Oppo a tenu à réagir après la plainte d’Apple qui accuse le fabricant chinois de vols de secrets industriels en ce qui concerne l’Apple Watch. C’est en lien avec un ancien employé. Une plainte d’Apple pour vol de secrets sur l’Apple Watch Petit rappel des faits : Apple a déposé une plainte devant un tribunal de […]
Apple a déposé plainte devant une cour californienne à l'encontre d'un ancien employé appelé Chen Shi pour avoir volé des secrets industriels relatifs à l'Apple Watch avant de rejoindre son concurrent chinois Oppo, a repéré MacRumors. Chen Shi a travaillé à Cupertino en tant que «...
Déjà pléthorique, le marché des chargeurs sans fil est en train de s’élargir avec une nouvelle catégorie de produits. Vous connaissez les chargeurs Qi2, qui sont aimantés et capables d’alimenter un iPhone 12 ou ultérieur jusqu’à 15 W ? Il y a maintenant les chargeurs Qi2 25 W, qui sont donc plus puissants quand ils sont utilisés avec les iPhone 16. Belkin a présenté ses premiers produits hier et d’autres marques vont très bientôt faire de même. Jusqu’ici, seul le chargeur MagSafe Apple de deuxième génération proposait cette puissance.
Chargeur MagSafe Apple 25 W et iPhone 16. Ça marche mieux quand l’iPhone est posé dessus. Image iGeneration.
Petit rappel pour s’y retrouver, car c’est un peu compliqué :
les chargeurs Qi de première génération, qui se sont multipliés à la fin des années 2010 avec l’arrivée de l’iPhone X, sont limités à 7,5 W ;
avec l’avènement de l’iPhone 12, sont apparus le chargeur MagSafe Apple et les chargeurs tiers certifiés MagSafe, à la fois magnétiques et ayant une puissance maximale de 15 W ;
puis en 2024 les chargeurs Qi2 ont peu à peu remplacé les chargeurs certifiés MagSafe : mêmes caractéristiques (aimantation et 15 W max), car le standard Qi2 reprend la technologie d’Apple ;
et voilà maintenant les chargeurs tiers Qi2 25 W, qui apportent cette puissance sans passer par Apple.
Alors, quel type de chargeur sans fil utilisez-vous avec votre iPhone ? Si vous en avez plusieurs, votez pour celui que vous utilisez le plus au quotidien.
Après quelques rumeurs et incertitudes,Donald Trump a confirmé que l’administration américaine prendra une participation de 10 % au sein d'Intel. Cette annonce a été faite depuis la Maison-Blanche lors d’une conférence liée à la... Coupe du monde, et intervient après deux semaines de rebondissements autour de Lip-Bu Tan.
Dès le départ, Apple avait annoncé plusieurs partenariats possibles dans le cadre d’Apple Intelligence. Avec le retard pris par Siri, il semblerait que la firme cherche désormais à le propulser rapidement dans l’ère de l’intelligence artificielle. Selon Bloomberg, elle serait en pourparlers avec Google pour utiliser Gemini pour la future version de son assistant vocal.
À contre-courant, c’est la nouvelle série de podcasts estivale réservée aux abonnés du Club iGen. Dans chaque épisode, un membre de la rédac défend son opinion impopulaire et cherche à l’argumenter, ce qui donne lieu à de petits débats. L’idée est de vous faire revivre les discussions de la rédac pendant la pause midi dans un format plus court que les traditionnels Kernel Panic.
Aujourd’hui, Nicolas défend sa manière particulière d’écouter de la musique, à savoir uniquement par albums complets du début à la fin, et jamais par playlists. Cédric et Florian écoutent de la musique d’une façon moins rigide et défendent leur façon de faire.
Comme chaque année, Apple s’apprête à lancer un nouveau défi Activité pour célébrer la journée des parcs nationaux, qui aura lieu demain, le 24 août. Pour décrocher le précieux trophée virtuel, il suffira d'enregistrer un exercice d'au moins 20 minutes à l'aide de toute app qui synchronise les exercices dans Santé. Il y a quelques années, Apple demandait à la place de parcourir au moins 1,6 km. Rien d’insurmontable en soit, il faudra juste penser à démarrer l’entraînement, faute de quoi l’effort ne sera pas pris en compte.
Comme à l’accoutumée, le trophée s’accompagnera de nouveaux autocollants animés pour l’app Messages, histoire de partager votre exploit avec vos proches. Mais ce n'est pas tout, aux États-Unis, d'ici au 29 août, Apple fera un don de 10 $ à la National Park Foundation pour chaque achat réalisé aux États-Unis avec Apple Pay — que ce soit sur Apple.com, dans l’app Apple Store ou directement en Apple Store — dans la limite d’un plafond de 1 million de dollars. Ce partenariat existe depuis 2017. L'objectif de cette association est "d'obtenir des financements privés et établir des partenariats stratégiques afin de protéger et d’améliorer les parcs nationaux américains pour les générations actuelles et futures". Apple a également mis en avant cette initiative sur ses services, notamment sur l'App Store, où l'application de National Park Service a été sélectionnée comme App du jour.
C'est un prix canon, mais gardez bien à l'esprit qu'il dispose d'un port Lightning. Le modèle USB actuellement en vente, coûte 579 € en Apple Store. Si l'on met de côté, la connectique et les nouvelles couleurs, les différences sont assez négligeables entre les deux modèles. Les AirPods Max USB-C apportent toutefois une meilleure prise en charge de l'audio filaire avec un véritable son lossless et une latence ultra-faible. Ils offrent également l’audio spatial personnalisé en qualité sans perte et la possibilité de créer ou de mixer du contenu avec l’audio spatial et le suivi des mouvements de la tête.
En résumé, si vous comptez utiliser les AirPods Max la majorité du temps en Bluetooth et que le câble Lightning ne vous dérange pas, alors foncez ! On n'a jamais vu de mémoire ce modèle proposé à 399,99 €. Si, par contre, l'aspect filaire est vraiment important, le choix est peut-être un peu plus difficile.
Alors qu’Intel est dans la tourmente, à la fois pour ses résultats catastrophiques, son impasse technique et son patron contesté pour ses accointances avec la Chine, voilà que le président des États-Unis d’Amérique décide de se poser en sauveur, faisant entrer à hauteur de 10 % le pays dans les actions du fondeur pour la rondelette somme de 10 milliards de dollars.
Alors qu’il avait publiquement critiqué Lip-Bu Tan pour ses liens financiers avec la Chine, Donald Trump a ensuite demandé au CEO d’Intel de venir le rencontrer à la Maison Blanche. Suite à cette rencontre, Trump semblait avoir changé d’avis sur le patron, comprenant son histoire personnelle l’ayant mené au poste de CEO du fondeur.
J’ai rencontré M. Lip-Bu Tan, patron d’Intel, avec le Secrétaire d’État au Commerce, Howard Lutnick, et le Secrétaire au Trésor, Scott Bessent. La réunion fut intéressante. Son succès et son ascension sont une histoire incroyable. M. Tan et les membres de mon cabinet vont passer un peu de temps ensemble, pour ensuite m’apporter des suggestions la semaine prochaine. Merci de votre attention sur ce sujet !
Donald Trump aurait ensuite proposé au patron d’Intel une solution pour garder sa place : laisser le gouvernement américain entrer à hauteur de 10 % dans l’entreprise, comme rapporté par TheVerge.
J’ai dit « Vous savez quoi ? Je pense que les États-Unis devraient recevoir 10% d’Intel. » Et il m’a répondu « Je vais y réfléchir. » Et j’ai ajouté « Eh bien, j’aimerais que vous le fassiez parce qu’Intel a été laissé pour compte, comme vous le savez, par rapport à Jensen et quelques-uns de nos amis, Nvidia, et parmi certaines personnes et… parce qu’Intel n’aurait jamais dû… Intel était la plus grande, la plus puissante entreprise de puces au monde. Et puis ils ont commencé à partir. Ils ont commencé à aller dans des pays étrangers, et particulièrement à Taïwan. Et si on avait eu un président qui aurait dit ‘Ok, vous pouvez aller à Taïwan, mais on va mettre une taxe de 100%, ou 200%, ou 300, ou 500% : quiconque vend aux États-Unis devra payer’, ils ne seraient pas partis. »
S’il n’a pas précisé les détails de l’accord, il a en revanche bien fait comprendre que la signature de celui-ci est la seule issue permettant à Lip-Bu Tan de sauver sa place à la tête d’Intel. Suite à cette prise de parole du président américain, protégeant d’une certaine manière le fondeur d’une chute probable en le rapprochant du giron de l’État, les actions d’Intel ont grimpé de 6 %.
Apple a déposé une plainte devant un tribunal de Californie du Nord contre Chen Shi, un ancien employé accusé d’avoir volé des secrets commerciaux liés au développement de l’Apple Watch pour les transmettre à Oppo, important fabricant chinois de smartphones. Un vol de secrets sur l’Apple Watch Selon Apple, Chen Shi, qui occupait le poste […]
Apple a déposé une plainte contre un ancien ingénieur spécialiste des capteurs sur l’Apple Watch, Chen Shi, travaillant maintenant pour l’entreprise Oppo. Le gredin aurait profité de ses accès privilégiés aux secrets de fabrication de Cupertino pour les amener avec lui chez son nouvel employeur.
Selon la plainte dévoilée par MacRumors, Shi aurait indiqué quitter son emploi chez Apple afin de retourner en Chine s’occuper de ses parents devenus âgés. Cependant, il aurait omis dans le même temps de préciser qu’il avait accepté un poste chez Oppo, et en a profité avant son départ pour faire une razzia sur les serveurs de son désormais ex-employeur. Il aurait même poussé le vice jusqu’à discuter avec un bon nombre de ses collègues ingénieurs de l’équipe Apple Watch pour savoir sur quoi ils travaillaient et où ils en étaient.
Trois jours avant son départ, Shi a récupéré 63 fichiers techniques sur le serveur protégé de l’équipe de développement, les transférant sur une clé USB. Il aurait ensuite cherché le meilleur moyen d’effacer un MacBook, et de cacher les accès qu’il aurait pu avoir sur les serveurs. Décidément bien peu discret, il aurait ensuite envoyé un message à son nouvel employeur, indiquant qu’il « collectera autant d’informations que possible » pour les partager avec Oppo, spécifiquement celles sur le capteur de rythme cardiaque.
La plainte d’Apple demande une injonction interdisant à Oppo et Shi d’utiliser les secrets industriels d’Apple, la restitution des fichiers volés, ainsi que des dommages et intérêts.
Le mois de juillet a décidément été chaud pour les équipes de sécurité d’Orange : après avoir été piratés sur ses serveurs de Belgique, vu des données sur les employés de sa branche Orange Roumanie publiées sur le dark web, voilà maintenant qu’un groupe spécialisé dans le ransomware (ou rançongiciel en bon français) s’en est pris à ses serveurs français, comme le rapporte Bloomberg.
C’est grâce à la solution « clés en mains » de Warlock, un fournisseur de ransomware pour d’autres groupes de pirates informatiques, que les ordinateurs de l’agrume ont été attaqués. Si normalement toute fuite de donnée chez un opérateur doit être signalée à la CNIL, Orange SA ne l’a pas fait, indiquant qu’aucun des documents récupérés par les hackers ne contenait de fichier client.
Selon l’opérateur, les données récupérées ne sont que des « données périmées ou de faible sensibilité ». Celles-ci concernant des entreprises extérieures à Orange, les partenaires concernés ont été mis au courant :
Les entreprises affectées par le piratage en ont été informées par Orange avant cette communication, et nous collaborons avec elles ainsi qu’avec les autorités depuis le début de cet incident.
Généralement, les hackers utilisant la solution de Warlock récupèrent les données et verrouillent ensuite les ordinateurs cibles, demandant ensuite une rançon pour les déverrouiller et ne pas faire fuiter les éléments récupérés. Le groupe de pirates responsable de la fuite d’Orange a déjà laissé 4 Go de données appartenant à l’opérateur sur le dark web mi-août.
Si Orange a été « bien servi » ce mois-ci, ses concurrents n’ont pas été en reste depuis quelques mois. Les opérateurs téléphoniques restent des cibles de choix, leurs serveurs contenant des données particulièrement intéressantes pour les pirates, que ce soit les fichiers clients ou les renseignements sur les infrastructures de ces réseaux, permettant de chercher des failles utiles à d’autres piratages.
F1: The Movie est désormais disponible à l’achat ou à la location en version digitale Le film F1: The Movie, produit par Apple et sorti en salles le 27 juin dernier, est désormais accessible en vidéo à la demande (PVOD) sur l’application TV d’Apple, et ce dans la quasi totalité des pays où Apple TV […]
Apple a engagé des discussions préliminaires avec Google pour utiliser Gemini dans la nouvelle version de Siri s’appuyant sur l’intelligence artificielle. Cette démarche marque un tournant potentiel vers l’externalisation d’une partie de sa technologie d’IA. Gemini pour faire tourner Siri ? Apple a récemment approché Google pour explorer la création d’un modèle d’IA personnalisé. Celui-ci […]
Au sommaire de ce long épisode des Doigts Dans La Prise, de bonnes nouvelles, mais pas seulement… Côté bonnes nouvelles, c’est officiel, rouler en électrique coûte moins cher qu’en thermique… on le savait mais cette fois c’est une étude indépendante qui nous le confirme…
Depuis plusieurs semaines, les bruits de couloir indiquent qu’Apple travaille en même temps sur une version interne du nouveau Siri et sur une version motorisée par une solution externe. Ce matin, Mark Gurman indiquait même qu’Apple penchait de plus en plus vers la seconde possibilité. Le fuiteur en remet une couche, en dévoilant le partenaire avec lequel Apple serait en train de travailler : Google, et son IA Gemini.
Siri motorisé par Gemini ? Image Google.
Si Cupertino pourrait donc utiliser Gemini pour Siri, ce n’est pas faute d’avoir tenté d’autres partenariats selon Bloomberg : avant d’aller voir Google et son IA, Apple aurait démarché Anthropic (Claude) et OpenAI (ChatGPT) plus tôt dans l’année.
Cependant, Apple se tâte encore : Cupertino se laisse plusieurs semaines pour décider si oui ou non elle utilisera un partenariat pour motoriser Siri, et laquelle de ces IA externes prendra ce rôle.
Pourquoi aller voir plusieurs partenaires possibles, et donc multiplier les développements parallèles ? Selon Gurman et ses oreilles bien placées, si Anthropic était le favori en début d’année, ses revendications financières auraient été bien trop élevées pour les décisionnaires d’Apple et auraient poussé Cupertino à élargir les possibilités.
Dans le cas d’une collaboration, la mise en place ne serait pas une partie de plaisir : si Apple n’est pas contre utiliser un moteur venant d’une autre entreprise, elle souhaite garder la main sur l’endroit où vont se balader les données de ses utilisateurs, et celles-ci seraient obligatoirement envoyées non seulement dans des data-centers appartenant à Apple, mais tournant en plus sur ses propres puces.
Quoi qu’il en soit, la décision finale aura une importance capitale : toute l’IA d’Apple se reposera dessus. Les équipes internes avancent rapidement, étant déjà passées à des modèles à 1 000 milliards de paramètres selon Gurman, mais restent à distance des meilleurs comme OpenAI, qui sont déjà sur des LLM à plusieurs milliers de milliards de paramètres. Qui plus est, l’équipe voit partir depuis juillet ses têtes de pont les unes après les autres, soit pour une meilleure motivation, soit attirés par l’argent proposé par Meta.
Meta qui, d’ailleurs, est le seul qui n’aurait pas été approché par Apple. Un souci de compatibilité entre les machines... ou entre les hommes ?
Apple envisagerait désormais de remplacer le moteur de Siri par Google Gemini, affirme Mark Gurman sur Bloomberg. Apple aurait récemment demandé à Google de lui mettre au point un modèle d'intelligence artificielle qui pourrait servir de base à la future version de Siri toujours attendue...
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Avec l’Apple Watch, Apple a voulu pousser ses utilisateurs à se dépenser ! Elle a notamment introduit plusieurs types de challenges d’activité : ces petites compétitions amicales qui poussent à fermer les anneaux (et à obtenir des mois parfaits) ou encore des défis spéciaux, comme celui de la fête des Parcs Nationaux Américains qui se déroulera dimanche.
Alors qu’Apple a enchaîné coup sur coup deux mises à jour d’iOS, la firme de Cupertino a cessé de signer iOS 18.6. Rappelons que nous en sommes déjà à iOS 18.6.2, publié cette semaine afin de corriger plusieurs failles de sécurité jugées importantes. Juste avant cela, Apple avait rendu disponible iOS 18.6.1, une mise à jour notable puisqu’elle réactivait la mesure du taux d’oxygène sanguin aux États-Unis sur l’Apple Watch Series 9, la Series 10 et l’Apple Watch Ultra 2 sous watchOS 11.6.1.
iOS 18.6 est donc condamné, ce qui signifie qu'il n'est plus possible de revenir en arrière si vous êtes sur iOS 18.6.1 ou iOS 18.6.2. Et au vu des habitudes d’Apple, iOS 18.6.1 devrait subir le même sort d’ici quelques jours seulement, probablement au début de la semaine prochaine.
Image réalisée à l'aide d'une IA
Rien de surprenant dans cette politique de signatures : Apple verrouille méthodiquement l’accès aux anciennes versions pour limiter les failles potentielles et maintenir son parc à jour. Une pratique qui peut frustrer ceux qui aiment conserver la main sur leur appareil, mais qui s’inscrit dans la logique de sécurité et de contrôle chère à Cupertino
Particulièrement compact, le Mac mini n'occupe pas beaucoup de surface sur le bureau. Quelques supports permettent toutefois de le relever et de glisser en dessous de petits accessoires ou par exemple un SSD de sauvegarde si vraiment votre espace est compté. Et si vous utilisez régulièrement le bouton d'extinction — plutôt que de laisser la machine en veille — il pourrait être plus accessible ainsi placé en hauteur.
Image Hagibis.
Amazon référence plusieurs articles qui font peu ou prou la même chose à des tarifs inférieurs à 20 €. Ils mettent en avant leur fonction d'aide au refroidissement, mais cela peut être un intérêt secondaire.
On ne se ruinera pas avec le support de Gewokliy. Vendu 22,99 €, il est muni de patins pour mieux tenir en place et, comme les autres, il présente une découpe en son centre pour laisser respirer la machine et accéder au bouton à l'arrière. Le même est proposé sous le nom de Akkyajaure à un tarif identique, mais il peut être en promotion à 19,99 €.
Image Gewokliy.
Autre look pour le support Hagibis dont le rôle est identique aux précédents et le prix plus bas encore puisqu'il est actuellement à 16,99 €.
Image Hagibis.
Toujours dans ce registre, le support de Omoton soutient le Mac mini sur ses quatre pieds et un loquet a été ajouté qui paraît simplifier la manipulation du bouton arrière. Comptez 19,99 € pour celui-ci.
À l’occasion du 109e anniversaire du National Park Service, Apple a dévoilé une série d’initiatives pour soutenir la National Park Foundation. Celle-ci œuvre en faveur de la préservation des parcs nationaux aux États-Unis. Les actions d’Apple incluent Apple Pay, un défi d’activité pour les utilisateurs d’Apple Watch et des contenus dédiés. Des achats via Apple […]
A trois semaines de la sortie de l'iPhone 17, il ne reste plus grand chose à se mettre sous la dent et les rumeurs commencent à s'enfler autour de l’iPhone 18. Le bouton Photo (en VO Camera Control) apparu avec l'iPhone 16 a été assez critiqué et Apple pourrait bien le modifier. La fonctionnalité resterait bien présente, mais dans une version simplifiée.