Vue normale
iPhone 17 : toute la gamme gagnerait une caméra frontale 24 Mpx
La caméra frontale de la gamme iPhone 17 devrait s’améliorer. Le fuiteur chinois Digital Chat Station, qui a eu de bonnes intuitions l’année dernière côté photos, affirme que la caméra avant des prochains smartphones d’Apple sera basée sur un capteur 24 Mpx. Toute la gamme y aurait droit, les modèles Pro comme standard.
La théorie n’est pas nouvelle et a déjà été évoquée par Ming-Chi Kuo il y a maintenant un an, puis par Jeff Pu cet été. Cela représenterait une bonne amélioration par rapport aux 12 Mpx actuels, et un changement majeur : le capteur n’a pas bougé depuis l’iPhone 11. Apple a progressé grâce à des avancées logicielles, mais un renouvellement du matériel devrait nettement améliorer la qualité d’image.
Mis à part cela, Digital Chat Station estime qu’il y aura du changement pour le bloc photo. En plus d’une nouvelle disposition des capteurs en ligne horizontale à la manière des Google Pixel, il voit venir un téléobjectif 48 Mpx (contre seulement 12 Mpx sur le 16 Pro). Tous les capteurs seraient donc logés à la même enseigne, l’objectif principal et l’ultra grand-angle restant à 48 Mpx.
iPhone 17 : les rumeurs s'alignent sur des capteurs photo en bandeau
Les deux tailles d’iPhone 17 Pro devraient avoir droit à cette nouveauté. Ming-Chi Kuo avait également avancé l’idée d’une amélioration à ce niveau en juillet dernier, mais ne savait pas si les deux téléphones en profiteraient. Apple a déjà donné un avantage au plus gros modèle par le passé, justifiant ce choix par la place supplémentaire disponible sur les Pro Max. Cela ne devrait pas être le cas pour la prochaine génération, et un tel changement améliorerait la qualité d'image et le zoom.
Après un iPhone 16 Pro sans nouveautés majeures à l’exception d’un bouton en plus, l’iPhone 17 Pro semble bien parti pour apporter de nombreux changements. Les rumeurs voient venir des téléphones avec 12 Go de RAM, contre seulement 8 actuellement. Les iPhone disposeraient d’un nouvel arrangement du bloc photo et pourraient revenir à l’aluminium. On s’attend également à quelques changements au niveau des boutons, les rumeurs ayant évoqué il y a quelques années des boutons de volumes tactiles.
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SFR RED : 160 Go en 5G pour 8,99 € et une option pour l'international
SFR RED est le premier des principaux opérateurs à revoir sa grille de forfaits en ce début d'année. Comme lors de notre pointage d'il y a une semaine, l'opérateur met pas mal de DATA à des prix en deçà des 10 €. Toutes ses formules sont en 5G uniquement.
Le premier forfait ne bouge pas avec 30 Go pour 6,99 € (17 Go en Europe et DOM). Juste au-dessus, la formule de 130 Go passe à 160 Go sans modification de son prix de 8,99 € (31 Go en Europe et DOM au lieu de 30 Go). C'est un volume de données plus que copieux pour un usage lambda. On en profitera par exemple pour du partage de connexion avec un MacBook ou un iPad. Le forfait suivant est toujours calé sur 200 Go, mais il perd 1 € à 9,99 € (toujours 38 Go en Europe et DOM).
Pour n'importe laquelle de ces formules, on peut adjoindre une option à 5 € mensuels pour avoir 40 Go en Europe/DOM dont 20 Go utilisables sur le sol Suisse, en Andorre, aux États-Unis et au Canada.
Enfin, la formule dite « Spécial Voyage » ne change pas. Elle donne 350 Go contre 19,99 € (35 Go en Europe et DOM) avec 62 destinations hors Europe.
Les grilles des concurrents n'ont pas été modifiées, les changements chez SFR sont tout frais, ils datent de ce début d'après-midi.
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Le DisplayPort 2.1 passe aux câbles actifs pour dépasser 1 mètre à 80 Gb/s
Au CES 2025, le DisplayPort 2.1 — présent dans la norme Thunderbolt 5 vue dans les Mac à base de M4 Pro et M4 Max — n'évolue pas directement, mais l'association VESA, qui chapeaute la norme, a annoncé de nouveaux câbles dits « LL » (pour low loss). Car en DisplayPort comme en HDMI, la qualité des câbles devient un problème avec les définitions élevées des moniteurs modernes.
La norme DisplayPort 2.1 permet une bande passante de 80 Gb/s, nécessaire pour les écrans haute définition rapides (un moniteur 4K à 240 Hz demande 55 Gb/s par exemple). Le principal problème des câbles compatibles avec ce débit, en dehors du prix, vient de la longueur : les modèles passifs actuels ne dépassent pas 1 mètre, ce qui peut être un peu court pour certaines installations. La solution de l'association VESA est simple, car elle a déjà été vue dans les câbles Thunderbolt : passer sur des câbles actifs. Les câbles DP80LL, conçus en partenariat avec Nvidia, vont pouvoir atteindre 3 mètres grâce à l'ajout de puces dans les prises pour améliorer la qualité du signal.
La longueur des câbles devient un problème avec de nombreuses technologies : les câbles Thunderbolt passifs sont généralement courts (moins de 80 cm) et la norme HDMI 2.2 a exactement le même problème. La version annoncée au CES, par exemple, ajoute une certification obligatoire pour les câbles haut de gamme, qui permettent une bande passante de 96 Gb/s.
Le HDMI 2.2 monte en 12K à 120 Hz… avec de nouveaux câbles mais pas une nouvelle prise
Il reste évidemment une question : le prix. Les câbles DisplayPort 2.1 qui prennent en charge 80 Gb/s sont assez onéreux (comptez un peu plus de 40 € pour 1 mètre) et le prix des câbles actifs devrait donc être nettement plus élevé. Dans le cas des câbles Thunderbolt, les variantes de 3 mètres (actives) se négocient par exemple 160 €.
Google signe un partenariat avec la Fondation Linux pour assurer le futur de Chromium
Google vient d’annoncer un partenariat avec la Fondation Linux dans le but de pérenniser Chromium. L’objectif affiché est de « favoriser un environnement durable » pour la santé de l’écosystème Chromium, en plus de soutenir financièrement les développeurs y contribuant. Ce programme baptisé « fonds de soutien aux navigateurs basés sur Chromium » est également soutenu par Meta, Microsoft et Opera. Google estime que de tels appuis vont aider à « fournir une gouvernance claire et ouverte qui oriente les fonds vers les besoins de la communauté ».
Chromium est une infrastructure open source à la base de Chrome et d’autres navigateurs, mais aussi de certains systèmes de TV connectés ou du framework Electron. Dans son billet de blog, Google insiste sur le fait qu’elle a apporté plus de 100 000 modifications en 2024 tout en y investissant énormément. Un tel projet lui coûterait des « centaines de millions de dollars » rien que pour la maintenance.
Google continue d'investir massivement dans l'infrastructure partagée du projet Open Source afin de « garder les lumières allumées », notamment en faisant tourner sans cesse des millions de tests sur des milliers de serveurs, en répondant à des centaines de bogues par jour, en s'assurant que les bogues importants sont corrigés et en investissant constamment dans la santé du code afin que l'ensemble du projet reste soutenable.
Le timing de cette annonce n’est pas anodin. Le ministère américain de la Justice envisage de démanteler Alphabet depuis qu’un juge fédéral a estimé qu’elle avait un monopole : le gouvernement a comme ambition de lui faire revendre Chrome. Face à tout cela, Google a pour le moment proposé de revoir le contrat de licence de son moteur de recherche auprès d’Apple et de ses autres partenaires.
Cette nouvelle initiative lui permet de mettre en avant ses investissements et de préparer le terrain à un Chromium sans Google. Par le passé, l'entreprise a affirmé que la revente de Chrome serait une catastrophe pour les consommateurs. Elle estime que cela pourrait « casser » le produit, faute d’entreprise y investissant massivement tout en le gardant open source.
- MacG.co
- Tinder, Temple Run : des milliers d’apps détournées pour partager l'emplacement de l'utilisateur
Tinder, Temple Run : des milliers d’apps détournées pour partager l'emplacement de l'utilisateur
Il y a quelques jours, le grossiste de la donnée en ligne Gravy Analytics a été piraté : cette entreprise spécialisée dans la géolocalisation récupère des infos sur les utilisateurs avant de les revendre à des partenaires. La collecte passe par les espaces de réclames des apps Android / iOS et s’est faite à l’insu des utilisateurs comme (probablement) des développeurs. Wired a pu voir une partie des données et révèle que celles-ci ont été moissonnées à partir d’apps diverses et très connues, allant de Candy Crush à Tinder en passant par des apps religieuses ou des VPN.
Si un utilisateur accepte de partager son emplacement avec une app, certaines entreprises spécialisées dans la revente de données peuvent utiliser ses espaces publicitaires pour récupérer sa localisation. Gravy et d’autres entreprises surveillent ces emplacements, que s’arrachent des courtiers en données se battant pour afficher leurs réclames sur une certaine période. Sans même avoir à vendre une publicité, elles peuvent ainsi récolter des informations sur les appareils comme sa position approximative. Un business très juteux… impliquant de grandes responsabilités étant donné qu’il peut permettre d’obtenir des données précises avec quelques croisements.
Un groupe russe annonce avoir piraté un grossiste de données de géolocalisation
Les données piratées chez Gravy Analytics comportent des dizaines de millions de coordonnées de smartphones, situés aux États-Unis comme en Europe ou en Russie. Certains fichiers indiquent la provenance des données et l’app dont elle été tiré : 404 Media en a fait une liste visible à ce lien. On peut y voir que les applications touchées sont nombreuses et se comptent en milliers.
On y trouve des jeux comme Temple Run, Subway Surfers mais aussi des apps de fitness, d’entraînement sportif ou de suivi de vols comme Flightradar24. Le client mail de Yahoo ou les apps de bureautique Microsoft 365 sont visiblement concernés, tout comme des applications de Bible ou de prières. La présence d’éléments liés à la 5e « saison » de Call of Duty: Mobile montre que la récolte a eu lieu courant 2024.
Rappelons que ces apps n’étaient pas directement clientes de Gravy Analytics : l’entreprise a récolé des données via leur système d’espace publicitaire. Tout est un peu nébuleux, et il est difficile de dire si celle-ci a fait appel à un tiers pour récupérer toutes les informations du document en fuite. Wired a interrogé quelques développeurs touchés, qui ont tous affirmé ne pas avoir de lien avec Gravy Anaylitcs et ne pas revendre les données de localisation. Malheureusement, de nombreuses entreprises ne se privent pas pour faire de l’argent sur cette information.
Mise à jour le 10 janvier à 14:40 : un porte-parole de Tinder nous a affirmé que l’entreprise n’avait aucun lien avec Gravy Analytics, et indique n’avoir aucune preuve que ces données proviennent de l'application Tinder. « La sécurité est une priorité absolue pour Tinder », ajoute-t-il.
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QNAP ouvre son service de sauvegarde myQNAPcloud Storage avec 16 Go gratuits
À l'issue d'un très long bêta-test démarré en 2023, QNAP lance la commercialisation de myQNAPcloud Storage, son service de sauvegarde en ligne du contenu de ses NAS ou de stockage de fichiers.
Cette offre fonctionne de concert avec les applications Hybrid Backup Sync (version 22.0.0511 minimum) ou HybridMount (1.11.4008). Après avoir sélectionné myQNAPcloud Storage dans l'interface d'administration on se voit crédit d'office d'un espace gratuit de 16 Go. QNAP souligne qu'il ne facture que le stockage et pas la transmission de données. Le cas d'utilisation de cet espace pour la diffusion de vidéos en streaming est toutefois déconseillé.
La capacité offerte peut être jugée insuffisante pour une sauvegarde complète de son NAS, dans ce cas plusieurs formules payantes sont proposées. Elles s'échelonnent de 50 Go à 150 To, avec une fourchette tarifaire de 9,49 $ à 8 995 $ par an. Ces tarifications sont également proposées sur une base mensuelle.
Le service permet une restauration de ses données sur son NAS, ou vers un NAS distant, depuis les serveurs de QNAP. Mais ce n'est que l'un des scénarios possibles. Il est proposé aussi le partage de documents avec d'autres personnes. Les serveurs sont repartis entre l'Europe (dont une installation à Paris), les États-Unis, l'Asie et l'Australie.
L'accès aux données stockées sur myQNAPcloud Storage peut se faire depuis une interface web, des apps ou par l'intégration au Finder. Une FAQ complète sur le service est consultable ici.
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Promo : l'iPad Air M2 cellulaire chute à 719 € (-180 €)
Le cellulaire au prix du Wi-Fi, c'est le résumé du tarif proposé pour cet iPad Air 11" M2 sur Amazon. La version 128 Go, avec connexion cellulaire 5G, en coloris mauve est vendue 719 € au lieu de 899 € (la livraison est indiquée pour le 21 janvier). Une ristourne de 180 € que l'on pourra mettre à profit pour un Pencil Pro par exemple. Le stylet est à 141 € (-8 €).
Cet iPad Air est une excellente tablette pour absolument tous les usages. Son processeur M2, utilisé sur les MacBook Air de 2022 à 2023, est largement assez puissant pour toutes les apps iPadOS. C'est également le minimum requis pour les fonctions d'Apple Intelligence qu'Apple a promis en France pour le mois d'avril. La fonction de connexion cellulaire ne servira peut-être pas dans l'immédiat, mais c'est un bonus appréciable pour donner toute son autonomie à la tablette.
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AirPods Pro 2 : la petite sonnerie dans le boitier est normale
Les AirPods Pro 2 peuvent produire un petit bruit quelques secondes après avoir été enfermés dans leur boitier de recharge. Rien d'anormal, explique Apple.
Lorsque vous rangez vos écouteurs dans leur boitier — AirPods Pro 2 uniquement — au bout d'une dizaine de secondes, une légère sonnerie roulante peut se faire entendre (à écouter ici). Sans raison apparente puisque les écouteurs sont au repos. Dans une page d'assistance, Apple en explique la raison :
Pour garantir que les micros et haut-parleurs de vos AirPods fonctionnent de manière optimale (par exemple, pour fournir des résultats de test auditif de haute qualité), vos AirPods peuvent émettre périodiquement une légère sonnerie lorsqu’ils sont dans leur étui de chargement.
Cet auto-diagnostic n'existait pas auparavant, il est apparu en même temps que de nouvelles fonctions de santé, dont le test visant à établir le niveau de votre audition.
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L'iPhone 15 Pro Max lancé sur le Refurb Store
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Promo : l'iPhone 16 à 843 € au lieu de 969 €
Le prix de l'iPhone 16 glisse mieux chez Amazon Italie qu'en France puisqu'on trouve le modèle de 128 Go à 843 € (après le calcul de la taxe et des frais de port). C'est 126 € de moins que le tarif d'Apple. Les autres vendeurs comme Amazon France ou la Fnac le proposent actuellement entre 919 € et 925 €. La livraison depuis l'Italie est annoncée pour le début de semaine prochaine.
C'est un bon prix pour un modèle de la dernière gamme. Cette génération a récupéré le bouton Action des 15 Pro, l'autonomie est tout à fait satisfaisante, le boitier est doté du nouveau bouton latéral pour la prise de photos et, comme les iPhone 16 Pro, la compatibilité avec Apple Intelligence est inscrite dans la fiche technique.
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Tesla dévoile sa nouvelle Model Y, pas encore vendue en Europe
Tesla a discrètement sorti sa nouvelle Model Y. La voiture la plus populaire du constructeur qui reste la voiture électrique la plus vendue au monde malgré des ventes en baisse a reçu une mise à jour similaire à celle de la Model 3 « Highland » sortie en septembre 2023. La recette pour la Model Y « Juniper » est la même, avec des changements esthétiques aux extrémités, un intérieur revu et des modifications internes pour plus de confort et une efficience accrue. Particularité de cette sortie : elle est limitée pour l’heure à quelques pays, dont la Chine où Tesla commercialise une version de lancement en amont de sa sortie prévue en mars.
Ce lancement en deux temps interroge : est-ce que le marché chinois sera prioritaire pendant quelques mois ou bien est-ce seulement une mise à jour décalée du site ? En attendant de le savoir, évoquer les prix chinois n’a pas grand intérêt, tant le marché est radicalement différent du nôtre. Malgré tout, à titre d’informations, la Model Y Propulsion est affichée à partir de 283 500 yuans, soit 37 600 €, tandis que la Grande autonomie et transmission intégrale est à 303 500 yuans, soit 40 228 €. On peut noter que ces prix sont en légère hausse, de l’ordre de 4 à 5 % et on peut s’attendre à une progression similaire en Europe. Il n’y a que ces deux versions au lancement, le modèle Performance n’arrivera manifestement que dans un deuxième temps, comme pour la Model 3.
Les changements extérieurs apportés par Tesla sont minimes et en même temps suffisants pour donner l’impression d’avoir une toute nouvelle voiture. C’est surtout l’avant et l’arrière qui ont fait l’objet de toutes les attentions, avec deux barres d’éclairages diurnes et un avant qui abandonne les rondeurs jusque-là associées à la Model Y. À l’avant, on distingue aussi (enfin !) l’arrivée d’une caméra, qui sera d’autant plus utile que Tesla a retiré les capteurs ultrasons il y a plus de deux ans et que sa solution basée sur les caméras était clairement handicapée à l’avant. Dans le détail, on note aussi des nouveaux designs de jante, c’est un changement simple à effectuer qui a un gros impact visuel.
Ces changements n’ont pas qu’un rôle esthétique, ils doivent aussi améliorer l’aérodynamique, avec un coefficient de trainée qui passe de 0,23 à 0,22. Cela n’a pas l’air énorme, mais cela devrait faire une différence à l’usage, tant en termes de consommation que de confort, avec une réduction du bruit. Tesla indique bien d’ailleurs que la nouvelle Model Y est plus calme, ce qui était bien le cas de la Model 3 revisitée. Sur le chapitre des consommations, si l’on n’a pas encore les valeurs homologuées en Europe, la voiture de base est donnée pour 593 km selon la norme chinoise très optimiste. Cette autonomie officielle a augmenté de 7 % environ, ce qui donnerait autour de 486 km selon nos normes plus strictes. Les batteries n’ont pas changé, on reste sur environ 62 kWh LFP sur la Propulsion et environ 78 kWh NMC en transmission intégrale.
À l’intérieur, on retrouve presque l’habitacle de la nouvelle Model 3, avec un tableau de bord encore épuré par rapport à l’actuelle Model Y. Le plus gros changement est au niveau du volant, avec une nouvelle option entre l’ancienne Y et la nouvelle 3. Les deux branches du volant accueillent des boutons supplémentaires pour remplacer l’un des deux commodos, même s’il en reste un à gauche pour les clignotants… et c’est tout sans doute, puisque tout le reste est sur le volant. Le levier des vitesses à droite est remplacé par un affichage sur l’écran, même si la voiture peut décider d’elle-même de la bonne direction, y compris en manœuvre. C’est un choix intermédiaire intéressant de la part de Tesla, qui a manifestement entendu les critiques formulées contre son système sans levier depuis son apparition sur la Model S en 2021. On imagine qu’il sera adapté par la suite à la Model 3.
Le bois a disparu, remplacé par du tissu, les rangements au centre ont été améliorés, il y a un ruban de LED et la qualité générale devrait être en hausse. Côté confort, la liste de changements est importante : nouvelles suspensions, sièges ventilés à l’avant, sièges retravaillés à l’arrière et écran tactile pour les passagers. Tesla améliore aussi les aspects pratiques, avec une puce UWB pour localiser plus finement le smartphone qui fait office de clé et, notamment, ouvrir automatiquement le coffre quand on s’approche. La rangée arrière peut désormais être baissée et remontée depuis des boutons placés dans le coffre, avec des moteurs qui se chargent des opérations. Le coffre avant est toujours là et toujours aussi grand, si bien que la Model Y restera sans difficulté la reine de la catégorie en matière de capacité de rangement, sans vraie compétition d’ailleurs.
Si Tesla augmente aussi les prix de 5 % lors de la sortie en Europe, il faudra s’attendre à une Model Y autour des 47 000 € en entrée de gamme. On peut imaginer que le constructeur fera un effort en France, en restant pile en dessous de cette limite pour bénéficier du bonus écologique, même s’il ne concerne plus autant de monde. Il faudra toutefois attendre la commercialisation officielle dans nos pays pour en avoir le cœur net.
En plus de la Chine, le configurateur australien propose aussi la nouvelle Model Y, avec une disponibilité prévue cette fois en mai 2025. L’avantage de l’Australie, c’est que le pays utilise la même norme WLTP qu’en Europe pour mesurer les autonomies officielles, ce qui permet d’avoir une idée de ce qui nous attend. Néanmoins, seules les jantes 20 pouces sont proposées, pas celles de 19 pouces qui sont pourtant meilleures pour l’efficience. Dans cette configuration, Tesla promet 466 km d’autonomie, soit 36 km de plus que la Model Y actuelle équipée des mêmes jantes. C’est 8 % de mieux, ce qui permet de penser que l’autonomie de la Model Y de base dépassera les 490 km théoriques.
Si la barre des 500 km n’est pas loin, elle sera infranchissable sans un changement de batterie, qui n’est pas au programme à ce stade. Il faut rappeler de toute manière que l’autonomie réelle restera bien inférieure et surtout que cela n’a pas d’importance, tant le réseau de superchargeurs est dense et tant la voiture gère parfaitement les longs itinéraires.
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Mise à jour le 10/01/2025 08:57 : l’article a été corrigé sur le volant et ses leviers. Merci Hilaryman.
- Mac4Ever
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Refurb : l'iPhone 15 Pro est disponible en reconditionné par Apple
Quelques jours après les iPhone 15 voilà qu'Apple vend désormais des iPhone 15 Pro Max en reconditionné sur les refurb en France, Belgique et Suisse. Pour ces deux derniers pays, il y a également des iPhone 15 Pro.
Le choix en France est beaucoup plus serré puisqu'il n'y a pour le moment que deux variantes de Pro Max, un 256 Go et un 512 Go, tous les deux en titane noir. Ils sont vendus respectivement 1 159 € et 1 369 €.
Amazon n'a plus de stock sur ces deux types d'iPhone mais on peut comparer avec les prix du neuf à la Fnac. Le 15 Pro Max de 256 Go est vendu 1 329 € et le 512 Go coûte 1 399 €. Au moins sur le premier, le refurb est compétitif et il n'est pas impossible qu'il s'agisse en réalité d'iPhone neuf, qu'Apple déstocke puisqu'elle n'a plus les 15 Pro au catalogue.
Le refurb reste dans tous les cas une excellente opportunité — si le tarif est bon — pour avoir des iPhone reconditionnés en parfait état. Il faut rappeler que c'est à partir des modèles 15 Pro que la suite d'outils Apple Intelligence sera disponible sur iPhone, en France, en avril prochain.
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Disney+ va proposer des contenus en HDR10+
Depuis les débuts des formats HDR avancés, deux possibilités existent : Dolby Vision, adopté par de nombreux studios (pour ne pas dire tous) de cinéma, et HDR10+, porté par Samsung et Amazon Video. Si une bonne quantité de constructeurs de téléviseurs ont adopté le Dolby Vision, ne serait-ce que pour être compatible avec le format de choix des vidéastes, Samsung s’est toujours refusé à le faire, même si les choses pourraient changer.
Du côté des diffuseurs, les choses bougent aussi : Disney+ a annoncé, en marge du CES 2025, qu’il allait adapter le contenu de son catalogue au HDR10+ à partir de cette année, comme le rapporte 9to5Mac. Le fournisseur de contenus rejoint ainsi Amazon Prime Video, qui en pionnier du genre continue à proposer du contenu à ce format. Pour les plateformes, le HDR10+ a un gros avantage par rapport à son équivalent Dolby Vision : le format n’est pas soumis à licence, donc pas de royalties à payer.
Pour en profiter, les options sont rares : en téléviseurs OLED (qui reste la meilleure technologie pour profiter des contenus HDR), seuls Samsung, Panasonic et Philips proposent des références compatibles. Si vous voulez à la fois le Dolby Vision et le HDR10+, le choix est encore plus restreint : seuls Panasonic et Philips n’ont pas choisi de camp et proposent les deux.
Le Raspberry Pi 5 passe à 16 Go, pour moins de 150 € (ordinateur inclus)
La carte Raspberry Pi 5, le fer de lance de la gamme d'ordinateurs britanniques, continue à évoluer. Cette version avait été lancée avec le choix entre 4 et 8 Go de RAM, mais une nouvelle version arrive avec 16 Go de RAM. Et elle vaut moins de 150 € en France (120 $ hors taxes)1.
Cette carte reprend le système sur puce modifié déjà vu dans la variante dotée de 2 Go de RAM. Pour cette révision D0, Broadcom avait élagué dans les composants inclus dans le système sur puce, en supprimant les blocs inutilisés, mais le fondeur avait aussi visiblement modifié quelques points pour que la carte puisse prendre en charge plus de mémoire vive. C'est Micron qui fournit la mémoire vive, de la LPDDR4X.
Si la mémoire vive est bienvenue pour ceux qui utilisent la carte pour un usage grand public en tant qu'ordinateur de bureau, une question peut tout de même se poser : pourquoi ne pas passer sur quelque chose de plus performant ? Une fois équipée avec une carte microSD correcte (ou un SSD NVMe), une alimentation, un boîtier et les quelques adaptateurs nécessaires (comme un câble micro HDMI vers HDMI), la carte s'approche du prix des mini PC équipés de puces x86 autrement plus rapides et plus adaptés à ce type d'usage. Mais la carte Raspberry Pi a l'avantage d'offrir un bon suivi de la part de son fabricant et de fonctionner facilement sous GNU/Linux avec une bonne partie de ses pilotes en open source.
Une carte à la crème : le Raspberry Pi 5 vaut-il encore le coup ?
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Pour ceux qui sont un peu trop habitués au prix d'Apple, il ne s'agit pas du coût de la mise à jour, mais bien de celui de la carte complète. ↩︎
Arlo augmente le tarif de ses abonnements
Arlo, solution de vidéosurveillance bien connue et assez appréciée a décidé, comme nombre de services en ligne, d’augmenter ses tarifs pour 2025.
Ainsi, les deux premiers paliers augmentent chacun d’un euro par mois, quand le haut de gamme et dernier augmente lui de deux euros mensuellement.
Pour rappel, le premier palier, qui passe donc de 4,99 € à 5,99 € permet l’usage d’une seule caméra, avec 30 jours de stockage enregistré en 2K, et un remplacement de la caméra en cas de vol. Le second palier fait passer la limite de une caméra à quatre caméras, avec le même stockage et passe de 11,99 € à 12,99 €.
Enfin le dernier palier, qui augmente le stockage à 60 jours et en 4K, et rajoute 12 mois de garantie supplémentaire et un support personnalisé, vous permet un nombre illimité de caméras pour 18,99 € par mois contre 16,99 € précédemment.
Si vous souhaitez un enregistrement continu de vos caméras, et non des seuls événements, il faudra ajouter 12,99 € par mois et par caméra, et la caméra devra obligatoirement être branchée au secteur.
Une disparition résolue grâce à Google Street View
Test de la Sonos Arc Ultra : de l’ultra grand spectacle
VLC pourrait bientôt générer les sous-titres par IA
On entend très souvent parler de l’intelligence artificielle pour des raisons mercantiles, pour de l’enrichissement privé, pour du siphonnage de données... Pour une fois, pour changer, voulez-vous une nouvelle agréable et utile sur l’IA ? Ce serait bien non ?
Et bien petits veinards, c’est votre jour de chance : l’équipe de VLC a confié à Numérama, depuis le CES 2025, vouloir intégrer de l’IA dans son logiciel pour une fonction utile et en plus, qui tournerait en interne : la génération de sous-titres en n’importe quelle langue, y compris en langue des signes !
La fonction se base sur le LLM Whisper, qui du fait du côté open source du projet (et pour éviter de devoir louer d’énormes serveurs pour un logiciel gratuit) tourne en local sur l’ordinateur de l’utilisateur. Pour le moment, si le projet fonctionne, il reste bloqué par un écueil : pour tourner, il nécessite le téléchargement de plusieurs gigaoctets de données, ce qui est peu compatible avec le côté gratuit et distribué par des serveurs bénévoles de VLC.
L’équipe a bon espoir de trouver une solution à ce petit souci dans les mois à venir, pour pouvoir sortir cette fonction qui pourrait s’avérer un grand pas en avant pour le sous-titrage et l’aide aux malentendants.