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Reçu aujourd’hui — 5 novembre 2025 7.1 📜 Résumé - Tech.

SARCASM - Ce robot résout un Rubik's Cube en vous insultant

Par :Korben
5 novembre 2025 à 11:04

En mai de cette année, des étudiants de Purdue ont battu le record du monde du robot résolveur de Rubik’s Cube grâce à leur machine, Purdubik’s Cube qui a torché un cube en 0.103 secondes !! Plus rapide que moi mais surtout plus rapide qu’un clin d’œil !

Et pendant ce temps, un autre passionné de Rubik’s Cube, Vindar , bossait tranquillement sur SARCASM , un autre robot qui résout aussi des Rubik’s Cubes, sauf que lui, il prend son temps ! Et surtout, il vous clashe pendant qu’il le fait. Il a une voix, des animations, un système d’humeur, et une personnalité de collègue insupportable ! Il est lent, il est sarcastique, il est inutilement compliqué, et c’est exactement pour ça qu’il est génial, vous allez voir !

SARCASM, ça veut dire Slightly Annoying Rubik’s Cube Automatic Solving Machine . Déjà rien que le nom c’est tout un programme. Et ce robot n’a qu’un seul objectif : résoudre des cubes en étant légèrement casse couilles. Pas hyper rapide, pas hyper efficace, juste chiant ce qu’il faut.

Le projet a démarré pendant COVID, quand tout le monde était enfermé chez soi à chercher des trucs à faire. Certains comme moi ont fait de la brioche, d’autres ont regardé Netflix en boucle et Vindar, lui, s’est dit qu’il allait créer un robot qui insulte les gens. Et nous voilà, 5 ans avec un robot qui vanne. Oui, Vindar est du genre persévérant !

Techniquement, SARCASM est un concentré de tech aussi cool qu’absurde. Le cerveau, c’est un Teensy 4.1, un microcontrôleur ARM Cortex-M7 qui tourne à 600 MHz. Pour la vision, il a utilisé une ESP32-CAM qui capture l’état du cubeet un écran ILI9341 pour afficher une tête avec des animations lip-sync. Des moteurs pas à pas (je crois que c’est comme ça qu’on dit ^^) et des servos pour manipuler le cube, des capteurs de position, un chouette éclairage RGBW, deux batteries 18650 Li-ion avec un port de charge USB-C et il a calé tout ça dans un boîtier imprimé en 3D avec un PCB custom.

Mais le logiciel les amis, c’est là que ça devient vraiment foufou car y’a du text-to-speech avec espeak-ng, des graphiques 2D et 3D custom, des animations qui bougent en temps réel et même comme je vous le disais, un système de dialogues basé sur l’humeur du robot, avec randomisation pour que chaque interaction soit différente.

Evidemment, SARCASM dispose aussi d’un algorithme de résolution du cube avec du décodage JPEG en temps réel pour la reconnaissance des couleurs, du multithreading avec gestion d’interruptions, bref, tout ce qu’il faut pour résoudre des Rubik’s Cube et créer une personnalité à cette machine.

Le robot détecte même quand vous vous foirez en manipulant le cube, juste pour pouvoir vous clasher dessus. Chaque détail technique sert un seul objectif qui est de rendre cette machine “vivante”.

Pour faire tenir tout ça, Vindar a dû modifier le noyau du Teensy. Parce que oui, même avec 600 MHz et un ARM Cortex-M7, il fallait optimiser pour que tout rentre dans la RAM et il a mis tout son code en open-source, sous licence GPL-3.0. Après, comme le précise le dev, son code est incomplet et bordélique mais bon, ça fonctionne…

Et surtout, le robot est autonome. Vous posez un cube standard dessus, il le scanne, il calcule, il résout, tout ça offline sans API ou service de cloud.

Le projet a été présenté en détails sur le forum PJRC , la communauté autour des cartes Teensy et les retours sont unanimement positifs ! Puis au moment, celui-là on s’en souviendra !

Merci à Lorenper pour le partage de cette découverte !

Retrouvez rapidement n'importe quelles données sur vos ordinateurs (v1.4.1.1030)

5 novembre 2025 à 07:50

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.

Ce soft est, et cela n'engage que moi, le logiciel le plus rapide pour retrouver n'importe quel fichier ou dossier sur vos disques ; je m'en sers plusieurs fois par semaine.

Si vous ne le connaissez pas encore je vous invite l'essayer - j'insiste - d'autant plus qu'Il est compatible d'XP à Windows 11 et est en français.

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La Haute Autorité de santé dit oui à l’IA, mais pas n’importe comment

5 novembre 2025 à 11:34
Pas si évident
La Haute Autorité de santé dit oui à l’IA, mais pas n’importe comment

La HAS a publié le 30 octobre un guide pédagogique sur l’utilisation de l’intelligence artificielle générative dans l’ensemble du secteur sanitaire, social et médico-social. L’autorité ne s’oppose pas à cette utilisation, mais elle pointe très vite les deux problèmes majeurs : la sensibilité des données manipulées et la fiabilité des résultats.

Les données de santé sont une mine d’or. Selon comment elles sont exploitées, elles peuvent permettre le suivi de l’efficacité des traitements, faire apparaitre des corrélations, étudier des prévalences et autres.

Ce caractère précieux est au cœur de plusieurs décisions politiques. En France, il y a bien sûr le HDH (Health Data Hub) et ses décisions sulfureuses d’hébergement chez Microsoft, pointées constamment par le député Philippe Latombe, des rapports interministériels ou même encore récemment par la Cour des comptes. L’entrepôt de données européen EMC2 a le même problème.

Mais les objectifs sont à chaque fois les mêmes : concentrer les données, favoriser les travaux des chercheurs, servir de guichet unique et, bien sûr, permettre à terme le traitement des données par l’IA. Dans le cadre du projet EMC2 d’ailleurs, l’Agence européenne du médicament abordait explicitement cette finalité.

La Haute Autorité de santé publie donc un avis sur la question, même s’il peut sembler tardif. Dans les grandes lignes toutefois, la HAS ne réagit pas spécifiquement sur l’exploitation des données, mais vise les professionnels de santé et l’utilisation de l’IA comme aide à la décision.

Quatre lignes directrices

La HAS publie principalement quatre conseils, rassemblés sous l’appellation : AVEC, pour « Apprendre, Vérifier, Estimer et Communiquer ».

Pour l’apprentissage, la HAS recommande chaudement aux professionnels de se former sur les outils qu’ils utilisent. Les IA peuvent faire gagner du temps, mais la plupart n’ont pas été formées sur les questions de santé. Les professionnels devraient ainsi s’interroger sur les modalités d’utilisation, les règles liées à la confidentialité des données personnelles ou encore effectuer des tests pratiques avant de se lancer dans une pratique quotidienne.

Sur la vérification, la HAS conseille la prudence face aux résultats renvoyés par l’IA : « le professionnel est attentif à la pertinence de son usage, à la qualité de sa requête et au contrôle du contenu généré ». Ce qui inclut de ne pas partager d’informations confidentielles et de considérer chaque réponse comme une proposition et non une vérité. La fiabilité des réponses de l’IA ne pouvant par définition être garantie (approche probabiliste), elles peuvent contenir des erreurs : valeurs et unités des quantités chiffrées, noms des médicaments, etc. On l’a vu récemment dans nos propres tests, l’IA peut se tromper lourdement dans la méthode de calcul.

L’estimation concerne l’analyse régulière de l’adéquation entre les besoins et les résultats. Les professionnels de santé sont ainsi invités à réinterroger sa pratique : des corrections ont-elles été nécessaires ? Si oui, à quelle fréquence ? L’outil est-il simple d’utilisation ? A-t-il pu être intégré dans des flux de travail existants ? En somme, la HAS souhaite que les professionnels s’interrogent sur les gains apportés face aux contraintes.

Enfin, pour la communication, la Haute Autorité est claire : les professionnels devraient échanger avec les patients autour de l’usage de l’IA. L’autorité leur recommande également de favoriser les retours d’expérience avec d’autres utilisateurs et développer « une démarche de transparence autour des typologies de données partagées, de l’adhésion au sein de sa structure et des impacts organisationnels ».

Le danger des mauvaises pratiques

De manière générale, la HAS souhaite que chaque usage de l’IA générative soit « conscient, supervisé et raisonné ».

Cependant, même si elle peut « devenir une alliée » quand elle est « bien maitrisée », l’autorité pointe également les dangers inhérents à son utilisation. Elle met en garde contre les erreurs pouvant survenir dans les réponses envoyées, notamment quand elles se fondent sur des données non vérifiées. Surtout, elle pointe les hallucinations, soit des informations fausses mais qui peuvent paraitre convaincantes. 

Outre les dangers propres à l’IA elle-même, la HAS signale de mauvais comportements chez les professionnels eux-mêmes, dont l’utilisation d’informations confidentielles dans les requêtes, expliquant les conseils sur la communication avec les patients.

Dans l’ensemble, l’autorité évoque un potentiel prometteur sur l’ensemble de ces technologies. Elle ne parle d’ailleurs pas uniquement des interfaces questions/réponses des chatbots, mais aussi d’autres outils devenus très courants : transcriptions de conversations lors de consultations, synthèses de littérature scientifique, création de documents illustrés pour expliquer des parcours médicaux-sociaux, préremplissage de documents administratifs, traductions de textes pour des personnes non-francophones, etc. Tous peuvent faire gagner du temps (voire beaucoup), mais le risque d’erreur est le même dans tous les cas de figure dès que l’outil utilise l’IA générative.

Enfin, outre les erreurs, les professionnels ont tout intérêt à se former pour s’acclimater à des concepts centraux de l’IA générative. Par exemple, les réponses peuvent varier dans le temps, notamment en fonction de la version du modèle et des données utilisées pour l’entrainement. La qualité de la réponse peut aussi fortement varier selon le soin apporté à la question (prompt).

Pour les personnes intéressées, la HAS a donc publié deux versions de ses recommandations : une complète d’une quinzaine de pages (PDF), et une concise rassemblant les principales informations sur une seule page (PDF). Administration publique oblige, la HAS a également publié un rapport sur l’élaboration de son guide et les méthodes utilisées (PDF).

Votre PC est trop vieux pour Windows 11 ? Méfiez-vous de cet outil piégé !

5 novembre 2025 à 11:30
Flyoobe

La fin de Windows 10 pousse des millions d'utilisateurs vers des outils pour forcer la mise à jour vers Windows 11, comme Flyoobe. Mais son développeur alerte : un faux site distribue une version piégée, remplie de malwares. Le piège se referme sur ceux qui tentent d'échapper aux restrictions de Microsoft.

[Présentation] Corsair NAUTILUS RS LCD Module : un écran personnalisable pour moderniser votre AIO

Par :Wael.K
5 novembre 2025 à 09:50

Corsair élargit sa gamme d’accessoires avec un produit spécifiquement conçu pour ses systèmes de refroidissement liquide NAUTILUS RS. Le NAUTILUS RS LCD Module n’est pas un écran universel : il s’agit d’un capot de pompe remplaçable, exclusivement compatible avec les AIO NAUTILUS 240 et 360 RS ARGB et RS non ARGB. Son objectif est simple : offrir aux possesseurs de ces modèles la possibilité d’ajouter un écran IPS de 2,1 pouces sans remplacer l’ensemble de leur AIO.

Ce module, proposé à 59,99 €, se connecte via un port USB 2.0 interne (9 broches) et requiert le logiciel Corsair iCUE pour exploiter toutes ses fonctions. L’idée est de prolonger l’expérience visuelle et fonctionnelle des refroidisseurs NAUTILUS RS, en intégrant un affichage personnalisable similaire à celui des gammes supérieures, comme les iCUE LINK TITAN ou ELITE LCD XT, mais à un coût bien plus contenu.

Cette approche s’inscrit dans la volonté de Corsair de rendre ses innovations accessibles, sans compromis sur la qualité perçue ni sur la cohérence de son écosystème. Découvrons le!

Emballage et présentation du Corsair NAUTILUS RS LCD Module

Le Corsair NAUTILUS RS LCD Module est livré dans un emballage compact au design sobre, fidèle à la ligne de présentation des accessoires de la marque. Le carton brun affiche en façade un dessin du module et la mention du modèle, tandis que l’arrière reprend les principales caractéristiques dans plusieurs langues : écran IPS 2,1 pouces, installation sans outil et compatibilité exclusive avec les AIO NAUTILUS RS et NAUTILUS RS ARGB.

corsair nautilus lcd rs module box recto
corsair nautilus lcd rs module box verso

À l’intérieur, le module repose dans un logement en carton rigide qui le maintient fermement en place. On y trouve le capot LCD, un câble USB 2.0 interne à 9 broches ainsi qu’un guide d’installation rapide. L’ensemble est simple mais bien protégé, dans la continuité du soin habituel que Corsair apporte à ses produits.

Corsair NAUTILUS RS LCD Module

Le module existe en deux coloris, noir et blanc, afin de s’accorder avec la finition du refroidisseur déjà installé. Nous avons eu l’occasion d’examiner la version blanche lors du test du Corsair Air 5400, signé Arnaud, où le module s’intégrait parfaitement au ton clair du châssis et à l’esthétique générale du montage. Ce souci d’harmonisation renforce la cohérence visuelle de la gamme NAUTILUS.

CORSAIR Air 5400 écran LCD (4)
corsair nautilus lcd rs module 01 test pause hardware

Installation et compatibilité

L’installation est probablement l’un des points les plus réussis de ce module. Elle ne nécessite aucun outil : il suffit de retirer le capuchon d’origine de la pompe et de clipser le module LCD à la place.

corsair nautilus lcd rs module installation 02
corsair nautilus lcd rs module installation 01
corsair nautilus lcd rs module 0102
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Un détrompeur assure un positionnement parfait, évitant tout risque d’erreur lors de la manipulation. La connexion se fait ensuite via un câble USB 2.0 interne, à brancher sur le connecteur 9 broches de la carte mère, en veillant à respecter le sens du fil d’alimentation (rouge sur la broche +5 V).

corsair nautilus lcd rs module 01 9 broches usb 2 connecteur

La compatibilité est limitée : le module fonctionne avec les NAUTILUS RS 240 et 360, qu’ils soient en version standard ou ARGB.

Lire notre test du AIO CORSAIR NAUTILUS 360 RS ARGB
  • corsair nautilus lcd rs module installation 04

Une fois le module connecté et le PC redémarré, le logiciel iCUE détecte automatiquement l’écran comme un nouveau périphérique.

icue corsair nautilus lcd rs module 01

iCUE : un centre de contrôle complet

Le Corsair NAUTILUS RS LCD Module révèle tout son potentiel une fois intégré dans iCUE. L’écran IPS affiche une résolution de 480×480 pixels avec un rafraîchissement à 30 Hz et une luminosité de 600 cd/m². Ces caractéristiques offrent une image nette, bien contrastée et parfaitement lisible, même dans un boîtier RGB très lumineux.

  • icue corsair nautilus lcd rs module 05
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  • icue corsair nautilus lcd rs module 03
  • icue corsair nautilus lcd rs module 02

Depuis le tableau de bord iCUE, il est possible de personnaliser entièrement le contenu affiché : monitoring en temps réel (températures CPU/GPU, vitesse de pompe, vitesses de ventilateurs), image statique, logo personnel, GIF animé ou même capture de flux sensoriel.

Corsair a également prévu un mode mémoire permettant d’afficher une image par défaut lorsque le logiciel iCUE n’est pas en cours d’exécution, par exemple au démarrage du PC. Les options incluent la rotation de l’image, la gestion de la luminosité et le réglage de la fréquence d’images, pour un rendu adapté à chaque configuration.

corsair nautilus lcd rs module demo 06

À qui s’adresse ce module ?

Le NAUTILUS RS LCD Module s’adresse principalement aux utilisateurs qui possèdent déjà un AIO de la gamme NAUTILUS RS et qui souhaitent lui apporter une touche plus moderne. Plutôt que de changer tout le système, Corsair offre ici une mise à niveau visuelle et fonctionnelle, sans impact sur les performances thermiques. C’est une option idéale pour les amateurs de monitoring ou de builds personnalisés, qui veulent suivre les températures de leur processeur ou afficher un visuel original directement sur le bloc-pompe.

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CORSAIR Air 5400 RGB (1)

Les créateurs de contenu ou les monteurs vidéo, souvent attentifs à l’aspect esthétique de leur setup, y verront un moyen de rendre leur configuration plus attrayante à l’écran. D’un point de vue pratique, la lisibilité des données système sur l’écran IPS se révèle aussi utile qu’élégante.

Photos et aperçu visuel

Les démonstrations observées dans iCUE mettent en valeur la précision des couleurs et la réactivité de l’affichage. L’écran affiche des animations fluides, sans effet de traînée visible. Les images haute résolution sont rendues avec une bonne fidélité chromatique, grâce à la profondeur de couleur 24 bits (16,7 millions de teintes). Corsair a bien travaillé l’intégration : le module épouse parfaitement la base de la pompe, et le câble USB reste discret une fois installé.

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corsair nautilus lcd rs module demo 02
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Conclusion

Le Corsair NAUTILUS RS LCD Module s’impose comme une évolution naturelle et cohérente pour la série NAUTILUS. Simple à installer, doté d’une finition soignée et parfaitement reconnu dans iCUE, il apporte une touche premium à un AIO déjà équilibré. L’écran IPS offre une belle luminosité et une restitution fidèle des couleurs, suffisante pour du monitoring ou des animations légères.

Proposé à 59,99 €, le module se distingue par son excellent rapport qualité-prix, surtout pour ceux qui possèdent déjà un NAUTILUS RS. S’il n’apporte aucun gain thermique, il marque des points sur la qualité d’affichage, la facilité d’installation et l’intégration logicielle, trois aspects qui définissent sa valeur ajoutée réelle.

En définitive, il s’agit d’une mise à niveau esthétique et fonctionnelle réussie, qui rend l’expérience Corsair plus personnalisable sans surcoût excessif. Une approche fidèle à la philosophie de la marque : rendre le haut de gamme accessible, sans concession sur la qualité ni la cohérence de l’écosystème.

Surprise : Windows 11 recevra bien une mise à jour 26H1 dans quelques mois

5 novembre 2025 à 11:40

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Boulanger casse le prix de ce moniteur gaming Samsung OLED ultra-fluide (180 Hz, 0,03 ms) lors du pré-Black Friday 

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Le pré-Black Friday est la meilleure excuse pour changer d’écouteurs ou de barre de son ! Voici notre top 10 des meilleures offres sur l’audio

5 novembre 2025 à 11:30

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5 novembre 2025 à 11:30
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