SF3RA, avec un titre qui ressemble plus à un mot de passe Wi-Fi qu’à un jeu vidéo, nous met dans la peau d’un assassin intergalactique envoyé par une mystérieuse organisation de robots tueurs sous couverture (oui, même les machines ont besoin d’une mafia). Lire la suite :Test de SF3RA – Attention aux freezes
Post-apo, radiation, fusil à pompe et frigos qui servent de checkpoints : voilà le cocktail un peu foutraque de 1989 After the War. On y incarne Sebastian Beck, un ex-agent pas du tout traumatisé par la Troisième Guerre mondiale. Lire la suite :Test de 1989 After the War – Il est où Terminator ?
Square Logic est un jeu de réflexion qui ne cherche pas à vous en mettre plein la vue avec des dragons qui crachent du feu ou des explosions hollywoodiennes, mais plutôt à vous titiller les neurones avec des chiffres et des rectangles. Lire la suite :Test de Square Logic – Des chiffres et des formes
Midnight Cat Heist nous vend l’idée d’incarner un chat des rues, gentleman-cambrioleur au grand cœur, qui vole pour ramener des cadeaux brillants à son humain adoré. Lire la suite :Test de Midnight Cat Heist – La Chatastrophe
Dans Goblin Gold Hunt, vous incarnez un gobelin radin comme pas deux, sans doute un Auvergnat, obsédé par l’or au point de sauter sur tout ce qui brille. Lire la suite :Test de Goblin Gold Hunt – Voleur de temps
Candylands Journey nous plonge dans un univers sucré où l’Université de Magie se retrouve dépossédée de son cœur magique par de redoutables Sorcières Pâtissières. Lire la suite :Test de Candylands Journey – Super Mercotte !
Ringo’s Roundup nous met dans la peau de Ringo (et non pas Jingo), un lapin livreur qui prend son rôle un peu trop au sérieux. Enfin… pas vraiment nous, puisqu’on ne conduit pas directement sa voiture postale. Lire la suite :Test de Ringo’s Roundup – Le lapin n’est pas passé, il ne passera jamais
Bad Cheese, c’est un peu comme si un vieux cartoon en noir et blanc des années 1920 s’était échappé de sa pellicule poussiéreuse pour se transformer en cauchemar interactif. On y incarne une petite souris qui tente de garder la maison en ordre et de rendre papa heureux pendant que maman est absente. Lire la suite :Test de Bad Cheese – Les cauchemars de Mickey
SF3RA, avec un titre qui ressemble plus à un mot de passe Wi-Fi qu’à un jeu vidéo, nous met dans la peau d’un assassin intergalactique envoyé par une mystérieuse organisation de robots tueurs sous couverture (oui, même les machines ont besoin d’une mafia). Lire la suite :Test de SF3RA – Attention aux freezes
Post-apo, radiation, fusil à pompe et frigos qui servent de checkpoints : voilà le cocktail un peu foutraque de 1989 After the War. On y incarne Sebastian Beck, un ex-agent pas du tout traumatisé par la Troisième Guerre mondiale. Lire la suite :Test de 1989 After the War – Il est où Terminator ?
Square Logic est un jeu de réflexion qui ne cherche pas à vous en mettre plein la vue avec des dragons qui crachent du feu ou des explosions hollywoodiennes, mais plutôt à vous titiller les neurones avec des chiffres et des rectangles. Lire la suite :Test de Square Logic – Des chiffres et des formes
Midnight Cat Heist nous vend l’idée d’incarner un chat des rues, gentleman-cambrioleur au grand cœur, qui vole pour ramener des cadeaux brillants à son humain adoré. Lire la suite :Test de Midnight Cat Heist – La Chatastrophe
Dans Goblin Gold Hunt, vous incarnez un gobelin radin comme pas deux, sans doute un Auvergnat, obsédé par l’or au point de sauter sur tout ce qui brille. Lire la suite :Test de Goblin Gold Hunt – Voleur de temps
Candylands Journey nous plonge dans un univers sucré où l’Université de Magie se retrouve dépossédée de son cœur magique par de redoutables Sorcières Pâtissières. Lire la suite :Test de Candylands Journey – Super Mercotte !
Ringo’s Roundup nous met dans la peau de Ringo (et non pas Jingo), un lapin livreur qui prend son rôle un peu trop au sérieux. Enfin… pas vraiment nous, puisqu’on ne conduit pas directement sa voiture postale. Lire la suite :Test de Ringo’s Roundup – Le lapin n’est pas passé, il ne passera jamais
Bad Cheese, c’est un peu comme si un vieux cartoon en noir et blanc des années 1920 s’était échappé de sa pellicule poussiéreuse pour se transformer en cauchemar interactif. On y incarne une petite souris qui tente de garder la maison en ordre et de rendre papa heureux pendant que maman est absente. Lire la suite :Test de Bad Cheese – Les cauchemars de Mickey
Après deux heures passées sur le jeu en coopération avec un collègue journaliste, une chose est claire : l’identité de la série est intacte, et mieux encore, elle gagne une petite bouffée d’air frais grâce au mode coopératif. Lire la suite :Preview de Little Nightmares III – L’horreur en coopération