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Portrait : John Ternus, l’homme qui visse le futur d’Apple
Pas d'écran, mais de l'IA : voici à quoi pourraient ressembler les premières lunettes d'Apple
Alors que Meta pavane avec le succès de ses Ray-Ban et que Google avance ses pions, le chantier des lunettes connectées bat son plein dans le plus grand secret à Cupertino. Si les regards étaient jusqu'ici braqués sur la réalité augmentée pure et dure, Apple semble avoir ajusté le tir par pragmatisme. Les derniers échos laissent entendre une présentation en fin d'année prochaine, pour une commercialisation qui ne devrait pas intervenir avant le courant de l'année 2027. Surtout, la philosophie du produit s'éloignerait du Vision Pro pour proposer un objet plus accessible. Alors à quoi ressemblerait ces fameuses Apple Glasses ?
Vision Pro, Apple Glass, visionOS : Apple prépare un virage stratégique majeur
Un virage vers l'audio et l'IA
Si l'on en croit les informations qui circulent, Apple aurait décidé de remettre à plus tard ses ambitions de lunettes à réalité augmentée (les fameuses « Apple Glass » avec affichage tête haute). Le produit en préparation serait dépourvu d'écran. À la place, la Pomme miserait tout sur l'intelligence artificielle et l'audio. L'idée n'est plus de superposer des éléments virtuels au monde réel, mais d'offrir une assistance contextuelle invisible.
C'est un changement de cap notable : le Vision Pro et visionOS ont posé les fondations du calcul spatial, mais ces lunettes emprunteraient une voie plus légère. Elles s'appuieraient massivement sur Apple Intelligence et une version dopée aux stéroïdes de Siri pour interagir avec l'utilisateur via des haut-parleurs intégrés aux branches, rendant l'usage des AirPods optionnel, bien que compatible.
Une Apple Watch pour le visage ?
Sous le capot, ou plutôt dans la monture, Apple compte réutiliser son savoir-faire en matière de miniaturisation. L'appareil embarquerait une puce dérivée de la série « S » que l'on trouve actuellement dans l'Apple Watch. Ce choix technique trahit la priorité absolue des ingénieurs : l'efficacité énergétique. Il s'agit de tenir une journée entière sans transformer la monture en radiateur.
La production des SoC des lunettes connectées d’Apple lancée fin 2027
Cette puce aura la lourde tâche de piloter une série de caméras et de capteurs. Contrairement aux premières Google Glass qui se contentaient de filmer, les caméras des lunettes d'Apple serviront de « yeux » à l'intelligence artificielle. Grâce à la Visual Intelligence — déjà aperçue sur les iPhone 16 —, l'utilisateur pourra interroger Siri sur ce qu'il regarde, obtenir des traductions à la volée ou identifier des objets, le tout sans sortir son téléphone.
Le cordon ombilical de l'iPhone
Fidèle à sa stratégie d'écosystème, Apple ne concevrait pas ces lunettes comme un produit autonome. À l'instar des premières générations d'Apple Watch, elles fonctionneraient en symbiose avec l'iPhone, qui se chargerait d'une partie du traitement des données les plus lourdes. Ce délestage permet d'alléger la monture tout en conservant une puissance de calcul confortable.
L'aspect santé, cher à Tim Cook, ne serait pas oublié. Bloomberg rapporte qu'Apple explore l'intégration de capteurs biométriques capables de suivre certains indicateurs de santé, bien que les détails restent encore flous à ce stade. Enfin, parce qu'il s'agit d'un objet que l'on porte sur le visage, la technologie devra s'effacer derrière le style. Apple prévoirait de lancer plusieurs designs et montures différents dès le premier jour, traitant ce périphérique autant comme un accessoire de mode que comme un gadget technologique.
Si le calendrier se confirme, Apple arrivera bien après la bataille, laissant à Meta le soin d'essuyer les plâtres et d'éduquer le marché. Une stratégie du « not first, but best » (pas le premier, mais le meilleur) qui a souvent réussi à la firme, à condition que l'intégration logicielle soit, comme promis, irréprochable.
Free tease l’arrivée de l’Apple Watch : c'est imminent !

C’est une question de jours (voire peut-être d’heures) avant que Free ne prenne en charge (enfin) l’Apple Watch. Sur son compte X, l’opérateur a publié cette photo accompagnée de cette courte phrase :
Si je regarde mon tel c'est pas pour savoir l'heure...
Sur la table, un iPhone est mis en évidence. Rappelons que la prise en charge de l’Apple Watch ne se limite pas à « offrir » la connexion cellulaire à celle-ci. Apple impose à ses partenaires de proposer sa gamme de toquantes en boutique. Selon nos sources, l'arrivée de la montre dans les rayons de l'opérateur n'est plus qu'une question de jours.
Free Mobile sur le point de gérer l’Apple Watch
À vrai dire, il ne demeure plus qu’une seule inconnue dans cette affaire. Free va-t-il s’attaquer à la question du prix ? Ses concurrents facturent cette option 5 € par mois. C’est peu et beaucoup à la fois. Il y a sans doute de quoi malmener la concurrence, comme aime le faire Xavier Niel. Autre question en suspens : aura-t-on droit à de la 4G comme chez SFR ou à la 5G comme chez Orange ? L’avenir nous le dira.
Quoi qu’il en soit, Xavier Niel semble bien parti pour respecter l'une de ses promesses. En janvier dernier, il espérait gérer l’Apple Watch « cette année ». Il est encore dans les temps !
Free Mobile : l’eSIM sur Apple Watch « espérée » en 2025 par Xavier Niel
Pas d'écran, mais de l'IA : voici à quoi pourraient ressembler les premières lunettes d'Apple
Alors que Meta pavane avec le succès de ses Ray-Ban et que Google avance ses pions, le chantier des lunettes connectées bat son plein dans le plus grand secret à Cupertino. Si les regards étaient jusqu'ici braqués sur la réalité augmentée pure et dure, Apple semble avoir ajusté le tir par pragmatisme. Les derniers échos laissent entendre une présentation en fin d'année prochaine, pour une commercialisation qui ne devrait pas intervenir avant le courant de l'année 2027. Surtout, la philosophie du produit s'éloignerait du Vision Pro pour proposer un objet plus accessible. Alors à quoi ressemblerait ces fameuses Apple Glasses ?
Vision Pro, Apple Glass, visionOS : Apple prépare un virage stratégique majeur
Un virage vers l'audio et l'IA
Si l'on en croit les informations qui circulent, Apple aurait décidé de remettre à plus tard ses ambitions de lunettes à réalité augmentée (les fameuses « Apple Glass » avec affichage tête haute). Le produit en préparation serait dépourvu d'écran. À la place, la Pomme miserait tout sur l'intelligence artificielle et l'audio. L'idée n'est plus de superposer des éléments virtuels au monde réel, mais d'offrir une assistance contextuelle invisible.
C'est un changement de cap notable : le Vision Pro et visionOS ont posé les fondations du calcul spatial, mais ces lunettes emprunteraient une voie plus légère. Elles s'appuieraient massivement sur Apple Intelligence et une version dopée aux stéroïdes de Siri pour interagir avec l'utilisateur via des haut-parleurs intégrés aux branches, rendant l'usage des AirPods optionnel, bien que compatible.
Une Apple Watch pour le visage ?
Sous le capot, ou plutôt dans la monture, Apple compte réutiliser son savoir-faire en matière de miniaturisation. L'appareil embarquerait une puce dérivée de la série « S » que l'on trouve actuellement dans l'Apple Watch. Ce choix technique trahit la priorité absolue des ingénieurs : l'efficacité énergétique. Il s'agit de tenir une journée entière sans transformer la monture en radiateur.
La production des SoC des lunettes connectées d’Apple lancée fin 2027
Cette puce aura la lourde tâche de piloter une série de caméras et de capteurs. Contrairement aux premières Google Glass qui se contentaient de filmer, les caméras des lunettes d'Apple serviront de « yeux » à l'intelligence artificielle. Grâce à la Visual Intelligence — déjà aperçue sur les iPhone 16 —, l'utilisateur pourra interroger Siri sur ce qu'il regarde, obtenir des traductions à la volée ou identifier des objets, le tout sans sortir son téléphone.
Le cordon ombilical de l'iPhone
Fidèle à sa stratégie d'écosystème, Apple ne concevrait pas ces lunettes comme un produit autonome. À l'instar des premières générations d'Apple Watch, elles fonctionneraient en symbiose avec l'iPhone, qui se chargerait d'une partie du traitement des données les plus lourdes. Ce délestage permet d'alléger la monture tout en conservant une puissance de calcul confortable.
L'aspect santé, cher à Tim Cook, ne serait pas oublié. Bloomberg rapporte qu'Apple explore l'intégration de capteurs biométriques capables de suivre certains indicateurs de santé, bien que les détails restent encore flous à ce stade. Enfin, parce qu'il s'agit d'un objet que l'on porte sur le visage, la technologie devra s'effacer derrière le style. Apple prévoirait de lancer plusieurs designs et montures différents dès le premier jour, traitant ce périphérique autant comme un accessoire de mode que comme un gadget technologique.
Si le calendrier se confirme, Apple arrivera bien après la bataille, laissant à Meta le soin d'essuyer les plâtres et d'éduquer le marché. Une stratégie du « not first, but best » (pas le premier, mais le meilleur) qui a souvent réussi à la firme, à condition que l'intégration logicielle soit, comme promis, irréprochable.
Free tease l’arrivée de l’Apple Watch : c'est imminent !

C’est une question de jours (voire peut-être d’heures) avant que Free ne prenne en charge (enfin) l’Apple Watch. Sur son compte X, l’opérateur a publié cette photo accompagnée de cette courte phrase :
Si je regarde mon tel c'est pas pour savoir l'heure...
Sur la table, un iPhone est mis en évidence. Rappelons que la prise en charge de l’Apple Watch ne se limite pas à « offrir » la connexion cellulaire à celle-ci. Apple impose à ses partenaires de proposer sa gamme de toquantes en boutique. Selon nos sources, l'arrivée de la montre dans les rayons de l'opérateur n'est plus qu'une question de jours.
Free Mobile sur le point de gérer l’Apple Watch
À vrai dire, il ne demeure plus qu’une seule inconnue dans cette affaire. Free va-t-il s’attaquer à la question du prix ? Ses concurrents facturent cette option 5 € par mois. C’est peu et beaucoup à la fois. Il y a sans doute de quoi malmener la concurrence, comme aime le faire Xavier Niel. Autre question en suspens : aura-t-on droit à de la 4G comme chez SFR ou à la 5G comme chez Orange ? L’avenir nous le dira.
Quoi qu’il en soit, Xavier Niel semble bien parti pour respecter l'une de ses promesses. En janvier dernier, il espérait gérer l’Apple Watch « cette année ». Il est encore dans les temps !
Free Mobile : l’eSIM sur Apple Watch « espérée » en 2025 par Xavier Niel
A18 ou A19 pour le prochain iPad entrée de gamme ?
Dans le portrait-robot du prochain iPad d'entrée de gamme que nous dressions en début de semaine, nous évoquions le fait qu’il devrait très probablement inclure une puce A18, suffisante pour lui ouvrir les portes d’Apple Intelligence. Des documents internes obtenus par Macworld laissent pourtant entendre que la prochaine tablette d’Apple pourrait faire un saut de puce bien plus important et embarquer un SoC A19. Ce qui serait pour le moins surprenant, sachant que ce moteur vient tout juste de faire ses débuts il y a quelques mois dans l’iPhone 17.
Qu’attendre de l’iPad 2026 ?
Une rupture avec l'historique de la gamme
Si cette information venait à se confirmer, elle marquerait une rupture nette avec la stratégie habituelle de Cupertino pour sa tablette la plus abordable. Pour mémoire, l'iPad d'entrée de gamme n'a pas bénéficié d'une puce de "l'année en cours" depuis l'iPad 4. À l'époque, Apple concevait encore des puces "AX" spécifiques pour ses ardoises.
Depuis l'iPad 5 en 2017 (équipé de l'A9 de l'iPhone 6s), Apple a systématiquement recyclé des puces accusant une ou deux générations de retard sur les iPhone les plus récents. L'actuel iPad 11, sorti en mars dernier, tourne sur une A16, une puce étrennée par l'iPhone 14 Pro en 2022. Voir débarquer une puce A19 — le nec plus ultra actuel — dans un appareil à vocation économique semble donc économiquement peu viable pour Apple. Une puce A18, comme le suggéraient de précédentes trouvailles dans le code d'iOS, semblerait bien plus logique pour un lancement en 2026.
La valse des identifiants
L'autre point qui incite à la prudence concerne les identifiants de modèles cités par le rapport. Macworld mentionne les noms de code J581 et J588 pour cette 12e génération d'iPad. Or, Apple a pour habitude d'utiliser des identifiants séquentiels (comme J581 et J582 pour les versions Wi-Fi et Cellulaire).
De précédentes fuites associaient l'A19 à un nouvel iPad mini (noms de code J510 et J511). Il n'est pas impossible qu'il y ait ici une confusion entre les gammes ou qu'Apple ait revu sa copie à la dernière minute, mais la prudence reste de mise.
iPad Air M4 et puce N1 : la suite logique
Si la partie concernant le processeur de l'iPad 12 laisse sceptique, le reste du rapport s'inscrit davantage dans la logique du calendrier d'Apple. Le site évoque en effet l'arrivée d'une puce M4 dans le prochain iPad Air. L'iPad Pro étant passé à la vitesse supérieure avec la M5, il est naturel que l'Air récupère la génération précédente, maintenant ainsi la hiérarchie des performances.
Enfin, l'ensemble de la gamme 2026 devrait adopter la puce réseau maison N1. Déjà présente dans les iPhone de cette année, cette puce combinant Wi-Fi et Bluetooth offre une meilleure efficacité énergétique que les solutions tierces utilisées jusqu'alors.
iPhone 17 : la puce Apple N1 propulse les performances Wi-Fi
Il faudra sans doute attendre le début de l'année 2026 pour démêler le vrai du faux et voir si Apple a réellement décidé de transformer son iPad premier prix en bête de course. Par ailleurs, Macworld, peu habitué à l’exercice des rumeurs, s'est également penché hier sur le cas du prochain Studio Display. Au programme : 120 Hz, HDR et une puce A19. A suivre…
120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display
A18 ou A19 pour le prochain iPad entrée de gamme ?
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Si cette information venait à se confirmer, elle marquerait une rupture nette avec la stratégie habituelle de Cupertino pour sa tablette la plus abordable. Pour mémoire, l'iPad d'entrée de gamme n'a pas bénéficié d'une puce de "l'année en cours" depuis l'iPad 4. À l'époque, Apple concevait encore des puces "AX" spécifiques pour ses ardoises.
Depuis l'iPad 5 en 2017 (équipé de l'A9 de l'iPhone 6s), Apple a systématiquement recyclé des puces accusant une ou deux générations de retard sur les iPhone les plus récents. L'actuel iPad 11, sorti en mars dernier, tourne sur une A16, une puce étrennée par l'iPhone 14 Pro en 2022. Voir débarquer une puce A19 — le nec plus ultra actuel — dans un appareil à vocation économique semble donc économiquement peu viable pour Apple. Une puce A18, comme le suggéraient de précédentes trouvailles dans le code d'iOS, semblerait bien plus logique pour un lancement en 2026.
La valse des identifiants
L'autre point qui incite à la prudence concerne les identifiants de modèles cités par le rapport. Macworld mentionne les noms de code J581 et J588 pour cette 12e génération d'iPad. Or, Apple a pour habitude d'utiliser des identifiants séquentiels (comme J581 et J582 pour les versions Wi-Fi et Cellulaire).
De précédentes fuites associaient l'A19 à un nouvel iPad mini (noms de code J510 et J511). Il n'est pas impossible qu'il y ait ici une confusion entre les gammes ou qu'Apple ait revu sa copie à la dernière minute, mais la prudence reste de mise.
iPad Air M4 et puce N1 : la suite logique
Si la partie concernant le processeur de l'iPad 12 laisse sceptique, le reste du rapport s'inscrit davantage dans la logique du calendrier d'Apple. Le site évoque en effet l'arrivée d'une puce M4 dans le prochain iPad Air. L'iPad Pro étant passé à la vitesse supérieure avec la M5, il est naturel que l'Air récupère la génération précédente, maintenant ainsi la hiérarchie des performances.
Enfin, l'ensemble de la gamme 2026 devrait adopter la puce réseau maison N1. Déjà présente dans les iPhone de cette année, cette puce combinant Wi-Fi et Bluetooth offre une meilleure efficacité énergétique que les solutions tierces utilisées jusqu'alors.
iPhone 17 : la puce Apple N1 propulse les performances Wi-Fi
Il faudra sans doute attendre le début de l'année 2026 pour démêler le vrai du faux et voir si Apple a réellement décidé de transformer son iPad premier prix en bête de course. Par ailleurs, Macworld, peu habitué à l’exercice des rumeurs, s'est également penché hier sur le cas du prochain Studio Display. Au programme : 120 Hz, HDR et une puce A19. A suivre…
120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display
Le détecteur de présence FP300 d’Aqara joue à cache-cache : de nouveau disponible, mais pour combien de temps ?
C'est un vrai jeu du chat et de la souris. Après l'iPhone 17 et l'iPhone 17 Pro Max qui étaient tous deux difficiles à trouver jusqu'à la mi-novembre, le FP300 d'Aqara est sans doute le produit high-tech qui se fait le plus désirer en cette fin d'année. Il y a deux jours à peine, le produit était de nouveau en stock, avant de retomber en rupture au bout de quelques heures seulement.
Une disponibilité en pointillé
Victime de son succès lors de son lancement le mois dernier, le FP300 avait rapidement disparu des rayons, laissant bon nombre de personnes sur leur faim. Bonne nouvelle pour les retardataires (et les plus réactifs) : ce détecteur de présence nouvelle génération fait une timide réapparition.
Si vous aviez raté le coche en novembre ou lors du réassort éclair d'il y a deux jours, c’est le moment ou jamais. Le produit est affiché à son prix public de 49,99 €.
Une petite révolution sur piles
Pourquoi un tel engouement pour un simple capteur ? Pour rappel, le FP300 est une petite révolution dans le monde de la domotique grand public. C'est le tout premier accessoire à combiner la précision d'un radar à ondes millimétriques avec une alimentation sur piles (pour une autonomie annoncée d'un an).
Contrairement aux détecteurs de mouvements classiques (PIR) qui finissent par éteindre la lumière si vous restez immobile devant votre TV ou en lisant un livre, le FP300 détecte votre présence statique (via la respiration notamment) et maintient l'éclairage actif tant que vous êtes réellement dans la pièce.
Son autre atout majeur, c'est sa compatibilité Matter via Thread. Il s'intègre nativement dans l'app Maison d'Apple sans nécessiter le hub du constructeur, pour peu que vous disposiez d'un routeur de bordure comme un HomePod ou une Apple TV 4K. Comme nous l'avions noté dans notre test le mois dernier, c'est une excellente solution pour ceux qui veulent une détection fine dans des endroits dépourvus de prises électriques, comme un couloir ou des toilettes.
Test du FP300 d’Aqara, le premier détecteur de présence sur pile compatible avec Matter
Vu la rapidité de la rupture de stock précédente, on ne saurait trop vous conseiller de ne pas traîner si ce produit vous intéresse pour compléter votre installation HomeKit. Amazon annonce désormais une livraison autour du 23 décembre.
Le détecteur de présence FP300 d’Aqara joue à cache-cache : de nouveau disponible, mais pour combien de temps ?
C'est un vrai jeu du chat et de la souris. Après l'iPhone 17 et l'iPhone 17 Pro Max qui étaient tous deux difficiles à trouver jusqu'à la mi-novembre, le FP300 d'Aqara est sans doute le produit high-tech qui se fait le plus désirer en cette fin d'année. Il y a deux jours à peine, le produit était de nouveau en stock, avant de retomber en rupture au bout de quelques heures seulement.
Une disponibilité en pointillé
Victime de son succès lors de son lancement le mois dernier, le FP300 avait rapidement disparu des rayons, laissant bon nombre de personnes sur leur faim. Bonne nouvelle pour les retardataires (et les plus réactifs) : ce détecteur de présence nouvelle génération fait une timide réapparition.
Si vous aviez raté le coche en novembre ou lors du réassort éclair d'il y a deux jours, c’est le moment ou jamais. Le produit est affiché à son prix public de 49,99 €.
Une petite révolution sur piles
Pourquoi un tel engouement pour un simple capteur ? Pour rappel, le FP300 est une petite révolution dans le monde de la domotique grand public. C'est le tout premier accessoire à combiner la précision d'un radar à ondes millimétriques avec une alimentation sur piles (pour une autonomie annoncée d'un an).
Contrairement aux détecteurs de mouvements classiques (PIR) qui finissent par éteindre la lumière si vous restez immobile devant votre TV ou en lisant un livre, le FP300 détecte votre présence statique (via la respiration notamment) et maintient l'éclairage actif tant que vous êtes réellement dans la pièce.
Son autre atout majeur, c'est sa compatibilité Matter via Thread. Il s'intègre nativement dans l'app Maison d'Apple sans nécessiter le hub du constructeur, pour peu que vous disposiez d'un routeur de bordure comme un HomePod ou une Apple TV 4K. Comme nous l'avions noté dans notre test le mois dernier, c'est une excellente solution pour ceux qui veulent une détection fine dans des endroits dépourvus de prises électriques, comme un couloir ou des toilettes.
Test du FP300 d’Aqara, le premier détecteur de présence sur pile compatible avec Matter
Vu la rapidité de la rupture de stock précédente, on ne saurait trop vous conseiller de ne pas traîner si ce produit vous intéresse pour compléter votre installation HomeKit. Amazon annonce désormais une livraison autour du 23 décembre.
Promos : iPhone 17 à 850 €, iPad Pro M5 à 849 € et Apple Watch Ultra 3 à 650 €
Si vous cherchez à glisser un produit Apple sous le sapin, rassurez-vous : il n’est pas trop tard. Il est même possible de le faire sans exploser son budget. iPhone 17, iPad Pro M5, Apple Watch Ultra 3… si l’un de ces modèles est sur votre liste (ou celle de vos proches), vous allez vouloir lire ce qui suit !
L’iPhone 17 à 850 €
Pour beaucoup, l’iPhone 17 est tout simplement le meilleur iPhone de l’année. Et difficile de leur donner tort : ce modèle coche pratiquement toutes les cases. Le temps où il ne servait que de tremplin vers les versions Pro est bel et bien révolu.
En 2025, on peut s’offrir un iPhone 17 sans la moindre frustration. Les atouts des modèles Pro, eux, ont un coût — et pas seulement sur la facture. L’iPhone 17 Pro, aussi séduisant soit-il, est sensiblement plus lourd en main. Une différence qui se remarque immédiatement lorsqu’on passe de l’un à l’autre.
Un iPhone 17 reste un iPhone. Autrement dit, ça coûte cher : 969 € en Apple Store. C’est pour cela que l’on vous recommande de jeter un œil à cette offre de Rakuten. On peut l’obtenir à 849,99 €, en saisissant le code RAKUTEN10.
Précisons que le modèle en vente est un modèle européen. En clair, c’est exactement le même que celui vendu en Apple Store : aucune incompatibilité à prévoir, que ce soit pour les réseaux cellulaires ou la garantie. Et avec l’économie réalisée, vous avez de quoi financer quelques accessoires… ou même un contrat AppleCare.
L’iPad Pro M5 à 849 €
La chute est vertigineuse. L’iPad Pro M5 11” est vendu 1 119 € en Apple Store. Un tarif très… Pro. Mais pas chez Rakuten : avec le code RAKUTEN50, vous pouvez obtenir la nouvelle tablette d’Apple pour 849 € !
À ce prix-là, pas de miracle : il s’agit d’un modèle d’import. Dans le cas d’un iPad, cela ne change pas grand-chose au quotidien. La seule vraie recommandation, c’est de souscrire à un contrat AppleCare, histoire de sécuriser l’achat. Et avec l’économie réalisée, il vous restera de quoi financer quelques accessoires, dont un Apple Pencil.
Test des iPad Pro M5 : toujours plus forts, pas vraiment plus pros
Dans notre test complet, nous avons attribué à cette tablette la note de 4 sur 5. On saluait l’arrivée de la recharge rapide et une finition toujours aussi impressionnante.
L’Apple Watch Ultra 3 à 650 €
Pour finir cette sélection, sachez qu’il est également possible de mettre la main sur l’Apple Watch Ultra 3 pour 650 € seulement. Là encore, il suffit de saisir le code RAKUTEN50.
Il s’agit du modèle en titane noir avec le bracelet Océan noir. Même si ce bracelet ne vous emballe pas, l’économie réalisée — près de 200 € — laisse largement de quoi en choisir un autre.
Ce modèle est une référence américaine, ce qui entraîne deux petites subtilités. Englué dans une guerre de brevets aux États-Unis, Apple ne peut pas afficher directement la mesure de l’oxygène sanguin sur les modèles US : il faut passer par l’iPhone tant que le différend avec Masimo n’est pas réglé.
Deuxième point : il n’est pas du tout certain que l’Apple Watch Ultra 3 US puisse se connecter au réseau cellulaire européen. Les bandes ne sont pas compatibles. Cela a pu changer avec la prise en charge de la 5G, mais dans le doute mieux vaut s’abstenir si vous comptez l’utiliser avec un forfait cellulaire.
Promos : iPhone 17 à 850 €, iPad Pro M5 à 849 € et Apple Watch Ultra 3 à 650 €
Si vous cherchez à glisser un produit Apple sous le sapin, rassurez-vous : il n’est pas trop tard. Il est même possible de le faire sans exploser son budget. iPhone 17, iPad Pro M5, Apple Watch Ultra 3… si l’un de ces modèles est sur votre liste (ou celle de vos proches), vous allez vouloir lire ce qui suit !
L’iPhone 17 à 850 €
Pour beaucoup, l’iPhone 17 est tout simplement le meilleur iPhone de l’année. Et difficile de leur donner tort : ce modèle coche pratiquement toutes les cases. Le temps où il ne servait que de tremplin vers les versions Pro est bel et bien révolu.
En 2025, on peut s’offrir un iPhone 17 sans la moindre frustration. Les atouts des modèles Pro, eux, ont un coût — et pas seulement sur la facture. L’iPhone 17 Pro, aussi séduisant soit-il, est sensiblement plus lourd en main. Une différence qui se remarque immédiatement lorsqu’on passe de l’un à l’autre.
Un iPhone 17 reste un iPhone. Autrement dit, ça coûte cher : 969 € en Apple Store. C’est pour cela que l’on vous recommande de jeter un œil à cette offre de Rakuten. On peut l’obtenir à 849,99 €, en saisissant le code RAKUTEN10.
Précisons que le modèle en vente est un modèle européen. En clair, c’est exactement le même que celui vendu en Apple Store : aucune incompatibilité à prévoir, que ce soit pour les réseaux cellulaires ou la garantie. Et avec l’économie réalisée, vous avez de quoi financer quelques accessoires… ou même un contrat AppleCare.
L’iPad Pro M5 à 849 €
La chute est vertigineuse. L’iPad Pro M5 11” est vendu 1 119 € en Apple Store. Un tarif très… Pro. Mais pas chez Rakuten : avec le code RAKUTEN50, vous pouvez obtenir la nouvelle tablette d’Apple pour 849 € !
À ce prix-là, pas de miracle : il s’agit d’un modèle d’import. Dans le cas d’un iPad, cela ne change pas grand-chose au quotidien. La seule vraie recommandation, c’est de souscrire à un contrat AppleCare, histoire de sécuriser l’achat. Et avec l’économie réalisée, il vous restera de quoi financer quelques accessoires, dont un Apple Pencil.
Test des iPad Pro M5 : toujours plus forts, pas vraiment plus pros
Dans notre test complet, nous avons attribué à cette tablette la note de 4 sur 5. On saluait l’arrivée de la recharge rapide et une finition toujours aussi impressionnante.
L’Apple Watch Ultra 3 à 650 €
Pour finir cette sélection, sachez qu’il est également possible de mettre la main sur l’Apple Watch Ultra 3 pour 650 € seulement. Là encore, il suffit de saisir le code RAKUTEN50.
Il s’agit du modèle en titane noir avec le bracelet Océan noir. Même si ce bracelet ne vous emballe pas, l’économie réalisée — près de 200 € — laisse largement de quoi en choisir un autre.
Ce modèle est une référence américaine, ce qui entraîne deux petites subtilités. Englué dans une guerre de brevets aux États-Unis, Apple ne peut pas afficher directement la mesure de l’oxygène sanguin sur les modèles US : il faut passer par l’iPhone tant que le différend avec Masimo n’est pas réglé.
Deuxième point : il n’est pas du tout certain que l’Apple Watch Ultra 3 US puisse se connecter au réseau cellulaire européen. Les bandes ne sont pas compatibles. Cela a pu changer avec la prise en charge de la 5G, mais dans le doute mieux vaut s’abstenir si vous comptez l’utiliser avec un forfait cellulaire.
Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple
Alors qu’OpenAI semblait engagée dans une lutte à mort avec Google pour la suprématie des modèles de langage, Sam Altman change de perspective. Pour le patron de ChatGPT, la véritable bataille de demain ne se jouera pas dans le nuage, mais sur le matériel, face à Apple.
Si Tim Cook avait besoin d’un peu de réconfort en cette période trouble, il a pu le trouver dans les récentes déclarations de Sam Altman. Souvent malmené sur le terrain de l’IA générative et parfois privé de rond de serviette dans certains sommets stratégiques, Apple se voit soudainement remise au centre du jeu par le patron d’OpenAI lui-même.
Le matériel, prochain champ de bataille
Lors d'un déjeuner avec la presse à New York, Sam Altman a jeté un pavé dans la mare en affirmant que la concurrence future ne se gagnerait pas uniquement par le logiciel, mais par les appareils. Selon lui, les smartphones actuels ne sont tout simplement pas conçus pour accueillir les véritables compagnons IA de demain.
C'est une vision stratégique qui place Apple, et non Google, dans le viseur direct d'OpenAI. L'idée est simple : pour imposer une IA omniprésente, il faut contrôler l'interface finale avec l'utilisateur. Altman semble convaincu que le form factor actuel du smartphone est une limitation pour l'intelligence artificielle.
L'ombre de Jony Ive et la fuite des cerveaux à Cupertino
Mais le réconfort a dû rapidement prendre fin pour Tim Cook. Car pour arriver à ses fins, OpenAI mène une campagne de débauchage agressive du côté de l'Apple Park. Selon Bloomberg, une quarantaine d'ingénieurs matériels ont quitté Cupertino en un seul mois pour rejoindre les rangs d'OpenAI, notamment des spécialistes de l'audio, des wearables et de la robotique.
Jony Ive et OpenAI débaucheraient sans trop de difficultés des spécialistes chez Apple
Mais le coup le plus symbolique reste l'alliance avec Jony Ive. L'ancien designer vedette d'Apple, père de l'iPhone et de l'Apple Watch, travaille désormais main dans la main avec Altman. Ive, qui a parfois exprimé des regrets sur les "conséquences involontaires" de l'ère du smartphone (comprenez : l'addiction aux écrans), voit ici l'occasion de réinventer l'interaction homme-machine.
Avec l'aide d'anciens d'Apple comme Tang Tan et Evans Hankey, cette nouvelle division matérielle — fruit d'une fusion à 6,5 milliards de dollars en mai dernier — planche sur une "famille d'appareils". L'objectif ? Lancer d'ici fin 2026 un produit capable de rendre caduc le paradigme de l'iPhone. Pour Apple, dont les équipes IA patinent au point de devoir utiliser Gemini pour le prochain Siri, la menace est double : une concurrence sur le matériel et une hémorragie de talents.
Alerte rouge et guerre des clans
Si les rêves de matériel occupent l'esprit de Sam Altman, la réalité immédiate est bien plus terre à terre : Google est revenu dans la course, et vite. Depuis que son générateur d'images « Nano Banana » est devenu viral en août, Mountain View ne relâche plus la pression. Le mois dernier, son nouveau modèle Gemini 3 a même doublé OpenAI sur le très scruté classement LM Arena, véritable juge de paix des performances techniques. Pire encore pour les finances, le rival Anthropic a discrètement pris l'avantage auprès des clients entreprises.
OpenAI, un géant aux pieds d’argile face au retour en force de Google
Mais cette « alerte rouge » décrétée par Altman cache une autre réalité, moins reluisante : une guerre interne qui couve depuis des années.
Selon des sources proches du dossier, deux philosophies s'affrontent désormais ouvertement au sein de la start-up. D'un côté, le camp « produit », mené par la directrice financière Sarah Friar et surtout par Fidji Simo. L'ancienne cadre de Meta, désormais à la tête des produits chez OpenAI, milite pour une approche pragmatique : allouer plus de ressources à ChatGPT, améliorer sa vitesse et sa fiabilité, et s'assurer que les utilisateurs comprennent réellement les fonctions existantes avant d'en empiler de nouvelles.
De l'autre, les chercheurs historiques, pour qui l'amélioration de l'expérience utilisateur de base est secondaire face à la quête du Graal : l'intelligence artificielle générale.
Le pragmatisme à marche forcée
Pour l'heure, c'est le camp du produit qui semble avoir gagné l'oreille du patron. OpenAI s'apprête à sortir cette semaine le modèle 5.2, conçu pour redonner de l'élan à l'entreprise, notamment auprès des développeurs et des entreprises. Un lancement qui se fait aux forceps : la direction a ignoré les demandes de certains employés qui réclamaient plus de temps pour peaufiner la copie.
En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine
Le plan de bataille ne s'arrête pas là. Altman a promis un autre modèle pour janvier, doté de meilleures capacités d'image, d'une rapidité accrue et d'une « meilleure personnalité ». C'est seulement après ces lancements que l’alerte rouge pourrait être levée.
Officiellement, une porte-parole assure qu'il n'y a aucun conflit et que l'adoption massive des outils actuels est la voie royale vers l'intelligence artificielle générale. Mais la croissance fulgurante de ChatGPT, qui permettait jusqu'ici de cacher la poussière sous le tapis, ne suffit plus à masquer ces divergences. L'ironie de l'histoire ne manquera pas de faire sourire chez Google : fin 2022, c'était Sundar Pichai qui avait émis une alerte rouge pour rattraper OpenAI. Trois ans plus tard, les rôles sont inversés.
Google Maps se met enfin à niveau : Plans et Waze faisaient déjà ça en 2016
Google Maps est à la fois un service fascinant d’une grande utilité au quotidien et, par certains aspects, totalement ringard. En mode conduite, mettez-le côte à côte avec Apple Plans et vous avez l’impression de passer d’une PlayStation 5 à une Super NES1.
Lorsque j'avais fait part de ce décalage à une ancienne responsable de Google, on m’avait répondu que c’était normal : Apple s’attache énormément aux questions d’interface alors que Google Maps mise sur l’efficacité avant tout. Soit.
Mais il y a des fonctionnalités dont l'absence est telle qu'on se demande ce qui a pu se passer dans la tête des ingénieurs de Mountain View pour qu’elles n’arrivent que maintenant. En 2025, Google Maps enregistre enfin automatiquement la position de votre véhicule lorsque vous vous garez. Plans sait faire cela depuis près de 10 ans et iOS 10… Et à l’époque, Waze le faisait déjà depuis un moment
iOS 10 : Plans retrouve votre place de parking
Mieux vaut tard que jamais
C'est Rio Akasaka2, chef de produit chez Google, qui a vendu la mèche : l'application sur iOS est désormais capable de détecter automatiquement que vous avez garé votre véhicule pour en sauvegarder la position. Fini le temps où il fallait penser à ouvrir l'application et appuyer manuellement sur un bouton (quand on y pensait).
Concrètement, la magie opère lorsque vous connectez votre iPhone à votre voiture via Bluetooth, USB ou CarPlay. Dès que la connexion est coupée, Google Maps comprend que le trajet est terminé et place un repère sur la carte. Google précise dans une fiche d'assistance que cette position est conservée pendant 48 heures, à moins que vous ne la supprimiez manuellement ou que vous ne repreniez le volant.
Le comble : Android encore à la traîne
L'ironie de la situation ne vous échappera pas : cette automatisation bienvenue n'est pour l'instant déployée... que sur iOS. Si vous possédez un smartphone Android, la sauvegarde de la position de stationnement reste, à ce jour, une action manuelle. Google n'a donné aucune indication sur l'arrivée de cet automatisme sur son propre système d'exploitation mobile, mais on imagine que cela ne devrait pas trop tarder.
Une icône à votre image
Pour faire passer la pilule de ce retard à l'allumage, Google soigne tout de même les détails cosmétiques. Jusqu'à présent, le lieu de stationnement était indiqué par une icône « P » générique et tristoune. Désormais, si vous avez configuré une icône de véhicule personnalisée pour la navigation (cette option ajoutée en 2020 qui permet de remplacer la flèche bleue par une voiture rouge, jaune ou un SUV), celle-ci sera utilisée pour marquer l'emplacement de votre stationnement. Mais bon, il faut bien trouver une petite fonctionnalité pour expliquer ce léger retard à l’allumage !
Pebble lance l’Index 01, la bague qui note ce que votre cerveau oublie
Eric Migicovsky est décidément un hacker de génie. On adorerait le voir rejoindre une grande boite de la tech — Apple, pourquoi pas ? — mais il ne supporterait sans doute pas les carcans qu’elles imposent. Après avoir tenté de s’attaquer à la forteresse iMessage avec Beeper, le voilà revenu à ses premières amours. Il s’attache désormais à faire renaitre l'esprit de Pebble, l'ancêtre de la smartwatch moderne.
Hier, il avait donné rendez-vous à la presse pour présenter un nouvel objet. Surprise : ce n’était pas une montre, mais une bague. Ne vous méprenez pas, elle ne cherche pas à monitorer en continu votre santé comme une Oura Ring. Il s’agit « juste » d’un pense-bête.
Un dictaphone au bout du doigt
Baptisée Pebble Index 01, cette bague connectée joue la carte de la simplicité biblique. Oubliez les capteurs cardiaques ou le suivi du sommeil ; l'Index 01 est équipée d'un microphone et d'un unique bouton. Son but ? Enregistrer des informations à la volée, sans avoir à sortir son smartphone de la poche.
L'approche est radicale : la bague ne nécessite ni connexion internet permanente ni abonnement mensuel (une rareté par les temps qui courent). Elle ne commence à écouter que lorsque vous pressez le bouton. Une fois l'enregistrement terminé, le fichier est envoyé vers le smartphone compagnon (iPhone ou Android) pour y être traité.
C’est là que la magie du logiciel opère. L'audio est transcrit et traité par des modèles d'IA open source, le tout en local sur le téléphone. Pas de cloud, pas de données qui partent sur des serveurs inconnus. Le système peut ensuite transformer votre mémo vocal en note, l'ajouter à votre calendrier ou créer un rappel.
Plus qu'un simple mémo
Si la fonction première reste la prise de notes vocale, Migicovsky n'a pas pu s'empêcher d'ajouter quelques fonctionnalités pour les bidouilleurs. L'Index 01 est personnalisable : un clic simple ou un double clic peuvent déclencher des actions spécifiques.
La bague se transforme alors en télécommande universelle pour changer de morceau de musique, déclencher l'appareil photo à distance ou activer des scénarios domotiques. C’est le genre de petite fonctionnalité qui rend l'objet indispensable ou totalement gadget, selon votre usage. Eric Migicovsky ne renie pas son intérêt pour l’open-source. Les plus bricoleurs n’auront aucune difficulté à bricoler la partie logicielle et à proposer des fonctionnalités supplémentaires.
Le pari osé de la batterie « jetable »
Côté matériel, l'Index 01 se présente dans une robe en acier inoxydable, disponible en trois coloris (argent, or et noir) et en tailles allant de 6 à 13. Elle est résistante à l'eau, ce qui est la moindre des choses pour un objet porté au doigt.
Mais c'est sur la gestion de l'énergie que Pebble prend tout le monde à contre-pied. La bague ne se recharge pas. Vous avez bien lu. Pas de port USB-C, pas de chargeur propriétaire. Pebble annonce une autonomie de 12 à 15 heures d'enregistrement cumulé. Selon le fabricant, cela correspond à une utilisation normale (10 à 20 mémos de quelques secondes par jour) sur une durée de vie assez longue pour justifier l'achat.
Cependant, une fois la batterie à plat, c'est la fin du voyage. La bague est conçue pour être recyclée, sans possibilité de remplacer la pile. Un choix écologique discutable et un pari économique risqué qui ne manquera pas de faire grincer des dents, même si cela libère l'utilisateur de la « charge mentale » du rechargement quotidien. Toutefois, dans sa vidéo, Eric Migicovsky a assuré que la batterie couvrirait largement la durée de vie du produit. Autre défaut sur le papier : elle devrait rester au vestiaire si vous allez à la piscine.
Prix et disponibilité
La Pebble Index 01 est proposée en précommande dès aujourd'hui sur le site de Pebble au prix de 75 $ (environ 70 € hors taxes). Les premières livraisons sont attendues pour mars 2026.
Attention aux retardataires : passé cette période de lancement, le prix grimpera à 99 $. Reste à voir si ce retour aux sources suffira à convaincre les nostalgiques de la marque, ou si l'Index 01 finira dans le tiroir aux curiosités tech, juste à côté du Rabbit r1.
Jeff Williams en route pour le conseil d’administration de Disney
Jeff Williams, qui est parti à la retraite il y a seulement quelques jours, est sur le point de trouver un petit boulot. L'ancien bras droit de Tim Cook a été officiellement nommé par le conseil d'administration de la Walt Disney Company pour devenir un nouveau directeur indépendant. Il ne lui reste plus qu'une formalité : être élu lors de l'assemblée annuelle des actionnaires prévue en 2026.
Pour ceux qui auraient déjà oublié son CV, Jeff Williams a été le directeur des opérations d'Apple de décembre 2015 jusqu'à son départ en novembre 2025. C'est lui qui tenait les manettes de la gigantesque chaîne d'approvisionnement mondiale et du service client. Mais son rôle allait bien au-delà de la logistique : il a piloté l'ingénierie et les initiatives de santé de l'Apple Watch, et avait même récupéré la direction de la célèbre équipe de design en 2023. Il aurait sans doute été candidat à la succession de Tim Cook, s’il avait été plus jeune.
Jeff Williams : le Tim Cook de Tim Cook
Jeff Williams, COO et n°2 d’Apple, quittera son poste à la fin du mois
Dans un communiqué, le jeune retraité s'est dit impatient de contribuer à la croissance de Disney, une entreprise dont il admire la capacité à « marier l'imagination et l'innovation ». Si son élection est confirmée, le conseil d'administration de Disney passera à 11 membres. Jeff Williams y côtoiera du beau monde, dont Bob Iger, Mary Barra (la patronne de General Motors) ou encore James Gorman (ancien président de Morgan Stanley).
Les passerelles entre Apple et Disney ont toujours été nombreuses, historiquement cimentées par Steve Jobs et Bob Iger. Certains analystes, un peu trop enthousiastes, voulaient même voir Apple acquérir Disney ces dernières années. Cela ne s'est jamais fait, mais l'affinité culturelle demeure. Après tout, l'Apple Watch a bien un cadran Mickey.
Bob Iger : il n'y aura pas de fusion entre Disney et Apple
Bon plan : les best-sellers du Black Friday sont de retour à prix cassés pour Noël
Vous avez raté le coche fin novembre ? Pas de panique. Alors que la dernière ligne droite pour les cadeaux de Noël est entamée, Amazon a décidé de remettre en ligne ses meilleures offres.
Nous avons surveillé les prix : après une remontée post-Black Friday, plusieurs références très populaires auprès de nos lecteurs sont de retour à leur prix plancher. C'est l'occasion idéale pour compléter votre écosystème Apple ou pour glisser un accessoire utile sous le sapin.
Voici une sélection des produits qui ont fait un carton plein le mois dernier et qui sont de nouveau en promotion.
Des supports d’iPhone à des prix très compétitifs
C’était l’une des vedettes de cette fin d’année : la norme Qi2, qui apporte enfin la vitesse de recharge du MagSafe tout en restant à des tarifs souvent plus raisonnables que les accessoires estampillés Apple.
Pour ceux qui cherchent une solution compacte et bien pensée pour le bureau, Ugreen aligne plusieurs produits Qi2 magnétiques particulièrement soignés. Parmi eux, le très pratique MagFlow 3 en 1 capable de recharger simultanément un iPhone, des AirPods et une Apple Watch. Il revient lui aussi à son meilleur prix : 89,99 €, soit 50 € de moins que le tarif public. Le ticket d’entrée peut sembler un peu élevé, mais Ugreen a la bonne idée d’inclure un adaptateur secteur dans la boîte - ce qui n’est plus si courant.
Si vous cherchez simplement un chargeur à induction pour votre iPhone, le MagFlow Qi2 15 W, proposé à 29,99 €, constitue une option très séduisante. Son support inclinable permet de garder un œil sur son iPhone en permanence, que ce soit pour jeter un coup d’œil aux notifications ou suivre une vidéo pendant la charge.
Enfin, si vous cherchez une batterie d’appoint vraiment efficace, Ugreen remet également en avant sa MagFlow Qi2 25 W, proposée à 59,99 €. Elle se distingue par son petit écran qui affiche en temps réel le niveau de charge, un détail toujours appréciable en mobilité.
La recharge MagSafe est rapide et fiable, mais ce n’est pas son seul atout : la batterie intègre aussi un câble USB-C rétractable pour recharger un appareil filaire, ainsi qu’un port USB-C supplémentaire, pratique pour alimenter par exemple une Apple Watch ou un accessoire en déplacement.
Si vous cherchez des stations de recharge pour vos voyages, vous avez l’embarras du choix entre :
- BoostCharge : la station de Recharge aimantée 2-en-1 Portable de Belkin à 99,99 € au lieu de 130 €
- Le Cube 3 en 1 d’Anker qui est une véritable référence. Prix : 79,99 € au lieu de 129,99 €.
- Le support de charge pliable Satechi 3-en-1 à 103 € au lieu de 120 €.
Des accessoires Localiser au meilleur prix
Satechi a récemment renouvelé sa gamme d'accessoires et la bonne surprise, c'est l'intégration fréquente du réseau "Localiser" (Find My) d'Apple. C'est le cas de leur carte que l’on glisse dans le portefeuille. Celle-ci est en promotion à 30 € au lieu de 35 €.
Fini le portefeuille égaré, tout comme les lunettes avec cet accessoire toujours de Satechi. Il est proposé à 38 € au lieu de 50 €.
Dans la catégorie "on n'y pense pas assez, mais c'est génial", notons aussi le cadenas SBS Track Lock, lui aussi compatible avec le réseau Apple Localiser, qui est proposé à 19,99 € au lieu de 29,99 €.
Le guide 2025 des accessoires Localiser : les meilleurs traqueurs pour tout retrouver
Pour finir, deux autres produits qui ont très bien marché pendant le Black Friday sont à nouveau disponible à leur meilleur prix : il s’agit du casque Soundcore Space One Pro à 129,99 €. Dans un tout autre registre, si vous avez besoin de rendre votre Mac mini M4 plus extensible, Satechi propose son boitier à 84 € au lieu de 130 €.
La Dynamic Island bientôt submergée ? Apple teste un Face ID sous l’écran pour l'iPhone 18 Pro
Il semble que le feuilleton des rumeurs autour de l’iPhone 18 Pro tournera cette fois autour de Face ID et de la Dynamic Island. Les capteurs resteront-ils à leur emplacement actuel ou s’apprêtent-ils à disparaître sous l’écran ? Quoi qu’il en soit, c’est manifestement l’une des grandes préoccupations du moment chez Apple.
Selon un leaker chinois au très mignon pseudonyme de « Smart Pikachu » et jugé fiable par MacRumors1, Apple testerait actuellement une version de Face ID entièrement dissimulée sous l’écran. Pour y parvenir, la firme expérimenterait une zone en « verre micro-transparent » intégrée au panneau, capable de laisser passer les signaux infrarouges du système TrueDepth sans les déformer.
Des technologies similaires existent déjà chez certains constructeurs Android, via des micro-perforations ou des motifs nano-structurés améliorant localement la transmission infrarouge. Mais le fait qu’Apple s’y attelle désormais sérieusement laisse penser que la solution a gagné en maturité et qu’elle n’est plus cantonnée aux prototypes en laboratoire.
La Dynamic Island : plus discrète, mais pas forcément condamnée
La grande question est évidemment de savoir si cette avancée signe la fin de la Dynamic Island. Sur ce point, les rumeurs s’opposent. The Information évoque un écran presque immaculé, avec un simple poinçon pour la caméra frontale. D’autres sources imaginent plutôt une Dynamic Island réduite, Face ID étant en partie déplacée sous la dalle.
Ross Young, souvent bien informé sur les questions d’affichage, privilégie lui aussi cette voie médiane : une Face ID invisible, mais une ouverture toujours nécessaire pour l’appareil photo. Mark Gurman abonde dans ce sens en évoquant une Dynamic Island « affinée ». Bref, il ne s’agirait pas d’une disparition, mais d’une transition progressive.
L'iPhone 18 Pro est toujours bien placé pour un Face ID sous l'écran
Le rapport venu de Chine s’inscrit clairement dans cette logique. Le verre micro-transparent permettrait de camoufler une partie des capteurs, tout en conservant une petite ouverture pour la caméra. Une façon d’avancer prudemment, sans bouleverser d’un coup le design de l’iPhone.
Les fournisseurs s’activent : un signe qui ne trompe pas
La nouveauté n’en serait plus seulement au stade des tests internes. Plusieurs sous-traitants auraient accéléré leurs préparatifs, ce qui, dans le langage de la chaîne d’approvisionnement, est rarement anodin. Dès que les fournisseurs s’agitent, c’est souvent que la technologie passe du concept à une possible industrialisation.
Il faut toutefois rester mesuré. Les sources asiatiques utilisent souvent le terme « série » de manière très large, sans distinguer clairement prototypes, préséries et modèles destinés aux versions commerciales. Tout indique néanmoins que les travaux actuels concernent exclusivement les modèles Pro, qui inaugurent traditionnellement les nouvelles architectures chez Apple.
Un lancement en 2026 dans un cycle repensé
Si le calendrier ne bouge pas, l’iPhone 18 Pro sera présenté en septembre 2026. Il pourrait partager la scène avec un autre produit très attendu : le premier iPhone pliant de Cupertino. Apple préparerait d’ailleurs une réorganisation de ses lancements, les iPhone 18 « classiques » et le nouvel iPhone 18e n’étant prévus qu’au début de 2027.
L’intégration de Face ID sous l’écran représenterait une évolution majeure du design de l’iPhone. Reste à voir si la technologie sera assez mûre et si Apple estimera que le jeu en vaut la chandelle dès 2026.
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L’avenir nous le dira… ↩︎
Electron fait des ravages sur Windows : Discord teste le redémarrage automatique en cas d’obésité mémoire
Parfois à tort, parfois à raison, les applications Electron n’ont pas bonne réputation sur Mac. On leur reproche une moins bonne intégration à la plate-forme ou bien une consommation de RAM excessive. Les premiers utilisateurs de macOS Tahoe 26 peuvent en témoigner.
Deux bugs touchaient les apps Electron sous macOS 26, le correctif va arriver progressivement
Ces soucis ne sont malheureusement pas l'apanage de la Pomme. Les problèmes de gestion de la mémoire font également des ravages sur Windows, comme le rapporte le site Windows Latest. Face à l'embonpoint de son application Electron, Discord expérimente une méthode pour le moins... radicale.
Aux grands maux les grands remèdes
Discord teste une fonctionnalité qui redémarre automatiquement le client de bureau lorsque l'utilisation de la mémoire devient critique. Si l'idée peut sembler brutale, elle part d'une bonne intention : l'éditeur est conscient des problèmes de performances et cherche activement à colmater les brèches.
Discord affirme que la consommation « normale » de son client tourne autour de 1 Go, mais admet qu'elle peut grimper jusqu'à 4 Go dans certains cas extrêmes. C'est précisément ce seuil qui déclenche la nouvelle mesure d'urgence.
Un redémarrage sous conditions
Rassurez-vous, l'application ne va pas se couper brutalement en pleine conversation vocale. Ce « kill switch » obéit à des règles strictes basées sur l'état de l'utilisateur. Pour que Discord redémarre de son propre chef, plusieurs conditions doivent être réunies :
- L’utilisation de la RAM doit dépasser les 4 Go;
- L’utilisateur doit être inactif (aucune entrée clavier ou souris) depuis au moins 30 minutes.
- Aucun appel audio ou vidéo ne doit être en cours.
- L'application doit être lancée depuis au moins une heure.
De plus, par sécurité, ce redémarrage forcé ne peut survenir qu'une seule fois toutes les 24 heures.
Un code pas toujours optimisé
Au-delà de cette mesure d'urgence, Discord a lancé en octobre 2025 une grande initiative pour réduire son empreinte mémoire. L'entreprise revendique déjà une réduction de 5 % de la consommation mémoire pour les utilisateurs les plus touchés et a corrigé des fuites de mémoire dans neuf scénarios différents.
Mais le framework Electron n'est pas le seul coupable : l'architecture même de l'application est parfois en cause. Des développeurs ont ainsi repéré que Discord utilisait des méthodes particulièrement lourdes pour récupérer des informations système basiques. Au lieu d'utiliser les API Windows natives, l'application invoquait PowerShell avec des commandes complexes, transformant une opération triviale en gouffre à ressources.
Si ces erreurs de jeunesse ont été corrigées, le problème reste systémique dans l'industrie. Discord n'est pas un cas isolé : Microsoft Teams (qui utilise WebView2, ne s’en sort pas beaucoup mieux) ou encore WhatsApp affichent les mêmes symptômes, ce dernier pouvant engloutir jusqu'à 1 Go de RAM en ne faisant... strictement rien en arrière-plan.
Destins croisés : WhatsApp s’améliore sur Mac et se dégrade sur Windows
Entre le confort de développement offert par les technologies web et l'optimisation des applications natives, les éditeurs semblent avoir définitivement choisi leur camp. À l’heure où le prix de la RAM s’envole, une prise de conscience semble pourtant nécessaire. Les éditeurs seront peut-être bientôt contraints de faire d’autres choix et de réapprendre à optimiser leurs applications.
Le prix de la mémoire vive en très forte hausse : +170 %, et ça ne risque pas de s'arrêter
Google et Samsung préparent deux paires de lunettes pour contrer Meta
Fini de rigoler pour Meta. Les gros poissons arrivent. Alors qu’Apple ferait le maximum pour sortir des lunettes connectées à l'horizon 2026, Google prépare également son grand retour sur ce marché, et ce dès l'année prochaine. La firme de Mountain View a présenté les grandes lignes de deux modèles réalisés en collaboration avec Samsung, mais aussi avec des marques de mode comme Gentle Monster et Warby Parker.
Pour Google, l'équation est simple : pour que l'IA et la réalité mixte deviennent véritablement utiles, le matériel doit s'intégrer sans heurts dans le quotidien. Partant du principe qu'un format unique ne peut convenir à tout le monde, le géant du web développe Android XR pour supporter une large gamme d'appareils, laissant à l'utilisateur le choix du bon équilibre entre poids, style et immersion.
Le retour des Google Glass
Le fruit de cette collaboration se déclinera en deux approches techniques bien distinctes. La première catégorie concerne des lunettes « IA » totalement dépourvues d'écran, conçues pour une assistance purement audio et visuelle via caméras. Équipées de haut-parleurs et de micros, elles permettront de discuter naturellement avec Gemini, de prendre des photos ou d'obtenir de l'aide, le tout sans interface graphique, une approche qui n'est pas sans rappeler le succès actuel des Ray-Ban Meta. La seconde catégorie, plus ambitieuse, intègrera un affichage directement dans le verre. Ces modèles afficheront des informations contextuelles en toute confidentialité, comme la navigation pas-à-pas ou des sous-titres de traduction en temps réel. Ces premiers appareils débarqueront sur le marché l'année prochaine.
Toutefois, le matériel et les plateformes ne sont qu'une « toile vierge », rappelle Google qui sait pertinemment que la bataille se jouera sur le logiciel. L'entreprise lance donc un appel du pied appuyé aux développeurs pour co-créer cette prochaine évolution de l'informatique. Pour transformer l'essai, Mountain View déploie dès maintenant la Developer Preview 3 du SDK Android XR. Cette mise à jour ouvre officiellement le développement pour ces lunettes, offrant les outils nécessaires pour concevoir des expériences augmentées. Il reste désormais à voir si la communauté des développeurs répondra présente pour peupler ce nouvel écosystème.
Avec Android XR, Google veut se (re)lancer sur le marché des lunettes connectées
Aqara : le détecteur de présence FP300 à nouveau en rupture de stock
Mise à jour le 08 décembre 2025 à 21h04
C’est fini, le FP300 n’est de nouveau plus disponible sur Amazon. Si vous avez eu la chance de commander dans l’intervalle, bien joué ! Sinon, il faudra attendre la prochaine vague de produits en stock, nous tâcherons de vous tenir au courant dès que possible. Chez Domadoo, on promet un retour des stocks le 19 décembre, ce sera peut-être similaire chez Amazon et il ne faudra alors vraiment pas trainer si vous pensiez placer le détecteur de présence sous le sapin.
Article original
Victime de son succès lors de son lancement le mois dernier, le FP300 d’Aqara avait rapidement disparu des rayons. Bonne nouvelle pour les retardataires : ce détecteur de présence nouvelle génération est de nouveau disponible à la vente.
Si vous aviez raté le coche en novembre, c’est le moment ou jamais. Le produit est affiché à son prix public de 49,99 €. Notez toutefois que la demande semble toujours aussi forte ou les approvisionnements limités, car Amazon annonce pour l'instant une livraison autour du 17 décembre.
Test du FP300 d’Aqara, le premier détecteur de présence sur pile compatible avec Matter
Pour rappel, le FP300 est une petite révolution dans le monde de la domotique grand public. C'est le premier accessoire à combiner la précision d'un radar à ondes millimétriques avec une alimentation sur piles (autonomie annoncée d'un an). Contrairement aux détecteurs de mouvements classiques qui finissent par éteindre la lumière si vous restez immobile devant votre TV ou un livre, le FP300 détecte votre présence statique et maintient l'éclairage actif tant que vous êtes dans la pièce.
Son autre atout majeur, c'est sa compatibilité Matter via Thread. Il s'intègre nativement dans l'app Maison d'Apple (et les autres écosystèmes) sans nécessiter le hub du constructeur, pour peu que vous ayez un routeur de bordure comme un HomePod ou une Apple TV 4K.
Comme nous l'avions noté dans notre test le mois dernier, c'est une excellente solution pour ceux qui veulent une détection fine dans des endroits dépourvus de prises électriques. Vu la rapidité de la rupture de stock précédente, on ne saurait trop vous conseiller de ne pas traîner si ce produit vous intéresse.
Multiview, caméras embarquées : la nouvelle F1 façon Apple TV se dévoile
Apple dévoile les premières images de son intégration de la Formule 1 dans l’app TV. Dès mars, les abonnés américains pourront suivre l’intégralité de la saison… sans payer un centime de plus. Cupertino promet même des fonctionnalités premium jusque-là réservées dans de nombreux pays à F1 TV.
La saison 2025 de Formule 1 a refermé ses portes hier. À compter du 6 mars, elle sera diffusée aux États-Unis via Apple TV1. À vrai dire, les choses commenceront plus tôt, avec les essais de pré-saison qui débuteront un mois auparavant.
Quoi qu’il en soit, Apple a profité de ce dernier Grand Prix pour dévoiler une nouvelle publicité sur les réseaux sociaux, offrant un premier aperçu de l'intégration de la chaîne F1 au sein de l’app TV.
The next chapter of Formula 1 in the US starts March 7. Watch every 2026 Grand Prix, only on Apple TV. pic.twitter.com/qCruMOWoqa
— Apple TV (@AppleTV) December 7, 2025
Une offre F1 complète… sans surcoût
Apple a décidé de frapper fort avec son offre : l’intégralité des contenus (essais libres, qualifications, sprints et Grands Prix) sera accessible sans surcoût pour les abonnés au service d’Apple.
Les caméras embarquées et le Multiview au rendez-vous
Les captures d’écran fraîchement publiées confirment également la présence des caméras embarquées, avec la prise en charge du Multiview, permettant de suivre plusieurs perspectives simultanément.
Une fonctionnalité qui, sauf surprise matérielle, sera disponible sur les boîtiers Apple TV, l’iPad et l’Apple Vision Pro. Aux États-Unis, l’accès à ces caméras relevait jusque-là d’un abonnement séparé à F1 TV : Apple l’intègre désormais sans surcoût, dans le cadre des « améliorations produit » promises par Cupertino. D’autres détails de production devraient être présentés dans les mois à venir.
Les puristes pourront toujours passer par F1 TV
Toutefois, les puristes ne seront pas limités par l’interface d’Apple. Il sera possible d’utiliser ses identifiants Apple TV pour se connecter directement au site ou aux applications F1 TV, et ainsi accéder au sport exactement comme le faisaient les anciens abonnés. Sauf qu’au lieu de payer un abonnement dédié, c’est désormais un avantage inclus sans frais supplémentaires dans l’offre d’Apple.
Apple va faire la promotion de marques concurrentes
Il y a un détail assez cocasse dans cette histoire : Apple va se retrouver à mettre en avant, via son service, des marques concurrentes. McLaren, la grande écurie gagnante de l’année, est sponsorisée par Google et Dell. Pour célébrer le titre de Lando Norris, le patron de l’écurie, Zak Brown, a dégainé son Google Pixel pour faire un selfie. La scène a fait le tour du monde…
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Le tout sans DRS et avec une toute nouvelle réglementation ! ↩︎
Liquid Glass : pourquoi les apps ne suivent pas ?
Le Liquid Glass d’Apple a beaucoup fait parler depuis sa présentation, divisant souvent les observateurs. Mais un constat s’impose : si la nouvelle expression graphique de Cupertino est omniprésente dans le système, elle tarde à se matérialiser dans les applications.
Le contraste est saisissant avec le passage au flat design. À l'époque, les développeurs avaient cravaché tout l’été pour mettre leurs apps au diapason des nouveaux codes d’Apple. Avec le Liquid Glass, c’est une toute autre histoire…
Une chose est certaine : Apple ne montre guère l’exemple. Si l’on regarde les apps qui ne sont pas préinstallées avec le système, nombre d’entre elles se sont contentées d’une simple mise à jour de l’icône. Ni plus, ni moins… Alors qu’iOS 26 est disponible depuis bientôt trois mois, la suite iWork n’a toujours pas été revue pour tirer profit, entre autres, de cette nouvelle interface.
iWork attend toujours son bain de Liquid Glass
Le même constat s'applique aux éditeurs de grosses apps. Lancez Discord, YouTube ou Reddit, et le choc visuel est immédiat. D’un côté, les nouveaux panneaux translucides et le clavier modernisé d’Apple ; de l’autre, des interfaces qui semblent figées dans une époque révolue. Cette cohabitation forcée sur le même écran OLED donne parfois l’impression d’un système à deux vitesses.
D'ordinaire, les poids lourds de l'App Store dégainent vite après une mise à jour majeure d'iOS. Cette année, le déploiement est poussif. On se retrouve dans une étrange zone de transition où le système paraît frais et moderne, tandis que les apps que l'on utilise le plus vivent encore à l'heure du pré-Liquid Glass.
Les indés à la rescousse, les géants en retrait
Comme souvent, le salut vient des développeurs indépendants. Il suffit de traîner un peu sur les forums pour constater que ce sont les petites équipes qui embrassent le changement le plus rapidement. Plus agiles, elles n'hésitent pas à jouer avec la transparence et les nouveaux contrôles pour donner un coup de jeune à leurs interfaces.
En face, les géants de la Tech jouent une toute autre partition. Pour Facebook, Google et consorts, la cohérence visuelle prime sur les desiderata esthétiques de Cupertino. Leur objectif est simple : une app doit ressembler à elle-même, qu'elle tourne sur iOS, Android ou le web. Refondre une application massive pour coller au Liquid Glass, c'est prendre le risque de briser cette uniformité inter-plateforme. Sans compter que pour certains designers, faire ressembler leur app aux logiciels d'Apple n'est pas un but, mais un problème d'identité.
Le casse-tête du cross-platform
Il faut dire que la technique n'aide pas. À l'heure où beaucoup ne jurent que par React Native ou Flutter pour mutualiser le développement, l'adoption de composants 100 % natifs devient un chemin de croix. Le Liquid Glass reposant énormément sur les API système, il est difficile de « faker » cet effet dans un framework générique.
Résultat : les développeurs sont coincés. Soit ils attendent une prise en charge officielle dans leurs outils (ce qui arrive souvent avec un train de retard), soit ils bricolent des effets de transparence qui jurent souvent avec le reste.
Pourquoi certaines apps ont encore un vieux clavier
Le diable se cache aussi dans les détails, comme ce bon vieux clavier. Si vous vous demandez pourquoi certaines apps affichent encore l'ancien clavier grisâtre alors que Messages arbore fièrement la nouvelle version, ne cherchez pas plus loin : c'est souvent une histoire de compilation avec de vieilles versions de Xcode. Tant que les développeurs ne mettent pas à jour leur chaîne de production, vous resterez avec l'ancienne interface.
Ajoutez à cela les sueurs froides des équipes accessibilité (la transparence et la superposition des couches n'ont jamais fait bon ménage avec le contraste) et la frilosité légitime à essuyer les plâtres d'API encore buggées, et vous obtenez le statu quo actuel.
Meta repousse ses lunettes de réalité mixte : le phénix attendra 2027 pour naître
Les lunettes connectées pourraient être le prochain champ de bataille entre Meta et Apple. Alors que la firme de Cupertino pourrait rentrer sur ce marché en fin d’année prochaine, Meta est décidé à maintenir son avance dans ce domaine. Toutefois, les choses ne se passeraient pas comme prévu, et Meta prendrait du retard sur sa feuille de route très ambitieuse.
C’est en tout cas ce que suggèrent plusieurs mémos internes consultés par Business Insider. Le projet phare de Meta, nom de code « Phoenix », ne verra pas le jour comme prévu au second semestre 2026. Maher Saba, vice-président de Reality Labs, a prévenu les équipes : il faudra désormais patienter jusqu’au premier semestre 2027 pour découvrir ces nouvelles lunettes de réalité mixte.
La raison invoquée ? La volonté de ne pas se précipiter. La direction souhaite se donner « un peu plus d’air pour peaufiner les détails ». Pas question de compromettre l’expérience utilisateur avec un produit fini à la hâte, d'autant que le calendrier de mise au point s'annonçait particulièrement tendu avec des changements majeurs prévus sur l'interface.
Un air de Vision Pro
Si Meta cherche à gagner du temps, c'est aussi parce que le design de « Phoenix » ne laisse pas indifférent. Selon des employés ayant eu accès au prototype, l'appareil ressemblerait fortement au… Vision Pro d’Apple. Pour alléger la monture et éviter la surchauffe, Meta a opté pour un boîtier de calcul déporté relié aux lunettes. Un choix technique qui a suscité le scepticisme en interne, mais qui a finalement été validé pour garantir le confort d’utilisation.
Mark Zuckerberg lui-même a mis son grain de sel. Lors d’une récente réunion, le CEO a recadré les ambitions de sa division Reality Labs pour 2026. Le mot d’ordre est clair : rendre l’activité « durable » et privilégier la qualité à la quantité. Ce report n'est donc pas une invitation à ajouter de nouvelles fonctionnalités, a prévenu Maher Saba, mais bien une nécessité pour livrer un produit abouti.
Le Quest se recentre sur le jeu
Pour la prochaine génération de casques Quest, Meta semble vouloir revenir aux fondamentaux. Loin des promesses parfois floues de l'informatique spatiale à tout faire, les responsables de la division, Gabriel Aul et Ryan Cairn, souhaitent se concentrer sur le « jeu immersif ». Il ne s’agira pas d’une simple révision : les mémos internes promettent une mise à niveau « majeure » des capacités techniques par rapport aux modèles actuels.
Meta va couper dans le métavers et les casques Quest pour miser sur l’IA
Surtout, ce futur matériel devra répondre à un impératif financier critique : améliorer significativement l'équation économique. En fin de semaine dernière, on apprenait que Mark Zuckerberg envisagerait de réduire jusqu’à 30 % le budget consacré au « métavers », division qui comprend entre autres les casques Quest et la plateforme sociale Horizon Worlds.
Cette logique économique n’a pas empêché Mark Zuckerberg de poursuivre ses emplettes. En fin de semaine dernière, on apprenait que Meta avait mis la main sur Limitless, à qui l’on devait cette fameuse app sur Mac, qui enregistre tout ce qui se passait sur l’écran de manière à proposer une mémoire infinie à l’utilisateur. L'objectif affiché est d'intégrer ces capacités dans les futurs wearables du groupe…
Meta s'offre Limitless (ex-Rewind) et coupe le service en Europe