Walmart's weekly flash deals offer up to 80% off on furniture, exercise equipment and camping gear
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Apple a fêté le dixième anniversaire de l’Apple Watch de manière bien étrange. Elle a incité, pendant cette journée, ses utilisateurs à compléter leurs anneaux et à obtenir en guise de récompense un nouveau trophée ainsi que des autocollants pour Messages. Les plus chanceux ont pu également se rendre en Apple Store et obtenir un pin’s qui rencontre semble-t-il, un certain succès sur eBay.
La chose sur laquelle Apple n’a pas communiqué, c’est qu’elle a invité sur son campus des influenceurs du monde entier pour fêter le dixième anniversaire de l’Apple Watch. Les personnes invitées venaient dans leur majorité du monde du sport et étaient encadrées par certains coachs de Fitness+. Le but : compléter leurs anneaux bien évidemment.
Pendant cette journée, les personnes invitées ont été amenées à faire différentes activités sportives (vélo, yoga, course à pied) et ont même participé à une petite compétition sportive.
Ce qui est très bizarre dans cette affaire, c’est que, lorsqu’on invite des influenceurs du monde entier à un événement spécial, c’est dans le but de faire parler de soi. Or, cette journée n’a fait que très peu de bruit sur les réseaux.
Ce week-end, dans toutes les zones de prix ou presque, il y a un iPhone en promotion. Pour ceux qui ne veulent pas faire de folies, on peut faire l’acquisition d’un iPhone 13 256 Go RED au prix de 579 €. C’est un modèle qui n’est pas tout jeune, qui ne fera pas tourner Apple Intelligence, mais il est relativement léger, a des performances plus qu’honorables et est compatible 5G.
L’iPhone 16e est également en promotion. Pour 80 € de plus, vous avez le tout nouveau smartphone d’Apple. Il est plus puissant, offre une meilleure autonomie, est compatible avec Apple Intelligence, mais ne dispose que d’un capteur photo et de seulement 128 Go d’espace de stockage. L’iPhone 16e est disponible à 660 € chez Boulanger et chez Amazon, soit 60 € de moins que chez Apple. Les modèles avec 256 Go et 512 Go d’espace de stockage sont également proposés avec des réductions similaires sur ces deux boutiques.
Mais la grosse promotion du week-end concerne l’iPhone 16 qui est proposé à 800 € chez Amazon. C’est 170 € de moins que sur l’Apple Store en ligne. Jamais l’iPhone 16 n’avait été vendu à un tel prix en France. C’est le moment si vous êtes intéressé…
Le modèle 256 Go est proposé pour sa part à 930 €, cela représente une ristourne de 15 % sur le prix habituel.
Test de l’iPhone 16e : pour tout le monde, ou presque
Test de l’iPhone 16 et de l’iPhone 16 Plus : une génération intelligente
© Bethesda
La pratique de la course à pied connaissant un succès grandissant, il est de plus en plus difficile de trouver un dossard pour participer à la course ou trail du coin. C’est d’autant plus vrai dans les grandes villes. Le week-end dernier, le Schneider Electric Marathon de Paris a ainsi attiré près de 57 000 coureurs.
Attention, les choses pourraient ne pas s’arranger avec l’arrivée d’un nouveau type de participant : les humanoïdes ! Ces derniers ont participé au semi-marathon de Pékin qui avait lieu hier. Les grandes entreprises de robotique étaient invitées à inscrire leurs champions pour une course qui se tenait en parallèle de ce rendez-vous prisé par les coureurs chinois.
La bonne nouvelle, c’est que nous, simples êtres humains, avons encore un peu de marge, sur ces bipèdes d’un nouveau genre. Tiangong Ultra de Beijing Humanoid Robot Innovation Centre a bouclé les 21,1 kilomètres en un peu plus de 2 heures et 40 minutes. Un temps qui reste à la portée de l’immense majorité des êtres humains.
Le robot en question a écopé d’une pénalité de dix minutes pour changement de batterie. Même au niveau du ravito, l’être humain a encore un peu de marge. Pour d’autres humanoïdes, la course s’est moins bien passé. L’un d’eux s’est écroulé sur la ligne de départ…
La question est de savoir si ce type d’évènements va se multiplier et si, dans quelque temps, on aura des humanoïdes fabriqués par des entreprises du monde entier qui viendront faire la course. Avec une question derrière : seront-ils fair-play ? Les humains, hélas, ne le sont pas toujours…
@rmcsport Plus gros craquage qu'on ait jamais vu dans une course de relais. On est sur un 4x200m féminin en Virginie. Inutile de vous préciser qu'elle a été disqulifiée.
♬ son original - rmcsport
La politique commerciale de Donald Trump commence à avoir un certain impact sur l’économie réelle. Si cette enchère sur les droits de douane avait quelque chose d’assez théorique, l’industrie des semi-conducteurs commence à en pâtir, pénalisée à la fois par des coûts plus élevés que prévu et un cadre réglementaire mouvant.
Le cours de l’action Nvidia a perdu hier près de 7% après avoir provisionné une charge de 5,5 milliards de dollars relatifs au marché chinois. La Maison-Blanche a fait savoir à la firme de Jensen Huang qu’elle devait désormais obtenir une licence pour exporter les puces H20 vers la Chine, et ce, pour une « durée indéterminée ». Cette puce utilisée dans le domaine de l’intelligence artificielle était pourtant une puce spécialement conçue pour le marché chinois, en accord avec la précédente administration.
Il s’agit d’une version dégradée de la H100. Cette dernière est dotée de 144 SM (Streaming Multiprocessor) au maximum, adossés à 80 Go de mémoire à 3,35 TB/s de vitesse de transfert, lui permettant le score phénoménal de 1 979 TFLOPS sur le test FP16 Tensor Core. La H20, elle, a certes 96 Go de mémoire pour une vitesse de 4 TB/s, mais est drastiquement limitée à 78 SM. De quoi faire tomber son score à un « simple » 148 TFLOPS, soit même pas le dixième de la version débridée.
Une telle rumeur circulait depuis des semaines, ce qui a permis à l’industrie chinoise d’anticiper et de faire le plein de cartes H20. Quoi qu’il en soit, il y aura un manque à gagner qui ne sera pas négligeable pour Nvidia.
Le gouvernement US voudrait limiter encore plus les exportations de Nvidia en Chine
Dans le même temps, son concurrent AMD a fait une annonce similaire et estime que ces nouveaux contrôles à l’exportation pourraient lui faire perdre 800 millions de dollars. Autre preuve que l’industrie des semi-conducteurs ne se porte pas bien, ASML a publié des résultats moins bons qu’anticipés et pointe l’effet des barrières douanières qui impactent la demande.
Les résultats d’ASML sont très intéressants à suivre, car cette entreprise néerlandaise est spécialisée dans la fabrication de machines de photolithographie utilisées pour la production de semi-conducteurs. Cela donne par conséquent une idée de l’état de cette industrie.
De son côté, le consommateur américain a déjà pu en mesurer les premiers effets sur Amazon avec de nombreux produits importés de Chine. Bien connue des utilisateurs d’iPhone et de Mac, la marque Anker avait appliqué en moyenne une hausse de 18 % sur plus de 127 produits. Quant au fabricant de montres Coros, il a tout simplement disparu des étagères d’Amazon US. Tout ceci ne fait sans doute que commencer…
Quand on parle carte mémoire, on pense souvent à des marques comme SanDisk ou Samsung. Le géant du e-commerce propose une large gamme de produits à des prix intéressants via sa gamme Amazon Basic. Dans ce cadre, Amazon propose aujourd’hui une carte Micro SD 256 GB avec adaptateur au prix de 21,26 €.
Le fabricant annonce des taux de transfert allant jusqu’à 200 Mo/s en lecture et 150 Mo/s en écriture, des vitesses largement suffisantes pour l’enregistrement vidéo en 4K, la prise de vues en rafale ou le transfert rapide de fichiers lourds. La carte est certifiée U3 et V30, ce qui garantit une bande passante minimale soutenue, particulièrement utile pour les usages photo/vidéo exigeants.
Les cartes microSD sont utilisées entre autres sur la Nintendo Switch, les dashcams, les drones DJI, ou encore sur de nombreux appareils reflex. Avec son adaptateur, vous pourrez bien entendu l’utiliser sur votre Mac.
Amazon précise également que sa carte est conçue pour résister aux températures extrêmes, aux chocs, à l’eau et aux rayons X, ce qui la rend adaptée aux environnements contraignants — en voyage, en montagne ou dans un drone en vol par exemple.
Les méandres de l'espace de rédaction sont parfois mystérieux. La rédaction de certaines dépêches s'étalent parfois sur de long mois, parfois sans même comprendre pourquoi la dépêche ne part pas vers le stade de la publication. C'est ce qui est arrivé à cette dépêche qui ne suit donc pas autant qu'elle aurait pu l'actualité de la sortie de la nouvelle mouture de la microcarte de la Fondation Raspberry Pi, qui porte le nom très original de Raspberry Pi 5. Cette dépêche - qui nous offre une comparaison de cette nouvelle édition avec son illustre ancêtre ainsi qu'une investigation de ses nouveautés - reste substantielle et il nous a semblé qu'il valait mieux la publier même tardivement plutôt que de la plonger dans l'oubli éternel.
Cette dépêche ne traitera pas de l’ensemble de ce que l’on peut faire, la précédente dépêche sur les SoC faite pour la sortie de la Raspberry Pi 4 est toujours d’actualité en ce qui concerne ces sujets.
Sorti en 2019, le RPi4 avait fait forte impression—mais quasiment en constante pénurie entre 2020 et 2023, il commençait par accuser le coup par rapport à la concurrence du Rockchip RK3588 (Quad-core Cortex-A76 + Quad-core Cortex-A55).
Aussi, la Raspberry Pi 5 introduit des avancées significatives par rapport à la Raspberry Pi 4, dont le Tableau 1 présente une synthèse des différences.
Composants | Raspberry Pi 4 | Raspberry Pi 5 |
---|---|---|
SoC | Broadcom BCM2711 | Broadcom BCM2712 |
CPU | Quad-core Cortex-A72 (1.8 GHz) | Quad-core Cortex-A76 (2.4 GHz) |
GPU | VideoCore VI (500 MHz) | VideoCore VII (800 MHz) |
Mémoire | 1, 2, 4, 8 GB LPDDR4-3200 SDRAM | 4, 8 GB LPDDR4X-4267 SDRAM |
Wi-Fi | Dual-band 802.11ac | Dual-band 802.11ac |
Bluetooth | 5.0, BLE | 5.0, BLE |
USB | 2 USB 3.0, 2 USB 2.0, 1 Type-C port | 2 USB 3.0, 2 USB 2.0, 1 Type-C port |
Stockage | MicroSD | MicroSD (SDR104⟹R/W↗ˣ²) + ligne PCIe pour NVME M.2 SSD |
Ethernet | Gigabit Ethernet | Gigabit Ethernet |
Puissance | Jusqu’à 7.5 W | 2 modes : jusqu’à 15 W et jusqu’à 25 W |
Gestion HDMI | 2 HDMI 2.0 (1 gérant 4k@60 Hz) | 2 HDMI 2.0 (tous les deux gérant 4k@60 Hz) |
Format vidéo | H.264 (AVC) | H.265 (HEVC) |
PCIe | Non | 1 lane PCIe pour périphériques haute performance |
Bouton d’alimentation | Non | Oui |
Tableau 1 : comparatif des Raspberry Pi 4 et 5
La Raspberry Pi 5 introduit des avancées significatives par rapport à la Raspberry Pi 4, en particulier avec l’introduction du southbridge RP1. Voici une comparaison détaillée mettant en évidence les principales différences et l’impact du RP1 :
Le RP1 est un contrôleur d’entrée/sortie (I/O) conçu pour le Raspberry Pi 5, représentant le programme d’ingénierie le plus complexe et coûteux entrepris par Raspberry Pi, avec un développement s’étendant sur plus de sept ans et ayant coûté environ 25 millions de dollars. Ce contrôleur est le premier produit phare de Raspberry Pi à utiliser une puce conçue en interne.
— Description : Le RP1 est un southbridge de 12×12 mm avec un pas de 0.65 mm en BGA (Ball Grid Array), fournissant la majorité des capacités d’E/S pour la Raspberry Pi 5.
— Caractéristiques : Il comprend un point de terminaison PCIe 2.0 à 4 voies, un contrôleur Ethernet MAC Gigabit et deux contrôleurs hôtes USB 3.
— Améliorations : Plus du double de la bande passante USB utilisable par rapport à la Raspberry Pi 4.
— Documentation RP1 : RP1 Datasheet
— L’article d’Eben Upton pour annoncer le RP1 : RP1 : the silicon controlling Raspberry Pi 5 (ce court article est accompagné d’une vidéo YT de 35 minutes à ce sujet, mais dont le contenu est reproduit textuellement en suivant un lien)
— Lien direct vers la vidéo YT : RP1 : the silicon controlling Raspberry Pi 5
Le RP1 constitue une avancée importante, puisque les GPIOs “physiques” de la carte ne sont plus directement reliées aux GPIOs du microprocesseur et de leurs fonctions possibles (SPI/I2C/UART/I2S) attribuées par le fondeur dans le silicium.
Afin de permettre de mieux visualiser les évolutions des performances Alasdair Allan a fait un benchmark complet dont certains éléments sont repris ici.
Tout d’abord une analyse des performances du CPU avec geekbench. Les Figures 1 et 2 montrent une augmentation des performances en single core d’approximativement 2.2x,
Figure 1. : Comparaison des performances single core entre RPi4 et 5
Figure 2. : Comparaison des performances multi core entre RPi4 et 5
Compilation de différents benchmarks entre RPi 4 et 5
Benchmark | Unités | Raspberry Pi 4 | Raspberry Pi 5 | Augmentation de Performance |
---|---|---|---|---|
Sysbench Mono-Thread | MBps | 699 | 1041 | x1,49 |
Sysbench Multi-Thread | MBps | 2794 | 4165 | x1,49 |
Stress-ng Mono-Thread | op/s | 104,78 | 182,68 | x1,74 |
Stress-ng Multi-Thread | op/s | 413,12 | 737,21 | x1,78 |
Bzip Mono-Thread | secondes | 44,98 | 20,53 | x2,19 |
Bzip Multi-Thread | secondes | 28,59 | 14,36 | x1,99 |
Gimp Redimensionner | secondes | 67,01 | 29,95 | x2,24 |
Gimp Rotation | secondes | 77,24 | 32,77 | x2,36 |
Gimp Niveaux Auto | secondes | 80,52 | 34,64 | x2,32 |
Gimp Masque Flou | secondes | 115,16 | 49,71 | x2,32 |
Speedometer 2.1 | score | 20,5 | 62,5 | x3,05 |
Glmark2 | score | 97 | 202 | x2,08 |
Openarena Timedemo | FPS | 8,77 | 27,05 | x3,08 |
RAMspeed Écriture | MBps | 4391 | 29355 | x6,69 |
RAMspeed Lecture | MBps | 5902 | 27931 | x4,73 |
HDparm Lecture | MBps | 43,81 | 90,05 | x2,06 |
dd Écriture | MBps | 34,49 | 61,23 | x1,78 |
Iozone 4 K Écriture RAND | MBps | 9,38 | 15,22 | x1,62 |
Iozone 4 K Lecture RAND | MBps | 4,71 | 4,6 | x0,98 |
Temps de démarrage | secondes | 33,4 | 19,1 | x1,74 |
La Figure 3. issue du travail d’Adafruit permet de mettre à jour le graphique sur la vitesse performance de la commutation des I/O proposé dans la dépêche sur la RPi4. La Figure 4. quant à elle montre une légère amélioration de la performance par Watt sur le nouveau modèle.
Figure 3. Évolution de la vitesse de commutation d’une sortie numérique
Figure 4. Évolution de la performance en fonction de la puissance électrique
— Interfaces: Le RP1 fournit deux interfaces USB 3.0 et deux interfaces USB 2.0, ainsi qu’un contrôleur Ethernet Gigabit.
— Source: Circuit Digest – The New Raspberry Pi 5 is here
Le Gigabit Ethernet fourni par le RP1 est en tout point semblable à celui du RBPi4 (voir : RP1 : the silicon controlling Raspberry Pi 5:
Liam 13:21: So we’ve got the Ethernet MAC but not the PHY. So the Ethernet’s brought out to an RGMII interface, which then connects to an on-board Ethernet PHY.
Eben 13:35: And this is a fairly similar architecture to Raspberry Pi 4, except that in that case, the MAC was in the Broadcom device, but there was still an external – in fact exactly the same external – PHY, [BCM]54213. Cool. So that’s the overall structure of the design.
Ces interfaces d’entrée/sortie vidéo peuvent être qualifiées d’historiques dans l’écosystème RaspberryPi puisqu’elles sont présentes depuis la version 1. Le RBPi5 apporte toutefois une nouveauté assez remarquable par rapport à ses prédécesseurs : au lieu d’avoir un port CSI (pour une caméra) et un port DSI (pour un écran), les ports du RBPi5 peuvent être configurés pour l’une ou l’autre fonction. Malheureusement, cela s’est traduit par des changements notables au niveau de la disposition des composants sur la carte, qui ne sont pas sans susciter quelques grincements de dents parmi les utilisateurs.
— Le port audio a disparu, pour laisser sa place au port MIPI DSI (qui peut faire CSI à présent), lui-même remplacé, au-dessus du lecteur de carte microSD, par un connecteur FPC exposant les lignes PCIe.
— le port DSI est passé de 15 pins à 22 pins (comme sur la carte CMIo4)
— Et, encore une fois, les ports Ethernet et USB ont été inversés.
Si cela ne pose pas de problèmes particuliers pour un utilisateur lambda, de nombreux projets basés sur les cartes RasperryPi à la recherche de performance de calcul (et donc potentiellement intéressés par ce nouveau RBPi5) doivent entièrement revoir la conception de leur matériel.
C’est un reproche que l’on peut trouver dans de nombreux témoignages : mettre un HAT (carte d’extension) sur un RBPi, juste au dessus du CPU, c’est un non-sens en termes de refroidissement (et ce, quelle que soit la version du RBPi).
Mais, pour relativiser, on peut dire la même chose de quasiment toutes les autres solutions alternatives au RBPi.
Ce format (86x56 mm) est devenu une référence pour presque tous les acteurs du monde des SBC. Et donc, il s’agit là aussi d’un constat plus général, non spécifiquement adressé à RaspberryPi. Mais sachant que ce sont les locomotives du marché, peut être pourraient-ils initier une nouvelle approche…
Certes, ce format permet d’élaborer des solutions compactes, mais l’on peut constater :
— qu’augmenter la puissance et les fonctionnalités des puces embarquées tout en restant sur ce format conduit à un gaspillage inutile de ressources : il est en effet impossible d’implémenter toutes les fonctionnalités matérielles proposées par les puces sur une si petite surface, et par ailleurs il devient difficile de refroidir efficacement le système.
— pour exposer le port PCIe, RaspberryPi a supprimé le port audio, déplacé le port DSI ; mais pour alimenter le bouzin, il vous faut du 5V 4A. Ensuite un peu tout le monde se trouve planté là : débrouillez-vous.
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