Dans sa croisade contre les balances commerciales déficitaires, le président américain s'attaque à un nouveau domaine : celui du cinéma. Donald Trump a annoncé qu'il entendait désormais taxer à 100% les films produits à l'étranger et importés sur le territoire des Etats-Unis. Pour lui, de nombreux pays contribuent au déclin d'Hollywood en subventionnant leur industrie cinématographique. De fait, le 7è art n'y est plus ce qu'il était.En un an, les productions étasuniennes ont reculé de 22% et 18 000 emplois auraient été supprimés ces trois dernières années. Mais le secteur redoute les effets de cette déclaration. A peine Donald Trump l'a-t-il prononcée que les actions des studios de cinéma et des services de streaming ont chuté, à Wall Street.
Parallèlement, le secteur agricole, pourtant largement favorable au camp républicain et à Donald Trump, s'inquiète de sa politique et des effets des barrières douanières, des coupes budgétaires et de la chasse aux immigrés.
Enfin, les infrastructures d'exports et imports sentent elles aussi le vent du boulet. Armateurs, transporteurs routiers et ports sont à la peine.
En mai 1945, la Seconde guerre mondiale s'achève, l'armistice est signé et les camps de prisonniers sont libérés peu à peu. À Ravensbrück, camp de concentration réservé aux femmes, 8 000 Françaises ont été emprisonnées, bien peu sont revenues. Mais elles y ont tenu, à travers l'horreur, grâce à une sororité teintée de tendresse, comme l'amitié entre Suzanne Bouvard ou Simone Séailles et dont celles qui sont encore vivantes aujourd'hui témoignent, à l'image de Jacqueline Fleury. Avec Sabine Pesier, coprésidente du Mémorial national des femmes en résistance et en déportation, Laure Manent revient sur le rôle des femmes pendant la guerre et les nombreuses résistantes dont le souvenir s'est perdu malgré leur courage.