C’est une petite barre symbolique, mais un grand pas pour le jeu libre : selon l’enquête Hardware & Software Survey d’octobre 2025 publiée par Valve, les joueurs sous Linux représentent désormais 3,05 % des utilisateurs de Steam, contre 2,64 % […]
Dans une décision symbolique aux fortes implications géopolitiques, la Cour pénale internationale (CPI) a annoncé qu’elle allait remplacer la suite bureautique Microsoft Office par la solution européenne openDesk, développée par la société publique allemande ZenDis (Zentrum für Digitale Souveränität). L’information, […]
La fonction « Mettre à jour et éteindre » ne redémarre plus le PC depuis un correctif déployé sur Windows 11 25H2 : Windows 11 corrige enfin un bogue vieux d'une décennie mais multiplie les fiascos
Pendant plusieurs années, les utilisateurs de Windows ont vécu avec une bizarrerie aussi frustrante qu'incompréhensible : cliquer sur « Mettre à jour et arrêter » n'arrêtait pas toujours l'ordinateur. Au lieu de cela, le système redémarrait sournoisement pour finaliser les mises à jour avant de s'éteindre...
Les pilotes GeForce Game Ready 581.80 viennent d'être livrés sur la toile. Ils apportent les optimisations prévues pour les jeux Anno 117: Pax Romana, Europa Universalis V et Call of Duty: Black Ops 7. Pour ce dernier titre, le DLSS 4, la Multi Frame Generation et Reflex sont incorporés pour le jour...
KIOXIA, qui pour rappel est la société qui a pris la suite de Toshiba Memory, a publié ces derniers jours la nouvelle version 6.4 du logiciel de maintenance SSD Utility pour les différents SSD internes et externes EXCERIA ainsi que pour certains vieux modèles OCZ. Aucun changelog n'a été publié par ...
La marque PNY a mis en ligne le nouveau BIOS vidéo 98.06.40.80.90 pour la carte graphique GeForce RTX 5060 Overclocked Dual Fan Edition (modèle VCG50608DFXPB1-O) visant à corriger un problème avec la fréquence Boost affichée dans l'application de monitoring GPU-Z.
D'après certains témoignages que...
Les exigences PC de Call of Duty Black Ops 7 tombent enfin, et un détail frappe d’emblée : le minimum se contente de 3 Go de VRAM, quand l’Ultra en 4K grimpe à 16 Go. De quoi aiguiller les mises à niveau avant la sortie du 14 novembre sur Battle.net, Steam et Xbox sur PC.
Configs officielles : du très léger au très musclé
D’après Activision, le palier minimal vise des réglages bas avec 8 Go de mémoire système et seulement 3 Go de VRAM. Les cartes listées sont Radeon RX 470, GeForce GTX 970 ou 1060, ainsi qu’Intel Arc A580, associées à un Ryzen 5 1400 ou un Core i5-6600. Rien d’étonnant à ce que ces références, parfois en fin de support d’optimisation, ouvrent la marche. Il faut Windows 10 64 bits, DirectX 12 et 116 Go d’espace SSD au lancement.
Le palier recommandé monte à Windows 11, 12 Go de RAM et 8 Go de VRAM, avec des GPU tels que Radeon RX 6600 XT, GeForce RTX 3060 ou Intel Arc B580, et des CPU type Ryzen 5 1600X ou Core i7-6700K. Pour les préréglages compétitifs et l’Ultra 4K, Beenox indique un Ryzen 5 5600X ou un Core i7-10700K, 16 Go de RAM et des cartes haut de gamme comme Radeon RX 9070 XT, GeForce RTX 4080 et RTX 5070.
Point à noter : la fiche mentionne 16 Go de VRAM pour la RTX 5070, alors que ce modèle est doté de 12 Go. Il semblerait donc qu’il s’agisse d’une erreur dans le tableau des exigences.
PC portables Windows et options d’upscaling
Beenox détaille aussi des réglages destinés aux consoles PC sous Windows, avec des profils adaptés aux enveloppes de puissance réduites et aux écrans compacts. Le studio confirme la prise en charge de l’upscaling AMD FSR 4, ainsi que d’autres options de mise à l’échelle ou de génération d’images pour maintenir une cadence jouable. « Aucun signe de l’upscaler FSR Redstone », selon la source, ce qui laisse penser qu’AMD ne profitera pas de ce lancement pour dévoiler sa nouvelle techno.
Black Ops 7 impose désormais TPM 2.0 et Secure Boot sur toutes les configs, en plus du traditionnel DirectX 12 et d’une connexion haut débit. Ces garde-fous permettent à Ricochet Anti-Cheat d’exploiter une vérification matérielle du chemin de démarrage, histoire de compliquer la vie des tricheurs au niveau noyau et des pilotes non signés. Le jeu requiert aussi un CPU Intel ou AMD compatible AVX et, côté Intel Arc, l’activation du Resizable BAR.
Reste à voir si ces choix techniques paieront en stabilité au lancement. En attendant, le cadre est clair et les joueurs PC peuvent planifier leur configuration bien avant la préinstallation.
Microsoft accélère sur le jeu portable PC : le Xbox mode Full Screen Experience fait son entrée sur les MSI Claw via la dernière build Windows 11 Insider. De quoi transformer ces machines en consoles de poche orientées manette.
Xbox FSE s’ouvre au-delà d’Asus, cap sur les MSI Claw
D’après Microsoft, le mode Xbox FSE est en test sur les « MSI Claw models » au sein des canaux Dev et Beta de Windows 11 Insider Preview. Initialement lancé sur les ROG Ally et Ally X, ce mode « controller-first » démarre directement dans l’application Xbox sur PC, en évitant le Bureau classique. L’interface a été pensée pour les petits écrans et la navigation simplifiée, tandis que Windows limite les processus en arrière-plan et reporte les tâches non essentielles pour libérer des ressources au profit des jeux.
Le billet officiel précise que le déploiement « est en cours vers les modèles MSI Claw », sans lister les références. Or, la gamme s’est élargie : Claw 7 sous Intel Meteor Lake, Claw AI+ 8 sous Intel Lunar Lake, et Claw A8 animé par l’AMD Ryzen Z2 Extreme. Il semblerait que toute la famille soit concernée, mais il n’est pas exclu que les versions récentes dotées d’NPUs plus rapides, comme les Lunar Lake et Ryzen Z2 Extreme, soient servies en premier. Selon les premiers retours relayés par NotebookCheck, les tests se concentrent sur la Claw 8 AI+.
Comment activer le mode, et sur quelle build
Sur les modèles compatibles tournant sous Windows 11 Insider Preview Build 26220.7051, l’activation se fait via Paramètres > Jeux > Expérience plein écran, puis en choisissant Xbox comme application d’accueil. Une fois configurée, la console portable peut démarrer directement dans le shell FSE. Le mode est aussi accessible depuis la Vue des tâches ou la Game Bar. Microsoft résume l’objectif en une formule claire : « boots straight into the Xbox PC app », un fonctionnement cité dans sa documentation.
La série Claw devient ainsi la première ligne de portables non Asus à recevoir un support officiel FSE. Les ROG Ally et Ally X l’intègrent depuis leur lancement, tandis que Lenovo a confirmé que le Legion Go Gen 2 recevra FSE ultérieurement, une mise à jour prévue pour le printemps 2026. Microsoft promet d’ajouter d’autres OEM « au cours des prochains mois ». Rien d’étonnant à ce que FSE s’impose peu à peu comme option standard sur les portables Windows dédiés au jeu.
Et si Intel ramenait enfin l’accélération 512 bits au grand public ? De nouveaux indices laissent penser que Nova Lake pourrait embarquer AVX10, APX et AMX, malgré des signaux contradictoires ces dernières semaines.
Nova Lake relance l’espoir du 512 bits côté client
Selon les dernières versions de l’assembleur NASM (3.0 puis 3.1), les mentions d’AVX10, APX et AMX réapparaissent pour Nova Lake, suggérant que ces jeux d’instructions ne seraient pas réservés aux Xeon. Il faut dire que, quelques semaines plus tôt, un patch initial pour GCC indiquait l’inverse : l’activation Nova Lake n’incluait ni AVX10, ni AMX, ni APX, laissant entendre une absence côté client. D’après NASM, l’option reste sur la table.
Intel avait désactivé AVX-512 sur Alder Lake et Raptor Lake pour les processeurs orientés grand public, cantonnant le 512 bits aux serveurs. Si Nova Lake change la donne, on verrait revenir l’accélération 512 bits pour la création de contenus, l’encodage/décodage et les charges IA. Les rumeurs évoquent jusqu’à 52 cœurs : 16 P-Cores, 32 E-Cores et 4 LPE-Cores. De quoi couvrir jeu et station de travail, tout en laissant les usages purement serveur aux Xeon.
Face à AMD, le timing serait symbolique. Avec Zen 5, AMD a introduit un support AVX-512 complet sur l’ensemble de ses gammes, sans émulation par découpage en 2×256 bits. Si Intel réintroduit une accélération 512 bits native sur ses SoC clients, ce serait « la première fois que les deux proposent du 512 bits côté grand public simultanément », selon la source.
Compilateurs vs assembleurs : des signaux encore flous
Reste à voir si les indices de NASM se concrétisent dans les toolchains complètes. Les premiers patchs GCC ont refroidi les attentes, mais l’apparition des drapeaux côté assembleur relance le débat. En attendant une confirmation d’Intel, prudence : il semblerait que l’activation finale dépende des déclinaisons de Nova Lake et de la stratégie d’Intel sur ses cœurs hétérogènes.
Apple s’apprêterait à bousculer l’entrée de gamme : un MacBook nettement sous les 1 000 euros serait en préparation pour 2026.
Un Mac « budget » pour contrer Chromebooks et PC Windows
D’après Bloomberg, cité par Reuters, Cupertino travaille sur un portable au nom de code J700, attendu au premier semestre de l’an prochain. Objectif affiché : séduire étudiants, entreprises et grand public avec un châssis et des composants plus simples afin de contenir les coûts. Il faut dire que le segment est dominé par les Chromebooks et les PC Windows d’entrée de gamme.
Particularité majeure, le J700 utiliserait une puce de classe iPhone plutôt qu’un SoC dédié Mac. L’écran LCD serait plus petit que 13,6 pouces, ce qui en ferait le Mac le plus compact en développement. Selon les premiers essais évoqués, cette puce mobile dépasserait les performances du M1, une affirmation résumée ainsi par la source : « les tests internes montreraient un gain face au M1 ».
La machine viserait les usages web, bureautiques et l’édition multimédia légère, mais aussi les acheteurs d’iPad tentés par un format ordinateur portable. La production aurait déjà démarré chez des fournisseurs étrangers. Apple chercherait à positionner ce modèle bien en dessous du MacBook Air M4 à 999 dollars.
Rumeurs de prix et calendrier, mais configuration encore floue
En août, des échos faisaient état d’un MacBook 12,9 pouces à 599–699 dollars (environ 570–660 euros), animé par une puce A18 Pro et attendu en production fin 2025, avec design fin, léger et des fonctions limitées face aux Mac M‑series. Reste à voir si ces bruits de couloir coïncideront avec le J700 final, Apple pouvant avoir ajusté sa feuille de route.
Ces informations tombent peu après l’annonce d’un chiffre d’affaires trimestriel record à 102,5 milliards de dollars et la présentation du M5 gravé en 3 nm de troisième génération. Apple promet jusqu’à 45 % de gain GPU et 15 % en CPU multithread face au M4, avec un accélérateur neuronal intégré à chaque cœur. En revanche, ce futur Mac « budget » ne viserait pas ces sommets de performances, mais un prix d’appel agressif et une autonomie potentiellement solide, portée par une puce mobile.
Affaire Ryzen X3D Hybrid Bonding : un litige majeur secoue l’écosystème CPU. Adeia accuse AMD d’utiliser sans autorisation plusieurs technologies de semi-conducteurs clés, intégrées notamment aux Ryzen X3D qui dominent aujourd’hui le classement des CPU gaming.
Adeia vise dix brevets, AMD au pied du mur
Adeia, spécialiste des licences IP souvent classé parmi les entités de revendication de brevets, a déposé plainte contre AMD. Selon la société, le fondeur exploiterait depuis des années ses technologies sans accord. Le dossier couvre dix brevets : sept portent sur le hybrid bonding, trois concernent des techniques liées aux nœuds de gravure avancés. Adeia affirme avoir tenté un arrangement avant la voie judiciaire et estime que ces inventions ont contribué à la progression d’AMD sur le marché.
L’entreprise demande des dommages et intérêts non précisés, ainsi qu’une injonction pour empêcher AMD d’utiliser les technologies en cause. Elle dit toutefois rester ouverte à une licence « équitable et raisonnable ». Adeia revendique un vaste portefeuille de brevets construit sur plusieurs décennies et a déjà croisé le fer avec de grands noms, dont NVIDIA, un contentieux soldé par un accord confidentiel.
Le 3D V‑Cache dans la ligne de mire
Le hybrid bonding est utilisé par des produits comme les Ryzen X3D dotés de 3D V‑Cache. D’après plusieurs observateurs, cette brique est trop stratégique pour qu’AMD prenne le risque d’en être privée. « Si un juge ordonnait de limiter ou d’arrêter la production le temps du verdict, ce serait un sérieux problème », résument des analyses reprises par la source. Reste à voir si AMD optera pour un règlement amiable, à l’image de NVIDIA face à la même société.
Il faut dire que l’enjeu dépasse un simple échange financier : une injonction pourrait toucher des gammes actuelles et futures, alors que la concurrence redouble d’efforts sur l’empilement 3D et l’intégration avancée. Rien d’étonnant à ce que les discussions de licence, si elles s’ouvrent, soient scrutées de près.
La voiture de Tesla s’est donc invitée en pleine compétition et si certains pensaient que le Full Self-Driving était le coupable, ce ne serait pas le cas. Selon The Drive, ce n'est pas un acte délibéré mais une simple erreur humaine.Une Tesla s'invite en pleine course de motosL'intrusion du véhicule électrique a eu lieu en direct et sur YouTube, on p...
Le cambriolage au musée du Louvre a révélé des failles importantes au niveau du système informatique, avec des mots de passe faibles et des systèmes obsolètes.
OpenAI a dévoilé Aardvark, un chercheur en sécurité agentique propulsé par le LLM GPT-5. Il est capable de détecter et de corriger les failles de sécurité.
La KB5070881 corrige une faille critique dans WSUS, mais elle a aussi eu un effet de bord : elle a désactivé le Hotpatch sur des serveurs Windows Server 2025.
Initialement retardée par la réglementation européenne, la fonctionnalité de traduction en temps réel d'Apple avec les AirPods trouve finalement son chemin vers le Vieux Continent. Une arrivée prévue le mois prochain.
Une nouvelle technique de phishing exploite les formulaires du type « Contactez-nous » de sites web parfaitement légitimes, pour piéger les victimes. Les cybercriminels parviennent ainsi à tromper les systèmes de sécurité e-mail classiques.
Free TV, l’offre de télévision gratuite en streaming de Free, change en ce qui concerne les chaînes de TF1 et France Télévisions. Il y a des restrictions en place. Des limites pour TF1 et France Télévisions sur Free TV En ce qui concerne les chaînes de France Télévisions …
Nintendo relève la barre pour sa nouvelle génération
Lancée le 5 juin, la Switch 2 a atteint plus de 3,5 millions d’unités en quatre jours, d’après les chiffres actualisés de Nintendo. Le constructeur rehausse désormais son objectif d’expéditions pour l’exercice en cours, de 15 à 19 millions d’unités, porté par une demande soutenue depuis le lancement. Côté jeux, 20,62 millions de logiciels ont déjà trouvé preneur, et la prévision annuelle est ajustée à 48 millions.
Le timing joue en sa faveur : la période des fêtes devrait doper les ventes. Il faut dire que la machine se positionne nettement mieux que les lancements de la Wii U et de la 3DS, Nintendo indiquant que la Switch 2 « suit une trajectoire supérieure aux précédents démarrages ».
La Switch originelle continue, elle, sa longue carrière, totalisant 154,01 millions d’unités à vie. Rien d’étonnant à ce que Nintendo capitalise sur les deux écosystèmes en parallèle.
Technique : NVIDIA Ampere et upscaling IA
Côté matériel, la Switch 2 s’appuie sur un SoC NVIDIA basé sur l’architecture Ampere, associé à 16 Go de LPDDR5 et une sortie jusqu’en 4K sur dock.
C’est la première console Nintendo à exploiter pleinement l’upscaling par IA (auparavant, seule une prise en charge d’AMD FSR était mentionnée). NVIDIA ne détaillant pas ses volumes GeForce, il semblerait que la Switch 2 figure parmi ses appareils les plus populaires lancés cette année.
Reste à voir si l’élan se maintiendra au-delà des fêtes. Pour l’instant, tous les voyants sont au vert pour la nouvelle génération de Nintendo.
Trente-six ports USB sur une seule carte mère : de quoi rester bouche bée. Il faut dire que ce modèle, aperçu sur une plateforme Intel LGA 1151, semble viser des usages très spécifiques plutôt qu’un PC de bureau classique.
Une LGA 1151 bardée d’USB pour des besoins atypiques
D’après les images partagées, l’arrière regorge de connecteurs USB Type-A, probablement pilotés par plusieurs contrôleurs dédiés. Les spéculations vont bon train : phone farms, bancs de tests de masse pour clés et périphériques, voire installations de minage s’appuyant sur des risers USB au lieu de ports PCIe. Rien d’étonnant à ce que cette carte ne s’adresse pas au grand public.
Ce n’est pas une première. On se souvient de l’ASUS H370 Mining Master et ses 20 ports pour risers, ou encore de cartes orientées connectique chez ASRock, comme la Z890 Taichi Aqua et ses 8 ports USB-C. Ici, le palier franchi impressionne : 36 ports au total avec 8 empilements de 4 plus 4 ports supplémentaires, selon les observateurs. Comme le résume la source : « je n’ai jamais vu autant de ports USB sur une seule carte ».
Un design extrême, mais encore un slot pour GPU
Il semblerait que ce modèle conserve de la place pour une carte graphique, ce qui laisse envisager des scénarios hybrides. Le choix de la plateforme LGA 1151 n’a rien de nouveau, en revanche cette déclinaison à 36 ports surprend. Pour des tâches répétitives, comme le formatage en série de clés USB, un tel panneau arrière ferait gagner un temps précieux.
Reste à voir si d’autres fabricants remettront au goût du jour ces cartes « à la chaîne » pour des niches professionnelles. Pour un usage quotidien, le bénéfice est faible, mais pour qui doit brancher et gérer des dizaines de périphériques simultanément, l’idée a du sens.