Nouveau pilote correctif du côté d’Intel qui publie une version 101.8331 à destination du jeu Battlefield 6. Cette dernière corrige des problèmes de corruptions sur le jeu avec l’architecture Battlemage de la marque. Cela concerne donc les cartes graphiques dédiées ainsi que les iGPU des processeurs des bleus. 101.8331, un correctif déployé par Intel pour […]
Sam Altman, P.-D.G d'OpenAI, a tenté de mettre la main sur Stoke Space, une entreprise qui travaille sur une fusée réutilisable. Si le deal est finalement tombé à l'eau, il témoigne des immenses ambitions de l'entrepreneur.
Du jour au lendemain, certains utilisateurs français de TikTok ont vu leur page d'accueil être envahie d'une étrange trend mêlant pop culture et... pipi au lit.
Si vous cherchez une solution complète pour protéger vos appareils et votre identité, voici l’offre à ne pas manquer du moment : Surfshark One est à 2,29 €/mois, avec VPN, antivirus et protection d’identité inclus.
Ce nouveau patch sur le serveur de test n'apporte que des correctifs et des ajustements suite aux remontés des joueurs. Les serveurs réguliers devrait avoir droit au nouveau contenu actuellement sur Blight dans les prochains jours.
Confier à un puissant gendarme la surveillance d’une large partie des acteurs financiers de l’UE : c’est la mesure phare d’un projet dévoilé ce jeudi 4 décembre par Bruxelles qui pourrait bouleverser la régulation financière du continent, en quête d’autonomie face aux Etats-Unis de Donald Trump. La Commission européenne a détaillé une série de propositions visant à confier à l’autorité européenne des marchés financiers Esma (une agence ayant pour l’instant un simple rôle de coordination) des pouvoirs renforcés au détriment des régulateurs nationaux.
Un premier pas vers la création d’un marché des capitaux européen unifié, à même de rivaliser avec les autres puissances financières mondiales, selon Bruxelles. "Ne pas agir ne mènera qu’à une voie : une Europe qui investit trop peu, croît trop lentement et se fait distancer sur le plan géopolitique", a déclaré la Commissaire aux Services financiers Maria Luis Albuquerque, lors d’une conférence de presse.
Des Etats trop laxistes
Le projet envisage de transférer à l’Esma la supervision et l’octroi des licences d’exercice pour les prestataires de services liés aux cryptomonnaies. Ce rôle revient pour le moment aux autorités nationales, mais certains Etats sont accusés d’être trop laxistes. L’Esma a relevé des manquements à Malte, où le secteur est florissant, et qui s’oppose logiquement à toute centralisation.
L’institution aurait aussi la charge de surveiller toutes les infrastructures de marchés "significatives", c’est-à-dire ayant une taille suffisamment importante ou des activités transfrontalières. Cela concernerait les places boursières, mais aussi les chambres de compensation qui servent d’intermédiaire pour sécuriser et réaliser des transactions, ou les dépositaires centraux qui les enregistrent. L’Esma aurait enfin un "rôle de surveillance renforcé" des "grands groupes de gestion d’actifs". Elle pourrait aller jusqu’à suspendre les permis européens des fonds en cas de manquement grave de leur gestionnaire et d’inaction des autorités locales.
Pour assurer ces missions, l’Esma, qui réunit les représentants des autorités nationales avec un rôle surtout consultatif, serait dotée d’un nouvel exécutif indépendant, avec des pouvoirs renforcés.
Le projet pourrait provoquer un vif débat entre Etats membres. Si la France pousse pour donner plus de pouvoir à l’Esma, basée à Paris, le Luxembourg, place forte de la gestion d’actifs en Europe, tient à conserver une régulation nationale adaptée aux demandes locales. L’Allemagne qui cherche à préserver la place de Francfort, se dit favorable "à un renforcement de la convergence", mais veut que cela "apporte une valeur ajoutée", selon son ministère des Finances.
Longtemps soupçonné, le lien entre cycle menstruel et cycle lunaire semblait osciller entre mythe et réalité. Une nouvelle étude vient confirmer qu’il existe bien ou plutôt existait avant l’arrivée massive des smartphones.
L’Arcom ne rigole plus. Après des années de lutte hasardeuse contre l’IPTV, le régulateur français vient de remettre un rapport explosif à l’Assemblée nationale.
Kohler, une société spécialisée dans les sanitaires, a présenté en octobre un nouveau produit, le Dekoda. C'est une caméra à placer dans la cuvette de vos toilettes, qui va analyser l'aspect de vos besoins naturels pour vous donner des indications sur votre santé intestinale, mais aussi sur votre hydratation, grâce à la couleur de votre urine.
Compte tenu du contexte sensible, Kohler met bien évidemment en avant la sécurité de son produit. Mais selon un chercheur, qui a pu poser des questions à la marque, c'est un peu plus compliqué que ce qui est présenté. Premièrement, la société annonce un chiffrement « de bout-en-bout » (end-to-end envcryption). Mais comme Simon l'explique, ce n'est pas tout à fait le cas. Habituellement, on parle de chiffrement de bout-en-bout dans le cas d'une connexion entre deux personnes1, par exemple avec une messagerie chiffrée. Ce chiffrement implique que seuls les deux correspondants peuvent déchiffrer les messages, mais que le fournisseur du service (Apple, Meta, Signal, etc.) ne peut pas le faire.
Dans le cas de Kohler, cette mention est un peu fallacieuse : la société a accès aux informations étant donné qu'elle doit les analyser. Et donc ce chiffrement de bout-en-bout n'est qu'une simple liaison HTTPS entre votre installation (la caméra ou votre smartphone) et les serveurs de Kohler. La liaison est bien chiffrée, mais Kohler peut parfaitement accéder aux données et possède la clé pour déchiffrer les informations stockées sur ses serveurs.
Les photos peuvent entraîner une IA
Le second point qu'il met en avant, c'est que la société propose de cocher une case lors de l'inscription sur son app, et qu'elle permet à la société d'utiliser les données personnelles pour la recherche, le développement et l'amélioration des produits. Mais surtout, si vous allez lire les conditions du service, de vendre les données à des tiers, pour promouvoir ses services ou entraîner des IA. Même si les données sont en théorie anonymisées (ou séparées de celles qui permettent d'identifier un client), avez-vous vraiment envie que des photos de l'intérieur de vos toilettes — et rappelons-le, c'est littéral — servent à entraîner des IA ? Ou que — si Kohler se fait pirater — les images en question se retrouvent en vente dans les coins sombres du Web ?
Mais pas que : les données stockées sur iCloud peuvent être chiffrées de bout-en-bout, sans qu'Apple puisse accéder aux données. ↩︎
À mesure que les PC quittent Windows 10, la question de la préservation des données de navigation revient sur la table. Mozilla planche sur une solution intégrée pour garantir que le profil Firefox survive au passage à Windows 11 sans incident.
Yousri Maraoui s’est donné un défi immense : traverser l’Algérie puis la Tunisie en 30 jours pour donner un mouton à sa grand-mère. Le jeune homme de 28 ans a mis fin à son périple. Ce dernier est revenu sur son...
Pour la première fois dans son histoire, la Station spatiale internationale (ISS) a vu ses huit ports d'amarrage occupés simultanément par des engins spatiaux. Les responsables de la NASA ont...
The highlight of the year, the Geminids are the most active and colorful meteor shower, offering the chance to see hundreds of shooting stars every hour when they peak in mid-December.
Dans un marché de l’énergie en pleine mutation, il devient important de comprendre les différences entre une électricité verte et classique. Les fournisseurs en France multiplient les propositions, du solaire aux sources renouvelables, en passant par le nucléaire ou le fossile. En effet, le prix...
Soprano qui sera sur la scène du Festidreuz 2026 ; le frère de Christophe Gleizes qui a de nouveau appelé à une grâce du président algérien ; Xi Jinping qui refuse toute responsabilité dans la guerre en Ukraine… Ce qu’il faut retenir de cette matinée du jeudi 4 décembre 2025 est à découvrir ici.
Les députés européens et les Etats membres ont scellé un accord dans la nuit du mercredi 3 au jeudi 4 décembre pour développer les plantes issues de nouvelles techniques génomiques (NGT) dans l’agriculture au sein de l’UE.
Qualifiées de "nouveaux OGM" par leurs détracteurs, ces NGT permettent de modifier le génome d’une plante mais sans introduire d’ADN étranger, contrairement aux OGM de première génération. Les semences obtenues par NGT sont donc bien des organismes génétiquement modifiés mais ne sont pas "transgéniques".
Les gros syndicats agricoles soutiennent ces techniques pour développer des variétés plus résistantes aux aléas climatiques et moins gourmandes en engrais. L’eurodéputée suédoise Jessica Polfjärd (PPE, droite), rapporteure de ce texte, s’est réjouie d’une "avancée majeure". "Cette technologie permettra de cultiver des plantes résistantes au changement climatique et d’obtenir des rendements plus élevés sur des surfaces plus réduites", a-t-elle assuré. Le centriste français Pascal Canfin a lui aussi salué une "excellente nouvelle", avec "davantage de solutions pour lutter contre les pénuries d’eau, la sécheresse, la hausse des températures".
Pas d’autorisation dans l’agriculture biologique
Le compromis assouplit les règles actuelles pour une partie des NGT, dits de catégorie 1 qui, sous réserve d’un nombre limité de mutations, seront considérés comme équivalents aux variétés conventionnelles. Les NGT résistantes aux herbicides ou produisant des insecticides ne seront pas autorisées sur le marché, au nom de la durabilité. Et dans l’agriculture biologique, aucune NGT ne sera autorisée.
L'autorité européenne de sécurité alimentaire (EFSA) s'était montrée favorable à l'approche de Bruxelles visant à autoriser une partie des NGT. Plus prudente, l'agence sanitaire française, l'Anses, avait quant à elle préconisé dans un avis de 2024 une évaluation "au cas par cas" des "risques sanitaires et environnementaux" avant toute mise sur le marché.
Le débat sur ces biotechnologies est tendu en Europe, où cette édition génomique est aujourd’hui classée dans la catégorie des OGM, tous interdits à la culture, à l’exception du maïs Monsanto 810, cultivé sur de petites surfaces en Espagne et au Portugal. La simplification des règles était réclamée par la puissante organisation agricole Copa-Cogeca, comme par les grands semenciers, au nom de la compétitivité européenne face aux Etats-Unis et à la Chine, qui autorisent les NGT. Le Copa-Cogeca, qui regroupe les syndicats agricoles majoritaires, appelait à "libérer le potentiel" des NGT afin de placer "l'Europe sur un pied d'égalité avec ses principaux concurrents".
"On joue aux apprentis sorciers"
Des organisations environnementales et le secteur de l’agriculture biologique dénoncent à l’inverse une pente dangereuse qui pourrait faire "courir des risques majeurs pour notre agriculture et notre alimentation", avance l’ONG Pollinis. L’une de ses responsables Charlotte Labauge pointe notamment l’absence d’étiquetage dans les produits finaux, "une atteinte grave aux droits fondamentaux des consommateurs", estime-t-elle. Selon l’accord, la présence de NGT de catégorie 1 devra figurer sur les sacs de semences achetés par les agriculteurs, mais pas dans l’étiquetage du produit final.
Les débats se sont éternisés pendant plusieurs mois au sein de l’Union européenne sur cette question de la traçabilité ainsi que sur les brevets dont pourront bénéficier ces NGT. Des Etats redoutaient que ces brevets viennent déstabiliser le secteur agricole. Des ONG mettent aussi en garde contre une concentration de brevets onéreux aux mains de multinationales, au détriment de petits agriculteurs.
Au Parlement, le socialiste français Christophe Clergeau a critiqué le compromis scellé dans la nuit. "On joue aux apprentis sorciers, on enlève aux consommateurs leur liberté de choix" et "on jette les agriculteurs dans les bras de grands groupes internationaux", a-t-il affirmé auprès de l’AFP.
Cet accord, notamment soutenu par le Danemark, qui occupe la présidence tournante de l’Union européenne jusqu’à fin décembre, doit désormais être approuvé une dernière fois par les Etats membres et le Parlement européen, pour entrer en vigueur. Entre la phase de test des nouvelles variétés et leur commercialisation, il faudra plusieurs années avant que des aliments produits avec des NGT arrivent dans les assiettes des Européens.
La plateforme Amazon Prime Video proposait dernièrement des doublages générés par IA pour certains animés iconiques. Mais l'expérience a vite tourné court.
Un nouveau fait troublant vient secouer la coopération spatiale internationale. Le cosmonaute russe Oleg Artemyev a été retiré de la mission Crew-12 de SpaceX qui doit rejoindre la Station spatiale internationale (ISS) au mois de février 2026. Roscosmos a confirmé son remplacement par Andreï Fedyayev, sans fournir d’explication …
L’UE a lancé, ce jeudi, une enquête sur le géant américain de la tech Meta, propriétaire de WhatsApp, pour une possible infraction aux règles de la concurrence liée aux fonctions d’intelligence artificielle (IA) dans l’application de messagerie.
Malgré sa petite taille, le tigre de Sumatra reste majestueux. La preuve sur ces images prises récemment dans les forêts d’Indonésie. Des images qui, selon les chercheurs, révèlent un peu plus que la simple beauté sauvage de l’animal légendaire…
Revenues sur le devant de la scène, les franchises Alien et Predator se préparent-elles à fusionner pour un nouveau crossover ? Noah Hawley répond aux rumeurs.
Alors que les négociateurs américains font depuis plusieurs jours des allers-retours entre Vladimir Poutine et les équipes ukrainiennes, de New York à Londres, les analyses de la presse anglophone semblent converger vers une conclusion : les pourparlers de paix pilotés depuis Washington butent surtout sur Vladimir Poutine, tandis que la Maison-Blanche de Donald Trump fait face à des choix qui pourraient laisser l’Ukraine encore plus isolée.
Le New York Timesrappelle d’abord l’échec du calendrier fixé par Donald Trump : "Le président voulait que Moscou et Kiev parviennent à un accord d’ici Thanksgiving". Un ultimatum politique qui s’est rapidement heurté à la réalité d’un Kremlin inflexible et d’une Ukraine incapable d’accepter les concessions exigées, concernant notamment certains des territoires actuellement occupés par les troupes russes, que les deux camps refusent de céder.
Résultat : Donald Trump se retrouve "face à un ensemble de choix difficiles, mais familiers", estime le quotidien américain. Celui-ci évoque un dilemme désormais assumé à Washington : faire pression sur Kiev ou reconnaître l’échec d’une stratégie menée à marche forcée. Après une rencontre organisée mardi à Moscou entre Steve Witkoff, Jared Kushner et Vladimir Poutine, considérée par beaucoup comme un échec, une délégation ukrainienne retrouve ce jeudi 4 décembre les négociateurs de Donald Trump, faisant tout de même subsister l’espoir d’un certain progrès.
Quelle que soit l’issue, il semble désormais clair que Donald Trump "devra attendre — peut-être des semaines, peut-être même au-delà du quatrième anniversaire de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, fin février" juge le New York Times.
L’obstacle, c’est Poutine
Pour CNN, l’équation est encore plus simple. "Vladimir Poutine ne veut pas d’accord, et le fait qu’on le supplie d’en envisager un est pour lui une situation qu’il savoure" estime la chaîne de télévision progressiste américaine.
Même constat sans détour pour le quotidien britanniqueThe Guardian, pour qui la possibilité d’un accord de paix se heurte à "un obstacle inévitable et insoluble : Poutine lui-même". Le quotidien britannique estime que la rencontre à Moscou n’a servi qu’à réitérer les exigences russes, en attendant que le rapport de force politique américain évolue au profit de la Russie. Avant de critiquer la diplomatie parallèle menée par des proches de Donald Trump. "Poutine ne veut pas voir Witkoff venir à Moscou pour mener ces discussions" pointe le média, relevant l’irritation du Kremlin face à une négociation menée par des "dealmakers" sans légitimité institutionnelle.
CNN détaille également les conséquences pour l’Ukraine. "On ne peut pas sous-estimer les dégâts causés au moral ukrainien", rappelle le média, soulignant qu’entre sanctions fluctuantes, menaces de couper l’aide militaire et déclarations contradictoires, Washington mine la résilience d’un pays déjà épuisé après quatre années de conflit.
La menace de l’échec américain
"Donald Trump est pris entre le marteau et l’enclume" tranche quant à lui The Telegraph, qui décrit un président acculé. D’un côté, par une Russie inflexible, et de l’autre par une Ukraine soutenue par des Européens qui refusent les concessions envisagées par Washington. Et de décrire un scénario que redoutent les Européens : "Il existe une réelle possibilité que Donald Trump décide de se retirer du cœur des négociations de paix et de se laver les mains de la guerre", pour se recentrer sur ses priorités intérieures ou sur d’autres dossiers internationaux, juge le journal.
Dans les médias anglophones, un même diagnostic se dessine donc : le Kremlin dicte fermement le tempo des négociations, convaincu que le temps joue en sa faveur, tandis que l’Ukraine paie le prix de l’imprévisibilité américaine et des signaux contradictoires envoyés par la Maison-Blanche. Donald Trump, qui cherche une victoire rapide à afficher, voit au contraire s’éloigner la perspective d’un accord.
Une ancienne assistante d’un élu américain, Natalie Greene, est accusée d’avoir orchestré sa propre agression. Elle aurait payé un artiste 500 dollars pour simuler des blessures. Elle risque jusqu’à dix ans de prison.