Apple dévoile son MacBook Pro M5 de 14 pouces

Depuis quelques années, la diffusion de la télévision en hertzien est en perte de vitesse, et la majorité des téléspectateurs passe par des offres qui diffusent les chaînes de télévision par IP, que ce soit à travers la box d'un opérateur ou avec les offres dites OTT, qui dépendent d'un fournisseur (Molotov, Canal+, etc.). Ces différentes solutions manquent de standardisation : elles nécessitent dans la majorité des cas un boîtier dédié ou une application pensée pour un service précis. Il existe pourtant une solution, qui va être testée en France : le DVB-I.
Les normes DVB — Digital Video Broadcasting — standardisent la technologie pour diffuser du contenu. La TNT, par exemple, passe par le DVB-T ou le DVB-T2, avec des réglages optimisés pour une diffusion hertzienne. Le DVB-C cible le câble, le DVB-S le satellite… et le DVB-I la distribution par IP. Sur le concept, l'idée est simple : plutôt que de se reposer sur des applications ou des boîtiers pensés pour des flux transmis de façon propriétaire, le DVB-I permet à n'importe quel appareil compatible — un téléviseur, un boîtier externe, une application, etc. — d'accéder à des flux standardisés. Dans un téléviseur, l'accès au DVB-I s'effectue de la même manière que pour la TNT, avec la télécommande et sans passer par une app dédiée. La seule contrainte vient évidemment de la connexion : le débit doit être suffisant pour recevoir le flux vidéo.
Les détails sur l'expérimentation ne sont pas encore connus, et il y a donc de nombreuses inconnues sur le sujet pour le moment. Mais une diffusion des chaînes de la TNT en DVB-I permettrait à de nombreuses personnes d'accéder facilement aux chaînes de télévision principales sans devoir payer un abonnement dédié, tout en simplifiant la mise en place par rapport aux offres existantes. Reste à voir si les opérateurs principaux suivront, étant donné qu'ils tendent à mettre en avant leurs box et leurs offres permettant d'accéder à la télévision sur n'importe quel appareil.
Par ailleurs, de nombreuses technologies du même type ont été abandonnées avec le temps, ou sont très peu utilisées, comme le HbbTV. Mais le DVB-I a l'avantage d'être standardisé depuis plusieurs années et pourrait donc être le moyen choisi pour pallier un éventuel arrêt de la diffusion hertzienne, dont la survie au-delà de 2030 est toujours en sursis.
Quel avenir pour la TNT face à l'ogre de la téléphonie mobile ?
Les taxis noirs londoniens ont du souci à se faire : Alphabet a annoncé que ses taxis autonomes Waymo arriveraient dans la capitale britannique en 2026. S’ils sont disponibles dans une poignée de villes américaines, ils ne sont sinon pour le moment prévu qu’au Japon. Il s’agira donc de sa première incursion en Europe.
Une période de test va commencer à Londres prochainement avec un conducteur derrière le volant. L’idée est de récolter un maximum de données en attendant d’obtenir les autorisations gouvernementales nécessaires. Une fois le déploiement officialisé, il sera possible de commander un taxi via l’app Waymo, bien que la flotte de véhicules sera suivie par une entreprise appelée Moove (qui gère également cet aspect aux États-Unis).
Waymo affirme avoir des « liens forts » avec le Royaume-Uni, ayant des centres d’ingénieurs à Londres et Oxford. Elle proposera des taxis électriques de la marque britannique Jaguar Land Rover. La montée en puissance de Waymo se déroule bien : l’entreprise a doublé ses trajets hebdomadaires en moins d'un an, le tout avec un nombre limité d’accidents.
Apple, avec la réussite de ses puces M1 en 2020, a visiblement inspiré de nombreux fabricants : après Nvidia, dont les puces ARM pour PC devraient sortir cette année, un autre géant du domaine, AMD, serait sur les rails pour proposer un système sur puce ARM, AMD.
Sound Wave serait un APU, un système sur puce qui intègre CPU et GPU (processeur et partie graphique) dans le jargon d'AMD. La taille de la puce — 32 x 27 mm selon Igor's Lab — implique qu'il s'agit d'un composant d'entrée de gamme. Les rumeurs actuelles parlent d'un CPU en 2+4 — deux cœurs performants, quatre basse consommation — couplé à un GPU RDNA3 (la partie graphique des Radeon 7000 ou des Ryzen intégrés dans les consoles) avec quatre unités. C'est là encore une valeur assez basse : les Ryzen intégrés dans les consoles portables modernes ont généralement douze ou seize unités, et seule la puce Z1 basique n'en a que quatre… et montre rapidement ses limites.
AMD est historiquement une société spécialisée dans les puces x86, mais ce n'est pas la première fois qu'elle se penche sur le jeu d'instructions ARM. Il y a un l'Opteron A1100 (en 2016), basé sur des cœurs ARM sous licence, mais aussi l'AMD K12. Ce composant, jamais sorti, devait être un cœur ARMv8 maison. Pour le moment, rien ne permet de savoir si AMD va employer des cœurs ARM sous licence (c'est le cas le plus probable tout de même) ou si l'APU (qui n'a pas été annoncé officiellement) va intégrer des cœurs maison.
Dans tous les cas, cette puce Sound Wave semble être très nettement en deçà des composants d'Apple, Nvidia ou Qualcomm sur le plan des performances, mais AMD pourrait cibler le marché des PC portables d'entrée de gamme ou tout simplement le monde l'embarqué avec sa puce. Pour de nombreux usages (téléviseurs, boîtiers multimédias, machines à sous1), une puce compacte, peu onéreuse et dotée d'une partie graphique AMD pourrait trouver son public.
De façon un peu étonnante, de nombreuses machines à sous modernes intègrent des composants AMD, dans des variantes spécifiques pour répondre aux contraintes de ce marché. ↩︎
Cela n’a pas tardé : Orange, Bouygues Telecom et Free ont proposé d’acheter et de se partager SFR pour 17 milliards d’euros, Altice a annoncé avoir « immédiatement rejeté » l’offre dans un message envoyé à ses employés et consulté par l’AFP (via). L’acquisition ne se fera pas, du moins pas dans les termes actuels du contrat. En effet, dès hier on pressentait que l’entreprise allait rejeter la première offre afin de faire monter les enchères, alors ce refus est peut-être simplement la première phrase des négociations.
« Nous vous confirmons avoir reçu hier soir une offre indicative pour une partie des actifs d’Altice France. Cette offre a été immédiatement rejetée », a écrit dans ce message Arthur Dreyfuss, l’actuel PDG d’Altice, à destination de ses salariés. Il ne ferme pas la porte à une nouvelle offre ou à l’idée même de vendre, c’est un projet qui mûrit depuis quelques mois pour son entreprise, mais l’offre actuelle ne convient pas. On verra dans les prochains jours si les trois opérateurs répondront avec quelques milliards de plus.
Le blocage pourrait aussi être politique. En tout cas, le tout nouveau ministère de l’Économie et des Finances a indiqué aujourd’hui qu’il allait être « extrêmement vigilant ». La principale crainte d’un retour à trois opérateurs est un retour en même temps aux hausses de prix. Roland Lescure insiste aussi sur un éventuel « impact sur la qualité de service », si l’acquisition était menée à bien.
Retour à trois opérateurs en France : la fin de la guerre des prix ?
C’est la grande nouvelle dans le monde des télécoms français : Orange, Bouygues Telecom et Free ont présenté hier une offre à 17 milliards d’euros pour se partager SFR. Si cette offre était acceptée par Altice, maison-mère du fournisseur d’accès à internet et opérateur mobile au carré rouge, et surtout validée par les autorités compétentes, cela reviendrait à un retour à trois opérateurs majeurs en France. Une situation que l’on n’a pas connu depuis l’arrivée de Free Mobile en 2012 et ce retour laisse craindre une hausse des prix, après des années de baisses permises par la concurrence entre quatre acteurs.
Le Monde revient sur le sujet en rappelant que les prix moyens ont chuté de 90 % sur mobile et 30 % sur les lignes fixes entre 2012 et aujourd’hui. La baisse a clairement été lancée par l’arrivée d’un quatrième opérateur et elle s’est maintenue jusqu’à récemment et notamment grâce à RED, la filiale low-cost de SFR qui a l’habitude de régulièrement casser les prix. Rien qu’entre janvier 2024 et octobre 2025, Ariase indique que le prix moyen d’un forfait avec 20 Go de data est ainsi passé de 17,3 € à 12,76 €, ce qui prouve bien que la répartition actuelle du marché tend à faire baisser les prix.
On l’a encore vu ces derniers jours d’ailleurs, avec cette fois Sosh qui a lancé l’offensive sur les forfaits destinés aux grands voyageurs. Grâce à son offre à 15,99 € par mois pour 40 Go depuis 130 pays, l’opérateur sans engagement d’Orange a bousculé l’équilibre et forcé Bouygues Telecom à réagir dans la foulée. Jusqu’ici, Free Mobile était le champion de l’itinérance incluse et on imagine que l’opérateur de Xavier Niel réagira à son tour. SFR suivra probablement, voire en ajoutera une couche en allant encore plus loin, ce qui devrait être positif pour les clients à l’arrivée.
Sosh annonce un forfait avec 200 Go de 5G en France et 40 Go de data depuis 130 pays pour 15,99 €
Bouygues lance un nouveau forfait voyage incluant 300 Go en France et 40 Go à l’étranger
Ces mouvements ne sont pas réservés à l’univers mobile. Les connexions à internet fixes françaises sont parmi les plus rapides et les moins chères au monde, grâce tout d’abord à une large couverture en fibre optique (plus de 90 % des foyers couverts) et à cette concurrence entre les quatre FAI. On peut évoquer l’offre Pure fibre lancée il y a près d’un an par B&You, la branche moins chère de Bouygues Telecom. En se concentrant sur la fibre seule et en cassant les prix au passage, l’entreprise a forcé ses concurrents à réagir en améliorant leurs offres ou en baissant leurs propres tarifs.
Perdra-t-on ces mouvements bénéfiques aux consommateurs avec un retour à trois acteurs ? Les autorités de la concurrence vont se pencher sur le dossier pour s’assurer que ça ne sera pas le cas et Le Monde cite aussi Marc Ferracci, ancien Ministre de l’Industrie qui indiquait cet été rester très attentif à la « protection des consommateurs » dans ce domaine. On imagine qu’une vente ne se ferait qu’en l’échange de garanties de la part des trois acquéreurs, qui ont d’ailleurs pris les devants. Dans la communication associée à leur offre, Orange, Bouygues Telecom et Free ont ainsi expliqué que leur objectif était de « préserver un écosystème concurrentiel au bénéfice des consommateurs ».
L’Arcep, le gendarme français des télécoms, se voulait aussi optimiste en relevant au printemps dernier que les acteurs français ont des marges confortables (26 à 40 % en 2024) et un vrai savoir-faire qu’ils déploient ailleurs en Europe. Une manière de dire qu’ils ne sont pas en difficulté et n’auront pas besoin d’augmenter leurs prix pour survivre, ce qui ne veut pas dire qu’ils ne le feront pas pour autant. D’ailleurs, nos confrères rappellent en conclusion que les trois opérateurs mobiles de l’époque (Orange, Bouygues et SFR) avaient été reconnus coupables d’entente pour maintenir leurs prix élevés au début des années 2000.
À l’époque, les trois entreprises avaient payé une amende record de 534 millions d’euros et ce procès avait été l’un des moteurs pour favoriser l’entrée sur le marché de Free Mobile. Autant dire que si l’opération est menée à bout, les trois opérateurs restants seront probablement scrutés par les autorités compétentes.
TF1 cherche de nouveaux moyens de monétiser les matchs qu’il diffuse et travaille sur un nouveau système de micro-paiement. Dans une interview accordée à l’Équipe, le PDG de TF1 Rodolphe Belmer a annoncé vouloir lancer ce modèle d’ici la fin de l’année. Il permettra de regarder des rencontres sans pubs sur la plateforme TF1+ contre un paiement unique.
En pratique, il sera possible de payer 1 € pour couper les publicités à la mi-temps et après le match. Celles-ci seront remplacées par « des contenus du type analyses, inside, interviews ». La fonctionnalité devrait être prête d’ici Noël et sera gratuite pour les abonnés premium. TF1+ est gratuit avec un abonnement Premium supprimant la pub actuellement facturé 6 € par mois ou 60 € par an.
Le PDG est également revenu sur l’accord signé cet été avec Netflix. Pour rappel, la plateforme américaine ajoutera les chaînes du groupe TF1 ainsi que les contenus à la demande de TF1+ à son catalogue à partir de l’été 2026. La question des droits sportifs pourrait, à terme, donner lieu à des investissements communs : il imagine qu’une partie des rencontres pourrait être retransmise sur la plateforme de son partenaire, tandis que les événements majeurs resteraient diffusés en clair sur les antennes du groupe. « Cela arrivera un jour ou l’autre », anticipe-t-il.
Netflix va diffuser les séries, émissions et rencontres sportives de TF1
L’idée est évoquée alors que l’UEFA a lancé un appel d’offres pour 2027-2030, la Ligue des champions étant réservée pour la première fois à un acteur mondial comme Netflix ou Amazon. Pour Rodolphe Belmer, il y a une convergence d’intérêts entre les plateformes de streaming et les ayants droit. Les premières cherchent à diversifier leur catalogue au delà des habituelles fictions, tandis que les seconds peinent à croître avec des clients historiques exigeants.
En revanche, un investissement direct dans des droits comme ceux de la Ligue des champions n’est pas sur la table en raison des montants. Canal+ a emporté les prix du dernier appel d’offres pour 480 millions d’euros. « Pour nous, il y a un zéro de trop », déclare-t-il.
Pas besoin d’être un grand sportif pour profiter du capteur de fréquence cardiaque des AirPods Pro 3. L’application gratuite Rythme exploite ce nouveau composant d’une manière originale : elle vous fait écouter les battements de votre cœur.
Après avoir accordé l’accès au capteur, l’app diffuse des sons de pulsations cardiaques calées sur votre fréquence actuelle. Si vous vous mettez à faire des squats pendant l’écoute, le tempo s’accélère presque aussitôt. Mais l’idée n’est pas vraiment de transformer l’expérience en séance de sport, Rythme sert surtout à se détendre en se concentrant sur le rythme de son cœur.
Les battements sont accompagnés d’une animation visuelle synchronisée et de légers retours haptiques sur l’iPhone. Si vous n’avez pas d’AirPods Pro 3, ce n’est pas grave, l’application fonctionne aussi les Powerbeats Pro 2, les Apple Watch et les capteurs Bluetooth. Et si vous n’avez rien de tout ça, vous pouvez simuler un battement de cœur à la cadence de votre choix.
Just released my new app Rhythm where you can listen to your own heartbeat using AirPods Pro 3 (or Apple Watch).
— Mathijs Kadijk (@mac_cain13) October 14, 2025
Link in thread pic.twitter.com/CjZLodrC1c
Cerise sur le gâteau, les séances de relaxation sont enregistrées comme moments de « Pleine conscience » dans l’application Santé. En bref, ludique et relaxante, Rhythme est une application sympathique pour découvrir autrement le nouveau capteur des AirPods Pro 3.
Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur
Apple, dans un communiqué, a annoncé que F1 (le film) allait être diffusé sur le service Apple TV — qui a perdu son + — le 12 décembre 2025. Une date un peu plus tardive que prévue (les premiers retours, début juillet, tablaient vers une mise en ligne en octobre). Mais en France, comme toujours, il faudra attendre. Et pas qu'un peu : la date de sortie officielle est le 25 novembre 2026.
Pour rappel, les États-Unis et de nombreux autres pays n'ont pas de règles totalement gravées dans le marbre. Dans le pays de Tim Cook, l'achat et la location sont disponibles environ 45 jours après la sortie en salle, mais ce délai peut varier si le film n'a pas trouvé son public… ou au contraire si c'est un succès, comme F1, le film. La sortie sur les plateformes de streaming sur abonnement, elle, arrive en général à peu près quatre mois plus tard (128 jours en moyenne aux États-Unis).
Dans nos contrées, le film n'est pas encore disponible à la vente ou à la location : le délai est de 4 mois. Il est en précommande sur de nombreux services, mais sa date de sortie officielle est donc le 25 octobre 2025 (quatre mois après la sortie en salle, le 25 juin 2025). Il est déjà possible de se le procurer en Blu-ray (par exemple) mais en import, dans une version allemande qui ne propose pas la version française. La sortie sur Apple TV (le service), elle n'est a priori pas prévue avant le 25 novembre 2026. Le délai dépend ici des accords avec les services de streaming, et Apple doit attendre dix-sept mois, alors que Disney, par exemple, a obtenu une fenêtre de seulement neuf mois pour Disney+, pour les films de son catalogue. Ce délai dépend de la chorologie des médias et des accords entre les services et le ministère de la Culture : certains services, qui financent notamment la production française, peuvent obtenir un délai plus court que d'autres.
Mise à jour le 15 octobre — Après son lancement limité à l’anglais, Acrobat Studio est maintenant disponible en français. L’abonnement coûte 30,24 €/mois avec engagement d’un an, soit un total de 363 €. Il s’agit d’un tarif de lancement valable jusqu’au 31 octobre. Passée cette date, l’abonnement mensuel augmentera à 42,34 €. Autrement, Adobe propose un abonnement annuel avec paiement en une fois à 359 €. Vous pouvez essayer gratuitement cette nouvelle plateforme de PDF pendant 7 jours.
Article original publié le 20 août — Après avoir insufflé de l’IA générative dans ses logiciels de création graphique, Adobe fait la même chose avec les PDF. L’éditeur lance Acrobat Studio, un nouvel abonnement (forcément…) qui rassemble plusieurs outils pour tirer au maximum parti des nombreux documents qui encombrent les SSD.
La formule comprend l’éditeur avancé de PDF Acrobat Pro, l’application de création tout-en-un Adobe Express et surtout PDF Spaces. Ce nouvel environnement de travail exploite des technologies d’intelligence artificielle pour transformer des collections de fichiers et de sites web en espaces de connaissance interactifs.
Concrètement, après avoir fourni plusieurs (dizaines de) PDF, on peut avoir des résumés, poser des questions sur le contenu ou bien encore créer de nouveaux documents en quelques clics. C’est du Retrieval Augmented Generation (RAG), une méthode pour connecter un modèle de langage à une base documentaire externe, clé en main. On peut définir un rôle spécifique à l’Assistant IA, comme « enseignant » ou « analyste », pour personnaliser ses coups de pouce.
Acrobat Studio est pour l’heure uniquement disponible en anglais. Le tarif de lancement, valable jusqu’au 31 octobre, s’élève à 24,99 $/mois pour les particuliers et 29,99 $/mois pour les équipes. Un essai gratuit de 14 jours est proposé.
Il va y avoir du changement sur YouTube : le lecteur vidéo va gagner un nouveau design. Celui-ci se veut « plus clair et immersif » avec des effets de transparences qui ne manquent pas d’évoquer le Liquid Glass d’Apple. Les icônes et autres contrôles ont été arrondis pour moins cacher le contenu. Ce nouveau lecteur est désormais en cours de déploiement sur ordinateur, mobiles et les TV connectées. Une capture d’écran a été mise en ligne en guise d’avant-goût :
YouTube en a profité pour annoncer d’autres nouvelles améliorations. Les transitions entre les onglets devraient être plus fluides sur mobile, tandis que la fonction permettant d’avancer ou de reculer rapidement dans une vidéo va être modernisée. Le bouton « J’aime » pourra afficher une animation spécifique selon le contenu, par exemple une note de musique sur un clip.
La fonction « Regarder plus tard » va gagner un nouveau design plus fluide simplifiant la manœuvre. Enfin, le système de commentaire a été revu avec des fils de discussions structurés donnant une meilleure expérience de lecture.