↩ Accueil

Vue lecture

Backbone Pro : une nouvelle manette berceau plus chère, plus confortable et compatible Bluetooth

Backbone est de retour avec une nouvelle manette berceau au tarif exorbitant visant les joueurs les plus exigeants. En plus de quelques améliorations côté confort comme des sticks de taille standard, cette Backbone Pro embarque désormais une connectivité Bluetooth. On pourra ainsi s’en servir pour des jeux sur iPhone avant de l'utiliser pour continuer une partie sur son Mac. Il est également possible de la brancher directement en filaire pour une latence moindre ou pour jouer sur une tablette.

Cette Backbone Pro reprend une disposition assez classique avec deux sticks asymétriques plus confortables et des boutons XYAB que l’on nous présente comme étant plus silencieux. On retrouve aussi un combo Start/Select, une touche de capture d’écran, une croix directionnelle et un bouton pour lancer l’app maison. Les gâchettes sont à effet Hall, une technologie qui devrait offrir de meilleures sensations. Autre petite nouveauté : l’entreprise a ajouté deux boutons personnalisables tombant sous les index.

Le Bluetooth a visiblement été bien pensé, avec une fonction permettant de rapidement passer d’un appareil à l’autre sans se reconnecter. L’intégration avec l’application Backbone devrait être améliorée, celle-ci faisant office d’agrégateur de jeux pour les multiples plateformes. Backbone affirme qu’il sera possible d’enregistrer de nombreux profils pour ses différents jeux. L’autonomie monte jusqu’à 40 heures.

La manette est USB-C, ce qui exclut les téléphones sortis avant l’iPhone 15. L’accessoire fonctionne avec un grand nombre de coques, comme celle en silicone d’Apple. Il sera prochainement mis en vente sur le site du constructeur, sachant que le tarif américain est de 170 $ : on devrait s’approcher des 200 € dans la version européenne. Backbone n’est pas le seul sur le créneau des manettes haut de gamme, et nous avions testé il y a quelque temps la Kishi Ultra, une manette au concept similaire sans connectivité sans fils.

  •  

Copilot+ : Microsoft revoit sa gamme Surface et lance deux nouvelles machines à puces ARM

Il y a du changement dans la gamme Surface Copilot+ à puces ARM. Microsoft vient d’annoncer une version revue du Surface Laptop, un ultraportable équivalent au MacBook Air. Si le design s’affine et que la bécane perd une centaine de grammes, elle n’est pas particulièrement intéressante étant donné que la puissance est réduite pour un prix en hausse : 1 099 €, contre 100 € de moins pour la génération précédente.

Le nouveau Surface Laptop.

Le nouveau Surface Laptop embarque une puce Snapdragon X Plus de Qualcomm, 16 Go de RAM et 256 Go de stockage. La puce est une version moins puissante que celle que l’on connaissait jusqu’à présent étant donné qu’elle dispose de seulement 8 cœurs (contre 10 habituellement). Le PC n’en reste pas moins certifié Copilot+, ce qui lui permet d’accéder à certaines fonctions d’IA.

Mis à part ça, on y trouve un écran de 13 pouces 1920 x 1280 (60 Hz). La batterie devrait tenir environ 16 heures. Côté connectique, on retrouve deux USB-C, un USB-A et un port jack. La machine est Wi-Fi 7 et embarque du Bluetooth 5.4. Un ventilateur est toujours présent, ce qui est bruyant, mais devrait éviter la surchauffe sur le long terme. Notons qu’il est possible de grimper à 512 Go pour 1 219 €.

La nouvelle Surface Pro.

Sur un autre registre, Microsoft a également lancé une nouvelle Surface Pro, son hybride 2-en-1 faisant autant tablette que PC portable. Ce nouveau modèle 12 pouces intègre la même puce et la même configuration que le Surface Laptop (16/256 Go). Les ventilateurs ont disparu, ce qui donne un design plus moderne. L'autonomie n'est pas exceptionnelle pour autant étant donné qu'on parle de 12 heures en usage web, soit moins que le Surface Laptop.

La dalle LCD 2196 x 1464 (220 ppi) est 90 Hz et non 120 Hz comme sur la Surface Pro 11 13". Le connecteur Surface Connect a disparu et été remplacé par un second USB-C. La bécane est vendue pour 979 €, sachant que le clavier est vendu à part pour 180 € (ou 300 € en pack avec le stylet Slim Pen).

  •  

Backbone Pro : une nouvelle manette berceau plus chère, plus confortable et compatible Bluetooth

Backbone est de retour avec une nouvelle manette berceau au tarif exorbitant visant les joueurs les plus exigeants. En plus de quelques améliorations côté confort comme des sticks de taille standard, cette Backbone Pro embarque désormais une connectivité Bluetooth. On pourra ainsi s’en servir pour des jeux sur iPhone avant de l'utiliser pour continuer une partie sur son Mac. Il est également possible de la brancher directement en filaire pour une latence moindre ou pour jouer sur une tablette.

Cette Backbone Pro reprend une disposition assez classique avec deux sticks asymétriques plus confortables et des boutons XYAB que l’on nous présente comme étant plus silencieux. On retrouve aussi un combo Start/Select, une touche de capture d’écran, une croix directionnelle et un bouton pour lancer l’app maison. Les gâchettes sont à effet Hall, une technologie qui devrait offrir de meilleures sensations. Autre petite nouveauté : l’entreprise a ajouté deux boutons personnalisables tombant sous les index.

Le Bluetooth a visiblement été bien pensé, avec une fonction permettant de rapidement passer d’un appareil à l’autre sans se reconnecter. L’intégration avec l’application Backbone devrait être améliorée, celle-ci faisant office d’agrégateur de jeux pour les multiples plateformes. Backbone affirme qu’il sera possible d’enregistrer de nombreux profils pour ses différents jeux. L’autonomie monte jusqu’à 40 heures.

La manette est USB-C, ce qui exclut les téléphones sortis avant l’iPhone 15. L’accessoire fonctionne avec un grand nombre de coques, comme celle en silicone d’Apple. Il sera prochainement mis en vente sur le site du constructeur, sachant que le tarif américain est de 170 $ : on devrait s’approcher des 200 € dans la version européenne. Backbone n’est pas le seul sur le créneau des manettes haut de gamme, et nous avions testé il y a quelque temps la Kishi Ultra, une manette au concept similaire sans connectivité sans fils.

  •  

Copilot+ : Microsoft revoit sa gamme Surface et lance deux nouvelles machines à puces ARM

Il y a du changement dans la gamme Surface Copilot+ à puces ARM. Microsoft vient d’annoncer une version revue du Surface Laptop, un ultraportable équivalent au MacBook Air. Si le design s’affine et que la bécane perd une centaine de grammes, elle n’est pas particulièrement intéressante étant donné que la puissance est réduite pour un prix en hausse : 1 099 €, contre 100 € de moins pour la génération précédente.

Le nouveau Surface Laptop.

Le nouveau Surface Laptop embarque une puce Snapdragon X Plus de Qualcomm, 16 Go de RAM et 256 Go de stockage. La puce est une version moins puissante que celle que l’on connaissait jusqu’à présent étant donné qu’elle dispose de seulement 8 cœurs (contre 10 habituellement). Le PC n’en reste pas moins certifié Copilot+, ce qui lui permet d’accéder à certaines fonctions d’IA.

Mis à part ça, on y trouve un écran de 13 pouces 1920 x 1280 (60 Hz). La batterie devrait tenir environ 16 heures. Côté connectique, on retrouve deux USB-C, un USB-A et un port jack. La machine est Wi-Fi 7 et embarque du Bluetooth 5.4. Un ventilateur est toujours présent, ce qui est bruyant, mais devrait éviter la surchauffe sur le long terme. Notons qu’il est possible de grimper à 512 Go pour 1 219 €.

La nouvelle Surface Pro.

Sur un autre registre, Microsoft a également lancé une nouvelle Surface Pro, son hybride 2-en-1 faisant autant tablette que PC portable. Ce nouveau modèle 12 pouces intègre la même puce et la même configuration que le Surface Laptop (16/256 Go). Les ventilateurs ont disparu, ce qui donne un design plus moderne. L'autonomie n'est pas exceptionnelle pour autant étant donné qu'on parle de 12 heures en usage web, soit moins que le Surface Laptop.

La dalle LCD 2196 x 1464 (220 ppi) est 90 Hz et non 120 Hz comme sur la Surface Pro 11 13". Le connecteur Surface Connect a disparu et été remplacé par un second USB-C. La bécane est vendue pour 979 €, sachant que le clavier est vendu à part pour 180 € (ou 300 € en pack avec le stylet Slim Pen).

  •  

Cork : Apple ouvre les portes de ses laboratoires de tests à des influenceurs

Apple a récemment invité une poignée d’influenceurs à visiter son QG européen de Cork, en Irlande. Plus précisément, les chanceux ont pu visiter des laboratoires dans lesquels Apple teste la résistance de ses produits. Le français TheiCollection a fait le déplacement, tout comme d’autres influenceurs européens (l’Espagnole Verownika, l’Italienne Hopebellee, le Polonais Spider’s web…).

Ce laboratoire d’essai a ouvert en 2022. Les invités ont pu découvrir le Reliability Lab (où sont testés la durabilité des produits) ainsi que l'Applied Research Lab, passant aux cribles les appareils à la recherche de failles. L’occasion d’apercevoir les différentes machines industrielles torturant les multiples bidules pommés : four à iPhone, frigo pour iMac, machine à projection de sable, simulateur de pression sur les écrans… On peut également y voir une machine inclinant un iMac ou y insérant un port USB afin de tester sa durabilité, ou une autre s’assurant que le produit ne sera pas abîmé dans son carton pendant le transport.

La visite présentait aussi les microscopes et autres scanners utilisés pour analyser en détail les produits. Sans surprise, Apple n’a pas montré de prototype exclusif mais a fait sa démonstration avec des iMac et iPhone déjà sur le marché. Ce n’est pas la première fois que Cupertino donne accès à ce laboratoire : un Youtubeur italien avait été invité à une visite similaire il y a maintenant un an.

  •  

Cork : Apple ouvre les portes de ses laboratoires de tests à des influenceurs

Apple a récemment invité une poignée d’influenceurs à visiter son QG européen de Cork, en Irlande. Plus précisément, les chanceux ont pu visiter des laboratoires dans lesquels Apple teste la résistance de ses produits. Le français TheiCollection a fait le déplacement, tout comme d’autres influenceurs européens (l’Espagnole Verownika, l’Italienne Hopebellee, le Polonais Spider’s web…).

Ce laboratoire d’essai a ouvert en 2022. Les invités ont pu découvrir le Reliability Lab (où sont testés la durabilité des produits) ainsi que l'Applied Research Lab, passant aux cribles les appareils à la recherche de failles. L’occasion d’apercevoir les différentes machines industrielles torturant les multiples bidules pommés : four à iPhone, frigo pour iMac, machine à projection de sable, simulateur de pression sur les écrans… On peut également y voir une machine inclinant un iMac ou y insérant un port USB afin de tester sa durabilité, ou une autre s’assurant que le produit ne sera pas abîmé dans son carton pendant le transport.

La visite présentait aussi les microscopes et autres scanners utilisés pour analyser en détail les produits. Sans surprise, Apple n’a pas montré de prototype exclusif mais a fait sa démonstration avec des iMac et iPhone déjà sur le marché. Ce n’est pas la première fois que Cupertino donne accès à ce laboratoire : un Youtubeur italien avait été invité à une visite similaire il y a maintenant un an.

  •  

OpenAI abandonne son plan pour devenir une société à but lucratif

OpenAI va rester une société à but non lucratif. La start-up a confirmé dans un billet de blog qu’elle abandonnait son ambitieux projet visant à changer de structure sur deux ans. « OpenAI a été fondée en tant que société à but non lucratif, et est aujourd'hui supervisée et contrôlée par celle-ci », écrit le président d’OpenAI. « À l'avenir, elle continuera d'être supervisée et contrôlée par cette organisation à but non lucratif ».

L’idée de changer de structure avait été officialisée en fin d’année dernière : l’ambition était alors de rivaliser avec les plus grands et de « devenir une entreprise pérenne », avec une transition sur 24 mois. De nombreuses voix critiques s’étaient levées, y voyant une transition dommageable sur le long terme pouvant créer un précédent dangereux. L’idée n’avait pas du tout plu à Elon Musk, qui avait proposé 97,4 milliards de dollars pour racheter la branche à but non lucratif d'OpenAI.

La décision a été prise après une discussion avec les bureaux des procureurs généraux de Californie et du Delaware, où OpenAI est basée et enregistrée. Dans une lettre ouverte, Sam Altman réitère son ambition « de veiller à ce que l'intelligence artificielle générale (AGI) profite à l'ensemble de l'humanité ». Il y indique que, même si une branche demeurera dédiée au profit, elle continuera d’être contrôlée par un conseil d’administrateurs rattaché à une entité mère à but non lucratif. Un tel choix devrait permettre « de continuer à réaliser des progrès rapides et sûrs et de donner à tous l’accès à une IA performante ».

Un tel changement de stratégie devrait déplaire aux investisseurs, qui attendaient impatiemment de faire fructifier leurs placements. OpenAI a levé 40 milliards de dollars en début d’année, dont les 3/4 proviennent de la société d’investissement japonaise SoftBank. La transformation d’OpenAI en entreprise à but lucratif était une des conditions du contrat : la somme devrait donc être revue à la baisse.

  •  

OpenAI abandonne son plan pour devenir une société à but lucratif

OpenAI va rester une société à but non lucratif. La start-up a confirmé dans un billet de blog qu’elle abandonnait son ambitieux projet visant à changer de structure sur deux ans. « OpenAI a été fondée en tant que société à but non lucratif, et est aujourd'hui supervisée et contrôlée par celle-ci », écrit le président d’OpenAI. « À l'avenir, elle continuera d'être supervisée et contrôlée par cette organisation à but non lucratif ».

L’idée de changer de structure avait été officialisée en fin d’année dernière : l’ambition était alors de rivaliser avec les plus grands et de « devenir une entreprise pérenne », avec une transition sur 24 mois. De nombreuses voix critiques s’étaient levées, y voyant une transition dommageable sur le long terme pouvant créer un précédent dangereux. L’idée n’avait pas du tout plu à Elon Musk, qui avait proposé 97,4 milliards de dollars pour racheter la branche à but non lucratif d'OpenAI.

La décision a été prise après une discussion avec les bureaux des procureurs généraux de Californie et du Delaware, où OpenAI est basée et enregistrée. Dans une lettre ouverte, Sam Altman réitère son ambition « de veiller à ce que l'intelligence artificielle générale (AGI) profite à l'ensemble de l'humanité ». Il y indique que, même si une branche demeurera dédiée au profit, elle continuera d’être contrôlée par un conseil d’administrateurs rattaché à une entité mère à but non lucratif. Un tel choix devrait permettre « de continuer à réaliser des progrès rapides et sûrs et de donner à tous l’accès à une IA performante ».

Un tel changement de stratégie devrait déplaire aux investisseurs, qui attendaient impatiemment de faire fructifier leurs placements. OpenAI a levé 40 milliards de dollars en début d’année, dont les 3/4 proviennent de la société d’investissement japonaise SoftBank. La transformation d’OpenAI en entreprise à but lucratif était une des conditions du contrat : la somme devrait donc être revue à la baisse.

  •  

Un bidouilleur intègre un PC de joueur dans un châssis de Macintosh SE

Le bidouilleur Josh Greenwalt s’est mis en tête de se créer un PC de joueur au boîtier original : celui d’un Macintosh SE. Il a donc réussi à transformer le châssis de cette vénérable machine de 1987 en véritable tour gaming à la configuration musclée. Les détails sont disponibles dans sa vidéo YouTube sur le sujet.

Josh Greenwalt explique être récemment tombé sur une annonce pour un Macintosh SE d’occasion, qu’il a décidé de désosser et de découper pour y intégrer des composants de PC. La configuration est plus que respectable étant donné qu’on y trouve une carte graphique RTX 3070 couplée à 32 Go de RAM et un processeur Ryzen 5 7600. Le SSD NVME interne fait 2 To. L’écran d’origine reste fonctionnel et peut servir à jouer, même s’il sera évidemment plus intéressant d’utiliser un écran externe pour autre chose que du rétrogaming format 4:3.

Malgré de nombreuses heures de perçage, de découpe et de ponçage du boîtier, le bidouilleur a réussi à ne pas trop dénaturer le Mac. Le lecteur de disquette d’origine sert désormais à lire les cartes SD, et la molette de luminosité ajuste maintenant le son. Des haut-parleurs ont été intégrés, ainsi qu’un port USB-C frontal. De plus, il a développé plusieurs fonds d’écrans pour l’écran interne avec un petit visage de robot donnant l’impression que l’ordinateur dort ou qu’il est en sueur quand il monte dans les tours.

Les composants des machines actuelles sont énormes par rapport au boîtier, lancé il y a presque 40 ans. L’intégration a demandé un peu de bidouille, comme il l’a expliqué à Engadget. « La seule façon de faire tenir une carte graphique était de la monter verticalement avec les ports orientés vers le bas. Pour cette raison, j'ai dû faire passer des câbles d'extension pour réorienter les ports vers l'arrière et j'ai dû utiliser un câble PCIe riser de 400 mm pour le brancher sur la carte mère ». Il précise que la torsion de cet énorme câble donne un côté assez ridicule quand on jette un coup d'œil aux entrailles de la bête, mais que l’astuce fonctionne.

Le résultat est sympathique. Cependant, Josh Greenwalt s’inquiète que des bidouilleurs du dimanche s’accaparent les stocks de Macintosh SE pour essayer de faire pareil - réduisant ainsi les le nombre de machines sur le marché. Il a des idées pour la suite et envisage de proposer ses plans de boîtier 3D pour ceux voulant également tenter l’aventure. Une vidéo devrait arriver dans les semaines qui viennent détaillant le processus de fabrication.

  •  

Un bidouilleur intègre un PC de joueur dans un châssis de Macintosh SE

Le bidouilleur Josh Greenwalt s’est mis en tête de se créer un PC de joueur au boîtier original : celui d’un Macintosh SE. Il a donc réussi à transformer le châssis de cette vénérable machine de 1987 en véritable tour gaming à la configuration musclée. Les détails sont disponibles dans sa vidéo YouTube sur le sujet.

Josh Greenwalt explique être récemment tombé sur une annonce pour un Macintosh SE d’occasion, qu’il a décidé de désosser et de découper pour y intégrer des composants de PC. La configuration est plus que respectable étant donné qu’on y trouve une carte graphique RTX 3070 couplée à 32 Go de RAM et un processeur Ryzen 5 7600. Le SSD NVME interne fait 2 To. L’écran d’origine reste fonctionnel et peut servir à jouer, même s’il sera évidemment plus intéressant d’utiliser un écran externe pour autre chose que du rétrogaming format 4:3.

Malgré de nombreuses heures de perçage, de découpe et de ponçage du boîtier, le bidouilleur a réussi à ne pas trop dénaturer le Mac. Le lecteur de disquette d’origine sert désormais à lire les cartes SD, et la molette de luminosité ajuste maintenant le son. Des haut-parleurs ont été intégrés, ainsi qu’un port USB-C frontal. De plus, il a développé plusieurs fonds d’écrans pour l’écran interne avec un petit visage de robot donnant l’impression que l’ordinateur dort ou qu’il est en sueur quand il monte dans les tours.

Les composants des machines actuelles sont énormes par rapport au boîtier, lancé il y a presque 40 ans. L’intégration a demandé un peu de bidouille, comme il l’a expliqué à Engadget. « La seule façon de faire tenir une carte graphique était de la monter verticalement avec les ports orientés vers le bas. Pour cette raison, j'ai dû faire passer des câbles d'extension pour réorienter les ports vers l'arrière et j'ai dû utiliser un câble PCIe riser de 400 mm pour le brancher sur la carte mère ». Il précise que la torsion de cet énorme câble donne un côté assez ridicule quand on jette un coup d'œil aux entrailles de la bête, mais que l’astuce fonctionne.

Le résultat est sympathique. Cependant, Josh Greenwalt s’inquiète que des bidouilleurs du dimanche s’accaparent les stocks de Macintosh SE pour essayer de faire pareil - réduisant ainsi les le nombre de machines sur le marché. Il a des idées pour la suite et envisage de proposer ses plans de boîtier 3D pour ceux voulant également tenter l’aventure. Une vidéo devrait arriver dans les semaines qui viennent détaillant le processus de fabrication.

  •  

Promo : la Bose SoundLink Flex 2 à 119,99 € (-33 %)

La sympathique enceinte Bose SoundLink Flex de deuxième génération est en promo ce matin. Amazon la propose pour 119,99 €, contre un prix public conseillé de 179,95 €. Cela représente donc 33 % de ristourne sur cette enceinte Bluetooth qui n’est disponible à ce prix là qu’en coloris noir.

Image Bose

Bose promet une autonomie allant jusqu’à 12 heures et un indice de protection IP67, ce qui la rend résistante à l’eau et à la poussière. Une technologie maison détecte l’inclinaison de l’enceinte afin d’ajuster le son en conséquence. La connexion multipoint est au programme, tout comme un micro intégré pour passer des coups de fil en kit mains libres. Un mode stéréo permet d’en jumeler deux pour les clients équipés.

En ajoutant 10 € de plus, vous pourrez vous tourner vers la récente Beats Pill qui perd actuellement 24 % de son prix chez Amazon. Celle-ci tient plus de 20 heures et a l’avantage d’être compatible avec le réseau Localiser. Nous recommandons également la Sonos Roam, qui a l’avantage d’être compatible AirPlay mais dont le tarif est bien moins abordable (199 €).

  •  

Promo : la Bose SoundLink Flex 2 à 119,99 € (-33 %)

La sympathique enceinte Bose SoundLink Flex de deuxième génération est en promo ce matin. Amazon la propose pour 119,99 €, contre un prix public conseillé de 179,95 €. Cela représente donc 33 % de ristourne sur cette enceinte Bluetooth qui n’est disponible à ce prix là qu’en coloris noir.

Image Bose

Bose promet une autonomie allant jusqu’à 12 heures et un indice de protection IP67, ce qui la rend résistante à l’eau et à la poussière. Une technologie maison détecte l’inclinaison de l’enceinte afin d’ajuster le son en conséquence. La connexion multipoint est au programme, tout comme un micro intégré pour passer des coups de fil en kit mains libres. Un mode stéréo permet d’en jumeler deux pour les clients équipés.

En ajoutant 10 € de plus, vous pourrez vous tourner vers la récente Beats Pill qui perd actuellement 24 % de son prix chez Amazon. Celle-ci tient plus de 20 heures et a l’avantage d’être compatible avec le réseau Localiser. Nous recommandons également la Sonos Roam, qui a l’avantage d’être compatible AirPlay mais dont le tarif est bien moins abordable (199 €).

  •  

Core 2 Duo : un premier aperçu vidéo pour la nouvelle Pebble

Le créateur de la Pebble Eric Migicovsky ne chôme pas depuis le début de l’année. En plus de travailler à ressusciter sa fameuse montre à écran E Ink, le bidouilleur vient de lancer un podcast habilement nommé Tick Talk. Il a profité du premier épisode pour donner des détails sur l’avancée de son projet, évoquant de nouvelles idées de fonctions et proposant même un premier aperçu vidéo de la future Core 2 Duo.

Image Eric Migicovsky via YouTube

On peut y découvrir une nouvelle montre tournant sur PebbleOS fonctionnant déjà avec une multitude de cadrans. Le bracelet est visiblement assez basique et similaire au bracelet Sport de l’Apple Watch. Le chargeur magnétique propriétaire est quasi identique à celui créé il y a 10 ans. Le produit reste assez sommaire, et il travaille toujours sur de nombreuses fonctions basiques comme les vibrations ou le rétroéclairage. D’autres n’ont pas encore été activées, comme le fait… de donner l’heure.

Eric Migicovsky a de la suite dans les idées et voudrait ajouter une intégration à Beeper, son application permettant d’utiliser différentes messageries. Les nouvelles montres embarquant un micro et un haut-parleur, il envisage également d’intégrer une manière de papoter avec les tchatbots IA. Le DMA devrait améliorer la compatibilité avec l’iPhone, permettant par exemple de répondre à un message en dictant une réponse directement à sa Pebble.

Le sujet des droits de douane américains a aussi été évoqué, Donald Trump ayant mis en place de nouvelles taxes sur les produits provenant de Chine alors que la montre est fabriquée à Shenzhen. De tels produits sont pour le moment soumis à une taxe de 27,5 %, ce qui pourrait faire gonfler le prix des accessoires de 10 à 25 dollars. Les clients en dehors des États-Unis ne seront logiquement pas touchés par ces frais.

Les choses vont accélérer dans les prochains mois : Eric Migicovsky a dans l’idée de lancer deux montres avant la fin 2025. La « Core 2 Duo » vue ci-dessus ressemble énormément à une Pebble 2, tandis que la « Core Time 2 » sera une version plus avancée avec un écran couleur. La première devrait arriver entre les mains des premiers clients début juillet, et la seconde d’ici décembre.

  •  

Core 2 Duo : un premier aperçu vidéo pour la nouvelle Pebble

Le créateur de la Pebble Eric Migicovsky ne chôme pas depuis le début de l’année. En plus de travailler à ressusciter sa fameuse montre à écran E Ink, le bidouilleur vient de lancer un podcast habilement nommé Tick Talk. Il a profité du premier épisode pour donner des détails sur l’avancée de son projet, évoquant de nouvelles idées de fonctions et proposant même un premier aperçu vidéo de la future Core 2 Duo.

Image Eric Migicovsky via YouTube

On peut y découvrir une nouvelle montre tournant sur PebbleOS fonctionnant déjà avec une multitude de cadrans. Le bracelet est visiblement assez basique et similaire au bracelet Sport de l’Apple Watch. Le chargeur magnétique propriétaire est quasi identique à celui créé il y a 10 ans. Le produit reste assez sommaire, et il travaille toujours sur de nombreuses fonctions basiques comme les vibrations ou le rétroéclairage. D’autres n’ont pas encore été activées, comme le fait… de donner l’heure.

Eric Migicovsky a de la suite dans les idées et voudrait ajouter une intégration à Beeper, son application permettant d’utiliser différentes messageries. Les nouvelles montres embarquant un micro et un haut-parleur, il envisage également d’intégrer une manière de papoter avec les tchatbots IA. Le DMA devrait améliorer la compatibilité avec l’iPhone, permettant par exemple de répondre à un message en dictant une réponse directement à sa Pebble.

Le sujet des droits de douane américains a aussi été évoqué, Donald Trump ayant mis en place de nouvelles taxes sur les produits provenant de Chine alors que la montre est fabriquée à Shenzhen. De tels produits sont pour le moment soumis à une taxe de 27,5 %, ce qui pourrait faire gonfler le prix des accessoires de 10 à 25 dollars. Les clients en dehors des États-Unis ne seront logiquement pas touchés par ces frais.

Les choses vont accélérer dans les prochains mois : Eric Migicovsky a dans l’idée de lancer deux montres avant la fin 2025. La « Core 2 Duo » vue ci-dessus ressemble énormément à une Pebble 2, tandis que la « Core Time 2 » sera une version plus avancée avec un écran couleur. La première devrait arriver entre les mains des premiers clients début juillet, et la seconde d’ici décembre.

  •  

Android : Google travaille sur un mode bureau pour les smartphones connectés à un écran externe

Google s’inspire de Samsung et travaille actuellement sur une fonction reprenant l’interface d’un PC lorsqu’un téléphone est relié à un écran externe. Un concept similaire au DeX de Samsung, apparu en 2017 sur le Galaxy S8 et permettant de transformer son smartphone en mini-ordinateur pour peut que l’on ait un clavier et une souris sous la main. Le spécialiste d’Android Mishaal Rahman a publié un premier aperçu de cette future fonction à la sauce Google, qu’il a réussi à activer sur un Pixel.

Image : AndroidAuthority

Brancher le téléphone à un écran fait apparaître un bureau assez classique, avec une barre des tâches « à la Windows » en bas permettant d’accéder à certaines applications et à la grille d’apps principale. On peut également y voir les programmes lancés récemment et y épingler ses préférés, ce qui sera pratique pour le multitâche. Une barre de statuts avec différentes infos (autonomie, batterie) reste affichée en haut.

Les apps s’ouvrent comme sur un ordinateur : on peut lancer plusieurs apps et redimensionner leurs fenêtres. Le tout ressemble fortement au multitâche amélioré apparu sur Android 15, qui est limité aux tablettes et à leurs écrans intégrés. La taille des fenêtres s'ajuste automatiquement lorsqu’elles sont glissées dans les coins, et le fond d’écran du téléphone devient celui de « l’ordinateur ».

La Pixel Tablet gagne (presque) un équivalent à Stage Manager

La Pixel Tablet gagne (presque) un équivalent à Stage Manager

On devra cependant attendre un peu avant d’essayer cette fonction : Mishaal Rahman indique que la nouveauté n’est pour le moment accessible qu’en bidouillant. Elle n’arrivera sans doute pas avec Android 16, et il faudra probablement patienter un an de plus avant le lancement officiel. Google n’est pas seul sur ce créneau, car les rumeurs voudraient qu’Apple travaille sur un mode similaire pour l’iPhone en apportant Stage Manager pour les écrans externes sur iOS 19.

  •  

Android : Google travaille sur un mode bureau pour les smartphones connectés à un écran externe

Google s’inspire de Samsung et travaille actuellement sur une fonction reprenant l’interface d’un PC lorsqu’un téléphone est relié à un écran externe. Un concept similaire au DeX de Samsung, apparu en 2017 sur le Galaxy S8 et permettant de transformer son smartphone en mini-ordinateur pour peut que l’on ait un clavier et une souris sous la main. Le spécialiste d’Android Mishaal Rahman a publié un premier aperçu de cette future fonction à la sauce Google, qu’il a réussi à activer sur un Pixel.

Image : AndroidAuthority

Brancher le téléphone à un écran fait apparaître un bureau assez classique, avec une barre des tâches « à la Windows » en bas permettant d’accéder à certaines applications et à la grille d’apps principale. On peut également y voir les programmes lancés récemment et y épingler ses préférés, ce qui sera pratique pour le multitâche. Une barre de statuts avec différentes infos (autonomie, batterie) reste affichée en haut.

Les apps s’ouvrent comme sur un ordinateur : on peut lancer plusieurs apps et redimensionner leurs fenêtres. Le tout ressemble fortement au multitâche amélioré apparu sur Android 15, qui est limité aux tablettes et à leurs écrans intégrés. La taille des fenêtres s'ajuste automatiquement lorsqu’elles sont glissées dans les coins, et le fond d’écran du téléphone devient celui de « l’ordinateur ».

La Pixel Tablet gagne (presque) un équivalent à Stage Manager

La Pixel Tablet gagne (presque) un équivalent à Stage Manager

On devra cependant attendre un peu avant d’essayer cette fonction : Mishaal Rahman indique que la nouveauté n’est pour le moment accessible qu’en bidouillant. Elle n’arrivera sans doute pas avec Android 16, et il faudra probablement patienter un an de plus avant le lancement officiel. Google n’est pas seul sur ce créneau, car les rumeurs voudraient qu’Apple travaille sur un mode similaire pour l’iPhone en apportant Stage Manager pour les écrans externes sur iOS 19.

  •  

L’utilitaire pour activer JIT StikDebug est désormais disponible sur l’App Store

Après une arrivée remarquée sur AltStore, l’utilitaire StikDebug est désormais disponible… directement sur l’App Store. Cette app destinée aux bidouilleurs permet d’activer la compilation JIT (Just in time) pour certaines apps sideloadées. Une telle manœuvre est indispensable pour profiter d’émulateurs de consoles récentes, par exemple DolphiniOS. Elle pourra également simplifier la vie de certains développeurs.

La fiche App Store et l’interface de StikDebug.

C’est une nouvelle assez surprenante, car Apple a toujours été tatillonne sur le sujet : activer JIT revient à créer du code natif qui ne peut pas être vérifié, ce qui peut potentiellement amener des risques de sécurité considérables. La validation ne semble pas être une erreur, Apple ayant notarisé l’app il y a plusieurs semaines pour permettre sa diffusion sur AltStore. Vous pouvez la télécharger sur l’App Store à ce lien.

StikDebug est loin d’être clef en main et nécessite de générer un script d’appairage depuis son Mac avant d’ajouter une configuration VPN personnalisée. L’app ne peut débrider que les programmes sideloadés, et vous ne pourrez donc pas gagner en performances dans Folium ou Retroarch sans les avoir installés depuis un Mac. Cela reste une preuve que l’arrivée des boutiques tierces a forcé la main à Apple, qui accepte désormais autant les émulateurs que des utilitaires pouvant leur simplifier la vie.

  •  

Un paquet de projecteurs Epson sont désormais compatibles AirPlay et HomeKit

Bonne nouvelle si vous avez un projecteur Epson récent : celui-ci est peut-être désormais compatible avec AirPlay et Homekit. L’entreprise vient d’annoncer que sa dernière gamme était maintenant entièrement compatible avec ces deux fonctions. Ces deux fonctionnalités étant déjà préinstallées et prêtes à être utilisées sur certains modèles, là où d’autres devront être mis à jour.

Epson EB-FH18 et EB-L695SU.

Ce changement va permettre aux utilisateurs d’iPhone, iPad et Mac de facilement diffuser leur vidéo sur leur appareil Epson. Le projecteur pourra être ajouté à l’app Maison, par exemple pour l’allumer ou l’éteindre rapidement depuis un HomePod. Les modèles compatibles sont les suivants :

  • EB-FH18
  • EB-FH54
  • EB-994F
  • EB-L890E
  • EB-L795SE
  • EB-L790SU
  • EB-L890U
  • EB-L895U
  • EB-L790U
  • EB-L690U
  • EB-L690SU
  • EB-L695SU

Dans son communiqué, Epson note que la nouveauté va simplifier la vie des utilisateurs dans les établissements d’enseignement et professionnels, mais aussi des particuliers à domicile. Les manuels et autres guides pour mettre à jour un projecteur sont disponibles sur le site d’Epson.

  •  

« Le pape François indifférent au décès de Zidane » : pourquoi Apple Intelligence résume si mal les titres d’articles

Cela fait maintenant plusieurs mois que Cupertino a bloqué les résumés des notifications Apple Intelligence pour les apps d’actualité. Le système a été fortement critiqué pour sa capacité à créer de fausses informations, comme lorsqu’il a annoncé l’arrestation de Benyamin Netanyahu ou le coming out de Rafael Nadal. Si c’est un pas dans la bonne direction, les mesures prises par Apple ne sont toujours pas suffisantes : un de nos lecteurs a récemment reçu une notification lui indiquant que « le pape François [restait] indifférent au décès de Zidane ». Comment expliquer cet énième couac ?

Image iGeneration

Ce surprenant résumé provient de l’application Google, qui sert autant de moteur de recherche que d’agrégateur d’articles d’actualités. Elle est rangée dans la catégorie utilitaire de l’App Store, ce qui fait qu’Apple Intelligence peut continuer de condenser ses notifications. L’IA peut également synthétiser les mails, qui contiennent parfois des infolettres d’informations pouvant induire en erreur. Ces deux exemples ne sont sans doute pas les seuls angles morts d'Apple à ce niveau.

Pour résumer plusieurs notifications, le système ne se base que sur le contenu de celles-ci, soit (généralement) le titre des articles. Ce n’est pas une bonne base : Apple Intelligence n’a aucune connaissance du contexte et doit souvent se débrouiller avec des titres un peu obscurs quand on les prend indépendamment. Dans le cadre d’une « affaire » s’étalant sur plusieurs semaines (mort du Pape, Bétharram…), les journalistes ne redonnent pas certains éléments afin de faire plus court. Le système a donc plus de chance de se planter, et n’est pas aidé par le fait que de nombreux médias ne mettent plus l’information principale dans le titre pour inciter à cliquer.

« Zidane, la triste annonce » est un titre volontairement nébuleux qui n’aide pas Apple Intelligence. Si vous vous demandiez, l’article rappelle seulement que Zidane a annoncé la fin de sa carrière il y a 19 ans.

Dans le cadre de notre lecteur, le quiproquo vient du fait qu’Apple Intelligence a mélangé plusieurs notifications n’ayant rien à voir entre elles alors qu’il ne devrait pas. Difficile de savoir pourquoi étant donné que les deux sont pourtant bien séparées. On peut imaginer que l’IA a tenté de créer un résumé plus digeste en 3 points au lieu de 4. Détectant deux notifications sur un thème triste, il a considéré qu’elles parlaient du même sujet.

Cet exemple met en lumière l’un des gros problèmes du résumé d’Apple Intelligence, à savoir le manque de place. Le système essaye parfois de synthétiser 5 ou 6 notifications en une, ce qui donne une suite d’informations sans queue ni tête qu’il faut déchiffrer. Rappelons qu’il est possible de désactiver les résumés de notifications de manière globale ou au cas par cas. Il faudra pour cela vous rendre dans les Réglages d’iOS, rubrique Notifications. Un bouton « Résumer les notifications » à décocher est présent en bas de page.

  •  

Promo : les écouteurs Ear de Nothing à 68,90 €

Les sympathiques écouteurs Ear de Nothing sont en promo : il est possible de les obtenir pour 68,90 € en ce moment chez Amazon. Il faudra entrer le code VEN25 à l’étape du paiement pour en profiter. Ces écouteurs sont intéressants étant donné qu’ils embarquent une réduction active du bruit et un bon son pour un tarif très correct.

Ces écouteurs proposent une réduction active du bruit fonctionnant sur 3 niveaux allant jusqu'à 45 dB. La charge sans fil est présente, tout comme une charge rapide permettant de récupérer 10 heures de musique en 10 minutes. L’autonomie annoncée est de 5:30 avec l’ANC, et de 9:30 sans.

Les retours des testeurs sur ce modèle sont globalement positifs : ils décrivent des écouteurs confortables avec un bon son et une app complète. Les micros sont visiblement corrects, et le design transparent continue de faire son petit effet. Nous avions testé la première version sortie en 2021, qui nous avait à l’époque plutôt convaincus.

  •  

Mira Pro Color : le bel écran E Ink 25 pouces de Boox passe à la couleur

Boox, que l’on connaît pour ses liseuses et autres tablettes E Ink, se lance dans le domaine des écrans de bureau. L’entreprise a récemment dévoilé le Mira Pro Color, un nouveau modèle 16:9 de 25,3" à la résolution de 3 200 x 1 800 (145 ppi). L’écran Kaleido 3 permet d'afficher 16 niveaux de gris ainsi que 4096 couleurs. Pas de quoi jouer dans de bonnes conditions, mais un tel appareil pourrait intéresser ceux faisant de la bureautique au quotidien et souhaitant protéger leurs yeux.

Image Boox.

BOOX ne donne pas le taux de rafraîchissement, mais indique utiliser sa technologie maison pour le rendre « le plus réactif possible ». Les tests de la précédente version uniquement en noir et blanc montrent que ce type de dalle est utilisable au quotidien, mais qu’elles restent loin d’être adaptées à tous les profils. Le Mira Pro Color dispose de plusieurs modes de rafraîchissement selon les contextes, par exemple un pensé pour le texte et un autre pour la vidéo. La luminosité peut être ajustée pour tirer sur l’orange ou le bleu au fil de la journée.

Mis à part cela, on pourra y trouver un duo de haut-parleurs ainsi que 5 connectiques (HDMI, mini HDMI, USB-C, DisplayPort). Un trio de boutons permet de modifier certains paramètres à la volée. Le pied s’inspire de celui du Studio Display avec un aspect métallique et la possibilité de l’incliner en haut ou en bas, de le surélever et même de le faire pivoter à la verticale. Une interface VESA est présente pour ceux déjà équipés.

Contrairement au récent modèle portable de Dasung, ce nouvel accessoire est compatible macOS : Boox invite à utiliser une résolution 1600 x 1200. La version couleur est vendue 1 900 $ (soit environ 1 671 €) sans les frais de ports. Elle est actuellement en rupture de stock sur le site officiel.

  •  

App Store : Patreon va soumettre une mise à jour pour éviter la commission d’Apple

Cela n’aura pas traîné. Hier, une juge a demandé à Apple de modifier les règles de son App Store aux États-Unis afin de laisser certains développeurs proposer des liens pour des achats en dehors du circuit habituel. Patreon a confirmé à The Verge qu’il avait prévu une mise à jour pour son app, qui permettra aux créateurs d’accepter des paiements ne passant pas par le système de Cupertino. Autrement dit, sans laisser de commission à Apple.

« Il s'agit d'un moment important pour les créateurs et leurs entreprises », a déclaré la porte-parole de Patreon. « L'application iOS est la plateforme numéro un pour l'engagement des fans sur Patreon, et nous pensons que cette décision permet aux créateurs d'être payés sans donner 30 % à Apple ». Les choses vont donc changer sur la plateforme, même si on ne sait pas encore quand cette mise à jour sera disponible.

Alors qu’elle a pendant longtemps eu droit à une exception, Patreon a été obligé d’adopter le système de paiement de l’App Store l’été dernier. Les créateurs s’étaient alors vu proposer d’augmenter le tarif de 30 % pour compenser la commission d’Apple, ou bien de perdre de l’argent sur chaque abonnement. Ce changement avait fait du bruit étant donné qu’iOS est la plateforme la plus utilisée pour s’abonner selon le CEO de Patreon.

Apple oblige Patreon à adopter les abonnements de l’App Store

Apple oblige Patreon à adopter les abonnements de l’App Store

Patreon n’est pas la seule entreprise à avoir saisi cette opportunité. Spotify a d’ores et déjà soumis une mise à jour pour se passer du système de l’App Store, et on peut imaginer que de nombreux autres acteurs vont suivre. De son côté, Epic Games a promis de déployer un système de boutique web aidant les développeurs à ne plus payer la commission d’Apple.

  •  

Selon Tim Cook, Apple « progresse » sur le développement du nouveau Siri

Le nouveau Siri plus intelligent n’est pas mort ! C’est tout du moins ce qu’a affirmé Tim Cook hier soir lors de la présentation de ses résultats trimestriels. Le CEO a reconnu que des fonctions avaient été repoussées, mais a confirmé que le projet était toujours dans les cartons.

« En ce qui concerne les fonctionnalités plus personnelles de Siri que nous avons annoncées, nous avons besoin de plus de temps pour finaliser notre travail afin qu’elles répondent à nos standards de qualité élevés », a déclaré Cook. « Nous progressons, et nous avons hâte de proposer ces fonctionnalités aux utilisateurs ».

Le CEO a été interrogé sur le retard par un analyste, demandant s’il était lié à un problème d’organisation, d’investissement en recherche ou à une incompatibilité avec « l’ancien » Siri. Tim Cook a balayé ces hypothèses d’un revers de la main, affirmant qu’Apple avait seulement besoin d’un peu plus de temps pour atteindre son standard qualité. « Il n'y a pas beaucoup d'autres raisons à cela. Cela prend juste un peu plus de temps que prévu », a-t-il déclaré.

Cependant, plusieurs médias affirment que le retard du nouveau Siri est bien lié à des problèmes de gestion. Le mois dernier, un long papier de The Information se basant sur des sources internes expliquait comment des conflits entre différentes équipes avaient ralenti le développement. Selon Mark Gurman, le chef de l’IA John Giannandrea aurait été remplacé par le chef du Vision Pro Mike Rockwell après ce fiasco. Apple aurait tout de même dans l’idée de sortir des fonctions du nouveau Siri à l’automne. MacRumors affirme que le développement d’iOS 19.4 aurait déjà commencé, une version que certains voient comme marquant le top départ de ce Siri amélioré.

  •  

Epic Games veut aider les développeurs iOS à vendre hors de l’App Store grâce à des boutiques web

Face aux déboires d’Apple, Epic jubile. L’entreprise vient d’annoncer qu’elle allait lancer au mois de juin des « ‌Epic Games‌ Store Webshops » : cette fonctionnalité va permettre aux développeurs de se créer une boutique web pour leurs différents produits liés à une app. Hébergées par l'Epic Games Store, elles vont ainsi permettre aux participants d’éviter la fameuse commission d’Apple pouvant grimper jusqu’à 30 %.

Epic profite ici d’un jugement donné hier par la juge Yvonne Gonzalez Rogers dans le cadre du grand procès qui l’oppose à Apple. Cupertino s’est vu obligé d’enlever certaines barrières tarifaires de l’App Store, et n’a plus le droit de prélever une commission sur les achats effectués en dehors d’une app. Elle ne peut plus non plus limiter le placement des liens menants vers une plateforme extérieure.

Apple mord la poussière face à Epic, mais ne rend pas les armes

Apple mord la poussière face à Epic, mais ne rend pas les armes

Avec son système, Epic va offrir une solution clé en main pour les développeurs souhaitant proposer des achats liés à leurs applications sans payer la taxe Apple. Cette alternative devrait être lancée à un tarif avantageux : Epic a annoncé en parallèle qu’elle facturera aux développeurs des frais de 0 % pour le premier million de dollars de revenus qu'ils collectent par application et par an. Ils devront ensuite payer une commission de 12 %.

Cette politique tarifaire s’appliquera « à tous les paiements gérés par l’Epic Games Store » et va donc également concerner sa boutique iOS, qui propose désormais un bon paquet de jeux. Epic indique que les clients optant pour un achat via une boutique Epic Webshops pourront récupérer 5 % de récompenses Epic sur leur dépense. Cette cagnotte pourra ensuite être utilisée pour de futurs achats, par exemple sur l’Epic Games Store.

La proposition devrait intéresser de nombreux petits développeurs n’atteignant pas le million de dollars annuels. Les plus gros poissons se tourneront sans doute vers des systèmes plus intéressants comme Stripe ou Shopify, qui disposent parfois d’offres plus avantageuses. Sur un autre registre, Epic a également promis le retour de Fortnite sur l’App Store américain dès la semaine prochaine.

  •  

Les équipes de validation de l’App Store laissent passer un portage illicite du jeu Blue Prince

Les équipes de validation de l’App Store ne sont pas en grande forme ces derniers temps. Hier, on relevait comment elles avaient laissé passer Seekee, un « navigateur » mettant en avant des contenus piratés. Aujourd’hui, c’est The Verge qui raconte avoir téléchargé le jeu Blue Prince sur iOS. Problème : celui-ci n’a jamais été porté officiellement sur mobile.

Image The Verge

Les développeurs de ce puzzle-game qui cartonne sur PC et consoles ont tiré la sonnette d’alarme dans un post Bluesky, où ils invitent à n’acheter leur jeu que sur les plateformes où il est officiellement disponible. Ils affirment avoir reçu plusieurs alertes sur une app se faisant passer pour Blue Prince sur l’App Store, qui coûtait 10 $ et qui a réussi à se hisser en 8e place du classement des apps payantes de la rubrique divertissement.

The Verge a pu la tester avant sa suppression, et contrairement à d’autres arnaques du genre, il s’agissait bien du véritable jeu avec quelques améliorations pour le rendre jouable sur mobile (joystick virtuel, raccourci pour afficher la carte…). La description de la page App Store reprenait celle de la page Steam, et le nom du développeur est le même que l’original… à une lettre près. L’achat n’était pas très intéressant étant donné qu’un bug bloquait la progression après quelques minutes de jeu.

La page App Store.

Ce n’est pas la première fois qu’Apple laisse passer des clones ou des portages non officiels. Les développeurs de Palworld avaient alerté sur un problème similaire début 2024, tout comme les créateurs de Cuphead quelques années plus tôt. Si vous voulez jouer à Blue Prince, il faudra vous tourner vers le Game Pass et le cloud gaming, le jeu étant disponible pour les abonnés Ultimate.

  •  

Android aura droit à son propre keynote une semaine avant le Google I/O

Google change ses plans pour son grand raout annuel : l’entreprise a annoncé que son système d’exploitation Android allait avoir droit à une émission dédiée le 13 mai à 19 h, soit une semaine tout pile avant la grande conférence Google I/O. Cet évènement préenregistré sera un épisode spécial de « The Android Show », une série que Mountain View propose aux développeurs depuis un certain temps sur YouTube.

L’émission sera présentée par Sameer Samat, chef de l’écosystème Android chez Google. Celui-ci a promis d’aborder les « nouvelles expériences innovantes » qui arriveront sur Android cette année. L'entreprise a indiqué que le système serait tout de même présent pendant le Google I/O, que ce soit lors des conférences ou des sessions techniques destinées aux développeurs.

Cela fait quelque temps qu’Android est passé au second plan lors des Google I/O. Alphabet met désormais le paquet sur l’IA en détaillant les nouvelles fonctions à travers son écosystème, mais aussi sur ses services (Gmail, Workspace…). La plupart des nouveautés pour smartphones ne sont plus limitées à la dernière version d’Android et sont déployées pour beaucoup via une mise à jour de Google Play Services.

  •  

Safari : l’extension Tabstract permet de facilement retrouver un groupe d’onglets

Tabstract est une petite extension pour Safari au concept simple : permettre de facilement mettre de côté un groupe d’onglets grâce à un gros bouton proche de la barre d’URL. Les groupes peuvent être renommés et réorganisés, ce qui devrait se montrer pratique dans différents contextes. On pourra ainsi autant s’en servir pour garder dans un coin une grosse session de recherche comme pour ouvrir plusieurs sites visités quotidiennement d’un coup.

Safari propose déjà une fonction similaire nativement via la barre latérale en cliquant sur le bouton « + », mais celle-ci est moins poussée et les onglets ne sont pas conservés sur le long terme à la manière des signets. Tabstract a l’avantage de proposer une interface plus claire et d’être un peu plus facilement trouvable pour ceux ne touchant jamais à la barre latérale. L’extension permet de rapidement fusionner deux groupes et de réorganiser l’emplacement des liens. De plus, on peut verrouiller un groupe pour empêcher sa suppression, ou restaurer tous les onglets d’un coup.

De nombreuses options sont présentes, par exemple pour faire en sorte que les onglets restaurés soient automatiquement supprimés ou pour au contraire en faire l'équivalent d'une liste de signets. Un bouton d’annulation permet de rapidement corriger le tir en cas de suppression accidentelle, et des raccourcis clavier sont disponibles pour sauvegarder un onglet à la volée. L’app est donc assez flexible, et les groupes peuvent être importés et exportés dans différents formats. Bref, une petite extension à essayer si vous trouvez le système de Safari trop limité. Elle est entièrement gratuite, traduite en français, et les développeurs assurent que tout est traité localement.

  •  

La quatrième bêta de watchOS 11.5 et visionOS 2.5 est en ligne

Apple n’a pas oublié l’Apple Watch et le Vision Pro ce soir : les deux appareils viennent tous deux de gagner une nouvelle bêta, respectivement watchOS 11.5 et visionOS 2.5. Rien de bien neuf à se mettre sous la dent sur les versions précédentes, mais nous allons installer tout cela pour voir s’il y a du nouveau.

  •  

Une quatrième bêta pour iOS et iPadOS 18.5

Apple vient de publier tout un tas de bêtas pour les développeurs, avec une quatrième version d’iOS 18.5. Celle-ci n’apporte pas grand chose pour le moment à l’exception de microchangements dans Mail et de quelques nouveautés dans la gestion de l’eSIM chez Free. Nous allons installer tout cela et vous tiendrons au courant en cas de nouveautés intéressantes. iPadOS 18.5 et tvOS 18.5 ont également été mis à jour.

  •  

macOS 15.5 passe en bêta 4

Les développeurs peuvent dès à présent télécharger la quatrième bêta de macOS Sequoia 15.5. On ne s’attend pas à grand-chose de neuf pour cette version, les trois premières bêtas n’ayant rien apporté de nouveau. Nous allons l’installer et vous tiendrons au courant si nous dénichons une nouveauté.

  •  

Seekee : le navigateur mettant en avant des contenus piratés toujours présent sur l’App Store

Il y a quelques jours, le blog TorrentFreak pointait du doigt Seekee, une app chinoise se présentant comme un simple navigateur enrichi de différents outils d’IA. Elle dispose également d’un onglet de contenus populaires dans lequel on trouve tout un tas de liens… pour regarder des films et séries de manière illégale.

Seekee ne cache pas vraiment ses fonctions illégales étant donné que la deuxième image de l’aperçu de l'App Store vante la possibilité de rapidement streamer du contenu. Les suivantes mettent en avant différents outils de retouche photo ou d’analyse de documents par IA. Difficile de louper le contenu piraté : la page d’accueil propose une sélection de contenus en un clic, tandis que la barre de recherche suggère directement des noms de films. En tapant le titre d’une série à la mode, il faut faire défiler de nombreux liens pirates avant d’arriver sur sa fiche Wikipédia ou sa page IMDb.

Rien ne dit que l’app héberge les vidéos en question, mais les contenus piratés sont organisés de manière élégante et démarrent immédiatement. Ce n’est pas la première fois qu’Apple laisse passer une app pirate : le problème revient régulièrement, et une app chasse l’autre quasi instantanément. Seekee a été mis en lumière il y a maintenant deux jours par TorrentFreak, et Google l’a supprimée de son Play Store dans la foulée. Elle reste disponible sur l’App Store avec une moyenne de 4,8/5 et plus de 180 notes.

  •  

Un écran E Ink rafraîchi à 60 Hz chez Dasung

Les écrans E Ink sont une technologie intéressante dont le taux de rafraîchissement reste malheureusement trop faible pour de nombreuses utilisations. Le fabricant chinois Dasung veut améliorer cela et propose désormais le « Paperlike 103 » : un écran E Ink 60 Hz disponible en précommande sur sa boutique en ligne.

Image Dasung

La dalle fait 10,3" avec une résolution de 1 872 x 1 404. Elle peut être connectée grâce à un port USB-C et est livrée avec un protège-écran faisant également office de support. Des boutons physiques sont disponibles pour modifier les différents réglages, bien que l’écran reste tactile. La luminosité peut être ajustée avec plusieurs modes de couleur, par exemple pour donner un rendu plus jaune en soirée. Ce modèle peut autant servir à étendre l’affichage qu’à reproduire l’écran d’un PC ou d’un téléphone. Un haut-parleur, un mini-HDMI et un port jack 3,4 mm sont inclus.

Si vous êtes intéressés, il va malheureusement falloir attendre un peu : le produit n’est pas compatible avec macOS. Le fabricant indique que l’accessoire peut avoir des problèmes de stabilité et d’affichage qu’il n’a pas réussi à résoudre, et ce autant avec un iPad qu’un MacBook. Le produit fonctionne tout de même correctement sur Windows et Linux. Difficile de savoir si cette dalle sera un jour compatible avec l’écosystème Apple, et il y a peu d’espoir dans l’immédiat étant donné que les modèles précédents ne le sont toujours pas.

Les curieux voulant tenter l’aventure pour un PC Windows devront débourser 349 $, auxquels s’ajoute 1,37 $ de livraison (soit environ 309 €). Les expéditions auront lieu dans 3 semaines.

  •  

Fire OS : Amazon devrait bientôt abandonner Android pour un nouveau système basé sur Linux

Amazon voudrait couper le cordon avec Android. L’entreprise préparerait son propre système « Vega OS » se basant sur un noyau GNU/Linux en remplacement de Fire OS pour les téléviseurs. Selon Lowpass, les travaux avancent bon train : l’entreprise prévoit de sortir un premier appareil de streaming pour la TV dans le courant de l’année. Elle aurait également courtisé de grands éditeurs pour qu'ils portent leurs applications pour la nouvelle plateforme.

Fire TV se basant sur Android, le passage sur Vega OS impliquerait de faire une croix sur toutes les apps existantes. Un portage n’est pas envisageable et il faudrait donc repartir de 0. Selon Lowpass, quelques grands groupes auraient déjà mis la main à la pâte : il cite Paramount, Rakuten et le groupe audiovisuel britannique UKTV. L’app Prime Video sera sans doute proposée dès le lancement. Un SDK a été créé pour simplifier la vie des développeurs tiers, surnommé « Kepler ».

Amazon dispose déjà de plusieurs appareils tournant sous Vega OS. L’Echo Show 5 et les écrans connectés Echo Hub sont basés dessus, tout comme le petit réveil Echo Spot. Il ne s’agit pour le moment que d’appareils audio. L’arrivée sur les sticks TV prend plus de temps étant donné qu’Amazon visait initialement un premier produit fin 2024, mais le projet n’a pas été abandonné : Amazon cherche même des développeurs pour renforcer ses troupes.

  •  

À quoi ressembleront les AirPods Pro 3 ? Voici les nouveautés attendues

Les AirPods Pro 3 ne devraient plus trop tarder d'arriver. Selon le généralement bien renseigné Mark Gurman, ces écouteurs devraient sortir dans le courant de l’année : une annonce en parallèle des iPhone 17 à la rentrée semble plausible au vu de l’historique d’Apple. Les rumeurs affirment que cette nouvelle version apporterait une puce audio améliorée par rapport au modèle actuel sorti fin 2022. Un design revu serait également de la partie.

Des AirPods Pro 2. Image WatchGeneration

On peut imaginer que les AirPods Pro 3 gagneront quelques nouveautés vues sur les AirPods 4, comme la LED frontale invisible que l’on ne devine plus par un petit trou. Le bouton d’appairage pourrait aussi passer à l’avant et devenir une simple surface tactile, permettant de récupérer de la place tout en allégeant le poids. Apple trouvera sans doute un moyen de revoir le design du boîtier pour le différencier un peu plus de sa gamme standard.

D’un point de vue audio, la troisième génération d’AirPods Pro pourrait embarquer une « bien meilleure » réduction active du bruit selon le fuiteur Kosutami, qui a déjà eu quelques bons tuyaux par le passé. La concurrence a fait des progrès dans ce domaine depuis 2022, les WF‑1000XM5 de Sony ayant pour réputation d’avoir une excellente ANC.

La grosse nouveauté viendrait de l’arrivée d’un duo de capteurs cardiaque, que le code d’iOS laisse transparaître et que l’on trouve déjà sur les Powerbeats Pro 2. Celui-ci va envoyer des relevés réguliers à l’app Santé. Il n’influe pas sur l’autonomie et est plutôt fiable pour les sports ne nécessitant pas trop de mouvements.

Le capteur de fréquence cardiaque des Powerbeats Pro 2. Image WatchGeneration

Ces capteurs ne sont cependant pas parfaits sur les Powerbeats Pro 2, sur lesquels il est impossible d’afficher son rythme cardiaque sur une machine de fitness tout en écoutant sa musique. On peut espérer qu’Apple corrigera le tir sur ses AirPods Pro 3. Mark Gurman a pendant un temps évoqué un capteur de température, ce qui pourrait permettre d’obtenir des données plus précises que sur une Apple Watch.

L

L'accès à la fréquence cardiaque des Powerbeats Pro 2 bridé si vous avez un iPhone

Sur un autre registre, Bloomberg affirme que les écouteurs pourraient recevoir une fonction de traduction en direct. La nouveauté se baserait sur l’app Traduire d’iOS pour proposer une traduction en temps réel dans les écouteurs. Rien de bien précis n’a été évoqué, mais voir arriver ce type de fonction basé sur l’IA ne serait pas très surprenant étant donné qu’Apple semble vouloir mettre le paquet dans le domaine et que Google dispose déjà de quelque chose de similaire.

  •  

La responsable de Chrome estime que seul Google peut gérer son navigateur

Google fait tout pour éviter de devoir revendre Chrome, une séparation que pourrait bien lui imposer le département de la Justice des États-Unis (DoJ). Face à cette menace, l’entreprise multiplie les arguments pour garder son bébé. Dans un nouveau témoignage, la chef de Chrome Parisa Tabriz a affirmé qu’Alphabet était la seule société à pouvoir proposer les fonctions et caractéristiques dont Chrome dispose grâce à ses « interdépendances » avec les autres divisions internes.

Parisa Tabriz en 2018. Image mrisher/MacGeneration

L’audition a eu lieu devant le juge Amit Mehta, qui avait estimé l’été dernier que la firme de Mountain View avait un monopole sur le marché de la recherche en ligne. « Aujourd'hui, Chrome représente 17 ans de collaboration entre les gens de Chrome et le reste de Google », a déclaré Parisa Tabriz. Elle pense qu’essayer de dissocier les deux serait « sans précédent ».

La directrice a indiqué que certaines fonctions étaient liées à des infrastructures 100 % Google, comme les différents niveaux de protection de la navigation sécurisée ou le système d’alerte en cas de mot de passe compromis. « Je ne pense pas que cela pourra être recréé », a-t-elle déclaré, avant d’ajouter que plus de 90 % du code de Chromium a été rédigé par les équipes de Google depuis 2015. En plus d’investissement de plusieurs centaines de millions de dollars, elle estime qu’environ 1 000 ingénieurs de Google ont mis la main à la pâte. À l’inverse, les autres entreprises n’auraient pas participé « de manière significative ».

Parisa Tabriz est également revenu sur l’intégration de l’IA dans Chrome. Si le navigateur dispose désormais d’extensions pour ChatGPT ou Perplexity, elle a reconnu que Gemini était pour le moment le seul assistant proposé par défaut. Google voudrait renforcer cette intégration sur le long terme en cherchant à faire de Chrome un navigateur « à agents » d’IA. Ces automatisations pourrait simplifier certaines actions, comme des achats ou le remplissage de formulaires. La technologie n’est pas prête pour le moment, et il reste à voir si Google sera encore maître de Chrome à ce moment-là.

  •