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Reçu aujourd’hui — 15 décembre 2025

Des rencontres secrètes entre le FBI et le négociateur ukrainien suscitent l'inquiétude des Occidentaux

15 décembre 2025 à 09:26

Des réunions discrètes entre de hauts responsables du FBI et le principal négociateur ukrainien pour la paix ont jeté un nouveau trouble sur les discussions visant à mettre fin à la guerre en Ukraine, accentuant la pression sur Kiev pour parvenir à un accord avec Moscou. Selon plusieurs diplomates et responsables informés du dossier, Rustem Umerov, négociateur en chef du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a rencontré à huis clos le directeur du FBI, Kash Patel, ainsi que son adjoint, Dan Bongino, lors de récents déplacements aux Etats-Unis, selon le Washington Post.

Ces rencontres se sont déroulées en marge des discussions plus officielles. Ces dernières semaines, Rustem Umerov s'est rendu à trois reprises à Miami afin de s'entretenir avec Steve Witkoff, l'envoyé spécial du président Donald Trump, autour d'une proposition américaine destinée à mettre fin au conflit qui oppose l'Ukraine à la Russie depuis près de quatre ans. Mais durant ces séjours, le négociateur ukrainien aurait également ouvert un canal direct avec la direction du FBI, selon quatre sources ayant requis l'anonymat en raison du caractère sensible des échanges.

L'initiative intrigue et inquiète. Certains responsables occidentaux redoutent que ces contacts ne servent à exercer une pression supplémentaire sur Kiev pour accepter un plan de paix élaboré par l'administration Trump, qui impliquerait d'importantes concessions territoriales de la part de l'Ukraine. D'autres avancent l'hypothèse que des responsables ukrainiens cherchent à obtenir des garanties ou une forme d'amnistie face à d'éventuelles accusations de corruption visant leur pays.

La corruption évoquée

L'ambassadrice d'Ukraine à Washington, Olha Stefanishyna, a confirmé la rencontre d'Umerov avec le FBI et a déclaré au Washington Post qu'il n'avait abordé que des questions de sécurité nationale ne pouvant être divulguées publiquement. Un responsable du FBI a tenu un discours similaire, affirmant que les discussions avaient concerné des intérêts communs en matière de sécurité et de maintien de l'ordre. La corruption en col blanc en Ukraine a bien été évoquée lors de l'une des réunions, a-t-il reconnu, mais elle n'en constituait pas le sujet central. Toute insinuation d'échanges inappropriées relève, selon lui, du "pur non sens".

Le contexte politique rend toutefois ces explications délicates. Kash Patel et Dan Bongino se sont montrés à plusieurs reprises très critiques à l'égard de l'Ukraine. En mars, le directeur du FBI a publiquement mis en cause l'ampleur de l'aide américaine à Kiev et appelé le Congrès à enquêter sur un possible détournement de fonds. Son adjoint, Dan Bongino, a quant à lui accusé Volodymyr Zelensky d'avoir couvert des faits présumés de corruption impliquant le fils de l'ancien président, Joe Biden, en lien avec son passage au conseil d'administration d'une entreprise énergétique ukrainienne.

De son côté, la Maison-Blanche minimise la portée de ces rencontres. Un responsable assure que les autorités américaines échangent régulièrement avec des dirigeants étrangers sur des enjeux de sécurité nationale, rappelant que l'équipe de Donald Trump mène en parallèle des discussions avec les Russes et les Ukrainiens pour faciliter un accord de paix. A Kiev, un représentant de la présidence a refusé de commenter des réunions spécifiques jugeant "absurde" toute tentative de les relier systématiquement à des affaires de corruption. Le sujet est néanmoins explosif pour l'Ukraine, rappelle le Washington Post, déjà ébranlée par le plus important scandale financier depuis l'arrivée au pouvoir de Volodymyr Zelensky en 2019, après la révélation récente du détournement de 100 millions de dollars dans le secteur énergétique national.

© afp.com/SAUL LOEB

A Hongkong, la figure prodémocratie Jimmy Lai reconnue coupable d'atteinte à la sécurité nationale

15 décembre 2025 à 07:43

Un tribunal de Hong Kong a jugé coupable lundi 15 décembre l'ancien magnat des médias prodémocratie Jimmy Lai dans son procès pour atteinte à la sécurité nationale, risquant la prison à perpétuité, dans l'une des décisions de justice les plus marquantes depuis la rétrocession du territoire à la Chine en 1997.

Jimmy Lai, âgé de 78 ans, a été reconnu coupable d'un chef d'accusation de sédition, et de deux chefs d'accusation de collusion avec l'étranger. Ces deux derniers chefs se basent sur la loi sur la sécurité nationale imposée par Pékin après les vastes manifestations prodémocratie, parfois violentes, qui ont secoué Hong Kong en 2019. Pour le parquet, Jimmy Lai était le cerveau derrière deux complots demandant à des pays étrangers d'imposer des "sanctions ou un blocus" ou de mener des "activités hostiles" contre Hong Kong ou la Chine. L'ex-magnat est aussi accusé d'avoir publié des contenus qui "incitaient à la désaffection" envers le gouvernement.

Jimmy Lai, resté impassible à l'énoncé du verdict, a constaté un journaliste de l'AFP présent dans la salle, avait plaidé non coupable et risque la prison à perpétuité. Les peines seront prononcées à une date ultérieure, il pourra faire appel. "Il ne fait aucun doute que Jimmy Lai a nourri sa rancœur et sa haine envers la RPC pendant une grande partie de sa vie d'adulte et cela apparaît dans ses articles", a déclaré la juge Esther Toh à la cour, utilisant l'acronyme désignant la République populaire de Chine. "Il est également clair pour nous que le premier accusé, bien avant l'adoption de la loi sur la sécurité nationale, réfléchissait à la manière dont les États-Unis pourraient faire pression sur la RPC", a-t-elle ajouté.

Disposant d'un passeport britannique, le fondateur du journal prodémocratie Apple Daily, aujourd'hui fermé, est emprisonné depuis 2020. Âgé de 78 ans, il est maintenu à l'isolement, "à sa demande" selon les autorités.

"Le glas de la liberté de la presse à Hong Kong"

Le cas de Jimmy Lai est considéré par les défenseurs des droits comme emblématique de l'érosion des libertés politiques à Hong Kong depuis la mise en place par Pékin de la loi sur la sécurité nationale. "La prévisibilité du verdict rendu aujourd'hui ne le rend pas moins consternant : la condamnation de Jimmy Lai sonne comme le glas de la liberté de la presse à Hong Kong", a dénoncé l'ONG Amnesty International.

Pour Reporters sans frontières (RSF), cette "condamnation illégale" illustre "la détérioration alarmante de la liberté des médias sur le territoire", tandis que le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) l'a qualifiée de "condamnation parodique" et d'"acte de persécution honteux".

De son côté, Pékin avait déclaré vendredi qu'il "soutenait fermement" Hong Kong dans "le maintien de la sécurité nationale conformément à la loi et la répression des actes criminels qui mettent en danger la sécurité nationale".

Un "prisonnier politique"

Au cours du procès, ouvert en décembre 2023, Jimmy Lai s'est décrit au moins deux fois comme un "prisonnier politique", s'attirant des reproches des juges. En plus des accusations de collusion, il est poursuivi pour 161 "publications séditieuses", parmi lesquelles des talk-shows sur les réseaux sociaux et des éditoriaux signés de son nom.

Jimmy Lai a affirmé n'avoir jamais prôné le séparatisme ou la résistance violente. Il a également nié avoir appelé à des sanctions occidentales contre la Chine et Hong Kong. Jimmy Lai souhaitait une "Chine libre et démocratique", a indiqué à l'AFP un ancien employé de l'Apple Daily, connu sous le nom de Chan, faisant la queue devant le tribunal avant le verdict lundi aux côtés d'une centaine de personnes. "Il aimait beaucoup le pays, il n'aimait simplement pas le régime", a-t-il ajouté.

Pour Eric Lai, chercheur au Centre de droit asiatique de l'université Georgetown, le discours du tribunal "correspond à la manière dont la propagande du PCC tente d'effacer la distinction entre le parti au pouvoir et le peuple qu'il gouverne." Les autorités de l'ex-colonie britannique, désormais région chinoise à statut spécial, ont affirmé que cette affaire avait été "traitée uniquement sur la base de preuves et conformément à la loi".

Jimmy Lai est apparu devant la cour plus mince qu'avant son emprisonnement, alors que ses enfants, réfugiés aux Etats-Unis, ont fait part la semaine dernière de leurs inquiétudes. Le commissaire Steve Li, chef de la police nationale de sécurité, a déclaré lundi lors d'une conférence de presse que les inquiétudes de la fille de Jimmy Lai relevaient de la diffamation. Le gouvernement de Hong Kong a souligné que Jimmy Lai était soumis aux mêmes conditions de détention que "les autres détenus" et qu'il recevait des soins médicaux "adéquats et complets".

© Anthony WALLACE / AFP

Attentat en Australie : le renseignement avait enquêté sur des liens entre un des tireurs et le groupe Etat islamique

15 décembre 2025 à 07:21

L’Australie est endeuillée. Un père et son fils ont ouvert le feu, dimanche 15 décembre, sur une plage emblématique de Bondi à Sydney. Ils ont visé la foule rassemblée pour célébrer la fête juive de Hanouka, faisant 15 morts — dont une fillette — et plus de 40 blessés. Parmi les victimes, figure également un ingénieur informatique français de 27 ans, Dan Elkayam. L’attaque, qualifiée de "terroriste" et d’"antisémite" par les autorités australiennes, a conduit le pays à décréter un deuil national lundi.

Les médias australiens ont identifié les tireurs comme étant Sajid Akram, 50 ans, abattu par des policiers, et son fils Naveed Akram, 24 ans, hospitalisé dans un état critique et placé sous surveillance policière. Ce dernier était soupçonné d’être étroitement lié à un membre du groupe Etat islamique (EI) arrêté en juillet 2019 et condamné pour avoir préparé un acte terroriste en Australie, selon les services de renseignement australiens.

Selon la télévision publique ABC, des enquêteurs antiterroristes estiment que les deux tireurs avaient prêté allégeance à l’organisation djihadiste. Des hauts responsables ont déclaré au média que deux drapeaux de l’EI avaient été trouvés dans la voiture des auteurs de l’attaque sur la plage. Le chef des services australiens de renseignement intérieur, Mike Burgess, a indiqué à la presse dimanche que l’un des tireurs était "connu de nos services, mais pas en tant que menace immédiate".

"Un acte purement maléfique"

Au sommet de l’Etat, les réactions ont été vives. "Ce que nous avons vu hier était un acte purement maléfique, antisémite et terroriste sur nos rives", a lancé lundi le Premier ministre Anthony Albanese en déposant une gerbe des fleurs sur ce lieu baigné par le Pacifique. L’Australie, qui n’avait pas été frappée par une telle tuerie depuis 1996, a mis tous ses drapeaux en berne, a annoncé Anthony Albanese, en proposant aussi une législation encore plus stricte sur les armes à feu. La police a confirmé que l’un des assaillants possédait légalement six armes à feu.

Dès dimanche soir, le Premier ministre australien avait dénoncé "une attaque ciblée contre les juifs australiens, au premier jour de Hanouka", la fête juive dite des "lumières" qui se tient durant neuf jours en décembre. L’attentat a meurtri dimanche vers 18H45 (07H45 GMT) l’immense plage de Bondi envahie par des milliers de promeneurs, nageurs et surfeurs en ce début d’été austral. "Nous avons entendu les coups de feu […] Dix minutes de détonations incessantes", a déclaré à l’AFP Camilo Diaz, étudiant chilien de 25 ans. À la tombée de la nuit de dimanche à lundi, la plage et les alentours d’habitude très animés avaient été évacués et bouclés.

"Une attaque très cruelle"

Anthony Albanese, mais aussi le président américain Donald Trump, ont salué les "héros" qui sont intervenus. Une vidéo qui s’est propagée sur les réseaux sociaux montre un passant sur un parking se précipiter par derrière sur un assaillant, l’agripper et lui arracher son arme avant de le mettre en joue et de le faire fuir. A l’international, les condamnations ont afflué. La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a assuré que "l"Europe se tenait aux côtés de l’Australie et des communautés juives partout dans le monde".

En Israël, le président Isaac Herzog a parlé d’une "attaque très cruelle contre des juifs" perpétrée par "d’ignobles terroristes". Son Premier ministre Benjamin Netanyahou, qui ne cesse de dénoncer la résurgence de l’antisémitisme dans le monde depuis le massacre du 7 octobre 2023 et la guerre dans la bande de Gaza, a fustigé un "cancer qui se propage lorsque les dirigeants restent silencieux et n’agissent pas". Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le président français Emmanuel Macron ont fait part de leur solidarité, alors qu’un Français compte parmi les morts.

L’une des victimes tuées est le rabbin Eli Schlanger, 41 ans, né à Londres et père de cinq enfants. Le Conseil national des imams australien a condamné cette "attaque traumatisante" et appelé "tous les Australiens, y compris la communauté musulmane australienne, à se serrer les coudes dans l’unité, la compassion et la solidarité".

© afp.com/DAVID GRAY

Quinze morts, deux tireurs, en pleine fête juive… Ce que l’on sait de l’attentat antisémite de Sydney

15 décembre 2025 à 06:58
Un père et son fils ont ouvert le feu à au moins 40 reprises, pendant une dizaine de minutes dimanche soir, sur une foule qui célébrait la fête juive de Hanouka sur la plage mythique de Bondi, à Sydney en Australie. Ils ont fait au moins 15 morts et plus de 40 blessés. Voici ce que l’on sait.

macOS 26.2 déplace les indicateurs de luminosité et volume quand une app s’affiche en plein écran

15 décembre 2025 à 09:30

macOS 26.2 modifie légèrement les indicateurs de luminosité et de volume, qui ont été déplacés avec macOS Tahoe. Longtemps affichés en milieu et en bas de l’écran, ces indicateurs qui se présentent lorsque l’on change le volume de la sortie audio ou la luminosité de l’écran en utilisant le clavier ont été rangés en haut à droite avec la mise à jour annuelle. La logique d’Apple est de les associer physiquement avec le Centre de contrôle qui se trouve également à ce niveau et qui permet, lui aussi, d’ajuster les deux paramètres.

Changement de luminosité sur le bureau de macOS et avec une app affichée en plein écran. Image MacGeneration.

Avec la mise à jour, on ajoute une subtilité à ce principe général. Les indicateurs s’affichent toujours en haut à droite par défaut, Apple n’est pas revenue en arrière sur ce changement qui modifie des habitudes bien ancrées. En revanche, quand une app passe en plein écran, l’indicateur change de place et vient se positionner en haut, au milieu du moniteur. Pourquoi ce changement ? Sans doute parce que la barre des menus n’est plus visible par défaut quand on est en mode plein écran, alors le lien spatial entre les deux éléments n’a plus lieu d’être.

D’ailleurs, comme l’a relevé AAPL Ch. en signalant la nouveauté, le placement supérieur droit est restauré dès lors que l’on affiche la barre des menus de macOS tout en étant en plein écran. Dans une app en plein écran sans barre de menus, les indicateurs de volume et de luminosité seront en haut à droite ; dans une app en plein écran avec barre de menus, ils seront centrés en haut.

Pour ne pas simplifier la situation, cela ne semble fonctionner qu’avec les apps qui exploitent le mode plein écran de macOS et pas leur propre version. J’ai testé avec une vidéo YouTube passée en plein écran et les deux indicateurs sont restés dans leur coin à droite. Fort heureusement, la majorité des apps utilisent le système d’Apple désormais, alors ça ne devrait pas être un trop gros problème.

Pour finir, si vous regrettez l’ancien affichage, rappelons l’existence de volumeHUD, un utilitaire qui se charge de le restaurer. L’app a été mise à jour à de multiples reprises depuis notre présentation initiale et elle fonctionne aujourd’hui très bien et peut maintenant masquer l’indicateur du système, pour un rendu plus propre. Si le changement de macOS 26 vous agace, c’est une excellente option.

volumeHUD restaure le gros affichage lors d’un changement de volume sous macOS Tahoe 26

volumeHUD restaure le gros affichage lors d’un changement de volume sous macOS Tahoe 26

Des rencontres secrètes entre le FBI et le négociateur ukrainien suscitent l'inquiétude des Occidentaux

15 décembre 2025 à 09:26

Des réunions discrètes entre de hauts responsables du FBI et le principal négociateur ukrainien pour la paix ont jeté un nouveau trouble sur les discussions visant à mettre fin à la guerre en Ukraine, accentuant la pression sur Kiev pour parvenir à un accord avec Moscou. Selon plusieurs diplomates et responsables informés du dossier, Rustem Umerov, négociateur en chef du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a rencontré à huis clos le directeur du FBI, Kash Patel, ainsi que son adjoint, Dan Bongino, lors de récents déplacements aux Etats-Unis, selon le Washington Post.

Ces rencontres se sont déroulées en marge des discussions plus officielles. Ces dernières semaines, Rustem Umerov s'est rendu à trois reprises à Miami afin de s'entretenir avec Steve Witkoff, l'envoyé spécial du président Donald Trump, autour d'une proposition américaine destinée à mettre fin au conflit qui oppose l'Ukraine à la Russie depuis près de quatre ans. Mais durant ces séjours, le négociateur ukrainien aurait également ouvert un canal direct avec la direction du FBI, selon quatre sources ayant requis l'anonymat en raison du caractère sensible des échanges.

L'initiative intrigue et inquiète. Certains responsables occidentaux redoutent que ces contacts ne servent à exercer une pression supplémentaire sur Kiev pour accepter un plan de paix élaboré par l'administration Trump, qui impliquerait d'importantes concessions territoriales de la part de l'Ukraine. D'autres avancent l'hypothèse que des responsables ukrainiens cherchent à obtenir des garanties ou une forme d'amnistie face à d'éventuelles accusations de corruption visant leur pays.

La corruption évoquée

L'ambassadrice d'Ukraine à Washington, Olha Stefanishyna, a confirmé la rencontre d'Umerov avec le FBI et a déclaré au Washington Post qu'il n'avait abordé que des questions de sécurité nationale ne pouvant être divulguées publiquement. Un responsable du FBI a tenu un discours similaire, affirmant que les discussions avaient concerné des intérêts communs en matière de sécurité et de maintien de l'ordre. La corruption en col blanc en Ukraine a bien été évoquée lors de l'une des réunions, a-t-il reconnu, mais elle n'en constituait pas le sujet central. Toute insinuation d'échanges inappropriées relève, selon lui, du "pur non sens".

Le contexte politique rend toutefois ces explications délicates. Kash Patel et Dan Bongino se sont montrés à plusieurs reprises très critiques à l'égard de l'Ukraine. En mars, le directeur du FBI a publiquement mis en cause l'ampleur de l'aide américaine à Kiev et appelé le Congrès à enquêter sur un possible détournement de fonds. Son adjoint, Dan Bongino, a quant à lui accusé Volodymyr Zelensky d'avoir couvert des faits présumés de corruption impliquant le fils de l'ancien président, Joe Biden, en lien avec son passage au conseil d'administration d'une entreprise énergétique ukrainienne.

De son côté, la Maison-Blanche minimise la portée de ces rencontres. Un responsable assure que les autorités américaines échangent régulièrement avec des dirigeants étrangers sur des enjeux de sécurité nationale, rappelant que l'équipe de Donald Trump mène en parallèle des discussions avec les Russes et les Ukrainiens pour faciliter un accord de paix. A Kiev, un représentant de la présidence a refusé de commenter des réunions spécifiques jugeant "absurde" toute tentative de les relier systématiquement à des affaires de corruption. Le sujet est néanmoins explosif pour l'Ukraine, rappelle le Washington Post, déjà ébranlée par le plus important scandale financier depuis l'arrivée au pouvoir de Volodymyr Zelensky en 2019, après la révélation récente du détournement de 100 millions de dollars dans le secteur énergétique national.

© afp.com/SAUL LOEB

Le directeur du FBI, la police fédérale américaine, Kash Patel, à la Maison Blanche, à Washington, aux Etats-Unis, le 15 septembre 2025

Citroën prépare une électrique à moins de 15 000 €… si l’Europe le veut bien

15 décembre 2025 à 09:25

Après la ë-C3, Citroën serait en train de réfléchir au lancement d’une nouvelle petite voiture électrique. Inspirée par la C1, elle chasserait directement sur les terres de la Renault Twingo E-Tech, avec un prix sous les 15 000 euros.
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Sapphire, PowerColor et ASRock propose leurs R9700S et R9600D

Par :NHU9B
15 décembre 2025 à 09:20

Tout récemment, AMD lançait de nouvelles cartes graphiques avec ses RADEON AI Pro R9700S et R9600D. Ces dernières sont des modèles qui adoptent un système de refroidissement passif. Ce jour, nous apprenons que les partenaires d’AMD : Sapphire, PowerColor et ASRock, proposent leurs versions. Attention, pas de gros changement par rapport aux cartes originales, seuls […]

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« Le rythme d’innovation en Chine est à couper le souffle » : Porsche désemparé face à une concurrence qui va à toute vitesse

15 décembre 2025 à 09:18

Le constructeur de Stuttgart traverse une crise sans précédent sur le marché chinois. Avec des ventes en chute libre et une concurrence locale féroce, Porsche tente un retour aux sources pour reconquérir un empire perdu.
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Hogwarts Legacy est gratuit sur PC, mais une fuite massive révèle la suite des cadeaux Epic

15 décembre 2025 à 09:10
Hogwarts legacy 01

Epic Games frappe un grand coup pour les fêtes de fin d'année. Le blockbuster Hogwarts Legacy est offert gratuitement sur PC jusqu'au 18 décembre 2025, avec un bonus pour Fortnite en prime. En parallèle, une fuite massive dévoile une liste impressionnante de 15 autres jeux qui seraient distribués, incluant des titres comme Red Dead Redemption 2 et Detroit: Become Human. Analyse d'une opération XXL.

Actualité : Mauvaise nouvelle pour votre Roomba : iRobot dépose le bilan après 35 ans d'existence

15 décembre 2025 à 09:10
La nouvelle est tombée dimanche soir : iRobot, cette société du Massachusetts qui a transformé l'aspirateur en petit palet circulaire intelligent, a déposé son bilan auprès du tribunal du Delaware. Après trois décennies et demie à faire naviguer ses Roomba dans nos salons, l'entreprise passe intégralement aux mains de Shenzhen PICEA Robotics, son pri...

Bonne nouvelle : la Tesla Model Y L réservée au marché chinois arrive bientôt en Europe

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Dévoilée quelques mois plus tôt et réservée à la Chine, la Tesla Model Y L à six places va bientôt débarquer en Europe. L’arrivée de la voiture électrique familiale est prévue dès le début de l’année 2026.
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Un tweet, depuis supprimé, confirme l'arrivée prochaine de l'Intel Arc B770

15 décembre 2025 à 09:03

La future carte graphique des bleus, encore hypoth�tique, fait beaucoup parler d'elle ces derniers temps. En effet, nous avons d�j� vu la semaine derni�re qu'une carte graphique en 300 watts se pr�parait chez Intel. Une information qui faisait elle-m�me suite � l'apparition d'une carte bas�e sur BMG-G31, aper�ue en transit on ne sait trop o�. Mais aujourd'hui, nous avons droit au sommet de la confirmation. Et le plus int�ressant, c'est que celle-ci provient directement des bleus, m�me si la preuve a depuis disparu. […]

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Test de la Suunto Vertical 2 : plus belle, plus lumineuse, mais toujours aussi increvable

15 décembre 2025 à 09:00

Plus de deux ans après avoir marqué son retour avec la Vertical, Suunto fait le grand virage de l'Amoled pour sa montre d’aventure ultime. La Suunto Vertical 2 a-t-elle tout de même réussi à garder sa colossale autonomie ?
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Où a été fondé le premier hôpital psychiatrique ?

15 décembre 2025 à 09:00

L’histoire de la psychiatrie est marquée par diverses pratiques, dont certaines qui font parfois froid dans le dos comme la saignée ou les électrochocs. Au fil du temps, cette science a évolué. Mais où est né le tout premier hôpital psychiatrique du monde et de France ?

L'effet Liquid Glass arrive chez Samsung : Premiers aperçus de One UI 8.5 Beta

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Avec One UI 8.5, Samsung opère un virage esthétique marqué par la transparence et les éléments flottants, dans la lignée des tendances du moment. Une évolution visuelle qui évoque certains choix de la concurrence, mais qui pourrait créer un conflit avec les changements mis en place par Google.

Waze teste (enfin) l’affichage des feux tricolores

15 décembre 2025 à 08:54

En cette fin d’année, Google semble décidé de combler les quelques lacunes de ses logiciels de navigation. Si Google Maps va enfin mémoriser systématiquement l’endroit où vous vous êtes garés, Waze pourrait dans un avenir proche enfin afficher les feux rouges !

Google Maps se met enfin à niveau : Plans et Waze faisaient déjà ça en 2016

Google Maps se met enfin à niveau : Plans et Waze faisaient déjà ça en 2016

Image : appshunter.io/ Unsplash

Mais attention, l'idée n'est pas de transformer la carte en sapin de Noël. Selon les premiers retours, l'application limiterait l'affichage à trois feux tricolores simultanés lors d'une navigation active. L'objectif est clair : préserver la lisibilité de l'interface et ne pas noyer le conducteur sous un flot d'informations visuelles alors qu'il doit se concentrer sur la route.

Le comportement diffère toutefois si vous utilisez Waze en mode « roue libre », sans itinéraire programmé. Dans ce cas de figure, l'application se montre plus exhaustive et affiche l'ensemble des feux situés à proximité de votre position, offrant une vue plus complète des intersections alentour.

Cette nouveauté, repérée par GeekTime, n'en est pour l'heure qu'au stade expérimental. Les tests semblent circonscrits à Israël et aucune date n'a encore filtré pour un déploiement international. Il reste également à voir si cette limite de trois feux sera maintenue dans la version finale.

Ce n'est cependant pas une surprise totale : en mai dernier, Waze avait confirmé que la prise en charge des feux était bien sur sa feuille de route. La logique voudrait que la filiale de Google ne reparte pas d'une feuille blanche. Théoriquement, Waze pourrait piocher dans l'immense base de données de Google Maps, qui cartographie déjà les feux tricolores dans de nombreux pays, plutôt que de tout recommencer à zéro.

Reste à voir quand cette fonction sera effectivement déployée. La patience dans cette affaire est de mise. Apple Plans gère cela depuis … 2019.

Plans sait afficher les feux   et les stop

Plans sait afficher les feux et les stop

Pénurie de RAM : les PC portables pourraient bien devenir moins performants

15 décembre 2025 à 08:49

Face aux pénuries de DRAM et à la hausse des coûts de production, les fabricants d'ordinateurs portables généralisent les configurations de 8 Go tout en appliquant des tarifs élevés sur les capacités supérieures afin de sécuriser leur chaîne d'approvisionnement.

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Google dévoile Disco, un navigateur IA expérimental capable de créer ses propres applications

15 décembre 2025 à 08:47

Google explore le futur de la navigation Web avec le lancement de Disco, un nouveau projet de navigateur distinct de Chrome intégrant de l’intelligence artificielle. Basé sur Chromium et tournant à l’aide de l’IA Gemini 3, ce navigateur propose un concept baptisé GenTab, conçu pour transformer la manière …

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