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Aujourd’hui — 20 mai 20247.2.1 🍏 Sites principaux

Kernel Panic : l’iPad, stop ou encore ?

‌Kernel Panic, c’est le podcast long format de MacGeneration réservé aux abonnés du Club iGen. Publié deux fois par mois, il entre en détail sur un sujet lié à Apple ou au monde de la tech.

Après une année 2023 sans aucune tablette, Apple est revenue à la charge avec de nouveaux iPad Pro et iPad Air. Les nouvelles machines haut de gamme introduisent plusieurs nouveautés, avec entre autres une puce M4, un écran OLED ou encore un design plus fin. De son côté, la gamme iPad Air se base désormais sur la puce M2 et gagne un nouveau format 13".

Comme d’habitude, ces tablettes embarquent du matériel de haute volée qui laisse sur le carreau bon nombre d’ordinateurs portables. Cette débauche de moyen ne manque pas de soulever quelques interrogations : Apple doit-elle continuer à livrer des tablettes plus puissantes et plus fines, ou faudrait-il plutôt penser à changer de formule ? Quid du futur d’iPadOS ? Faut-il greffer macOS aux tablettes ? Autant de questions abordées dans ce nouvel épisode de Kernel Panic en compagnie de Pierre et Florian.

Bonne écoute !

Pour aller plus loin

Pourquoi mettre macOS sur un iPad, alors que les Mac-users utilisent tous iPadOS ?

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Prise en main des Magic Keyboard pour iPad Pro M4

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Aperçu des nouveaux iPad Pro M4 : tout en finesse

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Hier — 19 mai 20247.2.1 🍏 Sites principaux

Le démontage de l'iPad Pro M4 de 13 pouces par iFixit

19 mai 2024 à 13:47
L'iPad Pro M4 est passé sous les tournevis d'iFixit dans sa grande version avec un écran de 13 pouces. On peut ainsi découvrir le démontage de la tablette qui nous montre la nouvelle organisation des composants, avec un positionnement central de la carte mère pensé pour améliorer la solidité...

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http://macbidouille.com/news/2024/05/19/les-cpu-des-mac-rosetta-2-arm-apple-silicon

Un épisode hors-série, entre les années 1994 marquant le passage au PowerPC et l'année 1995 qui verra arriver les premiers clones qui sont d'une certaine façon des "hackintosh", pour décrire ce que fait Rosetta 2 en liaison avec les CPU des Apple Silicon, et pourquoi elles sont conçues pour Rosetta 2 et vice-versa...

Dans le dernier chapitre, je vais pouvoir conclure sur les limites de l'exécution x86 sur ARM contenu dans Windows on ARM, ce qui explique pourquoi les PC ARM étaient très lents, sont encore très lents et pourraient le rester pour les logiciels x86.

Transpilation Quésako?

Il y a différentes façon d'exécuter du code créé pour une autre architecture, et si l'émulation instruction par instruction a été choisi pour le passage du 68k au PowerPC, c'est la transpilation qui a servi lors du passage du x86 à ARM pour Rosetta 2.

La transpilation dans Rosetta 2 consiste à prendre des segments de code x86 d'un logiciel, et d'en transformer chaque instruction en code ARM natif à la première exécution pour recréer de nouveaux segments de code qui sont alors conservés pour ne pas refaire l'opération à chaque lancement du logiciel.

Certaines instructions sont directement transformables, d'autres nécessitent plusieurs instructions ARM pour une instruction x86, mais il peut aussi arriver que plusieurs instructions x86 puissent être regroupées en une instruction ARM.

L'idée étant qu'après la transpilation via Rosetta 2, un logiciel x86 possède le code ARM effectuant les mêmes actions et soit directement exécutable par les SoC Apple Silicon.

L'ordre des octets dans les mots (Endianness)

Dès qu'un microprocesseur manipule des données dépassant la longueur du Byte, l'unité qui est maintenant souvent un octet de 8 bits, il faut décider comment on ranges ses informations en mémoire.

Pour un nombre 16 bits sur un bus mémoire 8 bits, il faut stocker celui-ci sur 2 octets consécutifs, mais quand certains concepteurs ont choisi de mettre d'abord la partie basse (petite ou little) puis la partie haute (grande ou big) dans l'adresse mémoire suivante, d'autres ont fait le choix inverse.

Le problème est que le x86 fonctionne sur ce point à l'inverse des ARM, nécessitant alors lors de l'émulation ou de l'exécution de code transpilé, de lire l'ensemble des données dès qu'elles font plus de 8 bits et d'inverser alors leur ordre dans le registre d'accueil, et pareil lorsqu'on écrit ces données.

Las, il n'y a pas d'instruction permettant de faire cela dans l'architecture ARM 64 bits, mais une suite d'instructions de référence certes optimisée mais coûteuse en latence par leurs chaînes de dépendance.

Apple a résolu le problème en introduisant des instructions propriétaires de lecture et écriture mémoire dans son silicium pour Rosetta 2 qui renversent l'ordre des octets dans les mots de 16 bits ,32 bits et 64 bits.

Du coté de l'émulateur de Microsoft intégré dans WoA, il semble qu'il y ai des optimisations pour éviter cette série d'instruction autant que possible, mais il n'y a pas de miracle, il y a de fortes pénalités sur les accès mémoires surtout sur des segments de code générique sans contexte.

Drapeau Parité & sauts indirects

La parité parlera aux plus anciens d'entre vous: c'est le compte de bits à 1 dans un résultat d'opération sur le x86, qui peut être pair ou impair, et qui est stocké dans les drapeaux (Flags).

Pour des raisons historiques en lien avec les liaisons séries, le x86 intègre cela dans son registre d'état, mais pas l'architecture ARMv8.

En théorie, après quasiment chaque opération modifiant le registre d'état, il faudrait regénérer l'état de ce bit dans l'émulateur ou le code transpilé, et le stocker séparément dans un registre, ce qui est très couteux, plus encore que les accès mémoires.

Apple a résolu le problème en ajoutant un mode d'exécution propriétaire et le calcul de ce bit dit P dans un bit inutilisé des drapeaux de ses Apple Silicon, de manière transparente.

Là aussi la transpilation de code x86 nécessite de rajouter du code qui ralentit le fonctionnement, dans le cas ou les drapeaux seraient lus, stockés, etc.

Un exemple typique de code s'amusant (sic) avec les drapeaux (MS-DOS 4.0 devenu open-source).

Instructions vectorielles AVX, AVX-2 & AVX-512

Là c'est simple, Intel a breveté et verrouille l'usage de ses sous-ensembles d'instructions en refusant toute émulation, quelque soit le moyen technique utilisé. Nada!

Heureusement, si les logiciels peuvent intégrer des instructions AVX, AVX-2 ou AVX-512, ils testent la présence de ces fonctionnalités et aiguillent l'exécution sur du code utilisant des instructions vectorielles plus simples et limitées (SSE 128 bits), ou du code classique non-vectoriel.

Il y a dans ce cas une perte de performance face au code vectoriel, mais l'émulation fonctionne bien, et ces cas sont plutôt rares.

L'efficacité de Rosetta 2

Ici le graphique présentant les performances du MacBook Air M1 fin-2020 avec celles des MacBook Air Intel début-2020, la première ligne est du code ARM natif, tout le reste est du code x86!

Contrat respecté!

Grâce au gain en performance du M1 face à la CPU Intel qu'il remplace et à l'efficacité de Rosetta 2, le code x86 ne tourne pas aussi vite que sur un Mac Intel sorti 6 mois plus tôt, mais deux fois plus vite!

Tout l'inverse de ce qui avait été observé sur les PC ARM à base de SoC Qualcomm. Mais pourquoi?

Les logiciels x86 sur CPU ARM & Snapdragon X

C'est là tout le problème rencontré par Microsoft avec Windows on ARM WoA, faire tourner les logiciels Windows x86 mais surtout les faire tourner assez rapidement pour contenter la clientèle pendant la transition, alors que nombre d'applications ne sont toujours pas natives, et qu'il restera toujours d'anciens logiciels très utiles qui ne sont plus suivis ni mis-à-jours.

L'exécution x86 au sein de WoA se heurte aux même limites que sous macOS avec les Apple Silicon, limites contournées via des cœurs propriétaires avec des extensions Apple associé à Rosetta 2 tout aussi propriétaire.

Las, les plateformes ARM n'intègrent ni les instructions nécessaires pour accélérer cette exécution x86, ni même le nouveau mode d'exécution propriétaire à Apple, et donc les performances réelles en sont grandement affectées, là où Rosetta 2 délivre maintenant près de 90% des performances natives, WoA semble être en-dessous des 50%.

Ce qui a été un échec avec les premières plateformes PC Qualcomm, nativement très lents, et encore plus pour les logiciels x86 qui constituaient la presque de la logithèque Windows.

On ne sait pas si Qualcomm a introduit des fonctionnalités qui permettraient ultérieurement d'accélérer cette exécution, ce qui serait fait au mépris des règles d'ARM et sans son consentement, brisant la licence concédée.

En revanche il est certain qu'actuellement WoA n'utilise pas d'instructions ou modes propriétaires Qualcomm pour accélérer cette exécution, ce qui explique les déconvenues avec les nouveaux Snapdragon X benchamrkés par des OEM et un grand constructeur.

Il faut relativiser, car de plus en plus de logiciels Windows sont disponibles nativement pour ARM dont Chrome récemment, l'exécution des applications x86 fonctionne très bien, juste plus lentement, et avec la puissance correcte du Snapdragon X cela ne devrait pas poser de problème hors logiciels particulièrement gourmand.

En conclusion

Rosetta 2 est très performant, il l'était dès les pré-versions de macOS ARM sur le Mac mini DTK à base de A12z destiné aux développeurs.

Ces performances s'expliquent non pas par du génie logiciel, mais par du matériel créé pour cela, les extensions de modes de fonctionnement et d'instructions propriétaires ajoutés par Apple dans ses Apple Silicon.

Alors qu'on avait observé des performances très médiocres sur l'émulation x86 sur les PC ARM à base de SoC Qualcomm, et que cela semble être toujours le cas avec le Snapdragon X, par absence de support matériel et/ou logiciel, sur nos Mac les performances ont été largement préservées.

Ce coup-ci, via le contrôle absolu sur le matériel et le logiciel, Apple a totalement réussi le passage d'une architecture (x86) vers la suivante (ARM). Indolore.

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À partir d’avant-hier7.2.1 🍏 Sites principaux

8 raisons de passer à UPDF sur Mac, avec la chance de gagner un iPad

À l'occasion de son deuxième anniversaire, UPDF ne se contente pas de célébrer : la société lance une grande campagne où les participants peuvent gagner un iPad flambant neuf.

L'univers des outils numériques est vaste, très vaste, mais tous ne se valent pas, surtout lorsqu'il s'agit de traiter des documents PDF sur des appareils Apple. UPDF, développé sous la houlette de Roc Lan, co-fondateur et PDG, se distingue par sa simplicité et son efficacité.

Et pour marquer le coup de son deuxième anniversaire, UPDF frappe fort avec une campagne séduisante : gagnez un iPad tout neuf en découvrant les avantages d'UPDF.

Pourquoi choisir UPDF plutôt qu'un autre

UPDF se distingue nettement dans le paysage des éditeurs de PDF par sa combinaison de performance, d'accessibilité et de coût. Alors que d'autres programmes peuvent offrir des outils similaires, ils peinent souvent à maintenir une performance fluide, ralentissant votre flux de travail.

Adobe, connu pour ses fonctionnalités avancées, impose un tarif prohibitif qui le rend moins attractif pour les non-professionnels. En revanche, UPDF maintient une vitesse de performance rapide et propose toutes ses fonctionnalités de base gratuitement, ce qui en fait un choix judicieux pour tous les utilisateurs.

Le logiciel brille particulièrement grâce à sa technologie de reconnaissance optique de caractères (OCR), qui permet de convertir les documents scannés en fichiers PDF éditables. Cette fonctionnalité, souvent absente chez les concurrents ou disponible à un coût supplémentaire, est accessible chez UPDF sans frais additionnels.

Pour ceux qui ont besoin de remplir ou signer des PDF, UPDF simplifie le processus, rendant la gestion documentaire rapide et sans effort.

Avec UPDF Cloud, les utilisateurs peuvent non seulement stocker mais aussi accéder et gérer leurs documents n'importe où, ce qui est parfait pour les professionnels en déplacement. Ajoutez à cela une interface utilisateur claire et minimaliste, parfaitement adaptée aux standards esthétiques d'Apple, et vous avez un environnement de travail amélioré qui augmente la productivité sans le stress des interfaces encombrées.

La technologie UPDF AI améliore encore cette expérience en offrant des résumés précis de documents volumineux en quelques secondes, la traduction rapide de PDF dans plus de 38 langues, et la capacité d'interroger des documents stockés pour en extraire rapidement les idées principales.

La suite UPDF est également pensée pour les budgets. Alors qu'une licence Adobe peut coûter jusqu'à plusieurs centaines de dollars par an, UPDF offre une alternative à une fraction de ce prix, sans compromettre sur la qualité ni sur la gamme de services. Et contrairement à de nombreux autres éditeurs qui limitent l'accès à certaines plateformes, UPDF est disponible de manière égale sur macOS, iOS, Windows et Android.

Le service clientèle de UPDF mérite également d'être mentionné. Disponible 24/7 avec une garantie de remboursement de 30 jours, il offre une tranquillité d'esprit supplémentaire, assurant aux utilisateurs qu'ils font un investissement sans risque.

Avec un prix abordable, une compatibilité multiplateforme, et un service client disponible à tout moment, UPDF est clairement le choix à privilégier pour ceux qui valorisent la performance et la simplicité.

Profitez de l'offre exclusive pour obtenir UPDF Pro avec AI et tentez votre chance de gagner un iPad en visitant leur page promotionnelle !

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Apple conserve vos photos "effacées"

[MàJ par Philippe]

MacRumors rapporte qu'un usager de Reddit aurait eu le problème suivant: des photos "effacées" sur un iPad, puis celui-ci correctement réinitialisé en suivant la procédure Apple pour être revendu avec déconnexion du compte iCloud, aurait vu les photos réapparaître sans être reconnecté au compte iCloud.

Le message a été effacé sur Reddit, on espère que cela soit une erreur, le problème relevé serait alors d'un autre ordre bien que celui existant sur les iPhone et iPad soit déjà extrêmement grave.

Dans tous les cas, hors effacement de l'appareil qui recrée le volume Data de l'utilisateur avec une autre clé de chiffrement et rend les données existantes indéchiffrables avec déconnexion du compte iCloud, ceux-ci ou iCloud stockent pendant une longue période ou à jamais des photos pourtant théoriquement "effacées".
Ce que la bug de iOS 17.5 a permis de révéler.

[Sujet initial]

Comme pour d'autres problèmes de sécurité, une simple bug permet de mettre en évidence des failles, des manquements ou tout encore des volontés.
Et avec la béta de iOS 17.5, Apple vient de se faire prendre la main dans le bocal de confiture...

Depuis que iOS 17.5 béta est essayé, de nombreux utilisateurs rapportent le retour de nombre de photos ou images "effacées" sur leur iPhone, dans certains cas indiquées comme ayant été ajoutées depuis iCloud le jour-même, et les plus anciennes datant de 2010.

Normalement toute image "effacée" sur un iPhone est conservée 30 jours, toujours accessible et restaurable, puis définitivement purgée de l'appareil. Idem pour iCloud.
C'est du moins la théorie, ou plutôt ce qu'allègue Apple.

Bien qu'il soit possible que ces images aient été transmises d'appareils en appareils via les sauvegardes et restaurations, le point commun semble être iCloud qui conserverait des archives très très anciennes de nos photos, mêmes celles dont nous avons demandé l'effacement.

C'est extrêmement ennuyeux car les usagers n'ont aucun contrôle sur leurs photos, images et données en général une fois envoyés dans le cloud, et doivent prendre pour argent comptant les déclarations d'acteurs qui ne semblent pas respecter le contrat moral et conserver des données qui auraient du être effacées depuis des lustres.

Et vous, utilisez-vous iCloud?

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Sortie de veille : OpenAI et Google montrent-ils la voie à Apple dans l’IA ?

Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.

De l’IA, en veux-tu en voilà ! OpenAI et Google ont occupé le devant de la scène cette semaine en multipliant les annonces autour de l’intelligence artificielle. Le créateur de ChatGPT a présenté un nouveau modèle qui a des yeux et des oreilles, et chez Google Gemini a carrément éclipsé Android. Est-ce que ces deux entreprises montrent la voie à Apple ? On en discute avec Christophe.

Dans le reste de l’actu, c’est la grande fête des émulateurs sur iOS et les appareils d’Apple vont faire un grand bond en avant en matière d’accessibilité.

Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :

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  • Vous n'êtes pas membre du Club iGen ? C'est dommage, mais vous pouvez écouter Sortie de veille en vous y abonnant sur Apple Podcasts ou Spotify. Ou alors écoutez-la directement dans ce lecteur :

Bonne écoute et bon week-end !

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Samedi sécurité : les demoiselles asiatiques du PC

Il y a quelques années, j'ai acheté un PC d'occasion en faisant une super affaire, quasiment incompréhensible.
Pensez donc, un PC haut-de-gamme sorti moins d'un an auparavant pour la moitié du prix, et le bougre non seulement bien équipé, et pas mal extensible bien que déjà une machine de guerre!

Je vais chez le vendeur, un responsable de la sécurité dans une grande entreprise mondialement connue, et le PC est parfait, tel que décrit, flambant neuf ou presque.
Il vendait ce PC haut-de-gamme avec la meilleure GPU du marché car il avait acheté une PlayStation à ses deux fils adolescents. Hum?!?
J'étais étonné mais je n'ai pas posé de question, pas plus quand j'ai vu ce haut-responsable de sécurité d'un grand groupe effacer des répertoires en les mettant dans la corbeille, puis la vidant...

Une fois chez moi, j'ai retiré le disque dur, et je me suis livré à ma passion: explorer!
Et j'ai compris que l'un de ses fils avait une passion brûlante pour les photographies de demoiselles asiatiques, plus dévêtues que dans l'illustration ci-dessus, même si on restait dans la retenue et non des scènes d'action.

Je me suis évidemment appliqué à bien nettoyer le clavier et la souris, aussi le disque dur, ce PC m'a été très utile pendant quelques années, j'ai changé le boîtier, l'alim, rajouté un SSD, utilisé une baie pour démarrer avec différents disques durs ou SSD sous Linux ou OS X (hackintosh), changé ou rajouté des cartes graphiques, doublé puis quadruplé la RAM, etc.

Samedi prochain on va parler de chiffrement, et certainement un autre week-end d'effacement de données, mais après votre ou vos sauvegardes le chiffrement est un point essentiel pour garder le contrôle d'accès à vos données. Même si vous aimez les demoiselles asiatiques.

Je remercie Apple et iOS 17.5 pour leur inspiration...

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X : Grok atterrit en Europe, Twitter s’envole définitivement

Elon Musk met la touche finale à la transformation du réseau social autrefois symbolisé par un oiseau bleu : l’URL twitter.com redirige désormais vers x.com. « Tous les systèmes principaux sont maintenant sur X.com », a tweeté le grand manitou aujourd’hui. Twitter est officiellement devenu X l’année dernière, mais jusqu’à hier, l’URL historique de la page d’accueil avait eu droit à un sursis.

All core systems are now on https://t.co/bOUOek5Cvy pic.twitter.com/cwWu3h2vzr

— Elon Musk (@elonmusk) May 17, 2024

La veille de cet ixage1, le réseau social a lancé Grok en Europe. Grok, c’est cette IA générative qui se démarque de ChatGPT ou Gemini par sa tonalité sarcastique et son devoir de n’éluder aucun sujet, s’inscrivant dans l’idéologie libertarienne d’Elon Musk. Le modèle de langage a aussi comme particularité de s’appuyer sur les informations partagées sur X pour répondre aux questions, une capacité sûrement plus risquée qu’avantageuse au vu du tombereau de fausses informations qui y circulent.

Grok est compris dans l’abonnement X Premium à 9,60 €/mois qui donne droit à d’autres avantages pour briller sur la plateforme.


  1. Ne signalez pas de faute, ce mot existe et il est bien pratique au Scrabble.  ↩︎

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Apple préparerait un tout nouvel iPhone 17 plus fin encore plus cher qu’un Pro Max

Apple semble repartie dans une course à la finesse. Après l’iPad Pro M4 13" aux 5,1 millimètres record, la Pomme voudrait proposer un tout nouvel iPhone 17 « significativement plus fin » que les modèles actuels. Au vu des dimensions des iPhone 15, cela voudrait dire que cet iPhone 17 « slim » devrait faire moins de 7,8 mm d’épaisseur.

La rumeur vient de The Information, qui a par le passé notamment décrit avec précision le Vision Pro avant sa présentation. Après la génération des iPhone 12 qui avait marqué un affinement important (7,4 mm au mieux), Apple a constamment épaissi ses téléphones. Cela n’a pas dérangé grand monde puisque l’autonomie a augmenté simultanément. L’iPhone le plus fin à ce jour est l’iPhone 6, avec 6,9 mm d’épaisseur. Comparé aux 5,1 mm du nouvel iPad Pro, ça n’est plus si impressionnant que cela.

iPod nano et iPad Pro M4, les deux produits les plus fins d’Apple. Image iGeneration.

La finesse ne serait pas le seul argument de cet iPhone 17 spécial. Toujours selon The Information, Apple prépare en fait une « refonte majeure » qui serait de la même trempe que l’iPhone X en son temps. Le bloc photo à l’arrière pourrait déménager du côté gauche vers le centre du terminal, un moyen pour qu’il ne soit plus bancal quand il est posé sur une table ?

Le cadre serait en aluminium et la Dynamic Island plus petite, une rumeur déjà entendue. La diagonale de l’écran se situerait quelque part entre 6,12" et 6,69", une fourchette assez large. Et comme il serait tout nouveau tout beau, cet iPhone 17 « slim » pourrait être vendu plus cher qu’un iPhone Pro Max. Pour vous donner une petite idée, l’actuel 15 Pro Max coûte 1 479 €. Vous voilà prévenu.

Enfin, l’arrivée de ce nouveau modèle pourrait marquer la fin de la série Plus. La gamme iPhone 17 pourrait donc être composée comme suit (en allant du moins cher au plus cher) : iPhone 17, iPhone 17 Pro, iPhone 17 Pro Max et iPhone 17 « slim ». Il y a eu quelques bruits de couloir sur un iPhone 17 Plus dernièrement, mais peut-être portaient-ils en fait sur l’iPhone 17 « slim ». Quoi qu’il en soit, Apple serait toujours en train de tester différents design, donc les choses peuvent évoluer d’ici le lancement à l’automne 2025.

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iPhone 16 Pro Max : la batterie serait prise en sandwich dans l'acier

L'ajout d'un boitier métallique pour la batterie de l'iPhone 16 Pro Max semble se confirmer. Tous les iPhone de 2025 en profiteraient ensuite.

Ming-Chi Kuo s'attarde sur le composant batterie du prochain iPhone 16 Pro version Max. L'analyste indique que sa batterie gagnerait en densité ce qui pourrait se traduire par une amélioration de l'autonomie (à moins que ce changement soit négligeable ou qu'il ne serve qu'à compenser de nouveaux postes de consommation).

Cette densité supérieure entrainerait une dépense énergétique plus importante avec un dégagement de chaleur en hausse. Apple se serait tournée vers le fournisseur Sunway pour obtenir un boitier en acier inoxydable qui prendrait la batterie en sandwich. Il en résulterait une meilleure dissipation thermique.

Le propos de Ming-Chi Kuo s'inscrit dans la droite ligne d'une rumeur de novembre dernier où l'on avait vu une pièce correspondant en tout point à cette description (lire aussi La batterie des iPhone 16 Pro pourrait être recouverte de métal).

Source : @KosutamiSan.

L'aluminium aurait été un choix plus logique mais l'analyste avance des arguments en faveur de l'acier inoxydable comme la résistance à la corrosion, la robustesse et une meilleure protection pour la batterie. Cet ensemble serait aussi plus simple à retirer lors des réparations alors que cette exigence est de plus en plus importante dans les réglementations.

Sous réserve que tout se passe comme prévu dans les quantités requises par Apple, ce conditionnement pourrait être étendu à toute la gamme des iPhone de l'année prochaine, complète Ming-Chi Kuo.

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5G : Orange perd son procès pour pratiques commerciales trompeuses contre Free

La justice a tranché : Free possède bien le « plus grand réseau 5G de France », n’en déplaise à Orange, qui estime que le quatrième opérateur trompe son monde avec un réseau au rabais. En rendant ses conclusions, dont La Tribune s’est procuré une copie, le tribunal de commerce de Paris a mis Free « hors de cause ». Orange est déboutée de toutes ses demandes et doit verser 150 000 € à son concurrent.

Image Anthony Nelzin-Santos/iGeneration.

Le « plus grand réseau 5G de France » est aussi le plus lent, mais l’Arcep ne fait pas la loi, seulement des mesures et des cartes. Free a parié sur la couverture plutôt que la vitesse en choisissant la bande des 700 MHz, tout l’inverse d’Orange qui a misé sur la bande des 3 500 MHz, alors que SFR et Bouygues Telecom ont tenté de ménager la chèvre et le chou en mettant le paquet sur la bande des 2 100 MHz. Orange possède bel et bien le réseau 5G le plus rapide, mais avec seulement 9 812 sites opérationnels dont 9 766 sur la bande des 3 500 MHz, c’est aussi le plus petit et le moins diversifié.

À l’inverse, Free possède 19 346 sites opérationnels, plus que n’importe quel autre opérateur français. Le quatrième opérateur a privilégié une fréquence « basse » pour faciliter la couverture de 94 % de la population, mais n’a pas complètement ignoré les fréquences « hautes » plus rapides, puisqu’il émet sur la bande des 3 500 MHz dans plus de 6 000 sites. SFR et Bouygues utilisent la même stratégie en alliant 2 100 et 3 500 MHz. Orange peut certes se targuer de proposer le plus grand réseau sur la bande des 3 500 MHz, mais il ne couvre « que » 60 % de la population.

« C’est uniquement grâce à cette fréquence que la 5G tient ses promesses », assurait le premier opérateur, qui dénonce de longue date la « fausse 5G » de son concurrent. Les fréquences basses sont indéniablement plus lentes, mais elles couvrent plus uniformément à l’extérieur et entrent plus profondément à l’intérieur, or il vaut mieux avoir une connexion lente que pas de connexion du tout1. Les faits sont têtus et le tribunal de commerce de Paris ne peut que souligner le caractère « incontestable » de la supériorité numérique du réseau de Free.

Le trublion des télécoms « dispose bien du plus grand nombre de sites 5G tant en France que dans les régions visées dans ses publicités » et sa communication « autour de sa couverture 5G, sans préciser les débits associés à chaque bande de fréquences, ne constitue pas une tromperie sur les qualités substantielles de son réseau et les qualités attendues, dès lors qu’il n’est pas contesté que le réseau de Free est bien conforme à la norme 5G ». Free n’a donc commis « aucune pratique commerciale trompeuse ».

Free n’a pas souhaité réagir aux conclusions du tribunal. Orange « estime que cette décision, qui s’est concentrée uniquement sur la couverture géographique du territoire quelles que soient les fréquences utilisées, va à l’encontre d’une clarification pour les consommateurs sur les bénéfices et caractéristiques réels de la 5G ». L’opérateur, qui continue à dénoncer une tromperie et une concurrence déloyale, réfléchit à faire appel.


  1. C’est un utilisateur de forfait Orange 5G qui parle.  ↩︎

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Sonos Ace : nouvelles photos et détails sur le premier casque de Sonos

Mise à jour le 19 mai : les clients de Sonos ont reçu un mail ce jour les avertissant d'une annonce de son « produit le plus demandé » pour le 21 mai à 15h.


Article original du 17 mai

Il ne va plus rester beaucoup de choses à annoncer pour le Sonos Ace tant les fuites sont importantes pour ce premier casque de la marque américaine. C'est au tour de WinFuture de publier des détails et surtout des photos tirées du lot d'images marketing du fabricant. Elles donnent une vue plus précise du casque et de ses lignes que les visuels précédents.

D'après les descriptions techniques, l'Ace aura, comme sur l'AirPods Max, 8 microphones pour réaliser la réduction active du bruit et le contrôle par la voix (les enceintes sont dotées de Sonos Voice Control, un assistant ciblé sur la musique qui opère en local, à voir s'il s'en sert également). L'audio spatial et l'écoute en Lossless sont au menu tout comme un mode type transparence.

L'autonomie peut atteindre jusqu'à 30h, a priori avec la réduction active du bruit et la recharge complète prend 3h. Mais on peut récupérer 3h d'écoute au bout de 3 minutes de charge.

Les illustrations qui figuraient dans un brevet de Sonos de 2019 pour son casque.

Cela avait été avancé précédemment, les propriétaires des barres de son récentes de Sonos pourront rediriger leur son vers le casque d'un simple geste. Pas de connecteur jack de 3,5 mm, mais un câble adaptateur est fourni pour l'utiliser sur le port USB-C.

Quant aux contrôles de lecture, ils s'opèrent depuis la surface tactile de l'écouteur droit. Le casque paraît moins mastoc que d'autres, mais il n'est pas léger visiblement. Sa fiche parle de 312 grammes. Pour comparaison, l'AirPods Max fait 383,8 grammes, le Sony WH-1000XM4 en fait 254.

Une précédente fuite avait montré un prix de 403 €. L'annonce ne devrait plus tarder puisque l'app dont aura besoin ce casque est déjà sortie, tant bien que mal (lire aussi Sonos corrige lentement les bugs et lacunes de sa nouvelle app).

Sonos semble en train d'organiser des présentations si l'on en juge par les autres photos qui circulent.

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