appliquée sous quinze jours, répond à la diffusion de contenus d'une extrême violence, jugés attentatoires à la dignité humaine et accessibles sans contrôle efficace aux mineurs. L'action a été initiée par l'Arcom.

  •  

7 bonnes raisons de s’offrir un VPN

Les VPN sont quasiment tout le temps en promotion, mais c’est à cette période de l’année que les tarifs deviennent véritablement indécents. Si les technophiles sont déjà équipés depuis belle lurette, d’autres hésitent encore à franchir le pas. Voici pourquoi vous devriez (enfin) sauter le pas.

Pour surfer enfin en toute sécurité

L’argument de la sécurité sur les Wi-Fi publics commence à dater, même s'il reste une base d'hygiène numérique indispensable. Mais l’intérêt d’une suite comme celle de Surfshark, c’est d'aborder la question dans sa globalité.

Plutôt que de se contenter d’un simple tunnel chiffré, l'éditeur propose une solution complète : un antivirus pour bloquer les logiciels malveillants, des outils de lutte contre le phishing ainsi que la fonction Alternative ID. Cette dernière permet de protéger votre identité en créant des alias, évitant ainsi que votre boîte mail principale ne finisse noyée sous le spam. Là où certains ne vendent qu'une brique technique, d'autres proposent désormais un véritable bouclier numérique.

Pour un Web (enfin) plus respirable

Sur certains points, on serait tenté de dire que l’Internet, c’était mieux avant. Aujourd'hui, le web est devenu une foire d’empoigne où les traqueurs vous suivent à la trace et où la publicité est devenue, n'ayons pas peur des mots, omniprésente.

Pour reprendre un peu le contrôle, la fonction de blocage intégrée au VPN est un allié redoutable. Ici, le travail de filtrage n’est pas effectué par votre machine, mais directement par les serveurs de Surfshark. Les avantages sont immédiats : vous économisez de la bande passante (un vrai plus en mobilité), vos pages s’affichent bien plus vite et, surtout, la protection s'étend à tous vos appareils, pas seulement à votre navigateur. C’est la fin des bannières intrusives, même au sein de vos applications mobiles.

Faire sauter les barrières virtuelles

Internet a été pensé comme une fenêtre ouverte sur le monde, une utopie sans frontières. Malheureusement, entre les querelles de droits et le maquis des réglementations, cette fenêtre ressemble chaque jour un peu plus à une porte close.

C’est le quotidien : cette vidéo YouTube indisponible, ce site US qui vous bloque à cause du RGPD, ou ces fonctions d'IA qui restent bloquées à la frontière européenne. Pour ne plus regarder le web par le petit bout de la lorgnette, enfilez votre cape d’invisibilité : avec Surfshark, vous vous « télétransportez » virtuellement dans plus de 100 pays en un clic.

Protéger ses données... et son portefeuille

S'offrir un VPN coûte souvent moins cher qu'un café en terrasse, mais c'est un investissement qui se rentabilise vite. L'outil permet de déjouer le « dynamic pricing », ces algorithmes qui gonflent les prix selon votre localisation ou le prestige de votre appareil.

L'exemple des locations de voiture est flagrant : les loueurs ajustent souvent leurs tarifs à la hausse si vous réservez depuis une grande capitale. En déplaçant votre curseur, les prix retrouvent leur sens commun. Même logique pour les services numériques (YouTube, Canva, streaming) dont les tarifs font le grand écart d'un continent à l'autre. L’abonnement « plein pot » n’est plus une fatalité.

Le peering, ce frein invisible

Il y a aussi la question, agaçante, du peering. Vous avez la fibre, un Mac de compétition, et pourtant, cette vidéo YouTube s’obstine à mouliner ou la mise à jour de macOS semble peser trois tonnes.

La faute à des accords d’interconnexion grippés entre votre opérateur et les serveurs de Google ou d’Apple. En chiffrant votre trafic, le VPN rend votre activité illisible pour votre FAI. Il ne sait plus si vous téléchargez un fichier système à Cupertino ou si vous regardez un stream. Résultat : vous contournez les bridages arbitraires et retrouvez enfin le débit pour lequel vous payez chaque mois.

Pour ceux qui veulent tester les nouveautés en premier

C’est le péché mignon de tout technophile qui se respecte : vouloir tester la nouveauté avant tout le monde. On ne compte plus les services, les plateformes de cloud-gaming ou les applications qui sortent d'abord aux États-Unis ou au Japon, laissant l'Europe sur le banc de touche pendant des mois.

Le VPN devient alors votre passeport pour ne plus subir le bon vouloir des déploiements progressifs. Que ce soit pour créer un compte sur un nouveau réseau social en vogue ou pour essayer des fonctions logicielles encore limitées géographiquement, vous n'avez plus besoin d'attendre qu'un obscur comité de validation daigne ouvrir les vannes pour le Vieux Continent. On change de pays en un clic, et le web s'aligne enfin sur votre curiosité.

Emporter sa télévision dans sa valise

Ceux qui voyagent souvent connaissent bien cette frustration. Vous payez vos impôts et votre redevance (ou vos abonnements premium) en France, mais dès que vous franchissez la frontière, vos services de Replay ou vos applications de streaming préférées vous claquent la porte au nez.

« Ce contenu n'est pas disponible dans votre région » : voilà le message qui vient gâcher votre soirée à l'hôtel. En utilisant Surfshark, vous « rentrez à la maison » virtuellement. Vous retrouvez votre JT de 20h, vos compétitions sportives sur les chaînes nationales ou votre catalogue Netflix habituel, exactement comme si vous étiez dans votre canapé. C’est le confort de la maison, partout dans le monde.

Prendre un VPN, oui mais lequel ?

Si l’offre est pléthorique, Surfshark a su se tailler une place de choix, notamment chez les utilisateurs Apple. Pourquoi lui plutôt qu’un autre ? D’abord pour son intégration exemplaire : l’application est disponible sur tous les terminaux d’Apple, y compris l’Apple TV. Depuis que tvOS 17 a ouvert les vannes, l’éditeur y propose une application native d'une simplicité désarmante pour débloquer les catalogues de streaming directement sur le téléviseur du salon, sans passer par des réglages réseau abscons.

L’autre point fort, c’est son pragmatisme. Là où la concurrence s’amuse à compter le nombre de vos appareils, Surfshark l’ignore superbement. Vous pouvez installer le service sur un nombre illimité d’appareils : du Mac Studio de compétition au vieil iPad qui traîne dans la cuisine, sans oublier l’iPhone de chaque membre de la famille. Un seul compte pour tout le foyer, sans aucune restriction de connexions simultanées.

Et bonne nouvelle : pour les fêtes de fin d’année, Surfshark fait fondre ses tarifs. L’abonnement Surfshark One tombe à 61,83 € HT (74,2 € TTC), avec trois mois offerts en prime. De quoi surfer l’esprit tranquille jusqu’en mars 2028 pour seulement 2,74 € par mois !.

  •  

GeForce Now : la fin du jeu illimité pour tous les abonnés payants

GeForce Now 02

Nvidia étend sa limite de 100 heures de jeu par mois à tous les abonnés payants de son service de cloud gaming, GeForce Now. Cette mesure, déjà en place pour les nouveaux inscrits, va forcer les joueurs les plus assidus à acheter des blocs de temps supplémentaires, faisant grimper la facture et remettant en question la rentabilité du service face à l'achat d'un PC ou d'une console.

  •  

Flambée de la mémoire : les SSD Studio Drive bientôt touchés par une hausse de prix

En raison de la flambée des prix des mémoires NAND causée par le secteur de l'IA, les Studio Drive vont bientôt voir leurs tarifs augmenter. La boutique française Polysoft prévient sur son site qu’elle appliquera « la plus faible augmentation de prix possible (inférieure à 10 %) » quand elle rouvrira les commandes d’ici la fin décembre.

Tarifs actuels des Studio Drive

Les Studio Drive sont des SSD tiers qui permettent d’étendre la capacité de stockage d’un Mac Studio à un coût largement inférieur à ce que demande Apple. Par exemple, le Studio Drive M4 (pour Mac Studio M4) de 4 To est vendu 769 € et celui de 8 To 1 079 €, quand ces capacités sont facturées respectivement 1 500 € et 3 000 € sur l’Apple Store.

Les performances sont équivalentes à celles des barrettes Apple puisqu’il s’agit de la même mémoire flash et le fonctionnement est parfaitement transparent. Un second Mac est obligatoire pour effectuer le changement de SSD. Vous trouverez davantage de détails dans notre test de ce composant conçu par le spécialiste Gilles Aurejac :

Studio Drive : comment j’ai remplacé le SSD de mon Mac Studio au nez et à la barbe d’Apple

Studio Drive : comment j’ai remplacé le SSD de mon Mac Studio au nez et à la barbe d’Apple

Quel pourrait être l

Quel pourrait être l'impact de la RAMpocalypse sur Apple ?

  •  

Vince Zampella, figure emblématique du monde du jeux-vidéo et cocréateur de Call of Duty est décédé à l’âge de 55 ans

✇JV
Par :Turpdat

L’industrie du jeu vidéo est en deuil après l’annonce du décès de Vince Zampella, figure majeure du secteur et l’un des acteurs les plus influents des vingt-cinq dernières années.

Directeur de Respawn Entertainment et superviseur de la franchise Battlefield, Vince Zampella est décédé dans un accident de voiture à Los Angeles. Electronic Arts a rapidement réagi par le biais d’un communiqué officiel, qualifiant cette perte d’inimaginable et soulignant l’impact considérable qu’il a eu sur l’industrie. L’éditeur a adressé ses pensées à sa famille, à ses amis et à tous ceux qui ont été marqués par son travail.

This is an unimaginable loss, and our hearts are with Vince’s family, his loved ones, and all those touched by his work. Vince’s influence on the video game industry was profound and far-reaching. A friend, colleague, leader and visionary creator, his work helped shape modern… https://t.co/af2C4bvsmE

— Electronic Arts (@EA) December 22, 2025

Vince Zampella a commencé sa carrière dans les années 1990 en tant que graphiste, travaillant notamment pour Atari et Sega. C’est cependant au début des années 2000 que son nom s’impose durablement, lorsqu’il cofonde Infinity Ward et cocréé les premiers Call of Duty, une franchise devenue emblématique et l’une des plus lucratives de l’histoire du jeu vidéo. Il dirigera Infinity Ward jusqu’à la sortie de Call of Duty: Modern Warfare 2 en 2009 puis quittera Activision pour fonder Respawn Entertainment. Il produira alors Titanfall et Titanfall 2, Apex Legends et Star Wars Jedi: Fallen Order.

Racheté par Electronic Arts en 2017, Vince Zampella sera nommé à la tête de DICE Los Angeles, puis devient en 2021 le superviseur de la franchise Battlefield, après l’accueil difficile de Battlefield 2042, Battlefield 6 a quant à lui connu un lancement historique.

Vince Zampella restera comme l’une des figures majeures du FPS moderne. Toutes nos pensées vont à ses proches.

Cet article Vince Zampella, figure emblématique du monde du jeux-vidéo et cocréateur de Call of Duty est décédé à l’âge de 55 ans est apparu en premier sur JVFrance.

  •  

Ne dites plus juste "OLED" : pourquoi LG change tout avant le CES 2026

À l'approche du CES 2026, LG Display rebaptise l’ensemble de ses dalles OLED afin de mieux distinguer ses différentes gammes. Le géant coréen en profite pour présenter la nouvelle génération de sa technologie Primary RGB Tandem, déjà employée sur des modèles haut de gamme comme le LG G5.

  •  

7 bonnes raisons de s’offrir un VPN

Les VPN sont quasiment tout le temps en promotion, mais c’est à cette période de l’année que les tarifs deviennent véritablement indécents. Si les technophiles sont déjà équipés depuis belle lurette, d’autres hésitent encore à franchir le pas. Voici pourquoi vous devriez (enfin) sauter le pas.

Pour surfer enfin en toute sécurité

L’argument de la sécurité sur les Wi-Fi publics commence à dater, même s'il reste une base d'hygiène numérique indispensable. Mais l’intérêt d’une suite comme celle de Surfshark, c’est d'aborder la question dans sa globalité.

Plutôt que de se contenter d’un simple tunnel chiffré, l'éditeur propose une solution complète : un antivirus pour bloquer les logiciels malveillants, des outils de lutte contre le phishing ainsi que la fonction Alternative ID. Cette dernière permet de protéger votre identité en créant des alias, évitant ainsi que votre boîte mail principale ne finisse noyée sous le spam. Là où certains ne vendent qu'une brique technique, d'autres proposent désormais un véritable bouclier numérique.

Pour un Web (enfin) plus respirable

Sur certains points, on serait tenté de dire que l’Internet, c’était mieux avant. Aujourd'hui, le web est devenu une foire d’empoigne où les traqueurs vous suivent à la trace et où la publicité est devenue, n'ayons pas peur des mots, omniprésente.

Pour reprendre un peu le contrôle, la fonction de blocage intégrée au VPN est un allié redoutable. Ici, le travail de filtrage n’est pas effectué par votre machine, mais directement par les serveurs de Surfshark. Les avantages sont immédiats : vous économisez de la bande passante (un vrai plus en mobilité), vos pages s’affichent bien plus vite et, surtout, la protection s'étend à tous vos appareils, pas seulement à votre navigateur. C’est la fin des bannières intrusives, même au sein de vos applications mobiles.

Faire sauter les barrières virtuelles

Internet a été pensé comme une fenêtre ouverte sur le monde, une utopie sans frontières. Malheureusement, entre les querelles de droits et le maquis des réglementations, cette fenêtre ressemble chaque jour un peu plus à une porte close.

C’est le quotidien : cette vidéo YouTube indisponible, ce site US qui vous bloque à cause du RGPD, ou ces fonctions d'IA qui restent bloquées à la frontière européenne. Pour ne plus regarder le web par le petit bout de la lorgnette, enfilez votre cape d’invisibilité : avec Surfshark, vous vous « télétransportez » virtuellement dans plus de 100 pays en un clic.

Protéger ses données... et son portefeuille

S'offrir un VPN coûte souvent moins cher qu'un café en terrasse, mais c'est un investissement qui se rentabilise vite. L'outil permet de déjouer le « dynamic pricing », ces algorithmes qui gonflent les prix selon votre localisation ou le prestige de votre appareil.

L'exemple des locations de voiture est flagrant : les loueurs ajustent souvent leurs tarifs à la hausse si vous réservez depuis une grande capitale. En déplaçant votre curseur, les prix retrouvent leur sens commun. Même logique pour les services numériques (YouTube, Canva, streaming) dont les tarifs font le grand écart d'un continent à l'autre. L’abonnement « plein pot » n’est plus une fatalité.

Le peering, ce frein invisible

Il y a aussi la question, agaçante, du peering. Vous avez la fibre, un Mac de compétition, et pourtant, cette vidéo YouTube s’obstine à mouliner ou la mise à jour de macOS semble peser trois tonnes.

La faute à des accords d’interconnexion grippés entre votre opérateur et les serveurs de Google ou d’Apple. En chiffrant votre trafic, le VPN rend votre activité illisible pour votre FAI. Il ne sait plus si vous téléchargez un fichier système à Cupertino ou si vous regardez un stream. Résultat : vous contournez les bridages arbitraires et retrouvez enfin le débit pour lequel vous payez chaque mois.

Pour ceux qui veulent tester les nouveautés en premier

C’est le péché mignon de tout technophile qui se respecte : vouloir tester la nouveauté avant tout le monde. On ne compte plus les services, les plateformes de cloud-gaming ou les applications qui sortent d'abord aux États-Unis ou au Japon, laissant l'Europe sur le banc de touche pendant des mois.

Le VPN devient alors votre passeport pour ne plus subir le bon vouloir des déploiements progressifs. Que ce soit pour créer un compte sur un nouveau réseau social en vogue ou pour essayer des fonctions logicielles encore limitées géographiquement, vous n'avez plus besoin d'attendre qu'un obscur comité de validation daigne ouvrir les vannes pour le Vieux Continent. On change de pays en un clic, et le web s'aligne enfin sur votre curiosité.

Emporter sa télévision dans sa valise

Ceux qui voyagent souvent connaissent bien cette frustration. Vous payez vos impôts et votre redevance (ou vos abonnements premium) en France, mais dès que vous franchissez la frontière, vos services de Replay ou vos applications de streaming préférées vous claquent la porte au nez.

« Ce contenu n'est pas disponible dans votre région » : voilà le message qui vient gâcher votre soirée à l'hôtel. En utilisant Surfshark, vous « rentrez à la maison » virtuellement. Vous retrouvez votre JT de 20h, vos compétitions sportives sur les chaînes nationales ou votre catalogue Netflix habituel, exactement comme si vous étiez dans votre canapé. C’est le confort de la maison, partout dans le monde.

Prendre un VPN, oui mais lequel ?

Si l’offre est pléthorique, Surfshark a su se tailler une place de choix, notamment chez les utilisateurs Apple. Pourquoi lui plutôt qu’un autre ? D’abord pour son intégration exemplaire : l’application est disponible sur tous les terminaux d’Apple, y compris l’Apple TV. Depuis que tvOS 17 a ouvert les vannes, l’éditeur y propose une application native d'une simplicité désarmante pour débloquer les catalogues de streaming directement sur le téléviseur du salon, sans passer par des réglages réseau abscons.

L’autre point fort, c’est son pragmatisme. Là où la concurrence s’amuse à compter le nombre de vos appareils, Surfshark l’ignore superbement. Vous pouvez installer le service sur un nombre illimité d’appareils : du Mac Studio de compétition au vieil iPad qui traîne dans la cuisine, sans oublier l’iPhone de chaque membre de la famille. Un seul compte pour tout le foyer, sans aucune restriction de connexions simultanées.

Et bonne nouvelle : pour les fêtes de fin d’année, Surfshark fait fondre ses tarifs. L’abonnement Surfshark One tombe à 61,83 € HT (74,2 € TTC), avec trois mois offerts en prime. De quoi surfer l’esprit tranquille jusqu’en mars 2028 pour seulement 2,74 € par mois !.

  •  

Apple fait appel après son amende en Italie pour la vie privée sur iPhone

Apple annonce son intention de faire appel de l’amende de 98,6 millions infligée hier par l’Italie en rapport avec sa fonctionnalité App Tracking Transparency (ATT) sur iPhone. L’App Tracking Transparency donne le choix aux utilisateurs d’autoriser ou non les applications iOS à les pister pour le suivi publicitaire. Mais selon le régulateur italien, Apple fait de […]

Lire la suite...

Suivez iPhoneAddict.fr sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter

N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)


L’article Apple fait appel après son amende en Italie pour la vie privée sur iPhone est apparu en premier sur iPhoneAddict.fr.

  •