Meta intègre ses outils d'édition IA dans l'interface des Stories Instagram. Un menu Restyle permet d'utiliser des prompts textuels pour ajouter, supprimer ou modifier des éléments sur les photos et vidéos, ou appliquer des effets prédéfinis.
Tesla rebat les cartes de sa stratégie de semi-conducteurs. En confiant la production de sa future puce AI5 à la fois à Samsung et TSMC, Elon Musk ne cherche pas seulement à sécuriser ses approvisionnements, mais à redéfinir l'efficacité même de l'intelligence artificielle.
La start-up française Quandela a livré son ordinateur quantique photonique de 12 qubits, "Lucy", au CEA. Acquis par EuroHPC et le GENCI, il sera couplé au supercalculateur Joliot-Curie pour créer une plateforme de calcul hybride HPC-quantique. Présenté comme le plus puissant de sa catégorie, il sera accessible aux chercheurs européens début 2026.
Un patch superficiel, un champ WireGuard trop permissif, et deux failles qui finissent par se répondre. Chez Forescout, les chercheurs ont tiré le fil et découvert une série de vulnérabilités critiques au cœur du firmware de routeurs TP-Link.
L'automne s'annonce particulièrement chargé pour les joueurs, et Cdiscount est au cœur de l'action avec l'arrivée de nouveaux bundles et de jeux majeurs. Voici le récapitulatif complet des sorties à ne pas manquer.
Le sacro-saint papier rose, symbole d'une liberté acquise pour de bon, va devoir être rangé au musée. Une vaste réforme adoptée par les eurodéputés vient signer la fin d'une époque pour des millions d'automobilistes européens.
Electronic Arts (EA) a officialisé un partenariat majeur avec Stability AI, la société à l’origine du célèbre générateur d’images Stable Diffusion. Ensemble, les deux entreprises vont co-développer de nouveaux modèles et outils d’intelligence artificielle capables de transformer les méthodes de création dans le jeu vidéo. L’objectif avoué de …
Julien Navas vient de déclencher une chasse au trésor d’une ampleur inédite. Baptisée Le Gardien du Trésôr, cette quête invite les curieux du monde entier à partir à la recherche d’un butin estimé à plusieurs centaines de milliers d’euros. L’aventure a commencé à Paris, mais elle s’étend déjà bien au-delà des frontières françaises.
C'est la fin de la récréation sur Battlefield Portal. EA a commencé à envoyer des avertissements aux joueurs qui recréent des cartes de Call of Duty, comme la célèbre "Shipment". Invoquant une violation du code de conduite, l'éditeur menace de bannir les récidivistes, craignant sans doute des poursuites de la part d'Activision. Cette décision met un frein majeur à la liberté créative de l'outil.
Un retard qui en disait long : AMD ouvre enfin la voie au retail pour sa Radeon AI PRO R9700, annoncée pour le 27 octobre à 1 299 dollars, soit environ 1 230 à 1 350 euros selon le taux et la TVA locale.
Une carte pro pensée pour les stations multi-GPU
Jusqu’ici réservée aux OEM et intégrateurs, la série Radeon AI PRO 9000 arrive chez les revendeurs. AMD visait un lancement à la fin juillet, mais « les intégrateurs ont absorbé tout le stock », d’après la chronologie rapportée. Rien d’étonnant à ce que les pros aient priorisé l’approvisionnement.
Asrock radeon ai pro r9700 creator 32 go
Dévoilée au Computex 2025, le modèle phare R9700 embarque le tout frais GPU RDNA Navi 48 d’AMD, 48 gravé en 4 nm avec 64 unités de calcul RDNA 4, soit 4 096 processeurs de flux et 128 accélérateurs IA dédiés aux opérations matricielles sur divers formats. Par rapport à la RX 9070 XT orientée jeu, la R9700 mise sur la capacité mémoire : 32 Go de GDDR6 à 20 Gbit/s sur bus 256 bits pour 640 Go/s, épaulés par 64 Mo d’Infinity Cache de 3e génération.
Côté performances, AMD annonce jusqu’à 191 TFLOPS en FP16 dense et jusqu’à 1 531 TOPS en INT4 sparse, avec un TDP qui monte à 300 W. Le tout tient dans un format double slot à ventilateur turbine, idéal pour empiler jusqu’à quatre cartes dans une station de travail sans asphyxier le châssis.
Disponibilité et positionnement
Le lancement retail est fixé au 27 octobre, à 1 299 dollars. Il faut dire que l’ouverture aux particuliers et aux monteurs de stations IA ou de visualisation professionnelle manquait clairement au catalogue AMD. Reste à voir si l’offre suivra cette fois, après les contraintes d’approvisionnement du milieu d’année.
Jamais deux sans trois. Voici la troisième apparition publique de Panther Lake : un Core Ultra 5 338H vient d’être repéré dans la base de données Geekbench, accompagné d’un iGPU Arc B370 Xe3. Ce nouveau repère vient confirmer le schéma déjà observé sur les modèles supérieurs et clarifie un peu plus le casse-tête du nommage Intel pour cette génération mobile.
Cette fuite complète ainsi le puzzle initié par le Core Ultra X7 358H, dont l’iGPU Xe3 à 12 cœurs marquait les débuts de Panther Lake, et confirmé peu avant par le Core Ultra X9 388H, capable de dépasser les 6300 points sous 3DMark Time Spy, soit environ +30 % de mieux que Lunar Lake.
Avec cette série d’apparitions successives, Panther Lake prend forme : une architecture mobile tournée vers l’efficacité énergétique, mais aussi vers une intégration IGPU XE3 plus ambitieuse, annonçant une transition vers la prochaine génération d’iGPU Xe3p.
Core Ultra 5 338H confirmé, et l’iGPU Arc passe à la série B
Selon cette fuite, le modèle s’appelle bien Core Ultra 5 338H, et non X5 338H. Il semblerait que la lettre X reste réservée aux versions dotées de l’iGPU complet, comme les X9 388H et X7 358H. Rien d’étonnant à ce que la génération Panther Lake ajoute une couche de complexité, encore plus que Meteor et Lunar Lake.
Deuxième enseignement, l’iGPU intégré adopte l’appellation Arc B-Series, alors même qu’il s’agit d’unités Xe3. Intel avait évoqué de longue date une filiation avec Celestial, mais « Intel a déplacé Celestial vers l’architecture Xe3p » d’après la source, tandis que Xe3 serait une évolution de Xe2, une sorte de version « Prime » de Battlemage.
Pour simplifier, Battlemage et Celestial restent des références côté GPU dédiés, mais le marketing brouille les pistes côté intégrés.
Arc B370 : 10 cœurs Xe3 et un score encore timide
Le Core Ultra 5 338H s’accompagne ici d’une Arc B370, présentée comme une montée en gamme face à l’Arc A140T des puces Lunar Lake. Intel a abandonné le suffixe « T » et saute directement à une série 300 pour les iGPU. D’après les éléments collectés, la B370 embarquerait 10 cœurs Xe3, quand une hypothétique B390 grimperait à 12. Une variante 4 cœurs pourrait porter le nom B350, mais cela reste à confirmer.
Côté performances, la B370 dépasse l’Arc 140T, mais de peu : environ 4 % d’avance seulement dans Geekbench. Il faut dire que l’échantillon tourne sur une plateforme de référence officielle et des pilotes probablement immatures. Reste à voir si les scores évolueront, les premières mesures ne reflétant pas toujours le niveau final.
En résumé, les CPU Panther Lake forment la série 300 chez Intel et, confusion supplémentaire, leurs iGPU aussi. On retiendra surtout deux points : le nom exact Core Ultra 5 338H pour ce SKU 3×8, et l’iGPU Arc B370 en architecture Xe3. Les modèles supérieurs pourraient s’appuyer sur des B380 ou B390, mais mieux vaut attendre des fiches techniques définitives avant d’entériner ces dénominations.
Ce matin, The Pokémon Company a révélé que la dernière édition de la série de capture de monstres, Pokémon Legends: Z-A, a enregistré 5,8 millions d’unités vendues lors de sa première semaine, avec Nintendo précisant qu’environ la moitié des ventes se sont réalisées sur la Nintendo Switch 2. Ventes comparatives Bien que ce soit un […]
Vous vous souvenez des débats enflammés sur les vaccins COVID et de ces théories complotistes de “turbo cancer” qui circulaient partout sur les réseaux sociaux ? Bon c’est un peu has been maintenant mais c’était cette fausse idée que les vaccins mRNA provoqueraient des cancers fulgurants…
Et bien accrochez-vous, parce que des chercheurs très sérieux viennent de découvrir EXACTEMENT l’inverse. Vous allez voir, c’est drôle !
Des oncologues de l’Université du Texas et de l’Université de Floride ont analysé les dossiers de plus de 1000 patients atteints de cancers du poumon ou de mélanomes avancés et ils ont remarqué un truc bizarre : les patients qui avaient reçu un vaccin mRNA contre la COVID dans les 100 jours suivant le début de leur immunothérapie vivaient beaucoup plus longtemps que les autres. Genre, 2 fois plus longtemps.
Concrètement, la survie médiane passe de 20 mois sans vaccin à 37 mois avec vaccin et au bout de 3 ans, 56% des patients vaccinés sont toujours en vie, contre seulement 31% chez les non-vaccinés.
Bon alors, comment c’est possible ? Hé bien pour comprendre, faut faire un détour rapide par l’immunothérapie. En effet, depuis une dizaine d’années, on traite certains cancers avec des médicaments qui ne ciblent pas la tumeur directement mais débloquent en réalité le système immunitaire.
Le truc, c’est que les cellules cancéreuses sont malignes (sans mauvais jeu de mots..) puisqu’elles utilisent une protéine appelée PD-L1 pour littéralement désactiver les lymphocytes T, les fameux soldats de notre système immunitaire. Les inhibiteurs de checkpoint comme le pembrolizumab ou le nivolumab empêchent alors cette désactivation et le système immunitaire peut enfin faire son boulot et attaquer la tumeur.
Sauf que ça ne marche pas sur tous les cancers. Il y a ce qu’on appelle les tumeurs “chaudes” et les tumeurs “froides”. Les chaudes ont été repérées par le système immunitaire et ont été infiltrées par des cellules immunitaires. Les froides, par contre, sont invisibles. Aucune cellule immunitaire autour, aucune réaction. Et pour ces tumeurs froides, l’immunothérapie classique ne sert à rien et c’est un cauchemar à combattre.
De leur côté, les vaccins mRNA COVID agissent comme une alarme incendie pour le système immunitaire. Quand vous recevez votre dose de Pfizer ou Moderna, votre corps produit un tsunami d’interféron de type I. C’est une molécule de signal qui met tout le système immunitaire en alerte rouge : Les cellules présentatrices d’antigènes se réveillent, les lymphocytes T se multiplient, et tout le monde passe en mode combat !
Et cette activation généralisée, elle ne se limite pas au virus COVID puisque le système immunitaire en profite pour scanner TOUT ce qui traîne, y compris les cellules cancéreuses qui jusque-là passaient inaperçues. Les tumeurs froides deviennent alors chaudes et se mettent à exprimer du PD-L1 pour tenter de se protéger. Et c’est justement à ce moment-là que les inhibiteurs de checkpoint entrent en jeu et bloquent cette défense.
Les chercheurs ont donc testé ça sur des modèles animaux pour comprendre le mécanisme exact et ont confirmé que le vaccin seul ne suffit pas. Il faut la combinaison vaccin mRNA + immunothérapie pour obtenir l’effet maximal. L’un réveille le système immunitaire, l’autre maintient l’attaque active contre la tumeur.
Le plus fou dans cette histoire, c’est que personne ne cherchait cet effet. Élias Sayour, l’un des chercheurs principaux à l’origine de cette découverte, bossait déjà sur des vaccins mRNA anti-cancer personnalisés depuis 2016 et avait remarqué que les molécules d’ARN messager pouvaient entraîner le système immunitaire même sans cibler des antigènes tumoraux spécifiques. Mais de là à imaginer que les vaccins COVID développés en urgence pour une pandémie auraient ce pouvoir contre le cancer, personne ne l’avait anticipé.
D’ailleurs, il y a eu quelques cas rapportés dans la littérature médicale de patients dont les tumeurs ont spontanément régressé après une vaccination COVID et à l’époque, tout le monde trouvait ça anecdotique… peut-être des coïncidences. Mais avec cette étude portant sur plus de 1000 patients et contrôlant 39 variables différentes (stade du cancer, traitements antérieurs, comorbidités, etc.), c’est difficile de parler de hasard.
Cinq fois plus de chances d’être en vie trois ans après le diagnostic, juste en ajoutant un vaccin qu’on a déjà sous la main et qui a été administré à des milliards de personnes, c’est pas rien.
Maintenant, avant de crier au miracle, quelques précisions importantes quand même. Cette étude est observationnelle, et ce n’est pas un essai clinique randomisé. Ça veut dire que les chercheurs ont analysé des données existantes, et n’ont pas assigné aléatoirement les patients à un groupe ou l’autre. Il pourrait donc y avoir des biais cachés. Par exemple, les patients qui ont choisi de se faire vacciner pendant leur traitement cancer sont peut-être aussi ceux qui suivent mieux leurs protocoles de soin en général ?
Mais les chercheurs ont anticipé cette critique et ont utilisé des techniques statistiques avancées pour éliminer un maximum de facteurs confondants et même avec ça, le signal reste fort. Assez fort en tout cas pour justifier de passer à l’étape d’un vrai essai clinique prospectif.
L’équipe lance donc un essai à grande échelle sur des patients atteints de cancer du poumon, avec 2 groupes : un qui reçoit l’immunothérapie standard, l’autre qui reçoit immunothérapie + vaccin mRNA COVID. Si les résultats confirment ce qu’ils ont observé, on pourrait alors voir les protocoles de traitement évoluer très rapidement.
Et contrairement aux vaccins anti-cancer personnalisés qui nécessitent d’analyser la tumeur de chaque patient pour créer un vaccin sur mesure (c’est cher et complexe…), les vaccins COVID eux sont déjà produits en masse, approuvés, dispo partout, et relativement peu chers.
On savait que non seulement
ces vaccins COVID ne causaient pas de cancer
mais découvrir qu’en plus ils pourraient bien devenir un outil standard pour TRAITER le cancer, c’est turbo-marrant je trouve… La science nous réserve toujours des surprises, et c’est pour ça qu’elle me passionne !
Si ça vous dit, l’étude a été publiée dans Nature, et
vous pouvez la lire en intégralité ici
si vous voulez rentrer dans les détails statistiques et biologiques.
Vous streamez une vidéo sur votre iPad, tout va bien, et puis ça lag. Pas beaucoup hein, juste une petite micro-saccade bien en rythme toutes les deux secondes. Ce n’est pas la faute de votre routeur et pourtant vous avez beau pinger votre réseau local, ça saute de 3 ms à 90 ms… Bienvenue dans le monde merveilleux d’AWDL, la technologie Apple qui transforme plus d’un milliard d’appareils en mini-pollueurs du spectre WiFi.
Christoff Visser, ingénieur au labo de recherche d’Internet Initiative Japan, a eu ce problème et en a parlé lors de sa dernière
présentation à la conférence RIPE 91
. Il était en train de streamer un jeu avec
Moonlight
quand ça s’est mis à sauter à intervalles réguliers. Ça l’intrigue, alors il fait ce que ferait n’importe quel ingénieur réseau qui se respecte… Il sort Wireshark et commence à tout sniffer.
Et là, surprise… Son iPad saute entre les canaux WiFi.
Mais pas aléatoirement, hein… précieusement toutes les deux secondes. C’est alors qu’il comprend que le coupable est le protocole AWDL (Apple Wireless Direct Link). Vous voyez AirDrop, cette app magique qui vous permet d’envoyer des fichiers entre iPhone et Mac sans rien configurer ? Handoff, qui vous laisse continuer votre mail de l’iPhone sur le Mac ? Sidecar, pour utiliser votre iPad comme second écran ? Hé bien toute cette magie Apple repose sur ce protocole propriétaire non-documenté qui tourne en permanence sur vos appareils.
Voici comment ça marche… Pour que deux appareils Apple puissent se parler n’importe où dans le monde, ils doivent d’abord se trouver. Apple a donc défini ce qu’on pourrait appeler des canaux sociaux : le canal 6 pour le 2,4 GHz, les canaux 44 et 149 pour le 5 GHz. Ce sont si vous voulez, des points de rendez-vous. Vos appareils sautent alors régulièrement sur ces canaux pour vérifier si quelqu’un veut leur parler, puis reviennent sur le canal de votre réseau WiFi.
Sauf que si vous êtes un admin réseau malin, vous n’utilisez PAS ces canaux parce que tout le monde les utilise. Vous scannez le spectre, vous trouvez un canal vide, et vous configurez votre réseau là-dessus pour éviter les interférences. Logique, non ?
Bah non. Pas avec Apple.
Parce que vos appareils Apple, eux, ils s’en foutent. Ils vont QUAND MÊME sauter sur les canaux 6, 44 ou 149 pour checker si quelqu’un veut leur parler, puis revenir. Hop. Toutes les deux secondes. Que vous utilisiez AirDrop ou pas. Que vous ayez d’autres appareils Apple à proximité ou pas. En permanence !
C’est dingue non ? Du coup, on se retrouve avec ces micro-coupures et une latence qui explose. Visser a découvert que ce problème est remonté sur les
forums utilisateurs depuis 2019
. Les gens se plaignent, mais personne ne comprend vraiment ce qui se passe parce qu’Apple ne documente pas AWDL et que ces paquets sont invisibles sur votre propre machine. Du coup, diagnostiquer ça est presque impossible.
Visser a donc contacté Apple via leur Feedback Assistant et il n’a obtenu aucune réponse. Même après sa conf à RIPE91, Apple a gardé le silence…
Bref, le “ça marche tout seul” d’Apple a un coût sauf que ce n’est pas Apple qui le paie. C’est nous, les admins réseaux et tous les autres appareils sur le réseau. Apple a optimisé l’expérience de SES utilisateurs en externalisant le problème sur l’infrastructure WiFi des autres.
Alors y’a t-il des solutions ?
Bah justement. Vous avez trois options mais je vous préviens, elles sont toutes pourries.
Option 1 : Désactiver AWDL avec sudo ifconfig awdl0 down. Cool, ça marche sauf que vous perdez AirDrop, Handoff, Sidecar, et toutes les fonctionnalités cools qui font qu’un iPhone est un iPhone. Autant acheter un Android à ce tarif…
Option 2 : Configurer votre réseau WiFi sur les canaux 6, 44 ou 149. Utiliser les mêmes canaux que tout le monde pour éviter que vos appareils Apple ne sautent est donc une bonne option, même si ces canaux sont souvent saturés.
Et au Japon, le 149 est carrément interdit
!
Option 3 : Vivre avec en totale acception de votre sort. Vous devez accepter que vos appareils Apple sont des gros dégueulasses qui vont polluer le WiFi, accepter ces micro-latences et accepter que votre admin réseau va vous poursuivre avec un couteau dans les couloirs de la boite quand il aura lu mon article.
Et comme ce n’est pas un problème de matériel, acheter un nouveau routeur WiFi 7 ne changera rien puisque le problème, c’est la communication directe entre VOS appareils. Apple pousse même le
RFC 9330
(L4S) pour réduire les délais réseau, mais ça ne résoudra rien non plus parce qu’AWDL, c’est du peer-to-peer et ça bypass votre routeur.
Quelqu’un n’a même pas besoin d’être connecté à votre réseau pour foutre le bordel. Il peut juste passer à côté de vous dans un café, déverrouiller son iPhone, et boom, votre réseau va glitcher quelques secondes pendant que vos appareils négocieront avec le sien.
Visser a donc présenté tout ça en espérant que les admins réseau et les FAI soient enfin informés du souci et puisse répondre enfin aux utilisateurs qui rencontrent ce problème invisible. Donc, voilà, la prochaine fois que votre connexion WiFi merdera sans raison, regardez autour de vous et comptez les iPhones et autres appareil Apple car chacun d’eux est en train de jouer à saute-moutons entre les canaux de votre réseau.
Plus d’un milliard d’appareils qui font ça en permanence, partout dans le monde, c’est pas rien quand même…
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Je vous ai expliqué et rappelé dans plusieurs articles et vidéos qu'il était possible de sauvegarder tous les pilotes facilement.
Oui, il existe dans Windows un dossier nommé DriverStore qui une fois conservé pourra servir à réinstaller facilement tous vos pilotes en quelques clics sans avoir besoin de parcourir tous les recoins du Web pour les retrouver.
Il est clair que réinstaller un Système d'Exploitation est déjà une corvée sans s'infliger ensuite la recherche des indispensables pilotes.
Cette astuce est d'autant plus utile que de plus en plus de précieux pilotes disparaissent du Web au fil des années, soit parce que certains fabricants veulent vous pousser à acheter des matériels plus récents et les retirent de leurs sites d'assistance, soit parce que certains sites dédiés indépendants ont fermé (et fermeront...) du fait de l'adoption massive des bloqueurs de pubs qui les a privés de revenus vitaux pour payer les hébergements.
Je vous propose aujourd'hui une autre méthode qui sera peut-être un petit peu plus compliquée à mettre en œuvre (mais vous allez le voir rien d'insurmontable 😉) mais qui a l'avantage de permettre de ne sauvegarder que les pilotes les plus récents.
L’appareil X-T30 III s’inscrit dans la lignée des reflex de la gamme XT, juste derrière le Fujifilm X-T5, haut de gamme, et le Fujifilm X-T50, milieu de gamme, constituant ainsi le moyen le plus abordable d’accéder à la gamme d’appareils photo Fujifilm, axée sur la photographie. Le X-T30 III sera disponible en noir, argent ou anthracite. La version a...
Google s'engage à améliorer les performances graphiques de ses Pixel 10 et 10 Pro, à l'aide de mises à jour logicielles. Une réponse bienvenue aux critiques sur le GPU PowerVR, choisi pour le Tensor G5, la puce qui équipe les téléphones.
Google Maps sur Android Auto a droit à deux améliorations qui étaient attendues de pied ferme par les utilisateurs. Le signalement des accidents est désormais bien plus intuitif sur les petits écrans. En outre, le menu de suggestion des destinations a enfin été repensé.
L'accalmie aura été de courte durée. Alors que l'iPhone 17 est un succès commercial, le prix de l'iPhone 18 pourrait repartir à la hausse. En cause : la future puce A20, gravée en 2nm, dont les coûts de production chez TSMC pourraient augmenter de 50 %, forçant Apple à revoir sa grille tarifaire pour 2026.
Les friteuses à air séduisent avant tout car ils représentent une alternative pratique et plus saine à la friture traditionnelle. Mais lorsqu'il est question de préparer un repas complet, les modèles à simple tiroir ont leurs limites. Les Airfryer à double compartiment tentent de répondre justement à ce besoin : ils permettent de cuire simultanément...