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Après le Rwanda, l'émir du Qatar en visite en République démocratique Congo

Après sa visite au Rwanda, l'émir du Qatar a atterri dans la capitale Kinshasa pour une brève escale. Si la venue du Qatar a pour objectif de booster les investissements dans le pays, la question sécuritaire de l’est congolais a aussi été au menu. Le Qatar sert de médiateur dans les négociations entre les rebelles du M23 et le gouvernement congolais.

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Après le Rwanda, l'émir du Qatar en visite en République démocratique Congo

Après sa visite au Rwanda, l'émir du Qatar a atterri dans la capitale Kinshasa pour une brève escale. Si la venue du Qatar a pour objectif de booster les investissements dans le pays, la question sécuritaire de l’est congolais a aussi été au menu. Le Qatar sert de médiateur dans les négociations entre les rebelles du M23 et le gouvernement congolais.

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CIGRL : Félix Tshisekedi prend la tête de l'organisation dans un contexte diplomatique tendu

En RD Congo s’est achevé hier soir le sommet de la CIRGL, la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs. Ce rendez-vous a marqué le coup d’envoi du mandat du président congolais à la tête d’une organisation sous-régionale. L’objectif est de dynamiser cette organisation dans un contexte marqué par les conflits dans la région.

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Accord cadre signé entre la RDC et le M23, les négociations sur le fond se poursuivent

Un accord-cadre a été signé à Doha entre le gouvernement congolais et le groupe armé M23, sous médiation qatarienne. Ce texte, centré sur le cessez-le-feu et l’échange de prisonniers, marque une étape vers une paix attendue depuis plus de trois ans. Mais sur le terrain, la tension reste vive. Les négociations doivent se poursuivre sur des points cruciaux, dont la restauration de l’autorité de l’Etat dans les zones passées sous contrôle rebelle et des déplacés.

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Mali : nouvelle menace djihadiste, deux ans après la libération de la ville de Kidal

Il y a deux ans, jour pour jour, l’armée malienne faisait une entrée triomphale, après près d’une décennie de contrôle par la rébellion touareg. Une victoire symbolique pour Bamako, rendue possible grâce au soutien du groupe Wagner. Mais aujourd’hui, le contexte sécuritaire s’est à nouveau dégradé : les groupes jihadistes gagnent du terrain, les tensions resurgissent dans le nord, et même l’armée malienne connaît des dissensions internes.

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