Rachel Maddow regrets not pressing Kamala Harris more during interview about ‘107 Days’ memoir











Après une journée marquée par une nouvelle attaque revendiquée par Kiev contre un pétrolier de la "flotte fantôme" russe en mer Noire et par les commentaires du Kremlin saluant les récentes déclarations de Donald Trump sur l’Ukraine, la pression diplomatique ne cesse de monter. Alors que l’aide militaire occidentale a atteint son plus bas niveau depuis 2022, les Européens tentaient hier encore de resserrer les rangs avant la réunion de la "coalition des volontaires", prévue ce jeudi après-midi, censée avancer sur les garanties de sécurité à offrir à Kiev. De son côté, Volodymyr Zelensky a transmis ce mercredi 10 décembre à Washington une version révisée du plan de paix américain.
Les infos à retenir
⇒ 287 drones ukrainiens ont été abattus dans la nuit, selon la Russie
⇒ Le plan de règlement de Kiev a été remis à Washington
⇒ Donald Trump a eu des "mots assez forts" avec les Européens
La Russie a indiqué ce jeudi avoir abattu dans la nuit 287 drones ukrainiens, soit l’une des attaques les plus massives de l’armée de Kiev en bientôt quatre ans d’offensive russe. Sur ces drones "interceptés et abattus" par la défense anti-aérienne russe, 32 se dirigeaient vers Moscou, a précisé le ministère russe de la Défense dans un communiqué sur Telegram.
En raison des attaques de drones visant la capitale russe, rarement prise pour cible, des restrictions temporaires ont été mises en place dans les quatre aéroports moscovites - Cheremetievo, Domodedovo, Vnoukovo et Joukovski -, selon l’Agence fédérale du transport aérien Rosaviatsia. Des dizaines de vols y ont été annulés, reportés ou redirigés vers d’autres aéroports, selon les agences de presse russes.
L’Ukraine a remis mercredi aux Etats-Unis sa version mise à jour du plan pour mettre fin à la guerre avec la Russie, ont confirmé à l’AFP deux responsables ukrainiens, au moment où Donald Trump disait son impatience face à Kiev et aux Européens. Kiev "a déjà envoyé" à Washington la nouvelle version du plan de sortie du conflit, a déclaré un haut responsable ukrainien sans donner davantage de précisions.
Cette dernière version "tient compte de la vision ukrainienne, c’est une proposition plus poussée pour une solution adéquate à des questions problématiques", a indiqué un second responsable ukrainien à l’AFP. "Nous ne divulguons pas les détails en attendant la réaction de la partie américaine", a ajouté ce responsable. La proposition américaine initiale prévoyait notamment de céder à la Russie des territoires ukrainiens qu’elle n’a pas encore conquis, et a été jugée par Kiev et ses alliés européens comme particulièrement favorable à Moscou.
Donald Trump a dit mercredi avoir eu des "mots assez forts" pendant son entretien plus tôt avec le président français Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le chancelier allemand Friedrich Merz. Le président américain a ajouté que les dirigeants européens voulaient organiser une réunion sur l’Ukraine ce week-end mais a indiqué que la participation américaine n’était pas acquise.
"Avant d’aller à une réunion, il y a des choses que nous voulons savoir", a-t-il déclaré à la Maison-Blanche. "Nous allons prendre une décision" à propos de cette réunion, "nous ne voulons pas perdre notre temps", a-t-il lancé. "Parfois il faut laisser les gens se battre jusqu’au bout, et parfois pas", a-t-il encore dit.

© afp.com/ANDREW CABALLERO-REYNOLDS
Alors que Meta pavane avec le succès de ses Ray-Ban et que Google avance ses pions, le chantier des lunettes connectées bat son plein dans le plus grand secret à Cupertino. Si les regards étaient jusqu'ici braqués sur la réalité augmentée pure et dure, Apple semble avoir ajusté le tir par pragmatisme. Les derniers échos laissent entendre une présentation en fin d'année prochaine, pour une commercialisation qui ne devrait pas intervenir avant le courant de l'année 2027. Surtout, la philosophie du produit s'éloignerait du Vision Pro pour proposer un objet plus accessible. Alors à quoi ressemblerait ces fameuses Apple Glasses ?
Vision Pro, Apple Glass, visionOS : Apple prépare un virage stratégique majeur
Si l'on en croit les informations qui circulent, Apple aurait décidé de remettre à plus tard ses ambitions de lunettes à réalité augmentée (les fameuses « Apple Glass » avec affichage tête haute). Le produit en préparation serait dépourvu d'écran. À la place, la Pomme miserait tout sur l'intelligence artificielle et l'audio. L'idée n'est plus de superposer des éléments virtuels au monde réel, mais d'offrir une assistance contextuelle invisible.
C'est un changement de cap notable : le Vision Pro et visionOS ont posé les fondations du calcul spatial, mais ces lunettes emprunteraient une voie plus légère. Elles s'appuieraient massivement sur Apple Intelligence et une version dopée aux stéroïdes de Siri pour interagir avec l'utilisateur via des haut-parleurs intégrés aux branches, rendant l'usage des AirPods optionnel, bien que compatible.
Sous le capot, ou plutôt dans la monture, Apple compte réutiliser son savoir-faire en matière de miniaturisation. L'appareil embarquerait une puce dérivée de la série « S » que l'on trouve actuellement dans l'Apple Watch. Ce choix technique trahit la priorité absolue des ingénieurs : l'efficacité énergétique. Il s'agit de tenir une journée entière sans transformer la monture en radiateur.
La production des SoC des lunettes connectées d’Apple lancée fin 2027
Cette puce aura la lourde tâche de piloter une série de caméras et de capteurs. Contrairement aux premières Google Glass qui se contentaient de filmer, les caméras des lunettes d'Apple serviront de « yeux » à l'intelligence artificielle. Grâce à la Visual Intelligence — déjà aperçue sur les iPhone 16 —, l'utilisateur pourra interroger Siri sur ce qu'il regarde, obtenir des traductions à la volée ou identifier des objets, le tout sans sortir son téléphone.
Fidèle à sa stratégie d'écosystème, Apple ne concevrait pas ces lunettes comme un produit autonome. À l'instar des premières générations d'Apple Watch, elles fonctionneraient en symbiose avec l'iPhone, qui se chargerait d'une partie du traitement des données les plus lourdes. Ce délestage permet d'alléger la monture tout en conservant une puissance de calcul confortable.
L'aspect santé, cher à Tim Cook, ne serait pas oublié. Bloomberg rapporte qu'Apple explore l'intégration de capteurs biométriques capables de suivre certains indicateurs de santé, bien que les détails restent encore flous à ce stade. Enfin, parce qu'il s'agit d'un objet que l'on porte sur le visage, la technologie devra s'effacer derrière le style. Apple prévoirait de lancer plusieurs designs et montures différents dès le premier jour, traitant ce périphérique autant comme un accessoire de mode que comme un gadget technologique.
Si le calendrier se confirme, Apple arrivera bien après la bataille, laissant à Meta le soin d'essuyer les plâtres et d'éduquer le marché. Une stratégie du « not first, but best » (pas le premier, mais le meilleur) qui a souvent réussi à la firme, à condition que l'intégration logicielle soit, comme promis, irréprochable.




Some businesses still waiting for final EHRC guidance while firms that moved early to exclude trans people show no sign of backtracking
On Monday, a Dundee employment tribunal ruled a narrow win for Sandie Peggie, the nurse who complained about sharing a changing room with a transgender doctor. But the lengthy judgment also takes on the pivotal question that has been challenging employers, lawyers and campaign groups since April – does a supreme court judgment mean that transgender people must now be excluded from same-sex facilities that align with their chosen gender? Does it amount to a bathroom ban or not?
The supreme court ruled earlier this year that the legal definition of a woman is based on biological sex. Interim advice released by the Equality and Human Rights Commission soon after the judgment in effect banned trans people from using facilities according to their lived gender, and its official guidance is expected to closely reflect that advice.
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© Photograph: Jane Barlow/PA

© Photograph: Jane Barlow/PA

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Former chancellor also says Johnson was ‘least well briefed’ of the PMs he had served
Sajid Javid told Boris Johnson he was a “puppet” of Dominic Cummings before he resigned as chancellor rather than accept a Cummings-led takeover of his Treasury, he has said in an interview about his experiences as a minister.
Speaking to the Institute for Government (IfG), Javid also said that his other departure from Johnson’s government, shortly before it collapsed in 2022, was because he had lost confidence in the prime minister after being assured that allegations about lockdown-breaking parties in No 10 were “bullshit”.
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© Photograph: Belinda Jiao/Reuters

© Photograph: Belinda Jiao/Reuters

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Unfettered love for late photographer in France and elsewhere stands in contrast to occasional reservations in UK
The death of Martin Parr, the photographer whose work chronicled the rituals and customs of British life, was front-page news in France and his life and work were celebrated as far afield as the US and Japan.
If his native England had to shake off concerns about the role of class in Parr’s satirical gaze before it could fully embrace him, countries like France have long revered the Epsom-born artist “like a rock or a movie star”, said the curator Quentin Bajac.
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© Photograph: Dpa Picture Alliance/Alamy

© Photograph: Dpa Picture Alliance/Alamy

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More than £3bn that could have been used for UK patients will go to big pharma for its branded products – money for care siphoned off for profit
Of Arthur Scargill it was said that he began each day with two newspapers. The miners’ leader read the Morning Star of course, but only after consulting the Financial Times. Why did a class warrior from Yorkshire accord such importance to the house journal of pinstriped Londoners? Before imbibing views, he told a journalist, he wanted “to get the facts”.
In that spirit, let us parse a deal just struck by the governments of Donald Trump and Keir Starmer. You may not have heard much about this agreement on medicine, but it is huge in both financial and political significance – and Downing Street could not be more proud.
A “world-beating deal,” boasts the science minister, Patrick Vallance. It “paves the way for the UK to become a global hub for life sciences,” claims the business secretary, Peter Kyle, with the government press release adding: “Tens of thousands of NHS patients will benefit.”
Aditya Chakrabortty is a Guardian columnist
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© Illustration: Sébastien Thibault/The Guardian

© Illustration: Sébastien Thibault/The Guardian

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L'Assurance Maladie sert encore de leurre pour une campagne de phishing. Dans des courriers frauduleux, des pirates tentent d'arnaquer les assurés en les incitant à scanner un QR Code, les menaçant d’une prétendue perte de droits. Il ne faut surtout pas s'exécuter !
L’article Alerte : ce faux QR code de l’Assurance Maladie est un piège, ne le scannez surtout pas ! est apparu en premier sur Toms Guide.







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