Vue normale
-
Mac4Ever
- Après les aspirateurs et les fausses Bugatti, Dreame se lance dans les barres de son Dolby Atmos
France Travail encore victime d’un piratage ! Qui est concerné ?
-
Mac4Ever
- Où revendre son iPhone ? Certideal, solution 100% française spécialiste du smartphone reconditionné
Où revendre son iPhone ? Certideal, solution 100% française spécialiste du smartphone reconditionné
Mares Dive, une nouvelle app de plongée pour l’Apple Watch Ultra
En lançant la première Apple Watch Ultra en 2022, Apple avait beaucoup mis en avant ses capacités en plongée sous-marine, notamment avec l’application Oceanic+. Une nouvelle venue vient lui faire concurrence : Mares Dive.

L’application propose un affichage similaire aux ordinateurs de plongée traditionnels de Mares, ce qui facilitera la transition pour les clients de la marque. On a l’équivalent de la Sirius sur l’Apple Watch Ultra, nous explique notre lecteur François qui a pu la tester. Sous l’eau, Mares Dive affiche de façon bien lisible les informations essentielles : profondeur, durée d’immersion, température de l’eau… Elle calcule la décompression selon l’algorithme Bühlmann ZH-L16C et gère les mélanges d’air enrichi (Nitrox 21 à 50 %).
D’après François, un atout par rapport à Oceanic+ est la prise en compte du rythme cardiaque, lorsque la combinaison ne gêne pas les capteurs de la montre évidemment. L’app présente aussi le CNS % (Central Nervous System), indicateur du taux d’exposition du système nerveux à l’oxygène sous pression.
Une fois revenu à la surface, Mares Dive sert de journal de bord : les plongées sont enregistrées avec des graphiques et la localisation GPS des sites. Dommage que la version iPhone accuse son âge. Mares Dive coute 9,99 €/mois ou 79,99 €/an, des tarifs proches d’Oceanic+.
Pour en savoir plus sur la plongée avec l’Apple Watch Ultra, notre pigiste Olivier a déjà exploré le sujet en profondeur dans trois articles très détaillés :
Plongée avec l’Apple Watch Ultra (1/3) : une préparation claire comme de l'eau de roche
Plongée avec l’Apple Watch Ultra (2/3) : en immersion totale
Plongée avec l’Apple Watch Ultra (3/3) : une grande bouffée d'oxygène
Nvidia dépasse les 5 000 milliards de dollars de capitalisation boursière
Apple rejoint le club très fermé des entreprises valant plus de 4 000 milliards de dollars en Bourse ? Nvidia ne se laisse pas faire et dépasse aujourd’hui les 5 000 milliards de dollars, un record absolu dans l’histoire des marchés financiers.

À l’ouverture de Wall Street, dans l’après-midi à Paris, le titre NVDA s’envolait de 5,45 % pour atteindre 211,99 dollars, propulsant la valorisation de l’entreprise à plus de 5 100 milliards. Pour donner une idée de l’ampleur du phénomène : c’est davantage que Tesla, Meta et Netflix réunis. Et c’est aussi plus que le produit intérieur brut de la France ou de l’Allemagne.
Le concepteur de cartes graphiques avait dépassé les 3 000 milliards en juin 2024 puis les 4 000 en juillet dernier. Nvidia enchaîne les records grâce à sa position privilégiée sur le marché en plein boom de l’intelligence artificielle. Ses puces alimentent en effet la plupart des modèles d’IA générative.

Ces derniers mois, l’entreprise a notamment annoncé un partenariat stratégique avec OpenAI et une prise de participation dans Nokia pour préparer la 6G. Autre élément apprécié des investisseurs : Donald Trump a déclaré aujourd’hui même vouloir discuter avec Xi Jinping d’une possible exportation de puces Blackwell (l’architecture la plus avancée de Nvidia) vers la Chine.
De son côté, Jensen Huang a balayé les critiques sur une éventuelle bulle spéculative autour de l’IA. Selon lui, ses puces de dernière génération sont bien parties pour générer un demi-milliard de dollars de chiffre d’affaires.
Vous allez pouvoir voter en direct sur Netflix. Mais pourquoi faire ?
Le dernier iPad à 335€, son prix le plus bas : la qualité Apple au meilleur prix !
Attention, Google Chrome va imposer le HTTPS par défaut
YouTube va bientôt remastériser les vieilles vidéos en 720p grâce à l’IA
YouTube va utiliser l’IA pour mettre à l’échelle les vidéos plus anciennes et proposer une meilleure qualité sur les téléviseurs. Les contenus sous les 1080p vont donc être passés à la moulinette de l’IA afin de passer à la HD et d’être plus agréables à regarder sur les grandes TV. Les spectateurs comme les créateurs pourront refuser cette nouveauté.
Dans son communiqué, Google annonce avoir pour ambition de mettre à niveau les vidéos jusqu’en 4K par la suite et que les fichiers originaux seront conservés. « Les spectateurs pourront toujours regarder les vidéos des créateurs dans la résolution d'origine, car la super résolution sera clairement indiquée dans les paramètres », précise l’entreprise. Comme l’explique la fiche d’assistance, les créateurs peuvent s’opposer à cette amélioration automatique en se rendant sur YouTube Studio.
Un tel système d’upscaling n’est pas nouveau, et on l’a par exemple déjà vu à l’œuvre sur la NVIDIA Shield ou sur de nombreuses marques de TV. YouTube a confirmé à The Verge que le changement ne concernera que les vidéos envoyées en 240p jusqu’à 720p, et donc pas aux vidéos déjà remastérisées numériquement par les créateurs.
D’autres changements sont à noter, comme le fait que les vignettes pourront désormais peser jusqu’à 50 Mo pour un meilleur rendu sur les écrans 4K. Sur les TV, des aperçus immersifs vont apparaître sur la page d’accueil afin de faciliter la navigation. La recherche devrait également être améliorée pour favoriser les vidéos d’une chaîne visitée sur la page de celle-ci.
Mis à part cela, la plateforme essaye également un envoi de fichiers plus larges pour une poignée de créateurs à des fins de tests. Elle va sinon déployer un système de code QR pour les vidéos dédiées au shopping, permettant aux spectateurs de facilement acheter un produit vu sur leur TV.
-
MacG.co
- Pico-Banana-400K : Apple publie un énorme jeu de données pour apprendre à retoucher les photos par texte
Pico-Banana-400K : Apple publie un énorme jeu de données pour apprendre à retoucher les photos par texte
Malgré les fortes turbulences dans le domaine, Apple continue de plancher sur l’IA et vient de publier Pico-Banana-400K. Il s’agit d’un jeu de données comportant 400 000 exemples d’édition d’images guidée par texte. Il a été pensé pour améliorer les systèmes d’IA visant à retoucher des photos depuis une demande textuelle.

Apple explique avoir suivi avec intérêt l’évolution des modèles permettant d’éditer une photo avec du texte, citant par exemple les travaux de Google ou d’OpenAI. Cependant, elle note que les progrès ont pu être limités par l’absence de données d’entraînement tirées de vraies photos. Le but de Pico-Banana-400K est donc de corriger le tir avec un corpus massif, proprement annoté et construit sur d'authentiques clichés plutôt que sur des images artificielles générées de toutes pièces.
Pour cela, Apple a utilisé la base de données Open Images avant de les passer à la moulinette de Gemini-2.5 Flash. Celui-ci suggère des modifications (« change la couleur du ciel ») avant que le Nano-Banana de Google s’exécute. Gemini-2.5 Pro juge ensuite du résultat et met de côté les plus qualitatifs. Les résultats jugés trop insuffisant ne sont pas jetés, et Apple en a gardé environ 56 000 pour l’alignement de modèles, c’est-à-dire pour apprendre ce qui est bon et ce qui est moins bon.

Le jeu comporte 35 catégories différentes. On y trouve des retouches simples (ajoute un objet, change une couleur) ou des transformations plus globales (change la météo). Sont également inclus des cas dans lesquels le style graphique ou le texte affiché sont modifiés. Il inclut aussi 72 000 dialogues d’édition multi-étapes, où une image est modifiée tour après tour. L’étude permet de voir que Nano-Banana n’est pas infaillible : s’il s’en sort bien 93 % du temps pour changer un style, la modification de texte ou le changement de place d’un objet ne fonctionne pas plus de 40 % du temps.
Apple mentionne dans le papier que fabriquer Pico-Banana-400K a coûté environ 100 000 dollars et que l’ensemble du corpus a été généré quasi intégralement sans annotation humaine manuelle. La base de données peut être téléchargée sur GitHub et est sous licence gratuite pour une utilisation non commerciale.
Apple rejoint le conseil consultatif des Game Awards

Quelle folle somme Apple a dépensé en lobbying contre Bruxelles ?
Crédit à la consommation sur l’Apple Store : une affaire qui roule pour Cetelem
« À partir de 1 329 € ou 55,38 €/mois par mois pour 24 mois à 0 % taux débiteur. » Depuis le début de l’année, Apple met en avant dans tous les recoins de sa boutique en ligne des crédits à la consommation, dont un financement à taux zéro. Ce programme proposé en partenariat avec Cetelem est censé s’achever le 31 décembre 2025, mais il pourrait bien être reconduit au-delà.
L’opération a déjà été prolongée plusieurs fois, et pour cause, elle fait du chiffre. Dans son rapport financier portant sur le premier trimestre 2025, BNP Paribas, maison mère de Cetelem, notait une « hausse régulière des prêts personnels (production +9% / 1T24) avec les 1ers effets du déploiement du partenariat avec Apple en France. »

Trois mois plus tard, nouveau signe de satisfaction de la banque : « Hausse régulière du crédit à la consommation BtoC (production +3% / 2T24) et effet très positif du déploiement du partenariat avec Apple en France dans le retail ». Et le succès ne s’est pas démenti au troisième trimestre : « Très bonne dynamique sur le crédit à la consommation B to C (production +9,0% / 3T24) et poursuite du déploiement très positif du partenariat avec Apple en France dans le retail. »
La précédente initiative du genre n’avait pas duré si longtemps. En 2022, Apple avait collaboré avec un autre acteur, Alma, pour proposer le paiement en plusieurs fois d’un iPhone, d’un iPad ou d’un autre produit. L’opération n’avait duré que trois mois — une conséquence du lancement des nouveaux iPhone perturbé par un dysfonctionnement du côté d’Alma ?
Pour en revenir au partenariat actuel, Apple prend à sa charge les intérêts habituels, misant sur le volume des ventes pour compenser le coût de l’opération. Pour Cetelem, c’est un moyen de mettre le grappin sur des consommateurs supplémentaires. « Une fois que [les clients] ont téléchargé notre application sur leur téléphone, il est ensuite possible de leur proposer d'autres produits comme des prêts personnels, des prêts à la rénovation énergétique, etc. », avait expliqué Franck Vignard, directeur général de BNP Paribas Personal Finance, aux Échos.
Les clients d’Apple sont d’autant plus intéressants qu’ils dépensent plus que la moyenne. Dans ce groupe, le montant moyen d’un crédit à la consommation pour un smartphone tourne autour de 700 €, contre 1 200 € lorsqu’il s’agit d’un iPhone. Outre le crédit à 0 % qui permet d’étaler sans frais le paiement d’un iPhone ou d’un autre appareil sur 24 mois maximum, Cetelem propose aussi sur l’Apple Store un crédit plus long soumis à des frais de 14,01 %. Il ne faut pas se tromper d'offre, car la facture finale n'a rien à voir.
Apple Music prépare-t-elle de nouvelles fonctionnalités ?
AirPods Pro 3 : des utilisateurs signalent un sifflement strident en avion. Et vous ?
Quand le partage familial d’Apple devient une arme de surveillance
En 2014, Apple inaugurait le partage familial avec iOS 8 : la fonction permet de créer un groupe regroupant plusieurs comptes Apple. Elle s’est petit à petit imposée comme contrôle parental et permet également de retrouver les objets d’un proche égaré. Si l’idée est bonne et en a aidé plus d’un, elle peut aussi se retourner contre l’utilisateur quand la famille éclate. Une mère de famille a fait part de son expérience désastreuse après une rupture en très mauvais terme auprès de Wired.

Son ex-mari a utilisé le partage familial pour surveiller de près ses anciens proches, refusant de dissoudre le groupe après la séparation. Il vérifiait les déplacements des enfants, relevait le temps qu’ils passaient devant les écrans et imposait des limites draconiennes lorsqu’il n’en avait pas la garde. Les informations remontées par Apple permettaient de poser des questions sur leurs déplacements et d’exercer des pressions. « C'était effrayant et incroyablement frustrant de réaliser que nous n'étions toujours pas libres », explique-t-elle.
Or, sans consentement, il n’est pas possible de transférer les enfants vers un autre groupe. « J'ai supposé à tort qu'en tant que parent ayant la garde avec une ordonnance du tribunal, je pourrais demander à Apple de transférer mes enfants vers un nouveau groupe familial, dont je serais l'organisateur », confie la mère de famille. Apple n’a rien pu faire : l’assistance lui a indiqué que l’organisateur tenait les rênes, même dans de telles circonstances. Les enfants ont finalement réussi à faire pression sur leur père pour qu’il abandonne le groupe, leur permettant d’en créer un nouveau.

La mère de famille interrogée regrette principalement le fait que les groupes familiaux n’aient qu’un seul organisateur, laissant l’un des deux parents en position de faiblesse. Apple propose bien de changer le groupe d’un enfant, mais il faut le consentement du responsable de l’ancien groupe. « Apple et les entreprises similaires doivent de toute urgence mettre en place de meilleures politiques en matière de rupture familiale. Une décision de justice devrait suffire à Apple pour passer outre la décision d'un groupe familial et transférer des mineurs vers un autre groupe », estime-t-elle.
Pour rappel, le partage familial permet de gérer plus facilement des achats sur l’App Store ou iTunes. Il donne également quelques fonctions partagées dans certaines apps, comme une liste de rappels, un calendrier ou un album de photos commun que tout le monde peut modifier. Dans des cas si extrêmes, la solution la plus simple est d’abandonner son compte Apple pour en créer un nouveau. La démarche rend cependant inaccessibles tous les achats et autres souvenirs enregistrés sur les serveurs d’Apple.
Xcode fait craquer macOS Tahoe
Depuis l’installation de macOS Tahoe, des Mac cassent les oreilles de leurs utilisateurs. Des clients se plaignent en effet de craquements ou de grésillements provenant des haut-parleurs lorsqu’ils écoutent de la musique ou tout autre son. Rien à voir avec une panne matérielle subite : le problème est lié à Xcode.
Anyone else having these insane audio stutters/cracks on macOS 26 as well?
— Frederik Riedel ❄️ (@frederikRiedel) September 26, 2025
FB20391379 pic.twitter.com/ycSFFDkWth
Comme l’explique le développeur Sina Mirzaei, le bug a trait spécifiquement au simulateur d’iPhone sur macOS 26. Quand plusieurs simulateurs sont exécutés, ils saturent tellement le CPU et les entrées/sorties que Core Audio (le framework qui gère le son) ne suit plus et provoque des grésillements sonores.
Pour résoudre soi-même le problème, une des solutions consiste à soulager le processeur en supprimant les périphériques virtuels inutilisés dans Xcode. Autre méthode : forcer l'arrêt du processus Core Audio en saisissant sudo killall coreaudiod dans le Terminal. Le bug a été signalé à Apple et devrait être corrigé avec macOS 26.1, attendu prochainement en version finale. Il n'est pas mentionné dans la liste des nouveautés, mais Apple ne prend la peine de détailler tous les bugs corrigés.
Si ce problème de grésillements sonores est apparu chez certains avec macOS Tahoe, d’autres, comme notre développeur Artem, en souffrent depuis plusieurs années déjà. Forcer l’arrêt du processus Core Audio règle parfois le souci, mais ce n’est pas une solution universelle.
Où va-t-on ? La première IA ministre est "enceinte" de 83 assistants numériques
Amazon brade le MacBook Air M4 avec 24Go de RAM et 512Go de SSD à 1347€ !
Vous en rêviez, Samsung le crée !
![]()
Samsung vend des réfrigérateurs avec des écrans connectés depuis des années, certains même utilisant de l'IA pour surveiller le contenu et vous offrant la possibilité de commander sur Amazon, entre autres fonctionnalités bling-bling.
Un progrès manifeste, une invention qui a fait avancer l'humanité, ou comme pourrait dire Jérôme Bonaldi : "c'est totalement inutile et donc rigoureusement indispensable".
Samsung vient d'annoncer que maintenant ses ordinateurs connectés, qui produisent aussi du frais, du froid et des glaçons, afficheraient par défaut des publicités!
Il faut bien noter qu'en cherchant dans les menus, cet affichage de publicité peut être désactivé.
Mais quel progrès pour l'humanité! Merci Samsung!
-
MacG.co
- Alors que Free TV veut devenir la référence, Orange TV et b.tv+ arrivent sur de nouveaux téléviseurs
Alors que Free TV veut devenir la référence, Orange TV et b.tv+ arrivent sur de nouveaux téléviseurs
Fini de jouer tout seul dans son coin. En élargissant d’un coup son service à tout le monde, Free veut faire de Free TV « l’application de télévision de référence. » Molotov, mais aussi l’app Canal+, sont donc dans la ligne de mire de l’opérateur. « Free TV va continuer à évoluer et s’enrichir. L’offre d’aujourd’hui ne sera pas celle de demain. On va éditorialiser, ajouter des contenus en lien avec l’actualité et les événements », a déclaré Nicolas Thomas, directeur général de Free, au site spécialisé Média+.

Le trublion assure avoir toutes les cartes en main pour réussir : « Nous avons la chance d’avoir une grande expertise interne en matière de diffusion télé, de plateformes et de streaming, ce qui nous permet d’innover à un coût probablement inférieur à celui d’autres acteurs. » Il faut dire que Free TV n’est pas sorti de nulle part. L’application succède à OQEE, que l’opérateur avait pris soin de déployer sur de nombreuses plateformes, même le Vision Pro, c’est dire ! Le défi sera désormais d’absorber l’afflux d’utilisateurs attirés par la gratuité, alors qu’OQEE se limitait aux abonnés Freebox et Free Mobile.
D’ailleurs, comment l’opérateur compte-t-il rentabiliser son service ? « D’abord, cela renforce la notoriété de la marque, attire de nouveaux utilisateurs vers nos offres box ou mobile. Ensuite, il y a la publicité, notamment sur Free Ciné », explique le dirigeant. Et puis il y a une offre payante, à 0,99 €/mois pendant un an puis 5,99 €/mois, qui comprend des chaînes supplémentaires, dont celles de TF1 et M6.
Même restreint à la formule payante, TF1 n’a pas goûté d’être embarqué d’office dans Free TV. France Télévisions, présent dans l’offre gratuite, partage le même agacement. Les deux groupes veulent renégocier leur contrat avec Free maintenant que la donne n’est plus la même en matière de disponibilité.
Lancement de Free TV : Free surpris que TF1 et France TV soient surpris
Hasard du calendrier, juste après l’offensive de Free, Orange et Bouygues Telecom ont eux aussi élargi la portée de leur télévision maison. Orange TV est désormais disponible sur les téléviseurs connectés Philips commercialisés à partir de 2024, tandis que b.tv+ s’installe sur les Smart TV LG, Sony, TCL et toutes les marques sous Android TV. Mais à la différence de Free TV, ces deux services restent réservés aux abonnés respectifs d’Orange et Bouygues.
Les AirPods 4 en promo dès 137€ : leur prix le plus bas depuis le lancement !
-
MacG.co
- Nvidia : on peut enfin connecter une carte RTX à un Mac Apple Silicon, mais uniquement pour de l’IA
Nvidia : on peut enfin connecter une carte RTX à un Mac Apple Silicon, mais uniquement pour de l’IA
Le passage d’Intel à ARM a marqué la fin de la compatibilité avec les eGPU, mais tout n’est pas terminé : des bricoleurs ont récemment réussi à relier une des dernières cartes graphiques d’AMD à un Mac M3 pour accélérer l’IA. La startup ayant réalisé cet exploit a remis le couvert il y a peu, cette fois-ci avec une carte NVIDIA sur un MacBook Pro M3 Max.
NVIDIA over USB4 on MacBook is ready to try!
— the tiny corp (@__tinygrad__) October 20, 2025
* ADT-UT3G dock + any 30/40/50 series GPU
* Disable SIP
* Install driver `extra/usbgpu/tbgpu`
* Install NVK compiler `brew install tinymesa`
* Test with:
`DEBUG=2 NV_NAK=1 NV=1 python3 test/test_tiny.py TestTiny.test_plus` pic.twitter.com/bWVVmC4x8E
La progression est intéressante par rapport à leur première expérience du mois de mai. TinyCorp n'a pas détaillé l'ensemble du processus technique, mais montre que la connexion se fait désormais via de l’USB4 et du Thunderbolt 4 aux débits plus élevés. Le tout repose sur le framework open source de TinyCorp, relié à la carte par un dock USB4.
La démarche peut faire envie, mais le logiciel se limite aux tâches d’IA. Cela sera donc très bien pour faire tourner des modèles d'intelligence artificielle générative ou en former sans avoir à faire appel à des serveurs externes, mais pas pour jouer. Il n’y a pas de prise en charge de l'affichage ou une quelconque accélération vidéo.
La solution est fonctionnelle, mais impose quelques contraintes. Le pilote ne prend en charge que les cartes de série 30/40/50 et implique d’avoir un peu de matériel sous la main (notamment une station d’accueil coûtant 200 €). Selon les développeurs, une version Windows serait assez facile à porter.
La prouesse reste impressionnante et pourrait séduire encore plus les aficionados de l’IA en local, bien qu’on imagine que les futures puces M5 Pro et M5 Max mettront le paquet sur le sujet. Apple a ajouté des accélérateurs neuronaux aux cœurs GPU de la génération M5, qui viennent donner un coup de fouet aux performances d’IA. Les améliorations sont déjà solides sur le « simple » iPad Pro à puce M5.
Un iPad mini résistant à l’eau, une idée qui nage dans le bon sens
Les fans d’iPad mini ont de quoi se réjouir. Si l’on en croit Mark Gurman, Apple prépare une nouvelle version (c’est déjà une bonne nouvelle en soi) qui sortira dès l’année prochaine (autre bonne nouvelle, tant les mises à jour sont irrégulières) et qui profitera d’un écran OLED (!). Mais ce n’est pas tout. Cet iPad mini 2026 pourrait aussi avoir quelque chose d’unique : il ne craindrait pas l’eau.

Le reporter de Bloomberg affirme en effet qu’Apple a testé un nouveau boîtier résistant à l’eau. Celui-ci serait notamment dépourvu des habituels trous pour les haut-parleurs. À la place, la tablette aurait un nouveau système de haut-parleurs utilisant une technologie basée sur les vibrations, afin d’éviter les infiltrations.
Si Mark Gurman reste assez prudent, cette évolution a du sens en tout cas. Comme l’a rappelé notre lecteur Link1993 dans les commentaires d’un précédent article, l’iPad mini est très populaire dans des environnements professionnels exigeants. À l’aide d’applications spécialisées, comme ForeFlight ou Garmin Pilot, la petite tablette sert d’ordinateur de bord dans les cockpits d’avion. En mer, elle sert d’écran de navigation avec Garmin ActiveCaptain, par exemple. Dans ces milieux où les éléments ne sont pas toujours cléments, une résistance accrue serait un atout appréciable — même si les utilisateurs ont déjà pris l’habitude de protéger leur tablette avec une coque.
Et même en dehors de ces usages spécifiques, l’intérêt est évident pour de nombreux utilisateurs. À l’image de l’iPhone (qui n’a pas peur de l’eau depuis des années), l’iPad mini est un appareil qu’on emmène partout avec soi. C’est une excellente liseuse à la plage ou au bord d’une piscine, notamment. Une meilleure protection contre l’eau — et contre la poussière au passage — permettrait de l’utiliser l’esprit vraiment tranquille dans encore plus de contextes.
L’iPad mini actuel a un indice de protection IP42 (comme les autres iPad), ce qui signifie qu’il ne craint pas les corps solides supérieurs à 1 mm ni les gouttes d’eau tombant jusqu’à 15° de la verticale. À titre de comparaison, les iPhone récents affichent un indice IP68, garantissant qu’une immersion à plusieurs mètres de profondeur de 30 minutes maximum ne pose pas de problème.
« Le premier iPad protégé contre les liquides » : la déclaration d’Apple qui intrigue