Severance saison 3 : la date du début du tournage est connue
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Plusieurs drones ont survolé dans la soirée du jeudi 5 décembre la base sous-marine de l’Île Longue (Finistère), qui abrite les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) de la dissuasion nucléaire française, a appris l’AFP auprès de la gendarmerie.
Cinq drones ont été détectés techniquement jeudi soir, vers 19h30, au-dessus de la base, qui borde la rade de Brest. Un dispositif de lutte anti-drones et de recherches a été mis en place. Le bataillon de fusiliers marins, qui assure la protection de la base, a effectué plusieurs tirs anti-drones, selon la même source.
Contactés par l’AFP, la préfecture maritime de l’Atlantique et le parquet n’ont pas donné suite dans l’immédiat.
Les survols de drones dans cette zone interdite ne sont pas rares. Dans la nuit du 17 au 18 novembre, un survol de drone "au-dessus de la presqu’île de Crozon", dont fait partie l’Île Longue, avait été signalé, mais sans survol d’emprise militaire.
Sanctuaire de la dissuasion nucléaire française, la base de l’Île Longue est protégée par 120 gendarmes maritimes en coordination avec les fusiliers marins. La base assure la maintenance des quatre SNLE français, dont l’un au moins est en permanence en mer pour assurer la dissuasion nucléaire.
Les conditions de luminosité étaient particulièrement bonnes jeudi soir au-dessus de la rade de Brest, en raison de la pleine Lune et de son orbite proche de la Terre, un épisode fréquent appelé super Lune.
Les signalements de survols de drones se sont multipliés dans des aéroports et autres sites sensibles, dont militaires, ces derniers mois en Europe du nord, les dirigeants de ces pays voyant la main de Moscou derrière ces actions.

© afp.com/FRED TANNEAU
For Day 5 of the KitGuru Advent Calendar we have teamed up with Valkyrie to offer one lucky winner a PC upgrade bundle, including a new VK02 Lite case, a set of V12 ARGB fans to kit it out with and a V360 Lite AIO liquid cooler to go with it, creating a perfect starting point for a new build.
The Valkyrie VK02 Lite is a mid‑tower ATX case built for airflow and flexibility, supporting up to 13 fans or triple 360/420mm radiators with tempered glass and ARGB lighting. The Valkyrie V12 ARGB fans are 120mm fluid dynamic bearing units, running up to 1850RPM with 75CFM airflow and customizable RGB illumination. The Valkyrie V360 Lite AIO is a 360mm liquid cooler featuring a patented 2800RPM pump, high‑pressure B12 radiator fans, a rotatable pump top and strong thermal performance backed by a 5‑year warranty.
To enter this giveaway, all you have to do is head over to our competition announcement post on Facebook, HERE. In the comments, leave an answer to the following question – What was your first PC case?
This competition is open Worldwide with the exception of Brazil, South Africa, Russia, Pakistan and Turkey due to shipping restrictions outside of our control.
The winners will be picked randomly shortly after 11AM GMT December 6th, and a new competition will be announced for Day 6. The chosen winners have 48 hours to respond, if we do not hear from them, a new winner will be picked.
Terms and Conditions: This competition is open worldwide except for Brazil, South Africa, Russia, Pakistan and Turkey due to shipping restrictions outside of our control, starting at 11AM GMT on December 5th and ending at 10:59AM GMT on December 6th. Due to the busy Christmas season, prize deliveries could take longer than usual, and some prizes may not ship until January. In compliance with GDPR, we will not collect or store any personal information as part of this competition. Once the winner has been contacted and their prize received, personal details will be deleted from our email servers. Your details will not be shared, we respect your privacy.
KitGuru Says: Good luck to all who enter, we'll be back tomorrow morning to announce a winner and turn the calendar over to Day 6!
The post KitGuru Advent Calendar Day 5: Win a Valkyrie PC upgrade bundle! first appeared on KitGuru.Vous en avez marre du duo Chrome/Safari ? Moi aussi. Alors quand j’ai entendu parler de Ladybird , ce navigateur web développé from scratch sans une seule ligne de code en provenance de Blink, WebKit ou Gecko, j’ai voulu tester la bête. Direction donc le terminal, pour une petite compilation sur mon Mac ARM !
Ladybird, c’est le projet fou d’ Andreas Kling , un ancien ingénieur WebKit chez Apple qui a décidé de créer son propre système d’exploitation ( SerenityOS ) pour se remettre d’une addiction. Code un OS entier comme thérapie, je trouve ça assez cool… Et dedans, il y avait un petit visualiseur HTML qui a fini par devenir un projet à part entière avec 8 développeurs full time et des sponsors comme Shopify, Cloudflare ou encore le co-fondateur de GitHub.
Le concept de Ladybird, c’est zéro code emprunté aux moteurs existants. Tout est écrit en C++ (avec une migration vers Swift prévue), du moteur de rendu LibWeb au moteur JavaScript. C’est donc actuellement le seul navigateur vraiment indépendant en développement actif. Et ça, dans un monde où même Firefox commence à faire un peu polémique sur son indépendance, ça fait du bien.
Mais parlons de mon test. J’ai cloné le repo, lancé la compilation sur mon ordi, et… ça compile. Déjà, c’est une victoire… Le navigateur se lance, affiche des pages, gère le CSS, fait tourner du JavaScript. Les bases sont là.
MAIS on est clairement en pré-alpha car ça rame pas mal et sur YouTube les vidéos refusent même de se lancer. C’est parfaitement normal car le navigateur ne supporte pas encore tous les codecs et APIs nécessaires pour le web moderne et l’alpha est prévue pour l’été 2026, avec une bêta en 2027 et une version stable en 2028. Donc on n’y est pas encore.
Mais c’est encourageant ! En octobre dernier, l’équipe a même fait passer 1,9 million de tests de conformité web (Web Platform Tests) et verdict, le pinch-to-zoom fonctionne sur Mac, le local storage et OK et même Windows commence à être supporté par la communauté.
L’autre truc cool, c’est leur business model. Comme y’a pas de deal avec un moteur de recherche par défaut qui vous piste ni de crypto-tokens chelou et pas de monétisation de données des utilisateurs, le projet se doit d’être financé uniquement par des dons et des sponsors corporate via une structure à but non lucratif. C’est cool et ça nous change de ce monde où Google paie des milliards à Apple pour être le moteur par défaut de Safari.
Donc mon verdict après mes tests, c’est qu’en l’état, Ladybird n’est pas utilisable au quotidien. Et c’est complètement normal vu le stade de développement. Ce n’est donc pas encore un Firefox-killer, mais un projet de recherche et développement qui pourrait, dans 3 ans, devenir une vraie alternative.
Voilà, donc en attendant, Firefox reste mon navigateur principal mais je garde un œil sur cette petite coccinelle parce qu’avoir un quatrième moteur de rendu vraiment indépendant sur le marché, sans les tentacules de Google, Apple ou des régies pub, c’est top !


© FABRICE COFFRINI/AFP

© Murad Sezer / REUTERS

© PHILIP FONG / AFP
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Vous vous souvenez quand je vous avais parlé de la formation gratuite de Microsoft sur GitHub Copilot ? Hé bien ils remettent le couvert, mais cette fois c’est pour nous apprendre la science du Machine Learning from scratch ! Et c’est pas un petit tuto de 2h fait à l’arrache comme sur ma chaine Youtube… Non, c’est un bon gros programme complet en 12 semaines avec 26 leçons et tout ça dans la langue Gims.
Le repo s’appelle ML-For-Beginners et le truc cool c’est que Microsoft a choisi de se concentrer sur le Machine Learning “classique” avec Scikit-learn et pas du deep learning de richou qui demande des GPU à 3000 balles. Du coup c’est accessible à n’importe qui avec un laptop normal !
Leur programme couvre à peu près tout ce qu’il faut savoir pour débuter : Régression, classification, clustering, traitement du langage naturel, séries temporelles, et même un peu d’apprentissage par renforcement. Chaque leçon démarre par un quiz pour voir où vous en êtes, suivi de contenu avec des explications pas à pas, des challenges à faire, et un autre quiz de fin pour vérifier que vous avez bien tout capté.
Y’a même des “sketchnotes” (c’est à dire des résumés visuels) et des vidéos si vous êtes plus du genre à apprendre en regardant qu’en lisant . Et pour ceux qui préfèrent R à Python, y’a des versions alternatives des exercices en R Markdown .
La version française du README est dispo sur le repo et tout est traduit dans plus de 50 langues, du chinois à l’arabe en passant par le croate… Microsoft a automatisé la traduction via GitHub Actions, donc soyez souple d’esprit si vous croisez quelques phôtes…
L’approche pédagogique de cette formation est basée sur des projets concrets du genre prédire le prix des citrouilles, classifier des cuisines du monde (forcement, la française arrivera en premier ^^), analyser de la musique pour du clustering…etc. Bref, c’est un peu original !
Voilà si vous êtes en vacances ou en reconversion IA, pour commencer, il suffit de forker le repo et de le cloner sur votre machine.
Voilà, si vous avez toujours voulu comprendre comment fonctionne le Machine Learning sans vous taper des formules de maths pendant 6 mois ou vendre un rein pour un abonnement à un cours en ligne, c’est le bon moment je pense !
Merci Microsoft !


© LE TELEGRAMME/MaxPPP
Alors que les discussions diplomatiques sur le conflit en Ukraine se poursuivent, Vladimir Poutine n’a montré aucun signe d’assouplissement jeudi 4 décembre, à l’occasion d’un déplacement en Inde. Le président russe a estimé que les négociations en cours étaient "complexes", mais qu’il fallait s’y "engager" plutôt que de les entraver, dans un entretien diffusé par une chaîne de télévision indienne. "Parvenir à un consensus entre des parties en conflit n’est pas chose aisée, mais je crois que le président Trump s’y emploie sincèrement", a-t-il dit selon des propos traduits par India Today. "Je pense que nous devons nous engager dans cet effort plutôt que d’y faire obstruction", a-t-il ajouté, faisant allusion aux Européens que Moscou accuse de vouloir empêcher un accord. Dans une adresse télévisée, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a de son côté assuré que son pays était "prêt à faire face à toute éventualité".
Les infos à retenir
⇒ Emmanuel Macron appelle à accroître "la pression sur l’économie russe"
⇒ Vladimir Poutine dit qu'il va continuer de "livrer du pétrole sans interruption" à l'Inde
⇒ Friedrich Merz en Belgique pour "convaincre" Bart De Wever sur les avoirs russes gelés
Le président français Emmanuel Macron a appelé ce vendredi à maintenir "l’effort de guerre" en faveur de l’Ukraine et accroître "la pression sur l’économie russe", et a plaidé en Chine pour l’unité entre Européens et Américains vis-à-vis de la Russie. "Il faut maintenir l’effort de guerre […] accroître la pression en particulier sur l’économie russe", a dit Emmanuel Macron. "L’unité entre les Américains et les Européens sur la question ukrainienne est indispensable", a-t-il ajouté.
Le président russe Vladimir Poutine, reçu ce vendredi par le Premier ministre indien Narendra Modi, a déclaré que Moscou continuerait "de livrer du pétrole sans interruption" à New Delhi. "La Russie fournit de manière fiable du pétrole, du gaz, du charbon et tout ce qui est nécessaire au développement énergétique de l'Inde", a-t-il expliqué. "Nous sommes prêts à continuer des livraisons sans interruption de pétrole pour l'économie indienne en croissance rapide", s'est-il engagé, alors que le chef du gouvernement indien est sous pression des Etats-Unis pour qu'il cesse ces achats de produits pétroliers russes, en pleine guerre en Ukraine.
Un peu plus tôt devant la presse, Narendra Modi a salué son invité comme un "véritable ami" et s'est montré optimiste sur une résolution pacifique du conflit russo-ukrainien. "Nous devons tous retrouver le chemin de la paix", a-t-il insisté. "Merci pour vos efforts visant à trouver un règlement à cette situation", lui a répondu Vladimir Poutine, louant par ailleurs les relations "profondes historiquement" et "de très grande confiance dans la coopération militaire et technique" entre l’Inde et la Russie.
Le chancelier allemand Friedrich Merz se rend ce vendredi en Belgique pour "convaincre" son homologue belge du bien-fondé du plan de la Commission européenne de recourir aux avoirs russes gelés en Europe, a-t-il expliqué jeudi soir. "Je veux discuter […] de la manière dont nous pouvons faire avancer ma proposition, que la Commission a maintenant traduite en textes juridiques", a-t-il souligné lors d’une conférence de presse jeudi soir.
Mercredi, l’exécutif européen a présenté un plan pour financer l’Ukraine sur deux ans, mais l’une des options retenues, un recours aux avoirs russes gelés en Europe, se heurte toujours à l’hostilité de la Belgique. Car c’est dans ce pays qu’est basée la société Euroclear, qui détient quelque 210 milliards d’euros de ces avoirs, sur 235 milliards en tout dans l’UE.
"Je ne veux pas le persuader", a dit Friedrich Merz à propos de son homologue belge, mais "le convaincre que la voie que nous proposons ici est la bonne" pour "aider l’Ukraine". Selon la proposition de la Commission européenne, l’Allemagne "serait l’un des États garants possibles pour une sécurisation correspondante de ces actifs", a-t-il rappelé.

© afp.com/SEBASTIEN BOZON
Une étude de Graphite vient de sortir et annonce que plus de la moitié des articles publiés sur Internet seraient désormais générés par IA. C’est fou non ?
Pour arriver à cette conclusion Graphite a analysé 65 000 URLs via Common Crawl et utilisé un détecteur d’IA et c’est comme ça qu’ils ont découvert que depuis novembre 2024, les articles IA auraient dépassé les articles humains en volume.
Alors en route vers l’apocalypse de l’écriture humaine ?
Bon déjà, première question qui me vient c’est : Comment est-ce qu’ils ont fait pour détecter ça ? Ouais parce qu’à ma connaissance, les outils de détection d’IA, comment dire… c’est de la grosse merde en barre. C’est encore moins fiable qu’un grand modèle de langage (LLM) pas fiable.
J’imagine que ce qu’ils détectent, ce sont les articles générés par IA de manière basique, donc le genre de contenu où quelqu’un a tapé un prompt vite fait et a publié le résultat sans même le relire ou un bot qui publie à la chaîne. Donc pas de travail sur le style, pas d’angle éditorial, pas de valeur ajoutée, bref, du bon gros contenu SEO produit à la chaîne pour remplir des pages et grappiller du trafic Google.
Du coup, si on suit ce raisonnement, ce que l’étude nous dit vraiment c’est que 50% du contenu web actuel, c’est de la merde. Et là, je me pose une question : est-ce que ça change vraiment quelque chose par rapport à avant ?
Bah ouais parce qu’avant l’IA, on avait déjà les fermes SEO, les articles écrits par des rédacteurs payés au lance-pierre qui se copient les uns les autres, les textes sans âme rédigés pour plaire à l’algorithme plutôt qu’aux lecteurs ou juste attirer le chaland pour engranger de la thune Adsense. De mon point de vue, le web était déjà rempli de contenu médiocre et l’IA n’a fait qu’industrialiser le processus.
Ce qui a changé donc, c’est la quantité. On produit plus de merde, plus vite, mais cette merde existait déjà.
Par contre, je ne suis pas d’accord avec la vision apocalyptique de certains. Un texte bien travaillé avec l’IA devient impossible à distinguer d’un texte humain et dans certains cas, il peut même être meilleur. C’est mon avis, mais c’est pas rare qu’un texte retravaillé à l’aide de l’IA soit plus complet, plus documenté, plus creusé, avec moins d’erreurs (si c’est bien fait évidemment). Un rédacteur web payé pour pondre 10 articles par jour n’a pas le temps d’aller au fond des choses alors qu’avec l’IA comme outil d’accompagnement, il peut rapidement explorer plusieurs angles d’un sujet, intégrer différentes perspectives, aller plus loin dans la recherche et l’analyse.
Et je parle bien de contenu informatif ici, pas de création littéraire ou artistique. Parce que là, effectivement, c’est pas ouf… Mais pour expliquer un concept technique, présenter un outil, vulgariser une actu…etc., l’IA peut être un sacré accélérateur de qualité si on sait s’en servir.
Je pense donc que le vrai problème, c’est la production bête et méchante qui consiste à générer du texte sans relecture, sans vérification, sans apport personnel… je trouve ça con et dangereux. Dangereux parce que les hallucinations existent et on peut vite se retrouver à propager de fausses infos. Et ce foutu style générique IA n’apporte rien au lecteur… Aucun plaisir quoi…
Puis quand on sait que y’en a déjà pas mal d’entre vous qui ne lisent plus les contenus, mais se les font résumer avec Claude ou ChatGPT, je me dis qu’on gagnerait du temps de processeur si les fermes SEO / IA publiaient directement des résumés IA et basta ^^.
L’étude de Graphite montre également que les contenus IA sont surtout des guides pratiques, des actus formatées, des descriptions de produits… Bref, du contenu utilitaire où l’originalité n’a jamais été le critère numéro un. Ce n’est donc pas une invasion de l’IA dans la création, mais plutôt une automatisation d’un contenu fast-actu jetable qui existait déjà par ailleurs.
Ce qui est précieux dans ce contexte, c’est justement le style, la patte d’un auteur, une voix reconnaissable. C’est le genre de truc qu’un rédacteur pressé n’a jamais eu le temps de développer et qu’une IA générique ne peut pas inventer. Encore une fois c’est mon point de vue, mais les bons “rédacteurs web” sont ceux qui ont une vraie identité éditoriale et qui savent se démarquer de ce foutu “ton journalistique” qui nous endort tous…
Voilà, au final, le rôle de l’auteur ou du créateur de contenu reste le même, IA ou pas IA… C’est simplement de faire en sorte que son contenu soit lu et pour ça, il faut que ce soit agréable à lire, que ça apporte quelque chose, que ça fasse grandir / réfléchir le lecteur ou que ça le divertisse également ! Bref, que l’outil soit un stylo, un clavier ou un LLM, l’objectif ne change pas.
Donc si vous êtes tenté d’utiliser une IA pour la production de votre contenu, par pitié, n’automatisez rien, continuez à relire, à mettre votre “patte”, à y insérer votre réflexion et surtout, travaillez bien vos prompts pour sortir du style par défaut.

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When we looked at Kingston's Fury Renegade G5, the company's first Gen 5 drive in early 2025, the largest capacity available at launch was the 4TB flagship model. Skip ahead seven months, and that capacity limit has been doubled with the latest addition to the lineup, the 8TB Fury Renegade G5.
Kingston's Fury Renegade G5 uses a Silicon Motion SM2508 controller combined with 218-layer 3D TLC NAND. There is also an LGDDR4-4266 DRAM cache IC.
The quoted sequential read/write performance figures for the drive are the same as the 4TB model – up to 14,800MB/s reads and up to 14,000MB/s for writes.
As for 4K random performance, the 8TB drive has the same 2,200K IOPS read figure as the rest of the range, with a write figure of up to 2,200K IOPS, the same as the rest of the Fury Renegade G5 family, except for the 1TB model.
Power consumption for the 8TB model is officially quoted as 0.27W average and 7.5W maximum. Kingston quotes an endurance figure for the 8TB drive as 8.0PB, and they back the drive with a 5-year warranty.
Physical Specifications:

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Voici un logiciel qui pourra vous être utile.
Je vous l'ai déjà proposé en version 5.5.2.1 au mois d'août dernier, et, bonne nouvelle, la version 5.5.2.2 de novembre profite d'un bon plan.
Ce logiciel dispose de nombreuses fonctionnalités comme, entre autres :
Migration Windows : transférez l'intégralité du Système d'Exploitation, y compris les paramètres, les pilotes et les applications, sans avoir besoin de réinstallation.
Clonage complet de disque : créez des copies exactes de disques entiers, idéales pour la mise à niveau vers des disques SSD ou des disques de plus grande capacité.
Cloner des partitions individuelles : clonez des partitions individuelles vers différents emplacements, offrant ainsi une flexibilité dans la gestion des données.
Structure de partition personnalisable : configurez et déplacez des partitions à l'aide d'une interface graphique intuitive avant le clonage, vous permettant de créer des configurations de lecteur personnalisées.
Créer un support amorçable pour effectuer des opérations de clonage dans des situations d'urgence ou des migrations complexes.
Cet article [Bon plan] Gérer la migration, le clonage et la conversion des partitions Windows (v5.5.2.2) est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name