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La dernière mise à jour de GarageBand snobe toujours Liquid Glass

Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais… Alors qu’Apple aimerait que sa communauté de développeurs adopte le plus vite possible Liquid Glass, la firme avance sur ce dossier à un rythme de sénateur.

Une nouvelle mise à jour de GarageBand est sortie hier sur le Mac App Store. Elle n’offre ni Liquid Glass ni icône adaptée à macOS Tahoe 26 (ce serait le strict minimum).

Apple ne brille pas par l’originalité dans ses notes de version. À l’image de GarageBand 10.4.12, la version 10.4.13 se contente d’évoquer « des améliorations de la stabilité et des corrections de bogues ».

Pour les applications de la suite iWork, la situation n’a toujours pas évolué. Pages, Numbers et Keynote ne sont toujours pas passés au Liquid Glass, alors même qu’Apple a publié, il y a déjà plusieurs mois, une capture d’écran de Keynote à la sauce Liquid Glass sur son site.

iWork attend toujours son bain de Liquid Glass

iWork attend toujours son bain de Liquid Glass

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La dernière mise à jour de GarageBand snobe toujours Liquid Glass

Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais… Alors qu’Apple aimerait que sa communauté de développeurs adopte le plus vite possible Liquid Glass, la firme avance sur ce dossier à un rythme de sénateur.

Une nouvelle mise à jour de GarageBand est sortie hier sur le Mac App Store. Elle n’offre ni Liquid Glass ni icône adaptée à macOS Tahoe 26 (ce serait le strict minimum).

Apple ne brille pas par l’originalité dans ses notes de version. À l’image de GarageBand 10.4.12, la version 10.4.13 se contente d’évoquer « des améliorations de la stabilité et des corrections de bogues ».

Pour les applications de la suite iWork, la situation n’a toujours pas évolué. Pages, Numbers et Keynote ne sont toujours pas passés au Liquid Glass, alors même qu’Apple a publié, il y a déjà plusieurs mois, une capture d’écran de Keynote à la sauce Liquid Glass sur son site.

iWork attend toujours son bain de Liquid Glass

iWork attend toujours son bain de Liquid Glass

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Rivian : le CarPlay « bashing » continue de plus belle

Pendant que Tesla semble (enfin) mettre de l’eau dans son vin, Rivian campe sur ses positions. Pour RJ Scaringe, le patron du constructeur de pick-up électriques, CarPlay reste une « bouée de sauvetage » dont ses clients n’ont tout simplement pas besoin.

Image : Rivian

Décidément, CarPlay ne fait plus l’unanimité. Alors que la technologie d’Apple s'est imposée comme un standard incontournable ces dernières années, certains constructeurs commencent à battre en retraite. À ce petit jeu, Tesla fait figure d’exception qui confirme la règle : après avoir longtemps ignoré les appels du pied de Cupertino, la firme d’Elon Musk travaillerait finalement sur une forme de prise en charge.

Il n’est pas interdit, au passage, de penser que ce soudain intérêt pour CarPlay est lié à un accord beaucoup plus large entre Apple et Elon Musk. Ce dernier souhaite pousser le plus possible Starlink sur les terminaux estampillés d’une pomme.

Tesla testerait l’intégration de CarPlay sur ses véhicules

Tesla testerait l’intégration de CarPlay sur ses véhicules

Rivian intègre Apple Music et l

Rivian intègre Apple Music et l'audio spatial dans ses véhicules, avec une option payante

L’exception Rivian

Le dernier adepte du « CarPlay bashing » n’est autre que Rivian. Pourtant, ce constructeur de pick-up et de vans électriques n’est pas allergique à l’écosystème Apple : ses véhicules intègrent nativement Apple Music et les modèles de deuxième génération supportent même la fonction Clé de voiture dans Cartes pour déverrouiller ou démarrer le moteur. Mais pour ce qui est de l'interface de l'iPhone sur l'écran central, c'est un « non » catégorique.

Les nouvelles Rivian compatibles avec la clé de voiture stockée dans Cartes

Les nouvelles Rivian compatibles avec la clé de voiture stockée dans Cartes

Image : Rivian

Alors que les rumeurs prêtent à Tesla l'intention d'intégrer CarPlay sous une forme ou une autre, RJ Scaringe, le CEO de Rivian, a profité d'une interview pour moquer cette potentielle capitulation. Pour lui, pas question de laisser Apple glisser une couche logicielle par-dessus la sienne.

L'IA, le nouvel argument de défense

Pourquoi un tel refus ? Selon Scaringe, le coupable est tout trouvé : l'intelligence artificielle. Pour Rivian, garder le contrôle total de l’expérience utilisateur est crucial, surtout à l'heure où les assistants intelligents s'apprêtent à gérer nos agendas et nos trajets. Insérer une « couche d'abstraction » ou d'agrégation tierce serait, selon lui, un risque stratégique majeur créant des dépendances difficiles à inverser.

Quant à l'idée d'intégrer CarPlay dans une fenêtre isolée au sein du système maison — le fameux « screen in a screen » que Tesla envisagerait —, Scaringe ne mâche pas ses mots :

« C’est une mauvaise interface et une mauvaise expérience utilisateur. Les conducteurs ont été habitués à des interfaces natives si médiocres que CarPlay est devenu la bouée de sauvetage pour s'échapper. »

Le syndrome de Stockholm des électromobilistes ?

Rivian ne semble pas craindre que ce refus rebute les acheteurs. La stratégie consiste à offrir une intégration logicielle si poussée (avec Google Maps, Apple Music et bientôt ChatGPT ou Gemini pour la partie IA) que CarPlay deviendrait superflu.

D'après le patron de Rivian, le manque de CarPlay est une peur de « primo-accédant » qui s'évapore une fois le véhicule en main :

« Le nombre de propriétaires de Tesla ou de Rivian qui se plaignent réellement de l'absence de CarPlay est très faible. Le nombre de personnes qui disent ne pas acheter une Rivian à cause de cela est plus élevé, mais une fois qu'ils ont goûté au système, ils se demandent pourquoi ils s'inquiétaient. »

Bref, ce n’est pas demain que l’immense écran d’un R1T affichera en gros les icônes de Messages, Plans, ou Calendrier : chez Rivian, l’iPhone restera sagement dans la poche… ou posé sur son socle de recharge par induction.

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Promo : l'Apple TV 4K à partir de 127,5 € jusqu'à 9 heures

Les promotions concernant l’Apple TV 4K sont rares. Celle-ci est particulièrement intéressante, mais attention : elle expire aujourd’hui à 9 h.

Sur une sélection de produits, dont les deux Apple TV 4K, il est possible d’obtenir 25 % de réduction en saisissant le code NOEL25 lors de l’achat.

Avec ce code, le modèle qui n’a que le Wi‑Fi et 64 Go d’espace de stockage passe ainsi de 169,99 € à 127,50 €. La réduction est aussi valable sur le modèle haut de gamme, qui passe de 189,99 € à 142,50 €.

Si ces promotions sont intéressantes sur le plan tarifaire, on rappellera qu’une nouvelle Apple TV est attendue pour début 2026. La nouvelle génération devrait notamment embarquer un système sur puce plus puissant avec 8 Go de RAM. De quoi faire tourner des jeux un peu plus ambitieux et offrir la prise en charge d’Apple Intelligence.

Reste que la gamme actuelle est tout à fait capable. Et qu’à ces prix‑là, c’est très tentant…

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Rivian : le CarPlay « bashing » continue de plus belle

Pendant que Tesla semble (enfin) mettre de l’eau dans son vin, Rivian campe sur ses positions. Pour RJ Scaringe, le patron du constructeur de pick-up électriques, CarPlay reste une « bouée de sauvetage » dont ses clients n’ont tout simplement pas besoin.

Image : Rivian

Décidément, CarPlay ne fait plus l’unanimité. Alors que la technologie d’Apple s'est imposée comme un standard incontournable ces dernières années, certains constructeurs commencent à battre en retraite. À ce petit jeu, Tesla fait figure d’exception qui confirme la règle : après avoir longtemps ignoré les appels du pied de Cupertino, la firme d’Elon Musk travaillerait finalement sur une forme de prise en charge.

Il n’est pas interdit, au passage, de penser que ce soudain intérêt pour CarPlay est lié à un accord beaucoup plus large entre Apple et Elon Musk. Ce dernier souhaite pousser le plus possible Starlink sur les terminaux estampillés d’une pomme.

Tesla testerait l’intégration de CarPlay sur ses véhicules

Tesla testerait l’intégration de CarPlay sur ses véhicules

Rivian intègre Apple Music et l

Rivian intègre Apple Music et l'audio spatial dans ses véhicules, avec une option payante

L’exception Rivian

Le dernier adepte du « CarPlay bashing » n’est autre que Rivian. Pourtant, ce constructeur de pick-up et de vans électriques n’est pas allergique à l’écosystème Apple : ses véhicules intègrent nativement Apple Music et les modèles de deuxième génération supportent même la fonction Clé de voiture dans Cartes pour déverrouiller ou démarrer le moteur. Mais pour ce qui est de l'interface de l'iPhone sur l'écran central, c'est un « non » catégorique.

Les nouvelles Rivian compatibles avec la clé de voiture stockée dans Cartes

Les nouvelles Rivian compatibles avec la clé de voiture stockée dans Cartes

Image : Rivian

Alors que les rumeurs prêtent à Tesla l'intention d'intégrer CarPlay sous une forme ou une autre, RJ Scaringe, le CEO de Rivian, a profité d'une interview pour moquer cette potentielle capitulation. Pour lui, pas question de laisser Apple glisser une couche logicielle par-dessus la sienne.

L'IA, le nouvel argument de défense

Pourquoi un tel refus ? Selon Scaringe, le coupable est tout trouvé : l'intelligence artificielle. Pour Rivian, garder le contrôle total de l’expérience utilisateur est crucial, surtout à l'heure où les assistants intelligents s'apprêtent à gérer nos agendas et nos trajets. Insérer une « couche d'abstraction » ou d'agrégation tierce serait, selon lui, un risque stratégique majeur créant des dépendances difficiles à inverser.

Quant à l'idée d'intégrer CarPlay dans une fenêtre isolée au sein du système maison — le fameux « screen in a screen » que Tesla envisagerait —, Scaringe ne mâche pas ses mots :

« C’est une mauvaise interface et une mauvaise expérience utilisateur. Les conducteurs ont été habitués à des interfaces natives si médiocres que CarPlay est devenu la bouée de sauvetage pour s'échapper. »

Le syndrome de Stockholm des électromobilistes ?

Rivian ne semble pas craindre que ce refus rebute les acheteurs. La stratégie consiste à offrir une intégration logicielle si poussée (avec Google Maps, Apple Music et bientôt ChatGPT ou Gemini pour la partie IA) que CarPlay deviendrait superflu.

D'après le patron de Rivian, le manque de CarPlay est une peur de « primo-accédant » qui s'évapore une fois le véhicule en main :

« Le nombre de propriétaires de Tesla ou de Rivian qui se plaignent réellement de l'absence de CarPlay est très faible. Le nombre de personnes qui disent ne pas acheter une Rivian à cause de cela est plus élevé, mais une fois qu'ils ont goûté au système, ils se demandent pourquoi ils s'inquiétaient. »

Bref, ce n’est pas demain que l’immense écran d’un R1T affichera en gros les icônes de Messages, Plans, ou Calendrier : chez Rivian, l’iPhone restera sagement dans la poche… ou posé sur son socle de recharge par induction.

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Promo : l'Apple TV 4K à partir de 127,5 € jusqu'à 9 heures

Les promotions concernant l’Apple TV 4K sont rares. Celle-ci est particulièrement intéressante, mais attention : elle expire aujourd’hui à 9 h.

Sur une sélection de produits, dont les deux Apple TV 4K, il est possible d’obtenir 25 % de réduction en saisissant le code NOEL25 lors de l’achat.

Avec ce code, le modèle qui n’a que le Wi‑Fi et 64 Go d’espace de stockage passe ainsi de 169,99 € à 127,50 €. La réduction est aussi valable sur le modèle haut de gamme, qui passe de 189,99 € à 142,50 €.

Si ces promotions sont intéressantes sur le plan tarifaire, on rappellera qu’une nouvelle Apple TV est attendue pour début 2026. La nouvelle génération devrait notamment embarquer un système sur puce plus puissant avec 8 Go de RAM. De quoi faire tourner des jeux un peu plus ambitieux et offrir la prise en charge d’Apple Intelligence.

Reste que la gamme actuelle est tout à fait capable. Et qu’à ces prix‑là, c’est très tentant…

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Soundcore Space One Pro : le casque qui bat les AirPods Max en promo à 130 €

Il y a encore quelques semaines, ce casque vous était peut-être inconnu, mais depuis il s'est fait un nom : le Soundcore Space One Pro d'Anker est arrivé en tête d'un comparatif devant de nombreux casques Premium, dont les AirPods Max.

Qualité audio : les AirPods Max battus par un casque à moins de 200 €

Qualité audio : les AirPods Max battus par un casque à moins de 200 €

Ce modèle est vendu en temps normal 200 €. Actuellement, il est proposé 130 €. C'est environ quatre fois moins cher que les AirPods Max.

Si ses qualités audio ont surpris le panel d'ingénieurs du son sélectionné par Wired, ce n'est pas le seul mérite de cet appareil. Ce casque dispose d'un système de réduction de bruit actif, offre la prise en charge du codec audio haute résolution LDAC pour une meilleure qualité sans fil, affiche une autonomie de 60 heures, dispose d'un système de recharge rapide, et embarque six microphones pour des appels clairs. Le casque en lui-même est pliable et dispose de nombreux réglages pour rendre son port le plus confortable possible.

À ce prix, vous avez le choix de la couleur : noir ou blanc crème.

Si vous cherchez du matériel premier prix, sachez que Soundcore propose des équivalents d'AirPods à 17 €, une enceinte Bluetooth portative à 39 € ou encore un casque classique à 29 €.

SoundCore a également dans son catalogue les Soundcore Liberty 4 Pro à 96 €. Ces écouteurs ont un positionnement similaire aux AirPods Pro. À noter que leur boitier dispose d'un petit écran vous donnant l'information sur l'autonomie des écouteurs. Enfin, si vous cherchez des écouteurs pour le sport, vous avez le choix entre les soundcore AeroFit 2 à 80 € et les Soundcore Sport X20 à 63 €.

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Studio Dock Pro : l'écran qui transforme le Mac mini M4 en iMac 27

Cachez ce Mac mini M4 que je ne saurais voir ! Si le petit ordinateur d’Apple ne prend pas beaucoup de place, c’est visiblement encore trop pour certains. Avec le Studio Dock Pro, ses créateurs cherchent ni plus ni moins à ressusciter l’iMac 27 pouces.

Le projet, porté par l'entreprise Vexltech sur Kickstarter, repose sur une idée séduisante pour qui pleure encore la disparition du tout-en-un grand format d'Apple : un moniteur dont le pied est conçu pour avaler littéralement le Mac mini. Le résultat est un système tout-en-un qui, avouons-le, lorgne très fortement sur le design du Studio Display.

Une dalle 5K qui a de l'allure

Sur le papier, le Studio Dock Pro ne manque pas d'arguments. Il s'articule autour d'une dalle IPS de 27 pouces affichant une définition 5K de 5 120 x 2 880 pixels. La luminosité grimpe jusqu'à 800 nits et l'écran couvre 99 % de l'espace colorimétrique DCI-P3. Seule petite ombre au tableau pour les joueurs, la fréquence de rafraîchissement reste bloquée à 60 Hz. Le pied permet également une utilisation à la verticale.

Notez qu'une version "Mini" est aussi proposée : un petit écran 4K de 15,6 pouces, mais ici, le Mac mini reste à l'extérieur, logé dans un dock séparé.

Taillé exclusivement pour le M4

Attention toutefois, ce châssis est fait sur mesure. Les versions Standard et Premium du Studio Dock Pro sont spécifiquement moulées pour accueillir le Mac mini M4. Les modèles précédents (M1, M2), plus larges, ne rentreront pas. L'ordinateur se glisse à la verticale par l'arrière du pied, et sa connectique vient s'interfacer directement avec l'écran.

C'est là que Vexltech tente de se démarquer. La version Premium prend en charge le Thunderbolt 5, tandis que le modèle standard se contente de l'USB 3.2 Gen2 (10 Gb/s). Le modèle haut de gamme ajoute également un port Ethernet 2,5 Gb/s et un lecteur de cartes SD. Pour le reste, on retrouve sur les deux modèles deux ports USB-A et un USB-C (10 Gb/s) situés dans la base du pied pour un accès facile, ainsi qu'un emplacement pour SSD M.2, transformant l'écran en hub de stockage externe.

Patience (et prudence) de rigueur

Comme toujours avec Kickstarter, il ne s'agit pas d'un achat en magasin. C'est le premier projet de Vexltech, ce qui incite à la prudence. Côté tarifs, le ticket d'entrée est fixé à 600 $ pour la version standard et 700 $ pour la version Premium. La version "Mini" de 15 pouces débute à 200 $.

Mais le véritable prix à payer pourrait être celui de la patience : la livraison n'est pas prévue avant mars 2026. D'ici là, le Mac mini M5 aura peut-être déjà pointé le bout de son nez, rendant potentiellement l'accessoire obsolète avant même son arrivée sur votre bureau.

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Sherlocké avant d’être né, l'utilitaire LightBuddy veut illuminer vos appels vidéo

L’utilisation d’un anneau lumineux (ring light) est désormais monnaie courante chez les forçats de la visioconférence. C’est un accessoire abordable, pratique et qui améliore grandement le rendu vidéo. Mais cela prend de la place… D’où la bonne idée d’Apple d’en créer une version virtuelle dans macOS 26.2. Figurez-vous que celle-ci a déjà de la concurrence : LightBuddy se veut une alternative plus aboutie. Mais parler de « sherlocking » au sens strict serait ici inexact, car la genèse du projet remonte à plus loin.

Éclairage des bords : coup d

Éclairage des bords : coup d'œil sur l'anneau lumineux de macOS 26.2

Un « sherlocking » en guise de validation

Tout est parti d’un agacement familier pour le développeur Gui Rambo. Fatigué de devoir installer et désinstaller son éclairage physique à chaque appel pour éviter les ombres disgracieuses causées par l'éclairage de son bureau, il a réalisé qu’il avait déjà une gigantesque source lumineuse programmable sous les yeux : son écran. Un prototype bricolé à la va-vite sous Xcode au milieu de l’été avait permis de valider le concept, avant d'être aussitôt remisé au placard, son auteur jugeant l'idée finalement assez médiocre et indigne d'être commercialisée.

C’est là que l’ironie du sort intervient. En découvrant qu’Apple intégrait une fonction quasi identique, « Edge Light », dans la bêta de novembre, Rambo n'a pas vu rouge, mais y a vu une validation inespérée. Ce « sherlocking » d'un projet fantôme l'a convaincu que l'idée avait finalement un vrai potentiel commercial. Pariant sur le fait que l'implémentation de la Pomme se contenterait du minimum syndical, il a décidé de dépoussiérer son code pour offrir davantage d'options de personnalisation, prouvant que l'arrivée d'une fonction native est parfois le meilleur stimulant pour les développeurs tiers.

Au-delà du minimum syndical

Là où la fonction native d’Apple impose ses habituelles barrières à l’entrée (macOS 26.2 et une puce Apple Silicon obligatoires), LightBuddy joue la carte de l'ouverture. L’utilitaire tourne encore sur les Mac Intel et se contente de macOS Sonoma (14.0), permettant à ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas faire la mise à jour de profiter de l'éclairage.

L'application s'affranchit également des contraintes matérielles : elle fonctionne sur n'importe quel moniteur tiers et gère le multi-écran. On peut ainsi transformer l'écran d'un MacBook posé sur le côté en source de lumière secondaire pour déboucher les ombres, ou simplement activer l'éclairage manuellement sans que cela soit lié à l'activation de la webcam.

Sur le plan technique, Gui Rambo propose quelques raffinements bienvenus pour les utilisateurs exigeants. On retient surtout la prise en charge du HDR, qui permet de pousser la luminosité du cadre lumineux bien au-delà du reste de l'interface. Si la plupart des utilisateurs s'en tiendront au réglage de la température de couleur, l'application permet aussi de choisir n'importe quelle teinte, du vert au rose. Le développeur promet d'ailleurs d'enrichir sa copie rapidement, notamment avec le support des Raccourcis et une compensation automatique de l'affichage True Tone.

LightBuddy est distribué sous la forme d'un shareware vendu 4,99 €. Cela reste moins cher qu’un véritable anneau lumineux.

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ChatGPT pourrait bientôt créer vos playlists Apple Music

ChatGPT pourrait bientôt créer vos playlists Apple Music Alors qu’ils sont appelés à devenir rivaux — dixit Sam Altman —, Apple et OpenAI collaborent pourtant étroitement. Après l'intégration à venir dans Siri, le prochain terrain d'entente pourrait être Apple Music. C'est du moins ce que laisse penser un post de Fidji Simo, la directrice générale des applications d’OpenAI. Seul souci : la mention du service d’Apple a été discrètement retirée entre-temps.

La patronne des apps vend la mèche

Dans un billet publié sur Substack, Fidji Simo évoquait l'arrivée imminente d'un répertoire d'applications plus vaste pour le chatbot. Celle qui est désormais CEO of Applications chez OpenAI (après avoir dirigé Instacart) y listait noir sur blanc Apple Music parmi les partenaires attendus.

Si la mention a disparu depuis, le signal est fort. OpenAI semble vouloir transformer ChatGPT en véritable hub de services, où l'utilisateur n'a plus qu'à demander pour obtenir, sans jongler entre les apps.

Le DJ, c'est l'IA

Concrètement, si cette fonction voit le jour, elle devrait fonctionner sur le même modèle que l'intégration actuelle de Spotify. Le principe est d'une simplicité biblique : vous mentionnez l'application dans votre prompt, vous expliquez ce que vous voulez écouter, et l'IA s'occupe du reste.

IA : Spotify crée des playlists à partir de prompts

IA : Spotify crée des playlists à partir de prompts

Fini la recherche manuelle laborieuse. ChatGPT pourrait trier, sélectionner et ordonner les morceaux pour générer une liste de lecture prête à l'emploi dans Apple Music. L'intérêt réside surtout dans la compréhension du contexte : vous pourrez décrire une ambiance, une bande originale vague ou un vibe dont vous avez un souvenir flou, et laisser l'algorithme affiner la recherche bien plus vite que vous ne l'auriez fait à la main.

Reste une inconnue : le calendrier. La suppression de la référence à Apple Music suggère que l'annonce était peut-être prématurée, mais la direction est claire. ChatGPT veut devenir l'interface de commande, laissant à votre application de musique le simple rôle de lecteur. Mais sur le papier, est-ce que cela ne devrait pas être le rôle de Siri de faire tout ça ? Sam Altman n’a peut-être pas tort…

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple

Oubliez Google : le véritable rival d’OpenAI pour Sam Altman, c’est Apple

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Wi-Fi : Apple garderait sa puce N1 pour ses produits premium

La puce N1 ne serait pas déployée aussi rapidement que certains l’espéraient dans les prochains produits Apple. MacRumors, notamment, imaginait qu’elle se retrouverait au cœur d’une bonne partie du catalogue dès l’an prochain, à commencer par le HomePod mini 2. Sauf que les dernières fuites du moment racontent une autre histoire. De quoi doucher les espoirs de ceux qui misaient sur une adoption « rapide » du Wi-Fi 7 sur tous les produits Apple.

Un macOS kernel debug kit distribué par Apple plus tôt cette année contiendrait des références à plusieurs appareils à venir, dont le HomePod mini 2. Dans le code associé à ce modèle, on trouve la mention d’un système sans-fil baptisé « Sunrise », qui correspondrait au nom interne des puces Wi-Fi/Bluetooth fournies par MediaTek.

À l’inverse, la N1 est visiblement identifiée sous un autre nom dans les systèmes internes d’Apple : « Centauri ».

Le HomePod mini 2 resterait chez MediaTek

Si l’on se fie à cette mention « Sunrise », le HomePod mini 2 ne profiterait donc pas de la N1. Un scénario qui contredit certaines rumeurs précédentes : Mark Gurman avait par le passé évoqué l’arrivée de la N1 à la fois dans l’Apple TV et le HomePod mini.

Autrement dit, soit Apple a revu ses plans entre temps, soit la N1 ne sera pas un remplacement immédiat et systématique des solutions de partenaires sur toute la gamme.

Une N1 réservée aux produits « premium » ?

La lecture la plus logique, à ce stade, c’est qu’Apple garderait sa puce réseau maison pour des produits plus ambitieux, tout en continuant à s’appuyer sur du matériel MediaTek sur l’entrée de gamme (au moins temporairement). Dans ce scénario, le HomePod mini 2 ne serait pas un cas isolé : l’iPhone 17e, l’iPad 12 et même un MacBook A18 Pro sont eux aussi attendus avec des puces MediaTek plutôt qu’avec la N1.

Introduite avec les iPhone 17, la N1 est le premier chip réseau conçu en interne par Apple. Elle prend en charge le Bluetooth 6, le Wi-Fi 7 et Thread. Et comme souvent quand Apple maîtrise un composant clé, la promesse est double : une intégration plus fine avec le matériel et le logiciel… et à la clé, de meilleurs gains d’efficacité et de fiabilité.

Pour les utilisateurs, l’adoption rapide de la puce N1 était synonyme d’une adoption rapide du Wi-Fi 7. Malheureusement, cela ne semble pas être le cas.

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Crucial écoule ses stocks de SSD Externe : 1 To dès 80 €, 2 To dès 133 €, 4 To dès 240 €

RAM, SSD, stockage… Il est devenu difficile de faire de bonnes affaires, la faute à la frénésie d’achats causée par le boom des intelligences artificielles génératives.

On ignore si ces promotions sont liées au fait que Crucial va bientôt fermer rideau, mais elles sont intéressantes.

Les Crucial X10 Pro à partir de 150 €

Si vous êtes à la recherche d’un peu de stockage, on vous recommande de jeter un œil à ces SSD externes de Crucial. Il est possible de faire l’acquisition du X10 Pro 2 To pour 150 €, soit 45 € de moins que son prix public. Le modèle 4 To est proposé pour sa part à 295 €.

Les Crucial X10 Pro font partie des SSD externes haut de gamme sortis en 2023 : avec des débits annoncés jusqu’à 2 100 Mo/s en lecture et 2 000 Mo/s en écriture, ils visent ceux qui manipulent de gros fichiers au quotidien — vidéo, photo, bibliothèques de projets, sauvegardes rapides. À l’intérieur, on trouve de la mémoire 3D TLC en NVMe (bus PCIe), reliée en USB 3.2 Gen2x2 Type-C, et un chiffrement matériel AES 256 bits pour sécuriser les données sans plomber les performances. Le tout tient dans un boîtier en aluminium très compact (65 × 50 × 10 mm, 42 g) et conçu pour encaisser : IP55 (poussière/éclaboussures), résistant aux chocs, et annoncé comme hydrofuge.

Test des Crucial X9 Pro et X10 Pro, deux SSD externes compacts et rapides

Test des Crucial X9 Pro et X10 Pro, deux SSD externes compacts et rapides

Les Crucial X9 à partir de 80 €

Les Crucial X9 jouent une partition plus simple que les X10 Pro : ce sont des SSD externes compacts et faciles à emporter, pensés avant tout pour augmenter rapidement l’espace de stockage et déplacer des fichiers sans prise de tête. Ils misent sur un format discret, un boîtier conçu pour résister à la vie nomade et une connexion USB-C pour fonctionner aussi bien avec un Mac qu’avec un PC ou certains appareils mobiles. Ils offrent jusqu’à 1 050 Mo/s en lecture, et à peu près autant en écriture. En clair : une solution sobre et pratique pour des sauvegardes, des bibliothèques photo/vidéo, ou du stockage d’appoint au quotidien.

Bref, des SSD moins performants, mais des prix encore plus doux :

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Le prix des iPad Pro M5 commence enfin à baisser

Si le prix des MacBook Pro M5 ont rapidement baissé, celui des iPad Pro M5 sont resté longtemps stable si l’on met de côté les filiales d’import.

Voici les différents modèles qui font l’objet d’une promotion :

Seuls les modèles Wi-Fi sont concernés par cette promotion. Pour toutes ces références, Amazon promet une livraison avant Noël. Si le prix est le facteur premier dans votre choix, on trouve par exemple des iPad Pro M5 11” 256 Go 899 € chez Rakuten. Il s’agit d’un modèle d’import. Quitte à se répéter, vu l’économie constatée, on ne peut que vous conseiller de prendre un contrat Apple Care.

Test des iPad Pro M5 : toujours plus forts, pas vraiment plus pros

Test des iPad Pro M5 : toujours plus forts, pas vraiment plus pros

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Une vieille bêta d’iOS 26 met au jour des dizaines de nouveautés logicielles à venir

Pour le plus grand malheur des dirigeants d’Apple, une vieille bêta d’iOS 19 (avant qu’Apple ne décide de la renommer iOS 26) circule dans la nature. Cette version n’avait évidemment pas vocation à sortir des laboratoires de Cupertino. Elle contient de nombreuses informations sur les produits à venir — que nous avons déjà détaillées dans un autre article — mais aussi une moisson d’indices sur les futures fonctionnalités et services de la marque.

Le code d

Le code d'iOS 19 révèle les produits en gestation chez Apple (Mac, iPhone...) pour 2026 et les années à venir !

Toujours à partir de cette même bêta, Macworld avait déjà publié une liste de fonctionnalités en chantier chez Apple pour iOS 27.

Une build interne d’iOS 26 dévoile les plans d’Apple jusqu’à iOS 27

Une build interne d’iOS 26 dévoile les plans d’Apple jusqu’à iOS 27

MacRumors va un peu plus loin en listant tout ce que renferme cette vieille bêta. Parfois, le nom de certaines fonctions se laisse deviner sans effort, parfois, c’est nettement plus obscur. Quoi qu’il en soit, voilà ce qu’il en ressort.

Des produits en filigrane

Premier objet non identifié : un accessoire domotique rattaché à l’architecture J229. Le code ne dit pas clairement ce que c’est, mais il parle tout de même de briques comme sensor manager et sensing predict models, ce qui colle assez bien avec l’idée d’un produit bardé de capteurs. MacRumors évoque deux hypothèses : la caméra de sécurité dont les rumeurs se font plus insistantes depuis quelques temps ou une autre plus terre-à-terre : une base autonome pour le futur Home Hub.

L’AirTag 2 apparaît ensuite en filigrane, avec plusieurs intitulés qui pointent vers des améliorations de fond : Bluetooth, gestion de batterie faible, et progrès sur la localisation participative. Dans les chaînes remontées, on retrouve notamment AirTag2025_Phone_Finding, AirTag2025_Watch_Finding, Distribution, Battery et Switchover. Le détail amusant, c’est justement ce AirTag2025… : Apple visait vraiment une sortie en 2025. Il n’est pas trop tard, mais cela semble désormais hautement improbable.

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Qu'attendre des AirTag 2, promis avant la fin de l'année ?

Les AirPods, eux, sont associés à une salve de fonctions datées printemps 2026 : ContextualReminders, ConversationBreakthroughVQA et Visual Lookup. D’autres entrées vont dans le sens d’une meilleure compréhension de l’environnement, comme Precise outdoor location understanding et Room Aware Connect Controls. On croise aussi une technologie estampillée automne 2025, Extended_Precision_Finding_Core_Tech, ainsi qu’un intitulé qui intrigue : SRAudioMixing - Mix audio with the active streaming device. Si l’on se fie au libellé brut, Apple voudrait mieux gérer le mélange audio avec l’appareil qui streame déjà.

Enfin, côté Vision Pro, une bascule de fonctionnalité mentionne Enable AUSM Enhanced Room Spatializer, avec un marquage printemps 2026. Là encore, c’est succinct, mais ça confirme qu’Apple continue d’améliorer la brique audio de son casque.

Fonctionnalités iOS 26 et iOS 27 : le grand inventaire

Le gros morceau, c’est la liste de fonctions logicielles — certaines pour iOS 26 au fil des mises à jour, d’autres qui ressemblent davantage à des chantiers iOS 27.

Le cas le plus parlant : Health+, daté printemps 2026, qui fait évidemment écho aux rumeurs d’un service santé « dopé à l’IA ». Dans le même panier, on voit passer Gumdrop (sans explication limpide) et une mention beaucoup plus lointaine, Geronimo, associée à 2030 : difficile d’y voir autre chose qu’un marqueur interne à ce stade.

Health+ : le service de santé d

Health+ : le service de santé d'Apple attendu pour 2026

Les sous-titres en direct reviennent aussi, avec une extension à davantage de langues (taguée WWDC 2026). Et, côté accessibilité, une autre chaîne apparaît : LiveCaptionsForAll — sans qu’on sache si cela désigne une version plus large, plus systématique, ou simplement un renommage interne.

Sur le front des paiements, AutoFillUI est associé à l’automne 2026 : l’idée, c’est que des apps tierces puissent accéder au remplissage automatique des cartes bancaires, là où aujourd’hui on s’en remet surtout à Apple Pay ou à la capture de carte à la volée.

Siri revient évidemment dans la liste, avec un marquage printemps 2026 et une grappe de chaînes qui donnent une idée de la direction : IntelligenceFlow, PlanOverrides, SpotlightPersonalAnswersSiri, SpotlightSearchToolLLMQueryUnderstanding et SpotlightExtSemanticSearch. Dit autrement : Apple cherche plus que jamais à relier Siri à Spotlight, avec une couche de compréhension sémantique plus ambitieuse. Mais précisons que la bêta d’où provient ces information date d’il y a près d’un an. Entre-temps, Apple a beaucoup tergiversé au sujet de Siri et a revu en grande partie ses plans.

Deux apps « modestes » gagnent aussi un peu d’épaisseur. Freeform récupérerait des dossiers au printemps 2026 (c’est pas trop tôt !). Et Journal afficherait des relances pour continuer l’écriture, via Followup prompts (printemps 2026 également).

Wallet se signale avec des notifications liées aux paiements à venir : BankConnectUpcomingPaymentNotifications et AppleCardUpcomingPaymentNotifications, taguées WWDC 2026.

Photos n’est pas en reste, avec Photos Connections et Shared Collections, cette fois calées sur l’automne 2026. Enfin, un intitulé plus étrange se glisse entre deux lignes : Dynamic Sports Tier Manager, associé au printemps 2026.

2027 : le sommeil comme chantier de fond

Plus loin, quelques entrées sont taguées WWDC 2027 et tournent autour du sommeil : sleepCloudKitManatee, sleepCloudKitSync, sleepOnIpad et sleepOnMac. Les noms parlent d’eux-mêmes : synchronisation iCloud/CloudKit et extension plus nette de ces fonctions au Mac et à l’iPad.

Accessibilité : une pluie de chaînes

Dans les entrées accessibilité, on note aussi Background Sounds avec une version 2 en chantier. Sur Mac, il est question de Full Keyboard Access VoiceOver Support for macOS, et d’une extension de la plage de tailles de police.

L’app Loupe se voit associée à des intitulés très concrets : Announce Stairs (annoncer les escaliers), Find My Item (trouver un objet) et Human Hand Pose (pose de la main / position de la main).

Live Listen récupère de nouveaux contrôles : Live Listen controls from watch, Live Mic levels on watch, et une option Rewind 30 seconds pour revenir en arrière.

Enfin, on trouve une fonction intitulée Tilt to Scroll.

Autres indices : appels, finances, Mail, Podcasts, stickers

Pour les appels, CallKit mentionne une option Push-to-Talk. Et ConversationKit glisse une chaîne au nom assez mystérieux : Experimental_CallScreening_LiveActivity.

Une section FinHealth évoque reverse lookup (recherche inversée), habitual spend (dépenses habituelles) et spending summaries (résumés de dépenses). Là aussi, c’est parlant. Cela pourrait être lié à Apple Card.

Mail mentionne CatchUpHighlightsV2, daté hiver 2025.

Podcasts, enfin, accumule les petits chantiers : activation du “Home Siri assistant” dans CarPlay, une page Connected Subscriptions Account settings page, un bouton pour traduire une transcription, et la possibilité de toucher un paragraphe traduit pour l’entendre lu à voix haute.

Et visionOS se voit attribuer un bloc “stickers”, avec une fonction de création, des “sticker effects”, et même de la création d’emoji.

Une photo datée, pas une prophétie

Dernier rappel (et c’est le plus important) : ce leak est une photographie figée. Certaines fonctions peuvent avoir changé de nom, de périmètre, ou avoir été purement abandonnées. D’autres ont peut-être déjà été repoussées. Et, évidemment, tout cela ne reflète pas l’intégralité de ce qu’Apple prépare — seulement ce que cette build a laissé traîner derrière elle.

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Le code d'iOS 19 révèle les produits en gestation chez Apple (Mac, iPhone...) pour 2026 et les années à venir !

C'est le cauchemar absolu de Tim Cook et le rêve de tout passionné de tech. Une brèche de sécurité rarissime vient de faire voler en éclats le culte du secret d'Apple. Tout est parti d'un simple prototype vendu sous le manteau : en analysant ses entrailles, on n'a pas seulement trouvé un nouveau logiciel, mais une véritable machine à voyager dans le temps.

Cachée dans les lignes de code d'une version primitive d'iOS 26, la feuille de route complète d'Apple pour les années à venir a été exposée. Oubliez les analystes et les rumeurs floues : le code ne ment pas. Voici ce qui nous attend.

L’origine du leak

Comment Apple a-t-elle pu laisser filer autant d'infos ? Tout part d'un prototype matériel vendu sous le manteau.

L'appareil tournait sous une version très précoce de ce qui deviendra iOS 26.

  • Le numéro de build : 23A5234w. Pour les personnes en quête de scoop, c'est de l'or. La première bêta développeur d'iOS 26 était la 23A5260n. Ce logiciel est donc antérieur à la sortie officielle des bêtas. Autrement dit, il n’était pas du tout destiné à sortir des laboratoires de Cupertino

  • La confusion "iOS 19" : À ce stade de développement, Apple appelait encore ce système "iOS 19" en interne. Il est d’ailleurs fort probable qu’elle n’était même pas dotée de Liquid Glass, à l’image de ces photos qui ont circulé la semaine dernière.

Un prototype d

Un prototype d'iPhone 16 Pro sous iOS 19, sans Liquid Glass

Toute la semaine dernière, Macworld a distillé des informations sur des produits attendus dans les prochains mois. On aurait très bien pu s’en contenter — et c’était déjà pas mal. Mais quelqu’un a ensuite transmis à MacRumors l’ensemble des fonctionnalités et des noms de code présents dans cette bêta. De quoi obtenir, d’un seul coup, un aperçu particulièrement complet de ce que prépare la marque à la pomme. Gardez toutefois un point en tête : on parle d’une photo à l’instant T, figée il y a presque un an.

120 Hz, HDR, A19 : du code laisse entrevoir les caractéristiques du prochain Studio Display

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HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile

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Une build interne d’iOS 26 dévoile les plans d’Apple jusqu’à iOS 27

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iPhone : Le "Pliant" est confirmé (et bien plus)

C’est sans doute la section la plus attendue. Le code confirme qu’Apple travaille activement sur plusieurs nouvelles références, dont le fameux « Graal ». Rappelons qu’Apple a prévu de changer son calendrier pour la sortie de ses nouveaux iPhone. Les modèles Pro et l’iPhone pliant sont attendus à la rentrée, alors que les modèles « standard » auraient droit à leur mise à jour au printemps.

iPhone Air, Pro et pliable : Apple prépare de grands bouleversements

iPhone Air, Pro et pliable : Apple prépare de grands bouleversements

  • L'iPhone Pliant (V68) : Il existe ! C'est la première fois qu'un nom de code (V68) est aussi clairement associé à un "Foldable iPhone".

  • iPhone 17e (V159) : Le nouveau modèle d'entrée/milieu de gamme est attendu pour le printemps

  • iPhone Air 2 (V62) : Attention, le code indique que ce logiciel date d'avant la décision supposée d'Apple de retarder ce modèle. Il pourrait donc être en pause.

  • La gamme iPhone 18 : Les modèles Pro (V63) et Pro Max (V64) sont déjà référencés.

Image : MacRumors

AirTags et Maison : de nombreux produits dans les tuyaux

La maison connectée devrait être l’un des grands thèmes de 2026, si l’on en croit le nombre de références en gestation chez Apple. Certains produits, d’ailleurs, comme le fameux HomePad, auraient déjà dû sortir à vrai dire si Apple n’avait pas enchaîné les déboires avec Siri.

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile

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  • Le robot de table (J595) : la rumeur n’est pas entièrement nouvelle. La mention d’un robot de table a été évoquée en octobre notamment. Conçu comme une évolution directe du Home Hub, l’appareil reprendrait l’apparence du futur écran domestique, mais reposerait sur un bras motorisé capable de déplacer l’écran autour de l’utilisateur, que ce soit dans un bureau ou une cuisine. Un tel produit n’est pas attendu avant 2027.
  • Le Home Hub (que l’on a tendance à appeler HomePad) : il serait décliné en deux versions, J490 (avec une base) et J491 (une version murale). Ce produit devrait être présenté au printemps.
  • Accessoire mystère (J229) : possiblement une base autonome ou la fameuse caméra de sécurité, de plus en plus présente dans les rumeurs, et qui serait un complément idéal au Home Hub.
  • AirTag 2 (B589) : la nouvelle génération du traqueur est en route, probablement pour 2026.
  • HomePod mini 2 (B525) : on espérait ce produit pour 2025, ce sera manifestement pour 2026.

iPad : une année sans surprise

Alors que les iPad Pro sont récemment sortis, Apple travaille déjà à des successeurs de l’iPad A16 et de l’iPad Air M3. Cela tombe bien : le code d’iOS 19 contient des références relatives à ces modèles.

Une question reste sur toutes les lèvres, ou presque : quid de l’iPad mini ? [Mise à jour : l'iPad mini 8 a finalement été identifié dans la liste. Ouf ! Il aurait même une puce A20 Pro.]

Mac : le MacBook low-cost existe bel et bien

La roadmap des Mac est gargantuesque. On y trouve des MacBook Pro M5 et M6, ainsi que le fameux MacBook « low cost ». 2026 devrait être une très belle année pour le Mac, à moins que la hausse du prix de la RAM ne vienne quelque peu gâcher la fête.

OLED, tactile, 5G : le futur MacBook Pro M6 s’annonce spectaculaire

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2026 : la feuille de route d’Apple pour le Mac (et elle est chargée)

2026 : la feuille de route d’Apple pour le Mac (et elle est chargée)

  • MacBook entrée de gamme avec A18 Pro (J700) :sans doute le Mac le plus attendu l’année prochaine.
  • MacBook Pro M5 Pro/Max - J714c, J714s, J716c, J716s (modèles 14 et 16 pouces avec variantes de puces M5 Pro et Max) : Apple a déjà sorti le MacBook Pro M5 de base. La transition devrait être bouclée au premier trimestre 2026.
  • MacBook Air M5 - J813 et J815 (formats 13 et 15 pouces) : le MacBook Air M5 ne devrait pas connaitre de changements majeurs si ce n’est l’adoption de cette nouvelle puce.
  •  Mac Studio M5 - J775c et J775d (variantes M5 Max et M5 Ultra) : cela pourrait être le one more thing de la WWDC
  • Mac mini M5 - J873g et J873s (variantes M5 et M5 Pro) : le Mac de bureau par excellence ?
  • MacBook Pro 14 pouces M6 - J804 : ce modèle ne devrait pas être doté du nouveau design en cours d’élaboration chez Apple.
  • MacBook Pro M6 Pro/Max - K114c, K114s, K116c, K116s (modèles 14 et 16 pouces avec puces M6 Pro et M6 Max) : cette gamme est attendue soit pour fin 2026, soit pour début 2027

A cela, il faut ajouter un Apple Studio Display 2 (J427 et J527). Il n’y a par contre nulle trace de Mac Pro. L’iMac n’est pas mentionné non plus !

Du code relatif aux lunettes d’Apple

Plus que jamais, il convient d’insister sur le fait que la build qui a fuité a un an d’âge. Les ambitions d’Apple en matière de VR/AR ont beaucoup évolué ces derniers mois.

Pas d

Pas d'écran, mais de l'IA : voici à quoi pourraient ressembler les premières lunettes d'Apple

  • Casque Vision Air - N100 : une version plus légère et plus abordable du Vision Pro. On ignore si ce modèle est encore une priorité chez Apple.
  • Prototype de lunettes AR - N421 (un prototype de lunettes de réalité augmentée légères, qui aurait été abandonné)
  • Lunettes AR connectées au Mac - N107 : des lunettes de réalité augmentée se connectant à un Mac, qui auraient été abandonnées). C’est sans doute ce modèle qui avait semé la confusion au premier trimestre. Gurman avait d’abord laissé entendre qu’Apple abandonnait l’idée de développer des lunettes connectées.
  • Vision Pro plus abordable - N109 : aussi désigné comme Vision Pro de deuxième génération. Est-ce le Vision Pro M5 sorti récemment ?
  • Lunettes connectées IA - N50, mais Apple les référence désormais comme N401 (concurrent des Ray-Ban Meta)
  • Apple Watch Series 12 - N237 et N238 : Wi-Fi et Cellulaire, du grand classique
  • Apple Watch Ultra 4 - N240 : avec une seule question, aura-t-on le droit à une sortie en 2026 ou en 2027 ?

Les puces en préparation

Dans ces fichiers, on trouve également des noms de code de nombreuses puces.

Puce Nom de code Utilisation probable
U3 T2034 Ultra Wideband pour les AirTags et les iPhone
M5 T6050 Déjà sur le MacBook Pro, l’iPad Pro et le Vision Pro
M6 T8152 Pour les terminaux à partie de fin 2026
A20 T8160 Pour les iPhone 18
S11 T8320 Apple Watch Series 11/12

Cette liste n’a rien de surprenant en soi. Il existe aussi plusieurs noms de code mystérieux, sans lien avec les rumeurs actuelles. Mais retenez bien ces codes : ce sont peut-être les rumeurs de demain — N110, N209, N216, J349, J190 et J226.

Notez enfin qu’il y a un versant logiciel à ces révélations. Vous pouvez retrouver toutes les fonctionnalités en gestation chez Apple dans cet article :

Une vieille bêta d’iOS 26 met au jour des dizaines de nouveautés logicielles à venir

Une vieille bêta d’iOS 26 met au jour des dizaines de nouveautés logicielles à venir

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Apple Watch chez Free : la 5G ne serait pas au menu, d’après watchOS 26.2

Il n’est pas impossible que Free lève enfin le voile sur son offre Apple Watch aujourd’hui même. En attendant l'annonce officielle, une découverte non négligeable a été partagée par TiinoX83 sur les réseaux sociaux. L'analyse du fichier de configuration opérateur (IPCC) destiné à Free Mobile a permis de mettre en lumière plusieurs informations cruciales sur la connectivité de la montre connectée. Première observation : la 5G ne sera pas prise en charge.

watchOS 26.2 apporte la compatibilité avec le réseau Free Mobile

watchOS 26.2 apporte la compatibilité avec le réseau Free Mobile

La VoLTE au programme

Si l'absence de 5G peut décevoir, il faut rappeler que sa prise en charge est pour le moment limitée à une poignée de modèles sur le marché. Précisons que si Orange offre la prise en charge de la 5G sur la toquante d’Apple, ce n’est pas le cas de SFR. D’autre part, le fichier de configuration confirme cependant une prise en charge complète de la 4G, socle de la connectivité de la montre.

Les paramètres indiquent l'activation de la VoLTE (Voice over LTE), garantissant des appels de bonne qualité. Cette qualité audio est renforcée par la présence du codec EVS-WB (Enhanced Voice Services - Wideband). Concrètement, cela signifie que les abonnés profiteront d'une voix en haute définition (16 kHz) avec un débit allant jusqu’à 24,4 kb/s.

Je viens de décortiquer le carrier bundle watchOS de Free Mobile (37.1), et voilà quelques infos

✅ 4G
❌ 5G
✅ VoLTE
✅ VoWiFi (également autorisé en roaming)
✅ SMS via 4G
✅ SMS via Wi-Fi
✅ IPv6
✅ Codec EVS-WB (16 kHz, jusqu’à 24,4 kb/s)
✅ Itinérance Orange 2G/3G autorisé pic.twitter.com/z6ibWmw48l

— Tiino-X83 (@TiinoX83) December 14, 2025

VoWiFi et continuité des services

L'autre bonne nouvelle concerne la couverture en intérieur. Le profil opérateur valide la présence du VoWiFi (appels via Wi-Fi), une fonctionnalité essentielle lorsque le réseau cellulaire pénètre mal dans les bâtiments. Fait notable : cette fonction est également autorisée en roaming, ce qui laisse à penser que l’offre de Free fonctionnera à l’étranger.

Côté messagerie, la continuité est assurée : l'envoi et la réception de SMS sont configurés pour fonctionner aussi bien via le réseau 4G que via le Wi-Fi. Enfin, et c’est tout sauf une surprise concernant Free, la prise en charge de l’IPv6 est bel et bien au programme.

L’itinérance Orange : un filet de sécurité bien actif

Le fichier de configuration révèle également un point important pour la couverture : l'itinérance sur le réseau Orange 2G/3G est officiellement autorisée.

Contrairement à certaines idées reçues, cette option est loin d'être anecdotique. En effet, les modèles d’Apple Watch avec connectivité cellulaire (ceux de 2024 comme les générations précédentes) sont parfaitement compatibles avec les réseaux 3G. Cette configuration signifie donc que dans les zones où le réseau propre de Free ne passe pas, la montre devrait être capable de basculer automatiquement sur le réseau partenaire Orange. Cela assure une continuité de service vitale pour les appels et les notifications, agissant comme un véritable filet de sécurité pour l'abonné.

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iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés

Troisième mise à jour “majeure” d’iOS 26, iOS 26.3 poursuit son travail d’optimisation et de correction de bogues. Cette bêta apporte bien quelques nouveautés, mais Apple semble avoir levé le pied, pour le moment, sur les retouches autour de Liquid Glass.

Attendue pour la fin janvier, cette version a tout d’une mise à jour de transition. Il n’est pas impossible qu’à Bruxelles, on la surnomme déjà “l’UE Edition” : deux des trois nouveautés mises en avant ici étaient ardemment désirées par les autorités européennes.

Les premières bêtas des OS 26.3 sont disponibles, avec le transfert simplifié entre iOS et Android

Les premières bêtas des OS 26.3 sont disponibles, avec le transfert simplifié entre iOS et Android

Un nouveau transfert vers Android, sans application à installer

Apple facilite (un peu) la vie de ceux qui veulent quitter l’iPhone pour un smartphone Android. Avec iOS 26.3, un nouvel outil de transfert permet de lancer l’opération simplement en plaçant un iPhone à côté d’un appareil Android.

Une fois les deux téléphones “connectés”, l’utilisateur peut choisir quoi récupérer : photos, messages, notes, applications, mots de passe, numéro de téléphone, et autres données du quotidien. Le plus notable, c’est que tout se fait sans passer par une app dédiée à télécharger au préalable, ce qui rend la manœuvre nettement plus directe.

Tout ne suit pas pour autant. Les données Santé, les appareils appairés en Bluetooth, ainsi que certains éléments protégés (comme les notes verrouillées) ne sont pas transférés.

À noter que Google propose déjà une fonction comparable pour faire le chemin inverse, d’Android vers l’iPhone : sur le papier, le transfert devient donc un aller-retour un peu plus équilibré entre les deux plateformes.

Les notifications peuvent être “déléguées” à une montre non-Apple…

Deuxième nouveauté, iOS 26.3 introduit un réglage baptisé Transfert des notifications. Le principe : autoriser le transfert des notifications reçues sur l’iPhone vers un objet connecté tiers, typiquement une montre sous Android (ou tout autre wearable compatible).

L’option se trouve dans Réglages, au sein de la section Notifications, via un nouvel intitulé “Transfert des notifications”. Apple précise qu’on ne peut transférer les notifications que vers un seul appareil à la fois. Autrement dit, si vous activez cette redirection vers une montre concurrente, votre Apple Watch ne pourra plus recevoir et afficher les notifications.

Ce n’est pas un hasard si la fonction est annoncée comme une réponse aux critiques et plaintes antitrust autour de l’accès privilégié de l’Apple Watch aux fonctions d’iOS. Et c’est aussi pour ça que la disponibilité est très encadrée : Notification Forwarding est réservé à l’Union européenne.

Les fonds d’écran Météo prennent leur indépendance

Dernier ajustement, plus léger mais visible : la personnalisation de l’écran verrouillé accueille une nouvelle catégorie Weather (Météo) dédiée aux fonds d’écran. Jusqu’à présent, Apple mélangeait Météo et Astronomie dans une même section : iOS 26.3 les sépare.

Apple propose désormais trois fonds d’écran Météo “préconçus”, avec des variantes de typographies pour l’heure et différents widgets météo. L’idée est clairement de montrer, d’un coup d’œil, comment ce type de fond d’écran peut être exploité sans passer dix minutes à tout régler.

Une bêta de transition

iOS 26.3 ne bouleverse pas iOS 26, et c’est assez logique : le calendrier est serré, d’autant plus en plein milieu des fêtes de fin d’année. Cette version est attendue pour la fin janvier. Le vrai morceau du premier semestre 2026 devrait plutôt être iOS 26.4, avec, en ligne de mire, l’arrivée du nouveau Siri.

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Bons plans : les robots aspirateurs compatibles Matter et HomeKit à prix cassés

Après la hausse technique des prix suite au Black Friday, de nombreux robots aspirateurs sont revenus à leur tarif le plus bas. Certains modèles s'affichent même à des prix inférieurs à ceux pratiqués durant la semaine de promotions. Voici une petite sélection de valeurs sûres. Tous ces modèles ont un point commun crucial pour les utilisateurs de l'écosystème Apple : ils sont compatibles Matter (et donc intégrables à Maison/HomeKit).

SwitchBot K11+ : Le petit poucet qui passe partout

C'est sans doute le modèle le plus atypique de cette sélection. Avec son diamètre réduit (24,8 cm contre 35 cm pour la moyenne du marché), le K11+ est conçu pour se faufiler là où les autres bloquent : entre les pieds de chaises serrés ou dans les recoins exigus. Malgré sa taille de guêpe, il ne sacrifie rien à la puissance avec une aspiration de 6 000 Pa et une navigation LiDAR précise.

Nous testons ce modèle actuellement et le bilan est pour l'instant très positif : il est agile, étonnamment silencieux et sa station de vidage automatique (incluse) lui offre une autonomie de plusieurs semaines. Un excellent choix pour les appartements encombrés ou les petites surfaces.

Prix : 199,99 € au lieu de 259,99 €

SwitchBot S20 : Le nettoyage par rouleau

Si vous avez de grandes surfaces, le S20 est un candidat sérieux. Sa particularité réside dans son système de lavage : contrairement aux patins classiques, il utilise un rouleau "RinseSync" qui se nettoie en continu pendant le cycle. Résultat, il ne traîne pas une serpillière sale sur votre carrelage.

Avec une puissance brute de 10 000 Pa, il avale tout sur son passage. C'est un modèle très complet qui gère parfaitement le multi-étages. Revers de la médaille de son efficacité : le système à rouleau demande un peu plus d'entretien régulier qu'une serpillière statique pour rester performant, mais le résultat en vaut la chandelle.

Prix : 399,99 € au lieu de 499,99 €

Roborock Q7 M5 : La puissance brute à petit prix

159,99 € (au lieu de 239,99 €) | Voir sur Amazon

Roborock décline ici une version musclée de son milieu de gamme. Le Q7 M5 fait l'impasse sur la station de vidage automatique pour casser son prix, mais il conserve l'essentiel : un moteur surpuissant de 10 000 Pa (rare à ce tarif) et la fameuse navigation LiDAR de la marque, réputée pour sa fiabilité.

Il intègre une brosse duo anti-enchevêtrement, idéale si vous avez des animaux à poils longs. À moins de 160 €, c'est un excellent point d'entrée dans l'univers Roborock si vous êtes prêt à vider le bac à poussière vous-même tous les deux ou trois jours.

Prix : 160 € au lieu de 250 €

Roborock Q7 L5+ : Le confort de la station automatique

Pour 40 euros de plus que le modèle précédent, le Q7 L5+ vous offre la tranquillité d'esprit avec sa station de vidage automatique. Concrètement, le robot vide son bac tout seul à la fin de chaque nettoyage, stockant la poussière dans un sac hygiénique que vous ne changerez que toutes les 7 semaines environ.

Sa puissance d'aspiration est légèrement inférieure (8 000 Pa), ce qui reste largement suffisant pour sols durs et tapis fins. C'est le meilleur rapport qualité/prix/confort du moment pour qui veut oublier la corvée de ménage pendant plus d'un mois.

Prix : 200 € au lieu de 220 €

Roborock Q10 S5+ : L'intelligence VibraRise

On monte en gamme avec le Q10 S5+. Ce modèle combine le meilleur des deux mondes : une aspiration de 10 000 Pa, une station de vidage automatique, mais surtout la technologie VibraRise.

Contrairement aux modèles précédents qui traînent leur lingette humide partout, le Q10 S5+ est capable de soulever sa serpillière lorsqu'il détecte un tapis ou une moquette. Il frotte également le sol par vibrations soniques (3000 fois/minute) pour désincruster les taches séchées. Si vous avez un mélange de parquet et de tapis chez vous, c'est le modèle à privilégier pour éviter de mouiller vos textiles.

Prix : 270 € au lieu de 300 €

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Waze teste (enfin) l’affichage des feux tricolores

En cette fin d’année, Google semble décidé de combler les quelques lacunes de ses logiciels de navigation. Si Google Maps va enfin mémoriser systématiquement l’endroit où vous vous êtes garés, Waze pourrait dans un avenir proche enfin afficher les feux rouges !

Google Maps se met enfin à niveau : Plans et Waze faisaient déjà ça en 2016

Google Maps se met enfin à niveau : Plans et Waze faisaient déjà ça en 2016

Image : appshunter.io/ Unsplash

Mais attention, l'idée n'est pas de transformer la carte en sapin de Noël. Selon les premiers retours, l'application limiterait l'affichage à trois feux tricolores simultanés lors d'une navigation active. L'objectif est clair : préserver la lisibilité de l'interface et ne pas noyer le conducteur sous un flot d'informations visuelles alors qu'il doit se concentrer sur la route.

Le comportement diffère toutefois si vous utilisez Waze en mode « roue libre », sans itinéraire programmé. Dans ce cas de figure, l'application se montre plus exhaustive et affiche l'ensemble des feux situés à proximité de votre position, offrant une vue plus complète des intersections alentour.

Cette nouveauté, repérée par GeekTime, n'en est pour l'heure qu'au stade expérimental. Les tests semblent circonscrits à Israël et aucune date n'a encore filtré pour un déploiement international. Il reste également à voir si cette limite de trois feux sera maintenue dans la version finale.

Ce n'est cependant pas une surprise totale : en mai dernier, Waze avait confirmé que la prise en charge des feux était bien sur sa feuille de route. La logique voudrait que la filiale de Google ne reparte pas d'une feuille blanche. Théoriquement, Waze pourrait piocher dans l'immense base de données de Google Maps, qui cartographie déjà les feux tricolores dans de nombreux pays, plutôt que de tout recommencer à zéro.

Reste à voir quand cette fonction sera effectivement déployée. La patience dans cette affaire est de mise. Apple Plans gère cela depuis … 2019.

Plans sait afficher les feux   et les stop

Plans sait afficher les feux et les stop

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iOS : Apple cherche toujours à forcer les mises à jour automatiques

Pour Apple, tous les moyens sont bons pour inciter très fortement les utilisateurs à installer la dernière version d’iOS ou de macOS. Les utilisateurs encore sous iOS 18 ont droit à un énorme pavé pour vanter les nouveautés d’iOS 26 et doivent s’y prendre à deux fois s’ils veulent rester sur leur version actuelle tout en installant simplement la dernière mise à jour de sécurité.

Des mises à jour de sécurité pour les anciennes versions de macOS et iOS

Des mises à jour de sécurité pour les anciennes versions de macOS et iOS

Il semble d'ailleurs que chez certains utilisateurs sous iOS 18, seule la bascule vers iOS 26 soit proposée. Un comportement qui pourrait être lié au profil choisi dans les réglages de Mise à jour logicielle1.

Le piège du bouton « Continuer »

Le dernier subterfuge d’Apple pour arriver à ses fins se niche dans le tunnel d’écrans auquel l’utilisateur fait face lorsqu’il installe une mise à jour. Un peu comme lorsqu’on a affaire à des conditions générales d'utilisation, on a une fâcheuse tendance à cliquer sur « Continuer » sans trop réfléchir pour accéder rapidement à son écran d'accueil.

C’est précisément là que le stratagème d’Apple se révèle assez fourbe. Les utilisateurs ayant migré vers iOS 26.2 ce week-end ont pu s’en rendre compte : l'écran affichant « Mise à jour terminée » n'est pas aussi anodin qu'il y paraît.

Image : MacRumors

Si vous appuyez machinalement sur le gros bouton bleu « Continuer », vous consentez, sans forcément le vouloir, à ce que les futures mises à jour soient téléchargées et installées automatiquement. Apple a bien prévu une échappatoire, mais elle prend la forme d'un lien discret « Télécharger uniquement automatiquement », bien moins visible que le bouton principal. Si vous n'êtes pas attentif, l'option d'installation automatique est activée par défaut par ce simple clic.

iOS 26.2 disponible en version finale : toutes les nouveautés de cette mise à jour pas si anodine

iOS 26.2 disponible en version finale : toutes les nouveautés de cette mise à jour pas si anodine

Une apparition aléatoire

Ce changement de comportement ne saute pas aux yeux de tout le monde. Si vous aviez déjà activé les mises à jour automatiques, iOS 26.2 ne changera rien à votre quotidien. Plus curieux, cet écran ne semble pas apparaître systématiquement chez tous les utilisateurs ayant pourtant désactivé cette fonction, signe qu'Apple procède peut-être à des tests ou à un déploiement progressif de cette interface.

Il n'empêche, la méthode a de quoi agacer. Elle rappelle que Cupertino peut glisser ce genre d'option « opt-out » (où l'utilisateur doit agir pour refuser) dans n'importe quelle mise à jour mineure. Si vous avez déjà retrouvé votre iPhone mis à jour au petit matin alors que vous n'aviez rien demandé, c'est probablement par ce biais que l'option s'est réactivée discrètement.

Un tour dans les Réglages s'impose

Dans le doute, mieux vaut vérifier l'état de vos paramètres après l'installation d'iOS 26.2. Si vous avez cliqué un peu trop vite et activé accidentellement l'installation automatique, la marche arrière est heureusement simple.

Rendez-vous dans Réglages > Général > Mise à jour logicielle > Mises à jour automatiques. De là, vous pourrez décocher l'option « Mises à jour d’iOS » (ou « Installation des mises à jour de sécurité et fichiers système » selon votre préférence) pour reprendre le contrôle sur le calendrier de vos mises à jour.


  1. On veut bien vos commentaires dans les réactions pour y voir plus clair. Indiquez-nous si vous avez bien installé des bêtas d’iOS par le passé !  ↩︎

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Venez donner une note à macOS Tahoe 26

Comme chaque année, on vous propose le même petit exercice : venez noter macOS Tahoe 26, de 0 (exécrable) à 10 (parfait).

macOS Tahoe a d’ores et déjà fait l’objet de deux mises à jour importantes. On part du principe qu’en théorie, Apple a eu le temps d’essuyer les plâtres et de corriger les plus gros dysfonctionnements de son système.

La grande nouveauté de macOS Tahoe, c’est bien évidemment son interface : Liquid Glass. Il ne faudrait pas limiter cependant le système d’exploitation à cela. Apple a revu Spotlight en profondeur, avec plus ou moins de bonheur. C’est aussi l’arrivée de nouvelles apps issues d’iOS comme Téléphone, de petites nouveautés liées à Apple Intelligence, des fonds d’écran qui donneront le sourire aux nostalgiques, ou encore un centre de contrôle largement inspiré de l’iPhone.

macOS Tahoe : les nouveautés à découvrir en premier

macOS Tahoe : les nouveautés à découvrir en premier

Contrairement à il y a quelques années, Apple améliore son système d’exploitation en permanence, en y ajoutant régulièrement de nouvelles fonctionnalités. Avec macOS 26.2, Apple ajoute par exemple la fonction Éclairage des bords, qui affiche une large bande lumineuse sur les contours de l’écran pour améliorer l’éclairage du sujet. Pratique pour les visioconférences.

Alors, la question est simple : êtes-vous satisfait de macOS Tahoe 26 ? Donnez-lui une note !

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Traduction en direct : Google va défier les AirPods Pro sur leur propre terrain

La fonction de traduction en direct des AirPods, qui vient tout juste d’arriver en Europe, va bientôt avoir de la concurrence. Limitée initialement aux Pixel Buds, la fonction de traduction en temps réel de Google Translate va être généralisée progressivement.

On a testé la traduction en direct des AirPods : vraiment utile pour franchir la barrière de la langue ?

On a testé la traduction en direct des AirPods : vraiment utile pour franchir la barrière de la langue ?

La fin de l'exclusivité matérielle

C'est là que la stratégie de Google diverge radicalement de celle de Cupertino. Alors qu'Apple verrouille cette fonctionnalité à son propre écosystème matériel — il vous faut impérativement des AirPods pour en profiter —, la firme de Mountain View abat les cloisons. La dernière mise à jour de Google Translate permet d'utiliser la traduction vocale en direct avec n'importe quel casque ou écouteurs, pour peu qu'ils soient connectés à un téléphone Android compatible.

Le déploiement, qui débute aujourd'hui en version bêta, prend en charge plus de 70 langues. L'idée est simple : démocratiser l'interprète de poche sans obliger l'utilisateur à investir dans une paire d'écouteurs spécifique. Une approche agnostique qui contraste avec la « magie » d'Apple, conditionnée presque toujours par la présence d’une puce H1 ou H2.

Image : WatchGeneration

Gemini à la rescousse du contexte

Google ne se contente pas d'ouvrir les vannes matérielles, elle revoit aussi la copie logicielle. L'application Translate va bénéficier de l'intégration de Gemini pour affiner la précision des traductions. L'objectif est de mieux saisir les nuances, les expressions idiomatiques et l'argot, des domaines où la traduction littérale montre vite ses limites.

L'exemple donné par Google est parlant : une expression comme "stealing my thunder" (se faire voler la vedette) sera désormais traduite en tenant compte de son sens figuré, plutôt que d'une incompréhensible histoire de vol de tonnerre. C'est une amélioration bienvenue pour les traductions textuelles, qui cherchent à s'éloigner du mot à mot robotique pour gagner en naturel.

Un professeur de poche et un calendrier échelonné

Enfin, Google lorgne du côté de Duolingo avec l'extension de sa fonction "Practice". Déjà en bêta depuis août, cet outil intégré directement à Translate utilise l'IA pour générer des sessions d'apprentissage personnalisées, basées sur votre niveau de compétence. Vocabulaire, compréhension orale : Google veut que vous n'ayez plus besoin de traduire, mais que vous finissiez par comprendre.

Comment Google Traduction veut concurrencer Duolingo grâce à l’IA

Comment Google Traduction veut concurrencer Duolingo grâce à l’IA

Comme souvent, il faudra patienter un peu avant de voir débarquer tout cela sur nos iPhone. Si la traduction vocale en direct arrive dès aujourd'hui sur Android aux États-Unis, au Mexique et en Inde, elle ne sera disponible sur iOS que l'année prochaine. Les améliorations textuelles. Le mode « Entrainement » est pour sa part en bêta et n’est pas forcément encore déployé chez tout le monde.

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Kindle : Amazon va permettre le téléchargement des livres en EPUB et PDF

Amazon fait machine arrière toute. Après avoir tout fait pour verrouiller l’écosystème Kindle, le géant du commerce en ligne change son fusil d'épaule. Dans une note publiée sur le portail Kindle Direct en fin de semaine dernière, Amazon annonce que les lecteurs pourront, à partir du 20 janvier 2026, télécharger les fichiers des livres qu’ils ont achetés.

Image : Balázs Kétyi / Unsplash

Un choix de format, mais pas de liberté totale

Cette nouveauté, qui sera effective dans un peu plus d'un mois, permettra aux utilisateurs de récupérer une copie locale de leurs ouvrages. Le choix sera offert entre deux formats standards : le PDF et, plus intéressant pour les liseuses, l’EPUB.

Cependant, ne criez pas victoire trop vite. Si Amazon ouvre la porte technique, la clé reste dans la poche des éditeurs. La firme de Seattle précise bien que la présence ou non de DRM dépendra entièrement de la volonté de la maison d'édition. Si l'éditeur décide de protéger son œuvre, le fichier téléchargé restera verrouillé, limitant drastiquement son utilisation sur des appareils concurrents.

Après une année 2025 sous le signe du verrouillage

Ce revirement est d'autant plus surprenant qu'Amazon avait passé l'année 2025 à serrer la vis. En février dernier, l'entreprise avait supprimé la fonction « Télécharger et transférer via USB », coupant l'herbe sous le pied de ceux qui voulaient gérer leur bibliothèque hors ligne. Puis, en septembre, une mise à jour du système de DRM avait rendu le "déplombage" des ebooks quasiment impossible, au grand dam des amateurs de Calibre.

Amazon finit de verrouiller l’écosystème Kindle

Amazon finit de verrouiller l’écosystème Kindle

Amazon ne permettra plus de télécharger les livres destinés aux Kindle depuis son site

Amazon ne permettra plus de télécharger les livres destinés aux Kindle depuis son site

Officiellement, ces mesures visaient à lutter contre le piratage. Dans les faits, elles ont surtout compliqué la vie des utilisateurs honnêtes soucieux de conserver une copie de sauvegarde de leurs achats, ou de prêter un livre numérique aussi simplement qu'un livre papier.

La fuite vers des écosystèmes plus ouverts

Cette rigidité a fini par coûter cher à Amazon. De nombreux utilisateurs historiques du Kindle ont commencé à migrer vers des solutions plus souples, notamment les liseuses Boox. Ces appareils sous Android permettent de piocher dans plusieurs boutiques et gèrent nativement les fichiers EPUB sans passer par des conversions fastidieuses.

En face, Kobo a toujours permis le téléchargement des fichiers EPUB, bien que souvent protégés par le DRM d'Adobe. Une solution imparfaite, mais qui a le mérite d'exister et d'assurer une certaine interopérabilité, là où Amazon jouait cavalier seul.

Un pas dans la bonne direction

Avec ce changement prévu pour 2026, Amazon semble vouloir endiguer l'hémorragie. C'est indéniablement une avancée positive pour le consommateur qui pourra plus facilement stocker ses achats localement.

Néanmoins, en laissant le choix du DRM aux éditeurs, Amazon se dédouane habilement : si vous ne pouvez pas lire votre livre acheté sur Amazon sur votre nouvelle liseuse, ce ne sera plus (officiellement) la faute de Jeff Bezos, mais celle de votre éditeur préféré

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Apple et la RAM : des accords clés arriveraient bientôt à échéance

L’intelligence artificielle ne se contente plus de bouleverser nos usages logiciels. Elle est désormais en train de pomper très concrètement les ressources physiques de l’industrie. Mémoire, capacités de production, priorités industrielles : tout converge vers l’IA, au détriment des marchés plus « classiques » comme le PC, le smartphone ou l’électronique grand public.

Le changement est brutal. Et il commence déjà à se faire sentir dans les négociations entre fabricants et fournisseurs. Quand les producteurs de mémoire reviennent à la table, ce n’est plus pour consentir des rabais : la courbe ne va que dans un sens.

Certains acteurs ont visiblement acté cette nouvelle réalité. Micron, par exemple, a choisi de sacrifier sa marque grand public Crucial. Une décision lourde de sens. Crucial, c’était des SSD et de la RAM accessibles, largement adoptés par le grand public et les assembleurs. Une page se tourne, au profit de l’IA et de ses marges autrement plus confortables.

Image Crucial

Du côté des constructeurs, les signaux ne sont guère plus rassurants. En coulisses, il se murmure que Lenovo préparerait une révision de ses grilles tarifaires dès le début de l’année prochaine. Là encore, difficile d’y voir une coïncidence.

Pénurie de mémoire : des fabricants de PC s’apprêteraient à augmenter leurs prix

Pénurie de mémoire : des fabricants de PC s’apprêteraient à augmenter leurs prix

Apple en position de faiblesse (pour une fois) pour négocier ?

Même Apple, pourtant réputée pour la solidité de sa chaîne d’approvisionnement, pourrait ne pas sortir indemne de cette séquence. Une rumeur, à manier avec précaution, évoque la fin prochaine des accords d’approvisionnement à long terme qui lient Cupertino à Samsung et SK Hynix pour la mémoire.

Un scénario qui tombe mal. Très mal, même. Car les deux fondeurs coréens sont aujourd’hui en position de force. La demande liée à l’IA explose, les capacités sont limitées, et les marges n’ont jamais été aussi attractives. Dans ce contexte, renégocier des contrats dès janvier 2026 serait tout sauf une formalité.

What I find hard to understand is that the sell-side and the market are significantly overestimating Apple's supply chain management capabilities.

In my view, Apple is also likely to take a significant hit from this memory price surge. The LTAs (Long-Term Agreements) that Apple…

— Jukan (@jukan05) December 13, 2025

Selon plusieurs sources, Samsung n’hésiterait déjà plus à arbitrer en faveur de ses clients les plus rentables, allant jusqu’à restreindre certaines livraisons à sa propre division mobile. Le message est limpide : la mémoire va là où elle rapporte le plus.

Samsung refuse de vendre de la RAM à Samsung, à cause de la pénurie

Samsung refuse de vendre de la RAM à Samsung, à cause de la pénurie

Si cette tendance se confirme, Apple pourrait se retrouver dans une situation inhabituelle : payer plus cher pour sécuriser ses volumes, là où elle imposait jusqu’ici ses conditions.

Un conseil qui ressemble à un avertissement

L’analyste connu sous le pseudonyme @jukan05 ne mâche pas ses mots. Pour lui, les prix actuels sont probablement les meilleurs que nous verrons avant longtemps. Un constat sans appel, qui sonne presque comme un avertissement aux consommateurs.

Son message est clair : si un renouvellement de matériel est prévu, mieux vaut ne pas trop tarder. Tant que les stocks tiennent et que les hausses ne sont pas encore passées intégralement dans les prix publics, le moment est sans doute mieux choisi aujourd’hui que demain.

Car lorsque les coûts de production augmentent durablement, l’addition finit toujours par arriver. Et rarement en douceur.

iPhone 18, Mac et mauvaises surprises à l’horizon ?

Apple conserve évidemment des leviers que peu d’acteurs peuvent se permettre. Sa trésorerie colossale, son intégration verticale, et ses puces maison — à commencer par le futur modem 5G, qui pourrait économiser une dizaine de dollars par appareil — offrent de précieux amortisseurs.

Mais ces garde-fous suffiront-ils face à une flambée durable des prix de la mémoire ? Rien n’est moins sûr. Si les coûts explosent, c’est l’ensemble de la feuille de route matérielle qui pourrait en pâtir : du futur MacBook d’entrée de gamme au MacBook Pro M6, en passant par la gamme iPhone 18… sans oublier l’iPhone pliant, s’il voit bien le jour.

Les puces Apple vont coûter plus cher : TSMC relève ses prix

Les puces Apple vont coûter plus cher : TSMC relève ses prix

Pour ceux qui comptaient changer de machine au premier semestre 2026, la note pourrait être sensiblement plus salée que prévu. L’IA promet beaucoup de choses. Mais elle a déjà un coût. Et ce coût commence à se voir.

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