Vue normale
A moins de 20€, cette boule de Noël connectée sera parfaite dans votre sapin !
Notices médicaments se refait une santé en passant au Liquid Glass et à SwiftUI
Grosse mise à jour pour Notices médicaments : l’app a été réécrite en Swift UI et adopte au passage la nouvelle interface Liquid Glass d’iOS 26. Ce programme destiné aux patients liste les notices des médicaments commercialisés en France. Il a l’avantage de pouvoir être utilisé en mode hors-ligne.

Notices médicaments permet d’accéder à plus de 12 000 notices avec une recherche par scan, d’indication de référents ou de génériques équivalents ainsi qu’un système de signets. L’utilitaire est bien intégré à l’écosystème Apple étant donné qu’il fonctionne avec Spotlight, qu’il est optimisé pour iPad et qu’il prend en charge la synchronisation entre les appareils.
La mise à jour apporte une recherche par nom plus souple, comprenant les approximations phonétiques ou les recherches par préfixe. L’app a gagné des effets de transparence et un historique sur la page d’accueil. Il est désormais possible de faire des recherches dans les notices affichées, ce qui n’était pas le cas auparavant.

Notices médicaments est donc une chouette boîte à outils développée par le français Simon de Bernard. Elle repose sur le contenu des notices mis à disposition par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et par l'Agence européenne des médicaments (EMA). Elle est téléchargeable gratuitement, mais un abonnement à 3 € par an est nécessaire pour voir les notices complètes. L’app fonctionne sur iOS 12.4 ou plus récente.
Les professionnels pourront se tourner vers Médicaments, qui repose sur la même base avec quelques éléments en plus, comme les interactions entre plusieurs traitements. Son développeur propose également une app permettant d’identifier des champignons, facturée 10 € en achat unique et habilement nommée Champignons.
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MacG.co
- Les premières puces de mémoire LPDDR6 annoncées, parfaites pour les Mac, iPhone et autres iPad
Les premières puces de mémoire LPDDR6 annoncées, parfaites pour les Mac, iPhone et autres iPad
Actuellement, Apple utilise de la mémoire LPDDR5 dans les Mac et les iPhone, après avoir utilisé de la LPDDR4 (notamment avec la puce M1). La prochaine génération de mémoire, la LPDDR6, est déjà sur les rails et Samsung va montrer les premières puces au CES 2026. Comme d'habitude, cette nouvelle mémoire devrait amener un gain sur la bande passante, mais qui restera léger au départ.

La mémoire en question atteint une fréquence de 10 700 MHz en équivalent SDRAM1, ce qui est assez faible dans l'absolu. La LPDDR5X peut déjà atteindre ces valeurs chez certains constructeurs, et Apple utilise de la LPDDR5-9600 (9 600 MHz) dans le MacBook Pro M5, ce qui est assez proche. Mais comme souvent, ce n'est que le début : les premiers Mac avec de la LPDDR5, les modèles M1 Pro et Max, se contentaient de 6 400 MHz. Avec l'évolution de la mémoire, on a donc atteint en quelques années une fréquence 50 % plus élevée. Par ailleurs, les rumeurs relayées par Hardware and co indiquent que la mémoire pourrait atteindre 14 400 MHz assez rapidement.
Dans le cas d'Apple, cette mémoire devrait probablement être intégrée rapidement. Comme la société développe ses puces, elle ne doit pas attendre qu'un de ses partenaires — comme Intel à l'époque — daigne se pencher sur une nouvelle technologie. Il est probablement un peu tôt pour espérer de la LPDDR6 avec les Mac équipés des (futures) puces M5 Pro ou Max, mais il est envisageable d'en voir avec une puce M6.
Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace
Un autre changement pourrait aussi augmenter la bande passante : un passage sur une architecture 24 bits en interne, contre 16 bits avec la LPDDR5. Avec un bus de données plus large, Apple pourrait intégrer deux puces (comme sur les puces M5) mais avec un bus sur 192 bits au total, contre 128 bits actuellement. Un MacBook Pro avec une puce M6 pourrait par exemple avoir une bande passante de 256 Go/s avec de la LPDDR6-10700, contre 154 Go/s actuellement.

Enfin, le passage à la LPDDR6 serait aussi efficace sur les iPhone que les iPad, pour les mêmes raisons. Et comme toujours, les gains ne se limiteront a priori pas aux performances : la LPDDR6 devrait amener une diminution de la tension de fonctionnement, ce qui a un impact direct sur la consommation. Même si la mémoire n'est pas le composant le plus crucial dans ce domaine, il est toujours intéressant de réduire l'énergie nécessaire au fonctionnement des puces.
La LPDDR6 arrive enfin, parfaite pour les appareils Apple
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La norme est d'utiliser une fréquence équivalente à celle d'une mémoire SDRAM pour la comparaison. La mémoire DDR6 fonctionne à des fréquences relativement faibles, mais transmet 64 bits par cycles. ↩︎
Cinq ans d'Apple Silicon : les apps n'ont pas encore déserté les Mac Intel
Il y a 5 ans: l'annonce du MacBook Air M1, le 10 novembre 2020
Le décor m'a fait penser à la série Severance...
Je ne suis pas certain que ça soit un compliment. Mais Apple a beaucoup inspiré cette série.
Le Mac mini DTK A12z
Le prédécesseur du M1 est le A12z créé pour le Mac mini DTK destiné aux développeurs.
MacBidouille et @Lionel vous en ont parlé, probablement le seul média qui a eu le courage de révéler les observations remontées sur ce SoC de smartphone poussé pour devenir un SoC compétitif dans un Mac mini, ainsi que sur Rosetta 2.
Outre Rosetta 2 surprenant, les performances natives de ce SoC dérivé du A12 des iPhone et A12x de l'iPad Pro sont tout à fait à la hauteur face au Mac mini Intel 4-cœur.
Il aurait pu être commercialisé tel-que !
Rosetta 2 sur le Mac mini DTK A12z
Les performances de Rosetta 2 ont été immédiatement incroyables, autour de 85% des performances natives (mesurées sur mon propre code, un moteur d'échec, et d'autres).
Certains logiciels recompilant du code en temps réel comme le moteur JIT JavaScript de Chrome ont posé des problèmes.
Mais l'expérience était surprenante quand on a utilisé Rosetta [1] et bien avant VirtualPC sur Mac PowerPC.
M1, "un SoC de smartphone"
Apple y va fort, décrivant le M1 comme le "premier SoC pour le Mac". Enterrant le A12z.
Mémoire unifiée UMA, utilisation de 4 cœurs Performances et 4 cœurs Économie, pour le meilleur des deux mondes.
Une GPU intégrée (iGPU) à la fois rapide, la plus rapide des iGPU d'après eux, et économique en même temps.
Mais surtout ce qui deviendra essentiel plus tard, une NPU 16-cœurs, issue de celle ayant permis d'intégrer FaceID dans l'iPhone X.
Tout ça vient des iPhone, mais mis à l'échelle pour des ordinateurs portables...
MacBook Air M1
Apple explose tout, et surtout les anciens MacBook Air Intel, en gardant le même pris de base aux USA: $999 avant taxes.
10W de TDP, mais des performances de 3X à 5X plus rapides pour les CPU et GPU, jusqu'à 9X quand la NPU est utilisée!
Mieux que ça, l'autonomie est annoncée comme en progrès.
Et ils ont enfin rajouté TouchID, là aussi grâce au Security Vault, une technologie issue des iPhone.
Des promesses ?
Ce fut juste une annonce et on connait l'habitude d'Apple d'exagérer certains points, de sélectionner ses benchmarks comme tout le monde, et d'en faire des tonnes.
Ce 17 novembre, je vais revenir sur ce qui a été livré : le MacBook Air M1.
Pour moi, un très grand Mac, qui a changé la face du monde.
Le meilleur iPhone sortira en 2027 (et on vous dit pourquoi)
Espionnage de l'iPhone : NSO (Pegasus) passe sous contrôle américain !
Cette américaine en burn-out demande à ChatGPT où se barrer, elle se retrouve à Uzès
Une version de Mac OS 8 perdue depuis presque 30 ans a été retrouvée et préservée
Connaissez-vous les ordinateurs CHRP (ça se prononce chirp) ? Probablement pas : cette initiative d'IBM et Apple à la fin des années 90 a fait long feu. Elle devait permettre de créer des ordinateurs équipés d'un processeur PowerPC avec des composants et des interfaces logicielles standardisées, pour lutter contre les compatibles IBM, comme on disait encore à cette époque. Pratiquement trente ans plus tard, une version compatible de Mac OS 8 a été retrouvée.
Il faut se remettre dans le contexte de l'époque. Au début des années 90, Apple avait effectué une transition des processeurs Motorola 68K vers les puces PowerPC, portées par IBM, Apple et Motorola. En plus des Power Macintosh, différents constructeurs proposaient des ordinateurs compatibles avec Mac OS (System 7.x) et équipés d'un processeur PowerPC, les fameux clones. Ces clones étaient généralement équipés d'une carte mère directement conçue par Apple, et d'une ROM Apple, un composant physique1 qui contenait une partie du code nécessaire pour faire fonctionner Mac OS.
Le projet CHRP
Le projet CHRP (Common Hardware Reference Platform) consistait à tenter de rendre cette ROM inutile, en standardisant les ordinateurs à base de PowerPC. Un système compatible CHRP aurait dû permettre de lancer Mac OS, mais aussi NetWare et d'autres systèmes. Apple avait donc développé une version de Mac OS adaptée. Son existence n'est pas une nouveauté : des versions bêta existent depuis des années, mais les trois disques retrouvés par Mac84 sont parfaitement démarrables. Le premier est une version compatible CHRP de Mac OS 7.6. Elle est pensée pour deux ordinateurs précis, les Motorola Viper et Cobra. Ce sont des tours à base de PowerPC, a priori développée avec Apple pour la prochaine génération de clones.

Mais un peu avant l'arrivée des premiers ordinateurs CHRP, un certain Steve Jobs est revenu chez Apple. Dès son retour, il a décidé d'arrêter les clones, car il considérait (à raison) que les ordinateurs en question empêchaient Apple de vendre des Power Macintosh à prix d'or (et avec une belle marge). Comme les clones étaient vendus moins chers et proposaient souvent mieux que les Power Macintosh, Apple perdait une partie de ses revenus. La fin des clones a logiquement signé l'arrêt du programme CHRP, du moins du côté d'Apple.
Les deux autres disques sont des variantes de Mac OS 8, qui intègrent un mécanisme apparu plus tard dans les Mac : une ROM en RAM. Au lieu de charger la ROM depuis le matériel, cette version peut récupérer le code en question (toujours nécessaire) depuis un volume de stockage (CD, disque dur, etc.) et le charger en RAM. Une solution qui sera finalement mise en place avec l'iMac, sous le nom « New World ROM ».
Une découverte inutile en pratique
Les disques, disponibles sur Internet Archive, sont intéressants d'un point de vue historique, mais pas forcément d'un point de vue pratique. En effet, les ordinateurs compatibles CHRP sont assez rares, et comprennent quelques modèles Motorola, quelques IBM (certaines variantes des RS/6000) et une série de cartes mères sorties au début des années 2000 pour animer les versions modernes d'AmigaOS (les Efika et les Pegasos). Pour le moment, les essais montrent que ces versions CHRP de Mac OS ne démarrent pas sur les ordinateurs en question. Comme le standard n'a jamais réellement été un succès, il manque visiblement certaines parties logicielles, indispensables pour lancer Mac OS. Il n'est évidemment pas exclu que certains bidouilleurs trouvent une solution pour régler ce petit défaut, et permettent la création de « hackintosh » des années 90, mais en l'état, ces versions CHRP de Mac OS ne fonctionnent que sur des Power Macintosh.

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Il pouvait être soudé sur la carte mère ou sur une barrette amovible. ↩︎
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MacG.co
- Amazon pousse son Fire TV Stick sous Vega OS aux utilisateurs de Fire TV abandonnés et obsolètes, avec une belle promotion
Amazon pousse son Fire TV Stick sous Vega OS aux utilisateurs de Fire TV abandonnés et obsolètes, avec une belle promotion
Il y a quelques semaines, Amazon a lancé un nouveau Fire TV Stick, le 4K Select. Ce modèle vendu 55 € fonctionne sous Vega OS, un nouveau système d'exploitation maison, basé sur un noyau GNU/Linux. Et pour mettre en avant son nouveau modèle, Amazon propose une promotion : si vous avez un vieux modèle de Fire TV Stick, vous pouvez l'acheter pour 30 € seulement.

La promotion est réservée aux utilisateurs de vieux modèles de Fire TV Stick, qui ne sont plus vendus et surtout plus mis à jour. Amazon tente donc de faire disparaître les modèles qui ont été abandonnés. Pour accéder à la promotion, vous devrez d'ailleurs probablement démarrer le vieux modèle (c'est notre cas). La liste comprend les Fire TV Stick de 2014, 2016 (avec Alexa) et 2019. Les Fire TV Stick Lite de 2020 et 2022 sont aussi de la partie et la promotion est valable jusqu'au 16 novembre 2025.

Test du Fire TV Stick 4K Select sous Vega OS : l'abandon d'Android n'amène que des défauts
Est-ce une bonne affaire ? Dans l'absolu, oui : le nouveau modèle est nettement plus réactif que les anciens modèles et va être mis à jour quelques années. SI vous avez l'habitude d'utiliser un Fire TV Stick pour regarder Netflix, Amazon Prime Video ou un des nombreux autres services de streaming pris en charge, vous y gagnerez réellement en confort d'utilisation. Le seul défaut à prendre en compte est le fait que Vega OS ne permet pas d'installer des applications qui ne proviennent pas du magasin en ligne d'Amazon, comme les applications d'IPTV. Mais ce n'est évidemment pas un problème pour vous : vous n'allez pas pirater du contenu payant, n'est-ce pas ?
Tandis qu’OpenAI prépare GPT-5.1, Anthropic compte s’installer à Paris
Les grands modèles de langage ont pris une telle importance que leurs nouvelles versions font désormais l’objet de rumeurs et de fuites, comme les produits Apple. BleepingComputer affirme ainsi qu’OpenAI est en train de préparer le lancement de GPT-5.1, GPT-5.1 Reasoning et GPT-5.1 Pro. Ces nouveaux modèles seraient en cours d’intégration sur Azure, la plateforme cloud de Microsoft, signe d’une disponibilité dans les prochaines semaines.

Des références à GPT-5.1 ont également été repérées récemment dans le code d’OpenAI, avec une possible date de lancement fixée au 24 novembre. Que faut-il attendre de ces versions ? BleepingComputer évoque des améliorations sur les garde-fous liés à la santé ainsi qu’un gain de performances, mais ça semble plus du doigt mouillé qu’autre chose.
Lancée en plein milieu de l’été, la famille GPT-5 avait créé la polémique : des utilisateurs reprochaient notamment une perte de « personnalité », des réponses trop courtes et la disparition soudaine de GPT-4o. OpenAI avait corrigé ces problèmes dans les jours suivants et promis des déploiements plus prudents à l’avenir. On pourra bientôt vérifier si ces engagements tiennent.
Pendant ce temps, la concurrence bouge également. Anthropic a annoncé son intention d’ouvrir des bureaux à Paris et à Munich. Le créateur de Claude est déjà présent en Europe, à Londres, Dublin et Zurich. Au cours de la dernière année, il a triplé ses effectifs dans la région Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA). « La région EMEA est devenue notre région à la croissance la plus rapide, avec un chiffre d'affaires annualisé qui a été multiplié par plus de 9 au cours de l'année écoulée », souligne l’entreprise. L’ouverture de nouveaux bureaux en France et en Allemagne doit lui permettre de poursuivre cette accélération.
La recharge rapide a un effet marginal sur la santé de la batterie de l'iPhone

Est-ce que Nintendo va vraiment cesser de prendre en charge votre Switch 1 ?
Apple TV : pas d’offre avec pub prévue pour l’instant, mais Eddy Cue ne s’interdit rien
Après Netflix, Disney+ ou encore Prime Video, Apple TV1 sera-t-il le prochain service de streaming à proposer une formule avec publicité ? La réponse est non… pour l’instant. « Nous n’avons aucun projet en ce sens pour le moment », a déclaré Eddy Cue à Screen International. Mais le patron des services d’Apple prend soin de ne pas fermer complètement la porte.
« Je ne veux pas exclure définitivement cette possibilité, mais pour l’instant, rien n’est prévu. Si nous parvenons à maintenir des prix compétitifs, c’est mieux pour les consommateurs de ne pas être interrompus par des publicités », précise-t-il.

Face au ralentissement du nombre de nouveaux abonnés, les services vidéo ont trouvé dans les offres avec pub une parade doublement rentable : elles permettent de proposer des tarifs d’entrée plus bas (tout en augmentant les formules sans pub) et génèrent des revenus supplémentaires grâce aux annonces. En France, plus d’un nouvel abonné Netflix sur deux opte désormais pour la formule avec pub, qui compterait au total près de 10 millions d’utilisateurs.
Alors que l’abonnement à Apple TV a récemment grimpé à 12,99 $/mois en Amérique du Nord (9,99 €/mois en France), Eddy Cue considère qu’il s’agit toujours d’un tarif « très agressif ». En comparaison, Netflix standard sans pub coûte 17,99 $/mois. En augmentant progressivement ses tarifs, Apple se laisse malgré tout la possibilité d’introduire un jour une formule plus abordable avec pub.
Quant au nombre d’abonnés Apple TV, estimé par certains entre 40 et 45 millions, Eddy Cue refuse toujours d’entrer dans les détails. « Je peux vous dire que nous connaissons une croissance plus rapide : nous avons davantage de spectateurs et leur temps de visionnage a été plus important cette année que jamais auparavant », se contente-t-il de répondre auprès de Screen International. Dans une autre interview, il avait pourtant daigné indiquer avoir plus de 45 millions d’abonnés.
Construire plutôt qu’acquérir
Quoi qu’il en soit, le vétéran de Cupertino reconnait que bâtir ce service a été plus complexe que prévu : « Cela a pris plus de temps que je ne le pensais et a été plus difficile que je ne l’imaginais. Je ne m’attendais pas à être paralysé par la Covid pendant un moment, sans catalogue. Je ne m’attendais pas non plus à ce que les grèves nous immobilisent pendant neuf mois. Avec le temps, j’ai appris que rien de grand n’est facile : cela demande énormément de travail. » Et de réfuter les rumeurs selon lesquelles l’entreprise aurait fait de grosses coupes budgétaires.
Après ce lancement poussif, Eddy Cue estime qu’Apple TV a enfin trouvé son rythme de croisière, porté par des succès répétés, qu’il s’agisse des récompenses glanées par les séries ou du carton du film F1 au cinéma.
Mais quand même, ça ne serait pas plus simple d’acheter un catalogue existant pour étoffer rapidement l’offre ? Une interrogation d’autant plus pressante qu’une rumeur évoque l’intérêt d’Apple pour le catalogue de Warner. « Même réponse qu’avant [ce n’est pas prévu, ndlr], mais il faut regarder Apple d’un point de vue historique. Nous ne faisons pas beaucoup de grandes acquisitions. En général, nous privilégions les petites acquisitions, sans lien avec Apple TV. Je ne vois donc pas cela se produire, car nous sommes satisfaits de notre stratégie. Nous construisons, et nous continuerons à construire à partir de ce que nous avons déjà bâti », tranche Eddy Cue.
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On parle du service, qui a récemment perdu son +, pas de l’app ni de l’appareil. ↩︎
IPTV pirate : Amazon siffle la fin de la partie sur les Fire TV Stick
Le MacBook Air M2 avec 16 Go de RAM en promo à 798€ : la qualité Apple au meilleur prix !
Grosse promo sur le grand MacBook Air M4, qui tombe à seulement 1 169 € (-230 € !)
Grosse promo sur le MacBook Air M4 en format 15" ce matin ! La machine passe de 1 399 € à 1 169,10 € sur Amazon grâce à un coupon à cocher sur la fiche produit. Il s’agit du modèle avec 256 Go de SSD et 16 Go de RAM, disponible à ce prix en coloris Minuit ou Bleu ciel. Cela représente donc 229,90 € d’économisés par rapport au tarif de l’Apple Store. Ce Mac est vendu et expédié par Amazon, la ristourne finale n’apparaît qu’à l’étape du paiement.

Le MacBook Air M4 a été lancé en début d’année et carbure à la puce M4, qui regorge de puissance pour les tâches du quotidien comme pour d’autres plus avancées. Il embarque une caméra compatible Cadre centré et Desk View, permettant de vous garder toujours bien dans l’image et d’afficher un plan sur votre bureau vu du dessus.
Contrairement au MacBook Pro M5, ce Mac est encore livré avec un chargeur USB-C de 30 W. L’ordinateur a l’avantage d’être complètement silencieux (il n’embarque pas de ventilateur) et d’avoir un grand écran qui sera parfait pour ceux cherchant une machine pour visionner du contenu comme pour télétravailler.
Ceux voulant une configuration plus musclée pourront profiter de ristournes intéressantes. La même machine avec 512 Go de SSD est à 1 499 €, soit 150 € de moins qu’en Apple Store. Une remise identique s’applique pour la déclinaison 24/512 Go, trouvable pour 1 754 €.

Si Apple vient de sortir le sympathique MacBook Pro M5, une révision du MacBook Air n’est pas attendue avant encore quelques mois. Celle-ci devrait principalement apporter un changement de puce, intéressant pour l’IA en local mais loin d’être indispensable pour des activités plus basiques. Surtout, il devrait mettre du temps avant de tomber à un prix aussi bas.
Mieux qu’un coach ou un médecin ? Health+, le futur abonnement santé d’Apple !
Xpeng dévoile son incroyable robot humanoïde ! Mais un détail choque...
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Mac4Ever
- Comment installer automatiquement les correctifs de sécurité sur l'iPhone, l'iPad et le Mac ?
Comment installer automatiquement les correctifs de sécurité sur l'iPhone, l'iPad et le Mac ?
36 Go de versions de macOS téléchargées sur mon Mac mini ?
Sur mon Mac mini avec 256 Go de stockage, j'utilise actuellement 80 Go, et je me suis aperçu que 36 Go était utilisé par des versions de macOS téléchargées en avance.
Ce qui correspond à +45% d'utilisation d'espace interne ! +45% !!!
Sur mon Mac mini, j'avais réglé le téléchargement de nouvelles versions de macOS, ainsi que l'accès aux versions de macOS Bêta pour développeurs.
Par exemple pour vous faire profiter de mes retours sur de nouvelles fonctions avant qu'elles vous soient proposées. Comme celle-ci.
J'ai découvert que tout ça bouffe énormément l'espace de stockage, 14% du total avec 256 Go.
J'ai donc désactivé le téléchargement automatique de macOS, récupérant 36 Go au passage.
Le plus étrange étant que le passage de macOS 26.1 Bêta quelque-chose à macOS 26.1 finale n'a alors demandé que 5 Go de téléchargement !
Je fais des mises-à-jours régulières dès que proposées, j'organise cela en fonction des services fournis par la machine, par exemple c'est en général mieux de lancer cela le soir, téléchargement, redémarrage, installation, et de retrouver sa machine prête le matin suivant.
Mais je me demande encore pourquoi la fonctionnalité de téléchargement automatique associée aux versions Bêtas a consommé 36 Go.
5 Go 26.1 oui. 5 Go 26.1 + 15 Go 26.2 Bêta soit 20 Go oui. Mais 36 Go?!?
La charge rapide a un effet limité sur la santé des batteries de nos smartphones, la preuve
La charge lente est de manière générale bénéfique par rapport à une charge rapide, c’est un fait. Plus une charge est rapide, plus elle soumet la batterie à un courant élevé, ce qui entraîne un stress accru de ses composants. La charge rapide génère aussi beaucoup de chaleur et la chaleur entraîne mécaniquement davantage de dégradation. Personne ne nie ces éléments, mais cette vidéo publiée par le youtubeur HTX Studio pose une question importante : quel est l’impact réel d’une charge rapide sur la durée de vie des batteries intégrées aux iPhone et smartphones Android ?
Pour mener à bien ce test, il a imaginé un dispositif aussi rigoureux que possible. Il a réuni six iPhone 12, trois chargés rapidement et trois lentement, pour vérifier la différence à la fin de l’expérience. Il a mis au point une app qui vide la batterie aussi vite que possible et qui communique avec une sorte de prise connectée, pour activer la charge à 5 % de batterie et la désactiver quand le téléphone atteint les 100 %. Il a ensuite laissé tourner l’ensemble jusqu’à atteindre 500 cycles de charge, c’est-à-dire que la batterie a été entièrement vidée et remplie à cinq cents reprises.
Ce test a demandé pas moins de six mois et les conclusions sont sans appel. Après ces 500 cycles, la capacité des batteries des trois iPhone en charge lente avait baissé de 11,8 %, alors que la capacité des modèles en charge rapide a baissé de 12,3 %, soit une différence de 0,5 point seulement. Autant dire qu’on est dans l’épaisseur du trait et qu’il n’y a aucune différence à l’usage entre les deux groupes. La charge rapide a bel et bien un effet, certes, mais il sera insensible en pratique, alors si vous en avez besoin, ne vous privez pas par peur d’abimer prématurément votre batterie.
Le même test a été effectué avec des smartphones Android et les résultats sont similaires. Le youtubeur a même testé une autre théorie, en faisant des demi-cycles de charge à chaque fois : cette fois, le téléphone était alimenté dès 30 % de batterie et le chargeur rapide est débranché en atteignant 80 %. En n'utilisant ainsi que 50 % de la capacité totale de la batterie, la dégradation est effectivement plus limitée, même si les gains sont inférieurs à ce que l’on pouvait espérer : 8,3 % de dégradation après 500 cycles complets. C’est 4 points de moins qu’en exploitant la totalité, ce n’est pas rien, certes, mais c’est en échange d’une autonomie divisée par deux.
C’est le message de la vidéo, que je vous encourage à regarder tant elle est courte (pour YouTube fin 2025) et bien faite : chargez votre iPhone ou appareil Android comme vous le voulez, vous n’avez pas besoin de soigner sa batterie. Même en faisant attention, la dégradation est inévitable et la différence entre celle d’une batterie chargée lentement et une autre chargée rapidement est si minime que cela ne vaut pas la peine de s’embêter, en tout cas pas en pensant améliorer significativement les choses. Chacun fait ce qu’il veut bien entendu, mais autant le faire en connaissance de cause : ce n’est pas parce que vous chargez vite la batterie de votre smartphone qu’elle sera détruite rapidement. Et à l’inverse, une charge lente n’évite pas toute dégradation et après quelques centaines de cycles, un changement de batterie pourra être nécessaire quelle que soit la situation.
Même si la vidéo ne s’y intéresse pas, on imagine que les résultats seraient très proches en incluant la charge par induction dans ce genre de tests. Elle implique davantage de chaleur, ce qui est mauvais pour la batterie, mais sans faire pour autant la différence qu’on lit parfois.
À quoi ressemblerait le MacBook “low-cost” équipé d’une puce d’iPhone ?
A ne pas en douter, 2026 sera un grand cru pour Apple. Entre l’iPhone pliable et le premier Mac tactile, Apple semble vouloir mettre les petits plats dans les grand pour son 50e anniversaire. Mais la grande surprise de 2026, cela pourrait bien être cet ordinateur portable vendu à un prix défiant toute concurrence.
Apple sortirait bien un MacBook « low-cost » en 2026 à un tarif très attractif
Un processeur d’iPhone qui n’a rien à envier au M1
Apple aurait décidé d’intégrer la puce A18 Pro à son prochain MacBook d’entrée de gamme. Ce processeur a fait ses débuts dans les iPhone 16 Pro et repose sur la deuxième génération de gravure 3 nm d’Apple. Il embarque 8 Go de mémoire unifiée et prend en charge les fonctions d’Apple Intelligence, le nouvel ensemble d’outils d’IA maison.
Une puce A18 Pro pourrait-elle battre une M1 dans un MacBook « SE » ?
Rapide et économe, le A18 Pro n’a rien d’un processeur au rabais. Dans Geekbench 6, ses performances en simple cœur rivalisent avec celles du M3 Ultra, et son score multicœur dépasse celui du M1, la première puce Apple Silicon utilisée sur le MacBook Air. Côté graphique, les résultats Metal sont eux aussi comparables à ceux du M1.
En pratique, la puce offrirait des performances équivalentes au M1 pour certaines tâches, et supérieures pour d’autres — le tout avec une meilleure efficacité énergétique. L’utilisation de cette puce poserait cependant deux problèmes. Elle n’embarque que 8 Go de RAM, ce qui est un peu léger en 2025/26. D’autre part, elle serait dépourvue de Thunderbolt, mais est-ce vraiment indispensable sur une telle machine ?
Un format proche du 13”
D’après l’analyste Ming-Chi Kuo, le futur MacBook “low cost” d’Apple serait équipé d’un écran d’environ 13 pouces. À titre de comparaison, le MacBook Air actuel affiche 13,6 pouces, ce qui laisse penser que ce nouveau modèle pourrait être très légèrement plus compact, sans pour autant s’en éloigner beaucoup sur le plan du format.
Apple lancerait en 2026 un MacBook avec un processeur d'iPhone
Aucune information n’a encore filtré sur l’épaisseur du châssis, mais Apple ne devrait pas chercher la finesse à tout prix sur une machine conçue avant tout pour tirer les coûts vers le bas. Et puisqu’un MacBook Air sans ventilateur et équipé d’une puce M-series fonctionne parfaitement dans un boîtier de 1,13 cm d’épaisseur, rien n’indique que ce futur MacBook ait besoin d’être plus épais que ça.
Une machine inspirée de l’iBook ?
Ce MacBook abordable serait équipé d’un écran LCD standard, sans technologie mini-LED ni ProMotion. Mais là où Apple pourrait marquer les esprits, c’est sur le design : selon Ming-Chi Kuo, la machine serait déclinée dans plusieurs coloris, à l’image de l’iMac actuel — argent, bleu, rose et jaune.
Un clin d’œil à l’époque des iBook multicolores, qui avaient contribué à démocratiser le Mac à la fin des années 1990.
Un concurrent direct à l’iPad
Grâce à la puce A18 Pro, ce futur MacBook d’entrée de gamme pourrait accomplir tout ce qu’un iPhone 16 Pro sait déjà faire. Il s’imposerait comme une alternative naturelle à l’iPad associé à un clavier, tout en ayant l’avantage de faire tourner macOS et non iPadOS. Le tout avec la compatibilité complète d’Apple Intelligence, le nouveau socle d’IA maison.
En pratique, il serait parfait pour les usages du quotidien : navigation web, lecture vidéo, bureautique, retouche photo ou encore montage vidéo léger. Il pourrait aussi exécuter les jeux de l’iPhone et de l’iPad, y compris ceux du catalogue Apple Arcade, mais resterait limité dès qu’il s’agit de titres très exigeants sur le plan graphique.
Ce MacBook serait même capable de faire tourner Final Cut Pro, mais sans atteindre les vitesses d’export des machines équipées de puces M plus musclées.
Une machine simple, efficace et endurante
Côté connectique, Apple ne devrait pas en faire trop : un seul port USB-C est le scénario le plus probable, même si une configuration à deux ports, comme sur le MacBook Air, reste envisageable.
La puce A18 Pro étant particulièrement économe, et le châssis de 13 pouces offrant suffisamment de place pour une grande batterie, on peut s’attendre à une autonomie comparable — voire supérieure — à celle du MacBook Air : jusqu’à 18 heures de lecture vidéo ou 15 heures de navigation web, selon les données actuelles d’Apple.
Quel prix pour cet ordinateur ?
Plus que ses caractéristiques techniques, la grande inconnue autour de ce MacBook reste son prix. C’est sans doute le secret le mieux gardé d’Apple à ce stade. Selon Mark Gurman, cette machine d’entrée de gamme serait proposée « bien en dessous des 1 000 $ ».
Un positionnement logique : le MacBook Air démarre aujourd’hui à 999 $, et ce nouveau modèle devra nécessairement se situer nettement en dessous pour trouver sa place.
MacBook : jusqu’où Apple ira-t-elle pour casser les prix ?
À titre d’indications, l’iPad Air 13 pouces — doté d’un écran comparable et d’une puce M-series plus puissante — est vendu 799 $. Le futur MacBook, animé par une A18 Pro, pourrait donc descendre sous cette barre symbolique.
Dernier élément de réflexion : Apple écoule depuis plusieurs mois des MacBook Air M1 à 599 $ chez Walmart. Simple déstockage… ou un test grandeur nature avant le lancement de cette nouvelle génération de MacBook “low cost” ?
Une arrivée attendue dès 2026
Le lancement devrait intervenir au premier semestre de l’année prochaine, avec une production prévue d’ici la fin de l’année. Équipé de composants déjà bien maîtrisés, ce MacBook “low cost” ne devrait pas être le projet le plus complexe d’Apple sur le plan technique — ni le plus difficile à produire en volume.
Reste à voir si ce futur MacBook saura séduire une nouvelle génération d’utilisateurs, comme l’avait fait l’iBook coloré à la fin des années 1990.