Vikings' Aaron Jones downplays age, recalls 'trying to get older women' when younger
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Grâce au DMA, la virtualisation a fait un bond en avant sur la tablette conçue par Apple. Depuis quelques jours, la boutique alternative AltStore propose d’installer AltStore Classic, une version plus ouverte de la boutique qui permet notamment d’installer des apps qui n’ont pas été autorisées par Apple. Cela implique d’utiliser un Mac pour transférer les fichiers et plusieurs manipulations pour qu’iOS accepte de lancer les apps, mais le résultat est là : grâce à cette ouverture permise par la réglementation européenne, on peut notamment installer l’outil de virtualisation UTM en activant la compilation JIT.
Celle-ci est une brique essentielle pour obtenir de meilleures performances, en exploitant pleinement le matériel intégré aux produits d’Apple. La preuve avec cet utilisateur, qui a installé Windows 11 sur un iPad Air équipé d’une puce M2 grâce à cette version spécifique d’UTM. Il s’agit d’une version allégée du système d’exploitation de Microsoft qui retire de nombreuses fonctionnalités et aussi de la version ARM64, ce qui évite une couche d’émulation pour faire tourner du code x86 sur la tablette.
Même si la mise en place est complexe par rapport à une app téléchargée sur l’App Store et même si ce n’est pas une version complète de Windows 11, cela reste une ouverture intéressante pour tous ceux qui veulent exploiter pleinement leur iPad. Relativisons tout de même : d’après ce que l’on peut voir sur la vidéo, les performances sont très moyennes et ce n’est pas vraiment une option au quotidien pour faire tourner le système d’exploitation. Peut-être que les iPad équipés de puces plus puissantes feraient mieux, probablement sans pouvoir espérer faire aussi bien que sur un ordinateur traditionnel.
Le géant chinois des batteries CATL vient d'annoncer plusieurs nouveautés qui promettent de révolutionner le monde des voitures électriques. Parmi elles, il y a notamment la possibilité de rouler 1 500 km sur une seule charge.
Free remet à disposition son offre permettant de compléter son décodeur TV par une Apple TV 4K, voire de totalement le remplacer, à un tarif bien plus doux que chez Apple.
© Tiziana FABI / AFP
L’IA n’est pas à plus notre porte, elle fait déjà partie intégrante de nos activités, et ce test de Submagic vient le confirmer. Il s’agit de l’un des outils les plus importants pour les créateurs de contenus vidéo. Raison pour laquelle nous allons analyser de près les spécificités et les moindres détails concernant Submagic.
Nous avons effectué un test minutieux de Submagic pour vous, afin que vous ayez le maximum d’informations sur les atouts de cet outil. Des fonctionnalités, aux offres, en passant par les atouts uniques, attardons de plus près sur ce générateur de sous-titre révolutionnaire.
Pour toucher un maximum de personnes, il est parfois nécessaire d’incorporer des sous-titres dans les vidéos.
Une tâche parfois assez complexe, mais surtout chronophage en raison de soucis de montage et de qualité de traduction. Submagic se présente comme la solution la plus efficace pour résoudre ce problème en proposant un système de sous-titrage automatique généré par l’IA.
Avec l’aide d’une Intelligence Artificielle performante, l’outil est capable de reconnaître les voix dans les vidéos, puis de les retranscrire en sous-titre, mais pas que. Si actuellement, Submagic n’est plus le seul outil à proposer cette fonctionnalité, elle se démarque grandement des autres avec un niveau de qualité et un système automatisé supérieur.
Pour nous en assurer, nous avons effectué un test complet de l’outil. Le moins que l’on puisse dire est que le résultat est étonnant.
Pour évaluer Submagic, nous avons suivi une méthodologie structurée comprenant plusieurs étapes clés. Nous avons commencé par explorer ses principales fonctionnalités et sa proposition de valeur. Notre objectif était de comprendre comment l’outil répond aux besoins des créateurs de contenu en matière de sous-titrage automatique.
Ensuite, nous avons testé la génération de sous-titres en soumettant différentes vidéos à l’outil. Nous avons ainsi pu verifier sa capacité à transcrire les dialogues tout en assurant une synchronisation précise. Par ailleurs, nous avons porté une attention particulière à la gestion des émotions, marquée par l’ajout d’emojis et de couleurs, afin de déterminer comment cette fonctionnalité enrichit l’expérience utilisateur.
Nous avons aussi exploré les options de personnalisation, en ajustant la police, la couleur et les transitions des sous-titres pour évaluer la flexibilité de l’outil. La simplicité d’utilisation a été jugée par des tests pratiques effectués par des utilisateurs novices et expérimentés. Enfin, nous avons comparé les résultats de Submagic avec ceux d’autres générateurs de sous-titres pour souligner ses atouts et ses faiblesses. Cette méthodologie nous a permis de tirer des conclusions équilibrées sur l’efficacité, la convivialité et la pertinence de Submagic dans le contexte actuel de la création de contenu.
Le test de Submagic que nous avons effectué se focalisait principalement sur ses fonctionnalités, car il faut savoir qu’il ne s’agit pas d’un simple outil pour créer des sous-titres.
Submagic a pour première vocation de générer des sous-titres au sein de contenus vidéos de toutes sortes.
A travers les capacités d’une Intelligence Artificielle, l’outil analyse une vidéo dans son ensemble et identifie tout ce qui se dit. Par la suite, à travers des algorithmes de reconnaissances vocales de haut niveau, il retranscrit les voix et les conversations sous forme de sous-titres directement au sein de la vidéo. Ce qui impressionne le plus avec le résultat, c’est la synchronisation des sous-titres avec le contenu vidéo.
Plus exactement, les sous-titres apparaissent exactement où les voix se font entendre. Il n’y a donc pas de décalage et vous pourrez suivre parfaitement la vidéo sans retard ni avance. Une fonctionnalité qui vous fait gagner un temps fou et vous libère des tâches encombrantes dans le sous-titrage.
Le second élément qui différencie ces services des autres se trouve au niveau des sous-titres en eux-mêmes. Submagic ne se contente pas de reprendre machinalement les voix, il y ajoute des émotions par l’intermédiaire d’emojis et de couleurs. En effet, chaque fois qu’une émotion est évoquée, l’outil utilise les emojis pour mieux la retranscrire. Un ajout qui donne beaucoup plus d’impact à la vidéo et permet de toucher un public plus large.
L’outil Submagic n’oublie pas l’un des éléments les plus importants lorsqu’il s’agit de vidéos, à savoir la musique et les effets sonores.
Avec un large choix de bruitage différent, vous pourrez ajouter l’effet idéal à un important. Qu’il s’agisse d’un moment drôle ou plus sérieux, vous trouverez sans aucun doute le meilleur effet pour accentuer l’émotion du moment.
Au-delà des effets sonores, il peut être crucial d’insérer une musique de fond au sein de votre vidéo. Avec Submagic, cela n’a jamais été aussi facile. De plus, l’outil profite d’une large bibliothèque musicale, incluant des musiques douces à des titres plus entraînants. Il vous est même possible de créer votre propre musique, idéale pour gagner en visibilité si vous êtes créateur de contenus. Au niveau des modifications, vous pourrez modifier le volume afin d’avoir une musique de fond qui ne gâche pas le contenu vidéo et les sous-titres.
Si vous voulez ajouter plus d’émotions dans vos vidéos, vous avez ici l’une des meilleures idées possibles.
Si vous avez la possibilité de créer de beaux sous-titres, vous pourrez toujours les modifier une fois la phase de création terminée.
Submagic intègre une fonctionnalité de personnalisation de sous-titre qui vous offre la possibilité de modifier la police de caractère. Très importante, cette option vous permet de trouver une police qui convient mieux au type de vidéo que vous présentez et le contenu qui s’y trouve. En plus de la police, vous pouvez modifier la couleur des sous-titres, mais également les types d’emoji qui s’affichent. Étant donné que les emojis inclus sont par défaut, il se peut que vous vouliez un autre type de symbole pour votre contenu.
Enfin, en plus de tout cela, il vous est possible de régler minutieusement la transition des sous-titres pour un timing plus en accord avec vos besoins. En somme, vous avez ici une option de personnalisation complète qui vous permet de gérer intégralement vos sous-titres.
Submagic analyse le contenu de la vidéo pour y insérer des séquences B-Roll pertinentes et libres de droits. Ces éléments visuels viennent enrichir la narration et dynamiser les vidéos. Les transitions sont également générées automatiquement afin d’assurer une fluidité optimale entre les différentes scènes.
Submagic identifie les moments importants de la vidéo et y applique des zooms automatiques. Cette fonctionnalité permet de mettre en valeur des expressions faciales, des mots-clés ou des instants clés, augmentant ainsi l’impact visuel du contenu.
L’outil permet d’insérer automatiquement des images ou des GIFs en lien avec le contenu traité. Cette intégration visuelle favorise l’engagement, en particulier sur des formats courts destinés aux réseaux sociaux.
Submagic propose également la création automatique de textes descriptifs et de hashtags adaptés à chaque plateforme sociale (YouTube, TikTok, Instagram). Ces éléments améliorent la visibilité des vidéos et leur référencement.
Submagic facilite la création de vidéos courtes percutantes grâce à des plans tarifaires adaptés à tous les utilisateurs, des créateurs débutants aux entreprises à grande échelle. Avec une offre simple et sans engagement, commencez gratuitement avec 3 vidéos d’essai, sans carte bancaire requise.
Ajoutez l’option Magic Clips (+29 $/mois) pour transformer instantanément de longues vidéos en shorts viraux. Que vous soyez un créateur individuel ou une grande entreprise, Submagic propose des solutions puissantes pour donner vie à vos idées.
Grâce à l’intelligence artificielle avancée, l’outil identifie les segments les plus pertinents de vos vidéos pour les adapter aux formats populaires des réseaux sociaux tels que TikTok, Instagram Reels ou YouTube Shorts. Cette automatisation facilite grandement le travail des créateurs de contenu, leur offrant un gain de temps considérable tout en maximisant l’engagement de leur audience.
Comme nous l’avons précédemment énoncé, les outils de génération de sous-titres ne sont plus rares sur le marché.
Toutefois, Submagic domine le podium, et ce, principalement grâce à des atouts uniques qui le démarquent des autres.
À l’inverse d’autres outils de génération de sous-titre, Submagic profite d’un grand choix de personnalisation.
Cela ne se limite pas simplement à la police de caractère, mais touche tout aussi bien les effets de transitions que la synchronisation des sous-titres. Le fait de profiter de sous-titres générés automatiquement est un avantage certain que d’autres outils similaires ne proposent pas.
Les options de personnalisations sont essentielles pour les créateurs de contenus afin d’assurer une certaine forme de cohérence visuelle et émotionnelle concernant les contenus vidéos qu’ils proposent. Submagic le comprend en fait un de ses atouts de taille.
Pour assurer une expérience au top, Submagic profite d’une équipe réactive et de système d’assistance pratique au sein de sas plateforme.
Le support client est disponible dès que vous avez besoin d’aide ou que vous rencontrez de la difficulté. Pour apprendre efficacement comment utiliser les fonctionnalités de l’outil, vous pouvez vous aider à travers les différents guides et processus d’utilisation répartis selon les fonctionnalités.
De plus, l’outil profite d’une communauté particulièrement active sur Discord, vous permettant d’échanger avec différents utilisateurs. Idéal pour créer des liens, des collaborations ou juste pour s’entraider sur des options spécifiques de l’outil.
Avec une interface intuitive et des indications précises sur les étapes d’utilisation, Submagic parle tout autant aux experts qu’aux nouveaux venus.
Tout est fait pour rendre l’utilisation simple et rapide, avec notamment un système de synchronisation automatique des sous-titres. Cela veut dire que vous n’avez pas à passer des heures à ajuster le timing des sous-titres pour qu’ils s’accordent à la vidéo, l’IA de l’outil le fait pour vous. À vous par la suite de décider si vous voulez apporter d’autres modifications ou non.
La génération de sous-titres se fait très rapidement, et la personnalisation reste accessible. En effet, on pourrait s’attendre à des processus complexes avec autant d’options d’éditions de sous-titres. Pourtant, Submagic a misé sur la simplicité, ce qui constitue un atout de taille sur le marché.
Le test de Submagic s’est révélé être un franc succès, l’outil tenant parfaitement ses promesses.
Aussi simple que performant, Submagic profite de toutes les ressources nécessaires pour créer des sous-titres de qualité. À cela s’ajoute une véritable volonté de s’améliorer continuellement, raison pour laquelle on trouve de nouvelles options ou des correctifs régulièrement.
Pour les créateurs de contenus qui veulent toucher un public plus large, comme les sourds et les malentendants, il s’agit de l’outil parfait. Fiable et rapide, on ne peut que vous le conseiller.
En 2025, de nombreuses plateformes s’affirment comme des alternatives solides à Submagic ia. Ces solutions répondent aux besoins des créateurs de contenu avec diverses fonctionnalités spécialisées.
Kapwing se distingue comme une solution complète d’édition en ligne. Son interface intuitive permet aux utilisateurs de créer des sous-titres automatiques avec une précision impressionnante. La plateforme excelle également dans la création de contenu pour les réseaux sociaux grâce à ses modèles adaptés aux différentes plateformes.
Clideo offre aussi une approche simplifiée qui séduit les débutants. Cette plateforme se concentre sur l’accessibilité et propose des outils de sous-titrage efficaces avec des options d’exportation flexibles. Elle a la capacité de traiter rapidement les vidéos sans compromettre la qualité.
En outre, Veed.io innove avec ses fonctionnalités avancées de reconnaissance vocale. Cet outil se démarque par ses capacités d’édition collaborative et son système de traduction automatique des sous-titres. L’interface épurée de Veed.io cache une puissance considérable pour les projets professionnels.
Enfin, Filmora propose une expérience plus traditionnelle mais tout aussi efficace. Ce logiciel combine la robustesse d’une application de bureau avec des fonctionnalités modernes de sous-titrage automatique. Sa bibliothèque d’effets et ses outils d’amélioration audio complètent parfaitement ses capacités de sous-titrage.
Cet article Test de Submagic : le meilleur générateur de sous-titres ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.
Le nouveau modèle d'OpenAI, qui s'appelle o3, dispose d'un module pour analyser des images de manière précise. Des utilisateurs ont réalisé qu'il pouvait retrouver la localisation d'une photo en récoltant de lui-même plusieurs indices.
Les Gems de Gemini sont désormais accessibles à tous les utilisateurs Android et iOS, sans abonnement requis.
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La fille de la famille Addams va bientôt réapparaître pour une saison 2, sur Netflix. Date de sortie, casting, intrigue... Voici tout ce que l'on sait déjà sur ce retour très attendu de Mercredi (ou Wednesday), toujours dirigée par Tim Burton.
Synology a annoncé mi-avril que les fonctionnalités avancées de ses prochains NAS ne seraient accessibles que si l’utilisateur utilise des disques durs aux couleurs de la marque, ou à défaut des modèles tiers dûment certifiés. Le fabricant taïwanais se montre précis sur les restrictions à attendre, mais nettement moins sur les modalités de mise en œuvre de cette décision polémique.
Vous aurez moins de choix, mais c’est pour votre bien, nous informe le spécialiste du stockage réseau Synology. Dans un communiqué daté du 16 avril dernier, signé de sa filiale basée à Düsseldorf, le fabricant taïwanais annonce en effet que sa gamme Plus exigera, à partir des modèles 2025, des disques durs signés Synology ou, à défaut, des périphériques certifiés par la société, afin de délivrer l’ensemble de ses fonctionnalités.
Le message, d’abord repéré par la presse germanophone, évoque de façon explicite la mise en place de restrictions dans les autres cas de figure.
« La déduplication à l’échelle du volume, l’analyse de la durée de vie et les mises à jour automatiques du micrologiciel des disques durs ne seront désormais disponibles que pour les disques durs Synology », écrit par exemple l’entreprise. L’utilisation de simples disques durs compatibles, par opposition aux disques certifiés, pourrait également diminuer le niveau de prise en charge par le support ou les possibilités en matière de création de pool de stockage.
D’après Synology, cette décision, qui consiste donc à favoriser l’emploi des disques durs propriétaires aux couleurs de la marque, se justifierait au nom d’une logique d’intégration.
« Grâce à notre solution de disque dur propriétaire, nous avons déjà constaté des avantages significatifs pour nos clients dans divers scénarios de déploiement », déclare ainsi Chad Chiang, directeur général de la filiale allemande de Synology, dans ce communiqué. « En étendant notre écosystème intégré à la série Plus, nous souhaitons offrir à tous les utilisateurs, des particuliers aux petites entreprises, les plus hauts niveaux de sécurité, de performances et une assistance nettement plus efficace ».
Ce changement ne concerne pour l’instant que les modèles de la série Plus, sortis en 2025. « Les modèles Plus commercialisés jusqu’en 2024 inclus (à l’exception de la série XS Plus et des modèles rack) ne subiront aucun changement. De plus, la migration des disques durs d’un NAS Synology existant vers un nouveau modèle Plus restera possible sans restriction », précise l’entreprise.
Rappelons que Synology a d’abord commercialisé des SSD à ses couleurs avant de se lancer, début 2021, dans la vente de disques durs. L’entreprise taïwanaise ne les fabrique cependant pas et n’a, a priori, pas vocation à le faire : elle s’approvisionne chez les grands noms du secteur, et prodigue ensuite sa propre offre de services, de l’assistance au suivi du firmware.
Le premier problème, rapidement pointé du doigt, réside dans le prix : les disques durs estampillés Synology sont parfois vendus plus cher que des modèles de série aux caractéristiques techniques équivalentes, qui peuvent par ailleurs bénéficier d’une garantie plus intéressante (cinq ans par exemple chez Seagate sur la gamme Ironwolf Pro, contre trois ans chez Synology).
Pour ne rien arranger, Synology semble ne pas avoir réellement préparé sa communication, comme l’ont confirmé les réactions de certains de nos contacts en interne, quelque peu désemparés par le sujet.
La question de la compatibilité restreinte entre les NAS Synology et les disques durs de fabricants tiers n’a en réalité rien de nouveau. Les clients de l’entreprise taïwanaise sont d’ailleurs invités à vérifier dès l’achat la liste des disques compatibles avec leur serveur réseau. Jusqu’ici, l’utilisation d’un disque dur non référencé n’entraînait toutefois pas de restriction importante sur le plan des fonctionnalités.
Synology a fini par clarifier sa position, au travers d’une communication partagée, mardi, avec le site Nascompares.
« D’après les statistiques du support client au cours des dernières années, l’utilisation de disques validés entraîne près de 40 % de problèmes liés au stockage en moins et un diagnostic et une résolution plus rapides des problèmes », y affirme notamment un porte-parole de l’entreprise. Ses disques n’affichent pourtant pas un MTBF (temps moyen de fonctionnement entre deux pannes) supérieur à celui de modèles équivalents chez Seagate ou Western Digital.
Il précise que chaque disque « validé » par Seagate fait l’objet de plus de 7 000 heures de test, et que les modèles répondant au cahier des charges de Synology voient leur taux de défaillances entraînant une perte significative de données baisser de 88 %.
« En adhérant à la Liste de compatibilité des produits, nous pouvons réduire considérablement les écarts introduits par les changements de fabrication non annoncés, les modifications du micrologiciel et d’autres variations difficiles à identifier et encore plus à suivre pour les utilisateurs finaux et Synology », conclut-il.
Problème : la liste de compatibilité associée aux futurs NAS de la série Plus n’est pas communiquée, et les disques Synology apparaissent donc comme la seule option disponible à date.
The day has finally arrived – the official reveal trailer for The Elder Scrolls IV: Oblivion has released, better yet, the game is available right now on PC and Xbox.
In a behind-the-scenes development video, Todd Howard reflected on Oblivion's 20-year history and the game's position as a defining point in the franchise. The new version aims to keep some of the original's “old charm” intact, according to Todd. The game has a completely fresh look though, with Unreal Engine 5 graphics. The reveal includes comparison footage between the original 2006 game and the new version.
The Elder Scrolls IV: Oblivion Remastered will include the story expansions Shivering Isles and Knights of the Nine, delivering the complete experience from beginning to end. The team at Virtuos describes the remaster as a love-letter to the original and based on the gameplay footage shown, it does look like an impressive upgrade.
Aside from the graphical upgrades, animations have been updated, the UI and UX have been overhauled, combat has received new tweaks and VFX upgrades and some new lines of dialogue have been recorded to aid in differentiating all of the races present in Oblivion.
The Elder Scrolls IV: Oblivion Remastered is available for PC, PS5 and Xbox Series X/S now. It is also available via Game Pass.
KitGuru Says: What did you think of the Oblivion Remastered reveal? Will you be picking this up?
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© Xosé Bouzas / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP
Bethesda has just released The Elder Scrolls IV: Oblivion Remastered. Yes, the team has released the game now on Steam, and below you can find its official PC system requirements. Developed by Virtuos Games, the game is powered by Unreal Engine 5. So, let’s see what kind of PC system you’ll need to run it. … Continue reading The Elder Scrolls IV: Oblivion Remastered PC Requirements →
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© FRANCK FIFE / AFP
Non content d’avoir invité un journaliste dans une boucle Signal sur la préparation de frappes américaines contre des Houthis au Yémen, le ministre américain de la Défense, Pete Hegseth, est accusé d’avoir informé une autre boucle Signal de ces frappes. Dans cette boucle, se trouvaient entre autres sa femme, son frère et son avocat personnel.
Le gouvernement de Donald Trump a du mal à refermer le scandale surnommé « Signalgate » par certains. Il y a un peu plus d’un mois, le rédacteur en chef de The Atlantic racontait qu’il s’était retrouvé dans une boucle Signal aux côtés de J.D. Vance, Marco Rubio ou encore du ministre américain de la Défense, Pete Hegseth, qui préparaient les frappes américaines du 15 mars dernier contre des Houthis au Yémen.
Mais Pete Hegseth a aussi partagé des informations sur ces frappes sur un autre groupe Signal, selon un article du New York Times publié ce dimanche. Le journal explique que ce groupe Signal a été créé par Pete Hegseth lui-même avant qu’il soit confirmé en tant que ministre américain de la Défense. Le groupe réunit une douzaine de personnes dont sa femme, son frère et son avocat personnel.
« La vérité est qu’il existe un groupe de discussion informel de ses conseillers les plus proches qui a commencé avant la confirmation », a répondu un fonctionnaire du ministère au New York Times, tout en affirmant que « rien de confidentiel n’a jamais été discuté dans ce chat ».
Sans avoir répondu à nos confrères, le porte-parole du Pentagone, Sean Parnell, a réagi après la publication de l’article en réaffirmant : « il n’y avait pas d’informations classifiées dans les discussions sur Signal, quelles que soient les façons dont ils essaient d’écrire l’histoire ». Pourtant, plusieurs sources du New York Times affirment que les messages contenaient, entre autres, les plans de vols des avions qui ont ciblé les Houthis au Yémen.
Nos confrères précisent que le frère de Pete Hegseth et son avocat travaillent aussi au sein du Pentagone, mais « on ne voit pas très bien pourquoi l’un ou l’autre aurait besoin d’être informé des prochaines frappes militaires visant les Houthis au Yémen ».
Techniquement, le système de chiffrement de Signal et sa robustesse ne sont pas remis en cause. La messagerie avait tenu d’ailleurs à s’en expliquer après la première phase de ce scandale.
Le constat est surtout que le ministre américain de la Défense n’utilise pas une messagerie recommandée par la Maison-Blanche pour partager des informations sensibles, si ce n’est confidentielles, avec des personnes qui ne sont pas censées y avoir accès.
Une telle messagerie bloquerait, par exemple, tout accès à des personnes non autorisées. Plusieurs sources du New York Times, mais aussi de NBC News, affirment de plus que Pete Hegseth utilise Signal via son smartphone personnel et son téléphone officiel.
Cet épisode est celui d’ « un quasi-effondrement au sein de l’état-major du Pentagone », a commenté l’ancien porte-parole du Pentagone, John Ullyot, qui a tout juste quitté son poste la semaine dernière. Il était pourtant un des conseillers de Donald Trump lors de son premier mandat.
Dans une tribune publiée par Atlantico, le conseiller en communication a affirmé que « Dans ces conditions, il est difficile d’imaginer que le ministre de Défense, Pete Hegseth, puisse rester en poste encore longtemps ».
NPR a aussi publié un article ce lundi expliquant que la Maison-Blanche lui cherchait un remplaçant. Mais la porte-parole de la Maison-Blanche a démenti et Donald Trump a réaffirmé son soutien à son ministre, affirmant qu’il faisait « un boulot super » en ajoutant « il suffit de demander aux Houthis comment ils se portent ».
L’article de NPR se clôture par ailleurs sur un « NPR disclosure : Katherine Maher, PDG de NPR, préside le conseil d’administration de la Signal Foundation ».