Israel confirms how hostage Tal Haimi died, with 15 bodies remaining in Gaza
The latest version of the Oura smart ring app provides an improved and simplified view of key health information.
I’ve argued before that Apple could learn some lessons from Oura, and I think this is even more true today – here’s why …
more…Faustine Bollaert animait une nouvelle édition de Ça commence aujourd'hui sur France 2 ce lundi 20 octobre 2025. L'animatrice a fait face à un coup dur…
The president will host a lunch for Republicans in the Rose Garden as construction is carried out on the White House’s east wing
A Donald Trump nominee who is scheduled for a confirmation hearing this week told other Republicans he “has a Nazi streak” and that holidays commemorating Black people should be “eviscerated,” according to a report based on a private group chat.
Trump nominated Paul Ingrassia to serve as special counsel of the United States, a role charged in part with safeguarding federal whistleblowers from retaliation. His confirmation hearing is set for Thursday.
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Alors que la fin de Stranger Things approche à grands pas, les showrunners de la série Netflix donnent de précieuses informations aux fans sur la saison 5 à venir. Et mauvaise nouvelle : l'un de nos personnages préférés ne sera pas de la partie.
Après un Battlefield 2042 décevant et plusieurs opus retraçant les deux premières guerres mondiales, les fans attendaient depuis plus de dix ans un véritable retour aux sources de la série Battlefield. À savoir : des guerres modernes, un multijoueur équilibré reposant sur les classes et une campagne sans artifices ni paillettes. Promis comme un renouveau fidèle aux attentes des joueurs, Battlefield 6 vient de sortir et, sans surprise, bat déjà tous les records. Mais cela signifie-t-il qu’il est exempt de défauts ? C’est ce que nous allons décortiquer.
Testé sur Xbox Series X grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur
Le contexte de Battlefield 6 se déroule dans un futur très proche. En 2028, le secrétaire général de l’OTAN est assassiné, provoquant le retrait de plusieurs pays de l’alliance, dont la France. La confiance envers l’organisation est ébranlée et nombre d’États se tournent vers une milice privée fraîchement créée pour assurer leur sécurité : la PAX Armata. Celle-ci grossit à vue d’œil, financée par des nations et des acteurs privés pour assurer leurs propres intérêts. Rapidement, elle s’équipe en fantassins, en armes lourdes et en matériel de pointe. La situation dégénère, et des conflits éclatent partout en Europe, en Afrique et sur le continent américain.
Après un Battlefield 2042 dépourvu de campagne, EA et DICE ont retenu la leçon et Battlefield 6 débarque avec une campagne d’une dizaine d’heures, nous faisant voyager autour de la Méditerranée, en Europe et au-delà. Alors que la PAX Armata a délibérément engagé les hostilités envers l’OTAN, on rejoint une escouade aguerrie des forces spéciales, chargée de la combattre sur tous les fronts. À la manière de supersoldats, cette unité d’élite accomplit l’impossible et, malheureusement, c’est sur cette sensation d’importance que ça coince dans l’intrigue. En effet, cette campagne tranche fortement avec celles des précédents opus : ici, malgré la diversité des théâtres de guerre, on incarne presque toujours la même escouade. Présentée comme un groupe d’élite, elle est chargée de défendre les intérêts de l’OTAN et de faire tomber la PAX Armata. Comme si l’issue de la guerre reposait uniquement sur quelques soldats. Alors que les anciens Battlefield mettaient en avant des héros ordinaires dont les actions changeaient le cours de l’histoire, cet épisode nous place dans la peau d’une équipe suréquipée, invincible et sans limites. Ce qui est tout bonnement irréaliste.
Cette nouvelle approche aurait pu fonctionner si elle avait bénéficié d’une narration plus cohérente. Malheureusement, le récit souffre d’un rythme précipité, d’enjeux mal définis et de rebondissements prévisibles. Pire encore, malgré un contexte évoquant une possible Troisième Guerre Mondiale, l’antagoniste principal manque de profondeur. Ses motivations relèvent plus de la querelle que de la tragédie géopolitique. Tout s’enchaîne trop vite, les personnages sont survolés, empêchant toute forme d’attachement. On note toutefois une attention bienvenue portée aux dialogues entre les membres de l’escouade durant les missions qui parviennent, tant bien que mal, à renforcer le contexte et la cohérence globale du récit. Le discours du jeu propose également une double lecture intéressante, volontaire ou involontaire, en écho à notre époque marquée par la montée des extrêmes et les tensions internationales.
La campagne propose plusieurs niveaux de difficulté. Nous avons opté pour le mode normal, qui s’est révélé plus simple que prévu. La faute à une IA souvent aux fraises : les ennemis n’hésitent pas à foncer dans la ligne de mire, à se découvrir inutilement ou à se réfugier… juste à côté de vous. Bien que la campagne ne permette pas le jeu en coopération ni en écran partagé, elle intègre un système d’ordres tactiques permettant de donner des instructions à son unité : lancer des fumigènes, attaquer une position ou réanimer un allié. Une bonne idée, certes, mais peu utile en mode normal tant la difficulté reste faible. En revanche, cette mécanique prend sans doute tout son sens dans les modes plus exigeants.
Fort heureusement, la déception narrative est rapidement oubliée si on se concentre sur le spectacle visuel, qui lui en met plein la vue, aussi bien sur les effets spéciaux que dans les environnements visités. La campagne de Battlefield 6 nous fait voyager à travers de nombreux pays et décors : du palais égyptien au métro new-yorkais, chaque lieu regorge de détails convaincants. Le sound design est, lui aussi, exemplaire et renforce l’immersion : entre les tirs nourris, les déflagrations et les dialogues sous tension, la cacophonie du champ de bataille est parfaitement retranscrite.
Après plusieurs épisodes centrés sur le XXᵉ siècle et un Battlefield 2042 à la fois en avance et en retard sur son temps, Battlefield 6 signe le grand retour des combats modernes. Le jeu apporte le retour des mécaniques qui ont fait le succès de la licence : des affrontements terrestres intenses, des bâtiments destructibles, des véhicules blindés et aériens, et surtout le retour du système de classes. De quoi ravir les vétérans de Battlefield 3 et Battlefield 4.
Outre une interface un peu trop chargée qui nuit à la lisibilité et à la compréhension globale, on retrouve très vite les quatre classes emblématiques de la série, avec quelques ajustements dans leurs rôles. Le soutien peut réanimer, l’assaut dispose désormais d’une échelle, la reconnaissance profite encore une fois du C4 et l’ingénieur reste fidèle à ses fonctions habituelles. Sauf pour certains modes spécifiques, toutes les classes ont accès à la majorité des armes, même si certains équipements demeurent exclusifs. Ainsi, la répartition de l’arsenal tend à uniformiser les classes, ce qui en rend certaines moins attrayantes comme l’assaut, par exemple, dont l’intérêt nous semble plus limité. Certains éléments supplémentaires (comme le lance-grenades) doivent être débloqués, mais la progression est assez longue. Cela peut sembler frustrant au premier abord, mais encourage finalement les joueurs à s’investir dans le développement de leurs classes et la réalisation de défis pour débloquer armes et accessoires.
Côté modes de jeu, on retrouve les classiques Ruée, Conquête, Percée, ainsi que Roi de la Colline, Domination et bien d’autres. Le mode portal signe aussi son grand retour pour des parties plus personnalisées. Les cartes sont vastes et variées, même si certaines limitations se font sentir, comme l’absence de map dédiée aux véhicules amphibies et nautiques ou les batailles aériennes encore de faible envergure. Ces ajouts devraient arriver avec les futures mises à jour, notamment le lancement de la saison 1, qui introduira également le très attendu mode Battle Royale. D’autres corrections devraient aussi survenir avec cette première mise à jour puisque le jeu n’est cependant pas exempt de bugs : pertes de son, déconnexions, menus figés… Rien de dramatique, mais des correctifs sont encore nécessaires.
Battlefield 6 signe un véritable retour aux fondamentaux de la licence : le titre renoue avec les guerres modernes, les affrontements spectaculaires et surtout le système de classes qui avait fait la renommée de la série et supprimé au début de Battlefield 2042 avant d’être réintégré. Porté par une réalisation visuelle impressionnante et un sound design percutant, le jeu offre des batailles d’une grande intensité, capables de rappeler les plus belles heures de Battlefield 3 et 4. Cependant, tout n’est pas parfait : la campagne, bien que visuellement bluffante, souffre d’une écriture maladroite et d’une IA défaillante. En multijoueur, quelques bugs persistent et certaines classes manquent encore de caractère. Malgré ces écueils, Battlefield 6 marque un renouveau convaincant, à la fois spectaculaire, nerveux et fidèle à l’esprit originel de la saga. Après un Battlefield 2042 décevant, la rédemption est bien amorcée et nous avons hâte de découvrir le contenu des prochaines mises à jour.
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Poland’s foreign minister says Putin’s plane could be escorted down and Russian president handed to The Hague
A lawyer for Nicolas Sarkozy said a motion had been filed for his release moments after the former French president entered jail, Agence France-Presse (AFP) reports.
Attorney Christophe Ingrain told reporters:
A request has been filed for Nicolas Sarkozy’s release.
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© Photograph: Alexander Kazakov/Reuters
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EssilorLuxottica vit actuellement un véritable moment historique. Le géant de l’optique, propriétaire de Ray-Ban, Oakley et Persol, connaît une forte croissance. Cela grâce aux lunettes intelligentes créées avec Meta.
Au troisième trimestre 2025, le chiffre d’affaires a bondi de 11,7 % à 6,87 milliards d’euros, dépassant largement les attentes des analystes. Les wearables, comme les Ray-Ban Meta et Oakley Meta, ont apporté plus de 4 points de pourcentage à cette croissance. Et c’est encore plus impressionnant. Une progression qui propulse l’entreprise, traditionnellement en croissance modérée, dans une nouvelle dimension.
Ces lunettes permettent d’écouter de la musique, de prendre des photos et d’interagir avec un assistant numérique alimenté par l’IA de Meta. L’expérience est conçue pour remplacer progressivement certaines fonctions des smartphones. Le succès est tel que EssilorLuxottica prévoit d’atteindre une capacité de production annuelle de 10 millions d’unités d’ici 2026, plus tôt que prévu.
La collaboration avec Meta ne se limite pas à la technologie. Elle a relancé tout un marché en sommeil. Google, Samsung et même Apple travaillent désormais sur leurs propres lunettes intelligentes. Meta a habilement associé l’élégance des modèles Ray-Ban à des technologies IA de pointe. Ainsi, les ventes explosent et la rentabilité du secteur est déjà confirmée.
Les chiffres sont impressionnants. Sur neuf mois, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 20,89 milliards d’euros, en hausse de 5,9 %. Les ventes retail ont augmenté de 7,8 %, tandis que les solutions professionnelles (fournitures optiques, matériel technique) ont progressé de 3,8 %. La croissance touche toutes les régions. L’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique connaissent un boom (+9,4 %). L’Amérique du Nord reste solide (+4 %), tandis que l’Amérique Latine recule légèrement (-2,3 %).
La stratégie du groupe EssilorLuxottica est de faire des wearables un pilier de croissance durable. Déjà, environ 20 % des acheteurs choisissent des lunettes correctrices, et un tiers optent pour des verres antireflets à prix premium. Les projections sont ambitieuses : certains analystes prévoient 6 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour les lunettes intelligentes d’ici 2030. Le marché mondial grimperait de 3 à 60 millions d’unités par an d’ici 2035.
Franchement, je trouve ce succès mérité. EssilorLuxottica a su moderniser un objet du quotidien sans le dénaturer. Les lunettes Meta restent élégantes, simples à porter, et donnent envie de découvrir la technologie plutôt que de la subir. J’aime cette idée qu’un accessoire aussi banal puisse devenir intelligent sans perdre son style. Pour moi, c’est la preuve que l’innovation peut être naturelle, discrète et séduisante à la fois.
Cet article EssilorLuxottica cartonne avec Meta : le marché des lunettes n’a jamais été aussi chaud a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.
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M6 a lancé la 20e saison de La France a un incroyable talent en cette année 2025. Malgré sa longévité, l'émission parvient à se renouveler. Le jury, composé d'Éric Antoine, Hélène Ségara, Marianne James et Sugar Sammy, ne se lasse pas des divers numéros…