Apple TV profite du Black Friday pour proposer une promotion : le service de streaming a le droit à une remise de 50 % pendant six mois. Le prix est ainsi de 4,99 €/mois au lieu de 9,99 €/mois en temps normal. -50 % sur le prix d’Apple TV pour le Black Friday La promotion […]
Emmanuel Macron a remis une pièce dans la machine en dénonçant une nouvelle fois le « far-west » des réseaux sociaux. L’expression n’est pas nouvelle, la préoccupation non plus, mais elle revient dans un contexte où l’espace numérique continue d’évoluer à une vitesse que la politique peine à suivre. Entre ingérences, désinformation et protection des mineurs, le Président veut afficher une fermeté retrouvée. Reste que le numérique d’aujourd’hui n’a plus grand-chose à voir avec l’Internet des années 2010 : les problèmes ne se situent plus seulement dans les contenus, mais profondément dans la mécanique des plateformes elles-mêmes.
L’un des principaux soucis, c’est que c’est le pays de l’homme de droite qui détient les clés pour faire plier les réseaux sociaux. L’homme de gauche ne pourra rien faire sans. Image domaine public.
C’est là que le discours présidentiel semble marquer le pas. Parler de « loi du plus fort » et de dérives incontrôlées a une force symbolique, mais réduit un écosystème extraordinairement complexe à un western de série B. Les grandes plateformes ne fonctionnent plus comme des places publiques avec quelques énergumènes à maîtriser ; ce sont des usines à données, propulsées par des algorithmes qui optimisent avant tout l’attention, parfois au détriment du bon sens. À ce niveau-là, ce n’est pas un shérif qu’il faut, mais une équipe d’ingénieurs capables de comprendre ce qui se passe dans les entrailles du monstre.
La question de la désinformation illustre parfaitement ce décalage. Macron y voit un défi démocratique majeur, ce qu’il est, mais il le présente encore comme un problème de contenus nuisibles circulant librement. La réalité est plus sournoise : la désinformation est devenue une conséquence structurelle du modèle même des plateformes. Quand un système de recommandation valorise la provocation parce qu’elle génère plus de temps d’écran, quand la modération repose pour l’essentiel sur des filtres automatisés dont personne — pas même leurs concepteurs — ne maîtrise totalement les effets secondaires, on ne peut pas espérer régler le problème avec un simple serrage de vis réglementaire. Ce serait comme demander à une plateforme vidéo de moins promouvoir le sensationnalisme tout en conservant un modèle publicitaire qui en dépend. Le cœur du système pousse dans une direction ; la politique lui demande d’aller dans l’autre.
Le Président revient aussi sur la protection des mineurs et la fameuse « majorité numérique ». Là encore, l’intention est difficile à critiquer. Mais l’efficacité réelle reste sujette à caution. Les plateformes ont inventé depuis longtemps l’art de la contournabilité : inscription via comptes tiers, accès par VPN, serveurs privés, tout concourt à rendre ces garde-fous largement théoriques. La vraie dépendance, celle qui joue sur la dopamine et les boucles de recommandation, ne disparaît pas parce qu’on fixe une limite d’âge. Et d’ailleurs, elle ne concerne pas seulement les adolescents ; les adultes s’y font happer avec la même facilité.
Si l’Europe est petite face à des géants comme les USA ou la Chine, la France seule est encore plus petite. Image France Diplomatie, CC0.
Au chapitre de la souveraineté numérique, le discours affiche de l’ambition, mais les matériaux manquent. L’idée de reprendre le contrôle sur les géants du numérique revient régulièrement, mais sans politique industrielle cohérente derrière. L’Europe fabrique peu de matériel, n’opère pas de grandes plateformes sociales, ne possède pas d’alternative solide aux infrastructures publicitaires américaines, et accuse encore un retard notable sur les LLM destinés au grand public. On peut toujours imaginer une Europe pesant réellement sur le numérique mondial, mais le chemin pour y parvenir n’est jamais évoqué concrètement dans ces interventions politiques.
Ce qui frappe, au final, c’est le décalage entre la gravité du constat — réel — et la nature des réponses proposées, qui donnent parfois l’impression de s’attaquer aux symptômes plutôt qu’à l’architecture de fond. Le débat public est saturé, les campagnes électorales sont parasitées, la polarisation augmente : tout cela est vrai. Mais il devient difficile de prétendre résoudre ces dynamiques sans toucher aux mécanismes qui les fabriquent, à savoir les modèles de recommandation, les algorithmes d’amplification ou les systèmes de modération automatisée.
La croisade présidentielle a le mérite de remettre le sujet sur la table. Mais si l’on veut sortir du « far-west », il faudra peut-être accepter que le vrai travail se situe très loin des tribunes politiques, dans les logs, les datasets et les architectures des systèmes qui façonnent — bien plus qu’un discours — ce que voient des millions de citoyens chaque jour.
Vous avez des envies irrépressibles de vous prendre pour un agent secret ? Ou mieux, vous en êtes un, transportant des fichiers confidentiels de Londres à New York, en passant par Moscou (sacré détour au passage) ? TeamGroup a le SSD qu’il vous faut, afin de parer à toute éventualité.
Si la marque ne vous dira pas grand chose, c’est pourtant dans le plus grand silence l’un des plus gros fournisseurs de mémoire dans le monde : créée en 1997 à Taïwan, elle fait partie des dix plus grandes entreprises du domaine. Elle a divisé ses activités en trois groupes distincts, avec TeamGroup pour le grand public, T-Force pour les gamers, et T-Create pour les objets un peu plus exotiques. C’est cette dernière division qui nous intéresse aujourd’hui.
L’objet du délit est un SSD externe d’un type un peu particulier, qui vient compléter celui interne qu’on a déjà vu en juillet : il est doté d’un bouton qui, une fois appuyé, va détruire de manière irrémédiable les données présentes sur les puces de mémoire. La méthode est radicale, et irréversible : si le bouton est pressé alors que le SSD est branché à un ordinateur, le mécanisme en place va s’assurer de la destruction de toute la puce, supprimant définitivement les données présentes, et transformant le SSD en joli presse-papier.
Le souci d’un SSD externe, contrairement à son pendant interne, reste qu’un bouton... ça s’appuie par mégarde, surtout si le boîtier se balade dans un sac. Pour éviter toute manipulation malencontreuse, le mécanisme de destruction n’opère que s’il est branché à un ordinateur. De plus, pour pouvoir enclencher la mise à mort de la puce mémoire, il faut non seulement enfoncer le bouton avec une certaine force, mais aussi le glisser vers le haut.
Disponible dans quelques semaines en version 256 GB, 512 GB, 1 TB ou 2 TB, l’entreprise n’a pas encore indiqué les tarifs auxquels elle compte placer ses SSD pour James Bond et autres Ethan Hunt en herbe. Reste que le P35S n’est pas un SSD externe que l’on peut conseiller à tout le monde : avec une telle tentation placée en plein milieu du boîtier, le risque est grand de voir un bambin, un collègue un peu taquin, ou une personne curieuse appuyer sur le bouton...
Vous en avez marre du design de votre Apple Watch ? Ou vos amis en soirée vous ont fait comprendre que « pas assez cher, mon fils » ? La société suédoise Golden Concept a probablement la solution pour vous : le boîtier Crown Sport Carbon, qui vient métamorphoser une Apple Watch Series 10 ou 11 en chrono sportif.
Tout en noir, le boîtier est plutôt bien dessiné. Image Golden Concept.
Comme son nom l’indique, la Crown Sport Carbon est entièrement en... carbone (on suit, au fond !). Utilisant de la fibre de carbone en couches compressées les unes au-dessus des autres, elles permettent non seulement une solidité assez surprenante pour le poids, mais en plus lui donnent un design unique, chaque couche dessinant des courbes spécifiques à chaque pièce.
Afin de mimer au mieux un chrono classique, le boîtier est muni d’une couronne et de deux poussoirs. Si le design est ainsi respecté, ce n’est pas pour autant que chaque élément a une fonction spécifique : la couronne transmet bien les mouvements et le clic à la couronne d’origine de l’Apple Watch, mais les poussoirs bien qu’au nombre de deux ont la même fonction que l’on appuie sur celui du haut ou celui du bas, l’Apple Watch n’ayant qu’un seul bouton en plus de la couronne. L’idée ici est de proposer un design classique, plus que d’avoir une utilité parfaite.
La couronne sert de verrou pour la lunette, qui s’ouvre pour déposer l’Apple Watch dans le boîtier. Image Golden Concept.
La couronne a une seconde fonction, bien pratique : si elle est tirée par l’utilisateur, elle ouvre alors la lunette qui pivote alors sur un axe latéral, permettant de glisser l’Apple Watch dans le boîtier. Les fonctions d’origine de la montre sont respectées, le fond laissant passer les capteurs de l’Apple Watch sur le poignet.
Bon, c’est bien beau, mais combien ? Pour pouvoir se la jouer jet-set dans les soirées de l’ambassadeur avec une « simple » Apple Watch, ou tout simplement par envie de changement, il va falloir sortir les billets : à 800 € le boîtier, sans compter le bracelet si vous voulez prendre la complète avec un bracelet métal en PVD noir du plus bel effet, l’emballage finit par coûter plus cher que la montre elle-même... mais quand on aime, on ne compte pas. Non ?
À l’occasion du Black Friday, VideoProc Converter AI — l’un des utilitaires multimédias les plus complets sur Mac — dévoile ici sa plus grosse promo de l’année. Le logiciel tombe à 30,95 € pour les 150 premiers acheteurs (puis 35,95 €), avec une licence à vie et l’accès à toutes les futures mises à jour de ses modèles IA.
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Le casque AirPods Max d'Apple est assez rarement en promotion, mais c'est pourtant le cas aujourd'hui pour la version USB-C (la dernière en date) grâce à une promotion du Black Friday.
Dans un communiqué laudatif d'Apple sur la technologie d'Apple mise en place pour la fabrication des Apple Watch, on apprenait que le module qui contient la prise USB-C de l'iPhone Air est imprimé en 3D. iFixit en a profité pour se pencher sur le sujet. Ou plus exactement, pour publier sur le sujet, car le communiqué d'Apple a confirmé leur analyse.
La pièce, au centre. Image iFixit.
Dans l'article, iFixit explique donc que la prise USB-C (au sens large, le module de connexion) est imprimée en 3D, à partir de poudre de titane et avec un procédé additif : la pièce se compose de différentes couches de titane. Ils rappellent ce qu'Apple indique par ailleurs : cette solution réduit les déchets par rapport à la technique classique, qui consiste à forger le métal. C'est donc intéressant d'un point de vue économique et écologique.
Le titane, zoomé. Image iFixit.
Une vue au microscope de la pièce montre une structure assez étonnante, qui ressemble aux maillons d'une chaîne. Nos confrères indiquent que c'est le résultat de l'usage de plusieurs lasers par Apple, et que la technique a notamment été employée pour ajouter des propriétés antibactériennes au titane dans des prothèses. Ce n'est pas le cas ici (ni a priori sur les Apple Watch) : les maillons de 30 µm sont trop gros.
Le cas du titane d'Apple
Apple parle de titane de qualité aérospatiale sur son site, mais ce n'est pas une spécification réellement employée dans l'industrie. L'alliage employé par Apple est selon eux du Ti-6Al-4V qui n'est habituellement pas employé dans le domaine spatial. Un expert indique que sa composition suggère qu'Apple récupère les déchets de sa propre production et ajoute du ferrochrome pour produire l'alliage employé pour l'impression 3D, qui est donc 100 % recyclé.
Les avantages selon Apple. Image Apple.
Nos confrères, spécialisés dans le domaine de la réparation, pointent une chose : Apple met en avant l'impression 3D, mais ce n'est pas celle à laquelle vous pensez. La solution d'Apple n'est pas là pour permettre à une personne d'imprimer ses pièces en 3D, Apple ne fournit pas les plans et la technologie est totalement différente de ce qu'une personne peut avoir chez elle. C'est une prouesse technique intéressante, mais elle ne change rien à la réparabilité des iPhone.
Comme tous les autres fabricants d’aspirateurs robots, Dreame fait des réductions significatives sur ses produits à l’occasion du Black Friday. La marque chinoise s’est rapidement fait une place sur le marché avec des appareils performants proposés à des tarifs compétitifs.
Preuve en est avec le Dreame L40s Pro Ultra (oui, les noms des aspirateurs, c’est quelque chose). Actuellement en promotion à 584 € (- 17 %), le prix le plus bas à ce jour, il aspire et lave très bien, y compris dans les coins. Il navigue d’autant mieux dans la maison qu’il peut franchir les obstacles faisant jusqu’à 4 cm. Pour couronner le tout, il jouit d’une autonomie confortable et d’un entretien simplifié. Il a été noté 5/5 par nos confrères des Numériques.
Dreame L40s Pro Ultra
Le Dreame X50 Ultra Complete est, lui, en promotion à 899 € (- 17 %), là aussi un prix jamais vu. C’est essentiellement une version plus puissante en matière d’aspiration (20 000 Pa contre 19 000) et plus endurante (4,5 h contre 3,5). Et il est capable de franchir des obstacles jusqu’à 6 cm.
Dreame X50 Ultra Complete
On peut également relever le Dreame Aqua10 Ultra Roller, au tarif record de 999 € (- 23 %). Ce modèle-là se démarque par une puissance d’aspiration encore plus élevée (30 000 Pa) et un rouleau de lavage unique (qui se relève automatiquement quand nécessaire) à la place de serpillières rotatives. De plus, sa station très complète simplifie l’entretien. Il a été noté 4/5 chez nos confrères.
Dreame Aqua10 Ultra Roller
Dreame a promis une mise à jour ajoutant la prise en charge de Matter pour ces aspirateurs. Cela signifie qu’à terme il sera possible de les intégrer dans l’application Maison d’Apple, pour les commander avec Siri ou les inclure dans des automatisations. En attendant, le contrôle se fait via l’app du fabricant.
À l’occasion du Black Friday, Plaud propose une belle promotion sur le Plaud Note et le Plaud NotePin, deux enregistreurs intelligents ultracompacts capables de transformer n’importe quelle conversation – réunion, appel téléphonique, cours, interview – en texte structuré grâce à l’IA.
Les principaux produits de Sonos sont en promotion durant le Black Friday, notamment le casque Ace au tarif record de 299 €. Il avait été lancé mi-2024 à 499 €, avant de voir son prix légèrement raboté faute de succès commercial. Mais 299 €, c’est une première et cela le rend très intéressant.
Sonos Ace. Image Sonos.
Car le Sonos Ace est un excellent casque, qui dispose d’une bonne qualité de fabrication, d’une autonomie confortable, d’un son chaleureux et d’une réduction de bruit active efficace. Les détenteurs d’une barre de son Sonos peuvent en plus transférer très simplement l’audio vers lui. Plus d’infos dans notre test :
Nous apprécions de manière générale les enceintes et barres de son Sonos car elles offrent une très bonne qualité sonore, un fonctionnement multiroom simple et une compatibilité avec AirPlay 2 — et Spotify Connect, ça compte aussi.
Lancé il y a deux ans à 279 €, la Sonos Era 100 est à seulement 189 € durant le Black Friday. Il s’agit d’une des meilleures enceintes connectées du marché. Sa qualité audio est excellente et l’effet stéréo a été amélioré par rapport à la précédente Sonos One.
Sonos Era 100. Image Sonos.
L’application du fabricant (qui intègre de nombreux services musicaux, dont Apple Music) est pratique quand on a des enceintes Sonos disséminées dans les quatre coins de la maison, mais elle n’est pas indispensable pour autant. On peut très bien diffuser de la musique en AirPlay 2, Spotify Connect ou même en Bluetooth. Cette dernière option est surtout utile pour les invités qui n’ont pas le code Wi-Fi du domicile.
La Era 100 accepte un bon vieux branchement filaire : son port USB-C est pensé pour recevoir un adaptateur jack 3,5 mm. On a aussi la possibilité de la commander vocalement grâce à Alexa ou la fonction maison Sonos Voice Control. L’enceinte peut s’utiliser individuellement, en couple pour de la vraie stéréo ou bien encore au sein d’une configuration home cinema avec d’autres produits Sonos.
La Era 300 est le modèle au-dessus, apportant beaucoup plus de puissance et une compatibilité avec l’audio spatial d'Apple Music. Elle est en promotion à 390 € au lieu de 499 €.
Sonos fait aussi des enceintes nomades, fonctionnant sur batterie, qui se connectent en Bluetooth ou en Wi-Fi — ce dernier mode permet une utilisation multiroom facile. Il y a la petite Roam 2 à 159 € (- 20 %) et la grosse Move 2 à 390 € (- 20 %).
Barres de son
Côté barres de sons, la compacte Sonos Ray est en promotion à 179 € (- 22 %). C’est là aussi un des prix les plus bas à ce jour. Elle convient très bien pour améliorer le son d’un petit téléviseur. Elle gère le PCM stéréo, le Dolby Digital 5.1 et le DTS Digital Surround.
Sonos Beam Gen 2. Image Sonos.
Pour une pièce plus grande et plus d’ampleur, la Sonos Beam Gen 2 est disponible à 369 € (- 25 %). Non seulement elle a plus de coffre que la Ray, mais elle prend en charge le Dolby Atmos. Pour les très grands salons, la Sonos Arc Ultra est à 799 € (- 19 %).
Et pour avoir un système home cinéma digne de ce nom, il y a le caisson de basse Sonos Sub Mini à 390 € (- 22 %) ou bien le grand modèle Sonos Sub 4 à 719 € (- 19 %).
Pour le Black Friday, quelques claviers pour iPad sont en promotion, et ils sont bien moins chers que les Magic Keyboard d'Apple. Le premier est le Combo Touch de Logitech, pour les iPad Air 13 pouces (M2 et M3). Compte tenu du format, il devrait aussi fonctionner sur les iPad Pro 13 pouces M1 ou M2. Il est à 191 € en promotion au lieu de 260 €. Ce clavier se rabat sur l'écran et intègre un trackpad, très pratique. La version pour les iPad M2 et M3 ainsi que les iPad Air précédents est à 160 € au lieu de 230 €.
Le Combo Touch.
Toujours chez Logitech, le Combo Touch pour les iPad de 10e et 11e génération (l'actuel) est à 118 € au lieu de 180 €. Pour les iPad plus anciens (de la 7e à la 9e génération), il existe aussi un Combo Touch. Il n'est pas en promotion stricto sensu, mais Amazon le vend 140 €, contre 180 € en prix public. Pour les iPad 10 et 11, le Logitech Slim Folio — sans trackpad — est en promotion à 74 € au lieu de 120 €. Il suffit soit d'utiliser l'écran tactile, soit de connecter une souris Bluetooth.
On peut aussi noter que le Magic Keyboard pour les iPad Air 11 pouces et les iPad Pro 11 pouces (avant les M4) est en promotion. Mais même dans ce cas, le prix reste élevé : 287 € au lieu de 350 €.
Avec iOS 26, l’app Téléphone se dote enfin d’outils modernes pour lutter contre l’un des pires fléaux du quotidien : les appels indésirables. Filtrage automatique avant la sonnerie, identification enrichie des numéros inconnus, signalement express des vocaux suspects… Apple muscle son bouclier anti-spam, mais non sans quelques risques de faux positifs.
Vous êtes nombreux à avoir suivi notre série d'articles et de vidéos EcoTech et certains pourraient être tentés de s'équiper d'une batterie et/ou d'un kit de panneau solaire. La firme EcoFlow propose actuellement une série de promotions intéressantes pour le Black Friday afin de s'équiper à moindre coût
Le Cambridge Dictionary a décidé : parasocial est le mot de l’année 2025, un choix qui en dit long sur notre époque — celle où l’on peut se sentir proche d’une célébrité qu’on n’a jamais rencontrée, ou même… d’un chatbot.
La Black Friday Week d’AliExpress est lancée : pendant quelques jours, une large sélection high-tech, maison et mobilité passe à prix choc, parfois jusqu’à −60 %. L’événement est rythmé par des remises vendeurs, des ventes flash et des paniers optimisés au paiement. Les meilleures affaires partent vite : n’hésite pas à ajouter tes produits au […]
Cette fois c’est confirmé : Apple s’est bel et bien associé avec le club du Real Madrid pour deux ambitieux projets immersifs avant tout destinés aux nombreux du club merengue. Le premier projet, prévu pour l’an prochain, est un documentaire sur le club destiné au casque XR Vision Pro : le film sera entièrement conçu […]
Dans sa nouvelle publicité, Google détourne l’univers de Wicked en affirmant que son Pixel Pro 10 est meilleur que l’iPhone 17 Pro d’Apple, notamment sur l’intelligence artificielle. Une mise en scène théâtrale qui arrive pile-poil pour la sortie du film Wicked : Partie 2 au cinéma. Le Pixel et l’iPhone se transforment en Glinda et […]
Le Black Friday, c'est l'occasion en or de faire des affaires à l'approche des fêtes de fin d'année. Je ne pense pas être le seul à différer ses achats et à attendre de voir ce qu'il sera proposé à cette occasion. Car il s'agit très souvent la période de l'année où l'on trouve les meilleures affaires. Amazon participe une fois de plus à cet évènement commercial et ne déroge pas à la règle cette année. Enfin, si... Car le Black Friday commence en fait dès aujourd'hui sur Amazon (et pas demain) et ne dure pas qu'un seul jour mais plusieurs : c'est la "Black Friday Week".
L'idée de cet article est très simple : recenser les meilleures offres que je repère. Je mettrai à jour l'article à mesure de l'évolution des stocks/prix. N'hésitez pas à me faire part de vos trouvailles en réagissant à cette news sur les forums afin de permettre d'étoffer la liste !
Le match du meilleur réseau mobile se joue à quatre opérateurs et à la fin, c’est Orange qui gagne. Pour la 15e année consécutive, l’opérateur historique arrive globalement en tête des mesures de qualité de service réalisées par l’ARCEP. Si les résultats de la campagne 2024 avaient été exceptionnellement décalés en raison d’une incohérence technique sur un point, les graphiques de 2025 sont dès à présent publiés.
Pour déterminer la qualité des réseaux des quatre opérateurs, l’ARCEP a mené plus d’un million de mesures entre juin et août dans tous les départements métropolitains. Bien qu’Orange domine l’ensemble du classement, il reste instructif d’observer, catégorie par catégorie, la manière dont chaque opérateur se défend.
Appels
Les appels en qualité parfaite, c’est-à-dire maintenus pendant deux minutes et sans perturbation audible, constituent le premier indicateur. Au niveau national, Orange atteint 91 %, devant Bouygues Telecom (88 %) et SFR (87 %), tandis que Free Mobile ferme la marche avec 84 %. Orange arrive également en tête dans les trois types de zones : denses, intermédiaires et rurales.
Taux de communications réussies deux minutes sans perturbations audibles par opérateur et par zone. Graphique ARCEP.
En 2025, une seconde application a été intégrée aux mesures afin de refléter les usages réels, en l’occurrence WhatsApp. Dans ce domaine, Orange atteint 82 %, Free 80 %, et SFR comme Bouygues 77 %.
Pour la réception d’un SMS en moins de dix secondes, les résultats sont très resserrés : Orange affiche 96 %, Bouygues 94 %, et SFR et Free 93 %.
Internet mobile
Pour évaluer la qualité d’internet mobile, le régulateur s’appuie sur trois seuils :
3 Mbit/s : navigation web, usages peu exigeants ;
8 Mbit/s : usages courants, notamment la vidéo ;
30 Mbit/s : usages avancés, outils professionnels ou collaboratifs.
En zones denses, Bouygues Telecom se place en tête sur le seuil minimal de 3 Mbit/s et fait jeu égal avec Orange pour les seuils supérieurs de 8 et 30 Mbit/s. En zones intermédiaires et rurales, Orange devance ses concurrents sur les trois paliers.
Taux de mesures de débits descendants supérieurs aux seuils de 3 Mbit/s (gauche), 8 Mbit/s (centre) et 30 Mbits/s (droite) par opérateur et par zone (rurale, intermédiaire, dense). Graphique ARCEP.
Concernant les débits montants, en zones denses, Orange atteint 34 Mbit/s, devant Bouygues (27 Mbit/s), SFR (25 Mbit/s) puis Free (20 Mbit/s). En zones rurales, les débits montants moyens sont de 14 Mbit/s pour Orange, 11 Mbit/s pour SFR, 9 Mbit/s pour Bouygues et 8 Mbit/s pour Free.
En usage concret, pour regarder une vidéo en streaming, les résultats sont très bons pour tout le monde. En zones denses, Orange et Bouygues Telecom affichent 97 % de vidéos visionnées sans interruption notable, devant SFR (95 %) et Free Mobile (94 %).
Sur les axes de transport
Sur les routes, pour les appels réussis et maintenus pendant deux minutes, Orange affiche 95 %, devant Bouygues et SFR (94 %), puis Free (92 %). Dans les trains, les écarts se creusent : Orange atteint 74 % de communications maintenues dans les TGV, assez loin devant Free (61 %), puis Bouygues Telecom (58 %) et SFR (56 %).
Pour l’internet mobile le long des axes, Orange reste en tête : 90 % de pages web affichées en moins de cinq secondes, devant Free (87 %) et Bouygues et SFR (86 %). Dans les TGV, Orange conserve l’avantage : 70 % des pages se chargent en moins de cinq secondes, contre 63 % pour Free Mobile et SFR, ex aequo, et 61 % pour Bouygues Telecom.
Enfin, dans les métros, les quatre opérateurs affichent un très bon niveau de performance : Orange atteint 95 %, SFR et Bouygues Telecom 94 %, Free Mobile 91 %.
Taux de pages web chargées en moins de cinq secondes par opérateur et par transport. Graphique ARCEP.
Pour conclure
Orange est donc le grand vainqueur une année de plus, ce que l’opérateur n’a pas manqué de célébrer avec un communiqué de presse triomphant : « Orange arrive 1er ou 1er ex aequo sur 251 des 258 indicateurs mesurés, couvrant l’ensemble des usages et des territoires. »
Mais ses concurrents ne se laissent pas démonter et trouvent chacun un motif de satisfaction. Ainsi, Iliad note que « pour les usages, Free se classe à la 1ère ou 2ème place ex aequo » sur de nombreux indicateurs. Chez SFR, qui pourrait bien se faire manger par les trois autres, on se félicite d’un « progrès » et revendique le 2e meilleur réseau mobile en zones moins denses. Et chez Bouygues, on met en avant son statut de n°1 ou n°1 ex aequo en zones denses sur plusieurs critères importants.
Il va sans dire que ce classement demeure un indicateur très global de la qualité des réseaux mobiles. D’une zone à l’autre, les vérités ne sont pas les mêmes. C’est précisément pour cela que l’Arcep met à disposition Mon réseau mobile, qui permet de comparer, lieu par lieu, la couverture et la qualité du réseau de chaque opérateur.
Apple prépare de nouveaux produits pour le début de 2026 et cela va inclure l’iPhone 17e, le MacBook d’entrée de gamme moins cher et l’iPad 12, selon les informations de l’analyste Jeff Pu. Trois produits Apple d’entrée de gamme au début 2026 Au cours des premiers mois de 2026, Apple lancerait donc une vague de […]