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Preview : Black State, le missile turc qui finit en pétard mouillé

Vous savez, moi, j'adore soutenir les jeux indépendants parce que j'ai très légèrement roulé ma bosse du côté de la production. J'ai forcément de l'affect pour les petites mains et les doux rêveurs qui veulent chambouler l'industrie avec trois bouts de ficelle, de l'inspiration et de la bonne volonté. Hélas, vous savez ce qu'on dit : être gentil, c'est bien, mais ce n'est rien que le strict minimum. Et c'est avec une certaine déception que nous avons découvert le vrai-faux blockbuster turc Black State.

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Preview : Black State, le missile turc qui finit en pétard mouillé

Vous savez, moi, j'adore soutenir les jeux indépendants parce que j'ai très légèrement roulé ma bosse du côté de la production. J'ai forcément de l'affect pour les petites mains et les doux rêveurs qui veulent chambouler l'industrie avec trois bouts de ficelle, de l'inspiration et de la bonne volonté. Hélas, vous savez ce qu'on dit : être gentil, c'est bien, mais ce n'est rien que le strict minimum. Et c'est avec une certaine déception que nous avons découvert le vrai-faux blockbuster turc Black State.

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Preview : Borderlands 4 renoue avec les racines de la franchise (et ça fait du bien)

Est-ce que je peux vous confier un secret ? Même à l'âge tendre de 11 ans, où l'humain est remarquablement calibré pour s'esclaffer devant les vannes zizi-caca, je n'ai jamais trouvé Borderlands 2 amusant ou drôle, ni même simplement rigolo. Alors le naufrage auto-référencé de Borderlands 3 paraissait n'être que l'aboutissement logique d'une franchise qui aurait dû couler en même temps que Vine ou Salut les Geeks. Mais le détail qui tue, c'est que le PDG Randy Pitchford pratique la prestidigitation dans son temps libre, et le magicien de Gearbox a réussi à réveiller les morts en revenant aux bases de la franchise sans se vautrer dans l'humour "Bigard Gen Z". On peut déjà saluer l'effort.

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Preview : Borderlands 4 renoue avec les racines de la franchise (et ça fait du bien)

Est-ce que je peux vous confier un secret ? Même à l'âge tendre de 11 ans, où l'humain est remarquablement calibré pour s'esclaffer devant les vannes zizi-caca, je n'ai jamais trouvé Borderlands 2 amusant ou drôle, ni même simplement rigolo. Alors le naufrage auto-référencé de Borderlands 3 paraissait n'être que l'aboutissement logique d'une franchise qui aurait dû couler en même temps que Vine ou Salut les Geeks. Mais le détail qui tue, c'est que le PDG Randy Pitchford pratique la prestidigitation dans son temps libre, et le magicien de Gearbox a réussi à réveiller les morts en revenant aux bases de la franchise sans se vautrer dans l'humour "Bigard Gen Z". On peut déjà saluer l'effort.

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Preview : Hollow Knight : Silksong est exactement ce que vous attendiez

Nous sommes le jeudi 21 août, il est 8h45, la Gamescom 2025 a déjà bien essoré les journalistes durant sa première journée exclusive et les visiteurs se pressent désormais à l'entrée sud du Koelnmesse dans une grande marée humaine à faire pâlir le RER B en période de Japan Expo. Quelques filous ont déjà réussi à se faufiler par l'entrée Est. Sur le stand Xbox, la queue pour Hollow Knight : Silksong compte déjà une heure d'attente. C'est vous dire la frénésie de masse pour ce metroidvania tant attendu qui est, exactement comme prévu, la suite de son grand frère et rien d'autre.

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Preview : Hollow Knight : Silksong est exactement ce que vous attendiez

Nous sommes le jeudi 21 août, il est 8h45, la Gamescom 2025 a déjà bien essoré les journalistes durant sa première journée exclusive et les visiteurs se pressent désormais à l'entrée sud du Koelnmesse dans une grande marée humaine à faire pâlir le RER B en période de Japan Expo. Quelques filous ont déjà réussi à se faufiler par l'entrée Est. Sur le stand Xbox, la queue pour Hollow Knight : Silksong compte déjà une heure d'attente. C'est vous dire la frénésie de masse pour ce metroidvania tant attendu qui est, exactement comme prévu, la suite de son grand frère et rien d'autre.

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Preview : Phantom Blade Zero, la nouvelle pépite chinoise qui dynamite les jeux d'action

Maintenant que Black Myth : Wukong a montré ses limites, que Wuchang : Fallen Feathers s'est vautré dans l'abject marécage de la censure et que Lost Soul Aside paraît condamné à bider suite à ses multiples reports, c'est à Phantom Blade Zero d'enfin prouver, sans discussion possible, que la Chine est le nouveau maître des jeux d'action. Et ça démarre vraiment très, très bien.

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