Chantre autoproclamé de la liberté d’expression, l’administration Trump envisage de contrôler les contenus publiés sur les réseaux sociaux par les touristes exemptés de visa qui entrent sur son territoire. Cette mesure viserait les ressortissants de 42 pays, dont la France, rapporte le New York Times.
La proposition émane du service américain des douanes et doit d’abord être soumise à une consultation publique de 60 jours. Elle sera ensuite transmise à la Maison-Blanche pour validation.
Ce n’est pas la première fois que les États-Unis s’intéressent aux activités sur les réseaux sociaux des voyageurs étrangers. Dès 2016, des champs pour remplir les pseudos utilisés sont apparus sur un formulaire, mais cette information restait facultative.
Les douanes souhaitent désormais rendre cette déclaration obligatoire. Si la mesure est adoptée, les visiteurs devront communiquer l’ensemble de leurs comptes sociaux utilisés au cours des cinq dernières années. Les agents pourraient alors consulter les publications avant d’autoriser ou non l’entrée sur le territoire.
Le changement concerne les ressortissants des pays bénéficiant du Visa Waiver Program, qui permet de voyager aux Etats-Unis pendant 90 jours sans visa, à condition d’obtenir au préalable une autorisation de voyage électronique (ESTA). Sont concernés la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Australie, Israël et le Japon, entre autres. Ce changement pourrait intervenir alors que les États-Unis vont accueillir des centaines de milliers de supporters mi-2026 pour la Coupe du monde de football.
Pour Sophia Cope, qui représente l’Electronic Frontier Foundation, cette obligation constituerait « une atteinte accrue aux libertés civiles ». Selon elle, la surveillance systématique des réseaux sociaux « n’a pas démontré son efficacité pour identifier des terroristes ou d’autres individus dangereux », mais restreint au contraire la liberté d’expression et porte atteinte à la vie privée « de voyageurs innocents et de leurs proches. »
Chantre autoproclamé de la liberté d’expression, l’administration Trump envisage de contrôler les contenus publiés sur les réseaux sociaux par les touristes exemptés de visa qui entrent sur son territoire. Cette mesure viserait les ressortissants de 42 pays, dont la France, rapporte le New York Times.
La proposition émane du service américain des douanes et doit d’abord être soumise à une consultation publique de 60 jours. Elle sera ensuite transmise à la Maison-Blanche pour validation.
Ce n’est pas la première fois que les États-Unis s’intéressent aux activités sur les réseaux sociaux des voyageurs étrangers. Dès 2016, des champs pour remplir les pseudos utilisés sont apparus sur un formulaire, mais cette information restait facultative.
Les douanes souhaitent désormais rendre cette déclaration obligatoire. Si la mesure est adoptée, les visiteurs devront communiquer l’ensemble de leurs comptes sociaux utilisés au cours des cinq dernières années. Les agents pourraient alors consulter les publications avant d’autoriser ou non l’entrée sur le territoire.
Le changement concerne les ressortissants des pays bénéficiant du Visa Waiver Program, qui permet de voyager aux Etats-Unis pendant 90 jours sans visa, à condition d’obtenir au préalable une autorisation de voyage électronique (ESTA). Sont concernés la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Australie, Israël et le Japon, entre autres. Ce changement pourrait intervenir alors que les États-Unis vont accueillir des centaines de milliers de supporters mi-2026 pour la Coupe du monde de football.
Pour Sophia Cope, qui représente l’Electronic Frontier Foundation, cette obligation constituerait « une atteinte accrue aux libertés civiles ». Selon elle, la surveillance systématique des réseaux sociaux « n’a pas démontré son efficacité pour identifier des terroristes ou d’autres individus dangereux », mais restreint au contraire la liberté d’expression et porte atteinte à la vie privée « de voyageurs innocents et de leurs proches. »
Adobe est fier d’annoncer que Photoshop, Express et Acrobat sont désormais « intégrés » dans ChatGPT, ce qui rend ses logiciels accessibles à 800 millions d’utilisateurs dans le monde. Mais « intégrés » comment ? Il ne s’agit pas de piloter la version de Photoshop installée sur votre Mac via l’IA générative. L’idée est d’importer certaines fonctions de ces logiciels directement au sein de ChatGPT. OpenAI avait ouvert la voie en octobre avec quelques partenaires triés sur le volet ; Adobe s’ajoute maintenant à la liste.
Image Adobe
Pour utiliser une application dans ChatGPT, il faut d’abord l’activer en tapant son nom puis en autorisant l’accès. Ensuite, chaque requête doit commencer par ce même nom (le logo de l’app s’affiche alors sous le champ de saisie) avant de demander l’action, par exemple : « Photoshop ajoute la lune sur cette photo ».
Mes premiers essais ont été catastrophiques à cause de plusieurs gros problèmes. Premièrement, le Photoshop intégré à ChatGPT ne sait pas créer d’élément pour l’instant, il peut seulement modifier ceux qui existent déjà. Deuxièmement, l’outil multiplie les échanges inutiles pour réclamer des précisions avant d’agir. Troisième écueil : les images générées ne se chargent tout simplement pas.
(Tentative) d’ajout d’une lune avec Photoshop dans ChatGPT. Vidéo MacGeneration.
En comparaison, l’expérience est nettement plus fluide avec Gemini. Le modèle Nano Banana de Google, très doué pour les retouches, ne bombarde pas l’utilisateur de questions et fait des modifications précises. C’est le jour et la nuit.
Ajout d’une lune avec Gemini (modèle Nano Banana). Vidéo MacGeneration.
Mes essais ont été tout aussi désastreux avec Acrobat, censé manipuler des PDF au sein de ChatGPT. Malgré des dialogues interminables avec l’assistant, impossible d’obtenir des résultats exploitables sur mes documents.
On comprend l’intérêt stratégique pour OpenAI : intégrer des services externes permet à ChatGPT d’aller au-delà des capacités d’un « simple » modèle d’IA et donc de faire rester les utilisateurs plus longtemps. Pour certains usages, comme créer une playlist Spotify sans quitter l’assistant (une intégration pas encore disponible en France), cela fait sens. En revanche, tenter de faire entrer des applications créatives comme Photoshop ou Acrobat dans ce moule ne fonctionne pas. L’association est bancale, et l’expérience, pour l’instant, très décevante.
Adobe est fier d’annoncer que Photoshop, Express et Acrobat sont désormais « intégrés » dans ChatGPT, ce qui rend ses logiciels accessibles à 800 millions d’utilisateurs dans le monde. Mais « intégrés » comment ? Il ne s’agit pas de piloter la version de Photoshop installée sur votre Mac via l’IA générative. L’idée est d’importer certaines fonctions de ces logiciels directement au sein de ChatGPT. OpenAI avait ouvert la voie en octobre avec quelques partenaires triés sur le volet ; Adobe s’ajoute maintenant à la liste.
Image Adobe
Pour utiliser une application dans ChatGPT, il faut d’abord l’activer en tapant son nom puis en autorisant l’accès. Ensuite, chaque requête doit commencer par ce même nom (le logo de l’app s’affiche alors sous le champ de saisie) avant de demander l’action, par exemple : « Photoshop ajoute la lune sur cette photo ».
Mes premiers essais ont été catastrophiques à cause de plusieurs gros problèmes. Premièrement, le Photoshop intégré à ChatGPT ne sait pas créer d’élément pour l’instant, il peut seulement modifier ceux qui existent déjà. Deuxièmement, l’outil multiplie les échanges inutiles pour réclamer des précisions avant d’agir. Troisième écueil : les images générées ne se chargent tout simplement pas.
(Tentative) d’ajout d’une lune avec Photoshop dans ChatGPT. Vidéo MacGeneration.
En comparaison, l’expérience est nettement plus fluide avec Gemini. Le modèle Nano Banana de Google, très doué pour les retouches, ne bombarde pas l’utilisateur de questions et fait des modifications précises. C’est le jour et la nuit.
Ajout d’une lune avec Gemini (modèle Nano Banana). Vidéo MacGeneration.
Mes essais ont été tout aussi désastreux avec Acrobat, censé manipuler des PDF au sein de ChatGPT. Malgré des dialogues interminables avec l’assistant, impossible d’obtenir des résultats exploitables sur mes documents.
On comprend l’intérêt stratégique pour OpenAI : intégrer des services externes permet à ChatGPT d’aller au-delà des capacités d’un « simple » modèle d’IA et donc de faire rester les utilisateurs plus longtemps. Pour certains usages, comme créer une playlist Spotify sans quitter l’assistant (une intégration pas encore disponible en France), cela fait sens. En revanche, tenter de faire entrer des applications créatives comme Photoshop ou Acrobat dans ce moule ne fonctionne pas. L’association est bancale, et l’expérience, pour l’instant, très décevante.
Apple vante des micros de « qualité studio » pour l’iMac et les MacBook Pro depuis les premières générations Apple Silicon. Ils sont effectivement très bons, mais encore faut-il que macOS vous laisse les utiliser. Dès que vous mettez vos AirPods, le système bascule automatiquement l’entrée audio sur les écouteurs, dont le micro est notoirement mauvais. SoundAnchor est là pour régler ce désagrément.
Cet utilitaire, qui se loge dans la barre des menus, permet de donner la priorité au micro de son choix. Si vous placez par exemple « Micro MacBook Air » en tête de liste, le système continuera d’utiliser le micro intégré à la machine même si vos AirPods se connectent. Ainsi, plus besoin de changer manuellement la source dans les Réglages Système ou dans les options de vos applications pour rectifier le tir. Cela fonctionne avec n’importe quelle source : si vous avez un (bon) micro externe, vous pouvez faire en sorte qu’il garde la priorité tout le temps.
L’intérêt est peut-être moins évident dans ce sens, mais SoundAnchor peut aussi jouer le rôle de chef d’orchestre pour la sortie audio. Vous pouvez par exemple faire en sorte que les AirPods ne diffusent pas automatiquement le son de votre Mac quand vous les enfilez.
L’application est développée par Flavio De Stefano, un ingénieur travaillant chez Spotify. Elle a planté une fois lors de mon essai, mais pour le reste elle fonctionne bien. Elle est disponible gratuitement sur le web, avec possibilité de soutenir son créateur par un don. Sur le Mac App Store, elle coûte 1,99 €, un moyen de compenser un petit peu les frais d’inscription au programme développeur. Elle demande macOS Monterey 12 au minimum.
Apple vante des micros de « qualité studio » pour l’iMac et les MacBook Pro depuis les premières générations Apple Silicon. Ils sont effectivement très bons, mais encore faut-il que macOS vous laisse les utiliser. Dès que vous mettez vos AirPods, le système bascule automatiquement l’entrée audio sur les écouteurs, dont le micro est notoirement mauvais. SoundAnchor est là pour régler ce désagrément.
Cet utilitaire, qui se loge dans la barre des menus, permet de donner la priorité au micro de son choix. Si vous placez par exemple « Micro MacBook Air » en tête de liste, le système continuera d’utiliser le micro intégré à la machine même si vos AirPods se connectent. Ainsi, plus besoin de changer manuellement la source dans les Réglages Système ou dans les options de vos applications pour rectifier le tir. Cela fonctionne avec n’importe quelle source : si vous avez un (bon) micro externe, vous pouvez faire en sorte qu’il garde la priorité tout le temps.
L’intérêt est peut-être moins évident dans ce sens, mais SoundAnchor peut aussi jouer le rôle de chef d’orchestre pour la sortie audio. Vous pouvez par exemple faire en sorte que les AirPods ne diffusent pas automatiquement le son de votre Mac quand vous les enfilez.
L’application est développée par Flavio De Stefano, un ingénieur travaillant chez Spotify. Elle a planté une fois lors de mon essai, mais pour le reste elle fonctionne bien. Elle est disponible gratuitement sur le web, avec possibilité de soutenir son créateur par un don. Sur le Mac App Store, elle coûte 1,99 €, un moyen de compenser un petit peu les frais d’inscription au programme développeur. Elle demande macOS Monterey 12 au minimum.
Le Black Friday s’est terminé il y a plus d’une semaine, et pourtant, il reste des promotions aussi fortes que lors de cette grande foire. En nous basant sur notre relevé des offres du Black Friday, nous avons sélectionné plusieurs objets connectés qui sont toujours au même tarif et qui valent le coup.
Serrure connectée Aqara U200 à 159 €
La serrure connectée Aqara U200 est toujours à 159 € sur Amazon, une réduction de 16 % sur son ancien prix. C’est l’une des meilleures serrures pour les clients Apple. C'est notamment la première compatible avec la fonction Clés du domicile, qui permet de déverrouiller sa porte le plus simplement du monde grâce à la puce NFC de son iPhone ou de son Apple Watch.
En plus de la serrure elle-même, l’Aqara U200 comprend un pavé numérique à installer à l’extérieur. Ce pavé permet donc d’ouvrir la porte avec un code (pratique pour laisser entrer un employé de ménage, par exemple) et c’est lui qui inclut la puce NFC qui autorise le déverrouillage avec la carte virtuelle stockée dans Wallet.
Autrement, il y a la SwitchBot Lock Pro, encore à 149 € au lieu de 179 €. Le pack comprend la serrure elle-même, un pavé numérique et un Hub Mini, qui ajoute notamment la compatibilité Matter et la connexion à distance. Ce concentrateur peut aussi servir pour d’autres produits SwitchBot.
Vous trouverez tous les détails dans nos tests de ces deux serrures :
Toujours pour l’accès à sa maison, l’excellente sonnette vidéo Aqara G410 est encore à 94,99 € au lieu de 130. C’est une sonnette qui peut être alimentée par l’ancienne sonnette filaire (12 ou 24V) ou bien par six piles AA pour un fonctionnement totalement sans fil. Le carillon s’installe à l’intérieur, c’est lui qui fait le relais avec la domotique grâce au Wi-Fi et qui apporte la compatibilité entière avec Maison.
L’accessoire est compatible avec la vidéo sécurisée HomeKit, qui stocke les images sur les serveurs d’iCloud. C’est surtout utile si vous pouvez alimenter la sonnette, vous aurez alors une vraie caméra de surveillance active en permanence. Sur piles, il s’agit surtout d’une sonnette vidéo, qui s’activera lorsqu’un invité appuie sur le bouton.
Quitte à avoir un détecteur de fumée — un appareil obligatoire dans tous les logements depuis une dizaine d’années maintenant —, autant en avoir un connecté, non ? Le modèle de Netatmo est disponible en ce moment à 65 €, le même tarif que lors du Black Friday.
Il envoie une alerte sur votre smartphone en cas de détection de fumée. Il se connecte en Wi-Fi 2,4 GHz et ne nécessite pas de hub. Le fabricant français promet 10 ans d’utilisation avec la batterie intégrée. La batterie n’est pas remplaçable, mais un détecteur n’est pas censé être utilisé plus de dix ans de toute façon.
Kit de démarrage Philips Hue Essential E27 à 80 €
Philips Hue était jusque-là synonyme de qualité, mais pas de petit prix. La récente gamme Essential bouscule les choses, en cassant les tarifs sans faire trop de compromis. Le kit de démarrage comprenant quatre ampoules E27 et un pont de connexion est vendu 80 € sur Amazon, soit une réduction de 20 € sur le prix de lancement et le même tarif que lors du Black Friday.
Les ampoules Essential sont un peu moins avancées que les versions traditionnelles (fabrication tout en plastique et luminosité limitée à 806 lumens dans le cas présent), mais elles restent de bonne qualité et permettent de profiter des nombreuses fonctions connectées de l’univers Hue.
Si vous ne voulez pas du pont — après tout, il n’est pas indispensable —, vous pouvez simplement acheter des ampoules. Le pack de quatre ampoules Essential E27 est actuellement à 49,99 €. C’est 5 € de plus que lors du Black Friday, mais 10 € de moins que lors du lancement. Quant au pack de quatre ampoules Essential GU10, il est aussi à 49,99 €.
Pour alimenter certains objets connectés, il faut des piles. Après une brève remontée début décembre, celles de Duracell ont vu leur prix rechuter au niveau du Black Friday. Les huit piles Duracell CR2032 compatibles AirTags sont ainsi en promo à 9,59 €, les quatre AAA 900 mAh à 10,99 € et les quatre AA 2500 mAh à 11,99 €.
Le Black Friday s’est terminé il y a plus d’une semaine, et pourtant, il reste des promotions aussi fortes que lors de cette grande foire. En nous basant sur notre relevé des offres du Black Friday, nous avons sélectionné plusieurs objets connectés qui sont toujours au même tarif et qui valent le coup.
Serrure connectée Aqara U200 à 159 €
La serrure connectée Aqara U200 est toujours à 159 € sur Amazon, une réduction de 16 % sur son ancien prix. C’est l’une des meilleures serrures pour les clients Apple. C'est notamment la première compatible avec la fonction Clés du domicile, qui permet de déverrouiller sa porte le plus simplement du monde grâce à la puce NFC de son iPhone ou de son Apple Watch.
En plus de la serrure elle-même, l’Aqara U200 comprend un pavé numérique à installer à l’extérieur. Ce pavé permet donc d’ouvrir la porte avec un code (pratique pour laisser entrer un employé de ménage, par exemple) et c’est lui qui inclut la puce NFC qui autorise le déverrouillage avec la carte virtuelle stockée dans Wallet.
Autrement, il y a la SwitchBot Lock Pro, encore à 149 € au lieu de 179 €. Le pack comprend la serrure elle-même, un pavé numérique et un Hub Mini, qui ajoute notamment la compatibilité Matter et la connexion à distance. Ce concentrateur peut aussi servir pour d’autres produits SwitchBot.
Vous trouverez tous les détails dans nos tests de ces deux serrures :
Toujours pour l’accès à sa maison, l’excellente sonnette vidéo Aqara G410 est encore à 94,99 € au lieu de 130. C’est une sonnette qui peut être alimentée par l’ancienne sonnette filaire (12 ou 24V) ou bien par six piles AA pour un fonctionnement totalement sans fil. Le carillon s’installe à l’intérieur, c’est lui qui fait le relais avec la domotique grâce au Wi-Fi et qui apporte la compatibilité entière avec Maison.
L’accessoire est compatible avec la vidéo sécurisée HomeKit, qui stocke les images sur les serveurs d’iCloud. C’est surtout utile si vous pouvez alimenter la sonnette, vous aurez alors une vraie caméra de surveillance active en permanence. Sur piles, il s’agit surtout d’une sonnette vidéo, qui s’activera lorsqu’un invité appuie sur le bouton.
Quitte à avoir un détecteur de fumée — un appareil obligatoire dans tous les logements depuis une dizaine d’années maintenant —, autant en avoir un connecté, non ? Le modèle de Netatmo est disponible en ce moment à 65 €, le même tarif que lors du Black Friday.
Il envoie une alerte sur votre smartphone en cas de détection de fumée. Il se connecte en Wi-Fi 2,4 GHz et ne nécessite pas de hub. Le fabricant français promet 10 ans d’utilisation avec la batterie intégrée. La batterie n’est pas remplaçable, mais un détecteur n’est pas censé être utilisé plus de dix ans de toute façon.
Kit de démarrage Philips Hue Essential E27 à 80 €
Philips Hue était jusque-là synonyme de qualité, mais pas de petit prix. La récente gamme Essential bouscule les choses, en cassant les tarifs sans faire trop de compromis. Le kit de démarrage comprenant quatre ampoules E27 et un pont de connexion est vendu 80 € sur Amazon, soit une réduction de 20 € sur le prix de lancement et le même tarif que lors du Black Friday.
Les ampoules Essential sont un peu moins avancées que les versions traditionnelles (fabrication tout en plastique et luminosité limitée à 806 lumens dans le cas présent), mais elles restent de bonne qualité et permettent de profiter des nombreuses fonctions connectées de l’univers Hue.
Si vous ne voulez pas du pont — après tout, il n’est pas indispensable —, vous pouvez simplement acheter des ampoules. Le pack de quatre ampoules Essential E27 est actuellement à 49,99 €. C’est 5 € de plus que lors du Black Friday, mais 10 € de moins que lors du lancement. Quant au pack de quatre ampoules Essential GU10, il est aussi à 49,99 €.
Pour alimenter certains objets connectés, il faut des piles. Après une brève remontée début décembre, celles de Duracell ont vu leur prix rechuter au niveau du Black Friday. Les huit piles Duracell CR2032 compatibles AirTags sont ainsi en promo à 9,59 €, les quatre AAA 900 mAh à 10,99 € et les quatre AA 2500 mAh à 11,99 €.
Contrairement à d’autres produits récents, l’Apple Watch Series 11 n’a pas encore fait l’objet de grosses promotions, en tout cas pas en France. Il suffit de se balader sur Amazon Italie pour trouver cette montre dernier cri à 359 € en version 42 mm au lieu de 449 € chez Apple et 389 € en version 46 mm au lieu de 479 €. Dans les deux cas, c’est une belle remise de 20 %. Plusieurs modèles bénéficient de ce rabais, y compris la jolie (mais plus sensible) finition noir de jais.
Apple Watch Series 11. Image Apple.
Vous pouvez passer commande sur Amazon Italie avec votre compte Amazon français. Les taxes et frais de port sont automatiquement appliqués juste avant le paiement — ils ne font quasiment pas bouger le prix affiché. Chez les revendeurs français, on trouve au mieux une remise de 30 € actuellement.
L’Apple Watch Series 11 est une excellente montre connectée, l’aboutissement d’une dizaine d’années d’évolutions. Les progrès par rapport à la Series 10 sont très minimes, mais l’écart devient nettement plus perceptible face aux générations précédentes. C’est une montre fine et très bien finie, avec une bonne autonomie et de multiples fonctionnalités utiles au quotidien. Si vous voulez le meilleur de l’Apple Watch sans passer à la massive Ultra, vous ne pouvez pas vous tromper.
En parlant de l’Apple Watch Ultra, le modèle de 2e génération voit son prix tomber à 579 € chez SFR. Il ne s’agit pas d’une remise immédiate, mais d’une offre de remboursement de 150 € sous forme d’avoir sur les factures de l’opérateur. Il faut donc prévoir de rester abonné un certain temps chez SFR pour que ça vaille le coup.
Contrairement à d’autres produits récents, l’Apple Watch Series 11 n’a pas encore fait l’objet de grosses promotions, en tout cas pas en France. Il suffit de se balader sur Amazon Italie pour trouver cette montre dernier cri à 359 € en version 42 mm au lieu de 449 € chez Apple et 389 € en version 46 mm au lieu de 479 €. Dans les deux cas, c’est une belle remise de 20 %. Plusieurs modèles bénéficient de ce rabais, y compris la jolie (mais plus sensible) finition noir de jais.
Apple Watch Series 11. Image Apple.
Vous pouvez passer commande sur Amazon Italie avec votre compte Amazon français. Les taxes et frais de port sont automatiquement appliqués juste avant le paiement — ils ne font quasiment pas bouger le prix affiché. Chez les revendeurs français, on trouve au mieux une remise de 30 € actuellement.
L’Apple Watch Series 11 est une excellente montre connectée, l’aboutissement d’une dizaine d’années d’évolutions. Les progrès par rapport à la Series 10 sont très minimes, mais l’écart devient nettement plus perceptible face aux générations précédentes. C’est une montre fine et très bien finie, avec une bonne autonomie et de multiples fonctionnalités utiles au quotidien. Si vous voulez le meilleur de l’Apple Watch sans passer à la massive Ultra, vous ne pouvez pas vous tromper.
En parlant de l’Apple Watch Ultra, le modèle de 2e génération voit son prix tomber à 579 € chez SFR. Il ne s’agit pas d’une remise immédiate, mais d’une offre de remboursement de 150 € sous forme d’avoir sur les factures de l’opérateur. Il faut donc prévoir de rester abonné un certain temps chez SFR pour que ça vaille le coup.
Les conséquences liées à la pénurie de mémoire, qui est siphonnée par les serveurs dédiés à l’IA, pourraient bientôt s’élargir. Après l’explosion du prix des barrettes de RAM ces derniers mois, ce sont désormais les PC eux-mêmes qui risquent d’être vendus plus cher.
D’après TrendForce, Lenovo, le premier vendeur d’ordinateurs dans le monde, a commencé à informer ses clients d’une prochaine hausse tarifaire. Le changement pourrait entrer en vigueur début 2026.
Le constructeur a expliqué que les tensions sur les chaînes d’approvisionnement font grimper les prix de la mémoire, ce qui se répercute fatalement sur le prix global de l’appareil. De plus, la course effrénée des entreprises pour déployer des applications d’IA crée une demande record pour des machines puissantes, ce qui réduit encore l’offre disponible et entretient l’escalade des prix.
Dell se trouve dans la même situation. Toujours d’après les sources de TrendForce, le troisième fabricant mondial a averti ses clients que ses PC pourraient coûter 15 à 20 % plus cher, et ce dès la mi-décembre. Une information en phase avec les propos tenus en novembre par son directeur des opérations, qui affirmait n’avoir « jamais vu les coûts des puces mémoire augmenter aussi rapidement », rapportait alors Bloomberg. HP, deuxième acteur mondial, anticipe de son côté un second semestre 2026 particulièrement difficile, avec là encore des hausses à prévoir.
Et le quatrième fabricant mondial, qui n’est nul autre qu’Apple ? Pour l’heure, la firme de Cupertino n’a pas commenté l’escalade des prix de la DRAM. Il faudra peut-être attendre la prochaine publication des résultats financiers, fin janvier ou début février, pour connaître sa position.
Les conséquences liées à la pénurie de mémoire, qui est siphonnée par les serveurs dédiés à l’IA, pourraient bientôt s’élargir. Après l’explosion du prix des barrettes de RAM ces derniers mois, ce sont désormais les PC eux-mêmes qui risquent d’être vendus plus cher.
D’après TrendForce, Lenovo, le premier vendeur d’ordinateurs dans le monde, a commencé à informer ses clients d’une prochaine hausse tarifaire. Le changement pourrait entrer en vigueur début 2026.
Le constructeur a expliqué que les tensions sur les chaînes d’approvisionnement font grimper les prix de la mémoire, ce qui se répercute fatalement sur le prix global de l’appareil. De plus, la course effrénée des entreprises pour déployer des applications d’IA crée une demande record pour des machines puissantes, ce qui réduit encore l’offre disponible et entretient l’escalade des prix.
Dell se trouve dans la même situation. Toujours d’après les sources de TrendForce, le troisième fabricant mondial a averti ses clients que ses PC pourraient coûter 15 à 20 % plus cher, et ce dès la mi-décembre. Une information en phase avec les propos tenus en novembre par son directeur des opérations, qui affirmait n’avoir « jamais vu les coûts des puces mémoire augmenter aussi rapidement », rapportait alors Bloomberg. HP, deuxième acteur mondial, anticipe de son côté un second semestre 2026 particulièrement difficile, avec là encore des hausses à prévoir.
Et le quatrième fabricant mondial, qui n’est nul autre qu’Apple ? Pour l’heure, la firme de Cupertino n’a pas commenté l’escalade des prix de la DRAM. Il faudra peut-être attendre la prochaine publication des résultats financiers, fin janvier ou début février, pour connaître sa position.
Google améliore la Pixel Watch 4 avec deux gestes pas piqués des hannetons, mais piqués à Apple. En touchant leur pouce avec leur index à deux reprises, les utilisateurs de la montre ronde peuvent désormais réaliser diverses actions sans toucher l’écran : décrocher un appel, mettre en pause la musique, arrêter un minuteur…
« Toucher deux fois » sur la Pixel Watch 4. Vidéo Google.
Ce n’est ni plus ni moins que le geste « toucher deux fois » introduit sur l’Apple Watch Series 9 et l’Apple Watch Ultra 2 en 2023 (la SE 3 sortie en septembre est aussi compatible). Un pincement très pratique dans certaines conditions ; personnellement, je l’utilise à vélo pour démarrer un exercice sans avoir à lever ma seconde main du guidon.
« Toucher deux fois » sur l’Apple Watch. Vidéo WatchGeneration.
Le deuxième geste ajouté par Google à la Pixel Watch 4 consiste à effectuer une rotation sèche du poignet pour couper le son d’un appel entrant ou fermer une notification. Dans l’univers Apple, ce geste a été inauguré par watchOS 26 et il est réalisable sur les Apple Watch Series 9, Ultra 2 et SE 3 au minimum.
La rotation du poignet sur Apple Watch. Vidéo WatchGeneration.
WearOS 6.1, qui est en cours de distribution, ne fait pas que recopier watchOS. La mise à jour introduit un nouveau modèle de langage basé sur Gemma permettant aux Pixel Watch 3 et 4 de générer des réponses prêtes à l’emploi pour Google Messages, et ce de manière autonome.
Auparavant, seule la Pixel Watch 4 pouvait proposer ces réponses intelligentes, et uniquement si elle était reliée à un smartphone. Les améliorations sont rendues possibles par le nouveau modèle qui est deux fois plus rapide et demande près de trois fois moins de mémoire que l’ancien. Sur Apple Watch, les réponses suggérées sont bien plus sommaires.
La Pixel Watch 4 est vendue en deux tailles (41 mm et 45 mm) à partir de 399 € normalement, soit un peu moins qu'une Series 11, mais Google baisse en ce moment son prix à 329 €.
Google améliore la Pixel Watch 4 avec deux gestes pas piqués des hannetons, mais piqués à Apple. En touchant leur pouce avec leur index à deux reprises, les utilisateurs de la montre ronde peuvent désormais réaliser diverses actions sans toucher l’écran : décrocher un appel, mettre en pause la musique, arrêter un minuteur…
« Toucher deux fois » sur la Pixel Watch 4. Vidéo Google.
Ce n’est ni plus ni moins que le geste « toucher deux fois » introduit sur l’Apple Watch Series 9 et l’Apple Watch Ultra 2 en 2023 (la SE 3 sortie en septembre est aussi compatible). Un pincement très pratique dans certaines conditions ; personnellement, je l’utilise à vélo pour démarrer un exercice sans avoir à lever ma seconde main du guidon.
« Toucher deux fois » sur l’Apple Watch. Vidéo WatchGeneration.
Le deuxième geste ajouté par Google à la Pixel Watch 4 consiste à effectuer une rotation sèche du poignet pour couper le son d’un appel entrant ou fermer une notification. Dans l’univers Apple, ce geste a été inauguré par watchOS 26 et il est réalisable sur les Apple Watch Series 9, Ultra 2 et SE 3 au minimum.
La rotation du poignet sur Apple Watch. Vidéo WatchGeneration.
WearOS 6.1, qui est en cours de distribution, ne fait pas que recopier watchOS. La mise à jour introduit un nouveau modèle de langage basé sur Gemma permettant aux Pixel Watch 3 et 4 de générer des réponses prêtes à l’emploi pour Google Messages, et ce de manière autonome.
Auparavant, seule la Pixel Watch 4 pouvait proposer ces réponses intelligentes, et uniquement si elle était reliée à un smartphone. Les améliorations sont rendues possibles par le nouveau modèle qui est deux fois plus rapide et demande près de trois fois moins de mémoire que l’ancien. Sur Apple Watch, les réponses suggérées sont bien plus sommaires.
La Pixel Watch 4 est vendue en deux tailles (41 mm et 45 mm) à partir de 399 € normalement, soit un peu moins qu'une Series 11, mais Google baisse en ce moment son prix à 329 €.
Les utilisateurs d’iPhone qui se retrouvent dans une zone blanche au Japon peuvent toujours garder le contact avec leurs proches. Apple a activé sur l’archipel la fonction de Messages par satellite, qui permet d’envoyer et de recevoir des SMS, des iMessages, des emojis et des réactions même sans connexion cellulaire.
Image Apple
Il y a une condition pour profiter de cette fonction gratuite : avoir un iPhone 14 ou un modèle plus récent. L’Apple Watch Ultra 3 est, de son côté, la seule montre compatible. Le service est offert par Apple, qui mobilise la constellation de Globalstar — à ne pas confondre avec d’autres fonctions satellitaires, qui sont fournies par Starlink en partenariat avec des opérateurs locaux.
Cette nouveauté n’est pas réservée aux Japonais : si vous voyagez au pays du Soleil levant dans une zone sans Wi-Fi ni réseau cellulaire, vous pourrez vous-même utiliser cette messagerie satellitaire. La fonction était jusque-là limitée au Canada, aux États-Unis et au Mexique.
En France et dans d’autres pays européens, la connexion satellitaire de l’iPhone 14 et des modèles suivants reste cantonnée à la fonction SOS d’urgence, servant uniquement à contacter les secours en cas de détresse dans une zone blanche. L’élargissement aux messages personnels finira peut-être par arriver un jour, comme au Japon.
Les utilisateurs d’iPhone qui se retrouvent dans une zone blanche au Japon peuvent toujours garder le contact avec leurs proches. Apple a activé sur l’archipel la fonction de Messages par satellite, qui permet d’envoyer et de recevoir des SMS, des iMessages, des emojis et des réactions même sans connexion cellulaire.
Image Apple
Il y a une condition pour profiter de cette fonction gratuite : avoir un iPhone 14 ou un modèle plus récent. L’Apple Watch Ultra 3 est, de son côté, la seule montre compatible. Le service est offert par Apple, qui mobilise la constellation de Globalstar — à ne pas confondre avec d’autres fonctions satellitaires, qui sont fournies par Starlink en partenariat avec des opérateurs locaux.
Cette nouveauté n’est pas réservée aux Japonais : si vous voyagez au pays du Soleil levant dans une zone sans Wi-Fi ni réseau cellulaire, vous pourrez vous-même utiliser cette messagerie satellitaire. La fonction était jusque-là limitée au Canada, aux États-Unis et au Mexique.
En France et dans d’autres pays européens, la connexion satellitaire de l’iPhone 14 et des modèles suivants reste cantonnée à la fonction SOS d’urgence, servant uniquement à contacter les secours en cas de détresse dans une zone blanche. L’élargissement aux messages personnels finira peut-être par arriver un jour, comme au Japon.
iFixit dispose désormais d’une application iOS et Android. Elle donne logiquement accès à ses nombreux tutoriels de réparation, mais elle impose la création d’un compte, un bon moyen pour l’entreprise de faire le plein de nouveaux inscrits.
Heureusement, cette application ne se contente pas d’afficher les guides dans une interface pensée pour les smartphones, elle comprend aussi deux fonctionnalités spéciales. La première concerne l’état de la batterie. Apple a longtemps gardé cette information hors de portée, mais depuis les iPhone 15, le nombre de cycles est visible.
Image iFixit
iFixit estime que ce n’est pas suffisant et ajoute des graphiques d’usure ainsi qu’un système d’alerte plusieurs mois avant un éventuel remplacement. Une manière de faciliter l’entretien… et d’orienter l’utilisateur vers l’achat d’une batterie vendue par ses soins. Pas folle la guêpe.
Seulement, Apple ne propose aucune API pour récupérer les données de santé de la batterie. iFixit doit donc ruser et demande à l’utilisateur de partager manuellement un fichier d’analyse. La procédure est donc un peu fastidieuse, d’autant qu’il faudra la répéter pour qu’elle ait un réel intérêt. Cet outil est par ailleurs en bêta.
Image iGeneration
La deuxième fonction spéciale est Fixbot, un assistant de réparation basé sur une IA générative formée sur la base de données d’iFixit. Il peut répondre à des questions techniques et expliquer des procédures. Une synthèse vocale est intégrée pour suivre les instructions sans garder les yeux rivés sur l’écran.
iFixit dispose désormais d’une application iOS et Android. Elle donne logiquement accès à ses nombreux tutoriels de réparation, mais elle impose la création d’un compte, un bon moyen pour l’entreprise de faire le plein de nouveaux inscrits.
Heureusement, cette application ne se contente pas d’afficher les guides dans une interface pensée pour les smartphones, elle comprend aussi deux fonctionnalités spéciales. La première concerne l’état de la batterie. Apple a longtemps gardé cette information hors de portée, mais depuis les iPhone 15, le nombre de cycles est visible.
Image iFixit
iFixit estime que ce n’est pas suffisant et ajoute des graphiques d’usure ainsi qu’un système d’alerte plusieurs mois avant un éventuel remplacement. Une manière de faciliter l’entretien… et d’orienter l’utilisateur vers l’achat d’une batterie vendue par ses soins. Pas folle la guêpe.
Seulement, Apple ne propose aucune API pour récupérer les données de santé de la batterie. iFixit doit donc ruser et demande à l’utilisateur de partager manuellement un fichier d’analyse. La procédure est donc un peu fastidieuse, d’autant qu’il faudra la répéter pour qu’elle ait un réel intérêt. Cet outil est par ailleurs en bêta.
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La deuxième fonction spéciale est Fixbot, un assistant de réparation basé sur une IA générative formée sur la base de données d’iFixit. Il peut répondre à des questions techniques et expliquer des procédures. Une synthèse vocale est intégrée pour suivre les instructions sans garder les yeux rivés sur l’écran.
Apple Pay et les autres wallets prennent une place croissante dans les paiements, aussi bien en ligne qu’en boutique. D’après une étude de Worldpay, ils comptaient en 2024 pour 53 % des paiements en valeur dans l’e-commerce au niveau mondial, contre 32 % pour les cartes bancaires (débit et crédit). En magasin, les cartes gardent l’avantage avec 47 % des paiements, les wallets représentant 32 %.
En France plus spécifiquement, les wallets ont pesé 34 % des paiements en ligne en 2024 (+ 6 points en un an), tandis que les cartes bleues reculaient à 21 % (– 4 points). Dans les boutiques, ils ont atteint 13 % (+ 4 points) contre 24 % pour les cartes (–5 points). Au vu de la tendance, les Apple Pay, Google Pay et autres Samsung Pay vont dépasser les cartes en plastique dans les magasins dans les prochaines années.
Apple Pay convertit mieux que la carte bancaire
En ligne, les wallets deviennent même incontournables pour une partie des clients. Selon une étude réalisée par OpinionWay pour le compte de Lyf Pay, 54 % des utilisateurs d’Apple Pay ou de Google Pay ont déjà abandonné un achat parce que le site ne proposait pas leur wallet préféré. Pourquoi ? « Grâce à l'authentification par biométrie, la transaction présente moins de friction qu'un paiement par carte bancaire qui nécessite de valider son achat dans son application bancaire », explique Antoine Guillotte, Chief Product Officer chez Cdiscount, interrogé par mind Retail. Même si le fait de devoir ouvrir une seconde app pour valider l’achat est entré dans les mœurs, cette étape continue malgré tout de provoquer des abandons de panier, indique-t-il.
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« En termes de transformation, si l'on compare les gros volumes de transaction en dehors du BNPL [buy now pay later, paiement différé, ndlr], Apple Pay convertit le mieux, suivi de PayPal et des cartes bancaires », ajoute le responsable de Cdiscount, dont 80 % du trafic a lieu sur mobile. Le taux de transformation d’Apple Pay est 10 à 20 % supérieur à celui des cartes classiques, une différence « très significative. »
Le site marchand a intégré Apple Pay juste avant sa période de pic commercial. Cette mise en place lui a permis de recruter de nouveaux clients, plus jeunes et un peu plus urbains. Fort de ces résultats, Cdiscount prévoit de proposer Google Pay et Samsung Pay en 2026.
Wero veut attaquer les gros paniers
L’entreprise regarde aussi de près Wero, un wallet soutenu par plusieurs banques européennes qui a récemment fait ses débuts dans des commerces en ligne allemands. Contrairement à Apple Pay, il n’est pas adossé à une carte, mais directement au compte bancaire, ce qui change la donne pour les gros achats.
« L’intérêt du compte à compte est de réduire les abandons de paniers dus aux encours de cartes, détaille Antoine Guillotte, toujours auprès de mind Retail. Sur les paniers élevés, beaucoup d'échecs de paiement proviennent non pas d'un défaut de solvabilité, mais du plafond de la carte. Wero nous permettrait de proposer à certains utilisateurs d'aller au bout de leur commande là où ils n'auraient pas pu le faire via le wallet ou la carte traditionnelle. »
Image Wero
Wero doit arriver sur les sites français en 2026. Air France, Leclerc, Orange/Sosh, Veepee ou encore Dot ont déjà manifesté leur intérêt. Une extension vers les paiements en boutique est prévue en 2027, avec deux parcours : un paiement par QR code en grandes surfaces et un paiement NFC sur TPE pour les petits commerces. À terme, l'IBAN sera intégré pour un paiement instantané de compte à compte, comme en ligne.
Wero va pouvoir tirer parti de l’ouverture réglementaire de la NFC de l’iPhone en Europe pour proposer une fonction de paiement sans contact. PayPal exploite déjà cette possibilité en Allemagne avec une carte bancaire virtuelle accessible sur iPhone. Fin octobre, deux millions d’utilisateurs l’utilisaient en magasin, un décollage favorisé par l’option de paiement en quatre fois.
Apple avait lancé fin 2023 une option similaire aux États-Unis nommée Apple Pay Later, mais celle-ci a été abandonnée seulement huit mois plus tard. La Pomme a décidé de revoir sa stratégie dans le paiement fractionné en nouant des partenariats avec des acteurs spécialisés. C’est dans ce cadre que Klarna a annoncé aujourd’hui son intégration à Apple Pay en France.
Klarna, un service qui permet de payer en plusieurs fois sans frais, s’intègre à Apple Pay en France et en Italie. L’annonce avait été faite récemment, et la disponibilité est maintenant effective. Les clients éligibles peuvent régler leurs achats en trois mensualités ou bien choisir de payer jusqu’à 30 jours plus tard. Pour les sommes importantes, Klarna propose un étalement plus long, cette fois assorti d’intérêts — c’est ainsi que l’entreprise fait son beurre.
Pour les paiements dans les boutiques physiques, il suffit de sélectionner la carte Klarna dans l’app Cartes de l’iPhone, comme une carte bancaire classique. La différence se trouve juste en-dessous : une option sous la carte permet de choisir le mode de paiement souhaité, par exemple le règlement différé.
Sur le web et dans les applications, l’intégration est un peu particulière : il faut toujours avoir ajouté sa carte Klarna dans Wallet au préalable, puis toucher « Autres cartes et options de paiement différé » lors du paiement via Apple Pay pour sélectionner celle-ci et le type de paiement fractionné.
La fintech suédoise, qui est récemment entrée en bourse, revendique 114 millions de clients à travers le monde grâce à sa présence sur de nombreux sites web (IKEA, GAP, Zara, Zalando, JD…). Ce partenariat avec Apple intervient dans le sillage de l’abandon d’Apple Pay Later.
Le Black Friday est passé, mais les promotions ne sont pas terminées. Darty fait jusqu’à 14 % de remise sur l’iPad Air 13" de dernière génération. La version Wi-Fi avec 128 Go de stockage tombe ainsi à 749 € au lieu de 869 € chez Apple, un tarif record chez un revendeur français (Rakuten est à part avec ses exemplaires d’import…).
Vous avez en plus le choix entre les quatre couleurs et toutes les capacités de stockage sont en promo :
Introduit l’an dernier, l’iPad Air de 13" est vraiment bienvenu pour qui cherche une grande tablette sans avoir besoin des raffinements du modèle Pro. Cette grande ardoise est nettement plus abordable que l’iPad Pro de 13", qui démarre à plus de 1 400 € pour sa part (avec de 256 Go de stockage) !
L’iPad Air M3 surclasse largement l’iPad d’entrée de gamme en matière de puissance. Avec la puce M3, il n’y a pas de souci à se faire sur les performances pendant des années et des années. Il dispose en plus d’une bonne webcam et de la compatibilité avec le Wi-Fi 6E pour une connexion très rapide à domicile.
Les Freebox disposent sans aucun doute du système d’exploitation le plus complet parmi les box fournies par les opérateurs. Mais son interface ne pourrait-elle pas être améliorée ? C’est l’avis d’un designer et d’un développeur qui se sont associés pour proposer une interface d’administration plus moderne.
Freebox OS Ultra Dashboard
Réalisée par Powlisher et Hugo Hérisson, Freebox OS Ultra Dashboard est une interface web alternative pour les Freebox Ultra, Delta et Pop qui permet de consulter en un coup d’œil de nombreuses informations. Là où le système d'exploitation impose plusieurs clics pour accéder aux téléchargements, aux débits ou aux appareils connectés, ce tableau de bord regroupe tout en une seule page, mise à jour en temps réel.
Ultra Dashboard n’altère pas Freebox OS, il s’agit d’une nouvelle porte d’entrée accessible depuis le web qui est permise grâce aux API de Free. Open source, l’interface est conçue avec la bibliothèque React et le framework Express. Son installation, qui nécessite de taper quelques commandes dans un terminal, est détaillée sur la page du projet. Comme il s’agit d’une bêta, des bugs ne sont pas à exclure.
L’interface native de Freebox OS
« Côté évolutions, je suis actuellement en phase de test sur les Freebox Pop et Delta. L’idée est de pousser l’API Freebox OS au maximum et d’ajouter des fonctionnalités manquantes ou que j’ai pu "oublier" lors du premier jet », a fait savoir Hugo Hérisson à nos confrères de Next. Le développeur est maintenant en contact avec le responsable de Freebox OS, de quoi, peut-être, inspirer certaines améliorations officielles.
Quelle surprise ! De la pub dans un service Google, incroyable ! Bon, ça n’étonnera personne, mais Gemini pourrait bientôt accueillir des réclames. Selon Adweek, Google a commencé à informer quelques annonceurs que son IA générative serait ouverte à la pub en 2026.
Image Google/MacGeneration
En février, Sundar Pichai avait déclaré que son entreprise avait de « très bonnes idées » quant à la manière dont les annonces pourraient apparaitre dans l’assistant. Pour l’instant, on ne sait pas quelles formes elles prendront ni comment elles seront intégrées.
Quoi qu’il en soit, pour des services qui rassemblent des centaines de millions d’utilisateurs et dont le développement coûte cher, les IA génératives auront bien du mal à échapper aux annonces. Comme on l’a vu avec les plateformes de streaming vidéo, la publicité est un levier de monétisation redoutable : les utilisateurs « gratuits » finissent par rapporter quelque chose, et ceux qui ne veulent pas de réclame paient pour s’en débarrasser.