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Reçu aujourd’hui — 30 décembre 2025 7.1 📜 Résumé - Tech.

Windows Arm prend l'eau : Microsoft compte sur l'intelligence artificielle pour tout régler

30 décembre 2025 à 09:32
Microsoft semble avoir trouvé le coupable idéal pour expliquer la lenteur de l'adoption de Windows sur ARM : le code vieillissant qui refuse de mourir. Pour forcer le destin et convertir les applications récalcitrantes sans se salir les mains, l'entreprise mise désormais sur des agents virtuels capables de faire le sale boulot à la place des humains.

Meta rachète Manus, une start-up IA, pour plus de 2 milliards de dollars

30 décembre 2025 à 09:04

Meta poursuit ses achats stratégiques en acquérant Manus, une start-up proposant des agents d’intelligence artificielle polyvalents qui est basée à Singapour. Le montant de la transaction dépasse les 2 milliards de dollars selon plusieurs médias américains, une somme que la start-up espérait justement atteindre lors d’une levée de …

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Comme sur les paquets de cigarettes, New York impose des avertissements aux réseaux sociaux

Par :Olivier
30 décembre 2025 à 09:00
Smartphone Enfant

Après le tabac, l’alcool ou certains jeux vidéo, c’est au tour des réseaux sociaux de se voir affublés d’avertissements sanitaires. L’État de New York va obliger les plateformes à afficher des messages de mise en garde sur les effets potentiels de certaines fonctions sur la santé mentale des jeunes. Un parallèle assumé avec les paquets de cigarettes pour marquer les esprits.

La boutique de jeux GOG change de main mais conserve son âme rebelle

Par :Olivier
30 décembre 2025 à 08:30
Gog

GOG change d’actionnaire, mais pas de boussole. Michał Kiciński, cofondateur de CD Projekt, vient de racheter 100 % de la boutique de jeux vidéo sans DRM qu’il avait lui-même lancée en 2008. L’opération consacre l’indépendance de la plateforme tout en sécurisant ses liens historiques avec CD Projekt Red, le studio derrière The Witcher et Cyberpunk.

Quand Sony vendait Linux pour PlayStation 2

Par :Korben
30 décembre 2025 à 09:29

Vous vous rappelez de votre PlayStation 2, cette bonne vieille console qui a bercé les années 2000 avec ses GTA, ses Final Fantasy et ses Pro Evolution Soccer ? Et bien figurez-vous que Sony avait sorti à l'époque un kit officiel pour transformer la machine en PC sous Linux. D'abord au Japon en 2001, puis aux États-Unis en 2002. Oui, officiellement, fait par Sony.

C'était complètement dingue quand on y pense !

Le kit PS2 Linux (compatible uniquement avec les modèles "fat" avec baie d'extension) comprenait tout un attirail de ouf : un disque dur IDE de 40 Go, un adaptateur réseau (qui faisait aussi office d'interface IDE), un adaptateur VGA pour brancher la console sur un moniteur compatible (sync-on-green requis), une carte mémoire de 8 Mo (requise mais non incluse), et même un clavier et une souris USB aux couleurs de la PlayStation. Sony avait vraiment mis le paquet sur la qualité de ces périphériques, avec un clavier qui avait un toucher plutôt agréable pour l'époque.

Côté électronique, la PS2 embarquait un processeur MIPS R5900 (le fameux Emotion Engine) et le système tournait sur un kernel Linux 2.2.1 basé sur Kondara MNU/Linux (une distro japonaise dérivée de Red Hat). Par contre, avec seulement 32 Mo de RAM, fallait pas s'attendre à des miracles. Le système incluait quand même l'environnement de bureau Window Maker, un gestionnaire de fenêtres old school mais terriblement classe avec son petit pingouin.

L'installation se faisait via un disque (CD ou DVD selon l'édition) qu'on insérait comme un jeu, et la carte mémoire stockait les fichiers de boot. Ensuite il fallait partitionner le disque dur à la main en suivant la doc, parce que y'avait pas d'assistant automatique. Une fois installé, on pouvait lancer des applications, compiler du code, et même faire tourner des navigateurs comme Mozilla Suite (Firefox étant arrivé plus tard via des ports communautaires).

Le lecteur DVD-ROM n'était pas utilisable sous PS2 Linux (pas de driver), ce qui empêchait de copier des jeux, par contre, rien n'empêchait de développer ses propres programmes. D'ailleurs, le kit était principalement destiné aux développeurs et aux bidouilleurs qui voulaient explorer l'architecture de la console.

Aujourd'hui ces kits sont devenus assez rares et se revendent à prix d'or pour les collectionneurs. Y'a même des distributions Linux plus modernes comme Black Rhino qui ont été portées sur PS2 par la communauté.

C'était vraiment une autre époque où les constructeurs osaient ce genre d'expérimentations... Une console de jeu grand public qui peut officiellement booter sur Linux, ça n'arriverait plus aujourd'hui et c'est bien dommage je trouve...

Source

Final Fight MD - La version Mega Drive qu'on aurait dû avoir

Par :Korben
30 décembre 2025 à 09:00

Ah, Final Fight sur Mega Drive... Si vous avez vécu la déception du portage SNES à l'époque (un seul joueur, Guy aux abonnés absents, des stages raccourcis), vous savez de quoi je parle. Capcom nous avait bien eu sur ce coup-là.

Du coup quand j'ai découvert qu'un développeur brésilien du nom de Mauro Xavier avait décidé de recréer le jeu de zéro pour notre bonne vieille 16 bits de Sega, j'ai évidemment été voir ça de plus près. Et le résultat est vraiment dingue.

Final Fight MD propose les 3 personnages de l'arcade (Cody, Guy et Haggar) plus Maki en bonus (oui, celle de Final Fight 2 !), tous les stages, tous les ennemis, tous les boss... Bref, la vraie version arcade complète, et pas la version amputée qu'on nous avait refourgué sur console.

Et le truc qui m'a fait triper, c'est qu'on peut jouer jusqu'à 3 joueurs en simultané grâce au support du SEGA Team Player ou du EA 4-Way Play. Trois potes dans le même salon à tabasser du Mad Gear, comme au bon vieux temps des bornes d'arcade... C'est ti pas beau ça ?

Le projet vient de sortir sa version 0.92b "Christmas 2025" avec une tonne de corrections de bugs et d'améliorations. Je vous passe le changelog complet qui fait des kilomètres, mais sachez que ça inclut un système de sauvegarde SRAM, 60 succès à débloquer, un mode Jukebox pour écouter les musiques, et des tas d'options de personnalisation. Vous pouvez même régler la difficulté, le nombre de vies, activer ou non les continues...

Et le plus impressionnant dans tout ça, c'est que le jeu a été codé entièrement from scratch. Y'a pas une ligne de code original de Capcom, puisque tout a été recréé par Mauro Xavier et son équipe (Edmo Caldas pour la musique, Master Linkuei pour le support technique). Et y'a même les sprites des personnages qui ont été redessinés pour coller au style Mega Drive.

Le projet est bien sûr toujours en cours de développement mais la version actuelle est déjà super stable et jouable. Et quand ce sera terminé, ça sera gratuit les amis !

Voilà, si vous êtes fan de rétrogaming et de beat'em all old school, foncez télécharger la ROM sur itch.io . Vous m'en direz des nouvelles ^^

Merci à Lorenper pour le partage !

Balor - Transformez votre Steam Deck en station de pentest discrète

Par :Korben
30 décembre 2025 à 08:01

Vous avez un Steam Deck, un Lenovo Legion Go ou un ROG Ally qui traîne dans un coin parce que pas le temps de jouer, vous avez trop de boulot... Je connais bien vous inquiétez pas.

Mais si je vous disais que ce petit truc qui prend la poussière peut devenir votre meilleur allié pour les audits de sécurité discrets ?

Mais siii ! J'vous jure !

C'est en tout cas ce que propose Balor , un framework offensif fraîchement sorti et développé par Jean-Claude Charrier , qui grâce à ça peut d'un coup, transformer votre console gaming en une station de pentest portable.

Son concept est parti d'un constat simple... Quand vous débarquez en mission de pentest avec un cahier des charges qui exige de la discrétion, sortir un WiFi Pineapple c'est un peu comme débarquer en costard dans un festival de métal. Ça se voit !! Mais avec une console portable gaming par contre, vous avez juste l'air d'un type qui fait une pause entre deux réunions.

Ni vu ni connu, j't'embrouille !

Balor tourne sous CachyOS et Arch Linux, s'installe en une dizaine de minutes et embarque pas moins de 8 stacks pour environ 130 options au total. Côté WiFi, vous avez aircrack-ng, wifite, bettercap et même des versions de Wifiphisher réécrites spécialement pour Python 3.13. Pour l'OSINT, c'est Maltego, theHarvester, Shodan et compagnie. Et y'a aussi du Metasploit, Burpsuite, Nmap, Masscan, SQLMap, Hashcat, John the Ripper... Bref, la totale.

Le truc sympa c'est que tout passe par un wrapper unique appelé "balorsh". Vous tapez balorsh wifi et hop, le menu WiFi apparaît ! Pareil pour balorsh llm qui lance un assistant IA local via Ollama avec des personas adaptés comme Red Team pour l'offensif, Blue Team pour le défensif, Purple Team pour mixer les deux...etc.

L'installation se fait via un script qui dépose tout dans /opt/balorsh/data/ et la désinstallation est tout aussi propre. En plus chaque stack est modulaire, donc si vous n'avez besoin que du cracking de mots de passe, vous installez juste cette partie. Pour les sysadmins qui voudraient comprendre les workflows pentest sans se taper toute la doc, c'est aussi un bon point d'entrée. Genre enchaîner theHarvester, amass, massdns et httprobe pour du recon, ça devient accessible même sans être certifié OSCP ^^.

Côté limitations, Balor reste exclusif à l'écosystème Arch/CachyOS mais rassurez-vous, un portage Debian est envisagé si la demande suit.

Perso je trouve l'approche vraiment bien trouvée et le fait que ce soit un projet français plutôt qu'une énième distro sécu américaine corporate, ça fait plaisir. Voilà, par contre comme d'hab, c'est un outil pour les audits autorisés uniquement avec contrat signé, et pas pour aller embêter le WiFi du voisin, hein ^^.

Alors déconnez pas !

Encore merci à Jean-Claude d'avoir partager sa création avec moi.

Comment les proxies TCP se font démasquer ? Et ce que ça signifie pour votre VPN...

Par :Korben
30 décembre 2025 à 07:32

Vous utilisez un VPN ou Tor pour protéger votre vie privée en ligne et vous pensez être tranquille derrière votre petit tunnel chiffré ?

Que nenni les amis ! Car un chercheur vient de montrer qu'il existe une technique pour démasquer les proxies TCP... et ça concerne potentiellement votre VPN aussi. Du coup, même si vous faites tout bien, y'a quand même moyen de vous griller.

Le projet s'appelle Aroma et son principe est redoutable car au lieu de chercher à identifier votre IP ou analyser votre trafic, il se contente de mesurer le temps de réponse de vos paquets TCP. C'est un peu comme si on pouvait deviner que vous portez un déguisement de dinosaure gonflable juste en chronométrant le temps que vous mettez à venir répondre à la porte (vous avez l'image ?).

Car oui, le ratio entre le RTT minimum et le RTT lissé donne un score. Connexion directe ? Ratio entre 0.7 et 1. Proxy TCP ? Ça chute en dessous de 0.3. Et sous 0.1, c'est quasi certain que vous passez par un intermédiaire.

Bref, ça s'appuie sur un principe physique qu'on ne peut pas contourner qui est la vitesse de propagation dans la fibre. Un RTT de 4 millisecondes correspond à environ 400 km max en ligne droite. Ça permet de poser comme une borne théorique sur la distance réelle entre le serveur et son interlocuteur direct.

Et pour les utilisateurs de Tor, la nuance est importante car le site distant voit la connexion avec l'exit node, donc le RTT mesuré côté serveur reflète surtout le chemin serveur ↔ exit node, pas l'ensemble du circuit. Donc c'est OK mais si l'exit node lui-même passe par un proxy TCP, là ça peut poser problème.

Maintenant côté contre-mesures, j'avoue c'est pas simple car cette technique ne repose pas sur des listes d'IP connues ou du fingerprinting de navigateur, donc les méthodes habituelles ne servent à rien. Toutefois en théorie, un proxy physiquement très proche (moins de 1ms de latence ajoutée) pourrait passer sous le radar...

J'ai trouvé cet outil intéressant car ça montre que même avec les meilleures protections logicielles, y'a des contraintes physiques fondamentales qu'on ne peut pas contourner. La bonne nouvelle c'est que pour l'instant, Aroma reste un proof of concept que vous pouvez tester ici , mais bon, rien n'empêche un gouvernement autoritaire (ou pas) de pousser le curseur un peu plus loin...

Promos du Nouvel An : obtenez des licences à vie pour Windows 11 et Office 2021 à partir de 12,25 € !

30 décembre 2025 à 07:17

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.

La nouvelle année est le moment idéal pour prendre un nouveau départ.

Et quoi de mieux pour cela que de mettre à niveau votre PC avec les derniers logiciels ?

Que vous souhaitiez améliorer votre configuration de travail, optimiser votre expérience de jeu ou simplement optimiser votre utilisation quotidienne de l'ordinateur, les promos du Nouvel An 2026 de Godeal24 sont là pour vous.

Avec des réductions incroyables sur Windows 11 Pro et Microsoft Office 2021, vous pouvez obtenir des licences à vie pour seulement 10 € !

Une licence à vie pour Office Professional 2021 ne coûte que 30,25 € (au lieu de 249 €), ce qui correspond à un paiement unique vous donnant un accès permanent à toutes les applications suivantes : Word, Excel, PowerPoint, Teams, Outlook, OneNote, Publisher et Access.

Microsoft Office 2021 est la version la plus puissante et la plus rentable d'Office disponible à ce jour.

Elle fournit tous les outils essentiels dont vous avez besoin pour créer des documents, analyser des données et communiquer de manière professionnelle.

Vous pouvez même regrouper plusieurs clés pour réaliser encore plus d'économies si vous achetez pour plusieurs appareils ou pour des amis.

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Thermalright Levita Vision, quatre nouveaux AIO avec écran AMOLED incurvé

30 décembre 2025 à 08:53

Devinez quand s'arrêtera Thermalright est impossible. Le catalogue prend du volume à vue d'oeil, et c'est aujourd'hui du watercooling qui est à l'honneur avec la série Levita Vision qui se décline en versions UB et classique. La différence entre les deux est à chercher sur les ventilateurs, avec respectivement des TL-UB36 et des TL-M12Q pour des performances et un style différents : - TL-UB36 : 2150 rpm ; 69.0 CFM ; 2.87 mmAq ; 27.0 dB(A) ; cadre unique en 360 mm - TL-M12Q : 2000 rpm ; 68.9 CFM ; 2.21 mmAq ; 28.2 dB(A) Le reste ne change pas, avec une pompe qui tourne à 3000 mm et qui est surmonté d'un écran AMOLED incurvé de 6.67". La hauteur du waterblock est ainsi de 113.9 mm, attention au boitier si on vise du compact ! […]

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Baston d'optimisation : quelle distrib' Linux exploite le mieux un gros Epyc ?

Récemment, Windows s’est (encore) attiré les foudres de ses utilisateurs, entre découverte d’une architecture interne étrange ayant pendant de nombreuses années entravé les disques NVMe, intégration au forceps de Copilot jusqu’à l’ajout d’une touche dédiée et les problèmes de performances de pilotes...

50 ans plus tard, Unix v4 ressuscité grâce à une bande magnétique

30 décembre 2025 à 09:06
Noël après l’heure pour les rétrogeeks !
50 ans plus tard, Unix v4 ressuscité grâce à une bande magnétique

C’est un fragment d’histoire des systèmes d’exploitation qui a été retrouvé et restauré : une bande magnétique contenant la version 4 d’Unix. Une bande retrouvée par hasard, dans un placard, désormais accessible à tous en ligne.

Linux, un système d’exploitation open source de type Unix, a fêté cette année ses 34 ans. Mais attendez, c’est quoi Unix ? C’est aussi un système d’exploitation développé dans les années 1970. Linux n’est pas le seul système de type Unix (c’est-à-dire qui se comporte comme un Unix), nous pouvons aussi citer les différentes déclinaisons de BSD et Solaris.

Attention à ne pas confondre Linux, Unix et GNU. Nous n’allons pas ici remettre une pièce dans le débat, mais sachez simplement que les noms GNU/Linux (souvent raccourcis en Linux) sont des acronymes récursifs pour bien marquer la différence avec Unix justement : GNU pour GNU is Not Unix et Linux pour Linux Is Not UniX.

50 ans plus tard, Unix fait encore parler de lui

Unix est bien plus vieux que Linux puisqu’il remonte aux débuts des années 70 ; le système a donc déjà plus de 50 ans. Il a initialement été développé dans les laboratoires de Bell Labs, notamment par Ken Thompson et Dennis Ritchie (décédé en 2011). Unix tournait sur des machines PDP-11 (Programmable Data Processor) de chez DEC (Digital Equipment Corporation).

Il y a quelques semaines, une actualité a peut-être fait vibrer la corde nostalgique des moins jeunes d’entre nous : « Lors du nettoyage d’un entrepôt, notre équipe a découvert cette bande magnétique contenant #UNIX v4 des laboratoires Bell, datant d’environ 1973. Il semblerait qu’aucune autre copie n’existe ». Ce message a été publié sur Mastodon par Rob Ricci, professeur à la Kahlert School of Computing de l’Université de l’Utah. Il ajoutait « avoir pris des dispositions pour la livrer au Computer History Museum ».

Post by @ricci@discuss.systems
View on Mastodon

Il y a quelques jours, Rob Ricci revenait à la charge avec une autre bonne nouvelle : « la tentative de lecture de la bande UNIX V4 est en cours ! », rapidement suivi d’un « apparemment, la lecture complète de la bande UNIX v4 s’est déroulée avec succès. La prochaine étape consiste à décoder le signal, à déchiffrer les formats de fichiers, etc. ».

Le binaire de la bande a été publié dans la foulée sur Internet Archive, avec des détails sur le lecteur de bandes utilisé. « La bande a été découverte le 28 juillet 2025 par Aleks Maricq à l’université de l’Utah, dans le placard de rangement du groupe de recherche Flux », précise Internet Archive. Sur la bande, il est écrit à la main « UNIX Original from Bell Labs V4 », tandis que la bande porte la référence « Scotch BRAND 700 GP 3200 FCI ».

Le code est désormais disponible par ici par exemple (il ne pèse que 40 Mo, bien plus digeste que les 1 600 Mo des données brutes lues depuis la bande). Le code semble avoir 55 000 lignes de code, dont 24 000 en C et 30 000 en assembleur.

Une vidéo de la lecture de la bande a été mise en ligne.

La communauté s’est rapidement organisée autour de cette découverte. Unix V4 est en effet un peu particulier. À ses débuts, les premières versions d’Unix étaient en assembleur (un langage encore utilisé, avec lequel on peut créer un OS inutile avec moins de 10 lignes de code), mais cette quatrième version a été réécrite presque entièrement en langage C, qui a lui aussi été inventé au début des années 70.

Bien sûr, un émulateur en ligne est aussi disponible pour ceux qui voudraient tester en direct depuis leur navigateur Unix v4. Cette histoire est aussi une petite victoire pour la longévité du stockage sur bande magnétique puisque la lecture des données n’a visiblement pas posé grand problème.

25 jours d’autonomie pour moins de 170 € : cette nouvelle montre de sport frappe très fort

30 décembre 2025 à 09:00

L'Amazfit Active Max

Amazfit a dévoilé, ce mardi, sa nouvelle montre de sport pas chère, l'Amazfit Active Max. Celle-ci profite d'une autonomie plus que confortable, d'un écran Amoled et d'un prix particulièrement accessible.
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☕️ La boutique de jeux GOG devient indépendante de CD Projekt

30 décembre 2025 à 08:58

Good Old Games (GOG) a été fondée en 2008 par le studio polonais CD Projekt, à qui l’on doit plusieurs jeux vidéo particulièrement célèbres comme la série The Witcher ou encore Cyberpunk 2077.

La boutique s’est largement fait un nom autour d’une idée simple : ramener d’anciens titres à la vie, faire en sorte qu’ils fonctionnent sur des systèmes récents, corriger les bugs et les maintenir à jour. L’autre grand axe de développement est l’absence de DRM (gestion des droits numériques) sur une grande partie du catalogue, pour éviter notamment les incompatibilités. Elle s’est ouverte depuis à de plus grosses licences et propose un launcher, Galaxy.

GOG était jusqu’à présent une filiale de CD Projekt. Depuis cette nuit, Michał Kiciński est le nouveau propriétaire de la boutique. Cette passation reste « en famille » : Michał Kiciński est cofondateur de CD Projekt et l’un de ses principaux actionnaires.

« Avec notre attention désormais entièrement portée sur une feuille de route de développement ambitieuse et l’expansion de nos franchises avec de nouveaux produits de haute qualité, nous avons estimé que c’était le bon moment pour cette décision. Depuis longtemps maintenant, GOG opère de manière indépendante. Aujourd’hui, il passe entre de très bonnes mains – nous sommes convaincus qu’avec le soutien de Michał Kiciński, l’un des cofondateurs de GOG, son avenir sera riche de grands projets et de succès », a déclaré Michał Nowakowski, co-CEO de CD Projekt.

Maciej Gołębiewski, directeur général de GOG, affirme que la mission de GOG ne changera pas : « Dans un marché de plus en plus saturé, de plus en plus verrouillé, et qui oublie les jeux classiques à un rythme croissant, nous redoublons d’efforts sur ce que seul GOG fait : ressusciter les classiques, les garder jouables sur les PC modernes, et aider les grands jeux à trouver leur public au fil du temps ».

Ce rachat de la totalité des actions a une valeur de 90,7 millions de zlotys, soit environ 21,45 millions d’euros. Le communiqué affirme également que les prochaines sorties de CD Projekt continueront d’arriver sur GOG.

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