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« Mais qui est ce type ? » : Gwyneth Paltrow ne connaissait pas Josh Safdie avant Marty Supreme

Lire « Mais qui est ce type ? » : Gwyneth Paltrow ne connaissait pas Josh Safdie avant Marty Supreme sur www.cineserie.com

Un retour remarqué au cinéma après une longue absence

Gwyneth Paltrow revient en force sur nos écrans. Dans quelques mois, on pourra la découvrir aux côtés de Timothée Chalamet dans Marty Supreme. Le film réalisé par Josh Safdie fait déjà figure de favori aux prochains Oscars. Alors, toute l’équipe du film est à pied d’œuvre pour faire la promotion.

C’est ainsi qu’on a vu Gwyneth Paltrow dans la célèbre émission de Variety, Actors on Actors. L’actrice Oscarisée en 1999 pour Shakespeare in Love a échangé en tête-à-tête avec Jacob Elordi. L’occasion pour les deux acteurs d’évoquer leur carrière et leur film respectif. C’est là que Gwyneth Paltrow a révélé qu’elle ne connaissait pas Josh Safdie avant de lui ‘oui’ pour Marty Supreme.

Gwyneth Paltrow a accepté « Marty Supreme » après avoir vu ce film

Ⓒ A24

Durant l’entretient, Gwyneth Paltrow a confié à Jacob Elodi qu’elle s’est éloignée du cinéma pendant un temps pour se concentrer sur son entreprise de bien-être et sur sa famille. De ce fait, elle n’était pas au courant des dernières tendances cinéma.

« Pour être tout à fait honnête, je n'étais plus vraiment impliquée dans le monde du cinéma, j'avais fait une sorte de pause », indique-t-elle.

Dès lors, lorsqu’elle a reçu le script écrit par Josh Safdie, Gwyneth Paltrow ne savait pas du tout à quel genre de cinéaste elle avait à faire. « Je n'étais pas vraiment au courant des nouveaux talents », admet-elle avant de raconter que c’est son frère Jake Paltrow, lui-même réalisateur, qui l’a encouragée à accepté. « Quand je lui ai dit que Josh Safdie voulait me rencontrer, il m'a dit : "Tu feras ce film ! Quel qu'il soit, tu le feras." Et moi, je me suis demandée : "Mais qui est ce type ?" »

Devant l’engouement que suscite Josh Safdie auprès des cinéphiles et acteurs de la profession, Gwyneth Paltrow s’est finalement lancée dans la filmographie du jeune cinéaste.

« J'ai vu "Uncut Gems", et je me suis dit : "Waouh !" J'ai trouvé ça tellement audacieux. Il a un style de réalisateur vraiment particulier. Et puis je l'ai rencontré, et il est tout simplement génial, il crée des univers dans sa tête, c'est vraiment le genre d'artiste passionnant. Je me suis dit : ça fait un bail. »

Marty Supreme sortira dans les salles françaises le 18 février 2026.

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« Mais qui est ce type ? » : Gwyneth Paltrow ne connaissait pas Josh Safdie avant Marty Supreme

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Un retour remarqué au cinéma après une longue absence

Gwyneth Paltrow revient en force sur nos écrans. Dans quelques mois, on pourra la découvrir aux côtés de Timothée Chalamet dans Marty Supreme. Le film réalisé par Josh Safdie fait déjà figure de favori aux prochains Oscars. Alors, toute l’équipe du film est à pied d’œuvre pour faire la promotion.

C’est ainsi qu’on a vu Gwyneth Paltrow dans la célèbre émission de Variety, Actors on Actors. L’actrice Oscarisée en 1999 pour Shakespeare in Love a échangé en tête-à-tête avec Jacob Elordi. L’occasion pour les deux acteurs d’évoquer leur carrière et leur film respectif. C’est là que Gwyneth Paltrow a révélé qu’elle ne connaissait pas Josh Safdie avant de lui ‘oui’ pour Marty Supreme.

Gwyneth Paltrow a accepté « Marty Supreme » après avoir vu ce film

Ⓒ A24

Durant l’entretient, Gwyneth Paltrow a confié à Jacob Elodi qu’elle s’est éloignée du cinéma pendant un temps pour se concentrer sur son entreprise de bien-être et sur sa famille. De ce fait, elle n’était pas au courant des dernières tendances cinéma.

« Pour être tout à fait honnête, je n'étais plus vraiment impliquée dans le monde du cinéma, j'avais fait une sorte de pause », indique-t-elle.

Dès lors, lorsqu’elle a reçu le script écrit par Josh Safdie, Gwyneth Paltrow ne savait pas du tout à quel genre de cinéaste elle avait à faire. « Je n'étais pas vraiment au courant des nouveaux talents », admet-elle avant de raconter que c’est son frère Jake Paltrow, lui-même réalisateur, qui l’a encouragée à accepté. « Quand je lui ai dit que Josh Safdie voulait me rencontrer, il m'a dit : "Tu feras ce film ! Quel qu'il soit, tu le feras." Et moi, je me suis demandée : "Mais qui est ce type ?" »

Devant l’engouement que suscite Josh Safdie auprès des cinéphiles et acteurs de la profession, Gwyneth Paltrow s’est finalement lancée dans la filmographie du jeune cinéaste.

« J'ai vu "Uncut Gems", et je me suis dit : "Waouh !" J'ai trouvé ça tellement audacieux. Il a un style de réalisateur vraiment particulier. Et puis je l'ai rencontré, et il est tout simplement génial, il crée des univers dans sa tête, c'est vraiment le genre d'artiste passionnant. Je me suis dit : ça fait un bail. »

Marty Supreme sortira dans les salles françaises le 18 février 2026.

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Après les records, Wicked : Partie 2 chute lourdement au box-office

Lire Après les records, Wicked : Partie 2 chute lourdement au box-office sur www.cineserie.com

Le succès de Broadway qui a cartonné au cinéma

Wicked : Partie 2 est sorti le 19 novembre dernier dans nos salles de cinéma. Le film de Jon M. Chu débarque un an après le succès de Wicked, premier du nom. La programmation du studio Universal Pictures est ainsi plutôt maligne et permet d’éviter un trop long délai entre les deux films. D’autant plus que Wicked a cartonné dans le monde en 2024.

En effet, Wicked a récolté plus de 758 millions de dollars dans monde et 474 millions rien que sur le sol américain. Dès lors, beaucoup étaient optimistes quant au succès de Wicked : Partie 2. Mais contre toute attente, la suite fait grise mine.

« Wicked : Partie 2 » se casse la figure trois semaines après sa sortie

Wicked : partie 2 © Universal Pictures

Pourtant, tout avait (très) bien commencé pour Wicked : Partie 2. La suite des aventures de Glinda et Elphaba a démarré en battant plusieurs records. Dès son premier week-end d’exploitation outre-Atlantique, la Partie 2 a engrangé 147 millions de dollars. C’est mieux que les 112 millions du premier. Avec le cumul à l’international, la suite a atteint les 226 millions de dollars en un week-end !

On pensait donc que Wicked : Partie 2 était bien parti pour casser la baraque. Finalement, on apprend cette semaine que la suite a vu sa fréquentation chuter de 72 % pour son troisième week-end en salles. Le film a connu la pire baisse de fréquentation post-Thanksgiving de l’histoire du box-office américain pour un film sorti sur 4000 écrans. Durant ce fameux troisième week-end, la film n’a récolté que 17 millions de dollars.

Aujourd’hui, le long-métrage atteint les 297 millions de dollars. C’est moins bien que la Partie 1 qui, à la même période, en était à 322 millions. Il y a plusieurs raisons à cette baisse qui est loin d’être alarmante. La première est sans doute due à la concurrence, notamment le raz de marée Zootopie 2. La seconde a peut-être à voir avec des critiques moins emballées que pour le premier film. Quoi qu’il en soit, Wicked : Partie 2 n’atteindra pas le score du premier. Cela reste malgré tout une belle performance.

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Après les records, Wicked : Partie 2 chute lourdement au box-office

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Le succès de Broadway qui a cartonné au cinéma

Wicked : Partie 2 est sorti le 19 novembre dernier dans nos salles de cinéma. Le film de Jon M. Chu débarque un an après le succès de Wicked, premier du nom. La programmation du studio Universal Pictures est ainsi plutôt maligne et permet d’éviter un trop long délai entre les deux films. D’autant plus que Wicked a cartonné dans le monde en 2024.

En effet, Wicked a récolté plus de 758 millions de dollars dans monde et 474 millions rien que sur le sol américain. Dès lors, beaucoup étaient optimistes quant au succès de Wicked : Partie 2. Mais contre toute attente, la suite fait grise mine.

« Wicked : Partie 2 » se casse la figure trois semaines après sa sortie

Wicked : partie 2 © Universal Pictures

Pourtant, tout avait (très) bien commencé pour Wicked : Partie 2. La suite des aventures de Glinda et Elphaba a démarré en battant plusieurs records. Dès son premier week-end d’exploitation outre-Atlantique, la Partie 2 a engrangé 147 millions de dollars. C’est mieux que les 112 millions du premier. Avec le cumul à l’international, la suite a atteint les 226 millions de dollars en un week-end !

On pensait donc que Wicked : Partie 2 était bien parti pour casser la baraque. Finalement, on apprend cette semaine que la suite a vu sa fréquentation chuter de 72 % pour son troisième week-end en salles. Le film a connu la pire baisse de fréquentation post-Thanksgiving de l’histoire du box-office américain pour un film sorti sur 4000 écrans. Durant ce fameux troisième week-end, la film n’a récolté que 17 millions de dollars.

Aujourd’hui, le long-métrage atteint les 297 millions de dollars. C’est moins bien que la Partie 1 qui, à la même période, en était à 322 millions. Il y a plusieurs raisons à cette baisse qui est loin d’être alarmante. La première est sans doute due à la concurrence, notamment le raz de marée Zootopie 2. La seconde a peut-être à voir avec des critiques moins emballées que pour le premier film. Quoi qu’il en soit, Wicked : Partie 2 n’atteindra pas le score du premier. Cela reste malgré tout une belle performance.

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« L'IA représente l'avenir » : Naomie Harris est pour l’utilisation de l’outil malgré les craintes

Lire « L'IA représente l'avenir » : Naomie Harris est pour l’utilisation de l’outil malgré les craintes sur www.cineserie.com

Le sujet de l’intelligence artificielle fait débat à Hollywood

L’avènement de l’intelligence artificielle fait craindre le pire aux acteurs de l’industrie cinématographique. De nombreux professionnels du secteur se sont exprimés sur le sujet, de James Cameron à Guillermo del Toro qui sont contre. Ou bien Robert Downey Jr. qui refuse que les studios utilisent son image générée par IA après sa mort. Et que dire des quelques films ou même de ‘l’actrice’ Tilly Norwood entièrement produits par l’IA ?

L’outil fait de plus en plus peur et menace certains métiers du cinéma. Pourtant, on retrouve quelques adeptes, à l’instar de Matthew McConaughey, Michael Caine et désormais Naomie Harris. L’actrice de 007 Spectre et Moonlight a partagé son opinion sur ce sujet décrié alors qu’elle vient de lancer une start-up centrée sur la tech.

L’IA peut-elle aider le cinéma ? Naomie Harris y croit

Moneypenny (Naomie Harris) - Skyfall
Moneypenny (Naomie Harris) - Skyfall ©Columbia Pictures

Naomie Harris s’est confiée sur l’utilisation de l’intelligence artificielle auprès de Deadline durant le Festival international du film de la mer Rouge. Le média américain précise que l’actrice s’apprête à lancer une « plateforme de bien-être consciente, axée sur l'IA et favorisant les liens sociaux. » Peut-être que ses propre études de marché menées sur l’outil l’ont définitivement convaincues ? En tout cas, Naomie Harris ne voit pas un avenir sans IA :

« Je pense que l'IA représente incontestablement l'avenir. Et je crois qu'elle a énormément à offrir à tous les secteurs, pas seulement au cinéma. Mais, comme toute technologie puissante, elle doit être abordée avec une extrême prudence et des garde-fous soigneusement choisis. C'est précisément ce qui m'inquiète : dans la précipitation avec laquelle on déploie l'IA, ces garde-fous sont-ils suffisamment en place ? »

Pour que l’IA soit efficace, et ce quelque soit le domaine, elle doit être accompagnée d’un élément humain, estime Naomie Harris. Même si son opinion détonne dans le milieu, l’actrice croit en une utilisation judicieuse si l’outil est bien contrôlé : « Je fais évidemment partie de ces personnes qui défendent l'IA, absolument, mais je pense simplement qu'elle doit être utilisée d'une manière incroyablement éthique. » Ce souhait est-il possible ?

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Le sujet de l’intelligence artificielle fait débat à Hollywood

L’avènement de l’intelligence artificielle fait craindre le pire aux acteurs de l’industrie cinématographique. De nombreux professionnels du secteur se sont exprimés sur le sujet, de James Cameron à Guillermo del Toro qui sont contre. Ou bien Robert Downey Jr. qui refuse que les studios utilisent son image générée par IA après sa mort. Et que dire des quelques films ou même de ‘l’actrice’ Tilly Norwood entièrement produits par l’IA ?

L’outil fait de plus en plus peur et menace certains métiers du cinéma. Pourtant, on retrouve quelques adeptes, à l’instar de Matthew McConaughey, Michael Caine et désormais Naomie Harris. L’actrice de 007 Spectre et Moonlight a partagé son opinion sur ce sujet décrié alors qu’elle vient de lancer une start-up centrée sur la tech.

L’IA peut-elle aider le cinéma ? Naomie Harris y croit

Moneypenny (Naomie Harris) - Skyfall
Moneypenny (Naomie Harris) - Skyfall ©Columbia Pictures

Naomie Harris s’est confiée sur l’utilisation de l’intelligence artificielle auprès de Deadline durant le Festival international du film de la mer Rouge. Le média américain précise que l’actrice s’apprête à lancer une « plateforme de bien-être consciente, axée sur l'IA et favorisant les liens sociaux. » Peut-être que ses propre études de marché menées sur l’outil l’ont définitivement convaincues ? En tout cas, Naomie Harris ne voit pas un avenir sans IA :

« Je pense que l'IA représente incontestablement l'avenir. Et je crois qu'elle a énormément à offrir à tous les secteurs, pas seulement au cinéma. Mais, comme toute technologie puissante, elle doit être abordée avec une extrême prudence et des garde-fous soigneusement choisis. C'est précisément ce qui m'inquiète : dans la précipitation avec laquelle on déploie l'IA, ces garde-fous sont-ils suffisamment en place ? »

Pour que l’IA soit efficace, et ce quelque soit le domaine, elle doit être accompagnée d’un élément humain, estime Naomie Harris. Même si son opinion détonne dans le milieu, l’actrice croit en une utilisation judicieuse si l’outil est bien contrôlé : « Je fais évidemment partie de ces personnes qui défendent l'IA, absolument, mais je pense simplement qu'elle doit être utilisée d'une manière incroyablement éthique. » Ce souhait est-il possible ?

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« L’Affaire Thomas Crown » : le reboot de Michael B. Jordan sera une « réinvention »

Lire « L’Affaire Thomas Crown » : le reboot de Michael B. Jordan sera une « réinvention » sur www.cineserie.com

« L’Affaire Thomas Crown » bientôt de retour au cinéma

Michael B. Jordan est parti à Londres durant un an pour réaliser L’Affaire Thomas Crown. Pour ce reboot, l’acteur réalise, écrit, produit et joue. Après son passage réussit derrière la caméra avec Creed III, Michael B. Jordan est attendu au tournant, d’autant plus avec un film qui a déjà vu le jour deux fois au cinéma. Un premier film en 1968 avec Steve McQueen et un deuxième en 1999 avec Pierce Brosnan et Rene Russo.

À chaque fois, la même histoire : un playboy millionnaire qui passe son temps libre à voler des œuvres d’art et qui tombe sous le charme d’une enquêtrice. Alors, pour se démarquer, Michael B. Jordan tient à ce que tout soit parfait. Notamment au niveau du casting, qu’il choisit consciencieusement, et de l’histoire.

Un reboot qui s’éloignera du film original, prévient Michael B. Jordan

Sans aucun remords
Sans aucun remords ©Amazon Prime Video

Après un tournage énergivore, Michael B. Jordan est de retour aux États-Unis où il s’apprête à entrer en post-production. Dans les colonnes de Variety, il s’est exprimé sur les difficultés d’un tel projet : « C'est la deuxième chose la plus difficile que j'aie jamais eu à faire en dehors de ‘Sinners’. Réaliser, produire, écrire, jouer… C'était énorme. »

L’acteur en a également profité pour confirmer la présence de Adria Arjona, Lily Gladstone, Danai Gurira ainsi que celle de Pilou Asbaek et Kenneth Branagh au générique. On ignore encore le rôle de chacun, mais Michael B. Jordan devrait tenir le premier rôle. Fan de la version de 1999 avec Pierce Brosnan, l’acteur n’a pas hésité quand le studio MGM lui a demandé le film qu’il voulait réaliser après Creed : « L’Affaire Thomas Crown. Il me le faut », leur a-t-il dit. Pour autant, Michael B. Jordan veut faire le film à sa sauce :

« Je ne voulais pas d'un reboot, mais d'une réinvention. Les deux premiers films parlaient de riches hommes blancs qui volaient par plaisir. Ça ne passe plus aujourd'hui. Notre histoire est plus personnelle. Les enjeux sont plus importants. Mais on retrouve toujours la mode et la romance », a-t-il prévenu.

Même s’il est annoncé depuis plus d’un an, L’Affaire Thomas Crown n’a toujours pas de date de sortie à ce jour.

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« L’Affaire Thomas Crown » bientôt de retour au cinéma

Michael B. Jordan est parti à Londres durant un an pour réaliser L’Affaire Thomas Crown. Pour ce reboot, l’acteur réalise, écrit, produit et joue. Après son passage réussit derrière la caméra avec Creed III, Michael B. Jordan est attendu au tournant, d’autant plus avec un film qui a déjà vu le jour deux fois au cinéma. Un premier film en 1968 avec Steve McQueen et un deuxième en 1999 avec Pierce Brosnan et Rene Russo.

À chaque fois, la même histoire : un playboy millionnaire qui passe son temps libre à voler des œuvres d’art et qui tombe sous le charme d’une enquêtrice. Alors, pour se démarquer, Michael B. Jordan tient à ce que tout soit parfait. Notamment au niveau du casting, qu’il choisit consciencieusement, et de l’histoire.

Un reboot qui s’éloignera du film original, prévient Michael B. Jordan

Sans aucun remords
Sans aucun remords ©Amazon Prime Video

Après un tournage énergivore, Michael B. Jordan est de retour aux États-Unis où il s’apprête à entrer en post-production. Dans les colonnes de Variety, il s’est exprimé sur les difficultés d’un tel projet : « C'est la deuxième chose la plus difficile que j'aie jamais eu à faire en dehors de ‘Sinners’. Réaliser, produire, écrire, jouer… C'était énorme. »

L’acteur en a également profité pour confirmer la présence de Adria Arjona, Lily Gladstone, Danai Gurira ainsi que celle de Pilou Asbaek et Kenneth Branagh au générique. On ignore encore le rôle de chacun, mais Michael B. Jordan devrait tenir le premier rôle. Fan de la version de 1999 avec Pierce Brosnan, l’acteur n’a pas hésité quand le studio MGM lui a demandé le film qu’il voulait réaliser après Creed : « L’Affaire Thomas Crown. Il me le faut », leur a-t-il dit. Pour autant, Michael B. Jordan veut faire le film à sa sauce :

« Je ne voulais pas d'un reboot, mais d'une réinvention. Les deux premiers films parlaient de riches hommes blancs qui volaient par plaisir. Ça ne passe plus aujourd'hui. Notre histoire est plus personnelle. Les enjeux sont plus importants. Mais on retrouve toujours la mode et la romance », a-t-il prévenu.

Même s’il est annoncé depuis plus d’un an, L’Affaire Thomas Crown n’a toujours pas de date de sortie à ce jour.

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« Killers of the Flower Moon » : Jodie Foster aurait préféré une mini-série pour une raison

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« Killers of the Flower Moon » salué par la critique et le public

En ce moment se tient le Festival International du Film de Marrakech. À cette occasion, l’actrice Jodie Foster est mise à l’honneur pour l’ensemble de sa carrière. Elle en a profité pour se prêter à une masterclass sur le cinéma et sa carrière. Durant cet échange, l’actrice a notamment évoqué la fresque historique de Martin Scorsese, Killers of the Flower Moon.

Le long-métrage de près de 3h30 est adapté d’un livre de David Grann et tiré d’une histoire vraie. Celle, durant les années 1920, de plusieurs meurtres de riches membres de la tribu amérindienne des Osages en Oklahoma après que du pétrole ait été découvert sur leurs terres.

Salué par le public et la critique, Killers of the Flower Moon met en scène un sacré casting mené par Leonardo DiCaprio, Lily Gladstone, Robert De Niro, Jesse Plemons et des acteurs amérindiens. Cependant, Jodie Foster trouve que leur histoire n’a pas été assez mise en avant.

Une mini-série pour raconter les événements plus en détails, selon Jodie Foster

Killers of the Flower Moon
Killers of the Flower Moon ©Paramount Pictures

Pour Jodie Foster, Killers of the Flower Moon aurait mieux fonctionné en mini-série de huit épisodes qu’en film, aussi long soit-il. Selon l’actrice et réalisatrice, un plus long format aurait permis de raconter plus en détails ces tragiques événements. Cela aurait également pu mettre mieux en avant le peuple Osage. Voici ce qu’a déclaré Jodie Foster (via Deadline) :

« Tout le monde était enthousiaste à l'idée que l'histoire des amérindiens soit enfin racontée, et les spectateurs ont découvert avec stupeur que toutes les femmes amérindiennes étaient mortes. Les producteurs ont dit : "C'est un long métrage, on n'a pas eu le temps de le raconter." Mais si, il y avait le temps. Il y avait une mini-série de huit heures qui n'a jamais vu le jour, alors qu'elle aurait pu être réalisée. Si l'on avait vraiment voulu explorer la toxicité de la masculinité, on aurait pu le faire, et le deuxième épisode aurait pu être consacré à l'histoire des amérindiens », selon elle.

https://x.com/DEADLINE/status/1995186401847951605

Il est vrai qu’une mini-série de huit heures aurait été passionnante, encore plus que le film. Cependant, comme le souligne The Playlist, le budget n’aurait pas été le même. Surtout avec la présence de stars comme Leonardo DiCaprio et Robert De Niro. Par ailleurs, Killers of the Flower Moon est l’un des rares films hollywoodiens ayant permis une participation créative à des groupes amérindiens. Aussi, la performance pleine de justesse de Lily Gladstone, actrice Pikunis, lui a ouvert les portes d’une nomination à l’Oscar de la meilleure actrice.

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« Killers of the Flower Moon » : Jodie Foster aurait préféré une mini-série pour une raison

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« Killers of the Flower Moon » salué par la critique et le public

En ce moment se tient le Festival International du Film de Marrakech. À cette occasion, l’actrice Jodie Foster est mise à l’honneur pour l’ensemble de sa carrière. Elle en a profité pour se prêter à une masterclass sur le cinéma et sa carrière. Durant cet échange, l’actrice a notamment évoqué la fresque historique de Martin Scorsese, Killers of the Flower Moon.

Le long-métrage de près de 3h30 est adapté d’un livre de David Grann et tiré d’une histoire vraie. Celle, durant les années 1920, de plusieurs meurtres de riches membres de la tribu amérindienne des Osages en Oklahoma après que du pétrole ait été découvert sur leurs terres.

Salué par le public et la critique, Killers of the Flower Moon met en scène un sacré casting mené par Leonardo DiCaprio, Lily Gladstone, Robert De Niro, Jesse Plemons et des acteurs amérindiens. Cependant, Jodie Foster trouve que leur histoire n’a pas été assez mise en avant.

Une mini-série pour raconter les événements plus en détails, selon Jodie Foster

Killers of the Flower Moon
Killers of the Flower Moon ©Paramount Pictures

Pour Jodie Foster, Killers of the Flower Moon aurait mieux fonctionné en mini-série de huit épisodes qu’en film, aussi long soit-il. Selon l’actrice et réalisatrice, un plus long format aurait permis de raconter plus en détails ces tragiques événements. Cela aurait également pu mettre mieux en avant le peuple Osage. Voici ce qu’a déclaré Jodie Foster (via Deadline) :

« Tout le monde était enthousiaste à l'idée que l'histoire des amérindiens soit enfin racontée, et les spectateurs ont découvert avec stupeur que toutes les femmes amérindiennes étaient mortes. Les producteurs ont dit : "C'est un long métrage, on n'a pas eu le temps de le raconter." Mais si, il y avait le temps. Il y avait une mini-série de huit heures qui n'a jamais vu le jour, alors qu'elle aurait pu être réalisée. Si l'on avait vraiment voulu explorer la toxicité de la masculinité, on aurait pu le faire, et le deuxième épisode aurait pu être consacré à l'histoire des amérindiens », selon elle.

https://x.com/DEADLINE/status/1995186401847951605

Il est vrai qu’une mini-série de huit heures aurait été passionnante, encore plus que le film. Cependant, comme le souligne The Playlist, le budget n’aurait pas été le même. Surtout avec la présence de stars comme Leonardo DiCaprio et Robert De Niro. Par ailleurs, Killers of the Flower Moon est l’un des rares films hollywoodiens ayant permis une participation créative à des groupes amérindiens. Aussi, la performance pleine de justesse de Lily Gladstone, actrice Pikunis, lui a ouvert les portes d’une nomination à l’Oscar de la meilleure actrice.

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« L’Héritage des espions » : la nouvelle série adaptée de John Le Carré s’offre un casting de luxe

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Matthew Macfadyen en tête d’affiche d’une série tirée de John Le Carré

John Le Carré continue d’inspirer les créateurs de films, mais surtout de séries. On est impatient de découvrir la deuxième saison très attendue de The Night Manager. La série portée par Tom Hiddleston et Hugh Laurie revient le 11 janvier prochain sur Prime Video.

Après les aventures de Jonathan Pine, ce sont celles de George Smiley que l’on pourra découvrir. En effet, une nouvelle série adaptée de John Le Carré est en préparation. Il s’agit de L’Héritage des espions, dont le roman est sorti en 2017. L’espion est déjà apparu sur nos écrans sous les traits de Alec Guinness puis Gary Oldman dans les films intitulés La Taupe, sortis respectivement en 1979 et 2011. Cette fois-ci, c’est la star de Sucession, Matthew Macfadyen qui l’incarnera.

Les stars de « Sons of Anarchy » et de « Inglorious Basterds » jouent les espions

Raymond (Charlie Hunnam) - The Gentlemen
Raymond (Charlie Hunnam) - The Gentlemen ©SND

Justement, le casting autour de l’acteur britannique vient de s’étoffer. Ainsi, on apprend par The Ink Factory (via The Playlist), que Charlie Hunnam, Daniel Brühl et la jeune actrice allemande vue dans L’Impératrice, Devrim Lingnau seront de la partie.

D’après le média, Charlie Hunnam jouera l'agent du renseignement britannique Alec Leamas. Daniel Brühl sera l'espion est-allemand Jens Fielder. Tandis que Devrim Lingnau incarnera Doris Quinz, alias Agent Tulip.

Par ailleurs, c’est une sacrée équipe qui a la tâche de donner vie à L’Héritage des espions. Stephen Cornwell (The Night Manager, The Little Drummer Girl) et fils de John Le Carré, sera le showrunner. Il écrira les épisodes avec Clarissa Ingram. Graham Yost (Slow Horses) et Malte Grunert (À l’Ouest, rien de nouveau) en seront les producteurs exécutifs.

« Ce projet est à bien des égards l’adaptation la plus ambitieuse et la plus complète de l’œuvre de le Carré à ce jour, prenant le personnage le plus connu et le plus aimé de notre père – le complexe et brillant maître espion George Smiley – et utilisant ce médium comme une toile pour retracer son histoire alors qu’il évolue dans un monde qui façonne culturellement et politiquement celui dans lequel nous vivons aujourd’hui », ont fait savoir Simon et Stephen Cornwell dans un communiqué.

La série devrait adapter deux romans : "L’Héritage des espions" et "L’Espion qui venait du froid". Elle sera diffusée sur la BBC, puis sans doute sur Prime Video pour le reste du monde. Aucune date de sortie n’est encore connue.

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« The Beauty » : la nouvelle série barrée de Ryan Murphy se dévoile en images

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Ryan Murphy déjà de retour sur nos écrans

Ryan Murphy ne chôme pas. En fait, on se demande même s’il lui arrive de prendre des vacances. Depuis la rentrée, le producteur a signé deux séries qui ont fait parler : Monstre : l’Histoire d’Ed Gein et plus récemment All’s Fair, un drame judiciaire avec Glenn Close et Kim Kardashian. Et ce n’est pas les critiques assassines de cette dernière qui risquent de décourager le prolifique créateur.

Malgré un score de 0 % sur le site agrégateur Rotten Tomatoes, All’s Fair a été renouvelée, à la surprise générale. Mais avant de retrouver la bande d’avocates spécialistes en droit du divorce, Ryan Murphy va revenir avec une nouvelle série, The Beauty.

La perfection physique explorée à travers l’horreur dans « The Beauty »

The Beauty © Disney+

The Beauty explore, à travers l’épouvante et le thriller, l’obsession de la perfection physique. La série est tirée d’une bande-dessinée horrifique écrite par Jeremy Haun et Jason A. Hurley et se déroule dans le milieu de la haute couture. On comprend alors mieux pourquoi l’histoire a attiré l’œil de Ryan Murphy et son collaborateur Matthew Hodgson.

À ce propos, le pitch de The Beauty est surprenant d’originalité et d’étrangeté :

"Une maladie sexuellement transmissible rend les personnes belles... avant de faire périr leurs hôtes au bout d'un certain temps. Alors que le gouvernement pourrait être à l'origine de cette infection, les inspecteurs Drew Foster et Kara Vaughn tentent d'y avoir plus clair entre des politiciens corrompus, des agents fédéraux vindicateurs et un terrifiant mercenaire qui veut leurs têtes", renseigne un synopsis condensé sur Allociné.

The Beauty © Disney+

Pour raconter l’histoire de The Beauty, Ryan Murphy a fait appel à un casting foisonnant. On retrouve son fidèle acteur fétiche Evan Peters aux côtés de Rebecca Hall dans la peau des agents du FBI. Le duo est également entouré de Anthony Ramos, Ashton Kutcher, Jeremy Pope, Isabella Rossellini, Vincent D’Onofrio, John Carroll Lynch, Meghan Trainor ou encore Bella Hadid.

Une première bande-annonce devrait sortir prochainement, donnant un aperçu du glamour que nous réserve la série. The Beauty sortira sur Disney+ le 22 janvier 2026 avec trois épisodes pour commencer. Ensuite, un épisode sortira chaque semaine, avant que la plateforme dévoile les quatre derniers épisodes deux par deux.

© Disney+

 

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© Disney+

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« Hunger Games » : Josh Hutcherson balaie les accusations de plagiat de Quentin Tarantino

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Quentin Tarantino furieux contre « Hunger Games »

La petite brouille entre acteurs et réalisateurs par médias interposés se poursuit. Après James Cameron et Joel Edgerton sur leur désaccord concernant l’éligibilité des films Netflix aux Oscars, placent à Quentin Tarantino et Josh Hutcherson. Si on ne présente plus le premier, rappelons que le second a accédé à une reconnaissance mondial avec le succès de la saga Hunger Games.

Après quelques films passés sous les radars, l’interprète de Peeta aux côtés de Jennifer Lawrence a poursuivit sa carrière hollywoodienne. Huit ans après la fin de Hunger Games, on a retrouvé Josh Hutcherson dans Five Nights At Freddy’s en 2023. Malgré des critiques négatives, le film d’horreur fut un succès. Il a rapporté 293,7 millions de dollars dans le monde. C’est une nouvelle réussite pour l’acteur après les 3,3 milliards rapportés par les quatre films Hunger Games. Une série de films qui n’a pas du tout plu à Quentin Tarantino.

Josh Hutcherson reconnaît des similarités entre « Hunger Games » et « Battle Royale »

Five Nights At Freddy's © Blumhouse

La semaine dernière, Quentin Tarantino s’en est pris aux livres de Suzanne Collins. Celui que l’on surnomme QT n’a pas été tendre avec l’autrice et ses livres aux 100 millions de copies vendues dans le monde. Pour le réalisateur, il s’agit tout simplement d’un grossier plagiat du roman "Battle Royale", adapté ensuite en film en 1999. « Elle a juste copié son put*** de livre », « C’est juste Battle Royale pour un public plus jeune », a lâché le cinéaste.

Une fois encore, les propos de Quentin Tarantino ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd. Durant l’avant-première de Five Nights At Freddy’s 2, Josh Hutcherson a évoqué le sujet. L’acteur n’a pas botté en touche. Il n’a pas non plus cherché la discorde avec Quentin Tarantino. Il a simplement reconnu la similarité entre les deux œuvres :

« Il y a des thèmes similaires, c'est certain. Mais, vous savez, tout le monde emprunte à tout le monde », a-t-il également défendu.

Cette polémique pourrait donner envie aux spectateurs curieux et fans de Hunger Games de regarder Battle Royale. Le film japonais est disponible sur Prime Video. Quant à Five Nights At Freddy's 2, il vient de sortir dans nos salles de cinéma.

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« L’Héritage des espions » : la nouvelle série adaptée de John Le Carré s’offre un casting de luxe

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Matthew Macfadyen en tête d’affiche d’une série tirée de John Le Carré

John Le Carré continue d’inspirer les créateurs de films, mais surtout de séries. On est impatient de découvrir la deuxième saison très attendue de The Night Manager. La série portée par Tom Hiddleston et Hugh Laurie revient le 11 janvier prochain sur Prime Video.

Après les aventures de Jonathan Pine, ce sont celles de George Smiley que l’on pourra découvrir. En effet, une nouvelle série adaptée de John Le Carré est en préparation. Il s’agit de L’Héritage des espions, dont le roman est sorti en 2017. L’espion est déjà apparu sur nos écrans sous les traits de Alec Guinness puis Gary Oldman dans les films intitulés La Taupe, sortis respectivement en 1979 et 2011. Cette fois-ci, c’est la star de Sucession, Matthew Macfadyen qui l’incarnera.

Les stars de « Sons of Anarchy » et de « Inglorious Basterds » jouent les espions

Raymond (Charlie Hunnam) - The Gentlemen
Raymond (Charlie Hunnam) - The Gentlemen ©SND

Justement, le casting autour de l’acteur britannique vient de s’étoffer. Ainsi, on apprend par The Ink Factory (via The Playlist), que Charlie Hunnam, Daniel Brühl et la jeune actrice allemande vue dans L’Impératrice, Devrim Lingnau seront de la partie.

D’après le média, Charlie Hunnam jouera l'agent du renseignement britannique Alec Leamas. Daniel Brühl sera l'espion est-allemand Jens Fielder. Tandis que Devrim Lingnau incarnera Doris Quinz, alias Agent Tulip.

Par ailleurs, c’est une sacrée équipe qui a la tâche de donner vie à L’Héritage des espions. Stephen Cornwell (The Night Manager, The Little Drummer Girl) et fils de John Le Carré, sera le showrunner. Il écrira les épisodes avec Clarissa Ingram. Graham Yost (Slow Horses) et Malte Grunert (À l’Ouest, rien de nouveau) en seront les producteurs exécutifs.

« Ce projet est à bien des égards l’adaptation la plus ambitieuse et la plus complète de l’œuvre de le Carré à ce jour, prenant le personnage le plus connu et le plus aimé de notre père – le complexe et brillant maître espion George Smiley – et utilisant ce médium comme une toile pour retracer son histoire alors qu’il évolue dans un monde qui façonne culturellement et politiquement celui dans lequel nous vivons aujourd’hui », ont fait savoir Simon et Stephen Cornwell dans un communiqué.

La série devrait adapter deux romans : "L’Héritage des espions" et "L’Espion qui venait du froid". Elle sera diffusée sur la BBC, puis sans doute sur Prime Video pour le reste du monde. Aucune date de sortie n’est encore connue.

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« The Beauty » : la nouvelle série barrée de Ryan Murphy se dévoile en images

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Ryan Murphy déjà de retour sur nos écrans

Ryan Murphy ne chôme pas. En fait, on se demande même s’il lui arrive de prendre des vacances. Depuis la rentrée, le producteur a signé deux séries qui ont fait parler : Monstre : l’Histoire d’Ed Gein et plus récemment All’s Fair, un drame judiciaire avec Glenn Close et Kim Kardashian. Et ce n’est pas les critiques assassines de cette dernière qui risquent de décourager le prolifique créateur.

Malgré un score de 0 % sur le site agrégateur Rotten Tomatoes, All’s Fair a été renouvelée, à la surprise générale. Mais avant de retrouver la bande d’avocates spécialistes en droit du divorce, Ryan Murphy va revenir avec une nouvelle série, The Beauty.

La perfection physique explorée à travers l’horreur dans « The Beauty »

The Beauty © Disney+

The Beauty explore, à travers l’épouvante et le thriller, l’obsession de la perfection physique. La série est tirée d’une bande-dessinée horrifique écrite par Jeremy Haun et Jason A. Hurley et se déroule dans le milieu de la haute couture. On comprend alors mieux pourquoi l’histoire a attiré l’œil de Ryan Murphy et son collaborateur Matthew Hodgson.

À ce propos, le pitch de The Beauty est surprenant d’originalité et d’étrangeté :

"Une maladie sexuellement transmissible rend les personnes belles... avant de faire périr leurs hôtes au bout d'un certain temps. Alors que le gouvernement pourrait être à l'origine de cette infection, les inspecteurs Drew Foster et Kara Vaughn tentent d'y avoir plus clair entre des politiciens corrompus, des agents fédéraux vindicateurs et un terrifiant mercenaire qui veut leurs têtes", renseigne un synopsis condensé sur Allociné.

The Beauty © Disney+

Pour raconter l’histoire de The Beauty, Ryan Murphy a fait appel à un casting foisonnant. On retrouve son fidèle acteur fétiche Evan Peters aux côtés de Rebecca Hall dans la peau des agents du FBI. Le duo est également entouré de Anthony Ramos, Ashton Kutcher, Jeremy Pope, Isabella Rossellini, Vincent D’Onofrio, John Carroll Lynch, Meghan Trainor ou encore Bella Hadid.

Une première bande-annonce devrait sortir prochainement, donnant un aperçu du glamour que nous réserve la série. The Beauty sortira sur Disney+ le 22 janvier 2026 avec trois épisodes pour commencer. Ensuite, un épisode sortira chaque semaine, avant que la plateforme dévoile les quatre derniers épisodes deux par deux.

© Disney+

 

© Disney+

 

© Disney+

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« Hunger Games » : Josh Hutcherson balaie les accusations de plagiat de Quentin Tarantino

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Quentin Tarantino furieux contre « Hunger Games »

La petite brouille entre acteurs et réalisateurs par médias interposés se poursuit. Après James Cameron et Joel Edgerton sur leur désaccord concernant l’éligibilité des films Netflix aux Oscars, placent à Quentin Tarantino et Josh Hutcherson. Si on ne présente plus le premier, rappelons que le second a accédé à une reconnaissance mondial avec le succès de la saga Hunger Games.

Après quelques films passés sous les radars, l’interprète de Peeta aux côtés de Jennifer Lawrence a poursuivit sa carrière hollywoodienne. Huit ans après la fin de Hunger Games, on a retrouvé Josh Hutcherson dans Five Nights At Freddy’s en 2023. Malgré des critiques négatives, le film d’horreur fut un succès. Il a rapporté 293,7 millions de dollars dans le monde. C’est une nouvelle réussite pour l’acteur après les 3,3 milliards rapportés par les quatre films Hunger Games. Une série de films qui n’a pas du tout plu à Quentin Tarantino.

Josh Hutcherson reconnaît des similarités entre « Hunger Games » et « Battle Royale »

Five Nights At Freddy's © Blumhouse

La semaine dernière, Quentin Tarantino s’en est pris aux livres de Suzanne Collins. Celui que l’on surnomme QT n’a pas été tendre avec l’autrice et ses livres aux 100 millions de copies vendues dans le monde. Pour le réalisateur, il s’agit tout simplement d’un grossier plagiat du roman "Battle Royale", adapté ensuite en film en 1999. « Elle a juste copié son put*** de livre », « C’est juste Battle Royale pour un public plus jeune », a lâché le cinéaste.

Une fois encore, les propos de Quentin Tarantino ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd. Durant l’avant-première de Five Nights At Freddy’s 2, Josh Hutcherson a évoqué le sujet. L’acteur n’a pas botté en touche. Il n’a pas non plus cherché la discorde avec Quentin Tarantino. Il a simplement reconnu la similarité entre les deux œuvres :

« Il y a des thèmes similaires, c'est certain. Mais, vous savez, tout le monde emprunte à tout le monde », a-t-il également défendu.

Cette polémique pourrait donner envie aux spectateurs curieux et fans de Hunger Games de regarder Battle Royale. Le film japonais est disponible sur Prime Video. Quant à Five Nights At Freddy's 2, il vient de sortir dans nos salles de cinéma.

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Joel Edgerton répond aux critiques de James Cameron sur les films Netflix

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La stratégie Netflix critiquée par James Cameron

Nous sommes à quelques jours de la sortie très attendue de Avatar : de Feu et de Cendres. Une fois de plus, il y a fort à parier que le film de James Cameron fera un carton dans le monde entier. Sauf que la semaine dernière, le cinéaste canadien a fait plus parler pour ses déclarations sur Netflix que pour son long-métrage.

Rappelez-vous, James Cameron avait sévèrement critiqué le mode de sortie des films Netflix dans le podcast The Town. « C’est fondamentalement pourri jusqu’à la moelle », lançait-il, dénonçant au passage la stratégie de la plateforme pour concourir aux Oscars. Un film Netflix est éligible à la statuette s’il est resté au cinéma durant au moins deux semaines. Mais pour James Cameron, un film de streaming ne devrait être éligible que s’il est projeté pendant un mois dans au moins 2000 salles de cinéma aux États-Unis.

Joel Edgerton souligne l’importance du streaming pour les petits films

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Naturellement, les propos de James Cameron ont fait réagir. Ainsi, durant les Gotham Awards, Joel Edgerton s’est exprimé sur ce débat qui semble sans fin. L’acteur australien fait partie des potentiels favoris à l’Oscar du meilleur acteur pour le film Train Dreams. Seulement, le film de Clint Bentley est une production Netflix. Dès lors, pour pouvoir espérer une nomination aux Oscars, le drame a bénéficié d’une sortie limitée en salles outre-Atlantique.

Pour Joel Edgerton, tous les films devraient avoir la chance d’être nommés aux Oscars, peu importe où ils ont été diffusés :

« Nous ne devrions pas nous disputer sur ce qui a le droit d'être vu, récompensé ou inclus dans un débat, car certains artistes ne doivent leur succès qu'aux plateformes de streaming. Je ne pense pas qu'il faille nécessairement considérer une œuvre comme inférieure à une autre », estime l’acteur.

Il pense d’ailleurs que les sorties en salles sont importantes pour la survie du cinéma. Un argument qu’il partage avec James Cameron :

« Je crois que James veut dire qu'il faut se battre plus vigoureusement pour la survie du cinéma, mais que cela implique de priver de visibilité et de notoriété les cinéastes dont la seule chance est de diffuser leurs films sur une plateforme de streaming », regrette-il.

Jusqu’à présent, Netflix a déjà été nommé dix fois à l’Oscar du meilleur film. Cependant, il n’a jamais remporté la précieuse statuette. La donne pourrait-elle changer en 2026 avec Train Dreams ou un autre film ?

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Joel Edgerton répond aux critiques de James Cameron sur les films Netflix

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La stratégie Netflix critiquée par James Cameron

Nous sommes à quelques jours de la sortie très attendue de Avatar : de Feu et de Cendres. Une fois de plus, il y a fort à parier que le film de James Cameron fera un carton dans le monde entier. Sauf que la semaine dernière, le cinéaste canadien a fait plus parler pour ses déclarations sur Netflix que pour son long-métrage.

Rappelez-vous, James Cameron avait sévèrement critiqué le mode de sortie des films Netflix dans le podcast The Town. « C’est fondamentalement pourri jusqu’à la moelle », lançait-il, dénonçant au passage la stratégie de la plateforme pour concourir aux Oscars. Un film Netflix est éligible à la statuette s’il est resté au cinéma durant au moins deux semaines. Mais pour James Cameron, un film de streaming ne devrait être éligible que s’il est projeté pendant un mois dans au moins 2000 salles de cinéma aux États-Unis.

Joel Edgerton souligne l’importance du streaming pour les petits films

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Naturellement, les propos de James Cameron ont fait réagir. Ainsi, durant les Gotham Awards, Joel Edgerton s’est exprimé sur ce débat qui semble sans fin. L’acteur australien fait partie des potentiels favoris à l’Oscar du meilleur acteur pour le film Train Dreams. Seulement, le film de Clint Bentley est une production Netflix. Dès lors, pour pouvoir espérer une nomination aux Oscars, le drame a bénéficié d’une sortie limitée en salles outre-Atlantique.

Pour Joel Edgerton, tous les films devraient avoir la chance d’être nommés aux Oscars, peu importe où ils ont été diffusés :

« Nous ne devrions pas nous disputer sur ce qui a le droit d'être vu, récompensé ou inclus dans un débat, car certains artistes ne doivent leur succès qu'aux plateformes de streaming. Je ne pense pas qu'il faille nécessairement considérer une œuvre comme inférieure à une autre », estime l’acteur.

Il pense d’ailleurs que les sorties en salles sont importantes pour la survie du cinéma. Un argument qu’il partage avec James Cameron :

« Je crois que James veut dire qu'il faut se battre plus vigoureusement pour la survie du cinéma, mais que cela implique de priver de visibilité et de notoriété les cinéastes dont la seule chance est de diffuser leurs films sur une plateforme de streaming », regrette-il.

Jusqu’à présent, Netflix a déjà été nommé dix fois à l’Oscar du meilleur film. Cependant, il n’a jamais remporté la précieuse statuette. La donne pourrait-elle changer en 2026 avec Train Dreams ou un autre film ?

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