Half-Life 3 sera-t-il bientôt annoncé ? Les indices s'accumulent
Après des années de silence et de mèmes, la rumeur Half-Life 3 refait surface, cette fois portée par des indices concrets qui transforment l'espoir en une attente fébrile.
Après des années de silence et de mèmes, la rumeur Half-Life 3 refait surface, cette fois portée par des indices concrets qui transforment l'espoir en une attente fébrile.
Blizzard prépare une Saison 11 massive pour Diablo 4, lancée dès le 9 décembre. Au programme : le très attendu mode SSF (Solo Self Found) pour garantir l'équité, mais aussi de nouveaux boss (Belial, Andarielle, Asmodan), une refonte des monstres, et la Tour pour la compétition. Un patch majeur pour répondre aux critiques des joueurs.
Une fracture se dessine dans la future gamme de MacBook Pro M6, où les innovations les plus attendues pourraient bien devenir l'apanage des modèles les plus onéreux.
Nous voici repartis dans un gros duel de concurrentes, la RTX 5070 Ti face à la RX 9070 XT. Plusieurs mois après leur lancement, on peut dire que les pilotes, comme les stocks, se sont normalisés, et que la guerre des prix entre enseignes fait jouer le tarif en faveur des clients. On connait les for...
Au départ, j’étais persuadé que c’était encore un gadget pour geeks. Une lampe pour écran à plus de 130 euros ? Vraiment ? Et puis, après avoir vu la moitié de mes collègues journalistes et amis l’utiliser, j’ai craqué. Résultat : la BenQ ScreenBar Pro est devenue un indispensable de mon bureau, au point que je me demande comment j’ai pu bosser sans elle.
Un design discret mais redoutablement bien pensé
J’ai opté pour le modèle argenté, celui que vous voyez sur la plupart des bureaux bien rangés sur Instagram. Dès le déballage, BenQ donne le ton : pas de plastique, un design minimaliste digne d’un accessoire Apple. La ScreenBar Pro se fixe sur le haut de l’écran sans le moindre outil, grâce à une pince articulée en métal qui respire la solidité. Elle s’adapte à tous les moniteurs, même incurvés, et ne bloque ni la webcam ni l’affichage.
La lampe se branche simplement en USB-C (vous pouvez utiliser un port de votre écran ou de votre ordinateur, ou le chargeur fournit), et elle s’allume sans effort. Pas de câble en pagaille, pas de socle qui prend de la place : on gagne en espace, et visuellement, c’es épuré. Le résultat est élégant, presque invisible une fois installée.
Un éclairage intelligent et ultra-confortable
La promesse de BenQ, c’est un éclairage asymétrique qui n’éblouit pas l’écran. Et pour une fois, le marketing dit vrai : la lumière ne se reflète jamais sur la dalle, même sur un moniteur brillant. L’éclairage est puissant (jusqu’à 1000 lux), parfaitement diffus, et surtout réglable. On peut ajuster la température de couleur (du blanc froid pour la concentration au ton chaud pour la soirée), ainsi que la luminosité sur 16 niveaux.
La ScreenBar Pro va même plus loin avec un capteur de luminosité ambiante et un détecteur de présence : elle s’allume toute seule quand vous approchez et s’éteint après quelques minutes d’absence. C’est un détail, mais ça donne une impression de produit “vivant”, pensé pour s’intégrer dans le quotidien.
Résultat : fini les maux de tête en fin de journée ou les reflets pénibles sur le clavier. L’espace de travail est uniformément éclairé, agréable et propice à la concentration. Je me surprends même à la laisser allumée pour lire ou regarder une vidéo, juste parce que la lumière est douce et reposante.
Une qualité de fabrication exemplaire
Tout, dans cette ScreenBar Pro, respire le sérieux : le corps en aluminium brossé, les touches tactiles rétroéclairées, la stabilité de la pince. Même après plusieurs semaines d’usage quotidien, rien ne bouge. Elle reste froide au toucher, même après dix heures de travail.
Le modèle blanc que j’ai testé se marie parfaitement avec un setup clair, et c’est peut-être un détail, mais elle donne immédiatement un côté plus professionnel à l’espace. Ce n’est pas seulement une lampe, c’est une amélioration visible de l’ambiance du bureau.
À 139,50 €, elle n’est pas donnée, mais comparée à des lampes design comme la Dyson Lightcycle, elle fait presque figure de bonne affaire. Et contrairement à d’autres modèles concurrents, elle ne nécessite ni application ni Wi-Fi : tout se règle directement sur la barre tactile.
Difficile de s’en passer
Je fais partie de ces gens qui se moquaient des accessoires “de setup” trop perfectionnistes. Mais la BenQ ScreenBar Pro m’a fait changer d’avis. C’est un vrai confort visuel, une lumière parfaitement maîtrisée et un produit aussi beau qu’efficace. Elle complète ma lampe de bureau, et c’est vraiment nickel.
Pour tout vous dire, ça m’a même réglé un problème. Tous les jours, en fin de journée, j’avais les yeux qui pleurent. Je ne sais pas si c’est de fatigue ou quoi. Depuis que j’ai cette lampe, ce n’est plus du tout le cas. Je ne sais pas si c’est directement lié, mais je pense varient que l’éclairage d’un bureau, c’est presque aussi important qu’une bonne souris ou une chaise confortable.
Si vous passez vos journées devant un écran, c’est un investissement que vous ne regretterez pas, et vous pouvez la commander en blanc en cliquant ici , mais elle est aussi disponible en noire, en cliquant ici . Et croyez-moi, une fois que vous y avez goûté, vous ne revenez plus en arrière. Notez au passage que si votre écran est collé à un mur, vous avez aussi cette version, la BenQ ScreenBar Halo 2 , qui éclaire aussi votre mur délicatement !
Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

Un économiseur d’écran, je pense que tout le monde voit ce que c’est.
Bon c’était très utile à l’époque des vieux écrans CRT pour éviter qu’ils ne gardent une trace fantôme à cause d’une image statique, mais aujourd’hui sur nos écrans modernes c’est devenu complétement inutile. Toutefois on continue à les utiliser parce que c’est joli et sympa.
Et bien bash-screensavers c’est pareil. Ce projet transforme non pas votre écran, mais juste votre terminal en feu d’artifice ASCII, en matrice, ou en simulation de vie cellulaire. C’est tout aussi joli et sympa même si bien sûr faire tourner ces screensavers comme ça consomme probablement plus d’énergie CPU que de laisser votre terminal en pause avec du texte statique.
Bash-screensavers propose donc
11 thèmes différents
… Il y a l’alpha qui affiche des pixels colorés aléatoires, le bouncing avec son “O” qui rebondit façon Pong, le classique matrix qui simule la pluie de code vert des films Wachowski, pipes qui génère un labyrinthe de tuyaux infini, fireworks qui lance des feux d’artifice ASCII, life qui implémente le jeu de la vie de Conway, rain pour une pluie apaisante, speaky qui parle de façon dramatique, stars qui affiche un champ d’étoiles scintillantes, tunnel qui vous fait voler dans un tunnel digital, et vibe pour tout ce qui est simulation de vibe coding.
L’installation est également hyper simple :
git clone https://github.com/attogram/bash-screensavers.git
cd bash-screensavers
./screensaver.sh
Vous arrivez alors sur un menu interactif qui vous propose de choisir parmi les 11 screensavers. Ou vous pouvez lancer directement un screensaver spécifique avec ./screensaver.sh matrix, ou un random avec ./screensaver.sh -r. Ctrl+C pour sortir.
Chaque screensaver est en réalité un script bash autonome placé dans le dossier gallery/. Par exemple, gallery/matrix/matrix.sh contient tout le code pour recréer l’effet Matrix et quand vous regardez le code, vous réalisez que c’est de l’interprété ligne par ligne un peu nul, pas super optimisé, avec des boucles while true, des sleep 0.05 pour ralentir l’animation, et des appels à tput cup pour positionner le curseur à chaque frame.
Tenez, prenons bouncing. Le script doit calculer la position du “O”, détecter les collisions avec les bords du terminal, inverser la vélocité, effacer l’ancienne position, afficher la nouvelle, attendre un peu, et recommencer. Ça consomme du CPU pour un effet visuel qu’on pourrait obtenir en CSS avec 5 lignes de code et zero conso de CPU dès le premier rendu. Mais bon, c’est du script bash alors c’est trop cooool !
Quoiqu’il en soit, mon préféré c’est life. C’est le
Jeu de la Vie de Conway
où vous avez une grille de cellules, et chaque cellule peut être vivante ou morte. ET à chaque génération, vous appliquez ces règles : une cellule vivante avec 2 ou 3 voisins vivants survit, sinon elle meurt. Et une cellule morte avec exactement 3 voisins vivants redevient vivante. Implémenter ça en bash, ça veut donc dire parcourir une matrice 2D, compter les voisins pour chaque cellule, stocker l’état suivant, et redessiner le tout.
Le vrai but de bash-screensavers, vous l’aurez compris, ce n’est donc pas de protéger votre écran. Ça on s’en fout. Non, le vrai but, c’est de signaler à vos collègues les boulzors que : “Je travaille, ne touchez pas à mon terminal”. Hé oui, la nature humaine est mal faites car si quelqu’un voit un terminal avec du texte statique, il peut penser que la session est abandonnée alors que s’il voit un terminal avec des pipes ASCII qui poussent en temps réel, il sait que quelqu’un a lancé ça volontairement.
Le projet inclut même une section Not Ready For Primetime avec des screensavers expérimentaux qui ne sont pas encore assez bien pour figurer dans la galerie principale. Et tout le monde peut apporter sa petite contribution.
Merci à Lorenper pour l’info.

Pendant que Samsung vous vendait ses Galaxy S22, S23 et S24 en vantant Knox, leur forteresse de sécurité niveau Pentagone, quelqu’un au Moyen-Orient transformait ces téléphones en micros espions à partir d’une simple photo de vacances envoyée à ses victimes sur WhatsApp.
Et ce petit manège a duré 9 putain de mois. Hé oui, toute cette histoire vient d’être révélée par l’ Unité 42 de Palo Alto Networks . Ce spyware s’appelle LANDFALL, et c’est un produit commercial vendu par Stealth Falcon (aussi connu sous le nom de FruityArmor), une boîte du Moyen Orient, spécialisée dans la surveillance, avec probablement un support client et tout le bazar qui va avec.
Et ce malware utilise une technique d’une simplicité terrifiante. Un fichier DNG (Digital Negative, le format RAW d’Adobe) forgé spécialement pour l’occasion est envoyé via WhatsApp à la victime (genre, au hasard, VOUS ! ^^). Vous recevez la photo, WhatsApp tente de l’afficher, et boum badaboum, la faille CVE-2025-21042 s’active joyeusement dans la lib libimagecodec.quram.so de Samsung. C’est un joli dépassement de mémoire tampon qui permet d’exécuter du code arbitraire… donc autant dire qu’à ce stade, c’est fini pour vous.
Car une fois LANDFALL installé, votre Galaxy devient une station d’écoute complète. Micro activé à distance, tracking GPS en temps réel, copie de vos photos, contacts, SMS, logs d’appels. La totale et ce spyware est modulaire, avec un loader (b.so) qui sert de backdoor principale, et un gestionnaire de politiques de sécurité SELinux (l.so) qui élève les permissions.
Techniquement, c’est solide car même si Whatsapp nous vante son chiffrement de bout en bout “inviolable”, ils oublient que le E2E (end to end) protège le transport mais pas le traitement. Selon SecurityAffairs , la campagne était active depuis juillet 2024 et Samsung n’a patché la faille qu’en avril 2025. Donc faites le calcul les amis… Les acheteurs du Galaxy S24, sorti en février 2024, qui pensaient avoir le top du top de la sécurité mobile ont bien été pigeonnés sur ce coup…
Mais alors qui s’est fait cibler ? Hé bien The Record précise que les cibles sont en Irak, Iran, Turquie et au Maroc. Comme d’hab, ce sont des dissidents politiques, des journalistes, des activistes…etc… C’est à dire des gens qui ont vraiment besoin de sécurité pour littéralement rester en vie.
Bref, si vous êtes un acteur à risque dans une région sensible, gardez en tête que les mises à jour de sécurité ne sont pas optionnelles et que même à jour, vous n’êtes jamais totalement safe malheureusement, car des société privées ayant pignon sur rue, s’amusent à mettre votre vie en jeu.

Cette pub, vous l’avez tous vue. “Voler une voiture ? Jamais ! Le piratage, c’est du vol.” Cette putain de pub qui passait en boucle sur TOUS les DVD entre 2004 et la fin des années 2000 et j’sais pas si vous vous souvenez mais elle était impossible à zapper. Obligé de se la taper avant de regarder un Matrix ou un Spider-Man fraichement acheté alors que pendant ce temps, votre pote qui avait téléchargé le film la veille sur eMule, lui, il n’avait pas à subir cette agression audiovisuelle (j’étais ce pote ^^).
Mais le truc dingue c’est qu’à l’époque, personne ne savait qui avait créé cette pub. Pas de crédits, pas de noms. Que dalle, un peu comme si c’était un objet tombé du ciel, généré spontanément par la colère divine d’Hollywood contre Napster et Kazaa.
C’est pour tenter de lever un peu ce voile du mystère que le youtubeur Nicolas Delage a passé 2 années à enquêter sur cette pub de 30 secondes. Et vous allez voir, le résultat est à la hauteur des espérance.
Car oui, Nicolas a retrouvé tout le monde. [spoiler alert !] Le créateur, Ricky Mintz, qui bossait chez Warner Bros dans un département appelé “Idea Place” (dont la mission était de créer des pubs en interne), le scénariste, John Helms, le graphiste, Scott Elman, qui a designé tous ces textes agressifs qui flashent à l’écran. Et même le monteur, Terry Paul, qui avait bossé avec Saul Bass sur Casino.
Et la production, c’était du lourd… Tournage aux studios Paramount à Los Angeles avec un financement par la Motion Picture Association, les 7 plus gros studios hollywoodiens (Paramount, MGM, Sony, Universal, Disney, Warner, Fox), et la National Association of Theater Owners. Tout ce beau monde qui a l’époque s’est mis d’accord sur un message simple : le piratage, c’est comme voler une voiture ou un sac à main.
Sauf que voilà… Ce qui devait faire peur aux téléchargeurs est devenu le mème le plus viral de l’histoire du cinéma. “You wouldn’t download a car” (alors que la pub dit “You wouldn’t steal a car”, mais on s’en fout, le mème a pris le dessus), avec des milliers de remix, des parodies et même des tatouages. Oui, des gens se sont fait tatouer le logo de cette pub…
Warner Bros a donc dépensé des millions pour créer un spot professionnel destiné à effrayer les pirates… et a créé finalement l’un des contenus les plus piraté, remixé, moqué et téléchargé de l’histoire d’internet. C’est vraiment un truc qui a marqué toute une génération. Des gens ont même dit à Nicolas, que la pub les terrifiait quand ils étaient gamins. C’était votre cas d’ailleurs ??
Aujourd’hui, on pourrait faire exactement la même pub aujourd’hui pour lutter contre l’IA générative. “Vous ne voleriez pas une œuvre d’art ? L’IA générative, c’est du vol.”
Sauf que pour le moment, c’est 100% légal alors qu’au fond, c’est le même combat avec juste une technologie différente. Les deux sont (ou étaient) considérés comme “pas vraiment du vol” par ceux qui les pratiquent, et comme “du vol pur et simple” par ceux qui en souffrent.
En 2004, Hollywood a répondu par la peur et la répression alors qu’en 2025, l’industrie créative n’a même pas encore vraiment compris qu’elle s’était faite baiser…
Un grand merci à Letsar pour m’avoir partagé cette vidéo.

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