Vue lecture
Expédition 33 : 2 millions de copies livrées
Six WSL titles in a row for Chelsea and London City go up – Women’s Football Weekly
Faye Carruthers is joined by Suzy Wrack, Emily Keogh and Jamie Spangher to reflect on Chelsea’s WSL triumph, a dramatic final day in the Championship
On this week’s Guardian Women’s Football Weekly: Chelsea are crowned WSL champions for a record sixth season in a row. With games to spare, can Sonia Bompastor’s side complete an unbeaten domestic campaign?
Elsewhere, Arsenal’s back-to-back defeats against Aston Villa and Brighton raise questions about their defensive frailties, while Manchester United and Manchester City play out a dramatic derby with European football on the line. Meanwhile, Everton shine in the Merseyside derby, and Crystal Palace leave it late to deny Leicester.
Continue reading...© Photograph: Nigel French/PA
© Photograph: Nigel French/PA
‘The universities are the enemy’: why the right detests the American campus | Lauren Lassabe Shepherd
For centuries, the academy was exclusive to the Christian elite. When that began to change, an onslaught began
In 2021, JD Vance, then a candidate for Ohio senate, gave a provocative keynote address at the National Conservatism Conference. Vance’s lecture was an indictment of American higher education: a “hostile institution” that “gives credibility to some of the most ridiculous ideas that exist in this country”. The aspiring politician did not mince words before his receptive rightwing audience: “If any of us wants to do the things we want to do … We have to honestly and aggressively attack the universities.” The title of Vance’s keynote was inspired by a quote from Richard Nixon: “The universities are the enemy.”
The Maga movement, of which Vance, the vice-president, is now at the forefront, has been unabashedly on the attack against campuses, professors and students. Donald Trump characterizes colleges as “dominated by Marxist maniacs and lunatics”, and student protesters as “radicals”, “savages” and “jihadists” who have been indoctrinated by faculty “communists and terrorists”. He has already delivered swift vengeance against campus protesters and non-protesters alike with visa terminations and deportations. This administration has gleefully withheld hundreds of millions of dollars in federal funding to force colleges to crack down on student dissent.
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© Photograph: Joseph Prezioso/AFP/Getty Images
☕️ PayPal va tester le paiement sans contact avec son smartphone en Allemagne
Spécialiste du paiement en ligne, l’américain PayPal se prépare à faire une nouvelle incursion dans le monde physique, avec le lancement d’une expérimentation autour du paiement sans contact depuis un smartphone en Allemagne.
Via une mise à jour à venir de son application mobile, sur iOS ou sur Android, les internautes allemands pourront donc payer sans contact leurs achats chez les commerçants dont le terminal est compatible avec le réseau MasterCard.
L’application permettra dans ce contexte aux internautes de disposer d’un historique de leurs transactions sans contact, mais aussi de bénéficier de mécaniques incitatives.

PayPal évoque par exemple la possibilité de différer le règlement de ses achats grâce à une logique d’échelonnement des paiements sur 3 à 24 mois. L’entreprise américaine promet enfin la mise en place d’un programme de cashback, qui permettrait donc à ses clients d’être remboursés d’une petite fraction de leurs achats réalisés via PayPal.
« Notre application vous permettra de payer facilement et en toute sécurité avec votre téléphone dans les magasins ; elle vous donnera plus de choix quant à la manière et au moment de payer ; et encore mieux, PayPal vous aidera à remettre de l’argent dans votre poche », résume Joerg Kablitz, directeur des activités de PayPal en Allemagne, Autriche et Suisse.
L’Allemagne constitue pour PayPal un galop d’essai, au sein d’une communauté des 27 dans laquelle le Digital Services Act contraint depuis début 2024 Apple à ouvrir l’accès à la puce NFC de ses iPhone à des applications de paiement tierces.
La drôle de déclaration d’amour de Microsoft à l’Europe
Quand on aime on ne compte pas

En pleine tempête commerciale entre l’Europe et les États-Unis, Microsoft assure le Vieux continent de son soutien plein et entier. L’éditeur s’engage à muscler ses investissements et à renforcer la confidentialité des données européennes en se prémunissant des lois extraterritoriales, mais aussi à soutenir la compétitivité des acteurs locaux notamment dans le domaine de l’open source.
Si les services numériques échappent encore à la guerre des droits de douane engagée par Donald Trump avec le reste du monde, impossible de ne pas interroger les « nouveaux engagements numériques pour l’Europe » de Microsoft au regard de la situation internationale.
« Notre soutien à l’Europe a toujours été – et demeurera – inébranlable », écrit ainsi Brad Smith, président de Microsoft, dans une longue tribune publiée le 30 avril dernier. Le numéro un mondial du logiciel y liste cinq engagements par lesquels il entend matérialiser et renforcer « l’interdépendance économique » qui, selon ses propres termes, le lie au Vieux continent.
200 datacenters à horizon 2027
« Aujourd’hui, nous annonçons notre intention d’augmenter la capacité de nos centres de données en Europe de 40 % au cours des deux prochaines années », attaque Microsoft. L’éditeur affirme que cet effort l’amènera à opérer, à horizon 2027, plus de 200 centres de données dans 16 pays européens. Il ne précise pas la nature de ces infrastructures (datacenters en propre ou espaces chez des opérateurs tiers), mais évoque des investissements se comptant en « dizaines de milliards de dollars par an dans l’expansion de ses centres de données à travers l’Europe ».
Cette capacité d’investissement, supérieure à celle de bon nombre d’états membres, pourrait être perçue comme prédatrice. Microsoft prend bien soin de préciser qu’il n’avance pas seul sur le terrain des infrastructures, affirmant prôner, au contraire, une logique de collaboration avec les acteurs locaux, publics comme privés.
« En France, Microsoft s’est associé à Capgemini et Orange, tous deux actionnaires de l’entreprise Bleu. Conçue comme une plateforme de cloud de confiance, Bleu propose une large gamme de services cloud Microsoft Azure et d’outils de productivité Microsoft 365 opérés sous contrôle français », écrit par exemple l’entreprise, qui promet par ailleurs « des conditions avantageuses pour l’exécution des applications Microsoft » aux fournisseurs européens de cloud.
Une gouvernance qui se rapproche de l’Europe
« Ces centres de données ne sont pas montés sur roulettes. Il s’agit de structures permanentes soumises aux lois, réglementations et gouvernements locaux », souligne l’éditeur, dont les activités européennes sont filialisées, sous la houlette d’une représentation basée en Irlande. Pour donner des garanties supplémentaires quant à l’écoute des points de vue locaux, Microsoft annonce la création d’un « conseil d’administration européen composé exclusivement de ressortissants européens et fonctionnant selon le droit européen » pour superviser ses infrastructures.
L’éditeur s’engage par ailleurs à contester, « y compris en intentant une action en justice devant les tribunaux », toute consigne gouvernementale qui viserait à lui faire suspendre ou cesser ses activités cloud en Europe.
Une confidentialité renforcée… dans la limite du droit
Une promesse identique d’action en justice est formulée quant aux demandes gouvernementales qui porteraient sur l’accès à des données européennes. « Entre autres, nous avons engagé quatre actions en justice contre le pouvoir exécutif américain pendant le mandat du président Obama, notamment pour défendre la confidentialité des données de nos clients aux États-Unis et en Europe », affirme par exemple Brad Smith.
Face aux craintes que font planer les lois extraterritoriales états-uniennes telles que le Cloud Act ou le FISA, Microsoft promet l’extension prochaine de son programme EU Data Boundary, qui vise à garantir aux clients européens la possibilité de stocker et traiter localement leurs données et identifiants personnels. L’éditeur rappelle également l’existence, dans son portefeuille, de solutions dédiées au chiffrement des données, avec contrôle par le client des clés associées.
Un RSSI adjoint pour l’Europe
Microsoft s’engage également à renforcer sa collaboration avec l’Europe, ses institutions et ses agences, en matière de cybersécurité, de l’Ukraine à l’OTAN. L’éditeur nomme en chef de file un RSSI adjoint pour l’Europe au sein du Conseil de gouvernance de la cybersécurité de Microsoft. Ce dernier aura notamment vocation à assurer l’interface entre Microsoft et la Commission européenne sur le règlement sur la résilience opérationnelle numérique du secteur financier (DORA), la directive NIS 2 et le Cyber-Resilience Act (CRA).
Microsoft souligne enfin son approche horizontale des services liés au cloud et à l’IA, avec « un accès ouvert à notre plateforme et à notre infrastructure d’IA et de cloud dans toute l’Europe, y compris pour le développement des technologies open source ». L’éditeur se présente comme agnostique technologiquement, et souligne qu’il a supprimé les frais de transfert de données qui s’appliquaient lorsqu’un client choisissait de migrer vers un autre fournisseur de cloud.
S’agit-il de vœux pieux, de promesses de gascon, ou tout simplement de bonnes intentions pas tout à fait désintéressées ? « Alors que Microsoft célébrait ses 50 ans plus tôt ce mois-ci, notre présence de longue date en Europe a toujours été un des piliers de notre succès », admet Brad Smith en conclusion de sa lettre.
Une communication qui tombe à pic
Sa prise de parole intervient alors que la question de la souveraineté ne cesse de s’inviter dans le débat français. L’indépendance stratégique sur les infrastructures figurait par exemple au premier plan de l’intervention, lundi 5 mai, du président de la République sur l’attractivité de la France et de l’Europe en matière de recherche. Elle mobilise également les éditeurs français du secteur, qui ont récemment commandité une étude évaluant à plusieurs centaines de milliards d’euros par an le manque à gagner que représentait le retard européen en matière de cloud par rapport aux géants américains.
☕️ PayPal va tester le paiement sans contact avec son smartphone en Allemagne
Spécialiste du paiement en ligne, l’américain PayPal se prépare à faire une nouvelle incursion dans le monde physique, avec le lancement d’une expérimentation autour du paiement sans contact depuis un smartphone en Allemagne.
Via une mise à jour à venir de son application mobile, sur iOS ou sur Android, les internautes allemands pourront donc payer sans contact leurs achats chez les commerçants dont le terminal est compatible avec le réseau MasterCard.
L’application permettra dans ce contexte aux internautes de disposer d’un historique de leurs transactions sans contact, mais aussi de bénéficier de mécaniques incitatives.

PayPal évoque par exemple la possibilité de différer le règlement de ses achats grâce à une logique d’échelonnement des paiements sur 3 à 24 mois. L’entreprise américaine promet enfin la mise en place d’un programme de cashback, qui permettrait donc à ses clients d’être remboursés d’une petite fraction de leurs achats réalisés via PayPal.
« Notre application vous permettra de payer facilement et en toute sécurité avec votre téléphone dans les magasins ; elle vous donnera plus de choix quant à la manière et au moment de payer ; et encore mieux, PayPal vous aidera à remettre de l’argent dans votre poche », résume Joerg Kablitz, directeur des activités de PayPal en Allemagne, Autriche et Suisse.
L’Allemagne constitue pour PayPal un galop d’essai, au sein d’une communauté des 27 dans laquelle le Digital Services Act contraint depuis début 2024 Apple à ouvrir l’accès à la puce NFC de ses iPhone à des applications de paiement tierces.
La drôle de déclaration d’amour de Microsoft à l’Europe
Quand on aime on ne compte pas

En pleine tempête commerciale entre l’Europe et les États-Unis, Microsoft assure le Vieux continent de son soutien plein et entier. L’éditeur s’engage à muscler ses investissements et à renforcer la confidentialité des données européennes en se prémunissant des lois extraterritoriales, mais aussi à soutenir la compétitivité des acteurs locaux notamment dans le domaine de l’open source.
Si les services numériques échappent encore à la guerre des droits de douane engagée par Donald Trump avec le reste du monde, impossible de ne pas interroger les « nouveaux engagements numériques pour l’Europe » de Microsoft au regard de la situation internationale.
« Notre soutien à l’Europe a toujours été – et demeurera – inébranlable », écrit ainsi Brad Smith, président de Microsoft, dans une longue tribune publiée le 30 avril dernier. Le numéro un mondial du logiciel y liste cinq engagements par lesquels il entend matérialiser et renforcer « l’interdépendance économique » qui, selon ses propres termes, le lie au Vieux continent.
200 datacenters à horizon 2027
« Aujourd’hui, nous annonçons notre intention d’augmenter la capacité de nos centres de données en Europe de 40 % au cours des deux prochaines années », attaque Microsoft. L’éditeur affirme que cet effort l’amènera à opérer, à horizon 2027, plus de 200 centres de données dans 16 pays européens. Il ne précise pas la nature de ces infrastructures (datacenters en propre ou espaces chez des opérateurs tiers), mais évoque des investissements se comptant en « dizaines de milliards de dollars par an dans l’expansion de ses centres de données à travers l’Europe ».
Cette capacité d’investissement, supérieure à celle de bon nombre d’états membres, pourrait être perçue comme prédatrice. Microsoft prend bien soin de préciser qu’il n’avance pas seul sur le terrain des infrastructures, affirmant prôner, au contraire, une logique de collaboration avec les acteurs locaux, publics comme privés.
« En France, Microsoft s’est associé à Capgemini et Orange, tous deux actionnaires de l’entreprise Bleu. Conçue comme une plateforme de cloud de confiance, Bleu propose une large gamme de services cloud Microsoft Azure et d’outils de productivité Microsoft 365 opérés sous contrôle français », écrit par exemple l’entreprise, qui promet par ailleurs « des conditions avantageuses pour l’exécution des applications Microsoft » aux fournisseurs européens de cloud.
Une gouvernance qui se rapproche de l’Europe
« Ces centres de données ne sont pas montés sur roulettes. Il s’agit de structures permanentes soumises aux lois, réglementations et gouvernements locaux », souligne l’éditeur, dont les activités européennes sont filialisées, sous la houlette d’une représentation basée en Irlande. Pour donner des garanties supplémentaires quant à l’écoute des points de vue locaux, Microsoft annonce la création d’un « conseil d’administration européen composé exclusivement de ressortissants européens et fonctionnant selon le droit européen » pour superviser ses infrastructures.
L’éditeur s’engage par ailleurs à contester, « y compris en intentant une action en justice devant les tribunaux », toute consigne gouvernementale qui viserait à lui faire suspendre ou cesser ses activités cloud en Europe.
Une confidentialité renforcée… dans la limite du droit
Une promesse identique d’action en justice est formulée quant aux demandes gouvernementales qui porteraient sur l’accès à des données européennes. « Entre autres, nous avons engagé quatre actions en justice contre le pouvoir exécutif américain pendant le mandat du président Obama, notamment pour défendre la confidentialité des données de nos clients aux États-Unis et en Europe », affirme par exemple Brad Smith.
Face aux craintes que font planer les lois extraterritoriales états-uniennes telles que le Cloud Act ou le FISA, Microsoft promet l’extension prochaine de son programme EU Data Boundary, qui vise à garantir aux clients européens la possibilité de stocker et traiter localement leurs données et identifiants personnels. L’éditeur rappelle également l’existence, dans son portefeuille, de solutions dédiées au chiffrement des données, avec contrôle par le client des clés associées.
Un RSSI adjoint pour l’Europe
Microsoft s’engage également à renforcer sa collaboration avec l’Europe, ses institutions et ses agences, en matière de cybersécurité, de l’Ukraine à l’OTAN. L’éditeur nomme en chef de file un RSSI adjoint pour l’Europe au sein du Conseil de gouvernance de la cybersécurité de Microsoft. Ce dernier aura notamment vocation à assurer l’interface entre Microsoft et la Commission européenne sur le règlement sur la résilience opérationnelle numérique du secteur financier (DORA), la directive NIS 2 et le Cyber-Resilience Act (CRA).
Microsoft souligne enfin son approche horizontale des services liés au cloud et à l’IA, avec « un accès ouvert à notre plateforme et à notre infrastructure d’IA et de cloud dans toute l’Europe, y compris pour le développement des technologies open source ». L’éditeur se présente comme agnostique technologiquement, et souligne qu’il a supprimé les frais de transfert de données qui s’appliquaient lorsqu’un client choisissait de migrer vers un autre fournisseur de cloud.
S’agit-il de vœux pieux, de promesses de gascon, ou tout simplement de bonnes intentions pas tout à fait désintéressées ? « Alors que Microsoft célébrait ses 50 ans plus tôt ce mois-ci, notre présence de longue date en Europe a toujours été un des piliers de notre succès », admet Brad Smith en conclusion de sa lettre.
Une communication qui tombe à pic
Sa prise de parole intervient alors que la question de la souveraineté ne cesse de s’inviter dans le débat français. L’indépendance stratégique sur les infrastructures figurait par exemple au premier plan de l’intervention, lundi 5 mai, du président de la République sur l’attractivité de la France et de l’Europe en matière de recherche. Elle mobilise également les éditeurs français du secteur, qui ont récemment commandité une étude évaluant à plusieurs centaines de milliards d’euros par an le manque à gagner que représentait le retard européen en matière de cloud par rapport aux géants américains.
Meghan reveals little-known detail about her pregnancies
© POOL/AFP via Getty Images
‘Social care will collapse’: Independent readers react to family visa crackdown
Readers weigh in on the impact of new care worker visa rules – from fears of a collapsing sector and rising costs to calls for better wages and homegrown training to fill the gap
© Yui Mok/PA
Poll of the day: Should Labour reverse the cuts to winter fuel payments?
Have your say: Labour’s cuts to winter fuel payments, blamed for heavy local election losses, have sparked a fierce debate over whether the policy should be reversed to win back voter trust
© AFP via Getty Images
Les candidatures au prix « ВЫЗОВ » 2025, le Prix Nobel russe, sont ouvertes !
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Nikola Jokic ou Shai Gilgeous-Alexander : qui mérite le trophée de MVP de la saison régulière en NBA ?

Jonny Greenwood and Israeli musician Dudu Tassa condemn ‘silencing’ after UK concerts pulled
After two performances were cancelled over threats linked to protests against Israel, the duo said the actions were ‘self-evidently a method of censorship’
After the cancellation of two UK performances with the Israeli musician Dudu Tassa, Radiohead’s Jonny Greenwood has said that they “dread the weaponisation of this cancellation by reactionary figures as much as we lament its celebration by some progressives”.
In a statement, Greenwood and Tassa said that venues in London and Bristol as well as “their blameless staff” had received enough credible threats to conclude that it was not safe to proceed with the gigs.
Continue reading...© Photograph: Shin Katan
© Photograph: Shin Katan
Organic magic: Ji-Seon Kim on how carbon-based semiconductors are shaping our present and future
In a sunny office, Ji-Seon Kim holds up a sheet of stripy plastic. In the middle of dark blue and transparent bands, a small red glow catches the eye, clearly visible even against the bright daylight. There are no sockets or chargers, but that little light is no magic trick.
“It’s a printed solar cell from my industrial collaborator,” Kim explains. “This blue material is the organic semiconductor printed in the plastic. It absorbs indoor light and generates electricity to power the LED.”
Kim is a professor in the Department of Physics at Imperial College London, and was director of the university’s EPSRC Plastic Electronics Centre for Doctoral Training, which closed in 2023. She researches carbon-based semiconductors, sometimes called organic, molecular or plastic semiconductors. In 2023 the Institute of Physics (IOP) awarded her the Nevill Mott Medal and Prize in recognition of her “outstanding contributions to the materials physics” of this area.
Yet she came to the field almost by accident. After completing her master’s degree in theoretical physics in Seoul in 1994, Kim was about to embark on a theory-focused PhD studying nonlinear optics at Imperial, when her master’s supervisor told her about some exciting work happening at the University of Cambridge.
A team there had just created the first organic light-emitting diodes (OLEDs) based on conjugated polymers, successfully stimulating carbon-based molecules to glow under an applied voltage. Intrigued by the nascent field, Kim contacted Richard Friend, who led the research and, following an interview, he offered her a PhD position. Friend himself won the IOP’s Isaac Newton Medal and Prize in 2024.
I was really lucky to be in the right place at the right time, just after this new discovery
Ji-Seon Kim
“I spent almost six months learning how to use certain equipment in the lab,” Kim recalls of the tricky transition from theory to experimental work. “For example, there’s a big glove box you have to put your hands in to make the devices inside it, and I wasn’t sure whether I was even able to open the chamber.”
But as she found her feet, she became increasingly passionate about the work. “I was really lucky to be in the right place at the right time, just after this new discovery.”
Seeing the light
You could hardly find a clearer example of fundamental research moving into consumer applications in recent years than OLEDs – now a familiar term in the world of TVs and smartphones. But when Kim joined the field, the first OLEDs were inefficient and degraded quickly due to high electric fields, heat and oxygen exposure. So, during her PhD, Kim focused on making the devices more efficient and last for longer.

She also helped to develop a better understanding of the physics underlying the phenomenon. At the time, researchers disagreed about the fundamental limit of device efficiency determined by excited state (singlet vs triplet) formation under charge injection. Drawing on her theoretical background, Kim developed innovative simulation work on display device outcoupling, which provided a new way of determining the orientation of emitting molecules and the device efficiency, which is now commonly used in the OLED community.
Kim completed her PhD in 2000 and continued studying organic semiconductors, moving to Imperial in 2007. Besides display screens, she is interested in numerous other potential applications of the materials, including sustainable energy. After all, just as the molecules can emit light in response to injected charges, so too can they absorb photons and generate electricity.
Organic semiconductors have several advantages over traditional silicon-based photovoltaic materials. As well as being lightweight, carbon molecules can be tuned to absorb different wavelengths. Whereas silicon solar cells only work with sunlight, and must be installed as heavy panels on roofs or in fields, organic semiconductors offer more options. They could be inconspicuously integrated into buildings, capturing indoor office light that is normally wasted and using it to power appliances. They could even be made into a transparent film and incorporated into windows to convert sunlight into electricity.
Plastic fabrication methods offer a further benefit. Unlike silicon, carbon-based semiconductors can be dissolved in common organic solvents to create a kind of ink, opening the door to low-cost, flexible printing techniques.
And it doesn’t stop there. “A future direction I am particularly interested in is using organic semiconductors for neuromorphic applications,” says Kim. “You can make synaptic transistors – which mimic biological neurons – using molecular semiconductors.”
With all the promise of these materials, the field has flourished. Kim’s group is currently tackling the challenge of the high binding energy between the electron–hole pair in organic semiconductors, which resists separation into free charges, increasing the intrinsic energy cost of using them. Kim and her team are exploring new small molecules, which create an energy level offset by simply changing their packing and orientations, providing an extra driving force to separate the charges.
Building bridges
Alongside her work at Imperial, Kim was also a visiting professor at KAIST in Korea, and is actively involved in strengthening UK–Korea research ties. In 2016 she co-established the GIST-ICL Research and Development Centre for Plastic Electronics, a collaboration between the Gwangju Institute for Science and Technology and Imperial.
“International interactions are critical not only for scientific development but also for future technology,” Kim says. “The UK is really strong in fundamental science, but we don’t have many manufacturing sites compared to Asian countries like Korea. For a fundamental discovery to be applied in a commercial device, there’s a transition from the lab to the manufacturing scale. For that we need a partner, and those partners are overseas.”
Kim is also seeking to build bridges across disciplines. She will soon be moving to the University of Oxford to work on physical chemistry as part of a research initiative focused on sustainable materials and chemistry. She will draw on her expertise in spectroscopic techniques to study and engineer molecules for sustainable applications.
“These days physics is multidisciplinary,” she notes. “For future technology and science, you have to be able to integrate different disciplines. I hope I can contribute as a physicist to bridge different disciplines in molecular semiconductors.”
But one constant is how Kim mentors undergraduate students. Her advice is to engage them with innovations from the lab, which is why she likes to get out the plastic sheet powering the LED. The emphasis on tangible experience is inspired by the excitement and motivation she remembers feeling when she saw organic semiconductors glowing at the start of her PhD.
“Even though the efficiency was so poor that we had to turn the overhead light off and use a really high voltage to see the faint light, that exposure to the real physics was really important,” she says. “That was for me a Eureka moment.”
The post Organic magic: Ji-Seon Kim on how carbon-based semiconductors are shaping our present and future appeared first on Physics World.
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☕️ Livraison de repas : DoorDash s’offre Deliveroo pour 3,4 milliards d’euros
La société de livraison de repas et d’épicerie Deliveroo s’apprête à passer sous pavillon américain. Cotée à la bourse de Londres depuis 2021, l’entreprise britannique vient en effet d’accepter formellement l’offre de rachat émise par son homologue et concurrent états-unien DoorDash. La transaction se fait sur la base de 180 pence par action Deliveroo, soit une valorisation totale de l’ordre de 2,9 milliards de livres sterling (environ 3,4 milliards d’euros).
« Nous couvrirons plus de 40 pays avec une population combinée de plus d’un milliard de personnes, ce qui nous permettra de fournir à davantage d’entreprises locales les outils et la technologie dont elles ont besoin pour prospérer », affirme Tony Xu, CEO et cofondateur de DoorDash, dans un communiqué.
Deliveroo, fondée en 2013, revendique aujourd’hui près de 176 000 restaurants et commerces clients de ses services de livraison, avec une présence dans neuf pays (dont la France, la Belgique, l’Italie, l’Inde, les Émirats Arabes Unis ou Singapour), et une armée d’environ 130 000 livreurs indépendants.

L’entreprise compterait environ 7 millions de clients actifs par mois, avec un volume de transactions de l’ordre de 8,3 milliards d’euros en 2024 duquel découle un chiffre d’affaires de 2,35 milliards d’euros sur l’année. DoorDash affiche de son côté 42 millions d’utilisateurs actifs mensuels dans 30 pays, et un chiffre d’affaires annuel de 10,7 milliards de dollars (9,45 milliards d’euros) en 2024.
Cette transaction illustre la consolidation à l’œuvre sur le marché de la livraison de repas à domiciles, quelques années après l’essor de ce phénomène qui a conduit, en France, à l’avènement de plateformes comme Uber Eats, Stuart ou Deliveroo. Avec, à la clé, une concurrence exacerbée pour doper la croissance et conquérir des parts de marché, qui se traduit par des marges contraintes et de nombreux débats, aussi bien sanitaires que sociaux, sur les conséquences de cette activité pour les travailleurs indépendants.
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OpenAI fait évoluer sa gouvernance, mais renonce à devenir une société à but lucratif

Sam Altman a annoncé lundi une évolution de la gouvernance d’OpenAI. L’éditeur de ChatGPT va abandonner sa structure actuelle, dont les bénéfices sont plafonnés, au profit d’un modèle capitalistique standard associé à une dimension d’intérêt public. L’entreprise reste cependant placée sous le contrôle d’une organisation à but non lucratif.
L’annonce sera certainement perçue comme une victoire par tous ceux qui craignaient de voir OpenAI faire primer l’intérêt de ses actionnaires avant le bien commun. Dans un message d’abord adressé à ses employés, puis relayé lundi sur son site Web, Sam Altman, cofondateur et CEO de l’entreprise, indique avoir renoncé à son projet de faire basculer l’éditeur de ChatGPT vers un modèle de société à but purement lucratif.
OpenAI conserve sa tête à but non lucratif
« OpenAI n’est pas une entreprise normale et ne le sera jamais », promet-il, avant de rappeler que sa mission est de parvenir à l’élaboration d’une intelligence artificielle générale (AGI) capable de bénéficier à « toute l’humanité ».
C’est la portée universelle de cette mission qui aurait conduit le dirigeant d’OpenAI à abandonner son projet, pourtant annoncé publiquement, de bascule vers un modèle de société standard, à but lucratif, capable de rémunérer ses actionnaires à partir de ses bénéfices. « OpenAI a été fondée en tant qu’organisation à but non lucratif. Aujourd’hui, elle supervise et contrôle la structure à but lucratif, et elle continuera à le faire à l’avenir. Cela ne changera pas », promet Sam Altman.
D’un modèle « profit capped » vers un modèle « bien public »
La gouvernance de l’entreprise s’apprête tout de même à évoluer. Pour ses activités commerciales, OpenAI repose pour mémoire sur une structure dite « capped profit », dont les bénéfices sont plafonnés (l’excédent devant, statutairement, remonter vers la structure à but non lucratif qui chapeaute l’ensemble).
C’est cette structure qui va être abandonnée, au profit d’un modèle plus traditionnel de Public Benefit Corporation (PBC), soit littéralement entreprise d’intérêt public, ou société à mission dans la terminologie française. Ce dispositif légal, prévu par le droit des États-Unis, s’adresse aux entreprises à but lucratif qui souhaitent inscrire dans leurs statuts la poursuite d’objectifs d’intérêt public, en parallèle de leurs logiques de croissance et de rentabilité.
Contrairement à l’initiative privée B-Corp, le modèle PBC ne suppose pas nécessairement de certification par un tiers, mais il peut être assorti, selon les états, d’obligations de mesure de performance.
« Le modèle PBC est devenu la structure à but lucratif standard pour d’autres laboratoires d’IAG comme Anthropic et X.ai, ainsi que pour de nombreuses entreprises à vocation sociale comme Patagonia. Nous pensons que cela nous convient aussi », commente Sam Altman.
Un actionnaire parmi d’autres… comme Softbank
« Nous évoluons vers une structure de capital normale où chacun détient des actions. Il ne s’agit pas d’une vente, mais d’un changement vers une structure plus simple », écrit-il encore. Dans le nouveau modèle, la structure à but non lucratif devient donc un actionnaire « important » de l’entreprise, avec un droit de contrôle, mais sans majorité.
Sam Altman n’évoque nommément que Microsoft parmi les partenaires d’OpenAI, mais les changements annoncés lundi ont vraisemblablement entraîné des discussions avec Softbank : le groupe japonais figure en effet au premier rang des participants à un tour de table de 40 milliards de dollars lancé début avril. Or il avait assorti sa participation à cette levée de fonds, qui doit intervenir en plusieurs phases d’ici 2026, de conditions suspensives, à commencer par la bascule vers un modèle de société à but lucratif.
‘Women designing for women’: the new wave dominating UK high street
Whistles recruits ex-Topshop design chief, while M&S, Uniqlo and Cos thrive with women in top creative roles
The health of the British high street is a much-discussed topic in fashion. The latest secret weapon set to resuscitate the sector? A wave of female designers at much-loved brands.
Jacqui Markham, previously the design director at Topshop and Asos, was named the new creative director at Whistles last week. She joins Maddy Evans, promoted to director of womenswear at Marks & Spencer this year, and Clare Waight Keller, the former Givenchy designer who joined Uniqlo last year. Meanwhile, Cos, the fashion insiders’ current favourite, has had Karin Gustafsson at the design helm since the brand began in 2006.
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© Photograph: William Barton/Alamy
This rural Ontario spot is Canada’s best restaurant, according to annual list
Surtaxes douanières : Donald Trump dans le rôle de défenseur d'Hollywood
The song voted the UK’s favourite – for the seventh year running
It was crowned the winner of Smooth Radio’s All Time Top 500 poll