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À partir d’avant-hier7.2 📜 Résumé - Apple

iPhone 16 Pro Max : la batterie serait prise en sandwich dans l'acier

L'ajout d'un boitier métallique pour la batterie de l'iPhone 16 Pro Max semble se confirmer. Tous les iPhone de 2025 en profiteraient ensuite.

Ming-Chi Kuo s'attarde sur le composant batterie du prochain iPhone 16 Pro version Max. L'analyste indique que sa batterie gagnerait en densité ce qui pourrait se traduire par une amélioration de l'autonomie (à moins que ce changement soit négligeable ou qu'il ne serve qu'à compenser de nouveaux postes de consommation).

Cette densité supérieure entrainerait une dépense énergétique plus importante avec un dégagement de chaleur en hausse. Apple se serait tournée vers le fournisseur Sunway pour obtenir un boitier en acier inoxydable qui prendrait la batterie en sandwich. Il en résulterait une meilleure dissipation thermique.

Le propos de Ming-Chi Kuo s'inscrit dans la droite ligne d'une rumeur de novembre dernier où l'on avait vu une pièce correspondant en tout point à cette description (lire aussi La batterie des iPhone 16 Pro pourrait être recouverte de métal).

Source : @KosutamiSan.

L'aluminium aurait été un choix plus logique mais l'analyste avance des arguments en faveur de l'acier inoxydable comme la résistance à la corrosion, la robustesse et une meilleure protection pour la batterie. Cet ensemble serait aussi plus simple à retirer lors des réparations alors que cette exigence est de plus en plus importante dans les réglementations.

Sous réserve que tout se passe comme prévu dans les quantités requises par Apple, ce conditionnement pourrait être étendu à toute la gamme des iPhone de l'année prochaine, complète Ming-Chi Kuo.

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Sonos Ace : nouvelles photos et détails sur le premier casque de Sonos

Mise à jour le 19 mai : les clients de Sonos ont reçu un mail ce jour les avertissant d'une annonce de son « produit le plus demandé » pour le 21 mai à 15h.


Article original du 17 mai

Il ne va plus rester beaucoup de choses à annoncer pour le Sonos Ace tant les fuites sont importantes pour ce premier casque de la marque américaine. C'est au tour de WinFuture de publier des détails et surtout des photos tirées du lot d'images marketing du fabricant. Elles donnent une vue plus précise du casque et de ses lignes que les visuels précédents.

D'après les descriptions techniques, l'Ace aura, comme sur l'AirPods Max, 8 microphones pour réaliser la réduction active du bruit et le contrôle par la voix (les enceintes sont dotées de Sonos Voice Control, un assistant ciblé sur la musique qui opère en local, à voir s'il s'en sert également). L'audio spatial et l'écoute en Lossless sont au menu tout comme un mode type transparence.

L'autonomie peut atteindre jusqu'à 30h, a priori avec la réduction active du bruit et la recharge complète prend 3h. Mais on peut récupérer 3h d'écoute au bout de 3 minutes de charge.

Les illustrations qui figuraient dans un brevet de Sonos de 2019 pour son casque.

Cela avait été avancé précédemment, les propriétaires des barres de son récentes de Sonos pourront rediriger leur son vers le casque d'un simple geste. Pas de connecteur jack de 3,5 mm, mais un câble adaptateur est fourni pour l'utiliser sur le port USB-C.

Quant aux contrôles de lecture, ils s'opèrent depuis la surface tactile de l'écouteur droit. Le casque paraît moins mastoc que d'autres, mais il n'est pas léger visiblement. Sa fiche parle de 312 grammes. Pour comparaison, l'AirPods Max fait 383,8 grammes, le Sony WH-1000XM4 en fait 254.

Une précédente fuite avait montré un prix de 403 €. L'annonce ne devrait plus tarder puisque l'app dont aura besoin ce casque est déjà sortie, tant bien que mal (lire aussi Sonos corrige lentement les bugs et lacunes de sa nouvelle app).

Sonos semble en train d'organiser des présentations si l'on en juge par les autres photos qui circulent.

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Vente flash sur les iMac M1 à 16 Go de RAM et 1 ou 2 To de SSD

La Fnac fait une vente flash sur le premier iMac Apple Silicon avec de grosses configurations à la clef. Dans une probable volonté de déstockage, la Fnac brade plusieurs configurations d'iMac M1. Les plus intéressantes sont celles qui combinent 16 Go de RAM avec 1 ou 2 To de stockage.

  • iMac M1 en 16/1 To à 1 729 € en coloris argent
  • iMac M1 en 16/2 To à 2 049 € en coloris bleu et en argent
  • iMac M1 en 16/512 Go à 1 569 € en coloris argent

Ce sont des tarifs plus intéressants de quelques centaines d'euros que les iMac M3 et même face aux iMac M1 sur le refurb d'Apple.

Il faut juste souligner qu'il s'agit de configurations sans le clavier avec Touch ID et avec le nombre minimal de ports à l'arrière. Mais on est paré niveau RAM et stockage et le M1 se défend toujours sur ce type de machine généraliste. L'évolution de l'iMac vers les processeur M3 n'a pas renversé la table.

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Wear OS 5 : plus d'autonomie, de complications et d'infos pour l'utilisateur

Google a profité de sa conférence développeurs pour annoncer des améliorations dans Wear OS 5. Google a dit observer un intérêt croissant pour Wear OS 4 codéveloppé avec Samsung. Le parc d'utilisateurs de Wear OS a augmenté de 40 % en 2023, assure Google. Les deux protagonistes ont chacun lancé des montres avec cet OS — la Pixel Watch 2 pour l'un, les habituelles Galaxy Watch pour l'autre — et ils ont reçu la contribution de montres d'Oppo, Xiaomi et OnePlus.

Google Pixel Watch 2. Image : Google.

Cette montée en charge a conduit à consacrer du temps de développement pour améliorer les performances et réduire la consommation. Le principal acquis mis en avant pour le prochain Wear OS 5 (basé sur Android 14) est précisément l'autonomie.

Des optimisations arriveront après l'été pour réduire la consommation sur les montres qui pourront en être équipées. Google ne donne qu'un seul exemple des avancées obtenues : sur une distance de marathon la montre consommera 20 % d'énergie en moins qu'avec Wear OS 4.

Image : Google.

Sur la partie fitness, le système rattrape son retard sur ses concurrents en étant capable de fournir plus de données lors d'une course à pied, avec le temps de contact au sol, l'oscillation verticale et la longueur de foulée.

Nouveautés ensuite dans les cadrans au travers d'améliorations pour le Watch Face Format (ou "Format de cadran"). Contrairement à watchOS, les développeurs Android disposent d'outils de création et de test de cadrans que l'utilisateur téléchargera ensuite sur le Play Store. Une liberté inconnue chez Apple qui est la seule officiellement à pouvoir élaborer des cadrans qu'elle distille lors de certains rendez-vous annuels.

Une sélection de cadrans tiers pour Wear OS.

Là où Wear OS 5 se rapproche de watchOS c'est dans la capacité pour les développeurs de proposer des jeux de cadrans tout prêt : des "flavors". Ils peuvent être classés par thème et utiliser un assortiment de complications. Ceci pour ceux qui n'ont pas envie de passer du temps à composer un cadran de zéro et qui préfèrent piocher dans une galerie. Apple propose la même chose, mais avec ses cadrans à elle comme base de composition.

Les "flavors" des cadrans prêts à l'emploi proposés par une app qui y glisse ses complications.

Les complications ensuite seront capables de traduire visuellement un événement en cours. Cela peut être la progression sur une distance ou un nombre de pas. Un second type de complication affichera la représentation graphique d'une pondération, comme les différentes phases d'une journée (ex : la part de sommeil par rapport au temps passé éveillé).

La version 2 du Watch Face Format de Wear OS 5 prévoit de puiser dans beaucoup plus de sources de données pour alimenter les complications d'un cadran. Et ce sont les informations météo qui sont le mieux loties. Tout ce à quoi on est depuis longtemps habitué dans les complications de watchOS sera proposé dans celles de son concurrent : écarts de température, risques de pluie ou de nuages, indice, UV, etc.

Enfin les développeurs d'apps sont accompagnés dans l'adaptation de leurs interfaces pour qu'elles utilisent au mieux des écrans de plus grands diamètres puisque telle est la tendance avec les nouvelles montres.

Au vu des conseils et explications, c'est toujours le format circulaire qui forme la base de Wear OS. Sur ce point, les systèmes d'Apple et de Google continuent de marquer clairement leurs différences.

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Google Photos : la recherche va apprendre le langage naturel

Avec Ask Photos, Google va intégrer une fonction de recherche en langage naturel dans Google Photos pour aller au-delà des simples mots clefs.

C'est une fonction encore expérimentale qui a été révélée durant la Google I/O. Ask Photos est toutefois destiné à intégrer Google Photos à terme et il vise les utilisateurs lambda.

Sundar Pichai lors de la Google I/O.

Google emploie son modèle Gemini pour autoriser des requêtes en langage naturel plutôt que des mots clefs tapés à la queue leu leu dans un champ de recherche. Illustration de cette possibilité avec la requête : « montre-moi les meilleures photos de chacun des parcs nationaux que j'ai visités ». Ask Photos retourne une liste de clichés qu'il estime pertinents.

Gemini ne va pas se contenter des métadonnées d'une image et de certains de ses attributs pour remonter des photos ou vidéos à la surface de l'écran, il analyse également le contenu d'une scène, les personnes qui y sont et divers détails secondaires qui la constituent.

L'exemple suivant est la requête : « Quels sont les thèmes que nous avons utilisés pour les fêtes d'anniversaire de Lena ? » Arrive alors une liste d'images où l'on peut voir la décoration des lieux ou les déguisements des enfants qui sont autant d'indices et d'indications.

Dans les deux cas, les galeries de photos obtenues en réponse sont complétées d'un résumé textuel sur la raison de leur choix. Dans le second exemple, Gemini rédige une synthèse des thèmes utilisés pour chacun des anniversaires.

Enfin, Gemini pourra venir à la rescousse pour faire le tri dans les quantités volumineuses de photos que l'on aura rapporté d'un voyage. Il aura pour mission, sur demande, d'en dégager les plus intéressantes ou représentatives et même de rédiger une légende en vue d'un partage sur les réseaux sociaux.

Ne manque plus que Gemini vous disent quoi photographier durant un voyage et la boucle sera bouclée…

Astuce : avoir la fonction « Encercler pour chercher » des téléphones Android sur iPhone

Astuce : avoir la fonction « Encercler pour chercher » des téléphones Android sur iPhone

Les outils de retouche photo par IA de Google arrivent sur iOS

Les outils de retouche photo par IA de Google arrivent sur iOS

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L'iPhone 13 mini est de retour sur le refurb d'Apple

Le refurb d'Apple s'est réapprovisionné en iPhone 13 mini. Cela fait quelques semaines que les iPhone reconditionnés sont revenus sur l'Apple Store après une longue absence.

Le modèle 128 Go de l'iPhone 13 mini (coloris minuit) y est vendu 519 €. C'est un tarif plus élevé que ceux pratiqués ailleurs en reconditionné pour ce mini (c'est le cas aussi pour les autres iPhone 13, 13 Pro et 13 Pro Max du refurb) mais on bénéfice d'une plus grande assurance sur la qualité du reconditionnement et on dispose de la même garantie qu'un appareil neuf de l'Apple Store.

Refurb : que valent les iPhone reconditionnés d

Refurb : que valent les iPhone reconditionnés d'Apple ?

Le format mini ayant ses amateurs, on conseillera davantage l'offre reconditionnée d'Apple pour ce modèle en particulier. Surtout qu'il est moins souvent présent que les autres sur le refurb.

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40 millions d'utilisateurs regardent Netflix avec des pubs

Les rangs des abonnés à la formule payante avec des publicités de Netflix continuent de grossir. L'offre gagne en popularité face à des formules sans pub encore dominantes.

Netflix a fait un point d'étape sur l'attractivité de sa formule d'abonnement avec des publicités lors d'une conférence destinée aux annonceurs. Il s'agissait de les convaincre de venir placarder plus de pubs. Le service a déclaré avoir 40 millions d'utilisateurs mensuels actifs à travers le monde sur cette offre la moins chère de sa grille. Ils étaient 5 millions il y a un an, 12 millions en octobre et 23 millions en janvier.

Crédit : Netflix.

Autre donnée qui témoigne de cet intérêt croissant, plus de 40 % des nouvelles souscriptions vont vers cette offre dans les pays où elle existe. Les opportunités sont loin d'être épuisées, car ce mode d'accès est très loin d'être déployé (son lancement date de la fin 2022).

Netflix n'a pas précisé où il en était sur ce point. En janvier dernier il n'y avait encore que 12 pays alors que le service est « virtuellement présent partout » dans le monde — sur plus de 130 marchés — exception faite de la Chine et de la Russie. En l'absence d'une disponibilité plus globale, cette offre reste largement minoritaire. Elle pèse pour un peu moins de 15 % des abonnés, ceux-ci étant 270 millions au total.

D'autres chiffres ont été avancés pour tenter d'établir un portrait-robot du client type de cette formule (vendue 5,99 € par mois en France contre 13,49 € pour la suivante dépourvue réclames). Il a 37 ans en moyenne, il est plus jeune et dispose de revenus supérieurs à celui du public de la télévision linéaire.

70 % de ces abonnés regardent Netflix plus de 10 heures par mois, 50 % le font plus de 20 heures. Autre argument à destination des annonceurs : « Les membres de Netflix sont environ deux fois plus susceptibles de réagir à une publicité sur Netflix par rapport aux autres services de streaming et de télévision linéaire. ».

Au fil du temps Netflix a rebattu les cartes de ses formules en musclant la première. Les programmes sont diffusés en 1080p (mais on n'a pas accès à 100 % du catalogue, c'est le cas uniquement pour les jeux mobiles), on peut utiliser deux appareils à la fois qui peuvent chacun profiter de la fonction de téléchargement.

L'un de ses principaux concurrents à Netflix, Disney+, a aligné une offre au même prix et avec des caractéristiques similaires, sans limites sur le catalogue, mais sans la fonction de téléchargement.

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Publicité iPad : la créativité opportuniste de Samsung

La débâcle qui a suivi la diffusion de la publicité Crush! d'Apple pour ses iPad M4 a ouvert une porte à Samsung qui s'y est engouffré avec une petite vidéo publiée sur X.

Une jeune femme ramasse une guitare amochée et s'assoit sur le plateau d'une presse hydraulique. Celle d'Apple après la destruction de multiples objets utilisés par des musiciens et artistes.

We would never crush creativity. #UnCrush pic.twitter.com/qvlUqbRlnE

— Samsung Mobile US (@SamsungMobileUS) May 15, 2024

La jeune femme se lance alors dans un morceau sur sa guitare désaccordée, en lisant une partition posée sur un chevalet, laquelle est affichée sur une tablette… Samsung. Le slogan « Creativity cannot be crushed » conclut la séquence. Un timing aux petits oignons, pile le jour du lancement des derniers iPad.

La pub « Crush! » d

La pub « Crush! » d'Apple a eu une lointaine cousine chez LG

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Prise en main du bracelet Sport Band phosphorescent de Nomad

Nomad a lancé une seconde version de son bracelet Sport Band dans une édition particulière puisque la matière est phosphorescente. Ça ne vous aidera pas à remplir vos anneaux plus vite, mais vous vous distinguerez d'une autre manière.

En pleine lumière, le Sport Band "Glow 2.0" arbore un coloris vert tirant sur le jaune, à la manière du "Volt" de Nike, mais en plus éteint. Il n'a rien de particulier dans ces conditions. On a affaire à un bon bracelet typé sport, dans l'esprit de celui d'Apple avec le même principe de fermeture, sinon que les perforations sont rectangulaires et qu'il est un poil plus épais. On avait déjà essayé une version de ce Sport Band avec satisfaction.

Tout l'intérêt du modèle Glow 2.0 réside dans sa phosphorescence. Le bracelet semble littéralement s'allumer dans un environnement sombre. L'effet est homogène et l'éclat dégagé peut être particulièrement vif à son maximum. On n'exagèrera pas en disant qu'on peut éclairer une petite surface en la frôlant avec le bracelet.

La montre avait été placée sous une lampe, l'effet lumineux est maximal.
Nomad présente cette version 2.0 comme trois fois plus phosphorescente que la précédente.

Pour donner son maximum, il vaut mieux que le bracelet ait été posé sous une source lumineuse quelques minutes (en extérieur, le soleil a manqué pour juger de son apport). L'effet va perdurer — on passera aisément la soirée et la nuit — mais en s'estompant progressivement. Si vous vous contentez de garder le bracelet au poignet en plein jour, au bureau par exemple, cela suffit à le rendre suffisamment phosphorescent. Ce ne sera pas aussi fort, mais votre bracelet restera repérable dès que la lumière est basse.

Après une journée passée dans une pièce bien éclairée.

Si, de base, la couleur vous sied, la phosphorescence ajoutera une touche originale à ce bracelet plutôt confortable. Il faudra simplement voir si, à l'usage, il ne se salit pas trop vite ou durablement. Ce Sport Band "Glow 2.0" est en rupture de stock chez Nomad, mais il est en vente chez le distributeur français Band-Band à 65 € en tailles 41 et 45/49 mm.

Un nouveau bracelet Glow phosphorescent en édition limitée chez Nomad

Un nouveau bracelet Glow phosphorescent en édition limitée chez Nomad

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Lydia Comptes devient Sumeria et rémunère son compte courant

Si vous laissez votre app Lydia Comptes se mettre à jour depuis l'App Store sans y prêter attention, il y a fort à parier qu'une surprise vous attende. La fintech a revu le nom, la charte graphique et l'offre de son service. Ne cherchez plus "Lydia Comptes" mais "Sumeria" dont la couleur fétiche est un vert qui sied davantage à l'univers feutré de la banque que le bleu employé jusqu'alors, ainsi qu'un zeste de skeuomorphisme comme à la grande époque.

Ce changement est la prolongation d'un autre survenu le mois dernier lorsque Lydia Solutions a décliné ses prestations en deux apps. D'un côté Lydia Comptes pour la partie bancaire, de l'autre le retour de Lydia, tout court, pour les paiements entre amis.

Lydia lance une seconde app plus épurée uniquement dédiée aux paiements entre amis

Lydia lance une seconde app plus épurée uniquement dédiée aux paiements entre amis

La nouvelle app Sumeria se veut un modèle de simplicité pour gérer ses dépôts sans trop de manipulations ni écrans. Pour aller vers son objectif de 5 millions de clients d'ici 2027, Sumeria utilise la rémunération de compte comme carotte. Elle est de 4 % durant les trois premiers mois qui suivent l'ouverture du compte puis elle descend à 2 % (le taux est appliqué si le client a atteint le nombre minimal de transactions par carte Sumeria dans le mois fixé à 15 transactions par mois).

Ce compte courant est accompagné d'une carte VISA sans frais à l’étranger, d'un IBAN et des cartes virtuelles pour payer en ligne de manière plus sécurisée.

La prochaine étape pour Lydia pourrait être celle des offres de crédit avant 2026, une activité pour laquelle la fintech a fait une demande d'agrément.

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Refurb : -470 € sur le Mac mini M2 Pro, -1 000 € sur le Mac Studio M2 Ultra

Des Mac mini sont revenus sur le refurb et un trio de Mac Studio bien équipés est proposé depuis quelques jours. Le Mac mini n'est pas fréquemment sur le refurb et cette fois on a droit à deux générations.

  • Mac mini M1 (CPU 8 cœurs et GPU 8 cœurs) en 8/256 Go à 539 €
  • Mac mini M2 Pro (CPU 10 cœurs et GPU 16 cœurs) en 16/512 Go à 1 319 € (-230 €)
  • Mac mini M2 Pro (CPU 12 cœurs et GPU 19 cœurs) et 10 Gigabit Ethernet en 32/1 To à 2 299 € (-400 €)
  • Mac mini M2 Pro (CPU 12 cœurs et GPU 19 cœurs) et 10 Gigabit Ethernet en 32/2 To à 2 689 € (-470 €)

Ensuite ces trois Mac Studio plutôt bien équipés chacun. Les réductions sont importantes, on ne trouve jamais de promotions ailleurs sur cette machine.

  • Mac Studio M2 Max (CPU 12 cœurs et GPU 38 cœurs) en 64/4 To à 3 799 € (-670 €)
  • Mac Studio M2 Ultra (CPU 24 cœurs et GPU 60 cœurs) en 64/1 To à 4 079 € (-720 €)
  • Mac Studio M2 Ultra (CPU 24 cœurs et GPU 60 cœurs) en 192/1 To à 5 639 € (-1000 €)
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