Liés à iOS 26, les AirPods disposent d’une nouvelle fonctionnalité pratique si vous avez l’habitude d’écouter de la musique ou un podcast dans le lit. Une option (désactivée par défaut) permet de mettre automatiquement en pause la lecture quand les écouteurs détectent que vous vous êtes endormis.
Apple ne précise pas comment cette fonctionnalité opère, mais il y a tout lieu de penser qu’elle se base sur l’accéléromètre compris dans les écouteurs, voire le capteur de détection de la peau. En tout cas, plus besoin de configurer le minuteur d’iOS ou de votre application audio pour que la lecture s’arrête toute seule quand vous êtes dans les bras de Morphée.
La nouvelle option pour. Image WatchGeneration.
Pour l’instant, cette nouveauté est réservée au firmware en bêta distribué en parallèle d’iOS 26. Elle est présente sur les AirPods Pro 2 et les AirPods 4, qui ont en commun la puce H2. On ne sait pas encore si elle sera disponible sur des modèles plus anciens équipés de la puce H1. D’après du code déniché par MacRumors, cette mise en pause automatique sera aussi proposée sur des écouteurs Beats (seuls les Powerbeats Pro 2 ont une puce H2).
La mise à jour sera disponible pour tous à la rentrée, au moment du lancement officiel d’iOS 26.
La Freebox Revolution ne veut pas mourir. Lancée en 2010, la box de Free dans son édition Light fait l’objet d’une offre intéressante pour tous ceux qui sont intéressés par une connexion à Internet via la fibre optique sans se ruiner.
Cette promotion réservée aux nouveaux clients permet d’avoir jusqu’à 1 Gbit/s en téléchargement et 900 Mbit/s en téléversement pour 19,99 € par mois. Il s’agit d’une offre sans engagement. Notez cependant que l’offre passe à 29,99 € par mois au bout d’un an. Pour ceux qui l’avaient oublié, cette box, dessinée par Starck, intègre un lecteur Blu-Ray et un disque de 250 Go de stockage. Elle comprend également l’app TV OQEE de Free.
L’un des défauts de cette offre est sans doute le Wi-Fi. La box accuse son âge et n’offre pas de Wi-Fi 6. Notez toutefois que l’on trouve en ce moment même des routeurs Wi-Fi à très bon prix.
Si Free lance cette offre, c’est sans doute lié au fait que les promotions sur l’internet fixe sont assez nombreuses. SFR Red propose également une offre à 19,99 € par mois, mais sans décodeur télévision. Les débits proposés sont proches (1 Gbit/s dans les deux sens) et là aussi, on peut également regretter l’absence de Wi-Fi 6.
Mais à la fin des fins, l’offre la plus intéressante, c’est peut-être bien celle de Bouygues Telecom. Vous pouvez obtenir pour 23,99 € par mois son offre Pure Fibre qui propose jusqu’à 8 Gbit/s de débit dans le sens des téléchargements et un routeur Wi-Fi 7. Il ne reste plus qu’à financer éventuellement une Apple TV pour pallier l’absence d’un module pour la télévision.
Et si les nouveautés Apple de la rentrée étaient accompagnées par une baisse de prix ? Cela parait contre-intuitif tant il a été question de guerre commerciale au mois de mars, mais ce scénario n’est pas à exclure. En effet, la politique de Donald Trump a eu pour conséquence d’affaiblir le dollar ces derniers mois.
En début d’année, un euro s’échangeait environ 1,03 $. À l’heure où nous écrivons ces lignes, le billet vert s’échange désormais à 1,18 $. Autrement dit, l’euro s’est apprécié de plus de 13 % en l’espace de quelques mois. Or, si le bitcoin peut connaître une hausse de cette ampleur en une seule journée, dans le domaine des devises, une telle évolution dans un tel laps de temps est tout sauf anecdotique.
Bien qu’il soit toujours très difficile d’anticiper les évolutions à venir du marché des changes, les observateurs estiment qu’il est assez probable que l’euro dépasse la barre des 1,2 $ prochainement. Certains estiment même que ce n’est qu’une étape et que le phénomène est appelé à se prolonger dans les mois à venir.
Apple a pour habitude de suivre d’assez près l’évolution des taux de change, surtout quand ils évoluent en sa défaveur. Quoi qu’il en soit, la firme de Cupertino fait régulièrement évoluer la tarification de l’App Store en cas de fluctuation importante. D’autre part, elle tend à ajuster ses tarifs lorsqu’elle commercialise de nouveaux produits.
Autrement dit, si la tendance persiste, on pourrait observer des baisses de prix à la rentrée lors de la présentation de la nouvelle gamme d’iPhone. Il y a cependant deux facteurs qui pourraient annihiler ce mouvement de fond chez Apple.
À l’été dernier, sans doute au moment où sont fixés les prix chez Apple, l’euro s’échangeait dans une fourchette oscillant entre 1,08 $ et 1,12 $. D’autre part, toujours dans ce contexte incertain de guerre commerciale, Apple pourrait être tentée d’accroitre ses marges dans le Vieux Continent en ne faisant que peu évoluer ses prix, de manière à financer en partie la hausse des droits de douane aux États-Unis.
Nothing a dévoilé un casque mais aussi et surtout le Phone (3) un modèle voulu plus haut de gamme que le Phone (2) lancé il y a deux ans mais qui conserve l'esthétique singulière de la marque britannique. Avec deux versions prévues à 849 et 949 € (256 et 512 Go) le Phone (3) se positionne clairement dans le haut de gamme.
Phone (3). Image Nothing.
Pour autant, là où Apple et Samsung, ses plus proches rivaux sur le papier, s'inscrivent dans une relative prudence en termes de design, Nothing joue clairement une autre partition pour se démarquer. Avec toujours ce recours à un look d'allure industriel, conçu en collaboration avec l'équipe suédoise de Teenage Engineering dont les produits ont eux-mêmes une forte personnalité.
Le Phone (3) est un grand téléphone de 6,67" (un poil en dessous d'un iPhone 16 Plus avec ses 6,7"), d'une grosse batterie de 5 150 mAh (4 685 mAh pour celle de l'iPhone 16 Pro Max) et d'un processeur Snapdragon 8s Gen 4 qui n'est pas le plus puissant du moment, mais il est sorti en avril et il met l'accent sur les tâches d'IA.
Image Nothing.
Les produits de Nothing se reconnaissent maintenant aisément, la marque s'est trouvé un style et elle s'y tient, ce modèle n'en dévie pas. Puisque tous les téléphones sont inévitablement assez identiques sur leur face avant, c'est la partie arrière qui devient le terrain d'expérimentations. Le dessin du Phone (3) suit le principe d'une division en 3 colonnes verticales dont la géométrie des lignes a été pensée pour s'inscrire dans le prolongement de celles du Phone (2) (voir l'explication des designers dans la vidéo ci-après). Plutôt qu'une face lisse sans motifs, l'arrière du Phone (3) semble tiré d'un dessin industriel que l'on n'aurait pas achevé pour laisser deviner les grandes masses internes.
Phone (2) et Phone (3). Image Nothing.
Aux trois objectifs photographiques, répond un nouvel arrivant, le Glyph Matrix. C'est un écran rond, micro-LED, associé à un bouton placé en dessous. Cet écran peut afficher un grand nombre de choses avec un style très typé fait de petits carrés : l'heure, des indicateurs de progression, la batterie, mais aussi une représentation très pixelisée de l'utilisateur qui voudra faire un selfie avec l'appareil photo arrière.
Le Glyph Matrix en haut à droite. Image Nothing.
Ce petit écran peut aussi générer des animations correspondant à un contact lors d'un appel. Et puisque les téléphones sont souvent sur vibreur, il a été conçu un moteur audio qui génère des séquences de sons très électroniques en fonction du nom de l'appelant. Les utilisateurs pourront par ailleurs créer des choses pour cet écran qui sert aussi à s'amuser. Par exemple avec un Pierre-feuille-ciseaux ou le jeu de la bouteille : elle tourne et c'est celui en face de qui elle s'arrête qui paye l'addition.
Le dos de ce téléphone est aussi pourvu d'un petit indicateur rouge qui peut s'allumer lorsqu'une vidéo est en cours d'enregistrement. Autre idée, après avoir posé le Phone (3) face contre table, un appui long sur l'Essential Key (l'équivalent du bouton Action) va automatiquement lancer la fonction dictaphone avec l'enregistrement de la conversation.
Image Nothing.
On aime ou on n’aime pas l'allure de ce téléphone, mais Nothing a le mérite de tenter quelque chose, et de s'y tenir, dans un domaine où les smartphones, en dépit de leurs différences, sont à peu près tous empreints d'un certain conservatisme dans leurs lignes.
Le Phone (3) sera en vente chez Amazon ou à la Fnac le 15 juillet, mais les précommandes débuteront le 4.
L’offre de crédit à 0 % se poursuit sur l’Apple Store. Apple n’a donné aucune date de fin pour cette opération lancée au début de l’année, mais son partenaire en mentionne une sur son propre site. Cetelem avait indiqué au départ que l’offre devait se terminer le 31 mars, puis le 30 juin. Voilà maintenant l’échéance repoussée au 20 août.
Ce crédit à 0 % permet d’étaler sans frais le paiement d’un iPhone, d’un Mac, d’un iPad, d’une Apple Watch, d’un Vision Pro ou d’un accessoire sur 24 mois maximum. L’offre est soumise à l’examen du dossier, de la situation financière et de l’historique d’emprunt de l’acheteur. Les intérêts habituels sont en fait pris en charge par Apple, qui mise sur de bonnes ventes pour absorber le coût de la promotion.
Attention, Cetelem propose aussi un crédit plus long soumis à des frais de 14,01 %. Il ne faut pas se tromper d’offre. L’établissement compte sur cette opération pour attirer de nouveaux consommateurs.
Produit
Durée
Taux débiteur
iPhone
12 mois
0 %
24 mois
0 %
iPad Air, iPad, iPad mini
4 mois
0 %
12 mois
0 %
36 mois
14,01 %
iPad Pro
4 mois
0 %
20 mois
0 %
36 mois
14,01 %
Apple Watch
4 mois
0 %
12 mois
0 %
24 mois
14,01 %
Apple Vision Pro
4 mois
0 %
24 mois
0 %
36 mois
14,01 %
Accessoires
4 mois
0 %
MacBook Pro, Mac Studio
4 mois
0 %
24 mois
0 %
36 mois
14,01 %
MacBook Air, Mac mini, iMac
4 mois
0 %
18 mois
0 %
36 mois
14,01 %
« Une fois que [les clients] ont téléchargé notre application sur leur téléphone, il est ensuite possible de leur proposer d'autres produits comme des prêts personnels, des prêts à la rénovation énergétique, etc. », explique Franck Vignard, directeur général de BNP Paribas Personal Finance, la maison mère de Cetelem, aux Échos. Dans ce groupe, le montant moyen d'un crédit à la consommation pour un smartphone est de 700 € environ, contre 1 200 € pour un iPhone. On comprend l’appétit des organismes de crédit pour les clients d’Apple.
Si vous êtes étudiant, patientez un peu : l’offre Back to School devrait bientôt démarrer en France. Autrement, il y a de nombreuses bonnes affaires sur les Mac et les iPhone chez les revendeurs à l’occasion des soldes.
Si vous envisagez de changer de tablette pour profiter d’iPadOS 26 dans de bonnes conditions à la rentrée, voici une offre qui pourrait vous intéresser : un iPad Pro M4 de 11" survitaminé avec 2 To de stockage et l’option verre nano-texturé pour seulement 1 580,98 €. Cette remise de 38 % est proposée sur Amazon France et permet d’économiser 978 € sur le tarif de l’Apple Store. Ne traînez pas si vous êtes intéressé, la plateforme indiquant qu’il ne reste plus qu’un seul modèle en stock.
Image iGeneration
L’iPad Pro M4 a inauguré un nouvel écran OLED en plus d’un design plus fin de seulement 5,3 mm d’épaisseur. Sa puce M4 offre des performances de pointe qui vous permettront de jouer ou de vous en servir comme alternative au Mac dans d’excellentes conditions. Son intérêt sera décuplé en septembre avec la sortie d’iPadOS 26, qui apporte un nouveau système de fenêtre plus proche du Mac.
L’option verre nano-texturé donne une meilleure lisibilité en réduisant les reflets. C’est un bonus appréciable à ce prix, par exemple si vous travaillez dans un environnement avec des néons ou à proximité d’une fenêtre. On notera également une promo sur l’Apple Pencil Pro chez Amazon qui pourra intéresser les créatifs. Le Magic Keyboard est de son côté facturé 349 €.
Pour la Fête Nationale, pCloud lance une opération inédite : du stockage cloud à vie et un gestionnaire de mots de passe inclus, à un tarif très bas. Une bonne fois pour toutes.
Entre un barbecue entre amis et les feux d’artifice, une autre liberté mérite d’être célébrée : celle de ne plus dépendre des abonnements mensuels pour protéger ses données. Le service suisse pCloud frappe fort avec une promotion limitée du 2 au 15 juillet 2025, proposant ses plans à vie avec pCloud Pass Premium offert. Une initiative qui sent bon l’indépendance — et les économies.
Promo pCloud Fête Nationale : les détails d’une offre qui change la donne
Ce n’est pas tous les jours qu’un acteur cloud propose un stockage à vie. Et encore moins avec un gestionnaire de mots de passe offert. Voici ce que propose pCloud jusqu’au 15 juillet :
Tous ces plans sont proposés en paiement unique. Pas d’engagement, pas de frais cachés. Vous achetez, vous gardez, point barre.
Un cloud qui se tient droit dans ses bottes
pCloud, c’est le sérieux suisse allié à la souplesse numérique. Là où d’autres multiplient les offres obscures, les limites mensuelles et les hausses tarifaires surprises, le service basé à Lausanne joue carte sur table : vous payez une seule fois pour un espace qui vous appartient, à vie.
Et vos fichiers ne sont pas envoyés n’importe où : ils sont stockés dans l’Union européenne, dans des data centers au Luxembourg. De quoi concilier performance, souveraineté numérique et confidentialité, avec le respect strict du RGPD à la clé.
Un outil taillé pour les familles, les pros… et ceux qui veulent dormir tranquille
Au-delà de la sécurité, pCloud se distingue par sa polyvalence. Que vous soyez photographe, parent soucieux de sauvegarder les archives familiales, ou freelance en quête d’un espace fiable pour vos livrables, pCloud s’adapte.
Sauvegarde automatique de vos dossiers importants (y compris ceux de votre ordinateur)
Accès à distance depuis tous vos appareils (ordinateur, téléphone, tablette)
Streaming de vidéos et de musiques directement depuis l’espace de stockage
Interface claire, application sobre, synchronisation rapide : rien de superflu
Et pour les utilisateurs avancés, une fonction de chiffrement côté client est disponible (en option payante). Elle permet que même pCloud ne puisse accéder au contenu.
Le gestionnaire de mots de passe pCloud Pass : votre cerveau de secours
Plus besoin de jongler entre une feuille Excel, le trousseau du téléphone et les onglets de navigateur ouverts à la va-vite. Avec pCloud Pass Premium, vous centralisez tous vos mots de passe, notes sécurisées, cartes bancaires et identifiants en un seul lieu, accessible uniquement via votre mot de passe maître.
Tout est chiffré de bout en bout. Le remplissage automatique fonctionne sur tous les navigateurs majeurs, et la synchronisation se fait sur l’ensemble de vos appareils.
Le plus ? L’outil propose aussi un générateur de mots de passe robustes et uniques. De quoi abandonner vos vieux “Motdepasse123” sans crainte d’oublier vos nouveaux sésames.
Pourquoi cette offre a du sens en 2025
Nous sommes cernés : notifications de piratage, fuites massives de données, fermetures de services, abonnements à rallonge… Le modèle pCloud tranche avec cet environnement anxiogène. Il propose une réponse claire, durable, souveraine : vous gardez le contrôle.
L'idée d’un cloud personnel, chiffré, basé en Europe, sans abonnement et sans espionnage, ça devient rare. Encore plus à ce prix-là.
Ajoutez à cela un gestionnaire de mots de passe robuste, inclus sans surcoût, et vous obtenez un vrai kit de survie numérique. Le tout, en une seule fois. Pas besoin d’attendre le Black Friday.
Mais attention : cette promotion n’est valable que jusqu’au 15 juillet 2025.
Apple doit s'acquitter de 110,7 millions de dollars (93 millions d'euros) de dommages et intérêts auprès d'un détenteur de brevets espagnol. TOT Power Control avait porté plainte en 2021 en affirmant que son invention était utilisée sans licence dans les transceivers (émetteur-récepteur) des appareils compatibles 3G d'Apple.
Image Apple.
Alvaro Lopez-Medrano, ingénieur et patron de cette société qui n'a d'autre activité que la défense de cette propriété intellectuelle, a mis au point un moyen de réguler la puissance utilisée en fonction des aléas du signal radio, résume Reuters.
Pour Apple, ces brevets n'ont pas de validité, mais le tribunal de l'État du Delaware en a décidé autrement, considérant qu'un des deux brevets revendiqués par le plaignant avait bien été enfreint. Apple a déclaré vouloir faire appel. LG et Samsung font face aux mêmes accusations et leurs procès sont toujours en cours.
Pour les amateurs du plus compact des iPad, CDiscount poursuit ses bonnes promos sur l'iPad mini A17 Pro. Le modèle Wi-Fi de 256 Go est vendu 599 € sur deux coloris au lieu de 739 € (-140 €). Pour qui a vraiment besoin de stockage, la déclinaison de 512 Go est à 699 € au lieu de 989 € (-290 €) sur le coloris bleu.
iPad mini 7. Image iGeneration.
Si on préfère la variante cellulaire pour ne pas dépendre du partage de connexion de l'iPhone, il y a la version 128 Go en mauve à 599 € au lieu de 779 € (-180 €) et la 256 Go en bleu que le vendeur met à 699 € au lieu de 909 € (-210 €).
iPad mini 7. Image iGeneration.
L'iPad mini 7 (ou A17 Pro du nom de son processeur) est sorti à l'autonome dernier. Il a conservé son format compact qui facilite son transport en toute occasion, il est monté en puissance avec le processeur repris des iPhone 15 Pro qui lui ouvre les fonctions d'Apple Intelligence, il a modernisé sa partie Wi-Fi et Bluetooth, il est compatible avec l'Apple Pencil Pro et il a gommé un effet disgracieux du précédent modèle avec le rafraîchissement de l'écran lorsqu'on faisait défiler des pages. Ses prix de base sont plutôt élevés, mais ces promos atténuent fortement ce défaut.
Apple distribue une mise jour pour XProtect, son système de détection et suppression de malware. C'est une opération de routine qui est effectuée automatiquement lorsque de nouvelles signatures de malwares sont repérées.
XProtect vérifie quotidiennement la disponibilité de ce type d'informations et, lorsque c'est le cas, il télécharge et installe automatiquement ces nouvelles références qui lui permettront le cas échéant de supprimer un malware qui aura trouvé son chemin sur votre Mac (détails du fonctionnement). La version la plus à jour d'XProtect est numérotée 5303, elle se destine à tous les macOS et couvre des variantes de malwares baptisés MACOS_SOMA_JUEN et MACOS_SOMA_LLJU.
Il y a plusieurs moyens de vérifier le numéro de version d'XProtect. Par le Terminal en tapant sudo xprotect check puis en saisissant son mot de passe de session. Ou en lançant l'utilitaire Informations système de son Mac, rubrique Logiciels puis Installation et en faisant défiler la liste tout en bas.
macOS 26 ne voit pour le moment que la précédente version 5302. Image MacGeneration.
Pour forcer la récupération d'une mise à jour, retour dans le Terminal en tapant sudo xprotect update et à nouveau son mot de passe de session. Il est possible cependant que cette version 5303 ne soit pas encore prête à la distribution sur iCloud. Dans ce cas, il suffit d'attendre un jour ou deux, l'installation se sera peut-être faite entre temps. Vérifiez tout de même que vous avez laissé active la récupération des mises à jour de sécurité.
Air France se prépare à utiliser les AirTags de ses passagers pour localiser un bagage égaré et rejoindre ainsi d'autres compagnies aériennes.
Le service est encore en test, nous a indiqué un contact, mais une page de formulaire pour soumettre la position de son AirTag est déjà visible. Avec elle on renseignera la référence de son dossier bagage et on collera un lien généré par Localiser qui permettra aux personnels d'Air France d'avoir un accès temporaire à la position de votre balise.
Image Lufthansa.
Cette possibilité est apparue avec iOS 18.2 à la fin de l'année dernière. Apple a travaillé avec une quinzaine de compagnies aériennes1 pour intégrer le suivi d'un AirTag (ou autre balise compatible Localiser) placé dans un bagage. Localiser permet de partager un lien de suivi de la balise située dans un bagage que l'on aura préalablement déclaré comme perdu. Le lien est valable une semaine et peut être révoqué à tout moment ou dès que le bagage est récupéré.
La compagnie peut exploiter cette géolocalisation et, si nécessaire, s'en servir avec la plateforme WorldTracer utilisée par les compagnies à travers le monde pour mettre en commun leurs efforts de recherche.
Partage temporaire d'une position depuis Localiser. Image iGeneration.
Apple avait publié une liste de ses premiers partenaires où Air France était absente, mais il y avait KLM Royal Dutch Airlines avec qui elle forme un même groupe, ce qui laissait espérer que la compagnie française allait suivre. Son site indique toujours que les AirTags ne sont pas pris en charge. Cela devrait donc changer et, dans le courant 2026, la fonction devrait être intégrée dans les outils des équipes responsables des bagages.
Aer Lingus, Air Canada, Air New Zealand, Austrian Airlines, British Airways, Brussels Airlines, Delta Air Lines, Eurowings, Iberia, KLM Royal Dutch Airlines, Lufthansa, Qantas, Singapore Airlines, Swiss International Air Lines, Turkish Airlines, Virgin Atlantic et Vueling. ↩︎
Depuis des dizaines d'années, Apple tente de supprimer les ventilateurs de ses ordinateurs. Si cette solution n'est pas toujours gage d'efficacité — ceux qui ont utilisé un MacBook en 2015 comprendront —, elle a pourtant un mérite : elle protège l'ordinateur de certains malwares.
La raison n'est pas réellement liée directement à l'absence de ventilateurs, il s'agit d'un effet secondaire du fonctionnement de certains malwares. Les malandrins qui développent les logiciels malveillants veulent en effet généralement éviter que les experts en sécurité analysent ces derniers, et tentent donc régulièrement de vérifier si leur création tourne dans une machine virtuelle. En effet, les experts emploient fréquemment cette solution pour déterminer comment fonctionne un malware en toute sécurité. Dans la pratique, de nombreux malwares se désactivent s'ils détectent qu'ils fonctionnent dans une machine virtuelle, et deviennent donc inoffensifs.
Il n'y a pas de ventilateur dans le MacBook Retina de 2015. Image iFixit.
Le rapport avec la présence d'un ventilateur est donc indirect. Pour détecter une machine virtuelle, il est possible de vérifier la présence de certains fichiers ou de certains noms standardisés (par exemple celui du volume de stockage) ou la présence de pilotes associés à une machine virtuelle. Comme les experts en sécurité s'adaptent et tentent aussi de se cacher, une des voies choisies consiste à vérifier la présence de composants matériels qui devraient être présents mais ne le sont pas, comme un ventilateur pour le processeur. Les logiciels de virtualisation vont en effet souvent à l'essentiel, et ne renvoient donc pas les données liées aux composants matériels, comme la température du processeur ou la vitesse de rotation du ventilateur, ni même sa présence.
Le refroidissement passif étant une exception plutôt que la norme dans les PC, un ordinateur sans ventilateur peut être vu comme une machine virtuelle. Petr Beneš, un développeur, a récemment expliqué comment il a ajouté un ventilateur virtuel dans Xen, un hyperviseur. Cette solution permet en pratique de contourner une protection interne d'un malware pour qu'il s'exécute dans une machine virtuelle sans qu'il s'en rende compte. Mais sa solution montre aussi qu'un ordinateur sans ventilateur pourrait être protégé dans certains cas… de quoi favoriser ceux qui utilisent un ordinateur Apple passif. C'est le cas des MacBook sortis entre 2015 et 2017 mais aussi des MacBook Air depuis le modèle M1. Bien évidemment, il faut rester méfiant : les malwares peuvent intégrer d'autres solutions pour déterminer la présence d'une machine virtuelle, et le code peut avoir été adapté pour prendre en compte les exceptions, comme les ordinateurs d'Apple.
Le nouveau film produit par Apple, F1 le film, a trouvé sa place dans les salles obscures (et climatisées), avec un bon démarrage à l'international, mais aussi en France ou aux États-Unis. Porté par Brad Pitt et réalisé par Joseph Kosinski — Tron : L'Héritage ou Top Gun: Maverick —, il est bien évidemment destiné à terminer sa vie sur les « petits » écrans, ceux d'Apple TV+. Mais quand pourra-t-il sortir sur le service d'Apple ?
« Il faut vraiment attendre si longtemps ? ». Image Apple.
Aux États-Unis, comme l'explique 9to5 Mac, c'est assez simple : rapidement. Il devrait être proposé à l'achat ou en location environ 45 jours après la sortie en salle. Comme il est sorti le 27 juin dans le pays, il sera donc disponible en théorie dès le 11 août 2025. C'est une estimation, pour une raison simple : il n'y a pas réellement de règles. L'accord tacite est d'attendre 45 jours si le film fonctionne bien dans les salles, sans qu'il soit imposé par les studios dans tous les cas. En pratique, c'est généralement un peu moins : Dark Horizonsdonne 27 jours en 2021, 38 jours en 2022, 39 en 2023 et 37 en 2024, en moyenne.
La sortie sur les plateformes de streaming, elle, est plus tardive… mais là encore, il n'y a pas de règles imposées. Le même site donne 128 jours après la sortie en salle en moyenne en 2021, 110 jours en 2022, 104 en 2023 et 99 jours en 2024. 9to5 Mac annonce entre et un et deux mois entre la sortie en location et la disponibilité en streaming, ce que la moyenne confirme à peu près. L'estimation d'une sortie durant le mois d'octobre 2025 est donc assez plausible : le film a du succès, donc il ne devrait pas arriver (trop) rapidement sur le service Apple TV+.
Des règles plus rigides en France
Dans notre pays, le film devrait être disponible dès le 25 octobre à la location, quand il sera probablement disponible sur Apple TV+ dans d'autres pays1. Vous pourrez aussi l'acheter sur iTunes (par exemple) et peut-être même en Blu-ray. Canal+ pourra ensuite le diffuser dès le 25 décembre pour ses abonnés et il faudra ensuite attendre fin novembre 2026 (soit 17 mois après la sortie en salle) pour le voir sur Apple TV+, sauf si Apple trouve un accord avec les autorités. Si F1 le film était un film Disney, il serait par exemple disponible à partir du 25 mars 2026.
Nous pourrions vous parler d'un éventuel VPN qui sponsorise cette actualité pour vous localiser aux États-Unis… mais ce n'est pas le cas. ↩︎
Mactracker, véritable encyclopédie des produits Apple, gagne une fonctionnalité qui ravira les collectionneurs acharnés. L’application permet maintenant de synchroniser sur plusieurs Mac sa liste personnelle d’appareils. Ainsi, si vous avez méticuleusement consigné vos achats Apple dans Mactracker au fil des ans, cette longue liste sera accessible sur tous vos Mac.
Considérée pour le moment comme étant en bêta, la synchronisation repose sur iCloud Drive. Elle doit être activée dans les réglages de l’application. Si vous avez des collections personnelles différentes sur plusieurs Mac, le développeur Ian Page recommande de les exporter en premier lieu, puis d’activer la synchronisation et enfin de les importer. Cela aura pour effet de consolider toutes les entrées qui étaient stockées localement précédemment.
Mactracker 8. Image MacGeneration.
Mactracker 8 comprend d’autres améliorations dédiées à l’onglet My Models. On peut archiver des produits plutôt que les supprimer (il faut ouvrir leur fiche et cliquer sur l’icône de carton en haut à droite), les sections Recents et Categories ont été ajoutées dans la barre latérale, et on peut préciser la couleur du produit possédé le cas échéant.
Au passage, cette mise à jour actualise des informations et enrichit la base de données d’appareils supplémentaires. Sont ajoutés des produits récents (MacBook Air M4, iPad Air M3, iPad A16…) ainsi que d’autres plus anciens (batterie MagSafe), voire antiques (Apple Graphics Tablet).
Mactracker 8 demande macOS 10.14 Mojave au minimum. L’application est entièrement gratuite. Vous pouvez soutenir Ian Page en lui faisant un don. Mactracker dispose aussi d’une version iOS, mais celle-ci n’intègre pas encore l’option de synchronisation.
De nombreux fabricants de casques Bluetooth ne développent pas leurs propres composants et se basent sur du matériel — et parfois du logiciel — fourni par une société tierce. Des failles dans ceux qui utilisent l'implémentation d'Airoha ont été montrées récemment par les chercheurs d'ERNW, et elle implique de gros risques : il est possible d'activer le microphone à distance ou de récupérer des informations personnelles, comme le contenu du carnet d'adresses d'un smartphone.
Certaines enceintes portables sont touchées. Image Marshall.
Elles se basent sur l'absence d'authentification dans un protocole de la marque, pour les marques qui emploient le SDK (le kit de développement) d'Airoha. De nombreux appareils sont vulnérables, et il n'y a qu'une condition selon les chercheurs : être à portée d'un périphérique Bluetooth (casque ou enceinte portable). Les modèles touchés, selon eux, proviennent de nombreux fabricants : Sony (CH-720N, Link Buds S, ULT Wear, WF-1000XM3, XM4, XM5, WF-C500, C510, WH-1000XM4, XM5, XM6, WH-C520, WH-XB910N, WI-C100), Beyerdynamic (Amiron 300), Bose (QuietComfort Earbuds), Jabra (Elite 8 Active), JBL (Endurance Race 2, Live Buds 3) ou Marshall (Acton III, Major V, Minor IV, Motif II, Stanmore III, Woburn III). D'autres marques moins populaires sont aussi de la partie, et probablement de nombreux autres modèles qui emploient les composants d'Airoha.
Des risques importants
La faille permet notamment de lire le contenu de la mémoire du contrôleur, qui peut contenir des informations sur ce que vous écoutez. Les chercheurs évoquent aussi la possibilité d'activer le microphone ou même d'effectuer des appels depuis un casque attaqué, s'il est relié à un smartphone. L'activation elle-même n'est heureusement pas discrète : si de la musique est en cours de lecture, l'activation du microphone devrait la couper. Mais si le casque est inactif et allumé (par exemple posé sur une table), le microphone peut être activé.
Des écouteurs Jabra touchés. Image Jabra.
Une autre attaque possible est la possibilité de récupérer des informations, comme le numéro de téléphone du smartphone ou le contenu du carnet d'adresses. Les casques demandent rarement l'accès à ces informations (c'est plutôt réservé aux autoradios) et les systèmes d'exploitation devraient vous demander l'autorisation de le faire, mais si vous ne faites pas attention ou si l'autorisation a déjà été donnée, les informations peuvent être exfiltrées. De plus, les chercheurs expliquent qu'il est possible de modifier le contenu du logiciel du casque pour que le malware se réplique.
Actuellement, la faille a été corrigée dans le SDK d'Airoha début juin, mais les constructeurs doivent mettre à jour le firmware de leurs appareils, et le distribuer massivement. Les chercheurs recommandent aux personnes qui peuvent être ciblées par une attaque de ce type (journalistes, hommes politiques, etc.) d'éviter d'utiliser un casque Bluetooth en public.
Apple accuse un de ses anciens ingénieurs haut placés d’avoir volé des secrets industriels sur le Vision Pro, et ce en vue de s’en servir chez son nouvel employeur, Snap, rapporte SiliconValley.com.
Di Liu a participé à la R&D sur le casque de réalité virtuelle en tant qu’ingénieur senior. Après sept années passées à Cupertino, il a remis sa démission en arguant qu’il voulait passer plus de temps avec sa famille et prendre soin de sa santé. D’après la plainte d’Apple déposée contre lui, il a en fait dissimulé la signature d’un contrat d’embauche chez Snap, le créateur de Snapchat mais aussi des lunettes Spectacles, à un poste très similaire.
Trois jours avant son départ de Cupertino, Di Liu a téléchargé des milliers de documents internes comprenant des secrets industriels sur le Vision Pro (informations sur le contrôle qualité, les coûts de fabrication, la chaîne d’approvisionnement…) et les a transférés sur un espace de stockage en ligne personnel, selon Apple. De son côté, le fabricant des Spectacles, qui n’est pas incriminé dans ce dossier, affirme que ces allégations n’ont pas de lien avec son activité.
La firme de Cupertino accuse donc Di Liu d’avoir violé son accord de confidentialité. Elle réclame des dommages et intérêts ainsi que la restitution des documents volés. Ce genre d’affaires n’est pas une première. En 2021, par exemple, Apple avait poursuivi un de ses designers pour des fuites dans la presse. Le démêlé s’était soldé par un accord financier (confidentiel, lui) entre les deux parties.
Google Keep a perdu son compagnon watchOS avec sa dernière mise à jour sur iPhone. L'app reste proposée sur iPad mais la version pour la montre qui était apparue en 2019 a été retirée. Google Keep sert à prendre des notes qui peuvent contenir du texte, des images ou pourquoi pas des tâches.
Google Keep en 2019. Image Watch Generation.
Le retrait de cette version se produit à un moment où Apple a justement créé une version watchOS de Notes qui fera partie des quelques nouveautés de watchOS 26 à la rentrée. L'un part quand l'autre arrive, peut-être est-ce une simple coïncidence ? Dans le même temps, Google a lancé hier sa première mouture watchOS de Google Agenda.
Après avoir installé iOS 26, vous ne pourrez plus dire à vos collègues « oups, désolé, j’ai oublié de te rappeler ». L’application Téléphone comprend une nouvelle fonctionnalité pour ne pas oublier de rappeler un correspondant.
Dans la liste des appels, il faut faire glisser vers la gauche l’appel manqué, puis appuyer sur l’icône d’horloge et choisir l’heure du rappel (dans une heure, ce soir, demain ou personnalisé). Au moment voulu, une notification vous remettra en tête de rappeler votre correspondant.
Création d’un rappel téléphonique. Image iGeneration.
Si vous avez activé la nouvelle interface unifiée de Téléphone, le rappel apparaitra en haut de la liste, dans une nouvelle section nommée « Rappels ». Si vous êtes resté sur l’interface classique, le rappel remontera aussi en haut de la liste, mais il ne sera pas bien démarqué des appels récents. Cela évoluera peut-être avec les prochaines bêtas d’iOS 26.
Cette fonction ne concerne pas seulement les appels manqués, vous pouvez très bien définir un rappel pour une conversation téléphonique que vous avez tenue et qui mérite une suite.
Le rappel est visible dans l’app Rappels. Image iGeneration.
En plus de l’application Téléphone, le rappel créé est visible dans l’application Rappels. La notification reçue vient d’ailleurs de l’app Rappels, et non de Téléphone. Si vous fermez un rappel téléphonique dans une app, il est fermé automatiquement dans l’autre.
L’application Téléphone d’iOS 26 comprend d’autres nouveautés que nous avons présentées dans l’article suivant :
Les chercheurs de chez Rapid7, spécialisés dans la sécurité, viennent de publier un article qui montre que de très nombreuses imprimantes Brother sont touchées par des failles de sécurité. Certaines sont très importantes et une des failles ne peut même pas être corrigée chez les clients, nous allons le voir. Les huit failles touchent 689 modèles de chez Brother, de l'imprimante classique aux modèles multifonctions en passant par les imprimantes à étiquettes de la marque, populaires. Ils indiquent par ailleurs que 46 modèles Fujifilm, 5 imprimantes Ricoh, 2 appareils de chez Toshiba et 6 de chez Konica Minolta sont aussi touchés, ce qui monte le total à 748. Les marques en question utilisent a priori du matériel Brother sous licence, une méthode courante dans les imprimantes.
Une imprimante à étiquettes Brother. Image Brother.
La faille CVE-2024-51979 permet un dépassement de tampon, qui peut amener une compromission du logiciel de l'imprimante, par exemple pour lui faire exécuter du code malveillant. La CVE-2024-51980, elle, permet à un malandrin de lancer des attaques sur le réseau local auquel est connectée l'imprimante, comme la CVE-2024-51981 (en simplifiant, dans les deux cas). La CVE-2024-51982 permet de planter l'imprimante, comme la CVE-2024-51983. Enfin, la CVE-2024-51984 permet à un attaquant authentifié d'obtenir un mot de passe enregistré pour un des services de l'imprimante (par exemple, celui d'un partage sur un NAS).
La page de configuration d'une imprimante Brother. Image MacGeneration.
Une double faille impossible à corriger
La faille la plus dangereuse est la CVE-2024-51978. Elle permet à un attaquant de récupérer le mot de passe administrateur par défaut de l'imprimante. Si Brother a la bonne idée de ne plus employer le couple admin/admin ou un équivalent basique, la société a choisi de générer le mot de passe en fonction du numéro de série, avec un algorithme qui a été découvert. Cette faille ne peut pas être corrigée directement, et Brother a dû modifier la méthode dans ses usines. Pour les clients, la seule solution consiste à modifier le mot de passe de connexion (ce que certains ont probablement déjà fait). Elle est dangereuse car la 8e faille, la CVE-2024-51977, permet justement de récupérer le numéro de série sans être authentifié…
Une imprimante multifonctions de la marque. Image Brother.
Brother a corrigé les failles
Si vous avez une imprimante Brother, la marque a communiqué sur les failles et propose des correctifs. La page de Rapid7 liste par ailleurs les liens vers les informations des autres fabricants touchés. Nous vous conseillons de changer le mot de passe administrateur de l'imprimante, en plus d'appliquer les éventuelles mises à jour. Les failles ont été découvertes en mai 2024, et la marque a commencé à corriger les failles après quelques mois. La date de divulgation a été fixée assez rapidement pour juin 2025, et les failles sont normalement comblées si vous avez du matériel à jour.
En deux ans et demi, le prix de l’iPad de 10e génération a été quasiment divisé par deux. Cette tablette est désormais vendue 299 € sur Amazon ainsi que chez Fnac - Darty. La version de base dispose de 64 Go de stockage. Ce n’est pas énorme, mais ça peut faire suffire si vous n’installez pas beaucoup d’applications.
iPad 10. Image iGeneration.
Autrement, la version 256 Go est en promotion à 379 € sur Amazon en coloris jaune. Avec cette capacité, il n’y a plus tellement de soucis à se faire sur l’espace disponible. L’iPad 10 embarque une puce A14 et 4 Go de RAM. Ce n’est pas suffisant pour faire tourner Apple Intelligence, mais ça l’est encore pour les usages les plus courants sur une tablette : Netflix, navigation web, email… Cet iPad a une webcam bien positionnée pour les visios et se recharge en USB-C.
Il y a une chose à prendre en compte : à 379 €, on entre dans la zone tarifaire de l’iPad A16, le modèle d’entrée de gamme de dernière génération. Celui-ci est vendu 389 € avec 128 Go de stockage. Il se distingue uniquement de l’iPad 10 par sa puce plus récente. L’A16 devrait offrir quelques années supplémentaires de mises à jour à l’appareil, mais il ne lui offre pas Apple Intelligence.
En matière d’équipement Wi-Fi, si les performances du système de votre box ne vous conviennent pas, vous avez deux options : soit vous optez pour le dernier système du marché, qui est compatible avec la technologie Wi-Fi 7, mais qui coûte une petite fortune, soit vous misez sur un modèle plus ancien, mais moins cher.
Si vous appartenez à cette deuxième catégorie, sachez qu’Amazon brade actuellement son système de routeur Wi-Fi 6 maillé. Son système Eero 6 est proposé actuellement au prix de 129,99 €, alors qu’il est proposé en temps normal au prix de 259,99 €. Cette offre est proposée uniquement aux membres Prime.
Concrètement, eero 6 comprend trois modules qui permettent d’étendre votre Wi-Fi sur une surface allant jusqu’à 420 mètres carrés et peut gérer plus de 75 appareils connectés. Le constructeur annonce des débits pouvant monter jusqu’à 500 Mb/s, c’est moins que le tout dernier Wi-Fi 7, mais dans le cadre d’une utilisation normale, c’est largement suffisant.
L’offre d’Amazon se distingue à travers deux avantages. L’interface d’administration est plutôt simple et intuitive par rapport à ce que propose la concurrence. Ces appareils sont dotés d’un hub connecté Zigbee, qui peut être intéressant dans le cadre d’une installation domotique. Pour ceux qui veulent absolument du Wi-Fi 7, sachez qu’Amazon propose un module eero 7 à 199,99 € et un pack avec trois modules à 399,99 €.
Enfin, pour ceux qui n’aiment pas l’offre d’Amazon, sachez qu’Asus organise une promotion similaire. L’ASUS ZenWiFi XD4 Plus est également un système Wi-Fi 6 comprenant trois boitiers permettant de couvrir une surface de 600 mètres carrés. Son prix est légèrement plus élevé (160 €), mais la promotion n’est pas réservée aux membres Prime.
En plus de la fonction télécommande de l’appareil photo de l’iPhone, les AirPods liés à iOS 26 semblent avoir un nouveau comportement lors de la recharge. Jusque-là, lorsque l’on posait le boîtier sur un chargeur sans fil ou qu’on le branchait à un câble, son voyant s’allumait en orange pendant quelques secondes, puis s’éteignait.
Ancien signal pour la recharge : le voyant est orange fixe. Vidéo WatchGeneration.
Avec les firmwares en bêta liés à iOS 26, nous avons remarqué un petit changement : le témoin lumineux clignote désormais en orange pendant une dizaine de secondes avant de s’éteindre. Nous avons noté ce changement sur des AirPods 4 et des AirPods Pro 2 dotés des firmwares 8A5279d et 8A293c.
Nouveau signal pour la recharge : le voyant clignote en orange. Vidéo WatchGeneration.
Apple n’a pas communiqué sur cette modification, qui vise peut-être à indiquer plus clairement que la recharge a bien démarré. Ce n’est pas révolutionnaire, mais vous êtes au courant.
Après la panne nationale qui avait frappé son réseau mobile à la mi-juin, SFR avait promis d'offrir à ses clients une réserve supplémentaire de 100 Go d'internet mobile. Ce dédommagement apparaît désormais sur les comptes des clients, il est accompagné d'un SMS d'information (attention à d'éventuelles arnaques, ce message ne contient aucun lien ni numéro à appeler).
Image iGeneration.
Les 100 Go apparaissent de manière distincte de l'allocation mensuelle. La consommation en DATA se fait d'abord sur ces 100 Go puis le volume habituel prendra le relais. Dans tous les cas, ces 100 Go sont activés au moment où commence le nouveau mois de facturation. Il est possible que vous ne les voyiez pas encore ou bien, à l'inverse, que vous aviez déjà commencé à en bénéficier.
Les descriptifs des prochains systèmes d'exploitation d'Apple ont été traduits en Français. On pourra relire dans notre langue les principales nouveautés prévues pour iOS, iPadOS, macOS Tahoe, watchOS et visionOS qui passeront tous en version 26 ainsi que la page de résumé avec les points les plus saillants.
Cette traduction à destination d'autres pays que les États-Unis est l'occasion pour Apple d'en élaguer le contenu et plus particulièrement en Europe. Sur la page française d'iOS 26, et cela vaut pour nos voisins, il n'y a pas la fonction des « Visited places » (ou Lieux visités) ni celle des routes préférées proposées dans le nouveau Plans.
Ces deux fonctions sont absentes des pages européennes d'Apple.
La première reprend une vieille fonction de Google Maps qui enregistre et classe les lieux où vous êtes allés (un magasin, un musée, un café…) pour les retrouver ensuite plus facilement. La seconde fonction observe les trajets que vous empruntez régulièrement puis, au bout d'un moment, vous informera avant un départ s'il y a des problèmes de circulation.
Ces fonctions font partie de celles qu'Apple refuse de lancer en Europe, au motif que le DMA l'obligerait à les partager avec des acteurs tiers. Les représentants de la Commission européenne n'ont pas la même lecture, mais les deux parties n'ont en tout cas pas trouvé d'accord à ce jour. Quoi qu'il en soit, il n'y a pas que l'Europe qui est laissée de côté, Apple précise sur sa page américaine que les Lieux visités seront disponibles uniquement en Australie, au Canada, en Malaisie, en Suisse, au Royaume-Uni et aux États-Unis.
Un autre absent des pages européennes est l'affichage sur macOS, dans la barre des menus, des Activités en direct de l'iPhone. Vous avez réservé un taxi ? Sa progression jusque chez vous s'affiche aussi sur Mac et pas seulement sur l'écran verrouillé de l'iPhone ou dans sa Dynamic Island. Vous suivez le score d'un match en cours ? Idem. Cette fonction est retirée tout comme l'est, depuis un an, celle consistant à recopier le contenu de l'iPhone sur le Mac.
À droite de la barre des menus, une activité en direct indique le temps d'arrivée d'un taxi. Image Apple.
Par contre, l'app Téléphone pour macOS est bien mentionnée dans la page française avec ses autres fonctions de filtrage d'appels, de gestion de mise en attente. Sa présence dans les bêtas de macOS 26 utilisées jusque-là en France n'est donc pas temporaire. Il a même été possible d'obtenir des Activités en direct, mais cela pourrait donc évoluer d'ici septembre.
Une activité en direct sur un Mac en France. Image MacGeneration.
Enfin, la page de visionOS fait l'impasse sur une fonction d'Apple Intelligence : la création d'images avec Image Playground. Mais c'est encore en bêta, cela devrait arriver à terme.
Sur la page américaine de visionOS 26. Image Apple.
Après des années de contrariétés, Proton se décide à attaquer frontalement Apple en justice. L’organisation suisse annonce rejoindre un recours collectif aux États-Unis visant la Pomme pour pratiques anticoncurrentielles. Intentée par des développeurs en mai, cette plainte vise à assouplir les règles de l’App Store ainsi qu’à obtenir des dommages et intérêts pour les préjudices commerciaux subits. En cas de victoire, Proton assure que sa part sera reversée à des organisations de défense des droits humains.
L’éditeur dénonce en particulier la commission de 30 % imposée par Apple sur les achats dans l’App Store ainsi que son monopole sur la distribution des apps iOS. Autant de choses qui sont en train d’être remises en cause par le DMA en Europe, mais qui restent en vigueur aux États-Unis et dans la plupart des autres pays.
Proton se plaint par exemple d’avoir dû retirer la mention « débloque les sites censurés » de la description de son VPN, sous peine de le voir rejeté. « Le contrôle total d’Apple sur l’App Store lui a donné un pouvoir dangereux sur la distribution des applications, lui permettant de décider quelles apps peuvent ou non être distribuées dans différents marchés », déclare l’éditeur.
Apple est déjà contrainte de revoir ses pratiques aux États-Unis sous la pression du procès intenté par Epic. Et bientôt, c’est le département de la Justice qui pourrait l’obliger à desserrer davantage son emprise.
Plusieurs failles de sécurité importantes ont été découvertes sur une montre connectée Coros puis il s'est avéré que tous les modèles du fabricant étaient concernés.
Pas moins de 8 failles de sécurité dans la manière dont les montres Coros et leurs apps iOS/Android gèrent leur connexion Bluetooth ont été trouvées par des chercheurs de la société allemande SySS. Coros en a confirmé l'existence et les implications qui sont assez sérieuses.
En se trouvant dans le périmètre de la connexion Bluetooth de la montre ciblée, il est possible d'accéder au compte Coros de la victime et à ses données ; d'accéder au contenu des notifications envoyées depuis le smartphone vers la montre ; de manipuler les réglages de configuration ; de lancer la remise à zéro de la montre ; de la faire planter ou d'interrompre une activité de course et de provoquer la perte des données qui étaient en cours d'enregistrement.
Une illustration des attaques possibles. Image SySS.
Les chercheurs ont en fait constaté des lacunes dans l'utilisation des protocoles de sécurité Bluetooth qui ouvrent à un hacker la possibilité de s'intercaler dans la connexion Bluetooth. Les développeurs chez Coros n'ont tout simplement pas utilisé toutes les mesures de sécurité offertes par la norme Bluetooth. Il suffit d'être à proximité de la victime, il n'est pas nécessaire de connaître ses identifiants Coros.
Exemple de la manipulation d'une notification. Image SySS.
Le fabricant a confirmé ces failles qui lui ont été détaillées en mars dernier. L'étude a porté sur le modèle Pace 3 mais sa couche logicielle pour le Bluetooth est partagée à l'identique sur toutes les autres Coros, à de rares différences près qui ne changent de toute façon rien à l'affaire.
Les chercheurs ont laissé passer 3 mois avant de publier leur découverte, une pratique standard. Dans un premier temps, Coros a déclaré que toutes les failles seraient corrigées avant la fin de l'année. Un délai étonnamment long.
Dans une seconde communication adressée au blog DCRainmaker, Coros a fait son mea-culpa, expliquant qu'il était en réalité prévu de sortir des firmwares bien plus tôt. Certains correctifs vont nécessiter une modification profonde de cette couche logicielle Bluetooth partagée. Les premiers correctifs sont prévus courant juillet et Coros espère boucher le reste des failles avant la fin août.
Le grand procès américain contre Apple pour abus de position dominante aura bien lieu. Le juge Julien Xavier Neals, qui supervise l’affaire, a rejeté la demande de l’entreprise visant à faire annuler toute la procédure.
Apple arguait que le département de la Justice (DOJ) n’avait pas démontré de comportement anticoncurrentiel de sa part, de préjudice pour les consommateurs ou encore de situation de monopole sur le marché américain des smartphones. Le juge a estimé au contraire que les premiers éléments fournis étaient suffisants pour faire avancer le dossier.
Le DOJ accuse notamment Apple de mettre des bâtons dans les roues de ses concurrents qui tentent de s’appuyer sur l’iPhone pour le bien de leurs propres produits ou services. Parmi les griefs, il y a le manque d’interopérabilité de l’iPhone avec les montres connectées tierces, une récrimination partagée par la Commission européenne dans le cadre du DMA.
La date du procès n’a pas encore été fixée, mais cela ne devrait pas être pour tout de suite. La procédure est bien partie pour durer des années, car Apple ne compte rien lâcher. « Nous pensons que cette action n’est justifiée ni par la loi ni par les faits, et nous allons continuer de nous y opposer fermement devant le tribunal », a réagi un porte-parole d’Apple après la décision du juge Julien Xavier Neals.
Grosse promo sur l’iPhone 16 chez Amazon Italie : la déclinaison 128 Go est à seulement 741,70 €, avec la livraison dans l’Hexagone incluse. Cela représente 23 % de remise ou 228 € d’économisés en sachant que le téléphone est toujours vendu 969 € en Apple Store. L’appareil est disponible à ce prix en coloris outremer, en sarcelle et en noir. Il est vendu et expédié par Amazon.
L’iPhone 16 a l’avantage d’être compatible Apple Intelligence, d’embarquer la Dynamic Island et la commande de l’appareil photo, mais aussi d’afficher de très bons résultats en photo. Le téléphone se recharge en USB-C ou en MagSafe et carbure grâce à une puce A18 qui devrait lui garantir une bonne longévité.
C’est un excellent prix quand on le compare à celui de l’iPhone 16e, qui coûte 719 € en France avec beaucoup d’aspects en moins. Si vous cherchez un revendeur français, Cdiscount propose ce modèle pour 799 € (-170 €) dans tous les coloris, du noir au blanc en passant par le vert ou le bleu.
Apple a bien retenu les leçons des dernières WWDC et n’a présenté que des fonctionnalités qui seront finalisées à la rentrée. Quoi qu’il en soit, iOS 26 et consorts n’ont pas livré encore tous leurs secrets. Certaines fonctionnalités seront présentées à la rentrée. Dans le lot, on pourrait retrouver celle permettant de simplifier la connexion à des wi-fi captifs (comme ceux des hôtels, par exemple). Une fois le formulaire rempli pour accéder à un réseau, tous vos terminaux pourraient s’y raccorder automatiquement sans avoir à faire de démarches supplémentaires. La rumeur rapportée par Gurman a depuis été « confirmée » par des bouts de code trainant dans iOS 26.
Il y a une autre rumeur qui avait fait grand bruit en amont de la WWDC, c’est la possibilité de pouvoir travailler sur un écran externe à partir d’un iPhone équipé d’iOS 26. Cette rumeur n’est pas sans rappeler le DeX de Samsung, qui permet de transformer son smartphone en ordinateur traditionnel, une fois relié à un écran, une souris et un clavier…
Un jour une version iOS du DeX de Samsung ? Image MacGeneration
L’objectif d’Apple n’est pas précis, on sait tout juste que Cupertino réfléchit à une telle possibilité depuis des années. Il y a toutefois deux éléments qui laissent à penser qu’une telle fonctionnalité n’est plus tout à fait du domaine de l’impossible.
Tout d’abord, il y a le système de fenêtrage d’iPadOS 26 qui ouvre à ne pas en douter de nouvelles possibilités. L’autre provient de cette rumeur apparue hier, selon laquelle Apple travaillerait sur un MacBook équipé d’un processeur d’iPhone, soit un A18 Pro.
Si un processeur d’iPhone est capable de faire tourner macOS dans de bonnes conditions, cela laisse à penser qu’une telle puce n’aurait aucune difficulté à faire fonctionner une version d’iOS étendue à plusieurs écrans. Si Apple n’a pas présenté une telle fonctionnalité à la WWDC, c’est sans doute pour de bonnes raisons. La première d’entre elles, c’est qu’une telle fonctionnalité pourrait bien être réservée à de nouveaux modèles. Mieux vaut malgré tout avoir un processeur puissant et beaucoup de RAM. Cela tombe bien, les successeurs de la gamme Pro actuelle, pourraient être encore mieux servi à ce niveau-là.
Toutefois, rien ne dit que l’arrivée d’une telle fonctionnalité sera pour cette année. Elle pourrait peut-être attendre l’iPhone pliable qui, avec une telle fonctionnalité, pourrait devenir l’appareil le plus polyvalent de la gamme Apple.
En attendant de voir ce qu’il en est, seriez-vous intéressé par un iPhone qui pourrait se transformer en ordinateur « classique » ?
CarPlay Ultra, ce n’est pas pour vous, du moins, pour votre voiture actuelle. Il y a toutefois matière à améliorer votre quotidien avec cet adaptateur qui permet de bénéficier de CarPlay dans votre automobile en sans-fil. Cet adaptateur est vendu aujourd’hui à un prix très attractif : 18,39 €, soit une réduction de quasiment 10 € sur son prix public.
Le fonctionnement est très simple sur le papier. Vous branchez ce dongle USB à votre voiture à la place de votre téléphone. Une fois configuré, votre téléphone se connectera automatiquement au système de votre voiture. Le fabricant annonce que son produit est compatible avec plus de 800 véhicules. La condition semble être que celui-ci ait été commercialisé après 2016. En ce qui concerne votre iPhone, la seule condition est qu’il dispose au minimum d’iOS 10. Précisons que le dongle dispose d’un port USB classique. Si votre automobile dispose d’un port USB-C, il suffit d’acheter un adaptateur. Autre possibilité : vous pouvez opter pour ce modèle qui dispose à la fois d’un port USB-A et d’un port USB-C.
Le constructeur précise que toutes les fonctionnalités de CarPlay sont prises en charge, notamment Siri. Ce modèle, qui est arrivé sur le marché il y a quelques mois, embarque une nouvelle puce plus puissante qui a amélioré la connexion entre l’iPhone et le système de votre voiture.
Sachant que cet adaptateur est vendu sur Amazon, vous ne prenez pas de gros risques. Soit il fonctionne parfaitement sur votre véhicule et vous le gardez, soit vous pouvez le renvoyer.
La nouvelle architecture pour HomeKit ne sera bientôt plus optionnelle. Lancée avec iOS 16.4, Apple avait d’ores et déjà prévenu qu’elle deviendra obligatoire à compter de l’automne, c’est-à-dire avec iOS 26 et les mises à jour équivalentes. Précision supplémentaire apportée par la deuxième bêta d’iOS 18.6 et repérée par MacRumors, la mise à jour pourra être effectuée automatiquement, que l’utilisateur la demande ou pas.
Image iGeneration.
La bêta contient en effet un texte d’avertissement qui n’est pas encore visible dans Maison, mais qui devrait l’être à l’avenir. Il devrait s’afficher pour les utilisateurs de l’app Maison restés à l’ancienne architecture et précise que la prise en charge s’arrêtera à l’automne. Il ajoute surtout que « certains domiciles seront mis à jour automatiquement à ce moment-là », tout en ajoutant que « d’autres devront être mis à jour manuellement ». Le message se conclut en rappelant que la nouvelle architecture peut être immédiatement installée.
Si vous êtes concerné, l’installation se fait depuis les réglages du domicile, accessibles via l’ellipse en haut à droite de l’app Maison. Pour rappel, cette architecture inverse les rôles entre le concentrateur HomeKit, une Apple TV ou un HomePod, et les clients qui affichent l’app Maison. Auparavant, c’est l’iPhone, iPad ou Mac qui déclenchait une mise à jour des données en ouvrant l’app. Dorénavant, tout est géré côté concentrateur et l’app se contente d’afficher les dernières données connues. Après un faux départ, cette nouvelle architecture a fait ses preuves et elle règle de nombreux problèmes liés à HomeKit, tout en bloquant les appareils les plus anciens, iOS 16 étant désormais nécessaire au minimum.
Apple ne précise pas quels utilisateurs recevront la mise à jour automatique de l’architecture HomeKit, peut-être que cela ne concernera justement que ceux qui ont un domicile partagé par des utilisateurs sous iOS 16 et plus. Quoi qu’il en soit, il ne fait désormais plus aucun doute que la bascule sur la nouvelle architecture sera obligatoire dans les mois à venir, sauf à rester aux versions actuelles des systèmes.
Il n’y a pas si longtemps, nous relations la possibilité qu’Apple s’offre Perplexity, afin de rattraper son retard sur l’intelligence artificielle. Même s’ils paraissent avoir raté le coche sur cette évolution des usages, en bons gestionnaires, les dirigeants de la pomme n’ont pas qu’une seule et unique solution dans leur tiroir, et Mark Gurman vient nous en signaler une autre, en cours de réflexion : remplacer le moteur de Siri par celui d’OpenAI ou d’Anthropic.
Alors Craig, quel moteur pour redémarrer Siri ? Image Apple.
Un Siri trop limité
Jusqu’à présent, Apple a été relativement conservatrice avec l’usage des IA d’autres entreprises : si ChatGPT est bien intégré à Apple Intelligence, Siri demande systématiquement la permission avant de l’utiliser, et garde son propre fonctionnement. Il en est de même dans Image Playground, qui bien qu’intégrant ChatGPT dans les fonctions disponibles pour iOS 26, n’a pas purement et simplement remplacé le moteur d’origine d’Apple Intelligence.
Pourtant, Siri a du mal à tenir la comparaison avec les LLM concurrents : n’ayant pas vraiment évolué avec les années, il est totalement dépassé par les événements, et reste enfermé dans ses possibilités d’origine. Apple a bien tenté de faire cohabiter, en interne, l’ancien Siri avec un tout nouveau Siri LLM, ça n’a pas fonctionné non plus : le code est tellement différent que les faire interagir est un casse-tête bien trop complexe.
Cupertino a donc décidé de repartir de zéro, et de créer de toute pièce un nouveau Siri basé sur un LLM maison, mais les personnes proches de l’équipe de développement remontent qu’il est encore trop incertain, manque de clarté, et bien qu’Apple ait prévu un budget de plusieurs milliards de dollars sur le projet pour 2026, ils n’ont aucune assurance qu’il pourra être mené à bien.
Une solution de court-terme
Craig Federighi, Mike Rockwell et le reste des responsables d’Apple Intelligence en sont bien conscients, et savent plus que n’importe qui qu’à court terme au moins, Siri ne pourra pas évoluer sans aide. Mieux, ils se sont de plus en plus ouverts à l’idée de faire appel à une société externe, et trouvent de plus en plus logique de ne pas s’appuyer sur des modèles internes à Apple, alors que des partenaires ont des LLM bien plus efficaces sur lesquels s’appuyer.
Samsung a aussi montré la voie : si ses outils d’intelligence artificielle sont sous le nom Galaxy AI, une grande part de ceux-ci sont en fait basés sur Gemini, l’IA de Google. Alexa+, pour Amazon, est un prête-nom pour l’IA d’Anthropic, qui motorise en réalité l’agent conversationnel de l’entreprise.
D’autant que rien n’empêche Apple de réimplanter petit à petit ses propres solutions, si celles-ci débouchent sur des fonctions efficaces. Les fonctions d’intelligence artificielle sont en effet bien plus implantées sous forme de « briques » dans les systèmes, plutôt que comme un bloc unique.
Entre ChatGPT et Claude, mon cœur balance
La discussion va donc bon train entre Craig Federighi et Mike Rockwell, qui tentent de voir quelle serait la meilleure option : ChatGPT ou ClaudeAI ? Pour Rockwell, qui a pris la tête de la division Siri depuis l’éviction de John Giannandrea, l’IA d’Anthropic serait la plus efficace pour aider Siri. De fait Adrian Perica, responsable des investissements, fusions et acquisitions chez Apple a été mis sur le coup pour entamer des discussions avec Anthropic, selon les sources internes.
Toutes les options restent disponibles
Il est intéressant de voir qu’Apple, faisant feu de tout bois, donne un sentiment d’urgence à multiplier les possibilités en interne, étant selon les sources de Gurman en discussions à la fois pour racheter Perplexity, remplacer Siri par ClaudeAI ou ChatGPT, ou (avec beaucoup moins d’espoir) voir le LLM maison éclore plus rapidement que prévu.
À ce propos, le plus gros risque pour Cupertino est de décourager ses propres employés : plusieurs têtes de pont auraient manifesté leur mécontentement et leur inquiétude à la révélation en interne de ces discussions avec d’autres entreprises, et auraient menacé de partir ailleurs. D’autant plus que certains leur font des ponts d’or, comme Meta qui propose des chèques à plusieurs millions d’euros à quiconque voudrait venir avec un palmarès intéressant.
Avec un partenaire externe, qu’en sera-t-il de la vie privée ?
Si l’arrivée d’un partenaire externe pour remplacer le moteur de Siri peut inquiéter concernant la sacro-sainte protection de la vie privée qui représente tout un pan de la communication d’Apple, il semble que Cupertino ait la solution.
En effet, même en cas de signature, hors de question pour Apple de laisser s’échapper les données de ses clients chez d’autres entreprises. Les conditions sine qua non sont claires et nettes : le partenaire doit créer une version modifiée et spécifique de son moteur adaptée aux exigences d’Apple, et celui-ci devra tourner dans un data-center appartenant à la pomme, avec des machines spécifiques basées sur des processeurs Apple.
Concernant les modèles utilisés en local sur les iPhone, iPad ou Mac, Apple n’aurait aucun plan pour les remplacer par des solutions tierces, et ils continueraient donc d’être motorisés par des LLM internes, même si certains employés craignent que l’utilisation de LLM tierces dans le cloud finisse par s’imposer aussi sur les appareils en local.
Un gros changement de paradigme
Si Apple s’engage sur cette voie, les changements en interne seront conséquents : John Giannandrea, qui a déjà perdu Siri et l’équipe dédiée aux robots, perdrait ensuite l’équipe dédiée aux LLM. Celle-ci n’est déjà pas dans la position rêvée : l’un des derniers projets qu’elle avait en charge, la création d’un assistant au code dans Xcode nommé Swift Assist et présenté l’année dernière, a été annulé le mois dernier.
Ironiquement, Swift Assist a été remplacé en interne par une version de Xcode intégrant Claude, et même ChatGPT par la suite. Un indice des changements à venir pour le grand public ?
Apple pourrait bien changer l’emplacement de son logo sur le prochain iPhone Pro. C’est tout du moins ce qu’affirme le parfois bien renseigné Majin Bu dans un nouveau billet de blog : il estime que la Pomme serait sensiblement plus basse sur l'iPhone 17 Pro, plus près du centre inférieur de l'arrière du téléphone.
Image Majin Bu.
Pourquoi un tel changement ? Ce redesign serait imposé par la nouvelle bande de capteurs photos, qui s’étalerait sur toute la largeur de l’appareil. Selon lui, le flash et le capteur LiDAR seront déplacés vers le bord droit de l’iPhone pour un bloc d’appareil photo beaucoup plus massif. Modifier l’emplacement du logo pourrait donner un rendu plus esthétique.
L’iPhone 17 Pro devrait grandement changer de design. Il troquerait le titane contre de l’aluminium et aurait un dos composé de différents matériaux. Une bonne partie resterait en verre afin de permettre la recharge sans fil. Ce logo plus bas pourrait perturber les utilisateurs de coques MagSafe transparentes, qui ont toujours vu le logo Apple centré dans le cercle d’aimants. Selon le fuiteur, les fabricants de coques seraient en train de revoir leur copie en brisant le cercle sur la partie basse afin de laisser voir la célèbre pomme.
La coque MagSafe sur l’iPhone 16 Pro (à gauche) et l’hypothétique iPhone 17 Pro (à droite, dans un rendu signé Majin Bu).
Cette théorie a été appuyée par le parfois fiable Sonny Dickson, qui a également diffusé un rendu. Si les accessoiristes ont vu juste, cela signifie qu’Apple n’aura pas revu l’emplacement des aimants dédiés au MagSafe. Cela semble logique, car il faudrait alors repenser un paquet d’accessoires pour un changement mineur.
Le rachat de Pixelmator Pro par Apple commence à se faire sentir. L’app vient d’être mise à jour et a gagné une compatibilité avec Image Playground ou les outils d’écriture d'Apple Intelligence. Pour rappel, cet éditeur d’image est vendu 60 € sur le Mac App Store.
Image Playground dans Pixelmator Pro. Image MacGeneration
Une nouvelle intégration permet de rapidement créer un calque avec Image Playground, et ce sans avoir à alterner entre deux apps. Il est également possible d’ajouter un calque dans Image Playground, ce qui permettra d’en changer facilement le style (par exemple pour le transformer en illustration ou croquis). Tout cela passe par le menu Insérer en haut de l’écran ou le remplacement d’un calque existant.
L’intégration des outils d’écriture fait que l’on peut désormais corriger, résumer, réécrire ou modifier le ton d’un texte présent dans l’app. On pourra aussi en générer via la fonction « Composer », qui fait appel à ChatGPT.
D’autres nouveautés sont à noter. On peut à présent ouvrir et retoucher les images RAW des appareils photo OM SYSTEM OM-1 Mark II prises avec le mode Haute Résolution. La prise en charge de VoiceOver a été améliorée et devrait maintenant fournir des descriptions énoncées et en braille des différents outils. La navigation au clavier avec VoiceOver été revue, tandis que laisser son curseur sur les éléments de la barre latérale affiche désormais leur nom en gros caractères. Pixelmator Pro nécessite macOS 12 au minimum, et les fonctions Apple Intelligence demandent une puce M1 ou plus.
Apple a publié ce soir une fournée de nouvelles bêtas pour ses systèmes actuels. macOS Sequoia 15.6, iOS 18.6, visionOS 2.6, tvOS 18.6 et watchOS 11.6 ont donc passé la deuxième après une première version publiée il y a deux semaines. [Mise à jour] : les bêtas publiques d'iOS et iPadOS sont maintenant disponibles aussi.
La nouvelle bêta vue sur un iPhone 15. Image MacGeneration
Apple se concentre en ce moment sur sa prochaine cuvée de systèmes qui arrivera à l’automne. On n’attend donc pas grand-chose de neuf de cette version sur la sortie, la première bêta n’ayant rien apporté. Tout juste a-t-on obtenu quelques détails sur l’écran connecté développé par Apple, dont le lancement se fait attendre.
Si Cupertino se tient à son rythme habituel, la prochaine bêta d’iOS/macOS 26 devrait arriver début juillet, soit potentiellement la semaine prochaine. La première bêta publique ne devrait pas tarder à pointer le bout de son nez. Patience !
À l’instar de Snapchat, Google s’est subitement souvenu qu’Apple proposait une montre connectée sur laquelle on pouvait installer des applications. Google Agenda bénéficie ainsi tout juste d’une version watchOS. Celle-ci liste simplement les rendez-vous notés ainsi que les tâches enregistrées dans Google Tasks.
Google Agenda sur Apple Watch. Image WatchGeneration.
Contrairement à l’app Calendrier d’Apple, il est impossible de créer des événements depuis la montre. Et pour consulter les détails d’un rendez-vous, Google redirige vers l’iPhone.
Google Agenda offre deux complications pour les cadrans. L’une permet de voir le prochain événement prévu et l’autre affiche la date. L’application s’intègre par ailleurs à la Smart Stack de watchOS par le biais d’un widget.
Apple a prévenu ses interlocuteurs à la Commission européenne que la disponibilité de certaines fonctions d'iOS 26 pourrait être compromise du fait du DMA. Lors d'un atelier réunissant les protagonistes pour discuter de la conformité au Règlement des marchés numériques, Apple a cité l'exemple de la fonction Visited Places/Lieux visités qui ne sera pas au programme d'iOS 26 en Europe à l'automne, rapporte le Wall Street Journal.
Lieux visités. Extrait du keynote de la WWDC 2025. Source Apple.
Cette option dans Plans consigne les lieux où vous vous rendez (un magasin, un garage, une bibliothèque, un restaurant, etc) pour les retrouver plus facilement par la suite. Plans en gardera une liste chronologique et classera également ces endroits au sein de catégories.
Ce sera une fonction optionnelle mais Apple craint probablement de devoir la partager avec des éditeurs ou plateformes de tierces partie. Kyle Andeer, le vice-président des affaires juridiques d'Apple a expliqué lors de cet atelier qu'Apple redoutait des implications de sécurité pour sa plateforme si elle continuait à ouvrir son écosystème à des concurrents.
Apple a déjà mis sur la pause le lancement de la fonction de recopie de l'iPhone sur le Mac, et ce depuis son arrivée dans iOS 18 en septembre. Récemment encore elle a écarté toute idée de la proposer dans un avenir proche. Dans d'autres cas comme l'ouverture d'Apple Pay ou de l'App Store, ou l'adoption de l'USB-C sur l'iPhone (maintenant présenté comme un atout pour ces appareils) elle s'est pliée aux nouvelles règles européennes.
Apple a ajouté qu'elle était toujours en train d'évaluer lesquelles de ces prochaines fonctions pourraient avoir maille à partir avec le DMA. De son côté, un représentant de la Commission qui participait à la rencontre, a déclaré que « Le régulateur et Apple [sont] en désaccord sur la portée du DMA et sur les risques potentiels en matière de sécurité ». Autrement dit, Apple pourrait avoir pris l'habitude d'agiter ce chiffon rouge par intérêt plus que pour de véritables motifs.
En réalité, il n'y a pas que les Européens qui seront privés de cette fonction des Lieux visités lors du lancement d'iOS 26. À ce jour, Apple n'a pas prévu de la sortir tout de suite sur tous ses marchés, beaucoup manquent à l'appel. La fonction sera proposée aux État-Unis, au Canada, en Australie, au Royaume-Uni, en Suisse et en Malaisie, précise la page descriptive du nouvel iOS.
La piste d’un futur MacBook doté d’une puce d’iPhone s’épaissit déjà. MacRumors affirme avoir déniché dans du code d’Apple une référence à un Mac équipé d’une puce A18 Pro, celle-là même qui est au cœur des iPhone 16 Pro. La mention a été trouvée dès l’été dernier dans du code lié à Apple Intelligence. La machine porte l’identifiant Mac17,1.
Image Apple
C’est l’analyste Ming-Chi Kuo qui a le premier lancé le bal des rumeurs en affirmant qu’Apple préparait un MacBook muni d’une puce A18 Pro. Selon lui, ce serait un moyen de proposer un ordinateur portable plus accessible. Actuellement, le MacBook Air M4 démarre à 1 199 € chez Apple, mais son tarif descend autour de 1 000 € chez les revendeurs et ses prédécesseurs sont encore moins chers.
Quoi qu’il en soit, si ce projet venait à se concrétiser, un Mac doté d’une puce Ax serait bien sûr inédit. L’A18 Pro des iPhone 16 Pro est à peu près équivalent au M1 des premiers Mac Apple Silicon en matière de puissance.