Grâce au DMA, la virtualisation a fait un bond en avant sur la tablette conçue par Apple. Depuis quelques jours, la boutique alternative AltStore propose d’installer AltStore Classic, une version plus ouverte de la boutique qui permet notamment d’installer des apps qui n’ont pas été autorisées par Apple. Cela implique d’utiliser un Mac pour transférer les fichiers et plusieurs manipulations pour qu’iOS accepte de lancer les apps, mais le résultat est là : grâce à cette ouverture permise par la réglementation européenne, on peut notamment installer l’outil de virtualisation UTM en activant la compilation JIT.
Celle-ci est une brique essentielle pour obtenir de meilleures performances, en exploitant pleinement le matériel intégré aux produits d’Apple. La preuve avec cet utilisateur, qui a installé Windows 11 sur un iPad Air équipé d’une puce M2 grâce à cette version spécifique d’UTM. Il s’agit d’une version allégée du système d’exploitation de Microsoft qui retire de nombreuses fonctionnalités et aussi de la version ARM64, ce qui évite une couche d’émulation pour faire tourner du code x86 sur la tablette.
Même si la mise en place est complexe par rapport à une app téléchargée sur l’App Store et même si ce n’est pas une version complète de Windows 11, cela reste une ouverture intéressante pour tous ceux qui veulent exploiter pleinement leur iPad. Relativisons tout de même : d’après ce que l’on peut voir sur la vidéo, les performances sont très moyennes et ce n’est pas vraiment une option au quotidien pour faire tourner le système d’exploitation. Peut-être que les iPad équipés de puces plus puissantes feraient mieux, probablement sans pouvoir espérer faire aussi bien que sur un ordinateur traditionnel.
Grâce au DMA, la virtualisation a fait un bond en avant sur la tablette conçue par Apple. Depuis quelques jours, la boutique alternative AltStore propose d’installer AltStore Classic, une version plus ouverte de la boutique qui permet notamment d’installer des apps qui n’ont pas été autorisées par Apple. Cela implique d’utiliser un Mac pour transférer les fichiers et plusieurs manipulations pour qu’iOS accepte de lancer les apps, mais le résultat est là : grâce à cette ouverture permise par la réglementation européenne, on peut notamment installer l’outil de virtualisation UTM en activant la compilation JIT.
Celle-ci est une brique essentielle pour obtenir de meilleures performances, en exploitant pleinement le matériel intégré aux produits d’Apple. La preuve avec cet utilisateur, qui a installé Windows 11 sur un iPad Air équipé d’une puce M2 grâce à cette version spécifique d’UTM. Il s’agit d’une version allégée du système d’exploitation de Microsoft qui retire de nombreuses fonctionnalités et aussi de la version ARM64, ce qui évite une couche d’émulation pour faire tourner du code x86 sur la tablette.
Même si la mise en place est complexe par rapport à une app téléchargée sur l’App Store et même si ce n’est pas une version complète de Windows 11, cela reste une ouverture intéressante pour tous ceux qui veulent exploiter pleinement leur iPad. Relativisons tout de même : d’après ce que l’on peut voir sur la vidéo, les performances sont très moyennes et ce n’est pas vraiment une option au quotidien pour faire tourner le système d’exploitation. Peut-être que les iPad équipés de puces plus puissantes feraient mieux, probablement sans pouvoir espérer faire aussi bien que sur un ordinateur traditionnel.
Netflix a augmenté ses tarifs en France la semaine dernière et tous ceux qui sont abonnés directement au service de streaming paieront plus cher dès leur prochain renouvellement. Pour ceux qui passent par un service tiers, la situation est plus compliquée et dépend de chaque offre. Ainsi, Canal+ intègre Netflix sur certaines offres, en version Standard avec ou sans publicités selon le prix payé et comme le tarif de base de ces offres ne change pas, on peut dire que l’entreprise française a absorbé la hausse de prix pour les abonnés concernés.
En revanche, l’option Premium qui active notamment la 4K est facturée en plus de l’abonnement de base et elle va encore augmenter. Canal+ a prévenu ses abonnés d’une hausse de… 50 centimes, seulement. L’option passera de 6,5 à 7 € par mois à partir des factures de juin 2025, tandis que la hausse est déjà active pour les nouveaux-venus. C’est moins que l’augmentation de 10 % environ demandée par Netflix en direct et toujours une bonne affaire, du moins si vous voulez bénéficier des autres contenus fournis par Canal+.
Le mail de Canal+ transmis à l’un des membres de la rédaction pour l’avertir de la hausse à venir. Image iGeneration.
Du côté de chez Free, il n’y a pour le moment aucune augmentation de prévue pour les abonnés qui bénéficient de Netflix. L’offre standard avec pub reste incluse avec l’abonnement Freebox Ultra et il faut toujours ajouter respectivement 7,5 € et 14 € par mois pour passer sur l’offre Standard ou Premium. On ne sait pas si le fournisseur d’accès à internet de Xavier Niel a prévu des augmentations, cela dépend sans doute du contrat signé avec Netflix.
Chez Orange, il n’y a pas de Netflix offert de toute manière, mais les offres en fibre optique haut de gamme intègrent toujours d’une réduction de 5 € par mois sur le service de streaming. Pour l’heure, cela ne change pas non plus.
Netflix a augmenté ses tarifs en France la semaine dernière et tous ceux qui sont abonnés directement au service de streaming paieront plus cher dès leur prochain renouvellement. Pour ceux qui passent par un service tiers, la situation est plus compliquée et dépend de chaque offre. Ainsi, Canal+ intègre Netflix sur certaines offres, en version Standard avec ou sans publicités selon le prix payé et comme le tarif de base de ces offres ne change pas, on peut dire que l’entreprise française a absorbé la hausse de prix pour les abonnés concernés.
En revanche, l’option Premium qui active notamment la 4K est facturée en plus de l’abonnement de base et elle va encore augmenter. Canal+ a prévenu ses abonnés d’une hausse de… 50 centimes, seulement. L’option passera de 6,5 à 7 € par mois à partir des factures de juin 2025, tandis que la hausse est déjà active pour les nouveaux-venus. C’est moins que l’augmentation de 10 % environ demandée par Netflix en direct et toujours une bonne affaire, du moins si vous voulez bénéficier des autres contenus fournis par Canal+.
Le mail de Canal+ transmis à l’un des membres de la rédaction pour l’avertir de la hausse à venir. Image iGeneration.
Du côté de chez Free, il n’y a pour le moment aucune augmentation de prévue pour les abonnés qui bénéficient de Netflix. L’offre standard avec pub reste incluse avec l’abonnement Freebox Ultra et il faut toujours ajouter respectivement 7,5 € et 14 € par mois pour passer sur l’offre Standard ou Premium. On ne sait pas si le fournisseur d’accès à internet de Xavier Niel a prévu des augmentations, cela dépend sans doute du contrat signé avec Netflix.
Chez Orange, il n’y a pas de Netflix offert de toute manière, mais les offres en fibre optique haut de gamme intègrent toujours d’une réduction de 5 € par mois sur le service de streaming. Pour l’heure, cela ne change pas non plus.
En renommant son iPhone SE, Apple semblait indiquer que l’iPhone entrée de gamme allait être renouvelé plus souvent. Après l’iPhone 16e de 2025, aura-t-on droit à un iPhone 17e l’an prochain ? Oui, si l’on en croit une rumeur qui vient de Chine : d’après une publication de Fixed Focus Digital sur Weibo, le successeur de l’iPhone 16e serait en passe d’entrer dans la phase de production pilote, ce qui irait dans le sens d’une sortie dès l’année prochaine. Le fuiteur croit même savoir qu’Apple viserait une commercialisation à la fin du mois de mai 2026, une information étonnamment précise.
Image iGeneration.
Si l’on peut apporter du crédit à la source du jour, c’est que le même compte sur Weibo avait été le premier à relever un changement d’identité pour celui qu’on nommait encore iPhone SE4. C’était à la fin de l’année 2024 et il avait vu juste sur le nouveau nom en annonçant que le smartphone sortirait sous l’appellation iPhone 16e. Il a manifestement de bonnes sources dans la chaîne de production, alors on peut prêter un œil plus attentif à ses dernières informations.
Que l’iPhone 17e sorte à l’hiver 2026, pile un an après son prédécesseur, ou bien plutôt à la fin du printemps, peu importe. Il semble bien qu’Apple compte désormais le renouveler tous les ans, ce qui inscrit davantage dans l’idée d’une famille annuelle d’iPhone, tous réunis par quelques caractéristiques importantes. Pour le 16e, c’est Apple Intelligence qui a fait le lien, on ne sait pas encore ce qu’il pourrait en être l’an prochain.
En renommant son iPhone SE, Apple semblait indiquer que l’iPhone entrée de gamme allait être renouvelé plus souvent. Après l’iPhone 16e de 2025, aura-t-on droit à un iPhone 17e l’an prochain ? Oui, si l’on en croit une rumeur qui vient de Chine : d’après une publication de Fixed Focus Digital sur Weibo, le successeur de l’iPhone 16e serait en passe d’entrer dans la phase de production pilote, ce qui irait dans le sens d’une sortie dès l’année prochaine. Le fuiteur croit même savoir qu’Apple viserait une commercialisation à la fin du mois de mai 2026, une information étonnamment précise.
Image iGeneration.
Si l’on peut apporter du crédit à la source du jour, c’est que le même compte sur Weibo avait été le premier à relever un changement d’identité pour celui qu’on nommait encore iPhone SE4. C’était à la fin de l’année 2024 et il avait vu juste sur le nouveau nom en annonçant que le smartphone sortirait sous l’appellation iPhone 16e. Il a manifestement de bonnes sources dans la chaîne de production, alors on peut prêter un œil plus attentif à ses dernières informations.
Que l’iPhone 17e sorte à l’hiver 2026, pile un an après son prédécesseur, ou bien plutôt à la fin du printemps, peu importe. Il semble bien qu’Apple compte désormais le renouveler tous les ans, ce qui inscrit davantage dans l’idée d’une famille annuelle d’iPhone, tous réunis par quelques caractéristiques importantes. Pour le 16e, c’est Apple Intelligence qui a fait le lien, on ne sait pas encore ce qu’il pourrait en être l’an prochain.
Alors que la précédente app qui permettait de regarder des vidéos sur l’écran de CarPlay vient d’être bloquée par Apple, en voici une autre ! TDS Video (gratuit) est disponible depuis peu sur la boutique officielle de l’iPhone et elle permet effectivement de lire des vidéos sur un autoradio CarPlay ou l’écran dédié d’une voiture, ce qui est normalement interdit par les règles de validation de l’App Store. Elle ne restera sans doute pas longtemps en ligne, alors si l’idée vous intéresse, dépêchez-vous de la télécharger, sachant qu’elle a l’avantage d’être entièrement gratuite et sans publicité.
TDS Video d’après sa fiche App Store : écran principal à gauche, la sélection de l’app pour l’enregistrement de l’écran au centre et l’écran de contrôle sur le contenu à droite. Images App Store.
Le fonctionnement de TDS Video est assez particulier et expliqué dans cette vidéo de présentation qui fait aussi office de tutoriel. Le développeur a détourné la fonctionnalité d’iOS qui permet d’enregistrer l’écran d’un iPhone, pour transmettre le flux vidéo vers CarPlay. C’est de la bricole, qui permet malgré tout effectivement de diffuser une vidéo depuis certains sites, dont YouTube, ou encore un fichier stocké en local sur l’iPhone. Notons d’emblée que toutes les vidéos protégées par DRM, en particulier celles de Netflix et les autres sites de streaming similaires, ne pourront pas être visualisées par ce biais.
D’après le lecteur qui nous a envoyé l’information, l’app fonctionne très bien. Cela fait un mois qu’il la testait grâce à une bêta diffusée sur TestFlight, où les règles de validation de l’App Store ne s’appliquent pas. Maintenant que TDS Video est disponible publiquement, on imagine qu’Apple réagira rapidement et supprimera l’app, mais en attendant, vous pouvez en profiter. iOS 16.5 est nécessaire au minimum et l’app demande un accès à la localisation de l’iPhone pour vérifier que vous ne bougez pas, sans quoi la diffusion de vidéos sera automatiquement bloquée pour des raisons de sécurité.
Alors que la précédente app qui permettait de regarder des vidéos sur l’écran de CarPlay vient d’être bloquée par Apple, en voici une autre ! TDS Video (gratuit) est disponible depuis peu sur la boutique officielle de l’iPhone et elle permet effectivement de lire des vidéos sur un autoradio CarPlay ou l’écran dédié d’une voiture, ce qui est normalement interdit par les règles de validation de l’App Store. Elle ne restera sans doute pas longtemps en ligne, alors si l’idée vous intéresse, dépêchez-vous de la télécharger, sachant qu’elle a l’avantage d’être entièrement gratuite et sans publicité.
TDS Video d’après sa fiche App Store : écran principal à gauche, la sélection de l’app pour l’enregistrement de l’écran au centre et l’écran de contrôle sur le contenu à droite. Images App Store.
Le fonctionnement de TDS Video est assez particulier et expliqué dans cette vidéo de présentation qui fait aussi office de tutoriel. Le développeur a détourné la fonctionnalité d’iOS qui permet d’enregistrer l’écran d’un iPhone, pour transmettre le flux vidéo vers CarPlay. C’est de la bricole, qui permet malgré tout effectivement de diffuser une vidéo depuis certains sites, dont YouTube, ou encore un fichier stocké en local sur l’iPhone. Notons d’emblée que toutes les vidéos protégées par DRM, en particulier celles de Netflix et les autres sites de streaming similaires, ne pourront pas être visualisées par ce biais.
D’après le lecteur qui nous a envoyé l’information, l’app fonctionne très bien. Cela fait un mois qu’il la testait grâce à une bêta diffusée sur TestFlight, où les règles de validation de l’App Store ne s’appliquent pas. Maintenant que TDS Video est disponible publiquement, on imagine qu’Apple réagira rapidement et supprimera l’app, mais en attendant, vous pouvez en profiter. iOS 16.5 est nécessaire au minimum et l’app demande un accès à la localisation de l’iPhone pour vérifier que vous ne bougez pas, sans quoi la diffusion de vidéos sera automatiquement bloquée pour des raisons de sécurité.
MacWhisper porte désormais assez mal son nom, puisqu’il ne s’agit plus seulement d’une app pour le Mac. Cet outil de transcription de l’audio grâce au modèle Whisper conçu par OpenAI est en effet désormais disponible sur iOS, pour l’iPhone et l’iPad. L’app était déjà proposée sur l’App Store, nommée Whisper Transcription sans doute pour éviter des problèmes avec Apple autour du nom de ses ordinateurs et il s’agit maintenant d’une app universelle, compatible avec le Mac, l’iPhone et l’iPad.
Whisper Transcription sur un iPhone. Image iGeneration.
Le principe général est le même que pour la version macOS, même si la première version de l’app iOS est nettement plus simple. Elle peut ouvrir un fichier audio depuis l’app Fichiers, depuis le menu de partage ou encore en enregistrant directement l’audio avec les microphones intégrés. La transcription se fera dans la foulée, par défaut en ligne par le biais de Groq (à ne pas confondre avec celui de xAI), même s’il est possible de télécharger un modèle sur l’appareil pour un fonctionnement entièrement en local. Comptez 600 Mo de téléchargement, puis quelques dizaines de seconde de traitement et le modèle local sera disponible.
Sur mon iPhone 16 Pro, la transcription en local d’un fichier audio de 55 minutes demande un peu moins de 4 minutes et rend l’appareil bien tiède. Pour le moment, cette fonctionnalité est réservée aux iPhone 15 Pro et iPhone 16, mais les développeurs espèrent l’apporter à d’anciennes générations, si possible jusqu’aux iPhone 13. La transcription en ligne reste disponible pour les autres, même si elle est alors limitée aux fichiers de 25 Mo au maximum. Les créateurs de Whisper Transcription ne précisent pas le modèle exact utilisé sous le capot, même si un modèle Whisper Small multilingue semblerait assez cohérent par rapport à l’espace utilisé et les fonctionnalités proposées.
Une fois la transcription obtenue, vous pourrez demander un résumé généré par une IA distante qui n’est pas précisée (probablement également Groq). Attention, il n’y a pas de confirmation quand on touche les boutons « Summary » et « Prompt », le texte sera automatiquement transmis au service distant pour être traité, ce qui n’est pas l’idéal d’un point de vue confidentialité. Malheureusement, ces fonctionnalités ne peuvent pas encore être désactivées, cela viendra peut-être. Si vous comptez l’utiliser avec de l’audio confidentiel, le mieux est encore d’activer le mode avion de votre iPhone ou iPad, cela n’empêchera aucunement la transcription en local… ou alors de ne pas payer.
Résumé à gauche, interrogation à l’aide d’une IA à droite : les deux fonctionnalités additionnelles pour les transcriptions. Image iGeneration.
Whisper Transcribe peut en effet être téléchargée gratuitement et l’app fonctionne sans payer si on utilise le modèle local. Un abonnement est nécessaire pour la transcription en ligne et les autres fonctionnalités liées à l’IA, avec deux formules : 6,99 € pour une semaine ou bien 9,99 € par mois. Trois jours d’essais gratuits sont prévus.
L’app nécessite iOS 17 au minimum, son interface n’est pas traduite en français.
MacWhisper porte désormais assez mal son nom, puisqu’il ne s’agit plus seulement d’une app pour le Mac. Cet outil de transcription de l’audio grâce au modèle Whisper conçu par OpenAI est en effet désormais disponible sur iOS, pour l’iPhone et l’iPad. L’app était déjà proposée sur l’App Store, nommée Whisper Transcription sans doute pour éviter des problèmes avec Apple autour du nom de ses ordinateurs et il s’agit maintenant d’une app universelle, compatible avec le Mac, l’iPhone et l’iPad.
Whisper Transcription sur un iPhone. Image iGeneration.
Le principe général est le même que pour la version macOS, même si la première version de l’app iOS est nettement plus simple. Elle peut ouvrir un fichier audio depuis l’app Fichiers, depuis le menu de partage ou encore en enregistrant directement l’audio avec les microphones intégrés. La transcription se fera dans la foulée, par défaut en ligne par le biais de Groq (à ne pas confondre avec celui de xAI), même s’il est possible de télécharger un modèle sur l’appareil pour un fonctionnement entièrement en local. Comptez 600 Mo de téléchargement, puis quelques dizaines de seconde de traitement et le modèle local sera disponible.
Sur mon iPhone 16 Pro, la transcription en local d’un fichier audio de 55 minutes demande un peu moins de 4 minutes et rend l’appareil bien tiède. Pour le moment, cette fonctionnalité est réservée aux iPhone 15 Pro et iPhone 16, mais les développeurs espèrent l’apporter à d’anciennes générations, si possible jusqu’aux iPhone 13. La transcription en ligne reste disponible pour les autres, même si elle est alors limitée aux fichiers de 25 Mo au maximum. Les créateurs de Whisper Transcription ne précisent pas le modèle exact utilisé sous le capot, même si un modèle Whisper Small multilingue semblerait assez cohérent par rapport à l’espace utilisé et les fonctionnalités proposées.
Une fois la transcription obtenue, vous pourrez demander un résumé généré par une IA distante qui n’est pas précisée (probablement également Groq). Attention, il n’y a pas de confirmation quand on touche les boutons « Summary » et « Prompt », le texte sera automatiquement transmis au service distant pour être traité, ce qui n’est pas l’idéal d’un point de vue confidentialité. Malheureusement, ces fonctionnalités ne peuvent pas encore être désactivées, cela viendra peut-être. Si vous comptez l’utiliser avec de l’audio confidentiel, le mieux est encore d’activer le mode avion de votre iPhone ou iPad, cela n’empêchera aucunement la transcription en local… ou alors de ne pas payer.
Résumé à gauche, interrogation à l’aide d’une IA à droite : les deux fonctionnalités additionnelles pour les transcriptions. Image iGeneration.
Whisper Transcribe peut en effet être téléchargée gratuitement et l’app fonctionne sans payer si on utilise le modèle local. Un abonnement est nécessaire pour la transcription en ligne et les autres fonctionnalités liées à l’IA, avec deux formules : 6,99 € pour une semaine ou bien 9,99 € par mois. Trois jours d’essais gratuits sont prévus.
L’app nécessite iOS 17 au minimum, son interface n’est pas traduite en français.
Barbee (7,99 €) n’a rien à voir avec la célèbre poupée de Mattel, cet utilitaire est une alternative à Bartender. Comme cette dernière, l’app permet principalement de nettoyer la barre des menus de macOS en masquant par défaut la plupart des icônes qui viennent parfois s’entasser dans le coin supérieur droit de l’écran de son Mac. Une fois active, elle vient masquer tous les éléments, sauf ceux que vous décidez de garder en permanence à l’écran, et les affiche ensuite au survol du curseur ou bien en utilisant l’une des multiples autres options proposées par le développeur.
Barbee en action avec plusieurs fonctionnalités : la barre des menus qui se masque sauf au survol, deux widgets (bleu et vert) et le logo d’Apple modifié en haut à gauche. Image MacGeneration.
L’app n’est pas nouvelle, loin de là, et cela se sent quand on l’essaie. Barbee propose énormément de fonctionnalités, à tel point qu’il faut prendre un petit peu de temps au départ pour en faire le tour. Il existe deux grandes manières d’afficher les icônes, soit directement dans la barre des menus, soit dans une deuxième barre en dessous. On peut ajuster les différentes méthodes pour afficher toutes les icônes, y compris en utilisant un raccourci clavier. Il y a aussi des réglages pour personnaliser l’interface d’Apple, en changeant la pomme sur la gauche ou bien en masquant l’encoche présente sur les Mac portables.
On peut même créer des widgets avec Barbee, des éléments d’interface qui flottent au-dessus des fenêtres de macOS et qui affichent l’un des éléments de la barre des menus. Si vous utilisez un outil de surveillance des performances du Mac, comme iStat menus, vous pouvez ainsi garder un œil sur des statistiques tout en gardant une barre nettoyée. Enfin, on peut créer des profils avec des configurations spécifiques et même des automatisations pour ajuster les paramètres en fonction d’autres critères.
Face à un Bartender au destin plus ou moins incertain depuis son changement de propriétaire l’an dernier, Barbee est une alternative qui mérite le détour si vous cherchez une app dans cette catégorie. Distribuée exclusivement sur le Mac App Store, elle est gratuite au téléchargement et propose un mode démo gratuit pendant trois jours. Au-delà, deux formules sont proposées : soit un achat définitif à 7,99 €, soit un abonnement annuel à 2,99 €.
Barbee nécessite macOS 11 au minimum et son interface est traduite en français. Comme toutes les apps de ce genre, elles doivent avoir accès à l’écran pour modifier la barre des menus.
Barbee (7,99 €) n’a rien à voir avec la célèbre poupée de Mattel, cet utilitaire est une alternative à Bartender. Comme cette dernière, l’app permet principalement de nettoyer la barre des menus de macOS en masquant par défaut la plupart des icônes qui viennent parfois s’entasser dans le coin supérieur droit de l’écran de son Mac. Une fois active, elle vient masquer tous les éléments, sauf ceux que vous décidez de garder en permanence à l’écran, et les affiche ensuite au survol du curseur ou bien en utilisant l’une des multiples autres options proposées par le développeur.
Barbee en action avec plusieurs fonctionnalités : la barre des menus qui se masque sauf au survol, deux widgets (bleu et vert) et le logo d’Apple modifié en haut à gauche. Image MacGeneration.
L’app n’est pas nouvelle, loin de là, et cela se sent quand on l’essaie. Barbee propose énormément de fonctionnalités, à tel point qu’il faut prendre un petit peu de temps au départ pour en faire le tour. Il existe deux grandes manières d’afficher les icônes, soit directement dans la barre des menus, soit dans une deuxième barre en dessous. On peut ajuster les différentes méthodes pour afficher toutes les icônes, y compris en utilisant un raccourci clavier. Il y a aussi des réglages pour personnaliser l’interface d’Apple, en changeant la pomme sur la gauche ou bien en masquant l’encoche présente sur les Mac portables.
On peut même créer des widgets avec Barbee, des éléments d’interface qui flottent au-dessus des fenêtres de macOS et qui affichent l’un des éléments de la barre des menus. Si vous utilisez un outil de surveillance des performances du Mac, comme iStat menus, vous pouvez ainsi garder un œil sur des statistiques tout en gardant une barre nettoyée. Enfin, on peut créer des profils avec des configurations spécifiques et même des automatisations pour ajuster les paramètres en fonction d’autres critères.
Face à un Bartender au destin plus ou moins incertain depuis son changement de propriétaire l’an dernier, Barbee est une alternative qui mérite le détour si vous cherchez une app dans cette catégorie. Distribuée exclusivement sur le Mac App Store, elle est gratuite au téléchargement et propose un mode démo gratuit pendant trois jours. Au-delà, deux formules sont proposées : soit un achat définitif à 7,99 €, soit un abonnement annuel à 2,99 €.
Barbee nécessite macOS 11 au minimum et son interface est traduite en français. Comme toutes les apps de ce genre, elles doivent avoir accès à l’écran pour modifier la barre des menus.
Dans sa dernière publicité, Apple évoque l’une des fonctionnalités d’Apple Intelligence qui existent déjà sur tous les appareils compatibles et qui en plus est utile. La vidéo plutôt amusante met en avant la gomme magique intégrée à l’app Photos pour effacer discrètement la photographe malencontreusement placée dans l’axe d’un miroir. Contrairement à la publicité pour le nouveau Siri, celle-ci devrait rester en ligne…
Microsoft a récemment annoncé une nouveauté pour la version iOS de Word, son célèbre traitement de texte. Sur l’iPhone, l’app est désormais capable de créer un document à partir de notes vocales, en reposant sur l’intelligence de Copilot pour comprendre ce que vous dites et l’organiser de manière structurée, comme si vous le faisiez avec un clavier. L’idée est de simplifier la création de documents complexes sur un appareil mobile où la saisie de texte n’est pas simple.
La fonctionnalité en action. Image Microsoft.
L’intelligence artificielle à la manœuvre derrière Copilot doit faire le gros du travail de transcription et surtout de mise en forme à votre place et créer un document à peu près correct, qui pourra toujours être ajusté par la suite sur un ordinateur. Microsoft a prévu par défaut trois domaines différents pour aider l’IA à organiser vos paroles : on peut créer soit un document avec des sections, soit des notes libres organisées logiquement en paragraphes, soit un courriel. Les utilisateurs pourront ajouter d’autres modes, en indiquant alors à Copilot le type de document qu’il doit générer.
Une fois le mode choisi, il suffit d’enregistrer le texte à l’aide d’un microphone, comme celui intégré à l’iPhone. Word se charge de transmettre l’audio à Copilot pour une transcription intelligente, qui s’adapte au mode demandé et à ce que vous dites pour tenter de déterminer comment organiser le texte. À la fin de ce processus, l’app affichera un aperçu et il est alors possible soit de conserver le document tel quel, soit de le modifier à la main, soit encore de le repasser à la moulinette de l’IA pour obtenir un résultat différent. C’est en effet la grande force ou faiblesse des grands modèles de langage qui sont à la manœuvre, ils ne donnent pas des réponses uniques à une même demande.
Les trois formats par défaut pris en charge par Word pour cette nouveauté. Image Microsoft.
Cette fonctionnalité est disponible dès à présent dans cinq langues, dont le français. Pour l’exploiter, vous aurez besoin de Word pour iOS (version 2.96 au minimum) associé à une licence de Copilot, ce qui semble encore réservé aux entreprises en France. Microsoft compte étendre la fonctionnalité à d’autres langues et pays prochainement.
Dans sa dernière publicité, Apple évoque l’une des fonctionnalités d’Apple Intelligence qui existent déjà sur tous les appareils compatibles et qui en plus est utile. La vidéo plutôt amusante met en avant la gomme magique intégrée à l’app Photos pour effacer discrètement la photographe malencontreusement placée dans l’axe d’un miroir. Contrairement à la publicité pour le nouveau Siri, celle-ci devrait rester en ligne…
Microsoft a récemment annoncé une nouveauté pour la version iOS de Word, son célèbre traitement de texte. Sur l’iPhone, l’app est désormais capable de créer un document à partir de notes vocales, en reposant sur l’intelligence de Copilot pour comprendre ce que vous dites et l’organiser de manière structurée, comme si vous le faisiez avec un clavier. L’idée est de simplifier la création de documents complexes sur un appareil mobile où la saisie de texte n’est pas simple.
La fonctionnalité en action. Image Microsoft.
L’intelligence artificielle à la manœuvre derrière Copilot doit faire le gros du travail de transcription et surtout de mise en forme à votre place et créer un document à peu près correct, qui pourra toujours être ajusté par la suite sur un ordinateur. Microsoft a prévu par défaut trois domaines différents pour aider l’IA à organiser vos paroles : on peut créer soit un document avec des sections, soit des notes libres organisées logiquement en paragraphes, soit un courriel. Les utilisateurs pourront ajouter d’autres modes, en indiquant alors à Copilot le type de document qu’il doit générer.
Une fois le mode choisi, il suffit d’enregistrer le texte à l’aide d’un microphone, comme celui intégré à l’iPhone. Word se charge de transmettre l’audio à Copilot pour une transcription intelligente, qui s’adapte au mode demandé et à ce que vous dites pour tenter de déterminer comment organiser le texte. À la fin de ce processus, l’app affichera un aperçu et il est alors possible soit de conserver le document tel quel, soit de le modifier à la main, soit encore de le repasser à la moulinette de l’IA pour obtenir un résultat différent. C’est en effet la grande force ou faiblesse des grands modèles de langage qui sont à la manœuvre, ils ne donnent pas des réponses uniques à une même demande.
Les trois formats par défaut pris en charge par Word pour cette nouveauté. Image Microsoft.
Cette fonctionnalité est disponible dès à présent dans cinq langues, dont le français. Pour l’exploiter, vous aurez besoin de Word pour iOS (version 2.96 au minimum) associé à une licence de Copilot, ce qui semble encore réservé aux entreprises en France. Microsoft compte étendre la fonctionnalité à d’autres langues et pays prochainement.
Comme on pouvait s’y attendre, la fonctionnalité n’est pas restée longtemps dans l’app. Sidecar a reçu une mise à jour discrète hier en fin de journée et la version 2.3.5 retire le lecteur vidéo qui n’aurait jamais dû trouver place dans CarPlay. Comme le note 9To5 Mac, le développeur communique dans l’app pour indiquer que le retrait s’est fait suite à une requête d’Apple et que l’entreprise remboursera l’achat in-app concerné à tous ceux qui en font la demande.
Article original
Le développeur de Sidecar (achats in-app), une app dédiée à la lecture d’informations transmises par les voitures en utilisant la prise OBD, a réussi à ajouter une fonctionnalité normalement interdite dans la version destinée à CarPlay. Avec la dernière mise à jour de l’app, il propose aussi un lecteur vidéo, qui permet notamment d’accéder à YouTube. Certes, la fonctionnalité n’est censée être proposée que lorsque le véhicule est à l’arrêt et garé, mais ça n’en est pas moins interdit par Apple.
Le constructeur de l’iPhone garde en effet un contrôle très strict sur CarPlay et interdit notamment toute diffusion de vidéo. Une app comme VLC peut exister sur CarPlay, mais uniquement pour diffuser du son, l’image reste interdite sur l’écran des voitures et ce, même à l’arrêt. Alors, pourquoi est-ce que Sidecar propose cette fonctionnalité ? C’est très certainement une erreur de la part de l’équipe de validation de l’App Store, ce qui est probable sachant que l’app existe depuis plusieurs années et que, contrairement à ce que la Pomme avance souvent, il n’y a en réalité pas de validation manuelle systématique sur la boutique.
Cette erreur sera probablement rapidement corrigée et la mise à jour, voire l’app entière, sera retirée le temps que la fonctionnalité soit supprimée. Si vous voulez tester, ne trainez pas trop, en gardant en tête que ce lecteur vidéo intégré est payant. Sidecar est une app gratuite au téléchargement, même si ses fonctionnalités sont associées à des achats in-app ou abonnements. Pour la nouveauté normalement interdite, c’est un achat unique de 9,99 € qu’il faut prévoir. Apple devrait rembourser sans trop discuter les clients qui auront payé juste avant la suppression de la fonction, mais cela reste un petit risque à prendre si vous voulez vraiment tester.
Sidecar nécessite iOS 18, son interface est traduite en français.
Comme on pouvait s’y attendre, la fonctionnalité n’est pas restée longtemps dans l’app. Sidecar a reçu une mise à jour discrète hier en fin de journée et la version 2.3.5 retire le lecteur vidéo qui n’aurait jamais dû trouver place dans CarPlay. Comme le note 9To5 Mac, le développeur communique dans l’app pour indiquer que le retrait s’est fait suite à une requête d’Apple et que l’entreprise remboursera l’achat in-app concerné à tous ceux qui en font la demande.
Article original
Le développeur de Sidecar (achats in-app), une app dédiée à la lecture d’informations transmises par les voitures en utilisant la prise OBD, a réussi à ajouter une fonctionnalité normalement interdite dans la version destinée à CarPlay. Avec la dernière mise à jour de l’app, il propose aussi un lecteur vidéo, qui permet notamment d’accéder à YouTube. Certes, la fonctionnalité n’est censée être proposée que lorsque le véhicule est à l’arrêt et garé, mais ça n’en est pas moins interdit par Apple.
Le constructeur de l’iPhone garde en effet un contrôle très strict sur CarPlay et interdit notamment toute diffusion de vidéo. Une app comme VLC peut exister sur CarPlay, mais uniquement pour diffuser du son, l’image reste interdite sur l’écran des voitures et ce, même à l’arrêt. Alors, pourquoi est-ce que Sidecar propose cette fonctionnalité ? C’est très certainement une erreur de la part de l’équipe de validation de l’App Store, ce qui est probable sachant que l’app existe depuis plusieurs années et que, contrairement à ce que la Pomme avance souvent, il n’y a en réalité pas de validation manuelle systématique sur la boutique.
Cette erreur sera probablement rapidement corrigée et la mise à jour, voire l’app entière, sera retirée le temps que la fonctionnalité soit supprimée. Si vous voulez tester, ne trainez pas trop, en gardant en tête que ce lecteur vidéo intégré est payant. Sidecar est une app gratuite au téléchargement, même si ses fonctionnalités sont associées à des achats in-app ou abonnements. Pour la nouveauté normalement interdite, c’est un achat unique de 9,99 € qu’il faut prévoir. Apple devrait rembourser sans trop discuter les clients qui auront payé juste avant la suppression de la fonction, mais cela reste un petit risque à prendre si vous voulez vraiment tester.
Sidecar nécessite iOS 18, son interface est traduite en français.
À chaque fois que vous remerciez ChatGPT, ou un autre assistant basé de la même manière sur un grand modèle de langage, vous provoquez des calculs supplémentaires dans un data-center quelque part. Ces requêtes pour être poli avec les intelligences artificielles n’apportent rien de concret à l’utilisateur1, mais elles coûtent cher aux gestionnaires de ces outils. Et pas qu’un peu, si l’on en croit Sam Altman : le CEO d’OpenAI a indiqué sur X en fin de semaine dernière que cette politesse coûtait à son entreprise « des dizaines de millions de dollars » en électricité, rien que ça.
Oups, désolé Sam. Image MacGeneration.
Le patron de ChatGPT considère que cette somme est une dépense justifiée, peut-être une précaution si les IA devenaient vraiment intelligentes et omnipotentes dans le futur. C’est en tout cas un chiffre qui donne le vertige. Si générer des réponses aux remerciements et autres politesses des utilisateurs de ChatGPT provoque de telles dépenses, c’est à la fois le signe du succès incroyable de l’assistant à tout faire d’OpenAI et aussi (surtout ?) de son inefficacité énergétique.
On sait que les grands modèles de langage demandent énormément de puissance de calcul, ce qui signifie qu’ils consomment aussi beaucoup d’électricité, ce qui a un coût pour celui qui les fait tourner ainsi que pour l’environnement. Il est difficile d’évaluer précisément la consommation d’une question posée à ChatGPT, d’autant que cela varie fortement selon le modèle utilisé et la nature de la demande. Par exemple, générer une image est une tâche bien plus exigeante, à tel point que les immenses capacités de calcul d’OpenAI ne suffisaient plus lors du lancement du dernier modèle en date.
L’entreprise de Sam Altman n’a pas encore trouvé de bonne solution pour être rentable et elle préfère pour l’heure dépenser sans compter pour imposer ses outils auprès du grand public. Une manœuvre coûteuse, mais efficace si l’on en juge au succès de ChatGPT, y compris dans la culture populaire.
Quoi que : selon certains, être poli permet d’obtenir de meilleures réponses. ↩︎
À chaque fois que vous remerciez ChatGPT, ou un autre assistant basé de la même manière sur un grand modèle de langage, vous provoquez des calculs supplémentaires dans un data-center quelque part. Ces requêtes pour être poli avec les intelligences artificielles n’apportent rien de concret à l’utilisateur1, mais elles coûtent cher aux gestionnaires de ces outils. Et pas qu’un peu, si l’on en croit Sam Altman : le CEO d’OpenAI a indiqué sur X en fin de semaine dernière que cette politesse coûtait à son entreprise « des dizaines de millions de dollars » en électricité, rien que ça.
Oups, désolé Sam. Image MacGeneration.
Le patron de ChatGPT considère que cette somme est une dépense justifiée, peut-être une précaution si les IA devenaient vraiment intelligentes et omnipotentes dans le futur. C’est en tout cas un chiffre qui donne le vertige. Si générer des réponses aux remerciements et autres politesses des utilisateurs de ChatGPT provoque de telles dépenses, c’est à la fois le signe du succès incroyable de l’assistant à tout faire d’OpenAI et aussi (surtout ?) de son inefficacité énergétique.
On sait que les grands modèles de langage demandent énormément de puissance de calcul, ce qui signifie qu’ils consomment aussi beaucoup d’électricité, ce qui a un coût pour celui qui les fait tourner ainsi que pour l’environnement. Il est difficile d’évaluer précisément la consommation d’une question posée à ChatGPT, d’autant que cela varie fortement selon le modèle utilisé et la nature de la demande. Par exemple, générer une image est une tâche bien plus exigeante, à tel point que les immenses capacités de calcul d’OpenAI ne suffisaient plus lors du lancement du dernier modèle en date.
L’entreprise de Sam Altman n’a pas encore trouvé de bonne solution pour être rentable et elle préfère pour l’heure dépenser sans compter pour imposer ses outils auprès du grand public. Une manœuvre coûteuse, mais efficace si l’on en juge au succès de ChatGPT, y compris dans la culture populaire.
Quoi que : selon certains, être poli permet d’obtenir de meilleures réponses. ↩︎
Les Apple Watch sont régulièrement en promotion, mais c’est plus rare sur les modèles cellulaires et en France. C’est pourquoi cette offre est intéressante : Amazon France réduit le prix d’une Apple Watch Series 10 cellulaire de 42 mm, le « petit » format et la vend 449,99 €, soit une réduction de 21 % par rapport à son prix officiel de 569 €. Une seule configuration est proposée à ce tarif, avec une montre en aluminium couleur naturelle (argent) et le bracelet Boucle Sport en bleu clair. Si elle vous convient, c’est une bonne affaire et le prix le plus bas sur Amazon France.
Image WatchGeneration.
La Series 10 est la dernière génération d’Apple Watch et elle se distingue des précédentes par son design légèrement affiné. Ce n’est pas le jour et la nuit, mais ce sera plus confortable au poignet. Elle intègre aussi les dernières nouveautés techniques pour la montre connectée d’Apple, ce qui lui assurera une longue longévité. Si l’on ne sait pas ce que le constructeur a prévu pour les Series 11, on ne s’attend pas à une mise à jour majeure cette année, alors c’est un bon moment pour acheter le produit.
La version cellulaire peut être associée à un forfait pour l’utiliser de façon plus indépendante, sans dépendre d’un iPhone à proximité. Comptez par exemple 5 € par mois chez Orange ou Sosh, avec trois mois offerts pour tester la fonctionnalité sans risque.
Les Apple Watch sont régulièrement en promotion, mais c’est plus rare sur les modèles cellulaires et en France. C’est pourquoi cette offre est intéressante : Amazon France réduit le prix d’une Apple Watch Series 10 cellulaire de 42 mm, le « petit » format et la vend 449,99 €, soit une réduction de 21 % par rapport à son prix officiel de 569 €. Une seule configuration est proposée à ce tarif, avec une montre en aluminium couleur naturelle (argent) et le bracelet Boucle Sport en bleu clair. Si elle vous convient, c’est une bonne affaire et le prix le plus bas sur Amazon France.
Image WatchGeneration.
La Series 10 est la dernière génération d’Apple Watch et elle se distingue des précédentes par son design légèrement affiné. Ce n’est pas le jour et la nuit, mais ce sera plus confortable au poignet. Elle intègre aussi les dernières nouveautés techniques pour la montre connectée d’Apple, ce qui lui assurera une longue longévité. Si l’on ne sait pas ce que le constructeur a prévu pour les Series 11, on ne s’attend pas à une mise à jour majeure cette année, alors c’est un bon moment pour acheter le produit.
La version cellulaire peut être associée à un forfait pour l’utiliser de façon plus indépendante, sans dépendre d’un iPhone à proximité. Comptez par exemple 5 € par mois chez Orange ou Sosh, avec trois mois offerts pour tester la fonctionnalité sans risque.
Le constructeur automobile chinois Nio a lancé en fin de semaine dernière une nouvelle marque dans son propre pays avec l’ouverture des précommandes de la Firefly. Cela nous intéresse, car cette marque et cette voiture exclusivement électriques ont été pensées spécifiquement pour le marché européen. La Firefly sera rapidement distribuée en Europe, où elle viendra concurrencer directement de multiples modèles locaux, avec en ligne de mire la Renault 5 revisitée ou encore la Mini. Comme ces deux voitures ou encore la regrettée Honda e, la marque chinoise a en effet particulièrement soigné le design, avec une proposition très originale.
La Firefly se distingue d’abord par ces feux en trois morceaux, une idée très originale qui lui donne une personnalité. Image Firefly.On retrouve la même signature lumineuse à l’arrière. Image Firefly.La voiture ne dépasse pas les 4 mètres de long, ce qui en fait une excellente candidate pour les villes européennes. Les roues ont été placées aux quatre coins pour maximiser l’espace intérieur. Image Firefly.
Difficile de passer à côté quand on regarde la voiture : les feux à l’avant comme à l’arrière adoptent un format rarement vu, avec trois ronds pour chaque bloc de phares. Cela donne à la Firefly une identité propre, très facile à reconnaître et le fabricant espère sans doute que ce sera aussi le cas sur les routes. En tout cas, si l’on peut souvent critiquer la production automobile chinoise pour son manque d’originalité en termes de design, on ne pourra clairement pas le faire pour ce modèle. Plus encore peut-être que sur les grandes berlines ou les omniprésents SUV, c’est manifestement un segment du marché qui demande des designs originaux.
Au-delà du style qui est une affaire de goût, Nio a conçu une voiture parfaitement adaptée à nos villes européennes. La Firefly mesure pile quatre mètres de long et 1,78 m de large, à peine plus que la Renault 5 (3,9 m de long et 1,77 m de large), mais elle offre un espace à bord inédit sur le segment. C’est vrai à l’avant, où le sentiment d’espace est renforcé par l’absence de toute console centrale entre le conducteur et le passager, ce qui permet d’ailleurs d’entrer ou sortir par l’autre portière sur les places de parking serrées. C’est encore plus vrai aux places arrières, point noir de la compacte conçue par la marque au losange.
L’avant de la Firefly est minimaliste façon Tesla, avec l’essentiel des contrôles regroupés sur l’écran central. Le système d’exploitation est maison et les premiers retours saluent l’originalité et la qualité de l’interface. Image Firefly.D’un point de vue pratique, l’absence de console centrale est un argument majeur avancé par le constructeur, même s’il y a en contrepartie moins de rangements et un seul porte-gobelet ainsi qu’un seul chargeur à induction. Image Firefly.L’arrière est également spacieux pour un véhicule de cette catégorie, même si les plus grands adultes seront forcément à l’étroit derrière d’autres grands adultes. Image Firefly.
C’est toujours vrai dans les coffres, car oui, il y en a deux. À l’arrière, la Firefly revendique 335 litres de capacité avec les sièges à l’arrière en place, ce qui est similaire à celui de la Renault 5 (326). Néanmoins, en baissant les sièges, on peut atteindre 1 250 litres d’après le constructeur et même un plancher quasiment plat, grâce à un astucieux mécanisme qui relève l’assise. Sous les assises, il y a d’ailleurs des petits rangements supplémentaires, tant à l’arrière que sous le siège passager à l’avant. Et si cela ne suffisait pas, Nio a installé un coffre à l’avant (frunk) avec une taille étonnante sur ce segment : 92 litres, de quoi caser une valise cabine ! À titre de comparaison, c’est plus grand encore que le frunk d’une Model 3, un véhicule pourtant bien plus imposant.
Côté habilité, évoquons aussi le diamètre de braquage exceptionnellement petit (9,4 m, c’est moins qu’une e-Up pourtant bien plus courte), permis par la position du moteur électrique sur l’essieu arrière. N’espérez pas une voiture de sport en revanche, ce n’est pas l’argument avec des performances apparemment moyennes et une orientation générale plutôt vers le confort, notamment du côté des suspensions. L’intérieur est lui aussi résolument premium, même si Firefly est censé représenter l’entrée de gamme chez Nio, avec une avalanche de fonctionnalités tant de confort que de sécurité, y compris la conduite semi-autonome. Il faudra néanmoins vérifier ce qui sera encore proposé sur le marché européen, nettement moins compétitif que la Chine.
Le coffre à l’arrière est déjà de taille très correcte… Image Firefly.… mais la Firefly se distingue surtout par l’immense frunk à l’avant. Pour parvenir à caser tout cet espace, le constructeur a toutefois sacrifié la pompe à chaleur. Image Firefly.Le frunk dispose même d’un drain qui permettra de le transformer en glacière ou en espace de stockage pour des affaires très sales. Image Firefly.
Sous les sièges, on retrouve une batterie LFP d’une capacité de 42,1 kWh, avec une autonomie officielle de 420 km selon le généreux standard chinois CLTC. Avec nos normes européennes plus strictes, il faudrait plutôt tabler autour des 340 km WLTP, ce qui serait mieux que la Renault 5 de base (312 km pour 40 kWh), mais sans option pour le moment pour une plus grosse batterie. Cela devrait toutefois venir, puisque la Firefly exploite le système de batteries à échanger qui a fait la réputation de Nio et une autre option plus généreuse devrait être proposée dans ce cadre. Ces stations d’échange existent aussi en Europe, même si ce ne sont pas les mêmes que pour les grandes voitures de Nio, alors on ne sait pas exactement si ce sera une possibilité ici.
Malheureusement, l’échange de batterie n’a pas incité Nio à offrir le meilleur de la charge pour sa petite voiture. En charge lente, chez soi ou sur les bornes de ville, on sera limité à 7 kW, soit autour de six heures pour une charge. En charge rapide, sur l’autoroute, la Firefly ne montera qu’à 100 kW, ce qui n’est pas génial en 2025 et il faudra s’attendre à des arrêts d’une bonne demi-heure, surtout si la batterie est froide. D’autant que la voiture n’est pas équipée d’une pompe à chaleur qui pourrait aider à réguler la température des cellules en hiver. Bon point en revanche, la voiture peut exporter de l’énergie avec une charge bi-directionnelle qui peut atteindre 3,6 kW.
Tout ceci est disponible en précommande en Chine à partir de 119 800 yuan, soit environ 14 425 €… ce qui correspond au segment premium dans le pays. Même si la Firefly sera forcément plus chère une fois importée en Europe, on peut s’attendre à un tarif compétitif, surtout quand en comparant le niveau d’équipement ou encore l’espace à bord. Le constructeur n’a pas encore annoncé de dates, alors il faudra faire preuve de patience, même si la commercialisation européenne est bel et bien prévue. On devrait en savoir plus au cours des prochains mois.
Le constructeur automobile chinois Nio a lancé en fin de semaine dernière une nouvelle marque dans son propre pays avec l’ouverture des précommandes de la Firefly. Cela nous intéresse, car cette marque et cette voiture exclusivement électriques ont été pensées spécifiquement pour le marché européen. La Firefly sera rapidement distribuée en Europe, où elle viendra concurrencer directement de multiples modèles locaux, avec en ligne de mire la Renault 5 revisitée ou encore la Mini. Comme ces deux voitures ou encore la regrettée Honda e, la marque chinoise a en effet particulièrement soigné le design, avec une proposition très originale.
La Firefly se distingue d’abord par ces feux en trois morceaux, une idée très originale qui lui donne une personnalité. Image Firefly.On retrouve la même signature lumineuse à l’arrière. Image Firefly.La voiture ne dépasse pas les 4 mètres de long, ce qui en fait une excellente candidate pour les villes européennes. Les roues ont été placées aux quatre coins pour maximiser l’espace intérieur. Image Firefly.
Difficile de passer à côté quand on regarde la voiture : les feux à l’avant comme à l’arrière adoptent un format rarement vu, avec trois ronds pour chaque bloc de phares. Cela donne à la Firefly une identité propre, très facile à reconnaître et le fabricant espère sans doute que ce sera aussi le cas sur les routes. En tout cas, si l’on peut souvent critiquer la production automobile chinoise pour son manque d’originalité en termes de design, on ne pourra clairement pas le faire pour ce modèle. Plus encore peut-être que sur les grandes berlines ou les omniprésents SUV, c’est manifestement un segment du marché qui demande des designs originaux.
Au-delà du style qui est une affaire de goût, Nio a conçu une voiture parfaitement adaptée à nos villes européennes. La Firefly mesure pile quatre mètres de long et 1,78 m de large, à peine plus que la Renault 5 (3,9 m de long et 1,77 m de large), mais elle offre un espace à bord inédit sur le segment. C’est vrai à l’avant, où le sentiment d’espace est renforcé par l’absence de toute console centrale entre le conducteur et le passager, ce qui permet d’ailleurs d’entrer ou sortir par l’autre portière sur les places de parking serrées. C’est encore plus vrai aux places arrières, point noir de la compacte conçue par la marque au losange.
L’avant de la Firefly est minimaliste façon Tesla, avec l’essentiel des contrôles regroupés sur l’écran central. Le système d’exploitation est maison et les premiers retours saluent l’originalité et la qualité de l’interface. Image Firefly.D’un point de vue pratique, l’absence de console centrale est un argument majeur avancé par le constructeur, même s’il y a en contrepartie moins de rangements et un seul porte-gobelet ainsi qu’un seul chargeur à induction. Image Firefly.L’arrière est également spacieux pour un véhicule de cette catégorie, même si les plus grands adultes seront forcément à l’étroit derrière d’autres grands adultes. Image Firefly.
C’est toujours vrai dans les coffres, car oui, il y en a deux. À l’arrière, la Firefly revendique 335 litres de capacité avec les sièges à l’arrière en place, ce qui est similaire à celui de la Renault 5 (326). Néanmoins, en baissant les sièges, on peut atteindre 1 250 litres d’après le constructeur et même un plancher quasiment plat, grâce à un astucieux mécanisme qui relève l’assise. Sous les assises, il y a d’ailleurs des petits rangements supplémentaires, tant à l’arrière que sous le siège passager à l’avant. Et si cela ne suffisait pas, Nio a installé un coffre à l’avant (frunk) avec une taille étonnante sur ce segment : 92 litres, de quoi caser une valise cabine ! À titre de comparaison, c’est plus grand encore que le frunk d’une Model 3, un véhicule pourtant bien plus imposant.
Côté habilité, évoquons aussi le diamètre de braquage exceptionnellement petit (9,4 m, c’est moins qu’une e-Up pourtant bien plus courte), permis par la position du moteur électrique sur l’essieu arrière. N’espérez pas une voiture de sport en revanche, ce n’est pas l’argument avec des performances apparemment moyennes et une orientation générale plutôt vers le confort, notamment du côté des suspensions. L’intérieur est lui aussi résolument premium, même si Firefly est censé représenter l’entrée de gamme chez Nio, avec une avalanche de fonctionnalités tant de confort que de sécurité, y compris la conduite semi-autonome. Il faudra néanmoins vérifier ce qui sera encore proposé sur le marché européen, nettement moins compétitif que la Chine.
Le coffre à l’arrière est déjà de taille très correcte… Image Firefly.… mais la Firefly se distingue surtout par l’immense frunk à l’avant. Pour parvenir à caser tout cet espace, le constructeur a toutefois sacrifié la pompe à chaleur. Image Firefly.Le frunk dispose même d’un drain qui permettra de le transformer en glacière ou en espace de stockage pour des affaires très sales. Image Firefly.
Sous les sièges, on retrouve une batterie LFP d’une capacité de 42,1 kWh, avec une autonomie officielle de 420 km selon le généreux standard chinois CLTC. Avec nos normes européennes plus strictes, il faudrait plutôt tabler autour des 340 km WLTP, ce qui serait mieux que la Renault 5 de base (312 km pour 40 kWh), mais sans option pour le moment pour une plus grosse batterie. Cela devrait toutefois venir, puisque la Firefly exploite le système de batteries à échanger qui a fait la réputation de Nio et une autre option plus généreuse devrait être proposée dans ce cadre. Ces stations d’échange existent aussi en Europe, même si ce ne sont pas les mêmes que pour les grandes voitures de Nio, alors on ne sait pas exactement si ce sera une possibilité ici.
Malheureusement, l’échange de batterie n’a pas incité Nio à offrir le meilleur de la charge pour sa petite voiture. En charge lente, chez soi ou sur les bornes de ville, on sera limité à 7 kW, soit autour de six heures pour une charge. En charge rapide, sur l’autoroute, la Firefly ne montera qu’à 100 kW, ce qui n’est pas génial en 2025 et il faudra s’attendre à des arrêts d’une bonne demi-heure, surtout si la batterie est froide. D’autant que la voiture n’est pas équipée d’une pompe à chaleur qui pourrait aider à réguler la température des cellules en hiver. Bon point en revanche, la voiture peut exporter de l’énergie avec une charge bi-directionnelle qui peut atteindre 3,6 kW.
Tout ceci est disponible en précommande en Chine à partir de 119 800 yuan, soit environ 14 425 €… ce qui correspond au segment premium dans le pays. Même si la Firefly sera forcément plus chère une fois importée en Europe, on peut s’attendre à un tarif compétitif, surtout quand en comparant le niveau d’équipement ou encore l’espace à bord. Le constructeur n’a pas encore annoncé de dates, alors il faudra faire preuve de patience, même si la commercialisation européenne est bel et bien prévue. On devrait en savoir plus au cours des prochains mois.
Si l’on en croit les rumeurs persistantes, Apple opterait pour un tout nouveau design au dos de ses futurs iPhone 17 Pro. Jusque-là ramassée dans le coin supérieur gauche, la zone surélevée autour des appareils photos grandirait tant qu’elle occuperait tout le haut de l’écran. Ce choix pourrait être une opportunité pour les créateurs d’accessoires, qui y voient une nouvelle façon originale de personnaliser son smartphone.
Des accessoiristes ont ainsi imaginé des protections qui viennent se positionner sur la zone surélevée, avec des trous pour chaque élément important (trois objectifs, flash et LiDAR) et un dessin pour la zone autour. L’image publiée par Majin Bu sur X donne quelques exemples de rendus que l’on pourrait espérer, sachant que n’importe quel dessin ou motif pourrait être reproduit de la sorte. On pourrait même imaginer d’autres matériaux, par exemple du bois ou alors du (faux) cuir comme sur une coque pour unifier davantage le dos de l’iPhone.
Les coques pour iPhone 17 Pro qui commencent à apparaître laissent voir un énorme trou pour toute la zone, sans interférer avec les caméras et tout le reste. Avec des décors comme ceux présentés ici, les utilisateurs pourraient quand même personnaliser cet espace. On verra dans quelques mois si c’est une tendance qui prend.
Si l’on en croit les rumeurs persistantes, Apple opterait pour un tout nouveau design au dos de ses futurs iPhone 17 Pro. Jusque-là ramassée dans le coin supérieur gauche, la zone surélevée autour des appareils photos grandirait tant qu’elle occuperait tout le haut de l’écran. Ce choix pourrait être une opportunité pour les créateurs d’accessoires, qui y voient une nouvelle façon originale de personnaliser son smartphone.
Des accessoiristes ont ainsi imaginé des protections qui viennent se positionner sur la zone surélevée, avec des trous pour chaque élément important (trois objectifs, flash et LiDAR) et un dessin pour la zone autour. L’image publiée par Majin Bu sur X donne quelques exemples de rendus que l’on pourrait espérer, sachant que n’importe quel dessin ou motif pourrait être reproduit de la sorte. On pourrait même imaginer d’autres matériaux, par exemple du bois ou alors du (faux) cuir comme sur une coque pour unifier davantage le dos de l’iPhone.
Les coques pour iPhone 17 Pro qui commencent à apparaître laissent voir un énorme trou pour toute la zone, sans interférer avec les caméras et tout le reste. Avec des décors comme ceux présentés ici, les utilisateurs pourraient quand même personnaliser cet espace. On verra dans quelques mois si c’est une tendance qui prend.
Kwack (gratuit, heureusement) est une app… originale ou bien idiote, c’est selon. Son principe est très simple, voire stupide : une fois installée, l’app surveille le clavier de votre Mac et à chaque fois que vous pressez une touche, elle génère un son de canard. Vous avez bien lu, à chaque fois que j’appuie sur une touche de clavier, j’entends « coin ! ». À. Chaque. Fois. Oui.
N’oubliez pas de mettre le son. Image MacGeneration.
Est-ce utile ? Je vous laisse décider. Est-ce fatigant ? Je vous laisse deviner. Plus amusant encore, l’option qui devrait permettre de couper les cancanements depuis la barre des menus ne fonctionne pas. Même en cliquant sur le bouton ad-hoc, Kwack continue de se faire entendre à chaque fois que vous appuyez sur une touche. Fort heureusement, il existe tout de même une solution assez simple : il suffit de quitter l’app pour retrouver un fonctionnement normal.
Si vous trouvez que le clavier de votre Mac est trop silencieux, dans le même genre, mais quand même en plus utile, il y a aussi Klack qui simule un clavier mécanique. Kwack est d’ailleurs inspiré par cet autre utilitaire, de l’aveu même de son concepteur. Qui note au passage que l’app est codée en Swift et SwiftUI : ce n’est pas parce que l’on fait n’importe quoi qu’il faut le faire n’importe comment.
Si Kwack vous intéresse vraiment, sachez que l’app est distribuée gratuitement sur le Mac App Store et qu’elle nécessite macOS 13.5. Il faudra lui donner accès aux réglages d’accessibilité, sinon elle ne pourra pas savoir quand vous tapez au clavier et vous raterez des coins, ce qui serait tout de même dommage.
Kwack (gratuit, heureusement) est une app… originale ou bien idiote, c’est selon. Son principe est très simple, voire stupide : une fois installée, l’app surveille le clavier de votre Mac et à chaque fois que vous pressez une touche, elle génère un son de canard. Vous avez bien lu, à chaque fois que j’appuie sur une touche de clavier, j’entends « coin ! ». À. Chaque. Fois. Oui.
N’oubliez pas de mettre le son. Image MacGeneration.
Est-ce utile ? Je vous laisse décider. Est-ce fatigant ? Je vous laisse deviner. Plus amusant encore, l’option qui devrait permettre de couper les cancanements depuis la barre des menus ne fonctionne pas. Même en cliquant sur le bouton ad-hoc, Kwack continue de se faire entendre à chaque fois que vous appuyez sur une touche. Fort heureusement, il existe tout de même une solution assez simple : il suffit de quitter l’app pour retrouver un fonctionnement normal.
Si vous trouvez que le clavier de votre Mac est trop silencieux, dans le même genre, mais quand même en plus utile, il y a aussi Klack qui simule un clavier mécanique. Kwack est d’ailleurs inspiré par cet autre utilitaire, de l’aveu même de son concepteur. Qui note au passage que l’app est codée en Swift et SwiftUI : ce n’est pas parce que l’on fait n’importe quoi qu’il faut le faire n’importe comment.
Si Kwack vous intéresse vraiment, sachez que l’app est distribuée gratuitement sur le Mac App Store et qu’elle nécessite macOS 13.5. Il faudra lui donner accès aux réglages d’accessibilité, sinon elle ne pourra pas savoir quand vous tapez au clavier et vous raterez des coins, ce qui serait tout de même dommage.
SFR a encore amélioré son forfait RED proposé à 9,99 € par mois sans engagement. Jusqu’ici associé à 200 Go de 5G en plus des appels, SMS et MMS illimités, il est désormais proposé avec 250 Go de données à utiliser chaque mois. C’est donc 50 Go de plus sans surcoût, c’est toujours bon à prendre et cela permet à l’offre RED de reprendre l’avantage sur ce critère face à B&You, qui est resté pour le moment à 200 Go de 5G pour 10 €.
Capture site RED, image iGeneration.
Ces améliorations constantes sont à l’avantage des clients, même s’il est probable que la majorité n’utilisera pas autant de data tous les mois. Aux dernières nouvelles, la moyenne est à 17 Go, mais c’est vrai qu’avec 250 Go, on peut envisager sereinement des usages gourmands, comme le partage de connexion qui peut consommer rapidement les giga-octets, surtout en 5G. Quoi qu’il en soit, on ne manque pas de forfaits pas chers avec énormément de données si on en cherche un en ce moment.
Outre les 250 Go de 5G à utiliser en France métropolitaine, le forfait RED prévoit 26 Go exploitables depuis l’Union européenne et les DOM. Pour 5 € de plus par mois, on peut passer cette enveloppe data à 40 Go et ajouter plusieurs pays, dont la Suisse, les États-Unis et le Canada. À noter que l’enveloppe data est fixe, vous devrez payer 10 € pour débloquer 50 Go une fois par mois si vous atteignez la limite.
Si vous n’avez pas besoin de toutes ces données en 5G, SFR RED propose aussi un forfait avec 100 Go de data pour 6,99 € par mois.
SFR a encore amélioré son forfait RED proposé à 9,99 € par mois sans engagement. Jusqu’ici associé à 200 Go de 5G en plus des appels, SMS et MMS illimités, il est désormais proposé avec 250 Go de données à utiliser chaque mois. C’est donc 50 Go de plus sans surcoût, c’est toujours bon à prendre et cela permet à l’offre RED de reprendre l’avantage sur ce critère face à B&You, qui est resté pour le moment à 200 Go de 5G pour 10 €.
Capture site RED, image iGeneration.
Ces améliorations constantes sont à l’avantage des clients, même s’il est probable que la majorité n’utilisera pas autant de data tous les mois. Aux dernières nouvelles, la moyenne est à 17 Go, mais c’est vrai qu’avec 250 Go, on peut envisager sereinement des usages gourmands, comme le partage de connexion qui peut consommer rapidement les giga-octets, surtout en 5G. Quoi qu’il en soit, on ne manque pas de forfaits pas chers avec énormément de données si on en cherche un en ce moment.
Outre les 250 Go de 5G à utiliser en France métropolitaine, le forfait RED prévoit 26 Go exploitables depuis l’Union européenne et les DOM. Pour 5 € de plus par mois, on peut passer cette enveloppe data à 40 Go et ajouter plusieurs pays, dont la Suisse, les États-Unis et le Canada. À noter que l’enveloppe data est fixe, vous devrez payer 10 € pour débloquer 50 Go une fois par mois si vous atteignez la limite.
Si vous n’avez pas besoin de toutes ces données en 5G, SFR RED propose aussi un forfait avec 100 Go de data pour 6,99 € par mois.
Choosy (8,8 €) est un utilitaire qui doit être défini comme navigateur web par défaut de votre Mac et qui se charge ensuite d’ouvrir les liens dans le navigateur de votre choix, en fonction de règles que vous définissez. C’est loin d’être le premier du genre et l’app existe depuis quelques années, mais l’idée reste intéressante si vous avez l’habitude d’utiliser plusieurs navigateurs en parallèle et que vous cherchez une solution pour systématiquement ouvrir des sites web d’un côté ou d’un autre.
Quelques paramètres de Choosy : sélection des navigateurs à gauche, liste des règles au centre, détail d’une règle à droite. Image MacGeneration.
Une fois Choosy installée, vérifiez que l’app est bien définie comme le navigateur par défaut dans les Réglages Système, puis dans « Bureau et Dock » (ne demandez pas pourquoi). Ceci fait, c’est l’utilitaire qui fera l’intermédiaire pour tous les liens ouverts sur l’ordinateur. Dès lors, les règles configurées dans l’app prennent le relai et décident du comportement. Vous pouvez choisir la liste de navigateurs à utiliser, en les triant par ordre de priorité pour sélectionner d’abord celui qui est en haut de la liste. Vous pouvez configurer l’app pour ouvrir les liens dans le navigateur ouvert s’il n’y en a qu’un seul, puis d’afficher l’interface de Choosy dès lors qu’il y en a plus d’un.
Les règles sont aussi traitées par priorité, ce qui permet d’indiquer à l’app d’ouvrir systématiquement un site web dans un navigateur, ce qui sera probablement l’usage le plus courant. Le développeur de Choosy a ajouté de multiples options pour créer des règles sophistiquées et faire varier le comportement selon l’app où se trouvait le lien, selon l’origine du lien (on peut gérer différemment ceux qui arrivent par Handoff ou AirDrop, par exemple) et bien d’autres paramètres encore. C’est le genre d’utilitaire qui demande de prendre un petit peu de temps au départ pour l’appréhender pleinement, mais qui est indéniablement très puissant en contrepartie.
Quand aucune règle n’est prise en compte, Choosy affiche alors une interface qui permet d’ouvrir le lien dans un navigateur à choisir d’un clic. Elle peut reprendre la présentation du multitâche de macOS avec une barre horizontale, ou bien opter pour une version arrondie plus originale. Un paramètre permet de ne garder que les navigateurs web actuellement ouverts ou tous les afficher. Pour compléter le tout, Choosy dispose aussi d’extensions web pour les principaux navigateurs, dont Safari, ce qui permet de transférer l’URL en cours vers une autre app. Et pour les utilisateurs avancés, une API permet d’automatiser encore plus le comportement de l’app.
Les deux présentations pour le sélecteur manuel du navigateur web à utiliser lors de l’ouverture d’un lien. Image MacGeneration.
Choosy peut être téléchargée gratuitement et testée sans payer pendant 45 jours. Au-delà, une licence facturée 10 $ (8,8 €) est nécessaire et elle sera valide sur tous les Mac utilisés par une même personne. macOS 14.6 (Sonoma) est nécessaire pour installer l’app, dont l’interface n’est pas traduite en français.
Choosy (8,8 €) est un utilitaire qui doit être défini comme navigateur web par défaut de votre Mac et qui se charge ensuite d’ouvrir les liens dans le navigateur de votre choix, en fonction de règles que vous définissez. C’est loin d’être le premier du genre et l’app existe depuis quelques années, mais l’idée reste intéressante si vous avez l’habitude d’utiliser plusieurs navigateurs en parallèle et que vous cherchez une solution pour systématiquement ouvrir des sites web d’un côté ou d’un autre.
Quelques paramètres de Choosy : sélection des navigateurs à gauche, liste des règles au centre, détail d’une règle à droite. Image MacGeneration.
Une fois Choosy installée, vérifiez que l’app est bien définie comme le navigateur par défaut dans les Réglages Système, puis dans « Bureau et Dock » (ne demandez pas pourquoi). Ceci fait, c’est l’utilitaire qui fera l’intermédiaire pour tous les liens ouverts sur l’ordinateur. Dès lors, les règles configurées dans l’app prennent le relai et décident du comportement. Vous pouvez choisir la liste de navigateurs à utiliser, en les triant par ordre de priorité pour sélectionner d’abord celui qui est en haut de la liste. Vous pouvez configurer l’app pour ouvrir les liens dans le navigateur ouvert s’il n’y en a qu’un seul, puis d’afficher l’interface de Choosy dès lors qu’il y en a plus d’un.
Les règles sont aussi traitées par priorité, ce qui permet d’indiquer à l’app d’ouvrir systématiquement un site web dans un navigateur, ce qui sera probablement l’usage le plus courant. Le développeur de Choosy a ajouté de multiples options pour créer des règles sophistiquées et faire varier le comportement selon l’app où se trouvait le lien, selon l’origine du lien (on peut gérer différemment ceux qui arrivent par Handoff ou AirDrop, par exemple) et bien d’autres paramètres encore. C’est le genre d’utilitaire qui demande de prendre un petit peu de temps au départ pour l’appréhender pleinement, mais qui est indéniablement très puissant en contrepartie.
Quand aucune règle n’est prise en compte, Choosy affiche alors une interface qui permet d’ouvrir le lien dans un navigateur à choisir d’un clic. Elle peut reprendre la présentation du multitâche de macOS avec une barre horizontale, ou bien opter pour une version arrondie plus originale. Un paramètre permet de ne garder que les navigateurs web actuellement ouverts ou tous les afficher. Pour compléter le tout, Choosy dispose aussi d’extensions web pour les principaux navigateurs, dont Safari, ce qui permet de transférer l’URL en cours vers une autre app. Et pour les utilisateurs avancés, une API permet d’automatiser encore plus le comportement de l’app.
Les deux présentations pour le sélecteur manuel du navigateur web à utiliser lors de l’ouverture d’un lien. Image MacGeneration.
Choosy peut être téléchargée gratuitement et testée sans payer pendant 45 jours. Au-delà, une licence facturée 10 $ (8,8 €) est nécessaire et elle sera valide sur tous les Mac utilisés par une même personne. macOS 14.6 (Sonoma) est nécessaire pour installer l’app, dont l’interface n’est pas traduite en français.
On connaît bien maintenant les smartphones (ou tablettes, c’est selon le point de vue) pliants, mais une liseuse, c’est plus original. C’est le fabricant taïwanais Readmoo qui est le premier sur ce segment avec la mooInk V, une liseuse équipée d’un écran e Ink de 8 pouces qui propose des couleurs avec la même technologie Gallery 3 que celle du Remarkable Paper Pro. C’est remarquable ( ), parce que la dalle est bien plus épaisse que l’OLED qu’on retrouve sur tous les téléphones pliants, ce qui la rend bien peu adaptée à un appareil que l’on doit plier et déplier constamment.
Image Readmoo.
Cela explique sans doute pourquoi l’entreprise indique avoir travaillé pendant neuf ans sur son produit. Ses travaux ont permis de mettre au point un système qui devrait être capable de résister à 200 000 ouvertures et fermetures, ce qui devrait être suffisant pour quelques années d’utilisation intensive. Sur les quelques photos diffusées par Readmoo, on peut noter que l’appareil ne se referme pas parfaitement à plat, il reste un gros espace au niveau de la charnière quand la liseuse est pliée. C’est certainement un compromis qui a été rendu nécessaire par la technologie utilisée ici.
On distingue bien ici l’espace laissé par la charnière entre les deux parties de l’écran. Image Readmoo.
Le constructeur annonce aussi un appareil qui reste relativement léger avec 225 grammes sur la balance, ce qui est permis par l’utilisation d’un alliage d’aluminium et magnésium pour l’extérieur. Cela reste plus lourd que la moyenne des liseuses et il faudra vérifier à l’usage si c’est un handicap. En attendant, les avantages de l’écran pliant semblent assez évidents, en tout cas sur le papier : même si on ne connaît pas les dimensions exactes, Readmoo annonce que l’appareil est plus compact qu’un livre de poche une fois fermé. C’est nettement mieux que les liseuses de 8 pouces qui existent actuellement sur le marché.
On peut par ailleurs ouvrir complètement l’écran pour obtenir une liseuse plate similaire à la concurrence, ou bien conserver un angle, plus comme un livre. En calant son pouce au milieu, comme on le ferait avec un bloc de papier relié, le confort est peut-être amélioré, il faudra aussi attendre les premiers tests pour le vérifier. Malheureusement, Readmoo n’annonce pour l’heure aucune date de sortie, ni même un calendrier de précommande. On ne connaît pas non plus le prix de l’appareil, même s’il faut s’attendre à ce qu’il soit nettement plus élevé que ceux des liseuses traditionnelles.
L’actualité de Beats, ce sont des nouveaux câbles de charge de tous les couleurs, alors il fallait sans doute bien des publicités pour accompagner leur sortie. La marque a décidé de reprendre ses drôles d’enceintes personnifiées qui ont fait leur retour l’été dernier et qui servent de base à des brèves vidéos humoristiques. Chacun pourra juger de leur efficacité…
Une troisième vidéo est beaucoup plus conventionnelle, mais plus utile pour mettre en avant les qualités de ces produits. Ces câbles sont recouverts de tissu, ce qui est toujours plus agréable, ils sont censés être très résistants et s’adaptent à tous les besoins côté charge, y compris les charges rapides. Beats a conçu plusieurs modèles, en USB-C et même Lightning, et vous pouvez désormais les acheter sur l’Apple Store. Comptez 24,95 € pour un câble de 1,5 mètres, quel que soit la connectique et le coloris (noir, rouge et gris pour tous, bleu en plus pour l’USB-C).
Les caméras conçues par Reolink sont les premières à recevoir la certification Works with Home Assistant. Lancée l’an dernier, elle identifie des produits qui fonctionnent parfaitement avec la domotique open-source et surtout qu’ils respectent quelques-uns de ses principes fondamentaux, à commencer par un fonctionnement entièrement en local. C’est bien le cas pour les produits Reolink, qui peuvent être associés aux serveurs du fabricant, mais qui favorisent par défaut un fonctionnement local, pour le stockage et même l’analyse des images.
La Duo 3 PoE de Reolink sur le mur de ma maison bretonne (d’où les escargots) est désormais certifiée pour fonctionner parfaitement avec Home Assistant. Image iGeneration.
Même si tous les produits conçus par Reolink fonctionneront avec Home Assistant, seule une petite partie de son énorme catalogue est certifiée. Cela concerne notamment ses deux sonnettes vidéos, en Wi-Fi (130 €) comme en Ethernet PoE (116 €), ainsi que le Home Hub (100 €). Cet enregistreur réseau peut gérer jusqu’à huit caméras pour stocker leurs enregistrements et il fait aussi office d’alarme.
Voici les caméras « classiques » qui sont certifiées à ce jour :
Argus Track (130 €) : caméra 4K connectée Wi-Fi avec deux objectifs (grand-angle et zoom) avec motorisation et projecteur ;
Duo 3 PoE (200 €) : caméra 4K Ethernet composée de deux objectifs pour une vision panoramique (180°) et projecteurs ;
TrackMix PoE (200 €) : caméra 4K Ethernet avec deux objectifs (grand angle et zoom) avec motorisation et projecteur ;
RLC-823S2 (370 €) : caméra 4K Ethernet avec un objectif associé à zoom optique, un projecteur et un moteur ;
RLC-1224A (120 €) : caméra 4K Ethernet au format tour, avec un objectif standard et un projecteur.
D’autres produits conçus par Reolink devraient rejoindre le programme au fil du temps, tandis que toutes celles actuellement en circulation continueront de fonctionner grâce à l’intégration officielle. Celle-ci est gérée par un utilisateur et non le fabricant, ce qui est courant dans l’univers Home Assistant, même si la certification assure que le constructeur est non seulement d’accord, il pourra même donner un coup de main.
La caméra Duo 3 PoE vue depuis Home Assistant. On ne le voit pas sur la capture d’écran, mais tous les paramètres pour la détection intelligente sont accessibles par ce biais. Image MacGeneration.
Les produits Reolink ne sont pas directement compatibles avec l’app Maison d’Apple, même si on peut les y ajouter avec Scrypted… ou par le biais de Home Assistant bien sûr, puisque le système de domotique peut faire office de pont HomeKit pour tous ses accessoires. Ces appareils sont aussi compatibles avec tous les systèmes qui gèrent les caméras réseau, grâce aux standards ONVIF et RTSP.
B&You réduit encore le prix de son forfait avec 200 Go de 5G, mais uniquement pour ceux qui sont également abonnés à la fibre optique avec l’offre B&You Pure fibre. Si c’est votre cas, alors ce généreux forfait mobile sera facturé 6,99 € par mois seulement, c’est 3 € de moins que le prix de base en ce moment pour les nouveaux abonnés et indéniablement une des meilleures affaires pour qui a besoin d’un gros volume de données mobiles.
Image B&You.
En tout, Bouygues Telecom demande 30,98 € par mois pour les connexions à internet mobile et fixe. Côté forfait mobile, outre les 200 Go de données en 5G, vous aurez les appels et SMS/MMS illimités en France métropolitaine, c’est classique, ainsi que 30 Go de data par mois depuis l’Union européenne et les DOM. Côté internet fixe, l’offre Pure fibre propose des débits très importants avec 8 Gbit/s en téléchargement et 1 Gbit/s en envoi de données, une box Wi-Fi 6E et c’est tout, il n’y a pas d’offre de télévision. Ce qui n’est pas un problème si vous possédez une Apple TV, ce ne sont pas les options qui manquent en direct.
Précisons que la promotion ne vaut que pour les nouveaux clients, tant en mobile qu’en fixe, puisqu’elle ne sera appliquée que lors de la souscription simultanée aux deux offres. La remise sur le forfait mobile sera active tant que vous resterez abonné à la fibre optique, sinon le prix reviendra à 9,99 € par mois.
Synology a annoncé, uniquement sur son site allemand bizarrement, un changement de politique pour ses futurs NAS de la gamme « 25+ » attendus dans le courant de l’année. Ces nouveaux produits exigeront un disque dur vendu ou certifié par Synology pour fonctionner correctement. Si vous insérez un support de stockage d’une autre marque et qui n’a pas reçu la certification exigée par le fabricant, vous perdrez une partie des fonctionnalités, dont le suivi de l’état des disques durs (SMART) qui sera réservé aux modèles pris en charge officiellement.
Le successeur de ce DS723+ n’acceptera plus n’importe quel disque dur, comme c’était le cas jusque-là. Image MacGeneration.
Cette politique est nouvelle dans la gamme « grand public », même si Synology l’avait déjà mise en œuvre dans certains modèles professionnels. Contrairement à ces derniers qui n’acceptent que les modèles maison, les nouveaux NAS toléreront des disques durs certifiés par le fabricant, dont la liste n’est pas encore connue. Quoi qu’il en soit, c’est une limitation importante des possibilités offertes aux utilisateurs, qui devront se passer d’une partie des fonctionnalités ou accepter de rester sur les disques durs officiels. Si les tarifs restent raisonnables face à la concurrence (environ 105 € pour 2 To, contre 103 € pour un WD Red de même capacité par exemple), cela reste un bridage logiciel sur un marché qui était jusque-là totalement libre.
Synology précise bien que le changement ne concerne que les nouveaux modèles attendus dans les prochains mois, les NAS actuels continueront d’accepter n’importe quel disque dur sans discuter. Autre concession, les disques durs utilisés dans un ancien NAS de la marque et transférés dans les dernières générations seront acceptés sans problème et offriront toutes les fonctions. Ce n’est qu’en partant de disques durs vierges insérés dans un nouveau NAS que la limitation interviendra. À noter que les SSD semblent épargnés par cette nouvelle politique pour le moment.
En contrepartie, Synology promet une nouveauté sur cette gamme de NAS : à condition d’utiliser des disques dur approuvés, on pourra activer la déduplication à l’échelle du volume, une technique avancée qui permet de récupérer de l’espace libre en supprimant les copies identiques des fichiers. Est-ce que ce sera suffisant pour faire passer la pilule ? Synology semble un petit peu à la traine depuis quelques années face à des concurrents plus réactifs, à l’image de la connectique réseau qui est encore en Ethernet gigabit sur la génération 2024. Certes, cela devrait enfin changer en 2025 avec la généralisation du 2.5G, mais cela fait longtemps que les autres constructeurs y étaient passés et on peut toujours utiliser n’importe quel disque dur dans leurs produits.
Tout juste une semaine après le lancement de ses nouvelles offres en fibre optique, Orange ajuste déjà l’une des formules avec deux changements. La « Série Spéciale Livebox Fibre » est désormais affichée à 29,99 € par mois, c’est 10 € de moins que lors de la commercialisation initiale. En contrepartie, elle perd la Livebox S au profit d’une Livebox 6, qui avait disparu de la gamme et qui signe ainsi son retour par le biais de cette offre ajustée.
Les trois offres de base en fibre optique chez Orange. Capture site Orange, image MacGeneration.
L’ajustement de prix est forcément bienvenu, d’autant que contrairement à toutes les autres formules, le prix de cette série spéciale n’évolue pas après la première année. De fait, si la Livebox Fibre est au même tarif les 12 premiers mois, elle devient plus chère au-delà (et pas qu’un peu : 42,99 € par mois), redonnant l’avantage à la série spéciale. Entre les deux, il y a deux différences : l’offre standard est associée à une Livebox S au lieu de la 6 et ses débits sont plus élevés, avec 2 Gbit/s en téléchargement et 800 Mbit/s en envoi, contre respectivement 1 Gbit/s et 700 Mbit/s sur la série spéciale.
Perdrez-vous au change en ayant une Livebox 6 au lieu de la S ? En théorie oui, puisque le modèle de sixième génération était limité au Wi-Fi 6E quand la nouvelle version passe au Wi-Fi 7. En pratique, ce n’est pas sûr étant donné que les nouvelles Livebox abandonnent la bande de fréquence des 6 GHz, avec des résultats mitigés. Au minimum, on peut souligner que ce n’est pas un inconvénient majeur de la formule moins chère.
Reste maintenant à revoir la « Série Spéciale Just Livebox Fibre » qui n’avait pas déjà beaucoup de sens avant et qui en a encore moins avec cette baisse de prix. Elle est moins chère pendant 6 mois à 19,99 €, certes, mais passe ensuite à 33,99 €, soit plus que la série spéciale tout en offrant nettement moins avec sa Livebox 5 désormais désuète et surtout sans télévision incluse.