Un châssis identique pour l'iPhone 18 Pro l'année prochaine ?

Amazon propose régulièrement de petites réductions sur le Mac mini M4, mais le pendant italien du vendeur va un peu plus moins avec une remise de 15 % sur une configuration plutôt homogène.
Le Mac mini avec le processeur M4, 24 Go de RAM et 512 Go de SSD est affiché à 1 048 € qui deviendront 1 038 € une fois la TVA ajustée et les frais de port inclus (livraison entre le 22 et 24). En France, Apple vend cette configuration 1 199 € (+161 €) et Amazon France le met actuellement à prix.
Pour compléter, on peut ajouter l'écran Studio Display avec le pied offrant simplement l'inclinaison de l'écran, Amazon Italie le vend 1 549 € soit 1 541 € au final (+208 € chez Apple en France). C'est un bon écran, mais il y a d'autres solutions, de 4K à 6K, plus abordables pour seconder un Mac mini.
4K, 5K, 6K : le guide des meilleurs écrans externes pour votre Mac
En fonction des régions, il existe deux variantes d’iPhone 17 Pro : l’une sans lecteur de carte SIM physique, mais équipée d’une batterie plus grande, et l’autre avec un lecteur SIM classique… mais une batterie environ 5 % plus petite. Il faut noter que l’iPhone Air est uniquement proposé avec de l’eSIM.
En France, Apple a tranché : les iPhone 17 Pro vendus officiellement sont ceux avec lecteur SIM. Apple n'a pas souhaité donner le choix à l'utilisateur, sans doute notamment pour des raisons de logistique. Mais on imagine qu'assez prochainement, des vendeurs tiers ne manqueront pas d'importer des iPhone 17 Pro dépourvus de lecteur physique. Cela pourrait même être un argument de vente.
Quoi qu’il en soit, l’avenir semble écrit : tôt ou tard, tous les iPhone basculeront vers une solution 100 % eSIM. Les opérateurs s’y préparent déjà, même si certains freinent encore des quatre fers, ce qui explique sans doute pourquoi Apple est encore dans cet entre-deux.
Apple ne vous laisse pas le choix, mais nous, on vous le donne. Si vous aviez à choisir, quel type d'iPhone 17 Pro achèteriez-vous ?
L'annonce est tombée cette nuit. Meta, via son partenariat avec la célèbre marque de lunettes Ray-Ban, a annoncé un nouveau produit : les Ray-Ban Display.
Meta Ray-Ban Display et Meta Neural Band, © Meta
Ces lunettes connectées sont les premières de la firme à l'origine de Facebook à proposer un écran intégré (dans le verre droit). Elles viennent ainsi étendre la très populaire gamme des lunettes IA, initiée en 2023 avec les Ray-Ban Meta (Gen 1). D'ailleurs, ce modèle sans écran (mais doté de micros et hauts-parleurs) a également le droit aujourd'hui à sa mise à jour (Gen 2) doublant son autonomie (de 4h à 8h) et améliorant significativement la qualité de capture vidéo (de 1080p à 3K). Toujours dans cette catégorie, le récent partenariat avec Oakley est également renforcé avec un nouveau modèle destiné aux sportifs : les Oakley Meta Vanguard.
Pour revenir aux Ray-Ban Display, elles reprennent les codes esthétiques des Ray-Ban Meta avec des traits plus épais et disposent donc d'un écran couleur très lumineux (5000 nits) dans le verre droit. Les premiers tests indiquent qu'il est impossible de distinguer l'écran de l'extérieur ! Dotées de verres photochromiques, elles sont proposées avec un accessoire sous forme de bracelet, le Meta Neural Band, qui permet d'interagir avec les lunettes sans avoir à passer par la voix (comme c'est nécessaire avec les lunettes sans écran) avec de simples mouvements de la main.
Un écran est présent dans le verre droit des Meta Ray-Ban Display, © Meta
Annoncées aux Etats-Unis à 799$ pour le 30 septembre, elles devraient être disponibles chez nous en France début 2026.
A vrai dire, je suis plutôt enthousiaste de voir ce que peut donner ce genre de produit à l'utilisation, moi qui attends depuis longtemps la possibilité d'avoir un affichage tête haute dans la vie du quotidien (sans avoir à porter un Apple Vision Pro tous les jours non plus). Il faudra cependant voir l'intégration possible avec l'iPhone...
Entre 3,3 et 4,2 GHz, la bande C forme le cœur des réseaux 5G. Ces fréquences moyennes offrent un parfait compromis entre la couverture, plus étendue avec des fréquences plus basses, et la vitesse, plus rapide avec des fréquences plus hautes. La bande entre 3,3 et 3,8 GHz a été attribuée de longue date aux quatre opérateurs de téléphonie mobile, mais il restait encore à régler la question de la bande entre 3,8 et 4,2 GHz. La réponse devrait arriver avant la fin de l’année, mais vous ne l’apprécierez probablement pas.
Selon la définition officielle de l’Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE), la bande C s’étend de 4 à 8 GHz, mais dans le domaine des télécommunications, elle commence dans le spectre sans licence autour de 3,3 GHz et s’arrête où commence le Wi-Fi à 5 GHz. Autrement dit, la bande C recouvre les deux grandes bandes centrales formant le « cœur » des réseaux 5G, la bande n77 (entre 3,3 et 4,2 GHz) et la bande n79 (entre 4,4 et 5 GHz).
Les opérateurs américains et japonais utilisent l’ensemble de la bande n77, qui rejoint des usages déjà bien établis, comme le service CBRS sans licence à 3,5 GHz. Les opérateurs européens et asiatiques utilisent surtout la partie inférieure de la bande n77, la bande n78, entre 3,3 et 3,8 GHz. Cela ne veut pas dire que les fréquences plus élevées ne seront pas utilisées dans nos contrées — le spectre radio est trop précieux pour que l’on se permette d’en gâcher une partie.
Sauf que les usagers professionnels et industriels, qui se contentent d’une bande à 2,6 GHz depuis 2019, réclament leur part du gâteau. La consultation menée l’hiver dernier par l’Arcep a fait ressortir le besoin de libérer ces fréquences moyennes pour des réseaux de « 5G privée ». Sans même parler du réseau de la SNCF, que l’on pourrait qualifier sans peine de « cinquième opérateur » français, les réseaux mobiles professionnels (RMP) sont légion.
Certains services de l’État, des hôpitaux, des collectivités locales et de grands centres industriels utilisent déjà des réseaux privés. Les « acteurs industriels ou logisticiens, “verticaux” des secteurs de l’énergie, de la santé, ou encore de la ville intelligente », pour reprendre la liste des organisations qui peuvent participer à l’expérimentation ouverte par l’Arcep, veulent profiter de réseaux privés plus rapides.
Au cours d’une intervention à l’Université de la transition numérique des territoires, rapportée par Allo Forfait, Laure de La Raudière a confirmé que la bande entre 3,8 et 4,2 GHz serait autorisée à l’échelle européenne d’ici à la mi-octobre. La présidente de l’Arcep a beaucoup insisté sur les usages des collectivités locales, mais dans le Limousin, l’Île-de-France et la Provence, cette bande est déjà saturée par les stations de base des services fixes par satellite.
Il n’y a pas que le système sur puce des iPhone 17 qui gagne en vitesse, la recharge filaire s’accélère elle aussi. Pour tous les modèles précédents, Apple annonçait au mieux jusqu’à 50 % de charge en 30 minutes avec un adaptateur secteur 20 W. Les iPhone 17, 17 Pro et 17 Pro Max atteignent, eux, ce seuil en seulement 20 minutes, à condition d’utiliser un chargeur d’au moins 40 W — et un câble USB-C, cela va sans dire. C'est donc 10, voire 15 minutes de moins à passer à côté de la prise pour retrouver une batterie à moitié remplie.
Apple recommande pour cela son nouvel adaptateur adaptateur secteur dynamique 40 W avec puissance maximale de 60 W, sauf que celui-ci n’est pas encore disponible en Europe. Sur les fiches techniques des iPhone 17, la marque indique simplement qu’un adaptateur de 40 W ou plus est nécessaire, mais dans les notes de bas de page, elle précise que ses mesures ont été faites avec son nouvel accessoire.
D’où un petit doute (qui n’a pas été levé par les premiers tests) qui nous habite encore : tous les chargeurs tiers de 40 W permettent-ils réellement d’atteindre la vitesse maximale ? Le nouvel adaptateur dynamique de Cupertino ne fonctionne en effet pas totalement comme les autres. C’est l'un des tout premiers à gérer le protocole USB PB 3.2 AVS, qui négocie différemment la charge (Google en commercialise un similaire depuis peu). Nous tenterons d’obtenir une réponse officielle ou de le vérifier par nos propres tests et nous mettrons à jour cet article en conséquence.
Quoi qu’il en soit, grâce à la loi européenne sur le chargeur unique qui oblige Apple à livrer des détails, on sait quelles puissances maximales sont acceptées, ce qui permet de diriger son choix. L’iPhone 17 n’accepte pas plus de 29 W, le 17 Pro 35 W et le 17 Pro Max 42 W. Inutile donc d’acheter un chargeur 100 W en pensant que ça ira plus vite, un chargeur de 40 W est a priori suffisant.
Le cas de l’iPhone Air est différent. Apple annonce jusqu’à 50 % de charge en 30 minutes avec un adaptateur 20 W, soit la même chose que la plupart des iPhone précédents. Et selon la déclaration transmise à Bruxelles, il ne supporte pas plus de 18 W.
Cas très isolé ou bug très aléatoire ? Aaron Patterson, développeur et amateur de photo, est tombé à différentes reprises sur un bug dans Photos qui abîme irrémédiablement certaines images importées. Le fichier, une fois dans Photos, est corrompu, son contenu est partiellement inexploitable, qu'il s'agisse du jpeg ou du RAW.
Il a d'abord envisagé un problème matériel avec son Olympus, mais il avait coché l'option dans Photos pour supprimer automatiquement les images de la carte SD une fois importé. Impossible alors de vérifier si le fichier était déjà corrompu à l'origine sur la carte. Préférant limiter les risques et éviter de perdre à nouveau de précieuses images, il a progressivement remplacé tout le volet matériel (et décoché l'option de suppression au moment de l'import), de son appareil photo jusqu'à son portable en passant par les accessoires.
Tout s'est bien passé jusqu'à ce que ce comportement se reproduise à nouveau, sans raison évidente. Aaron Patterson a pu vérifier cette fois que le fichier était en parfait état sur la carte SD, mais qu'une fois dans Photos, ce dernier l'avait endommagé. L'observation des données des deux fichiers n'a révélé que de maigres différences, mais assez pour valider la thèse d'un dysfonctionnement de Photos.
Nous n'avons pas trouvé de cas similaires dans de récentes discussions sur les forums habituels. À part peut-être ce cas datant de février dernier, mais à l'époque, l'appareil photo utilisé n'était pas encore géré par macOS, peut-être était-ce la cause.
Quant à Aaron Patterson, il a réglé son problème en laissant tomber Photos et en utilisant Darktable à la place. Au moins, sa mésaventure permet de rappeler qu'il est plus prudent de ne pas supprimer automatiquement ses images après leur import, mais une fois qu'on les a inspectées, même sommairement.
C'est la saison des processeurs. Après Apple avec l'A19 et l'A19 Pro, Arm et ses puces Lumex C1 qui animeront une bonne partie des futurs systèmes sur puce de 2026, c'est Qualcomm qui a annoncé le Snapdragon 8 Elite Gen 5. Un nom un peu étonnant, déjà : les trois premiers Snapdragon 8 (Gen 1 à 3) utilisaient des cœurs issus de chez Arm, le Snapdragon 8 Elite (qui est en fait une Gen 4 qui ne porte pas son nom) passait par des cœurs Qualcomm (Oryon, comme les Snapdragon X des PC portables).
Ce Snapdragon 8 Elite Gen 5 n'est donc pas réellement la 5e génération, mais la seconde. Les premières fuites (Qualcomm attend son grand raout annuel pour détailler officiellement les composants du système sur puce) indiquent qu'on reste tout de même sur la même structure : deux cœurs rapides et six cœurs… moins rapides. C'est un cas un peu particulier : le premier Snapdragon 8 Elite intégrait des cœurs Oryon de seconde génération, avec deux cœurs à une fréquence élevée (4,47 GHz au mieux) et six cœurs identiques mais avec une fréquence plus faible. Pour 2026, Qualcomm suit a priori le même mouvement, la société n'ayant pas encore de cœurs basse consommation dans son portfolio.
Les premiers résultats disponibles sur Geekbench sont encourageants : avec un score de 3 831 en single core, le gain est de l'ordre de 35 % (les modèles à base de Snapdragon 8 Elite sont aux environs de 2 800 points). La fréquence est en hausse avec 4,6 GHz (sur les deux cœurs principaux), soit 7 % de plus. Sur les cœurs secondaires, on passe de 3,5 GHz à 3,6 GHz environ, un gain plus léger. En multicœurs, avec toujours huit cœurs, on passe d'un score de 9 400 environ à 11 525 ici, soit un gain qui est tout de même de plus de 20 %. Cette puce Snapdragon 8 Gen 5 serait donc plus rapide qu'une puce Apple M4 en single core, et un rien en retrait en multi-core, essentiellement parce qu'Apple intègre dix cœurs. Face à l'A19 Pro, le Snapdragon 8 Gen 5 serait au même niveau en single core, mais nettement en avance en multi-core : Apple se limite à six cœurs.
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Il n'y a plus qu'à attendre l'officialisation au Snapdragon Summit, du 23 au 25 septembre à Hawaii.
Depuis OS X Lion (2011), les « mises à niveau » de macOS1 sont distribuées par le biais du Mac App Store. Ce n’est pas une mauvaise idée dans l’absolu, mais comme certaines machines nécessitent des ressources supplémentaires ou des paquets différents, vous n’étiez pas toujours certain de télécharger un programme d’installation complet. Comme la situation n’a fait qu’empirer au fil des années, Apple a résolu le problème en « oubliant » de publier macOS Tahoe sur le Mac App Store.
La publication du programme d’installation de macOS dans le Mac App Store partait d’un bon sentiment… doublé d’un sens aigu du compromis. En arrêtant la commercialisation des « mises à niveau » sur un support physique, Apple avait mécontenté une partie de ses utilisateurs, d’autant qu’à l’époque, les connexions haut débit n’étaient pas légion. Le programme d’installation pouvait être archivé sur un CD ou un disque dur, voire être utilisé pour créer une clé USB d’installation avec un utilitaire dédié, comme mon bon vieux Keylifornia.
Sauf quand il ne le permettait pas : dans certains cas, notamment lorsque vous aviez sauté une mise à niveau intermédiaire, le Mac App Store fournissait un programme d’installation « allégé » pesant quelques mégaoctets. Cette coquille vide servait seulement à télécharger une version de la mise à niveau « personnalisée » pour la situation précise de la machine. Au fil des années, les exceptions sont devenues la règle, si bien qu’Apple a fini par concevoir un outil pour que les administrateurs puissent télécharger le programme d’installation complet depuis ses serveurs.
Dans le même temps, la procédure d’installation de macOS s’est complexifiée avec le chiffrement du système. Le programme d’installation prépare une nouvelle « image système » avant le redémarrage, puis l’ancienne image est remplacée par la nouvelle, comme si l’on changeait les pneus d’une voiture. Les clés d’installation sont devenues passablement inutiles : non seulement la procédure de restauration est maintenant d’une fiabilité à toute épreuve, mais la clean install est devenue pratiquement délétère.
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Autrement dit : vous ne devriez pas avoir besoin de télécharger le programme d’installation de macOS Tahoe, sauf si vous êtes un administrateur système, auquel cas vous connaissez probablement l’existence de la commande softwareupdate --fetch-full-installer --full-installer-version 26.0
permettant de récupérer le programme complet depuis les serveurs d’Apple. Il comporte toutes les ressources permettant de créer un support d’installation ou une image personnalisée pour configurer un parc de machines.
Les anciennes versions de Mac OS X peuvent toujours être téléchargées directement depuis les serveurs d’Apple :
Comme la liste de compatibilité n’a pas changé entre OS X Mountain Lion et OS X Yosemite, Apple ne propose plus OS X Mavericks, version intermédiaire dépourvue des fonctionnalités de Continuité, qui avait aussi été la première version nommée d’après un lieu californien et la première mise à niveau gratuite de Mac OS X depuis Mac OS X 10.1.
Les versions plus récentes de macOS restent disponibles dans le Mac App Store :
Attention, ces liens ne fonctionnent pas toujours dans Firefox et (les navigateurs dérivés de) Chrome. Mieux vaut utiliser Safari.
Ce que la plupart d’entre vous appellent une « mise à jour majeure », de macOS Sequoia à macOS Tahoe par exemple. ↩︎
La présentation du premier iPhone pliable approche. Selon Nikkei Asia, Apple aurait entamé les discussions pour construire une chaîne de production test de ce futur modèle à Taïwan. L’idée serait ensuite de lancer la production de masse en Inde avant de la commercialiser l’année prochaine.
Le plan d’Apple serait de créer une mini-ligne pilote dans le nord de Taïwan. S’implanter dans le pays lui permettrait d’être au plus proche de son écosystème de fournisseurs. Les ingénieurs pourraient ainsi facilement vérifier l’équipement et s’assurer que tout se passe bien à chaque étape. Une fois le plan mis au point et bien rodé, il serait recopié en Inde pour la production en série. Un tel système devrait assurer à Apple un déploiement sans heurts pour la production en Inde, d’une tout autre envergure.
Si l’idée semble bonne, elle ne sera pas facile à mettre en place et pourrait être complètement revue. Taïwan est connue pour ses puces, mais la production de smartphone est une chose bien différente : les sources du Nikkei craignent un éventuel manque de place et d’effectif, même pour une ligne pilote.
Cupertino aurait prévu une hausse de 10 % du nombre total d'expéditions de téléphones en 2026, pour un total de 95 millions d’unités. Elle s’attend à ce que la sortie d’un modèle pliable donne un coup de fouet aux ventes, y compris celles de modèles classiques. Cette ligne de test est donc capitale pour Cupertino.
Elle devrait également l’aider à se distancer un peu plus de Pékin, les récentes tensions sino-américaines sur fond de droit de douane risquant de sérieusement gripper la machine Apple. Si l’entreprise s’efforce d’améliorer ses capacités en Inde, certains fournisseurs continuent de rencontrer des problèmes. Il serait ainsi difficile d'importer certains équipements chinois, ou de faire venir des techniciens.