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Reçu aujourd’hui — 15 décembre 2025 2.1 🍏 Apple

Guide de Noël : bagues, balances, les appareils de suivi de santé les plus utiles sous iOS

15 décembre 2025 à 20:50

Avec la fin d’année vont arriver les vœux. Et parmi eux revient très souvent un élément : la santé. Et ça tombe bien, parce que des accessoires en rapport avec la santé, il en existe pléthore de disponibles pour accompagner l’iPhone ! Petit tour de cette longue liste, histoire de choisir de quoi bien commencer l’année à mettre sous le sapin.

L’Apple Watch, grand classique de la pomme

Bien entendu, dès qu’on s’attaque à la santé liée à un produit pommé, l’un des choix les plus évidents reste l’Apple Watch. Le gros avantage, c’est qu’on est sûr de ne pas se tromper : un produit Apple sera fait pour aller comme un gant à votre iPhone (du moment que celui-ci n’est pas trop vieux, bien entendu), et avec le temps, quasiment toutes les Apple Watch proposées cette année sont devenues de bons choix.

Plus discrète que l’Ultra 3, la Series 11 est déjà très complète pour suivre vos constantes. Image MacGeneration.

Et niveau santé, dès l’Apple Watch SE c’est relativement complet : capteur de fréquence cardiaque avec mesure en continu, alertes en cas de rythme cardiaque trop élevé ou irrégulier, suivi du sommeil, mais aussi accès aux nombreux programmes de sport intégrés dans l’app Exercice, que la montre saura monitorer grâce à son accéléromètre et son altimètre intégré, ainsi qu’à la puce GPS. Pour compléter le tableau, elle saura aussi mesurer les variations de température du corps, ce qui s’avèrera bien pratique pour le suivi des cycles menstruels de ces dames. Elle est disponible en deux variantes, uniquement wi-fi (249,00 € en 40 mm et 279,00 € en 44 mm), ou wi-fi + cellulaire (299,00 € en 40 mm et 329,00 € en 44 mm).

Test de l’Apple Watch SE 3 : la montre qui a tout compris

Test de l’Apple Watch SE 3 : la montre qui a tout compris

Vous en voulez plus ? L’Apple Watch Series 11 rajoute à la liste déjà confortable l’électro-cardiogramme, et la mesure du taux d’oxygène sanguin (pour une fois que l’Europe a une fonction que les US n’ont pas sur la montre, il ne faudrait pas s’en priver !). Par rapport à la SE 3, la Series 11 propose aussi un écran légèrement plus grand et plus lumineux, en plus d’un boîtier en aminci du plus bel effet. Comme la SE 3, elle est disponible en version wi-fi uniquement (419,00 € en 42 mm ou 449,00 € en 46 mm), ou wi-fi + cellulaire (569,00 € en 42 mm ou 599,00 € en 46 mm). Cerise sur le gâteau, la version Wi-Fi + Cellular est aussi proposée en titane, au choix naturel, doré ou noir.

Test de l

Test de l'Apple Watch Series 11 : on prend la même et on recommence

Mais la plus complète de toutes, c’est bien entendu l’Apple Watch Ultra 3 : étanche à 100 mètres, elle complète les fonctions déjà présentes sur les Series 11 par un profondimètre intégré et un boîtier renforcé lui donnant cet aspect baroudeur prêt à toutes les aventures. Elle n’est disponible qu’en une seule taille et obligatoirement avec l’option cellulaire intégrée, en deux goûts au choix, titane naturel ou titane noir, pour 899 €.

Test de l’Apple Watch Ultra 3 : deux ans après, une mise à jour ultra décevante ?

Test de l’Apple Watch Ultra 3 : deux ans après, une mise à jour ultra décevante ?

Vous préférez porter une montre classique ? Alors l’anneau vous guidera tous

Il est des moments où on n’a pas envie de montre connectée, que ce soit pour des raisons esthétiques (tout le monde ne veut pas forcément avoir un écran allumé sur un bracelet, et certaines soirées ne s’y prêtent pas) ou pour des raisons de préférence (le charme d’une montre automatique...). Mais dans ce cas, comment faire pour suivre ses constantes, et ses prouesses sportives ?

C’est là que l’anneau connecté arrive. Avec ses multiples capteurs, il est tout aussi précis et utile que la montre connectée, avec deux avantages sur celle-ci : vous pouvez mettre la montre de votre choix à votre poignet (voire ne pas en mettre du tout), et l’autonomie est bien plus conséquente que la tocante d’Apple, avec une bonne semaine avant de demander à être rechargé.

Si les utilisateurs Android ont le choix le plus large, ceux sur iOS se voient amputés de la possibilité Samsung, le Galaxy Ring n’étant compatible qu’avec l’OS de Google. Ne reste alors que trois solutions vraiment sérieuses : le RingConn Gen 2 (271,00 €), l’Ultrahuman Ring Air (265,00 €), ou le Oura Ring 4 (399,00 €). Si les trois se valent niveau nombre de fonctions, Oura a l’avantage de proposer les mesures les plus fiables, et l’app la mieux intégrée à iOS. Quelque chose me dit d’ailleurs qu’on reviendra sur le sujet très bientôt...

Balance, thermomètre, tensiomètre... le festival Withings

Grand spécialiste depuis des années maintenant de la balance connectée à iOS, Withings continue de proposer toute une gamme de pèse-personnes aux fonctions diverses et variées : de la version de base Body Smart (99,00 €) donnant déjà le poids (heureusement !), la masse musculaire, la masse grasse, la masse osseuse, mais aussi le pourcentage d’eau ainsi que la fréquence cardiaque mais aussi l’IMC, elle est chapeautée par la Body Comp (199,95 €), qui rajoute des indications plus poussées comme la santé artérielle, ainsi qu’un suivi du stress cardio, grâce entre autres à la mesure de la vitesse d’onde de pouls. Ça ne vous suffit toujours pas ? Pour les plus inquiets, la Body Scan (399,95 €) est la plus affûtée : avec un ECG en 6 points et l’analyse de la composition corporelle séparée entre bras, jambes et tronc, il y a de quoi avoir tous les détails de votre corps.

Oui, il faut tenir une poignée pour le scan complet de la Body Scan. Mais ça vaut le coup ! Image Withings.

Envie de surveiller encore plus de choses ? La gamme comprend aussi le thermomètre BeamO (249,00 €) qui réunit température sans contact, moniteur ECG, oxymètre et stéthoscope (oui oui !), mais aussi le BPM Connect (125,07 €), tensiomètre connecté qui vous permettra de suivre votre tension sur l’année grâce à l’app maison.

Withings lance son BeamO, un scanner santé de poche 4-en-1

Withings lance son BeamO, un scanner santé de poche 4-en-1

Il existe encore bien d’autres appareils de santé connectés à iOS : la liste serait tellement longue qu’il faudrait y passer des jours ! Mais au moins, avec cette petite sélection, vous devriez pouvoir surveiller vos constantes au plus près pour bien commencer la nouvelle année.

Les premières bêtas des OS 26.3 sont disponibles

15 décembre 2025 à 20:21

Les mises à jour 26.2 étant évacuée depuis la toute fin de la semaine dernière, place aux versions 26.3, bien entendu ! Sans trainer, Apple propose ce soir les premières bêtas d’iOS 26.3, iPadOS 26.3, macOS 26.3, tvOS 26.3, watchOS 26.3, visionOS 26.3 et même (probablement) des systèmes des HomePod. Les serveurs de Cupertino vont chauffer.

iOS 26.3 bêta 1 sur un iPhone 17 à gauche, watchOS 26.3 b1 sur une Apple Watch Series 9 à droite. Image iGeneration.
macOS 26.3 b1 sur un MacBook Pro M1. Image iGeneration.

On ne sait pas encore ce qu’il y a dans cette mise à jour, mais comptez sur nous pour le découvrir dès la fin des téléchargements et installations. Si ces premiers bêtas sont réservées aux développeurs, les utilisateurs qui souhaitent les installer devraient bientôt pouvoir le faire grâce aux bêtas publiques, peut-être dans les prochains jours. Les versions finales devraient sortir en début d’année prochaine, sans doute à la fin du mois de janvier. Pour référence, iOS 18.3 était sortie le 17 janvier 2025.

Même si on ne sait pas exactement ce qui se trouve dans ces mises à jour, on sait au moins qu’Apple a travaillé avec Google pour améliorer le transfert de données entre iOS et Android. On parlait d’une future bêta pour découvrir la fonctionnalité, c’est peut-être celle de ce soir.

Apple a travaillé avec Google pour améliorer le transfert entre iPhone et appareils Android

Apple a travaillé avec Google pour améliorer le transfert entre iPhone et appareils Android

Comme prévu, Meta abandonne la version Mac de l'app Messenger

15 décembre 2025 à 19:25

C'était prévu, et c'est en cours : si vous utilisez l'app Messenger de Meta pour Mac, elle ne fonctionnera plus dès demain, le 16 décembre 2025. Meta, qui n'a visiblement pas assez de développeurs pour maintenir ses apps desktop1, abandonne en effet les versions Mac et Windows.

Message annonçant la mort de Messenger sur Mac. Image MacGeneration.

Lancée en 2020, l'app de Meta était native sous macOS et ne passait pas par Catalyst (une fonction qui permet de développer pour iPadOS et macOS en parallèle). Elle a donc été abandonnée sans qu'une raison particulière soit évoquée, et elle n'était déjà plus présente sur le Mac App Store depuis quelques mois. Meta explique comment récupérer les messages sur une page dédiée, et recommande simplement de passer par la version web du service. Il est en effet possible d'utiliser le site Messenger.com pour accéder à la messagerie dans votre navigateur.

Meta abandonne son application Messenger sur Mac et Windows

Meta abandonne son application Messenger sur Mac et Windows

Meta ne permet malheureusement pas d'utiliser l'app iPad sur les Mac Apple Silicon, une fonction qui dépend du bon vouloir des développeurs. X avait fait ce choix l'année dernière, avant de changer d'avis récemment.


  1. Il faut soutenir les petits développeurs, ne l'oubliez pas.  ↩︎

HomePad, l'app qui transforme un iPad en centre de contrôle pour la maison (HomeKit, Musique, etc.)

15 décembre 2025 à 18:25

Si certains attendent un « HomePad », une rumeur qui indique qu'Apple pourrait sortir une tablette fixe pour la maison, certains décident de la créer. Quentin, un de nos lecteurs, a décidé de proposer sa version du HomePad, sous la forme d'une application. HomePad fonctionne sur iPhone, iPad et Mac (Apple Silicon) mais prend tout son sens avec une tablette. L'app est payante (10 €)1 mais la mise en place est soignée et intéressante, nous allons le voir.

C'est le moment de contrôler votre bureau. Image iGeneration.

HomePad, comme son nom l'indique un peu, est une application qui transforme l'iPad en centre de contrôle pour la maison. C'est une réinterprétation de l'interface de l'app Maison d'Apple (HomeKit) mais avec l'intégration de widgets (météo, horloge, calendrier, etc.) et de différentes pages à faire défiler. L'app est clairement pensée pour un iPad accroché au mur ou posé sur un support fixe, plus que pour une tablette qu'on va garder à la main.

La page des widgets, qui sert d'accueil.
La vue de la Musique.

Elle propose différentes pages : une qui contient les widgets, une seconde avec tout ce qui est lié à la sécurité dans HomeKit (caméras, serrures, capteurs, etc.), une troisième qui permet de voir ce qui est allumé (ou éteint) et avoir des informations importantes, comme le fait que la batterie d'un accessoire est bientôt vide.

L'ajout de widgets.
La page des widgets.

En faisant défiler, vous verrez ensuite les différentes pièces de votre installation HomeKit, avec une organisation (un peu) différente de celle de Maison.

La sécurité.
Le statut.

Ensuite, HomePad propose un calendrier, avec les données évidemment présentes dans celui d'Apple, un accès à la musique (qui prend tout son sens avec Apple Musique), à vos photos et enfin aux réglages, pour choisir la couleur de fond, par exemple, ou lancer l'app automatiquement dès que l'iPad est branché.

Les réglages.

L'ensemble est bien intégré, même si la mise en place nécessite pas mal d'autorisations. Ce n'est pas totalement un défaut, dans le sens où il est intéressant de pouvoir éviter à n'importe quelle app' d'accéder à vos données, mais c'est un peu fastidieux dans le cas présent, avec une solution qui a besoin de beaucoup d'autorisations.

Beaucoup d'autorisations.

On peut tout de même noter un petit défaut pratique : si vous êtes sur la vue du calendrier, le fait de faire défiler la page va changer la date et pas vous diriger vers la section dédiée à Maison ou celle de la musique. Sur cette vue précise, il est nécessaire de passer par les onglets.

Est-ce qu'HomePad vaut les 10 € demandés ? Dans l'ensemble, probablement. Même si elle ne fait qu'intégrer les données des services d'Apple, l'app le fait bien et le travail de Quentin est soigné. Qui plus est, elle peut aussi enregistrer l'historique de certaines actions dans HomeKit, ce qu'Apple ne propose pas (HomePad doit être actif pour cette tâche).

En attendant (peut-être) une solution Apple, c'est donc une solution intéressante si vous avez un iPad à disposition pour contrôler votre domotique… au moins si vous utilisez les outils d'Apple2.

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile

HomePad : Face ID et profils, le hub domotique d’Apple se dévoile


  1. Quentin nous a fourni une licence pour l'essai.  ↩︎

  2. Cette note de bas de page est contractuelle : je dois indiquer qu'Home Assistant permet ce genre de choses tout en expliquant que c'est nettement plus performant et complet. Si je ne le fais pas, Nicolas se fâche (et il a raison).  ↩︎

Bons plans : les robots aspirateurs compatibles Matter et HomeKit à prix cassés

15 décembre 2025 à 17:10

Après la hausse technique des prix suite au Black Friday, de nombreux robots aspirateurs sont revenus à leur tarif le plus bas. Certains modèles s'affichent même à des prix inférieurs à ceux pratiqués durant la semaine de promotions. Voici une petite sélection de valeurs sûres. Tous ces modèles ont un point commun crucial pour les utilisateurs de l'écosystème Apple : ils sont compatibles Matter (et donc intégrables à Maison/HomeKit).

SwitchBot K11+ : Le petit poucet qui passe partout

C'est sans doute le modèle le plus atypique de cette sélection. Avec son diamètre réduit (24,8 cm contre 35 cm pour la moyenne du marché), le K11+ est conçu pour se faufiler là où les autres bloquent : entre les pieds de chaises serrés ou dans les recoins exigus. Malgré sa taille de guêpe, il ne sacrifie rien à la puissance avec une aspiration de 6 000 Pa et une navigation LiDAR précise.

Nous testons ce modèle actuellement et le bilan est pour l'instant très positif : il est agile, étonnamment silencieux et sa station de vidage automatique (incluse) lui offre une autonomie de plusieurs semaines. Un excellent choix pour les appartements encombrés ou les petites surfaces.

Prix : 199,99 € au lieu de 259,99 €

SwitchBot S20 : Le nettoyage par rouleau

Si vous avez de grandes surfaces, le S20 est un candidat sérieux. Sa particularité réside dans son système de lavage : contrairement aux patins classiques, il utilise un rouleau "RinseSync" qui se nettoie en continu pendant le cycle. Résultat, il ne traîne pas une serpillière sale sur votre carrelage.

Avec une puissance brute de 10 000 Pa, il avale tout sur son passage. C'est un modèle très complet qui gère parfaitement le multi-étages. Revers de la médaille de son efficacité : le système à rouleau demande un peu plus d'entretien régulier qu'une serpillière statique pour rester performant, mais le résultat en vaut la chandelle.

Prix : 399,99 € au lieu de 499,99 €

Roborock Q7 M5 : La puissance brute à petit prix

159,99 € (au lieu de 239,99 €) | Voir sur Amazon

Roborock décline ici une version musclée de son milieu de gamme. Le Q7 M5 fait l'impasse sur la station de vidage automatique pour casser son prix, mais il conserve l'essentiel : un moteur surpuissant de 10 000 Pa (rare à ce tarif) et la fameuse navigation LiDAR de la marque, réputée pour sa fiabilité.

Il intègre une brosse duo anti-enchevêtrement, idéale si vous avez des animaux à poils longs. À moins de 160 €, c'est un excellent point d'entrée dans l'univers Roborock si vous êtes prêt à vider le bac à poussière vous-même tous les deux ou trois jours.

Prix : 160 € au lieu de 250 €

Roborock Q7 L5+ : Le confort de la station automatique

Pour 40 euros de plus que le modèle précédent, le Q7 L5+ vous offre la tranquillité d'esprit avec sa station de vidage automatique. Concrètement, le robot vide son bac tout seul à la fin de chaque nettoyage, stockant la poussière dans un sac hygiénique que vous ne changerez que toutes les 7 semaines environ.

Sa puissance d'aspiration est légèrement inférieure (8 000 Pa), ce qui reste largement suffisant pour sols durs et tapis fins. C'est le meilleur rapport qualité/prix/confort du moment pour qui veut oublier la corvée de ménage pendant plus d'un mois.

Prix : 200 € au lieu de 220 €

Roborock Q10 S5+ : L'intelligence VibraRise

On monte en gamme avec le Q10 S5+. Ce modèle combine le meilleur des deux mondes : une aspiration de 10 000 Pa, une station de vidage automatique, mais surtout la technologie VibraRise.

Contrairement aux modèles précédents qui traînent leur lingette humide partout, le Q10 S5+ est capable de soulever sa serpillière lorsqu'il détecte un tapis ou une moquette. Il frotte également le sol par vibrations soniques (3000 fois/minute) pour désincruster les taches séchées. Si vous avez un mélange de parquet et de tapis chez vous, c'est le modèle à privilégier pour éviter de mouiller vos textiles.

Prix : 270 € au lieu de 300 €

Deux boîtiers pour SSD capables d'atteindre 40 Gb/s en promotion

15 décembre 2025 à 16:50

Si vous avez un SSD M.2 dans un boîtier un peu ancien ou dans un tiroir, deux boîtiers externes sont en promotion pour le moment. Le premier est un modèle de chez Orico, proposé pour 53 €, contre pratiquement 80 € en temps normal.

Le boitier SSD d'Orico.

Le M224 accepte les SSD M.2 2280 (PCI-Exress NVMe) et compte tenu des débits annoncés — 2,8 Go/s en lecture —, il est probablement équipé d'un contrôleur Thunderbolt 4 Intel. C'est nettement plus que le débit de 1 Go/s qu'il est possible d'atteindre sur un modèle USB-C à 10 Gb/s, et un peu plus que les 2 Go/s que la norme USB 3.2 Gen 2x2 (qu'Apple ne prend pas en charge) permet. Le choix du Thunderbolt 4 à l'avantage d'amener une compatibilité USB-C en parallèle du Thunderbolt : n'importe quel appareil avec de l'USB acceptera le SSD externe, avec un débit évidemment limité par les capacités de l'hôte.

Le modèle d'Ugreen.

Le second est un peu plus onéreux — 60 € au lieu de 100 € — mais aussi un peu plus rapide. C'est un modèle Ugreen équipé d'une puce Asmedia (ASM2464PD). Elle permet de tirer totalement parti de l'USB4 avec des débits qui peuvent atteindre 3,6 Go/s. Attention, vous aurez besoin d'un SSD PCI-Express 4.0 dedans pour en profiter. Comme le modèle Orico, les débits dépendront de l'hôte : 3,6 Go/s sur un Mac Apple Silicon, 2,8 Go/s sur un Mac Intel, etc.

Petite astuce pour les boîtiers de ce type : l'interface externe va limiter les performances dans la majorité des cas, donc il n'y a pas besoin de vous tourner vers des modèles PCI-Express 5.0 ou PCI-Express 4.0 haut de gamme. Un modèle milieu de gamme comme un WD Blue suffit amplement. Et choisir un SSD milieu de gamme amène aussi un avantage : ce sont des modèles qui chauffent généralement moins que les modèles plus rapides, un point important dans un boîtier externe.

Spotify fait le coup de la (demi) panne...

15 décembre 2025 à 16:33
Mauvaise surprise pour de nombreux utilisateurs ce lundi : Spotify est victime d’une panne touchant une partie de ses abonnés. Depuis les premières heures de la journée, le service de streaming musical rencontre des difficultés d’accès, empêchant la lecture de musique et de podcasts sur plusieurs plateformes.

Contrôle de l'âge et nudité : Apple et Google sommées de faire le nécessaire !

15 décembre 2025 à 16:22
La pression réglementaire sur les géants du numérique continue de monter. Selon le Financial Times, le gouvernement britannique s’apprête à demander officiellement à Apple et Google d’intégrer des mécanismes de vérification d’âge beaucoup plus stricts au sein d’iOS et d’Android, afin d’empêcher les mineurs de prendre, d’afficher ou de partager des images à caractère sexuel.

Samsung va arrêter les SSD SATA, et les prix vont encore grimper

15 décembre 2025 à 15:49
Après Micron qui abandonne sa marque Crucial, c'est au tour de Samsung de tourner la page du stockage grand public. Le géant coréen prépare l'arrêt de sa production de SSD SATA pour se concentrer sur les mémoires dédiées à l'intelligence artificielle. Mauvaise nouvelle pour votre portefeuille.

La fin des SSD SATA se précise : Samsung aurait abandonné ce marché

15 décembre 2025 à 15:25

Dans le monde des SSD, le marché se divise encore en 2025 en deux : d'un côté les SSD PCI-Express (généralement de type NVMe) et de l'autre les SSD SATA. La différence se fait essentiellement sur le format1 : barrettes rapides d'un côté, et format 2,5 pouces issu des SSD des disques durs de l'autre. Et selon Moore's Law Is Dead, Samsung devrait abandonner ce marché en 2026.

C'est vraisemblablement la fin pour les SSD Samsung.

Actuellement, les SSD SATA se retrouvent essentiellement en entrée de gamme, dans des PC portables à bas prix et dans des mini PC, mais ils sont aussi prisés par ceux qui veulent mettre à jour de vieux PC, équiper un NAS qui n'a pas d'emplacement M.2 ou installer un SSD secondaire dans un PC qui n'a plus de M.2 libre. C'est donc un coup dur pour certains, après la disparition de Crucial, un autre habitué des SSD SATA.

Crucial disparaît d’un marché de la mémoire vive déjà très tendu

Crucial disparaît d’un marché de la mémoire vive déjà très tendu

Le point important, c'est que Samsung était le dernier constructeur majeur à proposer des SSD SATA avec ses propres contrôleurs et de la mémoire TLC (le MX500 de Crucial n'est plus disponible depuis un an) et que le reste du marché est essentiellement composé de modèles équipés de mémoire de type QLC (moins fiable dans le temps) et de contrôleurs d'entrée de gamme. Il existe bien de nombreux constructeurs chinois qui proposent des SSD SATA à bas prix, mais la fiabilité et les performances laissent souvent à désirer. Il ne s'agit même pas ici d'une vague remarque sur les produits noname : lors d'un test d'un NAS, des SSD Fanxiang nous ont posé des soucis, avec des pertes de données à la clé. Pour mettre à jour un vieux PC, un modèle comme le 870 EVO est généralement un bon choix, par exemple.

Test du Ugreen DXP480T Plus : le NAS (à quatre SSD) qui se détache de la masse

Test du Ugreen DXP480T Plus : le NAS (à quatre SSD) qui se détache de la masse

Une des raisons, expliquée dans la vidéo, vient de la rentabilité. Un SSD SATA rapide, dans l'absolu, contient les mêmes composants qu'un SSD M.2 NVMe d'entrée de gamme, au moins sur la mémoire. Mais pour des questions de segmentation, un SSD SATA limité par la norme à environ 550 Mo/s ne peut évidemment pas être vendu aussi cher qu'un modèle qui atteint (par exemple) plus de 3 Go/s. Ou, si vous prenez le problème dans le sens de Samsung, un SSD NVMe d'entrée de gamme peut être vendu plus cher qu'un SSD SATA pour un coût de revient globalement proche.

Samsung vend ses SSD SATA à un prix élevé. Image Samsung.

C'est un problème à moyen terme

Le problème de l'arrêt de la production par Samsung est plus important que la fin de la marque Crucial, et il faut bien le comprendre. Dans le marché de la RAM, Micron ferme sa filiale Crucial, mais vend toujours de la RAM à ses partenaires. Un mouvement qui va augmenter les prix, mais pas forcément la disponibilité : ce que Crucial vendait va être redirigé (au moins en partie) vers d'autres marques. Mais dans le cas des SSD SATA, ce mouvement n'existe tout simplement pas et donc ceux qui ont besoin de SSD SATA performants vont probablement acheter rapidement les stocks existants, ce qui va mécaniquement faire augmenter les prix. Et sans alternatives, ils vont rester élevés pendant un moment. Dans le cas précis de ce domaine, le résultat final est évident : le marché va abandonner le SATA pour le PCI-Express.


  1. Il existe des SSD SATA en barrettes (mSATA et M.2) mais ils sont devenus rares en 2025.  ↩︎

C'était la seule chose qui manquait à Waze face à Google Maps

15 décembre 2025 à 15:30
L'application de navigation préférée des Français commence à tester une fonctionnalité réclamée depuis des années : l'affichage des feux de circulation directement sur la carte. Pour l'instant, seuls les utilisateurs israéliens peuvent en profiter, mais un déploiement mondial semble en bonne voie.

ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 : l'IA s'invite sur votre Mac (et votre PC)

15 décembre 2025 à 14:14

L'intelligence artificielle débarque sur votre bureau, au sens propre. ONLYOFFICE franchit un cap avec sa version 9.2 en intégrant un agent conversationnel capable d'automatiser vos tâches documentaires, de fouiller dans vos fichiers et de remplir des formulaires à votre place. Le tout sans jamais quitter votre machine, grâce au support des modèles locaux.

ONLYOFFICE a sorti récemment la version 9.2 de sa suite bureautique gratuite pour Windows, Linux et macOS. La nouveauté qui retient l'attention ? L'arrivée d'un véritable agent conversationnel d'intelligence artificielle, directement intégré à l'application de bureau.

Une première dans l'écosystème des suites bureautiques grand public qui mérite qu'on s'y attarde.

Un agent IA qui fait bien plus qu'assister

Contrairement aux assistants d'écriture que l'on croise désormais un peu partout, l'agent IA d'ONLYOFFICE ne se contente pas de reformuler vos phrases ou de corriger vos fautes. Il agit comme un véritable bras droit numérique, capable d'interagir avec vos fichiers, votre système de fichiers et vos documents de manière autonome.

Concrètement, on peut lui demander de générer un nouveau document, de retrouver un fichier perdu dans les méandres de votre disque dur, d'extraire le contenu d'un PDF sans même l'ouvrir, ou encore de remplir automatiquement un formulaire administratif en suivant vos instructions.

L'idée n'est pas simplement de faciliter la rédaction, mais d'automatiser des tâches répétitives qui grugent du temps au quotidien. Besoin de lister tous les fichiers récents dans un dossier spécifique ? De comprendre la structure d'un document complexe avant de l'ouvrir ? De transformer une plage de dates vague en dates précises dans un formulaire ? L'agent s'en charge. On tape une instruction en langage naturel, et l'IA exécute. C'est aussi simple que cela en apparence, mais la promesse derrière est ambitieuse : rendre les workflows documentaires plus fluides et moins chronophages.

La souveraineté des données comme argument de poids

Là où ONLYOFFICE marque un point intéressant, c'est dans sa gestion de la confidentialité. L'application permet de connecter différents fournisseurs d'IA : Anthropic, OpenAI, TogetherAI, OpenRouter... Mais aussi, et c'est crucial, Ollama. Pour ceux qui ne connaissent pas, Ollama est une solution qui permet d'héberger localement des modèles de langage sur sa propre machine. En clair, vos données ne quittent jamais votre ordinateur. Aucun envoi vers le cloud, aucune fuite potentielle, aucune dépendance à une connexion internet stable.

Dans un contexte où les questions de confidentialité et de souveraineté numérique deviennent de plus en plus prégnantes, cette approche hybride séduit. Les entreprises sensibles, les professions réglementées ou simplement les personnes soucieuses de protéger leurs informations peuvent ainsi bénéficier des avantages de l'IA sans en subir les inconvénients. ONLYOFFICE ne fournit pas de clés API, c'est à chacun de se procurer la sienne auprès du fournisseur choisi. Une manière de rester neutre et de laisser l'autonomie aux utilisateurs finaux.

MCP : la personnalisation poussée à son paroxysme

Pour ceux qui aiment bidouiller et adapter leurs outils, ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 introduit également le support des serveurs MCP. Cette fonctionnalité permet de configurer des tâches automatisées sur mesure, adaptées aux besoins spécifiques d'une personne ou d'une organisation.

On quitte alors le terrain de l'assistant générique pour entrer dans celui de l'outil façonné selon ses propres routines de travail. C'est une couche de sophistication supplémentaire, destinée à ceux qui veulent aller plus loin dans l'automatisation.

Deux niveaux d'IA pour deux usages distincts

Il faut bien distinguer l'agent IA, qui agit comme un assistant global capable de manipuler fichiers et système, du plugin IA intégré directement dans les éditeurs. Ce dernier propose des outils contextuels, comme la correction grammaticale et orthographique dopée à l'intelligence artificielle. On sélectionne un texte, on clique sur l'onglet IA dans la barre d'outils, et le plugin repère et corrige les erreurs. Pratique pour peaufiner un document avant de l'envoyer, sans avoir à jongler entre plusieurs applications.

Ces deux niveaux d'IA coexistent et se complètent. L'un travaille en coulisses sur l'ensemble de votre environnement documentaire, l'autre intervient ponctuellement au cœur même de vos documents. Cette dualité offre une flexibilité bienvenue.

Des améliorations annexes qui comptent

Au-delà de l'IA, ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 apporte son lot de raffinements. Les raccourcis clavier sont désormais personnalisables, ce qui ravira ceux qui ont leurs propres habitudes ancrées depuis des années. L'enregistrement de macros fait également son apparition, permettant d'automatiser des séquences d'actions sans écrire une seule ligne de code. Enfin, l'outil de rédaction des PDF s'enrichit d'une personnalisation de la couleur de masquage, un détail qui compte lorsqu'on manipule des documents sensibles.

Une suite gratuite qui continue de séduire

ONLYOFFICE reste fidèle à son positionnement : proposer une alternative open source, gratuite et compatible avec les formats Microsoft Office.

La version Desktop ne coûte rien, fonctionne sur les trois principaux systèmes d'exploitation (Windows, Linux, macOS), et bénéficie d'un développement continu. Téléchargeable gratuitement, elle franchit avec cette version 9.2 un cap en intégrant l'IA de manière native et réfléchie, sans imposer un modèle unique ni forcer la main sur la collecte de données.

Pour ceux qui cherchent une suite bureautique performante, respectueuse de la vie privée et capable de s'adapter à des workflows modernes, ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 mérite clairement un essai. L'IA n'y est pas un gadget marketing, mais un outil pensé pour gagner du temps et automatiser l'ennuyeux. Et ça, c'est précisément ce qu'on attend d'une bonne technologie.

Pour en savoir plus sur cette mise à jour, l'annonce officielle détaille l'ensemble des nouveautés.

Arnaque en ligne : attention aux fausses peluches du Loup d'Intermarché

15 décembre 2025 à 14:01
La campagne publicitaire d’Intermarché à l'occasion de Noël a rencontré un succès incroyable ces dernières semaines - le monde entier ayant craqué pour cette fable moderne fait à l’ancienne. Forcément, cet engouement a attiré l’attention des escrocs flairant la bonne affaire pour le fêtes de fin d'année.

Un satellite chinois a frôlé la collision avec Starlink

15 décembre 2025 à 12:20
SpaceX alerte sur une quasi-collision entre un de ses satellites Starlink et un engin spatial chinois. L'incident s'est produit à 560 km d'altitude, avec seulement 200 mètres d'écart entre les deux appareils. La société d'Elon Musk pointe du doigt l'absence de coordination de la part de l'opérateur chinois.

iOS 26.2 tente de forcer le passage aux mises à jour automatiques

15 décembre 2025 à 13:13
Apple veut que ses utilisateurs installent les mises à jour logicielles, qui comprennent notamment des correctifs de sécurité. Elle peut pour cela user de techniques plus ou moins incitatives, et la dernière petite nouveauté mise en place sur iOS 26.2 lancé la semaine dernière met carrément...

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