World of Warcraft s’est construit au fil des années comme un univers immense où se mêlent quêtes, créatures, donjons et intrigues. Les développeurs ont souvent glissé, au détour d’un PNJ ou d’un haut fait, des clins d’œil à la culture populaire. Ces références couvrent le cinéma, les jeux vidéo, la musique ou encore la littérature, formant un ensemble d’easter eggs qui amusent les joueurs depuis près de vingt ans.

Références au cinéma

L’un des exemples les plus connus reste Harrison Jones, un archéologue inspiré sans détour du héros d’Indiana Jones. Son nom, son apparence et même les nombreuses situations dans lesquelles il place les joueurs reprennent directement les codes de la franchise. Introduit au départ comme une simple blague interne, le personnage a fini par revenir régulièrement, accompagné de quêtes pleines de détournements et d’allusions.

La saga Star Wars est elle aussi omniprésente dans l’univers du MMORPG. Le haut fait « It’s a trap! » reprend la réplique iconique du général Ackbar dans Le Retour du Jedi. Dans le film, la phrase annonce une embuscade impériale ; dans World of Warcraft, elle devient un objectif humoristique où le joueur doit volontairement se tenir sur une dalle piégée. On retrouve également le haut fait « La haine mène à la souffrance », qui détourne les avertissements de Yoda au sujet du côté obscur.

Ce dernier haut fait fait notamment partie d’un ensemble d’objectifs plus exigeants demandés pour le méta-haut fait Gloire au héros de Pandarie. Beaucoup de joueurs cherchent à optimiser leur progression dans ce contenu difficile, parfois en ayant recours à des services spécialisés pour franchir des étapes complexes. Parmi eux, des plateformes comme KingBoost proposent différents boosts en jeu pour faciliter l’accès aux hauts faits les plus techniques.

Références aux jeux vidéo

World of Warcraft regorge également de références à d’autres licences vidéoludiques, en particulier celles de Blizzard. Lors de certains anniversaires de Diablo, les développeurs ont par exemple ajouté un niveau secret inspiré du Cow Level de Diablo II, avec le Roi des vaches en adversaire principal.

On retrouve aussi des clins d’œil évidents à StarCraft, notamment avec l’ajout d’un familier zergling rendant hommage à l’unité emblématique des Zergs. Le célèbre terme « zerg rush », devenu un concept stratégique bien au-delà du jeu, est lui aussi évoqué à plusieurs reprises.

D’autres références sont plus dispersées mais facilement reconnaissables : un groupe de nains s’exclamant « Mortar Combat! » en clin d’œil à Mortal Kombat, une goule nommée Harold rappelant Fallout, ou encore Linken, aventurier de Féralas, dérivé direct de Link de The Legend of Zelda.

Références musicales

La musique occupe aussi une place à part, ponctuée de clins d’œil assumés au rock et au métal. Le haut fait « To All The Squirrels I’ve Loved Before » détourne avec humour le titre populaire « To All the Girls I’ve Loved Before ». Pour le réaliser, le joueur doit retrouver plusieurs petites créatures d’Azeroth et leur adresser une émote d’affection, transformant le thème romantique de la chanson en une quête légère et décalée.

Les développeurs sont également allés piocher du côté de groupes mythiques comme Queen, Iron Maiden, Pink Floyd ou Metallica. Quêtes et hauts faits reprennent parfois des titres célèbres tels que We Will Rock You, Ride the Lightning ou Aces High. Certaines allusions sont discrètes, d’autres très explicites, mais toutes contribuent à enrichir l’exploration du monde de Blizzard.

Conclusion

Les références culturelles disséminées dans World of Warcraft participent à la personnalité unique du jeu. Elles témoignent de l’influence des œuvres qui ont marqué les développeurs, tout en offrant aux joueurs des clins d’œil amusants, parfois nostalgiques, au détour d’une quête ou d’un dialogue. Ces hommages constituent une part essentielle du charme du MMORPG, renforçant le lien entre l’univers de Warcraft et la culture populaire qui l’a inspiré.

Lire aussi : NVIDIA GeForce NOW Accueille World of Warcraft et Plus Encore

World of Warcraft s’est construit au fil des années comme un univers immense où se mêlent quêtes, créatures, donjons et intrigues. Les développeurs ont souvent glissé, au détour d’un PNJ ou d’un haut fait, des clins d’œil à la culture populaire. Ces références couvrent le cinéma, les jeux vidéo, la musique ou encore la littérature, formant un ensemble d’easter eggs qui amusent les joueurs depuis près de vingt ans.

Références au cinéma

L’un des exemples les plus connus reste Harrison Jones, un archéologue inspiré sans détour du héros d’Indiana Jones. Son nom, son apparence et même les nombreuses situations dans lesquelles il place les joueurs reprennent directement les codes de la franchise. Introduit au départ comme une simple blague interne, le personnage a fini par revenir régulièrement, accompagné de quêtes pleines de détournements et d’allusions.

La saga Star Wars est elle aussi omniprésente dans l’univers du MMORPG. Le haut fait « It’s a trap! » reprend la réplique iconique du général Ackbar dans Le Retour du Jedi. Dans le film, la phrase annonce une embuscade impériale ; dans World of Warcraft, elle devient un objectif humoristique où le joueur doit volontairement se tenir sur une dalle piégée. On retrouve également le haut fait « La haine mène à la souffrance », qui détourne les avertissements de Yoda au sujet du côté obscur.

Ce dernier haut fait fait notamment partie d’un ensemble d’objectifs plus exigeants demandés pour le méta-haut fait Gloire au héros de Pandarie. Beaucoup de joueurs cherchent à optimiser leur progression dans ce contenu difficile, parfois en ayant recours à des services spécialisés pour franchir des étapes complexes. Parmi eux, des plateformes comme KingBoost proposent différents boosts en jeu pour faciliter l’accès aux hauts faits les plus techniques.

Références aux jeux vidéo

World of Warcraft regorge également de références à d’autres licences vidéoludiques, en particulier celles de Blizzard. Lors de certains anniversaires de Diablo, les développeurs ont par exemple ajouté un niveau secret inspiré du Cow Level de Diablo II, avec le Roi des vaches en adversaire principal.

On retrouve aussi des clins d’œil évidents à StarCraft, notamment avec l’ajout d’un familier zergling rendant hommage à l’unité emblématique des Zergs. Le célèbre terme « zerg rush », devenu un concept stratégique bien au-delà du jeu, est lui aussi évoqué à plusieurs reprises.

D’autres références sont plus dispersées mais facilement reconnaissables : un groupe de nains s’exclamant « Mortar Combat! » en clin d’œil à Mortal Kombat, une goule nommée Harold rappelant Fallout, ou encore Linken, aventurier de Féralas, dérivé direct de Link de The Legend of Zelda.

Références musicales

La musique occupe aussi une place à part, ponctuée de clins d’œil assumés au rock et au métal. Le haut fait « To All The Squirrels I’ve Loved Before » détourne avec humour le titre populaire « To All the Girls I’ve Loved Before ». Pour le réaliser, le joueur doit retrouver plusieurs petites créatures d’Azeroth et leur adresser une émote d’affection, transformant le thème romantique de la chanson en une quête légère et décalée.

Les développeurs sont également allés piocher du côté de groupes mythiques comme Queen, Iron Maiden, Pink Floyd ou Metallica. Quêtes et hauts faits reprennent parfois des titres célèbres tels que We Will Rock You, Ride the Lightning ou Aces High. Certaines allusions sont discrètes, d’autres très explicites, mais toutes contribuent à enrichir l’exploration du monde de Blizzard.

Conclusion

Les références culturelles disséminées dans World of Warcraft participent à la personnalité unique du jeu. Elles témoignent de l’influence des œuvres qui ont marqué les développeurs, tout en offrant aux joueurs des clins d’œil amusants, parfois nostalgiques, au détour d’une quête ou d’un dialogue. Ces hommages constituent une part essentielle du charme du MMORPG, renforçant le lien entre l’univers de Warcraft et la culture populaire qui l’a inspiré.

Lire aussi : NVIDIA GeForce NOW Accueille World of Warcraft et Plus Encore

Changement de tempo pour les consoles portables sous Windows : Microsoft active aujourd’hui le Xbox Full Screen Experience sur l’ensemble des handhelds, y compris le Lenovo Legion Go 2 initialement attendu pour 2026.

Un mode plein écran généralisé sur Windows, dès le 21 novembre

D’après la dernière émission Xbox Partner Preview, le mode plein écran qui remplace le bureau Windows par une interface Xbox pensée pour la manette devient « généralement disponible » sur tous les appareils du marché.

Après un lancement sur ASUS ROG Xbox Ally et Ally X, puis une ouverture aux propriétaires de MSI Claw via le programme Windows Insider, la disponibilité s’étend désormais aux déclinaisons Legion Go 2, notamment le modèle AMD Z2 Extreme. Il faut dire que le calendrier s’accélère nettement par rapport aux attentes initiales.

Concrètement, les utilisateurs peuvent démarrer directement dans l’app Xbox, lancer leurs jeux issus du Microsoft Store, de Steam, de Battle.net et d’autres lanceurs, et revenir au bureau classique à tout moment. L’option se règle dans Paramètres, Jeux, Expérience plein écran, en choisissant Xbox comme application d’accueil.

Microsoft promet un gain de ressources en contournant une partie de l’interface et des tâches de fond de Windows. Le constructeur évoque environ 2 Go de mémoire libérée pour les jeux. Les premiers essais observés sur le ROG Xbox Ally suggèrent un coup de pouce aux performances, mais aussi quelques écueils : perte du focus manette dans certaines apps tierces et éléments d’UI Windows qui surgissent en cours de partie. Les Legion Go 2 et autres modèles recevant le même code, on peut s’attendre à des gains, mais aussi à des petites bizarreries jusqu’aux prochaines mises à jour.

Ouverture large, mais périmètre exact encore flou

Reste à voir si l’accès sera réellement universel. Microsoft parle d’une disponibilité générale, mais il semblerait que le support dépende encore des constructeurs. Les grandes marques comme ASUS, MSI et Lenovo sont couvertes. Pour AYANEO, GPD et consorts, l’arrivée pourrait dépendre d’accords séparés ou de futures mises à jour firmware et OS. Microsoft prévient par ailleurs que « la fonctionnalité sera généralement disponible » dès maintenant, une formulation qui laisse une marge d’interprétation sur le rythme exact selon les appareils.

Pour les joueurs mobiles sous Windows, l’enjeu est clair : simplifier l’expérience, réduire l’empreinte système et rendre l’usage à la manette plus cohérent. Les prochains correctifs diront si l’exécution suit l’ambition.

Lire aussi : Xbox Full Screen Experience arrive sur les MSI Claw via Windows 11 Insider

Source : blogs.windows.com

Intel jouerait la carte du mix sur Nova Lake : des iGPU Xe3 et Xe3p cohabiteraient selon les derniers correctifs Linux et une analyse toute fraîche de Coelacanth’s Dream. De quoi clarifier des semaines de flou autour de la génération Core (Ultra) 400.

Nova Lake : Xe3 pour le gros des variantes, Xe3p ciblé, d’après les outils open source

Les récents patches graphiques Linux avaient laissé entendre que Nova Lake passerait en Xe3p, au-dessus du Xe3 déjà confirmé pour Panther Lake et Wildcat Lake. Des entrées Kernel et Mesa associaient en effet Xe3p aux familles Nova Lake, faisant croire à un alignement sur l’architecture Crescent Island côté data center.

D’après une nouvelle lecture de Coelacanth’s Dream, le tableau est plus nuancé. Des changements dans le cm-compiler d’Intel mappent les IDs Nova Lake (nvl-u, nvl-h, nvl-s, nvl-hx, nvl-ul) vers les versions GMD 30.4.4 et 30.5.4, étiquetées xe3-lpg. Le Xe3p apparaît, lui, dans un patch distinct sous GMD 35.11.0, soit une autre génération matérielle. Cela concorde avec des fuites antérieures qui décrivaient déjà des puces mobiles Nova Lake en Xe3 plutôt qu’en Xe3p.

Côté capacités, Intel ajoute pour Xe3p de nouvelles instructions XMX sur la voie DPAS (matrix multiply and accumulate), couvrant FP8, FP4 et des formats de microscaling comme MXFP4 et MXFP8. Ces formats orientés IA existent sur le GPU Crescent Island Xe3p, mais ils ne sont pas listés pour les entrées Nova Lake, ce qui suggère la réutilisation du cœur Xe3 des Panther Lake et Wildcat Lake, tandis que Xe3p viserait le data center et, possiblement, de futurs GPU discrets.

Face à cette ambivalence, des sources citées par VideoCardz indiquent que les CPU Nova Lake embarqueraient bien un mélange de tuiles Xe3 et Xe3p. Les patches de compilateur n’incluraient pas toutes les variantes, ce qui expliquerait l’absence apparente de Xe3p dans certains blocs de code.

Répartition par séries et nomenclature iGPU

La gamme Nova Lake serait segmentée en U, H, S, HX et UL, avec une règle générale : la majorité en Xe3, tandis que le Xe3p serait affecté aux Nova Lake-H en configuration 12 Xe3p, successeur annoncé du Panther Lake 12 Xe3. Les séries U (basse consommation), H (laptops gaming avec GPU dédié), HX et S (classe desktop) resteraient sur le Xe3 non-P. Le compilateur laisse toutefois penser qu’au moins certaines U pourraient aussi profiter de Xe3p.

Reste la question du nom commercial. Le Xe3 suit aujourd’hui un marquage en série B, quand le Xe3p est confirmé en série C. Si Intel garde une logique minimale, Nova Lake mélangerait donc des iGPU Arc B et Arc C. Comme le résume Coelacanth’s Dream, « GMD 35.11.0 cadre avec une autre génération », point clé pour distinguer Xe3 de Xe3p.

Il faut dire que la chronologie renforce cette lecture : absence de mises à jour de Coelacanth’s Dream depuis juin, puis retour avec ces éléments croisés Kernel, Mesa, LLVM et cm-compiler d’Intel. Les indices convergent, mais restent sujets à validation officielle.

Lire aussi : Intel Xe3P confirmé pour Nova Lake-S : vers des iGPU Arc C-Series sur Core Ultra 400

Source : VideoCardz

Seasonic prépare une alimentation fanless de 1000 W. Une montée en gamme qui pourrait rebattre les cartes du passif haut de gamme sur PC de bureau.

Seasonic viserait un PRIME Fanless TX 1000 W certifié Titanium

D’après FanlessTech, il semblerait que Seasonic finalise un nouveau bloc PRIME Fanless TX de 1000 W, toujours certifié 80 PLUS Titanium avec un rendement ciblé de 94 % à 50 % de charge, à l’image des modèles existants. La gamme PRIME Fanless TX culmine aujourd’hui à 600 W et 700 W. Ces alimentations ATX entièrement modulaires, conçues pour un fonctionnement totalement passif, bénéficient d’une garantie de 12 ans et d’un câblage ATX 12V standard.

Un passage à 1000 W ouvrirait la porte aux stations de travail à deux GPU, ou aux PC haut de gamme mono-GPU cherchant davantage de marge. Il faut dire que les actuelles références « true fanless » de Seasonic comptent déjà parmi les plus avancées du marché, grâce à leur conception sans ventilateur et leur efficacité Titanium.

Face à Cooler Master et son X Silent Edge

Une telle nouveauté placerait Seasonic en confrontation directe avec Cooler Master. La série X Silent Edge fixe actuellement le haut du panier des alimentations ATX fanless pour PC gaming, avec des modèles 850 W et 1100 W certifiés Platinum, tous deux au format ATX 3.1 et dotés d’un connecteur GPU 12V-2×6 natif. Le modèle 1100 W en 230 V détient d’ailleurs le record de puissance pour une ATX fanless grand public. « le 1100 W 230 V détient le record actuel pour une ATX fanless », rappelle la source.

Reste à voir si Seasonic adoptera l’ATX 3.x et un connecteur 12V-2×6 natif, point crucial pour les cartes graphiques récentes. À ce stade, la marque n’a pas listé le modèle 1000 W sur son site, et aucun détail confirmé n’est disponible concernant la connectique, la norme ATX 3.x ou le calendrier de lancement.

Lire aussi : Cooler Master pourrait dévoiler une alimentation de 1100W avec refroidissement passif

Source: FanlessTech

Flasher un BIOS 800 W sur une GeForce RTX 5090 qui n’est pas une ROG Matrix ? C’est précisément ce que font des passionnés, et les résultats donnent autant envie que des sueurs froides.

Un BIOS XOC 800 W de la ROG Matrix porté sur d’autres RTX 5090

ASUS a lancé cette semaine sa ROG Matrix RTX 5090, une carte à 4399,95 € au design spécifique, avec connecteur 16 broches natif et adaptateur GC-HPWR optionnel pour ajouter de la marge d’alimentation. Le constructeur promet jusqu’à 10 % de performances supplémentaires « out of the box » avec toutes les sources d’alimentation actives. Il faut dire que la carte embarque un BIOS XOC plafonné à 800 W et un PCB maison.

D’après Overclock.net, ce même BIOS est désormais flashé sur des RTX 5090 d’autres marques via NVFlash : Gigabyte AORUS RTX 5090 Xtreme Waterforce WB et Master, Palit RTX 5090, MSI RTX 5090 Ventus, ou encore PNY RTX 5090 ARGB. L’objectif : débloquer la limite de puissance à 800 W, augmenter l’headroom de boost et grappiller des MHz.

ASUS annonce jusqu’à +323 MHz de boost sur sa propre Matrix. Chez les utilisateurs qui portent le BIOS Matrix sur des cartes non ASUS, les retours évoquent un gain de +100 à +200 MHz par rapport à leurs réglages déjà optimisés. Des captures de 3DMark Steel Nomad et de Cyberpunk 2077 en 4K montrent des clocks et une consommation supérieurs face à un BIOS 600 W, à offsets core/mémoire similaires, ce qui se traduit par de meilleurs scores et des FPS en hausse sur des charges GPU-bound.

Compatibilités inégales, ventilateurs capricieux

Toutes les RTX 5090 n’acceptent pas ce firmware. La raison exacte reste floue, mais la ROG Matrix expose trois canaux de ventilation et le BIOS attend de piloter trois en-têtes distincts. Les cartes qui reprennent ce schéma à trois headers semblent mieux fonctionner. À l’inverse, des modèles comme ASUS Astral Air/LC, ASUS TUF et MSI SUPRIM Liquid échouent parfois au flash ou démarrent avec une gestion des ventilateurs défaillante. En revanche, des cartes sans headers actifs, notamment en watercooling, peuvent aussi réussir l’opération.

Comme le résume une remarque rapportée par Wccftech : « le BIOS 800 W expose plus de headroom pour le boost », mais c’est au prix d’une consommation qui grimpe très vite.

ASUS pousse en parallèle sa plateforme BTF, encore peu disponible, et son adaptateur GC-HPWR. Les enthousiastes, eux, n’attendent pas ces cartes mères spécifiques, et, souvent, n’achètent même pas la ROG Matrix pour tenter l’expérience.

Attention : forcer 800 W sur des PCB non prévus peut mettre à mal les VRM et le connecteur 16 broches. Les sources rappellent le risque de dépassement des spécifications. « Since we don’t want you to burn your cards », prévient l’un des billets repris par VideoCardz. À réserver aux utilisateurs certains de la robustesse de leur modèle… et prêts à assumer le coût d’une carte à plus de 2 000 $.

Source: TechPowerUP (BIOS), Uniko’s Hardware, Wccftech, Overclock.net Thread

Dell change les priorités sur le portable Pro Max 16 Plus : cap sur une NPU dédiée très musclée, au détriment du GPU. Objectif affiché : l’IA locale, rapide et souveraine.

Un NPU Qualcomm AI-100 Ultra au cœur de la machine

Le Pro Max 16 Plus, testé par Notebookcheck, embarque un NPU discret Qualcomm AI-100 Ultra annoncé à 870 TOPS en INT8 dans une enveloppe de 150 W, associé à 128 Go de LPDDR5X dédiés. D’après la fiche communiquée, ce tandem offrirait assez de ressources pour exécuter en local des modèles jusqu’à 120 milliards de paramètres, sans s’appuyer sur d’autres accélérateurs ni mémoire additionnelle.

Côté processeur, Dell vise haut avec jusqu’à un Intel Core Ultra 9 285HX vPro à 24 cœurs. En revanche, le constructeur fait l’impasse sur la carte graphique dédiée pour libérer espace, budget thermique et puissance au profit de la NPU. Le rendu visuel est confié à l’iGPU de la plateforme Arrow Lake-HX, suffisant pour l’affichage mais inadapté au jeu.

Un PC pensé pour l’IA locale sensible et continue

Dell cible les usages où la latence réseau et la confidentialité ne tolèrent pas le cloud : analyse d’imagerie médicale, détection de fraude, modélisation d’ingénierie ou recherche sensible. La marque souligne que ces charges « bénéficient d’un processeur d’IA capable de faire tourner de grands modèles en continu », avec des performances prévisibles et les données qui ne quittent pas l’appareil. La configuration associe la NPU à un CPU costaud et 64 Go de mémoire système pour le développement local, tandis que la mémoire LPDDR5X du module NPU sert de VRAM dédiée aux modèles.

Le compromis est clair : pas de GPU dédié, mais une NPU surdimensionnée pour des workflows IA en mobilité, qui a vocation à remplacer la carte graphique sur ce segment précis.

Source : TechPowerUp

Changement de tempo pour les consoles portables sous Windows : Microsoft active aujourd’hui le Xbox Full Screen Experience sur l’ensemble des handhelds, y compris le Lenovo Legion Go 2 initialement attendu pour 2026.

Un mode plein écran généralisé sur Windows, dès le 21 novembre

D’après la dernière émission Xbox Partner Preview, le mode plein écran qui remplace le bureau Windows par une interface Xbox pensée pour la manette devient « généralement disponible » sur tous les appareils du marché.

Après un lancement sur ASUS ROG Xbox Ally et Ally X, puis une ouverture aux propriétaires de MSI Claw via le programme Windows Insider, la disponibilité s’étend désormais aux déclinaisons Legion Go 2, notamment le modèle AMD Z2 Extreme. Il faut dire que le calendrier s’accélère nettement par rapport aux attentes initiales.

Concrètement, les utilisateurs peuvent démarrer directement dans l’app Xbox, lancer leurs jeux issus du Microsoft Store, de Steam, de Battle.net et d’autres lanceurs, et revenir au bureau classique à tout moment. L’option se règle dans Paramètres, Jeux, Expérience plein écran, en choisissant Xbox comme application d’accueil.

Microsoft promet un gain de ressources en contournant une partie de l’interface et des tâches de fond de Windows. Le constructeur évoque environ 2 Go de mémoire libérée pour les jeux. Les premiers essais observés sur le ROG Xbox Ally suggèrent un coup de pouce aux performances, mais aussi quelques écueils : perte du focus manette dans certaines apps tierces et éléments d’UI Windows qui surgissent en cours de partie. Les Legion Go 2 et autres modèles recevant le même code, on peut s’attendre à des gains, mais aussi à des petites bizarreries jusqu’aux prochaines mises à jour.

Ouverture large, mais périmètre exact encore flou

Reste à voir si l’accès sera réellement universel. Microsoft parle d’une disponibilité générale, mais il semblerait que le support dépende encore des constructeurs. Les grandes marques comme ASUS, MSI et Lenovo sont couvertes. Pour AYANEO, GPD et consorts, l’arrivée pourrait dépendre d’accords séparés ou de futures mises à jour firmware et OS. Microsoft prévient par ailleurs que « la fonctionnalité sera généralement disponible » dès maintenant, une formulation qui laisse une marge d’interprétation sur le rythme exact selon les appareils.

Pour les joueurs mobiles sous Windows, l’enjeu est clair : simplifier l’expérience, réduire l’empreinte système et rendre l’usage à la manette plus cohérent. Les prochains correctifs diront si l’exécution suit l’ambition.

Lire aussi : Xbox Full Screen Experience arrive sur les MSI Claw via Windows 11 Insider

Source : blogs.windows.com

Intel jouerait la carte du mix sur Nova Lake : des iGPU Xe3 et Xe3p cohabiteraient selon les derniers correctifs Linux et une analyse toute fraîche de Coelacanth’s Dream. De quoi clarifier des semaines de flou autour de la génération Core (Ultra) 400.

Nova Lake : Xe3 pour le gros des variantes, Xe3p ciblé, d’après les outils open source

Les récents patches graphiques Linux avaient laissé entendre que Nova Lake passerait en Xe3p, au-dessus du Xe3 déjà confirmé pour Panther Lake et Wildcat Lake. Des entrées Kernel et Mesa associaient en effet Xe3p aux familles Nova Lake, faisant croire à un alignement sur l’architecture Crescent Island côté data center.

D’après une nouvelle lecture de Coelacanth’s Dream, le tableau est plus nuancé. Des changements dans le cm-compiler d’Intel mappent les IDs Nova Lake (nvl-u, nvl-h, nvl-s, nvl-hx, nvl-ul) vers les versions GMD 30.4.4 et 30.5.4, étiquetées xe3-lpg. Le Xe3p apparaît, lui, dans un patch distinct sous GMD 35.11.0, soit une autre génération matérielle. Cela concorde avec des fuites antérieures qui décrivaient déjà des puces mobiles Nova Lake en Xe3 plutôt qu’en Xe3p.

Côté capacités, Intel ajoute pour Xe3p de nouvelles instructions XMX sur la voie DPAS (matrix multiply and accumulate), couvrant FP8, FP4 et des formats de microscaling comme MXFP4 et MXFP8. Ces formats orientés IA existent sur le GPU Crescent Island Xe3p, mais ils ne sont pas listés pour les entrées Nova Lake, ce qui suggère la réutilisation du cœur Xe3 des Panther Lake et Wildcat Lake, tandis que Xe3p viserait le data center et, possiblement, de futurs GPU discrets.

Face à cette ambivalence, des sources citées par VideoCardz indiquent que les CPU Nova Lake embarqueraient bien un mélange de tuiles Xe3 et Xe3p. Les patches de compilateur n’incluraient pas toutes les variantes, ce qui expliquerait l’absence apparente de Xe3p dans certains blocs de code.

Répartition par séries et nomenclature iGPU

La gamme Nova Lake serait segmentée en U, H, S, HX et UL, avec une règle générale : la majorité en Xe3, tandis que le Xe3p serait affecté aux Nova Lake-H en configuration 12 Xe3p, successeur annoncé du Panther Lake 12 Xe3. Les séries U (basse consommation), H (laptops gaming avec GPU dédié), HX et S (classe desktop) resteraient sur le Xe3 non-P. Le compilateur laisse toutefois penser qu’au moins certaines U pourraient aussi profiter de Xe3p.

Reste la question du nom commercial. Le Xe3 suit aujourd’hui un marquage en série B, quand le Xe3p est confirmé en série C. Si Intel garde une logique minimale, Nova Lake mélangerait donc des iGPU Arc B et Arc C. Comme le résume Coelacanth’s Dream, « GMD 35.11.0 cadre avec une autre génération », point clé pour distinguer Xe3 de Xe3p.

Il faut dire que la chronologie renforce cette lecture : absence de mises à jour de Coelacanth’s Dream depuis juin, puis retour avec ces éléments croisés Kernel, Mesa, LLVM et cm-compiler d’Intel. Les indices convergent, mais restent sujets à validation officielle.

Lire aussi : Intel Xe3P confirmé pour Nova Lake-S : vers des iGPU Arc C-Series sur Core Ultra 400

Source : VideoCardz

Seasonic prépare une alimentation fanless de 1000 W. Une montée en gamme qui pourrait rebattre les cartes du passif haut de gamme sur PC de bureau.

Seasonic viserait un PRIME Fanless TX 1000 W certifié Titanium

D’après FanlessTech, il semblerait que Seasonic finalise un nouveau bloc PRIME Fanless TX de 1000 W, toujours certifié 80 PLUS Titanium avec un rendement ciblé de 94 % à 50 % de charge, à l’image des modèles existants. La gamme PRIME Fanless TX culmine aujourd’hui à 600 W et 700 W. Ces alimentations ATX entièrement modulaires, conçues pour un fonctionnement totalement passif, bénéficient d’une garantie de 12 ans et d’un câblage ATX 12V standard.

Un passage à 1000 W ouvrirait la porte aux stations de travail à deux GPU, ou aux PC haut de gamme mono-GPU cherchant davantage de marge. Il faut dire que les actuelles références « true fanless » de Seasonic comptent déjà parmi les plus avancées du marché, grâce à leur conception sans ventilateur et leur efficacité Titanium.

Face à Cooler Master et son X Silent Edge

Une telle nouveauté placerait Seasonic en confrontation directe avec Cooler Master. La série X Silent Edge fixe actuellement le haut du panier des alimentations ATX fanless pour PC gaming, avec des modèles 850 W et 1100 W certifiés Platinum, tous deux au format ATX 3.1 et dotés d’un connecteur GPU 12V-2×6 natif. Le modèle 1100 W en 230 V détient d’ailleurs le record de puissance pour une ATX fanless grand public. « le 1100 W 230 V détient le record actuel pour une ATX fanless », rappelle la source.

Reste à voir si Seasonic adoptera l’ATX 3.x et un connecteur 12V-2×6 natif, point crucial pour les cartes graphiques récentes. À ce stade, la marque n’a pas listé le modèle 1000 W sur son site, et aucun détail confirmé n’est disponible concernant la connectique, la norme ATX 3.x ou le calendrier de lancement.

Lire aussi : Cooler Master pourrait dévoiler une alimentation de 1100W avec refroidissement passif

Source: FanlessTech

Flasher un BIOS 800 W sur une GeForce RTX 5090 qui n’est pas une ROG Matrix ? C’est précisément ce que font des passionnés, et les résultats donnent autant envie que des sueurs froides.

Un BIOS XOC 800 W de la ROG Matrix porté sur d’autres RTX 5090

ASUS a lancé cette semaine sa ROG Matrix RTX 5090, une carte à 4399,95 € au design spécifique, avec connecteur 16 broches natif et adaptateur GC-HPWR optionnel pour ajouter de la marge d’alimentation. Le constructeur promet jusqu’à 10 % de performances supplémentaires « out of the box » avec toutes les sources d’alimentation actives. Il faut dire que la carte embarque un BIOS XOC plafonné à 800 W et un PCB maison.

D’après Overclock.net, ce même BIOS est désormais flashé sur des RTX 5090 d’autres marques via NVFlash : Gigabyte AORUS RTX 5090 Xtreme Waterforce WB et Master, Palit RTX 5090, MSI RTX 5090 Ventus, ou encore PNY RTX 5090 ARGB. L’objectif : débloquer la limite de puissance à 800 W, augmenter l’headroom de boost et grappiller des MHz.

ASUS annonce jusqu’à +323 MHz de boost sur sa propre Matrix. Chez les utilisateurs qui portent le BIOS Matrix sur des cartes non ASUS, les retours évoquent un gain de +100 à +200 MHz par rapport à leurs réglages déjà optimisés. Des captures de 3DMark Steel Nomad et de Cyberpunk 2077 en 4K montrent des clocks et une consommation supérieurs face à un BIOS 600 W, à offsets core/mémoire similaires, ce qui se traduit par de meilleurs scores et des FPS en hausse sur des charges GPU-bound.

Compatibilités inégales, ventilateurs capricieux

Toutes les RTX 5090 n’acceptent pas ce firmware. La raison exacte reste floue, mais la ROG Matrix expose trois canaux de ventilation et le BIOS attend de piloter trois en-têtes distincts. Les cartes qui reprennent ce schéma à trois headers semblent mieux fonctionner. À l’inverse, des modèles comme ASUS Astral Air/LC, ASUS TUF et MSI SUPRIM Liquid échouent parfois au flash ou démarrent avec une gestion des ventilateurs défaillante. En revanche, des cartes sans headers actifs, notamment en watercooling, peuvent aussi réussir l’opération.

Comme le résume une remarque rapportée par Wccftech : « le BIOS 800 W expose plus de headroom pour le boost », mais c’est au prix d’une consommation qui grimpe très vite.

ASUS pousse en parallèle sa plateforme BTF, encore peu disponible, et son adaptateur GC-HPWR. Les enthousiastes, eux, n’attendent pas ces cartes mères spécifiques, et, souvent, n’achètent même pas la ROG Matrix pour tenter l’expérience.

Attention : forcer 800 W sur des PCB non prévus peut mettre à mal les VRM et le connecteur 16 broches. Les sources rappellent le risque de dépassement des spécifications. « Since we don’t want you to burn your cards », prévient l’un des billets repris par VideoCardz. À réserver aux utilisateurs certains de la robustesse de leur modèle… et prêts à assumer le coût d’une carte à plus de 2 000 $.

Source: TechPowerUP (BIOS), Uniko’s Hardware, Wccftech, Overclock.net Thread

Dell change les priorités sur le portable Pro Max 16 Plus : cap sur une NPU dédiée très musclée, au détriment du GPU. Objectif affiché : l’IA locale, rapide et souveraine.

Un NPU Qualcomm AI-100 Ultra au cœur de la machine

Le Pro Max 16 Plus, testé par Notebookcheck, embarque un NPU discret Qualcomm AI-100 Ultra annoncé à 870 TOPS en INT8 dans une enveloppe de 150 W, associé à 128 Go de LPDDR5X dédiés. D’après la fiche communiquée, ce tandem offrirait assez de ressources pour exécuter en local des modèles jusqu’à 120 milliards de paramètres, sans s’appuyer sur d’autres accélérateurs ni mémoire additionnelle.

Côté processeur, Dell vise haut avec jusqu’à un Intel Core Ultra 9 285HX vPro à 24 cœurs. En revanche, le constructeur fait l’impasse sur la carte graphique dédiée pour libérer espace, budget thermique et puissance au profit de la NPU. Le rendu visuel est confié à l’iGPU de la plateforme Arrow Lake-HX, suffisant pour l’affichage mais inadapté au jeu.

Un PC pensé pour l’IA locale sensible et continue

Dell cible les usages où la latence réseau et la confidentialité ne tolèrent pas le cloud : analyse d’imagerie médicale, détection de fraude, modélisation d’ingénierie ou recherche sensible. La marque souligne que ces charges « bénéficient d’un processeur d’IA capable de faire tourner de grands modèles en continu », avec des performances prévisibles et les données qui ne quittent pas l’appareil. La configuration associe la NPU à un CPU costaud et 64 Go de mémoire système pour le développement local, tandis que la mémoire LPDDR5X du module NPU sert de VRAM dédiée aux modèles.

Le compromis est clair : pas de GPU dédié, mais une NPU surdimensionnée pour des workflows IA en mobilité, qui a vocation à remplacer la carte graphique sur ce segment précis.

Source : TechPowerUp

KBDcraft transpose son savoir-faire de claviers en briques à une souris étonnante : Shamshel, un modèle modulaire pensé pour le bricolage créatif.

Shamshel, la souris qui s’assemble comme un set de briques

Connu pour ses claviers modulaires inspirés des briques, comme l’Adam 60 % ou l’Israfel ortholinéaire scindé, KBDcraft dévoile Shamshel, une souris dont l’enveloppe est entièrement construite en briques compatibles LEGO. Seuls le PCB et les interrupteurs échappent à cette approche. Selon les visuels, même la molette et les charnières des clics gauche et droit sont assemblées en briques, ce qui laisse entrevoir des ajustements fins, par exemple sur la course, la hauteur et le ressenti des clics via des leviers alternatifs.

Le tarif n’est pas encore officialisé. Toutefois, un teasing sur Instagram évoque une formule Kickstarter à 39,99 dollars pour un lot de deux souris. D’après la page de la campagne, ce « deux pour un » inclurait deux PCB distincts et un seul boîtier, chacun des PCB s’appuyant sur des interrupteurs différents.

Switchs interchangeables et design inspiré d’Evangelion

Il semblerait que Shamshel soit proposée avec des switchs mécaniques hot-swap de clavier ou des micro-interrupteurs classiques de souris. KBDcraft n’a pas communiqué de fiche technique complète à ce stade, ni indiqué un mode sans-fil ou une orientation e-sport. Le nom et certains éléments esthétiques renvoient aux anges de Neon Genesis Evangelion, avec des boutons ronds évoquant des yeux et un placement visuel rappelant « l’emplacement de sa blessure fatale » d’après la présentation.

Pour suivre l’évolution du projet et la disponibilité, KBDcraft invite à consulter la page Kickstarter et la fiche produit officielle sur son site.

Source : TechPowerUp

Face aux performances chahutées de Borderlands 4, 2K change de cap et offre le premier DLC Bounty Pack à tous les joueurs. Une décision assumée qui s’inscrit dans un calendrier de correctifs déjà bien fourni.

Bounty Pack 1 gratuit, calendrier maintenu

Depuis le lancement, Borderlands 4 a enchaîné problèmes de stabilité et chutes de framerate. Gearbox a corrigé une partie des soucis, avec un patch d’octobre qui a augmenté les performances jusqu’à 20 % selon la résolution. Mais le studio reconnaît avoir manqué de temps pour livrer un Bounty Pack 1 aussi chargé qu’espéré. D’après l’annonce officielle, « il y avait plus de chaos que de temps pour intégrer tout ce qui était prévu », tout en poursuivant les améliorations du jeu.

Conséquence directe : Bounty Pack 1: How Rush Saved Mercenary Day est désormais gratuit pour tous les joueurs de Borderlands 4 depuis le 20 novembre. Ce pack ajoute une nouvelle ligne de quêtes autour de Rush, chef des Oubounders, sur fond de saison festive façon « Noël spatial ». On y trouve aussi 24 cosmétiques inédits, quatre nouvelles pièces d’équipement à affixes variables, ainsi que des collectibles et cosmétiques cachés.

Et après ? Un cinquième pack en 2026 pour certaines éditions

2K précise que les possesseurs des éditions Deluxe, Super Deluxe ou du Bounty Pack Bundle recevront en plus un cinquième Bounty Pack en 2026. L’éditeur assure travailler à des packs futurs « plus chargés en contenu » et maintient sa feuille de route d’optimisations. En attendant, ce premier geste apaise une communauté échaudée par un lancement compliqué.

Lire aussi : Borderlands 4 : jusqu’à 20 % de FPS en plus avec le patch d’octobre

Source : TechPowerUp

KBDcraft transpose son savoir-faire de claviers en briques à une souris étonnante : Shamshel, un modèle modulaire pensé pour le bricolage créatif.

Shamshel, la souris qui s’assemble comme un set de briques

Connu pour ses claviers modulaires inspirés des briques, comme l’Adam 60 % ou l’Israfel ortholinéaire scindé, KBDcraft dévoile Shamshel, une souris dont l’enveloppe est entièrement construite en briques compatibles LEGO. Seuls le PCB et les interrupteurs échappent à cette approche. Selon les visuels, même la molette et les charnières des clics gauche et droit sont assemblées en briques, ce qui laisse entrevoir des ajustements fins, par exemple sur la course, la hauteur et le ressenti des clics via des leviers alternatifs.

Le tarif n’est pas encore officialisé. Toutefois, un teasing sur Instagram évoque une formule Kickstarter à 39,99 dollars pour un lot de deux souris. D’après la page de la campagne, ce « deux pour un » inclurait deux PCB distincts et un seul boîtier, chacun des PCB s’appuyant sur des interrupteurs différents.

Switchs interchangeables et design inspiré d’Evangelion

Il semblerait que Shamshel soit proposée avec des switchs mécaniques hot-swap de clavier ou des micro-interrupteurs classiques de souris. KBDcraft n’a pas communiqué de fiche technique complète à ce stade, ni indiqué un mode sans-fil ou une orientation e-sport. Le nom et certains éléments esthétiques renvoient aux anges de Neon Genesis Evangelion, avec des boutons ronds évoquant des yeux et un placement visuel rappelant « l’emplacement de sa blessure fatale » d’après la présentation.

Pour suivre l’évolution du projet et la disponibilité, KBDcraft invite à consulter la page Kickstarter et la fiche produit officielle sur son site.

Source : TechPowerUp

Face aux performances chahutées de Borderlands 4, 2K change de cap et offre le premier DLC Bounty Pack à tous les joueurs. Une décision assumée qui s’inscrit dans un calendrier de correctifs déjà bien fourni.

Bounty Pack 1 gratuit, calendrier maintenu

Depuis le lancement, Borderlands 4 a enchaîné problèmes de stabilité et chutes de framerate. Gearbox a corrigé une partie des soucis, avec un patch d’octobre qui a augmenté les performances jusqu’à 20 % selon la résolution. Mais le studio reconnaît avoir manqué de temps pour livrer un Bounty Pack 1 aussi chargé qu’espéré. D’après l’annonce officielle, « il y avait plus de chaos que de temps pour intégrer tout ce qui était prévu », tout en poursuivant les améliorations du jeu.

Conséquence directe : Bounty Pack 1: How Rush Saved Mercenary Day est désormais gratuit pour tous les joueurs de Borderlands 4 depuis le 20 novembre. Ce pack ajoute une nouvelle ligne de quêtes autour de Rush, chef des Oubounders, sur fond de saison festive façon « Noël spatial ». On y trouve aussi 24 cosmétiques inédits, quatre nouvelles pièces d’équipement à affixes variables, ainsi que des collectibles et cosmétiques cachés.

Et après ? Un cinquième pack en 2026 pour certaines éditions

2K précise que les possesseurs des éditions Deluxe, Super Deluxe ou du Bounty Pack Bundle recevront en plus un cinquième Bounty Pack en 2026. L’éditeur assure travailler à des packs futurs « plus chargés en contenu » et maintient sa feuille de route d’optimisations. En attendant, ce premier geste apaise une communauté échaudée par un lancement compliqué.

Lire aussi : Borderlands 4 : jusqu’à 20 % de FPS en plus avec le patch d’octobre

Source : TechPowerUp

Il aura fallu attendre près de onze mois après l’annonce pour voir AMD Strix Halo débarquer vraiment dans une console portable. La GPD Win 5 est la première à arriver chez les joueurs, un signal fort pour le segment, même si l’attente aura été longue.

GPD grille la politesse à AYANEO et OneXPlayer

AMD avait dévoilé Strix Halo au CES, mais uniquement pour trois produits, sans console portable au programme. L’année 2025 a surtout été rythmée par des mini PC axés IA, parfois équipés de 96 Go ou 128 Go de mémoire. Désormais, GPD passe la seconde : annonce, financement participatif et premières expéditions effectives, quand AYANEO et OneXPlayer n’ont pas encore livré, et que le premier n’a même pas tout détaillé.

Un test publié sur Reddit dresse un premier tableau des performances sur batterie, jusqu’à 35 W de TDP. Le verdict : gains d’environ 60 à 80 % face aux machines Lunar Lake ou Ryzen Z2 Extreme, et au-delà de x2 si l’on augmente la puissance. D’après ce retour, Path of Exile 2 devient enfin fluide, Returnal dépasse les 60 fps en 1080p réglage Epic avec FSR Quality à 35 W, tandis que Doom Dark Ages tourne autour de 40 à 50 fps en 1080p à 35 W et s’approche des 60 fps avec FSR. À 35 W, le système resterait frais et discret, le souffle des ventilateurs ne montant vraiment qu’au-delà.

Prix, ergonomie et premières impressions

Côté tarif, la configuration évoquée revient à environ 1460 USD, dont 1410 USD pour la machine sur JD et 50 USD de livraison vers Singapour, soit à titre indicatif près de 1350 € selon le taux courant. Le poids atteint environ 930 g batterie comprise. Malgré tout, le testeur juge l’équilibre réussi pour un format 7 pouces et la prise en main plus simple que sur la WIN Max 2 ou la MSI Claw 8 AI plus. « À 35 W le système reste cool et silencieux », souligne le retour publié sur Reddit.

Il faut dire que cette arrivée concrétise enfin l’option Strix Halo sur console portable, architecture jusqu’ici poussée par AMD sous l’angle IA-first. Reste à voir quand AYANEO et OneXPlayer lanceront leurs modèles, et si l’offre sortira du cercle de marques de niche, généralement positionnées dans le haut du panier.

Source : VideoCardz

Nouvelle coupe sombre chez Avalanche : le studio confirme la fermeture de son antenne de Liverpool, avec 31 postes supprimés, dans le sillage de l’annulation de Contraband.

Avalanche confirme la fermeture de Liverpool

La décision, officialisée sur le site d’Avalanche Studios, entérine la fin du studio de Liverpool et le départ de 31 salariés. Le groupe assure vouloir « continuer à soutenir les Avalanchers au cours de cette transition et poursuivre la création de grands jeux pour nos communautés de joueurs ».

Cette annonce intervient peu après l’arrêt de Contraband, leur prochain titre, annulé plus tôt cette année. D’après la direction, ces mesures visent à garantir la pérennité de l’entreprise à long terme.

Et maintenant, Stockholm ?

Le sort du site de Stockholm reste flou. Le précédent communiqué évoquait des réductions d’effectifs dans cette entité, sans parler d’une fermeture complète. Il semblerait que seule Liverpool soit concernée par une fermeture, au moins pour l’instant.

À retenir : fermeture confirmée à Liverpool, 31 licenciements, et un contexte tendu après l’annulation de Contraband. L’entreprise dit prioriser l’accompagnement des équipes et la poursuite de ses productions.

Source : TechPowerUp

Le Corsair Platform:4 fait partie des rares bureaux gaming haut de gamme à bénéficier d’une vraie remise pour le Black Friday. Plusieurs versions, fixes ou électriques, affichent des prix nettement plus bas que d’habitude, ce qui rend le modèle beaucoup plus accessible que lors de son lancement.

Pensé pour les setups modernes, le Platform:4 mise sur une structure robuste, un système de rails en T compatible Elgato, une gestion des câbles maîtrisée et, selon les modèles, un réglage électrique fluide. Un ensemble cohérent, que nous avions déjà passé en revue dans un test détaillé. Son tarif premium était l’un de ses principaux freins ; ces promotions changent clairement la donne.

Les offres du Black Friday

Pourquoi ces offres sont intéressantes

Le Platform:4 n’est pas un bureau classique. Sa conception, inspirée du mobilier pro, offre une vraie stabilité, des rails 3060 polyvalents, une charge de 120 kg et une compatibilité étendue avec les accessoires Elgato. Sur la version Elevate, le système motorisé reste l’un des plus fluides et silencieux du segment.

Avec les remises actuelles, il se positionne face à des modèles concurrents souvent moins modulaires ou moins solides.

Notre test complet

Pour entrer dans le détail du montage, de la qualité du plateau, du système motorisé et de l’usage au quotidien, vous pouvez consulter notre review :

Test du Corsair Platform:4 Elevate : un bureau compact, modulaire et robuste

Des joueurs ont vu leurs FPS chuter après les mises à jour d’octobre de Windows 11. NVIDIA réagit avec le GeForce Hotfix Display Driver 581.94, une rustine ciblée pour revenir à des performances normales.

Un correctif dédié aux mises à jour Windows 11 d’octobre 2025

D’après NVIDIA, le GeForce Hotfix 581.94 vise un problème unique : des performances inférieures dans certains jeux après l’installation du cumul mensuel KB5066835 de Windows 11. Le pilote s’appuie sur le récent Game Ready Driver 581.80, sans ajout de fonctionnalité ni nouveau support de jeu, et se télécharge séparément via les canaux d’assistance NVIDIA.

Le bug touche des PC passés à Windows 11 24H2 ou 25H2 avec KB5066835, et parfois avec d’autres cumulatifs intégrant les mêmes changements de code. Plusieurs utilisateurs rapportent des baisses de framerate et des ralentissements dans certains titres après le Patch Tuesday d’octobre 2025, ce que NVIDIA relie désormais à la mise à jour de sécurité. La firme rappelle que « le package cible une seule anomalie de performance après le dernier cumul Windows 11 », selon sa notice.

Pour mémoire, KB5066835 apporte des améliorations de fiabilité pour Windows Search, des mises à jour des fonctionnalités Windows pilotées par l’IA, ainsi que d’autres ajustements de qualité. Il faut dire que ces optimisations s’accompagnent parfois d’effets secondaires côté GPU, d’où ce hotfix.

Qui doit installer ce GeForce Hotfix 581.94 ?

NVIDIA recommande le GeForce Hotfix 581.94 uniquement aux joueurs déjà passés aux mises à jour Windows 11 d’octobre 2025 et constatant une baisse de performances. Les autres peuvent attendre l’intégration du correctif dans un prochain Game Ready ou Studio Driver. À noter : les problèmes non graphiques liés à KB5066835, comme les soucis d’entrée dans WinRE, exigent des correctifs distincts fournis par Microsoft.

Source : VideoCardz

Redragon vise clairement les joueurs de MMO avec l’Impact M908 SE, une nouvelle souris filaire qui assume l’ergonomie et la personnalisation plutôt que la chasse aux grammes.

Souris MMO : 18 boutons programmables et poids modulable

Conçue pour les raccourcis à la chaîne, la Redragon Impact M908 SE aligne 18 commandes au total : 12 boutons latéraux programmables, les clics principaux, des boutons supérieurs personnalisables et le clic de molette. Le tout s’illumine via un éclairage RGB, dans une coque symétrique avec repose-auriculaire pour améliorer la prise en main sur de longues sessions.

Côté technique, Redragon opte pour un capteur optique SG8960 jusqu’à 24 000 DPI, un suivi annoncé jusqu’à 80 G et un taux d’interrogation de 1 000 Hz. Les switchs principaux de la Redragon Impact M908 SE sont signés Huano, sans précision de référence. Pas de version sans fil ici : l’accent est mis sur la stabilité et la latence minimale en USB.

La Redragon Impact M908 SE intègre également un système de poids ajustable avec huit masselottes de 2,4 g, permettant d’affiner le gabarit et le centre de gravité. Le poids communiqué atteint 165 g, vraisemblablement avec tous les poids installés ; on peut donc l’alléger d’environ 20 g. Cela reste élevé pour une souris de jeu, mais cohérent pour une cible MMO où la polyvalence des commandes prime.

Logiciel Windows et mémoire embarquée

La configuration des boutons et macros passe par le logiciel Redragon sous Windows. Il n’y a pas d’outil dédié pour macOS ou Linux, mais la présence d’une mémoire embarquée permet d’exporter ses profils vers d’autres machines une fois la programmation effectuée.

Disponible directement sur la boutique Redragon au prix de 32,99 dollars, la Redragon Impact M908 SE se positionne comme une alternative abordable aux références du segment, avec un format rappelant la Razer Naga, mais un poids plus conséquent.

Source : TechPowerUp