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Google a multiplié par 2 sa consommation électrique entre 2020 et 2024

2 juillet 2025 à 13:52
Google a multiplié par 2 sa consommation électrique entre 2020 et 2024

En 2024, la consommation électrique du géant du numérique a encore augmenté par rapport à 2023. On ne constate toujours pas de plateau de consommation depuis l’avènement des modèles de langage, mais plutôt une augmentation constante des besoins en énergie de Google.

Google, comme ses concurrents Meta ou Microsoft, consomme toujours plus d’énergie d’année en année. L’entreprise a publié la semaine dernière son dernier rapport « environnemental » détaillant notamment sa consommation énergétique. Comme le relève Techcrunch, Google a doublé sa consommation en électricité entre 2020 et 2024.

En 2024, Google a consommé 32 179 900 MWh d’électricité

Dans un récent article sur les consommations des géants du Net en eau et électricité, nous avions rappelé qu’en 2020 la dépense électrique de Google/Alphabet était de 15 592 000 MWh. En 2024, selon ce nouveau rapport environnemental de l’entreprise, sa consommation électrique est de 32 179 900 MWh.

Depuis des années, la consommation électrique de Google vient essentiellement de ses data centers. C’est, sans surprise, encore le cas en 2024 avec 95,8 % de sa consommation qui vient des besoins de ses centres de données. Avec un petit calcul sur les récents chiffres publiés par Google, Techcrunch calcule que les data centers de l’entreprise consomment 7 fois plus d’électricité qu’en 2014. Et l’entreprise dirigée par Sundar Pichai ne semble pas prévoir de plateau ou de baisse dans sa consommation.

L’espoir de la fusion ?

D’ailleurs Google est à la recherche de solutions qui produisent de l’énergie le plus efficacement. Quitte à financer un projet comme celui de Commonwealth Fusion Systems. Comme son nom l’indique, cette entreprise étasunienne promet de créer des centrales de fusion nucléaire.

Pour rappel, c’est seulement en 2022 que des chercheurs du Laboratoire national Lawrence Livermore (LLNL) ont réussi à obtenir « la première réaction de fusion en laboratoire qui a produit plus d’énergie qu’il n’en a fallu pour la déclencher ». Mais l’expérience, dans sa globalité, était encore largement déficitaire, la fusion en elle-même affichant un gain de 1,5. Il faudrait un gain de 10 de façon robuste et répétitive « pour produire de l’énergie de manière économique et rentable », selon Daniel Vanderhaegen, directeur du Programme Simulation de la Direction des Applications Militaires (DAM) du CEA.

Ça n’empêche pas d’y croire pour Google, apparemment, puisque l’entreprise a pré-acheté à Commonwealth Fusion Systems 200 megawatts, expliquait CNN récemment. « C’est un signe de l’appétit des grandes entreprises technologiques pour une source pratiquement illimitée d’énergie propre, qui ne sera pas disponible avant plusieurs années », commentait notre consœur de CNN.

Google investit aussi dans le développement, par Commonwealth Fusion, d’un tokamak de démonstration. Cette technologie n’est pas neuve puisqu’elle a été inventée dans les années 1950 par les physiciens soviétiques Igor Tamm et Andreï Sakharov.

Aucune des deux entreprises n’a communiqué sur les montants investis tout en estimant que c’était « une étape majeure vers la commercialisation de la fusion ». C’est même « le plus grand accord d’achat pour la fusion » selon le CEO de Commonwealth Fusion, Bob Mumgaard. Il a quand même tempéré son propos en affirmant qu’ « il est difficile de dire exactement dans quelle mesure cela l’accélère », mais explique que ça permettra à son entreprise d’effectuer les développements de ses projets en parallèle plutôt qu’en séquentiel.

Les 400 millions de PC Windows disparus ont été retrouvés

La semaine dernière, vous avez certainement vu passer des gros titres arguant la fin des PC Windows, ou encore parlant de l’extinction massive d’ordinateurs sous le système d’exploitation du géant de Redmond. La raison de cet affolement ? Un article de la principale concernée mis en ligne le 24 juin... [Tout lire]

Un homme du Texas est décédé dans une Tesla Cybertruck en feu, maintenant sa famille intente un procès et accuse le constructeur automobile de négligence dans la conception et la fabrication du Cybertruck

2 juillet 2025 à 12:25
Un homme du Texas est décédé dans une Tesla Cybertruck en feu, maintenant sa famille intente un procès et accuse le constructeur automobile de négligence dans la conception et la fabrication du Cybertruck

La famille d'un Texan décédé après avoir été piégé dans un Cybertruck en feu a intenté un procès pour homicide involontaire contre Tesla, accusant le constructeur automobile de négligence dans la conception et la fabrication du véhicule. La plainte, déposée dans le comté de Harris, au Texas, serait...

Sam Altman dénonce le braconnage des talents en IA par Meta : « les missionnaires battront les mercenaires », a-t-il déclaré, opposant ainsi les ingénieurs et chercheurs passionnés à ceux attirés par l'argent

2 juillet 2025 à 11:49
Sam Altman dénonce le braconnage des talents en IA par Meta : « les missionnaires battront les mercenaires », a-t-il déclaré
opposant ainsi les ingénieurs et chercheurs passionnés à ceux attirés par l'argent

Meta proposerait des primes à la signature allant jusqu'à 100 millions de dollars pour débaucher les spécialistes en IA de ses rivaux. Les offres alléchantes de Meta auraient déjà attiré au moins quatre chercheurs seniors d'OpenAI. Cependant, le PDG d'OpenAI, Sam Altman, n'apprécie guère la...

La version 9.0 de la suite bureautique en ligne ONLYOFFICE Docs apporte des améliorations pour les développeurs, notamment les mises à jour de l'API ainsi que de nouvelles options de personnalisation

2 juillet 2025 à 11:49
La version 9.0 de la suite bureautique en ligne ONLYOFFICE Docs apporte des améliorations pour les développeurs, notamment les mises à jour de l'API ainsi que de nouvelles options de personnalisation

ONLYOFFICE Docs 9.0 apporte des améliorations pour les développeurs et intégrateurs : nouvelles options de personnalisation, formats de fichiers supplémentaires, optimisations de performance et extension des API pour les plugins, macros et documents. Voici un tour d'horizon des changements les plus pertinents...

Strinova, Diablo IV et Eternal Strands maintenant avec le DLSS 4 avec Multi Frame Generation !

2 juillet 2025 à 11:32

Cette semaine, DLSS 4 avec Multi Frame Generation booste les performances dans Mecha BREAK, tandis que Diablo IV et Still Wakes the Deep ajoutent une prise en charge native grâce à de nouvelles mises à jour, améliorant encore les performances pour les joueurs équipés de cartes GeForce RTX Série 50. De plus, la bêta fermée de NTE (Neverness to Everness) commence le 3 juillet, avec le support de DLSS 4 et Multi Frame Generation. Nous publions également un nouveau pilote GeForce Game Ready, qui apporte la prise en charge de lancement pour Mecha BREAK, ainsi que des mises à jour pour Diablo IV et Monster Hunter Wilds. Ce nouveau pilote est compatible avec l'ensemble des GPU GeForce RTX 5050, que ce soit sur ordinateurs portables ou de bureau, apportant l'architecture NVIDIA Blackwell RTX à encore plus de joueurs cet été. Les ordinateurs portables équipés de la RTX 5050 sont d'ores et déjà disponibles chez les revendeurs du monde entier à partir de 999 $, et à partir de la seconde moitié du mois de juillet, les cartes graphiques GeForce RTX 5050 arriveront en magasin à partir de 249 $. Pour en savoir plus, consultez notre article d'annonce GeForce RTX 5050. […]

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Azeroth Reborn, le fan projet de Warcraft 3 avec le moteur de Starcraft 2, est disponible !

2 juillet 2025 à 11:22

Voici un projet qui a dû en faire saliver plus d'un, bonne nouvelle Azeroth Reborn est arrivé à son terme et il est disponible en téléchargement ici. Concrètement, il s'agit d'un fan projet qui vise à porter les campagnes du jeu Warcraft 3 dans Starcraft 2, afin de profiter de son moteur graphique, de quoi contenter ceux qui furent déçus par Warcraft III: Reforged; La vidéo de présentation se concentre sur la campagne Curse of the Blood Elves, mais bien d 'autres sont disponibles : […]

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Pas moins de 10000 MT/s pour la mémoire G.SKILL en CAMM2

2 juillet 2025 à 11:09

Alors que la mémoire CAMM2 se fait très discrète, G.SKILL a décidé de travailler avec ASUS pour voir à quel point ce théorique futur format peut être poussé dans ses retranchements. Sur une carte mère ROG MAXIMUS Z890 HERO CAMM2, c'est ainsi 10000 MT/s qui ont été atteints avec un processeur Ultra 7 265K de chez Intel. Pas mal, pas mal. Mais il faut aussi lorgner du côté de la latence, qui est ici en CL52. Il y a donc mieux, mais le but est plus de gagner sur la fréquence pour voir ce qu'il est ensuite possible de faire. Du côté de la tension, on reste sur une base classique avec 1.45 V. […]

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Test du clavier K3 Pro de Keychron, un clavier ultra-fin, mécanique, hybride et disposant d'un micrologiciel open source. Par Alexandre Laurent

2 juillet 2025 à 08:10
Bonjour à tous,

Voici le test du clavier K3 Pro de Keychron, un clavier 75 %, ultra-fin, mécanique pouvant fonctionner en filaire comme en sans-fil et disposant d'un rétroéclairage RGB. Le micrologiciel embarqué dans le clavier est QMK et les possibilités de personnalisation sont aussi détaillées dans l'article.

Bonne lecture

Jusqu’à –70 % sur le stockage cloud à vie avec pCloud : une offre à ne pas manquer à l’occasion du 14 juillet !

Par :Sponso
2 juillet 2025 à 13:30

pCloud vous propose rien de moins que la tranquillité d’esprit : le stockage sécurisé de vos données pour la vie, pas d'abonnement et en prime un gestionnaire de mots de passe offert. C’est le moment de profiter des promos !

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Subnautica 2 perd ses créateurs… à cause d’une réorientation vers le GAAS ?

2 juillet 2025 à 12:35

Il y a de quoi se poser bien des questions : Charlie Cleveland, Max McGuire et Ted Gill, les créateurs historique de l’excellent jeu de craft et d’aventure sous-marine Subnautica, ont brutalement quitté le studio Unknown Worlds qu’ils codirigeaient par ailleurs jusqu’ici. Dans un court communiqué, l’éditeur coréen …

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Ironheart : comment la fin choquante de la série va impacter la suite du MCU

2 juillet 2025 à 12:33
Riri Fière

Après deux semaines de diffusion, Ironheart tire déjà sa révérence, l’intégralité de ses six épisodes étant disponibles sur la plateforme de streaming Disney +. La série Marvel Television mettant en scène le personnage de Riri Williams s’offre un final riche en rebondissements, qui mérite qu’on s’y attarde quand même un petit peu. Attention spoilers.

Amazon a déployé un million de robots dans ses entrepôts

2 juillet 2025 à 11:10

Amazon a franchi un cap symbolique en annonçant avoir déployé un million de robots dans ses entrepôts à travers le monde, treize ans après l’acquisition de Kiva Systems en 2012. Ce millionième robot a été livré dans un centre de traitement des commandes au Japon. Cette progression rapide …

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Test Hegzis (PS5) - Un casse-tête vraiment trop simple

Développé par Clazz Apps Software, Hegzis propose un gameplay inspiré des jeux de réflexion classiques, mais avec une structure hexagonale visant à offrir une petite variation sur le thème. L'impact initial avec Hegzis est minimaliste, presque excessif. Le menu principal propose immédiatement deux modes : « Stage », pour choisir librement le niveau à affronter, et « Next Level », qui suit un parcours progressif. Pas d'introduction, pas de tutoriel audio ou textuel : on est immédiatement plongé dans le jeu, pour le meilleur et pour le pire. Les paramètres sont réduits au strict minimum, à tel point qu'on se croirait dans un vieux jeu sur navigateur web. On ne peut régler que le volume de la musique et des effets sonores. Pas d'options d'accessibilité, pas de commandes alternatives. On perçoit presque une certaine paresse qui se reflète dans le reste de l'expérience. L'objectif de chaque niveau est clair : remplir les lignes de la grille hexagonale pour marquer des points et atteindre la cible représentée par des pièces d'or. Une fois cela fait, vous passez à la suite. Il n'y a pas de pénalités en cas d'erreur, pas de limite de temps, et même pas de véritable courbe de difficulté. Tout se déroule au même rythme, sans surprise. La mécanique de base d'Hegzis s'inspire du genre classique des puzzles, dont Tetris est un précurseur, mais la décline en une clé hexagonale. Vous placez des pièces composées de plusieurs cellules hexagonales à l'intérieur d'un grand hexagone central. L'idée est de créer des lignes complètes dans n'importe quelle direction pour les éliminer et marquer des points . Sur le papier, ce n'est pas mal, en fait, ça a même du potentiel. Le problème, c'est qu'on ne l'utilise jamais vraiment. La possibilité de faire tourner les pièces librement rend le défi pratiquement inexistant. Il suffit de tourner et de tourner jusqu'à ce que quelque chose convienne. Et sans limite de temps, pression extérieure ni pénalité, on finit par jouer automatiquement , sans tension ni réelle satisfaction. (Lire la suite)

Microsoft teste un nouveau menu Démarrer pour Windows 11

Microsoft a décidé de renouveler en profondeur le menu Démarrer , le rendant plus flexible et adapté aux différents formats d'écran. Dans la nouvelle version, disponible pour les abonnés Dev Channel , le menu s'adapte automatiquement à la taille et à la résolution de l'écran. - Sur les écrans plus grands : 8 colonnes d'applications épinglées, 6 suggestions et 4 colonnes pour les catégories - Sur les appareils plus petits : 6 colonnes d'applications épinglées, 4 suggestions et 3 colonnes pour les catégories La nouveauté la plus visible est la possibilité de faire défiler toutes les applications directement dans le menu, sans avoir à ouvrir des écrans secondaires. Cela accélère la navigation, surtout avec de nombreuses applications installées. Vous pouvez également désactiver la section « Recommandées » pour libérer de l'espace et voir plus d'applications en un coup d'œil. Pour répondre aux goûts de chacun, Microsoft a également introduit deux nouvelles vues : - Vue par catégorie , qui regroupe les applications par type - Vue en grille , avec des applications triées par ordre alphabétique dans un style de liste classique La mise à jour du canal de développement ne se limite pas au menu Démarrer. La nouvelle version introduit également une fonctionnalité permettant de personnaliser les widgets de l'écran de verrouillage , en choisissant lesquels afficher, dans quel ordre et si certains éléments doivent être inclus ou non. Un détail qui améliore l'expérience utilisateur dès le démarrage de votre PC. Une autre nouveauté concerne les appareils de jeu portables : Microsoft a mis à jour le clavier de la manette, permettant aux utilisateurs de saisir le code PIN de connexion avec une manette. Une fonctionnalité conçue pour simplifier l'utilisation de Windows 11 sur des appareils comme ROG Ally , de plus en plus populaires parmi les joueurs. Tous ces changements montrent clairement la direction de Microsoft : rendre Windows 11 plus polyvalent et confortable , même en dehors des bureaux classiques. (Lire la suite)

Raycast arrive sur Windows en version bêta

En résumé, Raycast est une application conçue pour simplifier et accélérer les opérations informatiques quotidiennes. Elle fonctionne comme un lanceur intelligent, activé par une simple combinaison de touches, et vous permet d'exécuter des commandes, de rechercher des fichiers, de gérer des applications et bien plus encore, sans jamais quitter le clavier. Raycast a gagné une clientèle fidèle grâce à son interface claire , sa rapidité d'utilisation et, surtout, sa prise en charge des extensions tierces . Il existe des plugins pour pratiquement tout : créer des rappels, consulter son calendrier, interagir avec GitHub, Slack, Notion, Google Agenda et des dizaines d'autres outils. Un autre point fort de Raycast réside dans sa personnalisation complète . Les utilisateurs plus expérimentés peuvent même créer leurs propres scripts ou workflows automatisés, faisant de Raycast un outil adapté à tous les besoins. Au fil des années, il est devenu l'alternative préférée à Spotlight ou Alfred pour de nombreux utilisateurs de Mac, mais avec une particularité : une communauté active et une philosophie d'utilisateur expérimenté qui met l'accent sur la vitesse. Après des années d'exclusivité sur macOS, Raycast débarque sur Windows avec de nombreuses fonctionnalités. Pour l'instant, il s'agit d'une version bêta , ce qui signifie que tout n'est pas encore à sa place. Même sous Windows, vous pouvez utiliser des extensions tierces , ce qui vous permet de personnaliser l'application selon vos besoins dès le premier lancement. Il s’agit d’un aspect clé, car il vous permet de profiter immédiatement de nombreuses fonctionnalités clés de Raycast, telles que les intégrations avec des outils externes. Mais attention, il existe encore plusieurs limites. En voici quelques-unes à prendre en compte. - Pas de synchronisation cloud : l’une des fonctionnalités Pro les plus utiles, qui vous permet de conserver la même configuration sur plusieurs appareils, n’est actuellement pas disponible sur Windows. - Extensions incompatibles : De nombreux plugins créés pour macOS ne fonctionnent pas sur la version Windows. - Incohérences de performances : Comme tout logiciel bêta, Raycast sur Windows peut rencontrer une certaine instabilité ou un ralentissement. L' abonnement Pro , facturé 8 $ par mois (facturé annuellement), n'est pas adapté aux utilisateurs Windows pour le moment, précisément parce que les fonctionnalités supplémentaires manquent encore. Raycast a confirmé leur arrivée prochaine , sans toutefois fournir de date précise. Pour essayer Raycast sur Windows, vous devez vous inscrire sur la liste d'attente depuis le site officiel en saisissant votre adresse e-mail via https://www.raycast.com/windows . Si vous recevez l'invitation, vous pourrez également inviter d'autres utilisateurs. Vous trouverez ci-dessous la vidéo de présentation de la version Windows. YKARc05qixw (Lire la suite)

Les rôles arrivent sur Google Home, car tout le monde ne peut pas tout gérer

Google continue de développer l' expérience de la maison connectée , la rendant toujours plus accessible et personnalisable pour toute la famille. La dernière mise à jour de l' application Google Home apporte une fonctionnalité très attendue qui simplifie la gestion des appareils connectés, notamment lorsque plusieurs personnes partagent la maison avec des besoins différents. Nous pouvons désormais attribuer différents rôles aux membres de la famille ou aux amis, en décidant qui peut contrôler quoi. Google introduit deux nouveaux profils : Administrateur et Membre , avec des accès et des fonctions distincts. Qui est administrateur peut gérer tous les appareils, configurer les services connectés et ajouter ou modifier d'autres utilisateurs. C'est le rôle qui offre tous les pouvoirs dans la maison connectée. En revanche, les membres ne peuvent utiliser que les commandes de base, comme allumer les lumières ou surveiller les caméras de sécurité en direct. En pratique, les administrateurs peuvent décider de : - Activer l'accès aux paramètres , pour permettre aux membres de modifier des configurations spécifiques ; - Accordez l'accès à l'activité afin de pouvoir consulter l'historique des événements, tels que les mouvements détectés ou les notifications de la sonnette vidéo. L'une des mises à jour les plus utiles concerne les familles avec de jeunes enfants. Jusqu'à présent, ajouter un enfant à sa maison connectée était un véritable défi : entre Family Link, Google Home et Google Assistant, le processus était souvent confus et fragmenté. Désormais, Google a décidé de simplifier les choses. Il suffit de créer un compte pour l'enfant via Family Link, de l'ajouter au groupe familial, puis de l'inviter via l'application Google Home. L'enfant sera automatiquement ajouté en tant que Membre , avec les limites applicables. De cette façon, les plus petits pourront utiliser certaines fonctions de base, comme allumer une ampoule intelligente ou visualiser le flux en direct de leur caméra domestique, mais sans aucun accès aux paramètres ou à l'historique . (Lire la suite)

Cloudflare veut taxer les IA qui aspirent le contenu des sites : un péage pour OpenAI et Google ?

Cloudflare veut taxer les IA qui aspirent le contenu des sites : un péage pour OpenAI et Google ?Alors que de plus en plus de médias critiquent vivement l’intelligence artificielle, accusée directement de faire perdre du trafic à certains journaux comme le New-York Times, le combat entre les créateurs de contenus et les intelligences artificielles est encore loin d’être terminé. Et si on a appris, ces derniers jours, qu’un juge a donné raison […]

Seulement 10% des entreprises françaises utilisent l’IA en 2024 : la France décroche face à l’Europe

Seulement 10% des entreprises françaises utilisent l'IA en 2024 : la France décroche face à l'EuropeAlors qu’une récente étude de Bpifrance révélait que seulement 32% des PME françaises utilisent l’intelligence artificielle dans leur quotidien, il semblerait que le chiffre soit encore plus alarmant sur l’ensemble des entreprises en France. En effet, si on pouvait s’attendre à ce que le développement des intelligences artificielles comme OpenAI, Perplexity, et jusqu’à Mistral AI […]

Faux comptes à rebours, abonnements piégés : une enquête dévoile l’ampleur des manipulations dans les jeux vidéo

Faux comptes à rebours, abonnements piégés : une enquête dévoile l'ampleur des manipulations dans les jeux vidéoAvec 3,3 milliard de joueurs de jeux vidéo dans le monde selon les derniers chiffres communiqués par Prioridata en janvier dernier, il est fort probable que vous ou l’un de vos proches soit un joueur occasionnel. Et si le principe d’un jeu-vidéo doit se baser sur la pratique et sur une part de hasard, il se […]

L’impact de l’IA sur la planète ? Personne n’en parle (mais l’IA sert la désinformation)

2 juillet 2025 à 12:22
Next, si !
L’impact de l’IA sur la planète ? Personne n’en parle (mais l’IA sert la désinformation)

Si des études scientifiques s’y attellent, les effets de l’explosion du secteur de l’intelligence artificielle sur l’environnement restent très peu discutés dans l’espace public, selon un rapport de Sopra Steria.

Depuis l’été 2022, l’intelligence artificielle est dans toutes les discussions. Impacts économiques, politiques, médiatiques, potentielle bulle financière, même, tous ses effets sont décortiqués à l’exception d’un, et non des moindres : celui que le secteur a sur l’environnement.

Entre janvier 2024 et avril 2025, moins de 1 % des 802 465 publications X et LinkedIn liées à l’IA et analysées par Opsci.ai évoquaient par exemple les effets de l’intelligence artificielle sur l’écosystème planétaire. Menée avec Opsci.ai, une récente étude de Sopra Steria sur le brouillard informationnel qui obscurcit les liens entre IA et environnement constate que le climat n’arrive qu’en huitième position des préoccupations des 100 leaders de l’IA listés par le Time Magazine, loin derrière les débats autour des modèles ou encore de l’actualité du secteur.

Le sujet est pourtant d’importance : si le rôle de l’humanité dans le réchauffement climatique fait consensus dans la communauté scientifique depuis plus de 15 ans, 33 % de la population française considère en 2024 que le réchauffement climatique n’est qu’une hypothèse sur laquelle les scientifiques ne sont pas tous d’accord. Et alors qu’une soixantaine de scientifiques du GIEC annonçaient mi-juin que le maintien du réchauffement climatique sous les 1,5 °C de plus qu’avant l’ère pré-industrielle était désormais impossible, 29 % de la population mondiale doute de ce consensus.

Sur le rôle spécifique de l’IA dans le domaine, les calculs sont complexes, mais les premières données scientifiques sont claires : recourir à des modèles de langage généralistes est beaucoup plus consommateur que de se tourner vers de plus petits modèles – des besoins en énergie qui, le plus souvent, sont synonymes d’accroissement significatif de multiples impacts environnementaux, à commencer par les émissions carbone.

Relative focalisation sur la question énergétique

Du côté des personnes clairement intéressées par la lutte contre les bouleversements climatiques, l’IA n’occupe que 2,85 % des discussions, constate Sopra Steria après analyse de 314 419 messages issus d’un panel LinkedIn dédié. Dans ces cas là, elle est principalement présentée comme une menace en termes d’énergie – un enjeu compréhensible, dans la mesure où le patron d’OpenAI lui-même suggère qu’à terme, « une fraction significative de l’énergie sur Terre devrait être consacrée à l’exécution de calculs d’IA ».

Quasiment pas de trace, en revanche, de ses effets sur le cycle de l’eau, sur lesquels le sociologue Clément Marquet ou l’urbaniste Cécile Diguet sont revenus pour Next, ou sur la santé des populations, pourtant directement touchée par la pollution atmosphérique des centres de données.

En s’arrêtant sur l’épisode de génération mondiale de starter packs, qui avait ouvert un semblant de discussion sur le sujet, l’étude constate que les discours sur X et sur LinkedIn sont relativement différents.

Sur la première plateforme – dont le manque de modération a par ailleurs fait fuir bon nombre de spécialistes depuis plusieurs années, l’essentiel des discussions était enthousiaste envers le fait de se créer des starter packs, et consistaient à partager des conseils de prompts (requêtes). 17,2 % des publications émettaient néanmoins des critiques, dont 2,4 % en s’inquiétant spécifiquement de l’eau utilisée par les data centers. 



Sur LinkedIn, 29,4 % des publications critiquaient les starter packs. Les publications enthousiastes restaient majoritaires, souligne l’étude, mais ont recueilli moins d’engagement (22,86 % du total étudié) que celles critiquant le fait de générer ces images (33,56 %).

L’IA au service de la désinformation

Impact indirect de l’IA : les modèles génératifs servent par ailleurs à désinformer sur les enjeux environnementaux. En 2024, l’IA avait notamment été employée dans la campagne de désinformation qui avait perturbé le secours aux victimes des ouragans Hélène et Milton. En janvier 2025, l’European Digital Media Observatory alertait sur le fait que ces thématiques étaient devenues le premier sujet de désinformation en Europe.

Sur X, le chatbot Grok de xAI participe par ailleurs directement au problème, glissant directement des propos climatosceptiques dans certaines réponses relatives au climat – le robot a par ailleurs été utilisé pour produire une « étude » dont la totalité du propos vise à nier le rôle de l’humanité dans le changement climatique.

Les médias traditionnels ont, eux aussi, des progrès à faire. En recourant à de la détection automatisée (d’aucuns la qualifieraient d’IA), QuotaClimat a détecté pas moins de 128 cas de désinformation environnementale dans l’audiovisuel français en 3 mois, soit une dizaine de propos faux par semaine.

Xbox Game Pass : la première vague de juillet vous gâte !

2 juillet 2025 à 12:15
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Pour les abonnés Xbox Game Pass, le mois de juillet 2025 s'annonce riche en nouveautés. Microsoft, via son service d'abonnement offrant un accès à une vaste bibliothèque de jeux en streaming ou en téléchargement, a révélé la première vague de titres qui viennent enrichir le catalogue. C'est l'occasion de découvrir les ajouts majeurs qui marqueront ce mois estival.

Exchange, SharePoint : Microsoft acte la hausse de prix de ses licences « on premise »

On premise, mais pas trop
Exchange, SharePoint : Microsoft acte la hausse de prix de ses licences « on premise »

Microsoft appliquera à compter du mois de juillet une hausse de 10 % sur le tarif des licences de ses logiciels serveur Exchange, SharePoint et Skype for Business quand ces derniers sont installés on premise. Les licences d’accès client (CAL) associées augmenteront quant à elles de 15 à 20 % au 1er août.

« Bien que les suites Microsoft 365 continuent d’être un excellent choix (…) en raison de leurs performances, de leur évolutivité et de leur sécurité exceptionnelles, nous reconnaissons le besoin critique et toujours d’actualité de déploiements sur site dans certains environnements clients », commence par affirmer Microsoft. Mais si l’éditeur se dit enclin à perpétuer la possibilité d’installer un serveur Exchange ou SharePoint on premise, c’est à dire sur l’infrastructure en propre du client, cette alternative sera désormais facturée plus cher.

Des hausses de prix comprises entre 10 et 20 %

En l’occurrence, le prix facial de la licence SharePoint Server, Exchange Server ou Skype for Business Server augmente de 10 %, avec une hausse censée entrer en vigueur courant juillet. Microsoft justifie cette augmentation par la nécessité de « prendre en charge la maintenance continue et les mises à jour des produits de serveur sur site ».

L’éditeur annonce dans le même temps une hausse du prix des licences d’accès client (CAL) associées, qui s’ajoutent à la licence du logiciel serveur pour gérer les utilisateurs finaux. Cette fois, l’augmentation est datée au 1er août. Elle sera de 15 % sur la suite CAL Core Microsoft, et se montera à 20 % pour la suite CAL Entreprise Microsoft.

« Ces modifications s’appliquent exclusivement aux versions sur site de ces produits. Elles n’ont aucun impact sur les tarifs de SharePoint Online, Exchange Online ou Microsoft Teams achetés séparément ou via une licence Microsoft 365 », prend encore soin de préciser l’éditeur.

Lancement d’Exchange Server Subscription Edition

Ces hausses de prix interviennent alors que Microsoft vient tout juste d’annoncer la disponibilité générale de l’offre qui remplace désormais Exchange Server 2016 ou 2019 : Exchange Server Subscription Edition (résumé en Exchange SE), accompagné d’une version équivalente de Skype for Business Server.

L’occasion est toute trouvée de remettre l’accent sur l’intérêt des déclinaisons cloud de l’offre. « Alors qu’Exchange Online et Microsoft 365 continueront d’offrir les solutions les plus récentes et les plus innovantes, notamment l’intégration de Microsoft 365 Copilot, Exchange SE démontre notre engagement à fournir un support continu pour les scénarios dans lesquels les solutions sur site restent essentielles », répète ainsi la firme de Redmond.

L’introduction d’Exchange Server SE marque pour mémoire un tournant dans la façon dont Microsoft gère ses licences logicielles. Alors que les précédentes versions d’Exchange Server sont associées à une date de fin de support prévisionnelle – la dernière mise à jour des éditions 2016 et 2019 est censée intervenir le 14 octobre prochain, cette Subscription Edition bascule sur une logique d’amélioration continue. Elle est donc censée recevoir des mises à jour et des nouveautés fonctionnelles sans interruption, dont l’utilisateur pourra profiter tant qu’il remplit les conditions exigées.

Comme rappelé dans une FAQ dédiée, Microsoft n’autorise plus, avec Exchange Server SE, l’achat de licences nues comme il le faisait avec Exchange Server 2019. Outre la licence serveur et les CAL, l’entreprise cliente doit en effet disposer soit d’un abonnement Software Assurance (SA), soit d’abonnements cloud pour tous les utilisateurs et appareils qui seront amenés à accéder à Exchange Server SE… au moyen par exemple d’abonnements Microsoft 365.

Claude Code, l'assistant IA d'Anthropic, supporte maintenant les hooks, qui permettent un contrôle déterministe du comportement de Claude sur certaines actions, plutôt que de simplement compter sur le LLM

2 juillet 2025 à 11:09
Claude Code, l'assistant IA d'Anthropic, supporte maintenant les hooks, qui permettent un contrôle déterministe du comportement de Claude sur certaines actions, plutôt que de simplement compter sur le LLM.

Claude Code, l'assistant IA d'Anthropic, supporte maintenant les hooks, qui permettent un contrôle déterministe du comportement de Claude, en s'assurant que certaines actions se produisent toujours plutôt que de compter sur le LLM pour choisir de les exécuter. Anthropic note que les hooks exécutent...

Grammarly vient d'acquérir la start-up d'e-mail Superhuman dans le cadre de sa stratégie qui va au-delà de la correction grammaticale pour créer une suite complète d'outils de productivité basés sur l'IA

2 juillet 2025 à 11:07
Grammarly vient d'acquérir la start-up d'e-mail Superhuman dans le cadre de sa stratégie qui va au-delà de la correction grammaticale pour créer une suite complète d'outils de productivité basés sur l'IA

Dans le cadre d'une stratégie visant à étendre ses capacités au-delà de la correction grammaticale, Grammarly vient d'acquérir la start-up Superhuman, spécialisée dans les e-mails, marquant ainsi son entrée sur le marché des suites d'outils de productivité basés sur l'intelligence artificielle (IA)....

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