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Motorola dévoile son Apple Watch à 99 euros
Comment Apple résume (mal) les commentaires de l’App Store
Avec iOS 18.4, les fiches de l’App Store ont « gagné » un résumé des commentaires, qui donne une idée de la teneur globale des avis sur telle ou telle application. Comme vous pouvez vous en douter, cette fonctionnalité tire parti d’« un nouveau processus utilisant un grand modèle de langue (LLM) à plusieurs étapes », comme l’explique Apple sur son blog dédié au machine learning.

« Actualité », « diversité » et « fiabilité », tels sont les trois piliers du modèle entrainé par Apple. Les commentaires passent par une séquence de modules, qui dégagent les principaux thèmes, évaluent le sentiment général et composent un résumé de 100 à 300 signes. La firme de Cupertino utilise ainsi trois LLM spécialisés pour atteindre ses objectifs de « sécurité, équité, justesse et utilité ».
C’est toute l’astuce de son système… et tout le problème. Passe encore qu’elle écarte les tentatives d’arnaque et les commentaires franchement hors sujet, mais en rejetant les appréciations les plus vives, elle déforme sciemment le sentiment général. Les résumés sont d’une tiédeur affligeante, au point que l’on doive se demander s’ils n’ont pas été créés pour marginaliser les véritables commentaires, qui gênent Apple aux entournures.
« Les utilisateurs disent que l’application est divertissante », dit le résumé de l’application TikTok, sans mentionner la litanie de remarques désobligeantes à l’encontre de cette arme de distraction massive. X serait « une excellente plateforme pour exprimer ses opinions », un parangon de « transparence et d’information sans biais », et tant pis si des milliers de commentaires (et les faits) prouvent le contraire. Le problème des LLM, c’est qu’on peut leur dire tout et surtout n’importe quoi.
Tous les iPhone 17 pourraient passer à 12 Go de RAM
La quasi-totalité de la prochaine gamme d'iPhone serait équipée de 12 Go de RAM au lieu de 8. Le dernier coup de sonde de l'analyste Ming-Chi Kuo auprès des fournisseurs d'Apple laisse présager une grosse augmentation de la capacité mémoire des iPhone de l'automne prochain.

L'été dernier, plusieurs rumeurs évoquaient déjà un passage de 8 à 12 Go, les désaccords ne portaient que sur les modèles qui en profiteraient. Pour certains, même les iPhone 17 de base les auraient. Kuo pour sa part ne citait que le 17 Pro Max.

Rumeur : les 12 Go de RAM finalement réservés à l'iPhone 17 Pro Max ?
Dans sa dernière estimation, il s'attend à ce que le modèle 17 Pro les aient aussi, tout comme l'iPhone ultra-fin qui ferait son entrée cette année. Il y a toujours débat sur l'iPhone 17 de base qu'Apple aimerait également gonfler à 12 Go. La Pomme redouterait toutefois un manque de composants pour équiper l'intégralité des modèles. Une décision doit être prise le mois prochain, ajoute Kuo, sinon ce sera à coup sûr pour l'iPhone 18.
Kuo précise que le coût moyen de ces 12 Go est supérieur d'environ 50 % à celui des 8 Go, ce qui ferait les bonnes affaires de Micron et de SK Hynix auprès de qui Apple s'approvisionne.
Apple n'est jamais très bavarde sur la quantité de mémoire dont elle dote ses iPhone. C'est une caractéristique qui ne figure pas dans les fiches techniques contrairement à la capacité de stockage. Le monde Android est généralement aussi plus généreux sur ce point.
Dans l'usage de l'appareil, cela peut faire une petite différence, même si historiquement iOS est un système fluide et vif. Ce sont des rechargements de pages en moins pour Safari par exemple. L'arrivée des outils d'IA et la volonté d'Apple de faire fonctionner le plus de tâches possible en local, oblige à reconsidérer la capacité mémoire des équipements. C'est ce qui s'est passé sur les MacBook Air où les 8 Go de base ont été supprimés pour une dotation minimale de 16 Go.
Apple veut produire plus d'iPhone en Inde, la Chine résisterait

Yahoo! veut acheter Chrome
Yahoo! n’est plus que l’ombre d’elle-même, mais cette vieille gloire du web appartient maintenant à l’entreprise de « gestion alternative » Apollo Global Management, qui gère plus de 500 milliards de dollars. Autant dire que, lorsqu’elle annonce son intention « d’étudier la question » d’une acquisition de Chrome, « l’acteur stratégique le plus important du web », il vaut mieux l’écouter.

L’opérateur américain Verizon, qui avait acheté Yahoo! pour 4,8 milliards de dollars en 2016, n’en détient plus que 10 % après avoir vendu le reste à Apollo Global Management en 2021. Depuis le début de l’année, le fonds semble avoir retrouvé un intérêt pour son investissement, qu’il a délesté des activités moins rentables, comme le site d’actualités technologiques TechCrunch. Brian Provost, directeur général de Yahoo! Search, assure que l’entreprise veut « revitaliser » son moteur de recherche.
Or la majorité des recherches passent maintenant par la barre du navigateur, qui n’est plus tant une barre d’adresses qu’une barre de recherches. Voilà qui explique pourquoi depuis l’été dernier, Yahoo! « travaille activement, en interne, au développement d’un prototype de navigateur ». Devant le juge Amit Mehta, qui doit décider des suites de la défaite de Google face au ministère américain de la Justice, Provost a expliqué que Yahoo! discutait avec plusieurs éditeurs pour faire l’acquisition d’un navigateur.
Autant dire que l’hypothèse d’une vente de Chrome, proposée par le ministère, intéresse particulièrement l’entreprise. Provost estime que Yahoo! Search pourrait instantanément tripler sa part du marché de la recherche, qui tourne autour de 3 %, en achetant le navigateur de Google. L’opération couterait « des dizaines de milliards de dollars », mais Apollo Global Management serait prête à sortir le carnet de chèques. Apollo détient déjà un navigateur, qui est aussi une vieille gloire et qui avait aussi été au centre d’une procédure antitrust — Netscape.
Comment sécuriser ses échanges sensibles sur WhatsApp
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MacG.co
- Slate veut repartir de zéro avec un pick-up électrique compact et épuré pour moins de 20 000 $
Slate veut repartir de zéro avec un pick-up électrique compact et épuré pour moins de 20 000 $
Slate est le nom d’un nouveau constructeur automobile aux États-Unis et même s’il n’affiche aucune ambition européenne à ce stade, son arrivée reste intéressante pour deux raisons. La première est en réalité la moins importante : Jeff Bezos, le patron d’Amazon, serait l’un des financiers derrière le projet, même si ce n’est pas officiel. Surtout, le véhicule imaginé par Slate est une sorte de retour aux origines, avec un pick-up compact qui n’est prévu par défaut que pour deux personnes et qui est volontairement épuré. La start-up a méticuleusement retiré tout ce qui coûte cher dans une voiture moderne, pour proposer un véhicule autour des 20 000 $.


Par rapport aux immenses pick-ups qui ont envahi les routes américaines, le Slate est un nain : 4,4 m de long et tout juste sous la barre des 1,8 m en largeur et hauteur, en gros l’équivalent d’un Scenic. On est nettement plus proche des modèles d’antan que de la production actuelle et c’est un choix fort du constructeur, qui considère que les véhicules sont devenus trop gros, trop lourds, trop complexes et donc trop chers. Le côté pratique a été privilégié, avec une assez longue benne de 1,5 m1 et une cabine prévue pour deux personnes seulement. Côté rangements, on peut aussi compter sur un grand coffre à l’avant, qui revendique 200 l, pas très loin d’un coffre de citadine.
Pour économiser les coûts, Slate a repris la formule qui a fait le succès de Tesla, mais en version radicalisée. La production se concentrera sur un véhicule unique, avec absolument aucune option. Pour autant, le constructeur a bien conscience qu’un pick-up de deux places ne suffira pas à convaincre tout le monde. Si un camion avec benne ouverte ne convient pas, on peut convertir le véhicule en un SUV plus classique, avec une banquette trois places et un coffre fermé. L’idée est loin d’être nouvelle, c’est même un classique dans l’industrie (on pense à Rivian, qui a le R1T et le R1S sur la même base), sauf qu’ici, le client achète un kit SUV et il pourra l’installer lui-même sur la base de pick-up s’il le souhaite.


Slate a poussé très loin le concept la liberté de réparation. Même si un réseau de réparateurs agréés est prévu, le constructeur compte proposer à ses clients des tutoriels vidéo pour leur permettre de tout faire sur leur voiture, que ce soit pour la réparer ou bien pour lui ajouter des fonctionnalités. Pour y parvenir et également pour réduire les coûts, le constructeur a aussi opté pour une unique carrosserie en plastique2, composée de pièces indépendantes faciles à remplacer en cas de besoin. La surface est aussi prévue pour être recouverte par un film (wrap), ce qui permettra d’avoir une Slate dans une autre couleur que le gris de base, puisque le véhicule ne sera jamais peint de manière traditionnelle.
La simplification passe aussi par un intérieur bien vide, pour ne pas dire dépouillé. On retrouve quand même un volant et les leviers pour passer les vitesses ou gérer les clignotants et essuie-glaces, il y a un petit écran derrière pour afficher les informations essentielles et quelques contrôles pour la climatisation, mais c’est tout. Pas d’écran central pour l’infodivertissement, puisqu’il n’y a pas d’infodivertissement ni même de haut-parleurs. À la place, Slate a prévu un support pour smartphone ou tablette et de la place pour caser une enceinte Bluetooth, voire une barre de son. Autant d’idées qui évoquent l’Ami de Citroën, même si le format n’a rien à voir. Pas de conduite semi-autonome non plus, c’est un autre coût majeur des véhicules modernes qui a été éliminé ici.

Sur le plan technique, Slate a prévu une unique version sans surprise, avec un moteur de 150 kW placé sur l’essieu arrière qui ne devrait pas offrir d’accélérations exceptionnelles, mais qui devrait faire l’affaire pour les 635 kg de charge et 450 kg de charge tractée prévues par le constructeur. De base, la batterie aura une capacité de 52,7 kWh, ce qui est très peu sur ce segment et le constructeur espère en tirer 240 km d’autonomie selon la norme EPA (plus stricte que la norme WLTP européenne). Vous avez besoin de plus ? Parmi les kits prévus après achat, on pourra compter sur une plus grosse batterie de 84,3 kWh et espérer alors atteindre autour des 390 km d’autonomie.
À un tel tarif, il ne faut pas s’attendre à des performances décoiffantes, ce qui est aussi le cas côté charge, avec la promesse d’un 20 à 80 % en trente minutes, ce qui laisse envisager une charge DC assez lente (120 kW maximum). Slate préfère insister sur la recharge à domicile, qui est en effet la plus courante pour ceux qui peuvent en bénéficier et qui pourra apparemment monter à 11 kW, un bon point. Malgré la conception légère, le constructeur insiste aussi sur la sécurité de son véhicule et vise les cinq étoiles aux crash-tests, même si les mesures n’ont pas encore été effectuées.


Slate a ouvert des précommandes aux États-Unis et le constructeur espère livrer les premiers exemplaires dès la fin de l’année 2026. Le prix final n’est pas encore connu, en partie parce que l’annonce d’un tarif inférieur à 20 000 $ dépend du bonus de 7 500 $ qui est encore en place dans le pays, mais qui est menacé par Donald Trump. Quoi qu’il en soit, on devrait rester sous les 30 000 $ à l’arrivée, en tout cas si la jeune start-up tient ses promesses.
La présence de Jeff Bezos dans l’ombre en rassurera certains, le fait aussi que le constructeur, qui compte déjà plusieurs centaines d’employés d’après son site, ne se contente pas d’un vague concept et promet une commercialisation dans un an et demi seulement. Malgré tout, on a vu tant de marques disparaître avant même de livrer un seul véhicule que la prudence reste de mise.
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À titre de comparaison, c’est 30 cm de moins que la benne du Cybertruck, mais ce dernier mesure 1,3 m de plus en longueur ! ↩︎
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Au-delà des matières premières, les pièces de métal qui composent une carrosserie traditionnelle demandent d’énormes machines et donc d’énormes usines. En comparaison, Slate devrait produire la voiture sur le sol américain dans des usines beaucoup plus petites et pas spécialement dédiées à la voiture. ↩︎
Amazon attaque la chronologie des médias en France
Stage Manager bientôt sur l'iPhone branché à un écran externe ?

John Giannandrea perd aussi la responsabilité de la robotique d'Apple

Avec iOS 19, l'iPhone pourra-t-il remplacer le Mac ?
Un pays fait tout pour freiner l'exode de l'iPhone
Apple voudrait rapidement produire en Inde 100% des iPhone américains
Apple envisage de faire fabriquer en Inde 100 % des iPhone destinés au marché américain, et ce dès l'année prochaine. Le contentieux sur les droits de douane provoqué par les États-Unis et dont la Chine est la cible principale aurait obligé la Pomme à accélérer ses efforts de délocalisation.

D'après le Financial Times, Apple prévoit de faire fabriquer en Inde la totalité des iPhone qu'elle destine aux États-Unis. Cela représente un volume annuel de l'ordre de 60 millions d'appareils alors que l'Inde en assemble aujourd'hui entre 30 et 40 millions, selon les estimations, et pas uniquement pour les États-Unis.

Coups bas et mauvaises manières entre l'Inde et la Chine pour la fabrication des iPhone
Alors que la Chine est frappée par des droits de douane de 145 % — mis en pause pour trois mois comme pour les autres pays — l'Inde s'était vu promettre un taux de "seulement" 27 %. Celui-ci fait l'objet de négociations entre les deux pays.
Apple avait prévu de continuer de diversifier ses sources de production d'iPhone grâce à l'Inde, mais cette nouvelle guerre commerciale dont l'issue est tout aussi imprévisible que le président américain qui l'a provoquée, a visiblement précipité les choses. Les iPhone « Made in India » pourraient ainsi déferler sur les États-Unis avec les deux prochaines générations.

Donald Trump voudrait qu'Apple visse ses iPhone aux États-Unis
John Giannandrea aurait aussi perdu l'équipe en charge de la robotique chez Apple
Le développement de produits robotiques change de tutelle chez Apple dans le cadre d'une vaste réorganisation après des ratés dans l'intelligence artificielle.
John Giannandrea, Monsieur IA chez Apple, a perdu le contrôle de l'équipe en charge d'imaginer des produits liés à la robotique affirme Bloomberg. Ce groupe, supervisé par Kevin Lynch, passe sous la responsabilité de John Ternus dont le périmètre couvre tous les développements de matériels, du Mac, aux iPad en passant par les iPhone et les AirPods. Il s'occupa un temps du Vision Pro avant que celui-ci ne fût pris en charge par Mike Rockwell.

Kevin Lynch pilota avec succès l'Apple Watch avant de se voir confier le projet automobile d'Apple lorsqu'il vivait ses dernières heures. Ce chantier abandonné, Lynch a pris les commandes de la recherche de produits apparentés à la robotique.

Apple imaginerait des robots humanoïdes et un assistant autre que Siri

Apple dévoile ses recherches avec un modèle comportemental pour un robot-lampe
Apple n'a communiqué sur aucun des mouvements décrits ces derniers temps par la rumeur et qui tiennent du feuilleton. John Giannandrea aurait précédemment perdu le contrôle du développement de Siri, confié à Mike Rockwell. Ce dernier aurait fait venir plusieurs de ses hommes de l'équipe Vision Pro et visionOS pour remettre à flot l'assistant intelligent et tenir les promesses faites l'été dernier avec les démonstrations d'un Siri beaucoup plus polyvalent.

Le groupe de John Giannandrea se recentrerait sur le développement des modèles nécessaires au fonctionnement de l'IA dans les produits d'Apple. Pour l'heure, la page de la haute direction d'Apple ne reflète rien de l'agitation en interne, chacun est toujours à sa place, sans changement dans la description des champs d'activité.

Apple réorganise Siri avec des équipes du Vision Pro

Le nouveau Siri montré en 2024 n'aura été qu'une fable et une fumisterie
Grosse réorganisation interne chez Apple !
iPadOS 19 verrait apparaître une barre de menus sur iPad
Apple aurait-elle décidé d’écouter les utilisateurs demandant une fusion un peu plus élaborée entre les différents OS de la marque, afin de faire de l’iPhone un ordinateur d’appoint, et de l’iPad un véritable ordinateur portable ? Entre la possibilité d’une interface avancée sur écran externe pour iOS 19, et maintenant le même fuiteur qui annonce l’apparition d’une barre de menus sur un iPad relié à un Magic Keyboard, il semble bien que Cupertino pourrait répondre à de nombreuses attentes !

Il y a quelques semaines, Mark Gurman avait déjà prédit que la prochaine version d’iPadOS se rapprochera un peu plus de macOS dans son fonctionnement, sans aller plus loin dans les détails. Mais Majin Bu, comme rapporté par MacRumors, nous en dit un peu plus, avec une proposition intéressante : une fois connecté à un Magic Keyboard (et possiblement aussi avec un couple clavier/souris externe), l’iPad verrait apparaître une barre de menus en haut de l’écran, dans l’esprit de l’interface existant depuis le premier Macintosh.
Toujours dans un esprit de rapprochement avec macOS, iPadOS 19 verrait apparaître une nouvelle version de Stage Manager, permettant l’utilisation de plusieurs apps en même temps sur un écran externe.
Comme toute rumeur, c’est bien entendu à prendre avec des pincettes tant que la WWDC ne l’a pas annoncé, mais voilà de quoi réchauffer le cœur de tous ceux qui attendent un comportement digne d’un ordinateur de la part d’un iPad, d’autant plus quand l’iPad Pro fait quasiment jeu égal avec un MacBook Air niveau puissance de calcul.
Huit ans après DeX, Apple s’ouvrirait peu à peu à un bureau sur écran externe pour iOS 19
Nombreux sont les utilisateurs d’iPhone qui rêvent de n’avoir qu’un seul produit dans les mains, pouvant être un simple smartphone en balade, et devenant un véritable Mac une fois connecté à un écran, un clavier et une souris, comme le fait DeX de Samsung depuis maintenant plusieurs années... déjà en 2017, nous avions écrit un article sur cette possibilité. Selon MacRumors, Apple pourrait faire un pas vers cet usage, mais un tout petit pas.

En effet, le fuiteur Majin Bu aurait entendu qu’une interface comme Stage Manager pourrait arriver sur iPhone, permettant l’affichage de multiples fenêtres une fois le smartphone branché sur un écran externe. La fonction, prévue pour iOS 19, pourrait être présentée durant la prochaine WWDC, sans pour autant avoir l’assurance de la voir apparaître dès la première version du prochain OS.
Si c’est un premier pas, l’interface selon Majin Bu ne serait pas aussi complète que le Stage Manager de l’iPad, et nécessiterait un iPhone avec port USB-C pour être utilisable, donc à partir de l'iPhone 15. Ce serait tout de même un pas en avant, et pour Apple un début d’ouverture sur l’idée de faire de l’iPhone une machine complète une fois branchée à un écran.
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MacG.co
- Les procès antitrust contre les GAFAM se poursuivent aux USA, malgré les changements de présidence
Les procès antitrust contre les GAFAM se poursuivent aux USA, malgré les changements de présidence
L’Union européenne est certes connue pour être très stricte et accumuler les procès et amendes auprès des GAFAM, mais de l’autre côté de l’Atlantique, l’herbe n’est pas forcément plus verte, comme le rapporte Bloomberg.

En effet, dans un pays où la justice a plus de liens politiques que dans nos vieux pays européens, il serait tentant de croire que les changements de présidence permettent de ralentir voire de supprimer certains procès de grandes sociétés, et c’est ce que craignaient certains concernant les GAFAM. Or, il semble qu’il n’en soit rien : Google et Meta, entreprises sur lesquelles les enquêtes ont commencé sous la première présidence Trump, ont vu celles-ci se poursuivre sous Biden, et devraient se conclure sous la seconde présidence Trump.
Concernant Google, l’entreprise est accusée d’abus de position dominante dans le domaine des publicités sur Internet entre autres, et pourrait se voir obligée de vendre Chrome. Les juges sont d’autant moins enclins à la gentillesse qu’après avoir tapé sur les doigts d’Alphabet pour ses contrats au long cours avec Apple, ils ont repris l’entreprise la main dans le sac concernant un accord avec Samsung, faisant de Gemini AI l’intelligence artificielle des Galaxy pour une somme conséquente.
Pour Meta, la FTC (Federal Trade Commission) lui reproche un poids inacceptable dans le domaine des réseaux sociaux avec Facebook, Instagram et WhatsApp, et menace de forcer l’entreprise à se séparer des deux derniers.
Qu’ils soient Républicains ou Démocrates, les sénateurs américains semblent avoir décidé qu’il était temps de mettre fin à la domination sans partage de certaines entreprises de la tech. En plus d’Alphabet et de Meta, d’autres sont ainsi dans le viseur : Apple, Microsoft, Amazon et Nvidia sont toutes ciblées, à chaque fois pour abus de position dominante, et risquent pour la plupart de devoir se séparer de certaines de leurs divisions.
Pour chacune de ces entreprises, la raison invoquée par les sénateurs, qu’ils soient d’un bord ou de l’autre, est le pouvoir que celles-ci ont accumulé sur la liberté d’expression, les données personnelles des citoyens ainsi que l’accès à l’information. Des accusations ressemblant fortement aux raisons pour lesquelles la Commission européenne inflige nombre d’amendes depuis des années aux GAFAM.
Reste que cette coalition Républicains/Démocrates est fragile, et pourrait être mise à mal si le président des États-Unis d’Amérique venait à s’en mêler, dans un sens ou dans l’autre. Pour le moment, les sénateurs fêtent les victoires obtenues par leur alliance, comme le dit Reed Showalter, ancien du gouvernement Biden : « Il reste encore des conservateurs et des progressistes qui sont profondément contre les monopoles ».
Mais c’est quoi cette histoire de bonbons vendus partout sur TikTok ?
L’iPhone 16 dans une nouvelle réclame mettant en avant sa solidité
Si les équipes dédiées à Siri semblent avoir des difficultés, ce n’est certainement pas le cas de la branche communication de la pomme, qui vient de sortir une nouvelle publicité à la gloire de l’iPhone 16.
Sur celle-ci, Cupertino met en avant la solidité du verre Ceramic Shield utilisé dans son smartphone, avec une famille souhaitant un souvenir de son passage dans une fête foraine, et demandant à un quidam de la prendre en photo. Malheureusement, le passant fait tomber l’appareil... mais heureusement, c’est un iPhone 16. Le smartphone sort donc intact de sa mésaventure.
Bien entendu, comme toujours, « Cette cascade a été réalisée par des professionnels, ne tentez pas de la reproduire chez vous »...
Prise en main de Supercharge, l’app à tout faire qui rend bien des services sur le Mac
TSMC annonce la gravure en 1.4 nm, quand la Russie espère atteindre les 28 nm en 2030
Alors que les derniers SoC d’Apple, que l’on retrouve partout de l’iPhone au Mac Studio en passant par l’iPad, sont gravés en 3nm par TSMC, le fondeur leader mondial de la gravure ne s’endort pas sur ses lauriers.

L’entreprise taïwanaise a ainsi annoncé l’arrivée prochaine de son process de gravure « A14 » (à ne pas confondre avec le processeur du même nom chez Apple), permettant d’atteindre une finesse inégalée de 1,4 nm ! Voilà de quoi encore améliorer les performances, le fondeur promettant jusqu’à 30 % de réduction de consommation pour la même vitesse, et 20 % de transistors en plus sur la même surface.
La technologie précédente, la N2 pour 2 nm, devrait entrer en production de masse cette année, et Apple fait bien entendu partie des clients privilégiés et en profiterait dès l’année prochaine pour les prochains iPhone 18, comme le rapporte MacRumors. Elle n’est cependant pas la seule intéressée et assez argentée pour attirer les bonnes grâces de TSMC, le domaine de l’intelligence artificielle étant particulièrement friand de nouveaux process de gravure, permettant des économies substantielles sur la consommation des datacenters.
L’entreprise annonce avec l’arrivée du process A14 tout un train de nouvelles possibilités, de l’amélioration de l’empilement 3D permettant de mettre les uns sur les autres les différents éléments d’un SoC (System on Chip), du CPU à la mémoire en passant par le GPU, jusqu’à l’intégration des régulateurs de tension sur le SoC, permettant une gestion plus fine et plus efficace de l’énergie envoyée au CPU.
Pendant ce temps, en Russie...
De son côté, selon Tom’s Hardware, le pays des poupées russes espère toujours pouvoir produire ses premiers processeurs à la finesse de 28 nm d’ici 2030... soit 19 ans après l’apparition de cette gravure en Occident.
Le pays accumule les difficultés dans le domaine : depuis son opération spéciale, plus aucun fournisseur ne veut lui laisser accès à l’architecture x86, le condamnant à se rabattre sur le développement de son propre processeur, le Elbrus, basé sur l’architecture SPARC. Les autorités taïwanaises ont aussi bloqué tout envoi de puces modernes en Russie depuis la même date.
Pour le moment, les Russes sont donc coincés avec une technologie de gravure à 350 nm, dont la production de masse n’a même pas commencé. Avant même de parler de 28 nm, l’un des fondeurs maison ZNTC en est encore à mettre au point une chaîne de gravure à 130 nm. L’un des plus grands espoirs repose sur un autre fondeur russe, MCST, qui aurait réussi à faire entrer dans le pays des machines provenant d’ASML (le fabricant de matériel de gravure néerlandais, qui fournit le monde entier y compris TSMC) permettant la gravure en 90 nm. Quoiqu’il en soit, entre les technologies de gravure très en retard, et le changement forcé d’architecture, les choses sont décidément très complexes pour la Russie dans le domaine...
Drogue : généraliser la saisie des téléphones des consommateurs est-elle justifiée ?
Coups bas et mauvaises manières entre l'Inde et la Chine pour la fabrication des iPhone
Apple a réussi à transférer en Inde une part de la production de ses iPhone, mais la Chine ne s'en laisse pas compter et lui met parfois des bâtons dans les roues pour freiner cette diversification.
20 % des iPhone sont aujourd'hui produits en Inde (de l'ordre de 30 à 40 millions d'unités) et Apple entend augmenter ce volume de 10 % cette année. À plus long terme c'est environ la moitié de sa production d'iPhone qu'Apple entend délocaliser de Chine, ont expliqué à The Information des sources au fait de ces projets et de la situation entre les deux pays (lire aussi Apple voudrait produire 25 % de ses iPhone en Inde d'ici 2025).

Un objectif ambitieux qui se heurte parfois à des obstacles, car les coups bas ne manquent pas pour freiner ce mouvement. Cette expatriation de la Chine vers d'autres pays et vers l'Inde en particulier est diversement appréciée par le gouvernement chinois.
Côté pile, la décision d'Apple de déplacer vers le Vietnam la fabrication d'AirPods, d'Apple Watch ou d'autres produits aux volumes moindres que ceux des iPhone a été vue d'un bon œil par la Chine. Elle y a perçu un moyen d'étendre la zone d'influence géographique de ses industriels. En outre, le petit Vietnam n'est pas de taille à ébranler l'appareil productif chinois, Apple s'y trouvera nécessairement limitée dans ses capacités d'expansion.

Apple veut faire assembler ses derniers produits en dehors de Chine
Côté face, c'est une tout autre affaire avec l'Inde, d'autant que les relations politiques entre les deux géants de cette partie du monde restent conflictuelles. L'article raconte qu'en début d’année, les autorités chinoises ont interdit à un fournisseur d'équipements — destiné aux tests de production du prochain iPhone 17 — d'exporter son matériel de Chine vers l'usine indienne d'un sous-traitant d'Apple. Ce fournisseur a alors créé une filiale dans un autre pays d'Asie du Sud-Est où il n'y avait pas de barrière à l'exportation. Puis après cette escale le matériel est parti vers l'Inde pour rejoindre une usine gérée par le Taïwanais Foxconn.

Ce n'est pas le seul exemple. Foxconn a vu l'obtention des autorisations d'export de ses machines de la Chine vers l'Inde passer de 15 jours à parfois quatre mois. Il arrive aussi que ces demandes soient rejetées sans aucune explication. Les machines qui retiennent l'attention des douanes servent à assembler des pièces d'iPhone par laser, d'autres à vérifier si l'iPhone résiste à l'eau comme prévu. Il y a aussi des machines employées pour déplacer des pièces d'un endroit à l'autre d'une chaîne d'assemblage.
La Chine peut légitimement voir d'un mauvais œil la montée en puissance de son voisin dans la chaine de production d'Apple. Cette dernière a apporté une contribution importante à l'organisation et au perfectionnement de l'appareil logistique et manufacturier chinois pour les produits électroniques. Les compétences acquises par les acteurs locaux les rendent plus compétitifs et cela profite, par ricochet, aux entreprises et produits strictement chinois. S'y ajoute l'inquiétude devant la perte possible d'emplois si cet exode vers l'Inde reste soutenu.
L'Inde, contre toute attente, ne s'est pas privée de mettre des bâtons dans les roues des fournisseurs d'Apple en Chine, quand bien même cela allait à l'encontre de ses intérêts. L'acrimonie est importante entre les deux pays qui ont connu des incidents frontaliers mortels entre leurs armées ces dernières années.
À certaines occasions, des spécialistes dans les usines chinoises d'Apple ont eu toutes les peines du monde à décrocher un visa de travail en Inde pour venir épauler leurs collègues dans la mise au point des chaines d'assemblage (l'Inde est aujourd'hui capable de sortir en même temps que la Chine les tout derniers modèles d'iPhone au jour J de leur lancement, ndr).
Des tracasseries administratives sans logique claire puisque le bénéfice de ces venues était pour le côté indien. Les autorités indiennes ont également empêché des fournisseurs chinois d'Apple comme Luxshare Precision Industry Co, qui travaille aussi à l'assemblage d'iPhone, d'investir dans le pays. Côté Chinois, des fournisseurs se sont vu intimer d'y réfléchir à deux fois s'ils escomptaient tailler dans les effectifs de leurs usines.

En 2023, Apple a demandé à ses équipes chargées des relations avec les fournisseurs de ne pas prendre en compte de sociétés chinoises lors de la préparation de la production d'AirPods en Inde. La Pomme craignait que les tensions entre les deux pays ne finissent un jour par faire dérailler les chaînes de production de ses écouteurs. C'est finalement Foxconn qui fut choisi.
Apple a également signé un contrat avec Tata Group pour fabriquer des iPhone en Inde. Ce partenaire a évincé deux sociétés habituées à travailler avec Apple — Wistron et Pegatron — qui peinaient à rentabiliser leur contrat. Leurs usines ont changé de propriétaire, mais leurs salariés ont continué à assembler le téléphone d'Apple et tout cela sous le regard bienveillant du gouvernement indien.
Un autre pan des difficultés d'Apple avec l'Inde tient dans certaines différences culturelles avec la Chine. Le copier-coller d'un fonctionnement éprouvé dans le premier pays ne fonctionne pas dans le second. En Chine, les chaînes tournent en général sur un rythme de 2x12h alors qu'en Inde la loi oblige à faire les trois-huit, ce qui implique d'embaucher davantage d'ouvriers. Apple est parvenue en 2023 à obtenir une dérogation pour reproduire le modèle chinois, mais ce sont les employés indiens qui ont refusé qu'il soit mis en place.

Le parcours semé d'embûches de la fabrication des iPhone en Inde
De multiples petits obstacles ont parsemé le chemin : des machines avec des interfaces en chinois uniquement ; une difficulté pour les Indiens à assembler certaines parties délicates des iPhone. La tâche est revenue aux usines chinoises qui envoient ensuite des iPhone partiellement assemblés en Inde pour y être terminés.
Ces complications multiples poussent Apple à demander à des fabricants de machines industrielles à s'installer en dehors de Chine en échange de contrats. Mais se pose le problème d'y trouver suffisamment de personnel qualifié et de vendeurs des pièces nécessaires à leur fabrication. Pendant ce temps, lorsque les machines attendues en Inde tardaient à arriver, les ouvriers réalisaient certaines opérations à la main.
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iPadOS 19 : une barre de menus et un nouveau Stage Manager ?

Au moins trois modèles d'iPhone 17 avec 12 Go de RAM ?

Amazon va fêter ses 25 ans en France avec une semaine de promos du 30 avril au 6 mai
Amazon s’apprête à célébrer ses 25 ans en France et compte bien marquer le coup : le groupe a prévu « une semaine d'offres exceptionnelles » qui se déroulera du 30 avril au 6 mai 2025. Les produits high-tech seront concernés, et si Apple n’est pas directement cité dans le communiqué, il y aura sans doute moyen de dénicher de bonnes affaires sur différents accessoires. Une page inactive est en ligne, qui devrait se remplir à l’approche du jour J.

Le communiqué annonce des promos sur des marques comme Lenovo, Lego Star Wars, Samsung, HP ainsi que sur différentes enseignes françaises (Moulinex, Petit Bateau, Aigle…). Contrairement aux Prime Days, tous les clients du site pourront profiter des offres. De plus, la plateforme offrira chaque jour dès 9 heures un bon d’achat de 25 € à 25 000 clients. Il sera valide sur les paniers dépassant les 75 €.
L’entreprise a profité de l’occasion pour publier une rétrospective de ses 25 ans en France, rappelant que la plateforme a été lancée en 2000 dans l’Hexagone : les prix étaient alors en francs et la livraison se faisait sous 3 à 5 jours ouvrés. Elle y revient sur certains de ses produits les plus vendus, allant de L'Ordre du Phénix de la saga Harry Potter dans les années 2000 aux consoles Xbox et PlayStation fin 2010. L’abonnement Prime est arrivé en 2008, tandis qu’Alexa et les enceintes Echo ont suivi 10 ans plus tard. Sur un autre registre, Amazon France se félicite également d’avoir dépassé le seuil des 25 000 salariés en CDI en France pour ses 25 ans.
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- La Maison-Blanche qualifie « d'extorsion économique » l’amende de l’UE infligée à Meta et Apple
La Maison-Blanche qualifie « d'extorsion économique » l’amende de l’UE infligée à Meta et Apple
La journée d’hier a été agitée pour Apple et Meta : Bruxelles a infligé une amende de 500 millions d’euros à la première et de 200 millions à la deuxième. L’Union européenne reproche à Cupertino de ne pas avoir laissé assez de marge aux développeurs pour promouvoir leurs offres d'abonnement disponibles en dehors de l’App Store. La Maison-Blanche a communiqué sur ces amendes et a dénoncé « une forme inédite d'extorsion économique » que les États-Unis ne toléreraient pas.

Plus précisément, l’UE a considéré qu’Apple violait le DMA en compliquant le fait de proposer des offres en dehors de l’App Store. Elle pointait également du doigt le fait qu’une commission soit prélevée (27 % ou 12 % en cas de renouvellement) lorsqu’une transaction est réalisée dans les 7 jours via un lien pour sortir d’une app. Du côté de Meta, l’amende portait sur l’abonnement visant à faire payer les utilisateurs ne souhaitant plus voir leurs données réutilisées pour leur proposer du contenu publicitaire personnalisé.

DMA : Bruxelles inflige une amende de 500 millions à Apple et de 200 millions à Meta
« Les réglementations extraterritoriales qui ciblent spécifiquement les entreprises américaines, étouffent l'innovation et permettent la censure seront reconnues comme des obstacles au commerce et une menace directe pour la société civile libre », a déclaré un porte-parole de la Maison-Blanche auprès de Reuters. « L'UE doit cesser de s'en prendre aux entreprises et aux consommateurs américains. Mettez fin à la spirale de la mort réglementaire de l'UE ! », a-t-il ajouté.
Apple avait immédiatement confirmé vouloir faire appel de cette sanction. Dans un communiqué, elle dénonçait une série de décisions « mauvaises pour la vie privée et la sécurité de [ses] utilisateurs, mauvaises pour [ses] produits, et qui l’oblige à donner gratuitement [ses] technologies ». L’amende représente environ 0,1 % du chiffre d’affaires annuel de ces entreprises, soit bien moins que les 10 % autorisés par le DMA.
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- Air France va diffuser les contenus Canal+ sur tous ses vols long-courriers à partir du premier mai
Air France va diffuser les contenus Canal+ sur tous ses vols long-courriers à partir du premier mai
Air France et Canal+ se rapprochent et viennent d’annoncer un nouveau partenariat : le contenu du groupe d’audiovisuel sera bientôt disponible sur les vols long-courriers. Les passagers pourront donc profiter de leur vol pour regarder différents programmes comme Cimetière Indien, D'Argent et de Sang ou encore Versailles. Canal+ vante également la présence de spectacles comiques, de documentaires et de contenus pour enfant.

Une centaine des programmes Canal seront accessibles en version française, mais aussi avec des sous-titres pour les personnes sourdes et malentendantes. La sélection sera renouvelée régulièrement avec vingt nouveaux contenus chaque mois. Tout cela sera disponible dès le premier mai, et le catalogue s’enrichira de contenus CANAL+ Afrique (comme la série Niabla ou le magazine documentaire Enquête d’Afrique) au mois de juin prochain.
En s’associant à CANAL+, acteur majeur de la création audiovisuelle en France, Air France continue de faire rayonner le savoir-faire français à travers le monde entier. Un engagement fort de la compagnie qui consacre 30% de son offre de divertissement aux productions françaises, à travers sa sélection de films et de séries.
Selon Les Échos, Air France n’écarte pas la possibilité de permettre aux passagers de s’abonner à la plateforme à un tarif préférentiel à l’avenir. Les termes du contrat n’ont pas été donnés, mais on sait qu’une partie des contenus seront achetés tandis que l’autre sera offerte en échange de visibilité sur les 38 000 écrans de la compagnie.

Air France profite de son communiqué pour mettre en avant le déploiement de ses nouveaux systèmes de divertissement Bluetooth embarquant une interface tactile revue accessible en 12 langue. Tous les avions ne sont malheureusement pas encore équipés : si vous avez prévu un vol long-courrier prochainement, rappelons l’existence du AirFly de Twelve South, un petit dongle permet de connecter plusieurs paires d’AirPods à un seul écran pour regarder une série à plusieurs. L’accessoire évite également les problèmes de latence qui peuvent survenir sur certains écrans Bluetooth au fil du visionnage.
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Refurb : des Mac mini M4 de retour entre 590 et 3 700 €
Il y a de nouveau un très bon choix de Mac mini M4 en reconditionné chez Apple. La précédente vague datait du début avril et il n'y avait pas autant de configurations, notamment à partir de 2 000 €.
La fourchette des prix est tout aussi grande, on dispose en outre de processeurs M4 Pro. Ce sont les meilleurs prix du moment puisque les promotions sont en berne en ce moment à la Fnac ou symboliques chez Amazon (-50 €) sur ce petit Mac.
- Mac mini M4 en 16/256 Go à 589 € (-110 €)
- Mac mini M4 en 16/256 Go et 10 Gigabit Ethernet à 689 € (-135 €)
- Mac mini M4 en 16/512 Go à 789 € (-140 €)
- Mac mini M4 en 24/256 Go à 789 € (-140 €)

- Mac mini M4 en 24/512 Go à 989 € (-210 €)
- Mac mini M4 en 24/1 To à 1 179 € (-270 €)
- Mac mini M4 Pro (CPU 14 cœurs, GPU 20 cœurs) en 24/1 To à 1 759 € (-440 €)
- Mac mini M4 Pro (CPU 12 cœurs, GPU 16 cœurs) en 48/1 To à 1 959 € (-490 €)
Il y a 5 autres configurations encore dans la zone des 2 000 €. Et puis il y a toujours un modèle à presque 4 000 € qui ne trouve pas preneur depuis des semaines et des semaines…
- Mac mini M4 Pro (CPU 12 cœurs, GPU 16 cœurs) en 24/8 To à 3 719 € (-980 €)
Choisissez la couleur du tee-shirt des 25 ans de MacGeneration !
Chose promise, chose due, voici venue l’heure de choisir la couleur du tee-shirt des 25 ans de MacGeneration. Avec la tasse et la gourde, ce tee-shirt est l’un des trois goodies que vous pouviez choisir en soutenant la campagne de sociofinancement de notre magazine, dont le bouclage bat son plein.
La tradition voudrait que nous fabriquions un tee-shirt orange, mais entre la sérigraphie blanche et la sérigraphie noire, notre cœur balance. Et puis peut-être que vous voudrez régler le problème autrement en choisissant un tee-shirt bleu marine, rouge, ou tout simplement blanc. À vous de décider ! Le coloris gagnant sera envoyé aux contributeurs du projet Ulule, bien sûr, mais sera aussi vendu dans notre propre boutique.













