↩ Accueil

Vue normale

Reçu aujourd’hui — 24 décembre 2025 7.4 📜 Résumé - Infos

Japon: après de nombreux abattages d'ours, leur viande est proposée à la carte des restaurants

24 décembre 2025 à 18:29
Après de nombreux abattages d’ours au Japon, ces restaurants mettent leur viande à la carte. Le Japon fait face à de très nombreuses attaques d’ours. Pour protéger la population, les autorités n'hésitent pas à abattre les animaux sauvages. En six mois, plus de 9.000 bêtes ont été tuées. Mais que faire de ces animaux qui peuvent parfois peser une demi-tonne ? Et bien quitte à choisir, le gouvernement japonais préfère inciter à vendre la peau de l’ours plutôt que de l’enterrer.

RENCONTRE. "J’imite le réel, comme un faussaire, mais en y injectant de la poésie…" : Christine Röhlich donne vie au papier et impose son réalisme poétique du Lot jusqu’à Chambord

24 décembre 2025 à 19:01
À Pinsac, dans le nord du Lot, l’artiste Christine Röhlich façonne des sculptures en papier d’un réalisme saisissant. Autodidacte, passée de la communication à l’art, elle revendique une "taxidermie alternative" et...

La grippe continue à grimper, le pic probablement imminent

Par :AFP
24 décembre 2025 à 16:58
L'épidémie de grippe continue de s'intensifier en France mais reste pour l'heure "modérée", selon un bilan publié mercredi par l'agence de santé publique, le pic épidémique devant être atteint d'ici à début janvier, d'après de nouvelles modélisations. La semaine dernière, achevée le 21 décembre, "l'activité grippale poursuivait sa progression dans l'ensemble des régions hexagonales, toutes en épidémie", a résumé Santé publique France (SpF) dans un bilan hebdomadaire. Depuis plusieurs semaines, l'épidémie de grippe saisonnière a gagné toute la métropole.

Sécheresse en Iran: les réservoirs d'eau alimentant la capitale presque à sec

Par :AFP
24 décembre 2025 à 16:19
L'un des principaux réservoirs alimentant la capitale iranienne reste en grande partie vide, en dépit de pluies hivernales sporadiques, après la pire sécheresse qu'ait connue le pays depuis des décennies, ont rapporté mercredi les médias locaux. Des pluies intermittentes sont tombées sur Téhéran depuis début décembre après plusieurs mois de sécheresse, permettant un remplissage partiel de certains des réservoirs de la ville, mais laissant les niveaux globaux à un seuil critique. "Sur une capacité totale de stockage d'eau de 205 millions de mètres cubes dans les réservoirs du barrage d'Amir Kabir, seuls 6 millions de mètres cubes d'eau sont stockés derrière ce barrage", a rapporté l'agence locale Tasnim.

Algérie : ce que contient la loi qualifiant la colonisation française de "crime d’État"

24 décembre 2025 à 16:26

L’histoire coloniale française au cœur d’une nouvelle loi votée de l’autre côté de la Méditerranée. Le Parlement algérien a adopté ce mercredi 24 décembre un texte destiné à faire porter à l’État français "la responsabilité juridique de son passé colonial en Algérie et des tragédies qu’il a engendrées". Tandis que les tensions entre Paris et Alger demeurent très fortes, les députés algériens se sont prononcés à l’unanimité en faveur de cette proposition de loi. Les parlementaires ont d’ailleurs accueilli son approbation avec des applaudissements, portant l’écharpe aux couleurs du drapeau de leur pays autour du cou.

Demande d'"excuses" à la France

Dans le détail, que contient cette nouvelle loi ? Elle considère comme "un droit inaliénable pour l’État et le peuple algériens" le fait de voir la France apporter une "indemnisation complète et équitable pour tous les dommages matériels et moraux" liés à sa colonisation du pays, entre 1830 et 1962, date des accords d’Évian marquant la fin de la guerre d’Algérie. De façon plus précise encore, des "excuses officielles" sont demandées à Paris par Alger, tout comme des "réparations intégrales" pour ses actions passées. Toute une série d’épisodes historiques, qualifiés de "crimes coloniaux" par le document, sont listés : "exécutions extrajudiciaires", "pratique de la torture physique et psychologique", "pillage systématique des richesses"…

La question des 17 essais nucléaires français menés en Algérie dans le désert du Sahara entre 1960 et 1966 est également évoquée. La nouvelle loi réclame que la France s’emploie à décontaminer les zones touchées par ces opérations, mais aussi qu’elle indique à Alger de manière précise quelles zones ont pu être creusées afin d’y enfouir des déchets toxiques. Certains habitants des régions où ont été réalisés les essais dans les années 60 connaissent toujours aujourd’hui des problèmes de santé en raison du manque de dépollution de ces territoires.

Le texte demande aussi la restitution de l’ensemble des biens transférés hors d’Algérie, y compris les archives nationales. Par ailleurs, sur le plan intérieur, il prévoit des peines de prison et une interdiction des droits civiques et politiques pour toute personne "promouvant" la colonisation ou niant qu’elle soit un crime. Ces faits sont désormais jugés imprescriptibles. Enfin, cette loi qualifie de "haute trahison" la "collaboration des harkis", le nom donné aux auxiliaires algériens de l’armée française.

Portée avant tout symbolique

Concrètement, le vote du Parlement algérien n’engendrera pas de répercussions sur le plan légal pour Paris. "Juridiquement, cette loi n’a aucune portée internationale et ne peut donc obliger la France", a souligné, auprès de l’AFP, Hosni Kitouni, chercheur en histoire de la période coloniale à l’université britannique d’Exeter. Toutefois, selon cet expert, "elle marque un moment de rupture dans le rapport mémoriel avec la France". Le vote de ce texte, avant tout symbolique, intervient au moment où les deux pays sont coincés dans une discorde persistante depuis la reconnaissance par le président français, Emmanuel Macron, de la souveraineté marocaine du Sahara occidental – région où les indépendantistes du Front Polisario sont soutenus par Alger.

Les autorités françaises, à l’image du ministère des Affaires étrangères, n’ont pas souhaité faire de commentaire sur le contenu du texte avant son vote. Si la libération de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, gracié mi-novembre à la faveur de négociations menées par l’Allemagne, avait pu laisser croire à une désescalade, l’espoir a fait long feu.

Le cas du journaliste français Christophe Gleizes, toujours emprisonné en Algérie et dont Paris conteste la peine, en est d’ailleurs l’illustration. Un temps évoqué, une rencontre entre Emmanuel Macron et le président algérien Abdelmadjid Tebboune en marge du G20 à Johannesburg (Afrique du Sud) en novembre n’a finalement jamais eu lieu.

© afp.com/Ludovic MARIN

Les prix des PC vont changer : ce que l’industrie sait… et que les consommateurs ignorent encore

24 décembre 2025 à 17:01
La hausse des prix de la mémoire, tirée par l’essor de l’intelligence artificielle, devrait entraîner une augmentation des tarifs des ordinateurs dès début 2026. Asus et Acer confirment une tendance qui pourrait durer plusieurs années et se traduire par des configurations revues à la baisse pour...

❌