"Les ours rôdaient autour de la tente": l’incroyable aventure de Sylvain qui traverse les États-Unis à pied







Sept ans se sont écoulés depuis le dernier film de Gus Van Sant (Will Hunting, Elephant). Le réalisateur américain, icône du cinéma indépendant, revient avec Dead Man's Wire, un thriller dramatique inspiré de l'histoire de Tony Kiritsis.
Le 8 février 1977, dans l'État de l'Indiana, aux États-…
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Les bandes originales de John Williams ont rythmé les vies de millions de cinéphiles, accompagnant certains des plus grands films de Steven Spielberg. Amis depuis plus de 50 ans, les deux hommes ont travaillé ensemble à vingt-neuf reprises. Le nouveau film du cinéaste légendaire, prévu pour…
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Lire Énorme flop, le nouveau film de Luca Guadagnino va coûter très cher à Amazon MGM Studios sur www.cineserie.com
Nouveau film de Luca Guadagnino après Queer, After the Hunt est à la fois un drame et un thriller psychologique. Son histoire tourne autour d’une professeure d’université, Alma Olsson. Lorsqu’une de ses élèves les plus talentueuses porte une accusation contre l’un de ses collègues, Alma se retrouve dans une situation délicate puisque l’accusation de son élève menace de faire ressurgir un sombre secret de son passé.
Luca Guadagnino a réussi à assembler un gros casting pour After the Hunt. Le cinéaste italien a recruté Julia Roberts (Coup de foudre à Notting Hill) pour jouer le rôle d’Alma Olsson. Ayo Edebiri (The Bear) a décroché le rôle de son élève qui accuse son collègue, joué par Andrew Garfield (Spider-Man : No Way Home). Chloë Sevigny (Zodiac) et Michael Stuhlbarg, qui a déjà travaillé avec le réalisateur sur Call Me By Your Name et Bones and all, ont aussi été choisis pour tenir des rôles secondaires importants.
S’il n’est pas encore sorti en France, After the Hunt a été dévoilé le 10 octobre dernier dans les salles nord-américaines. Et son casting ne l’a pas empêché de faire un énorme flop. Deadline rapporte qu’il n’a rapporté que 2,9 millions de dollars en trois semaines ! Les chiffres de Box Office Mojo révèlent qu’il n’a pas fait beaucoup mieux à l’international, avec 2,6 millions de dollars. Soit un total de 5,5 millions.
What's Up With The Fallout For Adult Upscale Movies At The Fall Box Office https://t.co/noKSe3cTlO
— Deadline (@DEADLINE) October 28, 2025
Or, selon Deadline, Amazon MGM Studios a dépensé entre 70 et 80 millions de dollars pour produire le long-métrage. À elle seule, Julia Roberts aurait reçu un chèque de 20 millions pour sa participation au film. Autant dire que celui-ci devrait provoquer une énorme perte financière pour le studio.
Les chiffres de fréquentations d’After the Hunt ne devraient pas beaucoup augmenter puisque les retours sur le film sont catastrophiques. Sur Rotten Tomatoes, il n’a obtenu que 38% de notes positives, à la fois parmi le public et la critique. Amazon MGM Studios devrait donc encaisser une perte de plusieurs dizaines de millions de dollars.
En France, After the Hunt n’a pas encore de date de sortie. Luca Guadagnino va en tout cas essayer de se rattraper avec son prochain film. Comme expliqué en juillet dernier, il prépare Artificial. Le long-métrage s’intéressera aux événements survenus en 2023 autour du patron de la société d’intelligence artificielle OpenAi, Sam Altman, qui a été limogé avant d’être réengagé seulement quelques jours après.

Lire Forcé de le raccourcir, Alexandre Astier veut sortir une autre version de Kaamelott - Premier volet sur www.cineserie.com
Sorti en 2021, Kaamelott – Premier volet poursuit l’histoire de la série culte de nombreuses années après les derniers événements qui y sont racontés. Exilé pendant tout ce temps, le Roi Arthur retourne sur l’île de Bretagne, désormais gouvernée d’une main de fer par le tyran qu’est devenu Lancelot du Lac. Décidé à le renverser, Arthur se lance dans la mission de fédérer les clans rebelles afin de l’aider dans sa tâche.
Kaamelott – Premier volet a eu droit à une réception majoritairement positive. Sur Allociné, son score parmi les fans s’élève à 3,4 étoiles sur 5. La presse lui a accordé presque le même, avec 3,3 étoiles sur 5. Pourtant, Alexandre Astier n’est pas satisfait de la version qui a été projetée au cinéma. Et pour cause, ce n’est pas celle qu’il aurait souhaité montrer au public.
Alexandre Astier a récemment dévoilé Kaamelott – Deuxième volet partie 1. Ayant choisi de consacrer son nouveau numéro à ce film, Première a interrogé le cinéaste. Ce dernier a alors révélé avoir été contraint de raccourcir le premier volet. Car à la période à laquelle est sortie le long-métrage, les films ne devaient pas dépasser les 2 heures :
La version que les gens ont vue était la version spéciale Covid. C’est-à-dire la version qui devait faire moins de 2 heures parce que les salles n’avaient pas bossé depuis je ne sais combien de temps, et qu’elles avaient besoin de cinq séances par jour, parce que toute l’industrie était dans la mouise.
Alexandre Astier nous a accordé un grand entretien pour la sortie de Kaamelott - Deuxième volet , à retrouver en kiosque ce mercredi pile pour la sortie du film pic.twitter.com/48pYHxbGAS
— Premierefr (@PremiereFR) October 21, 2025
Alexandre Astier a donc dû couper plusieurs scènes au montage afin de raccourcir le film et le faire atteindre la durée exacte de 2 heures. Selon le cinéaste, la version projetée dans les salles est « un quart d’heure, vingt minutes » plus courte que celle qu’il voulait montrer à l’origine.
L’interprète du Roi Arthur avoue que cette décision le « laisse avec un peu de regret ». Et il souhaite pouvoir un jour montrer la version complète de Kaamelott – Premier volet, avec les scènes qu’il a été forcé de couper. Selon lui, la sortie de cette version dépendra du coût des scènes à ajuster :
Tout dépend de ce que ça va coûter en post-prod, parce qu’elle existe quasiment, cette version. Je l’avais avant le Covid, mais il faut finaliser les effets spéciaux et tout ça. Donc elle n’est pas loin d’être prête, mais je veux quand même repasser dessus, je veux quand même remonter, je veux quand même être sûr de mon coup. Il manque une ou deux scènes en fait.
Alexandre Astier estime que le film projeté dans les salles est « un peu indigeste ». Avouant que cela l’agace, il veut prendre le temps de « réparer ça ». Et à terme, son ambition est de parvenir à remplacer la version sortie au cinéma par celle qui contiendrait les nouvelles scènes. Reste à savoir s’il y parviendra.
Quoi qu’il en soit, Kaamelott – Deuxième volet, partie 1 est visible dans les salles depuis le mercredi 22 octobre dernier.

Début juin, la fragile coalition qui était au pouvoir aux Pays-Bas s’est effondrée après seulement 366 jours. Ce mercredi 29 octobre, les Néerlandais se rendent aux urnes pour des élections anticipées. Alors que les résultats s’annoncent très serrés, cette échéance devrait permettre d’évaluer l’ampleur de la poussée de l’extrême droite qui a le vent en poupe en Europe. Tour d’horizon.
Le 3 juin, Geert Wilders, le patron du Parti pour la liberté (PVV) a soudainement retiré son parti de la coalition au pouvoir, frustré par la lenteur, à ses yeux, de la mise en œuvre d’une politique d’immigration stricte. "J’ai signé pour une politique d’asile la plus stricte, pas pour la chute des Pays-Bas", avait-il alors fulminé. L’homme politique avait alors lancé un ultimatum, menaçant de torpiller le gouvernement si son plan en dix points contre l’immigration n’était pas immédiatement mis en œuvre.
Malgré les tentatives des trois autres partis de la coalition d’instaurer un dialogue et des négociations dans l’espoir de maintenir le navire à flot, Geert Wilders a coupé court à leurs efforts. Furieuse, Dilan Yesilgoz, leader du parti libéral VVD, a qualifié l’élu d’extrême droite d'"irresponsable", excluant de gouverner à nouveau avec lui.
D’après les sondages, l’extrême droite pourrait réitérer sa victoire retentissante de 2023. Mais les chances de Geert Wilders de devenir Premier ministre restent maigres, puisque les autres grands partis néerlandais ont exclu toute coalition avec lui, lui reprochant d’être à l’origine de la crise politique qui ébranle les Pays-Bas depuis près de cinq mois. Le candidat d’extrême droite, qui s’est illustré par ses positions anti-islam et anti-Union Européenne, ne perd toutefois pas espoir, et estime que "la démocratie sera morte" si on l’empêche à nouveau d’être Premier ministre malgré une nouvelle victoire électorale.
Reste que celle-ci n’est pas garantie : "Il est impossible de prédire pour l’instant qui pourrait remporter les élections, car quatre partis sont à égalité pour la première place", a indiqué à l’AFP Sarah de Lange, professeure de sciences politiques à l’Université de Leyde.
Dans le cas d’une victoire de l’extrême droite, la course à la deuxième place est cruciale, car celui qui la décrochera aura probablement le privilège de former une coalition, le PVV risquant d’être un vainqueur isolé.
A ce stade, c’est l’alliance Verts-Parti travailliste qui détient la deuxième position dans les sondages. Elle est menée par l’ancien vice-président de la Commission européenne Frans Timmermans, qui se présente comme une valeur sûre, dotée d’une forte expérience en matière de climat.
Mais l’alliance est concurrencée par l’étoile montante du centre droit, Henri Bontenbal (CDA, chrétiens-démocrates), 42 ans, qui promet un "retour à la normale" après le chaos de ces dernières années, appelant à combattre la polarisation politique. Après des années de prises de becs entre politiciens, les électeurs néerlandais semblent lassés : l a moitié déclarait encore être indécise à la veille du scrutin. Mais pour le patron des chrétiens-démocrates, une chose demeure certaine, "les Néerlandais ne sont extrêmes ni d’un côté ni de l’autre".
Dans ce pays qui figure parmi les plus densément peuplés d’Europe, la crise du logement arrive régulièrement en tête des préoccupations des électeurs. Elle est ensuite suivie par l’immigration, la santé, la criminalité et le coût de la vie, selon un sondage de EenVandaag. Le climat semble être l’un des sujets les moins importants de cette campagne.
En matière de politique internationale, la défense du pays est la principale préoccupation des électeurs, suivie par la guerre en Ukraine, puis celle à Gaza.
Quant à la campagne en elle-même, elle ne s’est pas illustrée par son apaisement. Cette période a été entachée de violences lors de manifestations anti-immigration, et de désinformation. Deux députés du PVV ont anonymement diffusé des images générées par IA visant à discréditer le candidat Frans Timmermans, forçant Geert Wilders à lui présenter des excuses.
Les électeurs ont le choix entre pas moins de 27 partis, chacun ayant une liste de candidats se disputant 150 sièges au Parlement. Le scrutin est proportionnel.
Cela signifie que les Néerlandais doivent composer avec un énorme bulletin de vote de la taille d’une feuille A3, avec tous les noms des candidats. Le nombre total de voix est divisé par 150 et tout parti atteignant le seuil minimal - légèrement inférieur à 71 000 aux dernières élections - remporte un siège au Parlement.
Aux Pays-Bas, pays du compromis, aucun parti n’est assez dominant pour remporter une majorité absolue de 76 sièges. Les Néerlandais sont donc habitués aux coalitions multipartites. Les négociations pour former une coalition commencent immédiatement après les sondages de sortie des urnes et durent souvent plusieurs mois. La formation du dernier gouvernement a pris 223 jours. "Il est très probable que la formation d’une coalition prendra longtemps, disons entre six mois et un an", observe Sarah de Lange.

© afp.com/Sem van der Wal
Les Etats-Unis ont informé la Roumanie et ses alliés qu’ils allaient réduire une partie de leurs troupes déployées sur le front oriental de l’Europe, a annoncé mercredi 29 octobre le ministère roumain de la Défense dans un communiqué.
"La décision des Etats-Unis est de suspendre la rotation en Europe d’une brigade qui avait des éléments dans plusieurs pays de l’Otan", a précisé le ministère, soulignant que quelque 1 000 soldats américains resteraient déployés sur son territoire après cette réévaluation.
"Nous ne parlons pas d’un retrait des forces américaines, mais de la cessation de la rotation d’une brigade qui avait des éléments dans plusieurs pays de l’Otan, y compris la Bulgarie, la Roumanie, la Slovaquie et la Hongrie", a précisé le ministre de la Défense, Ionut Mosteanu, lors d’une conférence de presse, tenue peu après la publication du communiqué de son ministère. "Environ 1 000 soldats américains resteront en Roumanie, contribuant à dissuader toute menace et représentant une garantie de l’engagement des Etats-Unis envers la sécurité régionale", a-t-il insisté.
"Les capacités stratégiques restent inchangées", a-t-il encore dit, précisant que "le système de défense antimissile à Deveselu restait pleinement opérationnel. La base aérienne de Campia Turzii continue d’être un point essentiel pour les opérations aériennes et la coopération alliée, la base de Mihail Kogalniceanu continue d’être développée, et le drapeau américain restera présent sur ces trois sites". "Un groupe de combat aérien restera à la base de Kogzlniceanu, comme c’était le cas avant le déclenchement du conflit en Ukraine", a ajouté Ionut Mosteanu.
Selon le ministère roumain de la Défense, "la décision était attendue" et est "le résultat des nouvelles priorités de l’administration présidentielle (américaine), annoncées en février".
La réduction de la présence militaire des Etats-Unis en Europe est un "ajustement" qui n’empêchera pas les forces américaines de rester "plus importantes" qu’elles ne l’ont été depuis des années, a par ailleurs affirmé un responsable de l’Otan. "Même avec cet ajustement, la présence des forces américaines en Europe reste plus importante qu’elle ne l’a été depuis de nombreuses années, avec beaucoup plus de forces américaines sur le continent qu’avant 2022", année de l’invasion russe en Ukraine, a précisé ce responsable à l’AFP.

© Getty Images via AFP
Après avoir frappé "des dizaines de cibles terroristes" dans la bande de Gaza dans la nuit de mardi à mercredi, en représailles à une attaque mortelle contre l’un de ses soldats, Israël a annoncé mercredi 29 octobre un retour au cessez-le-feu. La tension montait depuis plusieurs jours entre l’Etat hébreu et le Hamas, qui n’a toujours pas restitué l’ensemble des corps d’otages qu’il détient. Alors que les frappes israéliennes ont fait plus de 100 morts, selon la Défense civile et les hôpitaux de Gaza, Donald Trump a assuré que la trêve tenait malgré tout.
Les infos à retenir
⇒ Israël dit reprendre le cessez-le-feu à Gaza après ses frappes
⇒ La Défense civile et les hôpitaux de Gaza font état d’un bilan de plus de cent morts
⇒ Donald Trump affirme que "rien" ne compromettra le cessez-le-feu
L’armée israélienne a annoncé ce mercredi matin un retour au cessez-le-feu dans la bande de Gaza après avoir mené depuis la veille une série de frappes contre "des dizaines" de cibles. "Après une série de frappes au cours desquelles des dizaines de cibles terroristes et de terroristes ont été frappés", l’armée "a repris l’application du cessez-le-feu à la suite de sa violation par le Hamas", a annoncé un communiqué. L’armée a ajouté avoir visé "dans le cadre de ces frappes" 30 chefs de mouvements armés opérant dans le territoire palestinien.
Mardi, Israël avait accusé le Hamas d’avoir rompu la trêve en attaquant ses troupes et tuant l’un de ses soldats, Yona Efraim Feldbaum, 37 ans. Ce mercredi, le ministre israélien de la Défense a averti que les dirigeants du Hamas ne bénéficieraient pas d’immunité : "Il n’y a et il n’y aura aucune immunité pour quiconque dans la direction de l’organisation terroriste Hamas — ni pour ceux en costume ni pour ceux cachés dans les tunnels", a écrit Israël Katz dans un communiqué en faisant référence notamment aux dirigeants politiques du Hamas présents au Qatar. "Quiconque lèvera la main contre les soldats de Tsahal verra sa main tranchée", a-t-il déclaré.
@lexpress 🇮🇱 Depuis la signature de l’accord de paix entre Israël et le Hamas, les observateurs s’interrogent sur l’avenir politique du Premier ministre israélien. Pour Karim Emile Bitar, spécialiste du Moyen-Orient et de la politique étrangère des États-Unis, Benyamin Netanyahou "sait que l'heure des comptes va peut-être venir". 🔗 Lien en bio #israel #monde #trump #netanyahou #news #newsattiktok #apprendresurtiktok #sinformersurtiktok
♬ son original - L’Express
Plus de cent personnes ont été tuées dans les bombardements israéliens pendant la nuit dans la bande de Gaza, ont annoncé mercredi la Défense civile et plusieurs hôpitaux.
"Au moins 101 morts ont été transportés dans les hôpitaux, dont 35 enfants, plusieurs femmes et personnes âgées, à la suite des frappes aériennes israéliennes en moins de 12 heures", a déclaré le porte-parole de la Défense civile, une organisation de secours opérant sous l’autorité du Hamas, Mahmoud Bassal.
Des sources dans cinq hôpitaux du territoire palestinien, qui ont reçu les victimes, ont confirmé le chiffre.
Après la reprise des frappes israéliennes sur le territoire palestinien, le président américain Donald Trump a affirmé mercredi que "rien" ne compromettra le cessez-le-feu à Gaza, estimant qu’Israël devrait "riposter" si ses soldats étaient tués. "Ils ont tué un soldat israélien. Donc les Israéliens ripostent. Et ils devraient riposter", a déclaré le président américain aux journalistes à bord de son avion Air Force One.
Malgré les violences, le vice-président américain J.D. Vance a lui aussi affirmé que le cessez-le-feu tenait à Gaza. "Nous savons que le Hamas ou quelqu’un d’autre à Gaza a attaqué un soldat" israélien, "mais la paix du président (Donald Trump) va tenir", a-t-il déclaré.

© afp.com/Eyad BABA

M6 proposait un best of de Ça peut vous arriver ce mardi 28 octobre 2025. Julien Courbet a réalisé un incroyable coup de théâtre…
TF1 a réalisé un record d'audience avec une nouvelle édition de la quotidienne de Star Academy ce mardi 28 octobre 2025. Récemment, le salaire des élèves a été révélé…
M6 a dominé les audiences avec La France a un incroyable talent . De son côté, TF1 est juste derrière avec Harry Potter et la Chambre des secrets , le second volet de la saga. Tandis que le documentaire Sur la terre des dinosaures déçoit sur France 2, le mardi 28 octobre 2025.