GNT : le top des actualités de la semaine qu'il ne fallait pas manquer

Comme chaque dimanche, retrouvez le top des actualités de la semaine sur GNT.
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Un article signé GOODTECH.info
Sorti l’été dernier, l’Energizer H67G (Android) revient sur le devant de la scène cet été avec un positionnement tarifaire agressif. Ce smartphone 5G au look solide séduit sur le papier : batterie de 4900 mAh, certification IP68, triple capteur photo […]
L’article Energizer H67G : un smartphone 5G robuste, endurant… et plus séduisant qu’il n’y paraît est apparu en premier sur Goodtech.
Plus lourd, plus cher, plus chaud : le toit vitré coche toutes les mauvaises cases. Et pourtant, difficile d'y échapper dans les voitures actuelles. L'éditorial Watt Else du 24 juillet avait envie de mettre un coup de projecteur sur cet équipement qui n'a pas que des avantages.
Sur l'ordinateur de bureau, Linux connaît une croissance notable outre-Atlantique, jusqu'à dépasser les 5 % de part de marché, ce qui est inédit.
C'est peut-être la nouvelle bataille médiatique qui va occuper les États-Unis : le premier épisode de la saison 27 de South Park porte en lui tout le nécessaire pour faire sortir le président américain de ses gonds.
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Des chercheurs de l’Université de Waterloo ont créé UnMarker, un outil qui efface les watermarks des images IA comme si c’était du Tipp-Ex numérique. Et ça marche sur absolument tous les systèmes de watermarking existants.
Ces fameux watermarks invisibles que Google, Meta et compagnie nous vendent comme LA solution miracle contre les deepfakes viennent de se prendre une grosse claque. Andre Kassis et Urs Hengartner, deux chercheurs canadiens, ont développé cet outil qui peut supprimer n’importe quelle marque de provenance en quelques minutes seulement, avec juste une carte graphique Nvidia A100 de 40 GB. Leur recherche détaillée a été présentée au symposium IEEE sur la sécurité et la confidentialité et le principe est assez malin.
Au lieu d’essayer de comprendre comment fonctionne chaque système de watermarking (ce qui serait un cauchemar), UnMarker cherche simplement les variations spectrales inhabituelles dans les images. Comme si vous cherchiez les endroits où quelqu’un a écrit à l’encre invisible sur une feuille… Pas besoin de savoir ce qui est écrit, juste de trouver où c’est écrit et de l’effacer.
D’ailleurs, les résultats sont édifiants puisque quand ils ont testé leur outil sur différents systèmes comme Stable Signature de Meta ou StegaStamp, le taux de détection des watermarks est tombé sous les 50%. Et sur SynthID de Google ? Il est passé de 100% à seulement 21% de détection. Autant dire que c’est mort.
L’outil fonctionne en deux étapes selon le type de watermarking. Je vous explique… Pour les méthodes qui modifient les détails fins de l’image, il applique des ajustements ciblés sur les hautes fréquences autour des bords et des textures. Et pour celles qui altèrent la structure globale, il introduit des perturbations subtiles sur des motifs de pixels plus larges. Tout ça sans que l’image ne change visuellement d’un poil.
Le code est même disponible sur GitHub pour ceux qui veulent tester. Ça prend littéralement deux minutes max pour traiter une image, et ça tourne offline sur votre machine. Pas besoin d’API, pas besoin de connaître les paramètres internes du watermark, rien. Bref, c’est universel.
En gros, avec cet outil, toute la stratégie de l’industrie tech pour lutter contre les deepfakes vient de prendre un sacré coup. La Maison Blanche avait obtenu des engagements de sept géants de la tech pour investir massivement dans ces technologies de watermarking et là on peut dire que ce sont des millions de dollars partis en fumée.
Andre Kassis l’explique très bien dans l’interview qu’il a donnée au Register. Le problème, c’est qu’on a mis la charrue avant les bœufs. On s’est excités sur cette technologie sans vraiment réfléchir à sa sécurité. Et ce n’est pas la première fois que des chercheurs tirent la sonnette d’alarme. En 2023, des universitaires du Maryland avaient déjà prévenu que les techniques de watermarking ne fonctionneraient pas. Plus récemment, en février, des chercheurs affiliés à Google DeepMind et l’Université du Wisconsin-Madison ont conclu qu’aucun système existant ne combinait robustesse, infalsifiabilité et détectabilité publique.
Alors oui, c’est inquiétant surtout qu’on ne peut plus vraiment faire confiance à ce qu’on voit… Alors maintenant qu’on découvre que la principale défense qu’on nous proposait est aussi efficace qu’un château de cartes face à un ouragan, y’a de quoi déprimer…
Les deepfakes restent aussi une menace énorme, et on n’a toujours pas de solution fiable pour les détecter. D’ailleurs, si vous cherchez des outils de détection de deepfakes, sachez qu’ils existent mais restent limités face à l’évolution constante des techniques de falsification. Bref, on continue à investir des millions dans ces technologies alors qu’on sait pertinemment qu’elles sont cassables, mais comme c’est devenu une industrie énorme, c’est dur de remettre le génie dans sa bouteille…
Pour finir sur une note un peu moins déprimante, cette recherche nous rappelle une leçon importante : la sécurité doit toujours passer en premier. Alors avant de s’emballer sur une nouvelle technologie “révolutionnaire”, il faudrait peut-être d’abord se demander comment elle pourrait être détournée… En attendant, continuez à vous méfier de tout ce que vous voyez en ligne car Watermark ou pas, la prudence reste votre meilleure défense contre fausses images / vidéo.
Bon, si vous êtes du genre à balader votre casque Sony WH-1000XM6 partout en ville, j’ai une mauvaise nouvelle. Des chercheurs viennent de découvrir que n’importe qui à 10 mètres de vous peut transformer vos écouteurs en dispositif d’écoute. Et ça concerne aussi JBL, Bose, Marshall et plein d’autres marques populaires.
La société de cybersécurité allemande ERNW a mis le doigt sur des vulnérabilités critiques dans les puces Bluetooth fabriquées par Airoha, un fournisseur taïwanais dont les composants équipent une tonne de casques et écouteurs qu’on adore tous. Le problème c’est que ces puces ont un protocole propriétaire qui permet d’accéder directement à la mémoire RAM et flash des appareils, sans authentification, sans appairage, sans rien du tout.
Concrètement, un pirate qui se trouve dans votre périmètre Bluetooth peut donc activer discrètement le micro de votre casque même quand il est inactif (mais allumé), écouter vos conversations, récupérer votre numéro de téléphone, votre historique d’appels et même voir ce que vous écoutez. Le plus flippant dans l’histoire, c’est que les chercheurs ont démontré qu’on pouvait créer un malware capable de se propager automatiquement d’un appareil à l’autre, façon virus zombie pour casques audio.
Les vulnérabilités en question portent les doux noms de CVE-2025-20700, CVE-2025-20701 et CVE-2025-20702, avec des scores de gravité allant jusqu’à 9.6/10 pour la plus critique, autant dire que c’est du sérieux. Pour vous donner une idée de l’ampleur du désastre, voici la liste des appareils confirmés comme vulnérables : les Sony WH-1000XM4, XM5 et XM6, les WF-1000XM3, XM4 et XM5, les Link Buds S, les Bose QuietComfort Earbuds, les Jabra Elite 8 Active, plusieurs modèles JBL et Marshall… Bref, probablement ce que vous avez sur les oreilles en ce moment.
Alors avant que vous ne jetiez vos écouteurs par la fenêtre, respirez un coup. Pour exploiter ces failles, il faut quand même un bon niveau technique et être physiquement proche de la cible. On n’est pas dans un scénario où le premier script kiddie venu peut pirater tous les casques du métro. Mais les chercheurs d’ERNW précisent que ça reste une menace sérieuse surtout pour des cibles de choix comme des journalistes, des diplomates ou des dirigeants d’entreprise.
Ce qui est particulièrement agaçant dans cette affaire, c’est qu’ERNW a signalé les vulnérabilités à Airoha le 25 mars 2025, mais la boîte n’a répondu que le 27 mai. Un SDK corrigé a été envoyé aux fabricants début juin, mais maintenant c’est à chaque marque de créer et distribuer des mises à jour firmware pour chaque modèle concerné. Et connaissant la vitesse à laquelle ces géants de l’électronique déploient leurs updates… on n’est pas sortis de l’auberge.
Alors en attendant que Sony, Bose et compagnie se bougent les fesses, qu’est-ce qu’on peut faire ?
Déjà, si vous êtes une personnalité publique ou si vous bossez sur des trucs sensibles, évitez d’utiliser vos casques Bluetooth dans les lieux publics. Et pour le commun des mortels, restez vigilants et guettez les mises à jour firmware de vos appareils. Vous pouvez aussi désactiver le Bluetooth quand vous ne l’utilisez pas, même si je sais que c’est chiant avec des écouteurs sans fil.
Pour ceux qui veulent vraiment être tranquilles, il reste toujours la bonne vieille solution du casque filaire. C’est has-been, mais au moins personne ne peut transformer vos Sennheiser IE 200 en micro-espion à distance. Parfois les vieilles solutions restent les plus sûres…
Encore une fois, nos gadgets connectés préférés peuvent se retourner contre nous. Entre les failles dans les routeurs, les caméras de surveillance hackables et maintenant nos casques audio qui peuvent nous espionner, on n’est pas sorti de l’auberge… Mais bon, on va pas revenir au baladeur cassette non plus donc restez juste prudents et mettez à jour vos appareils dès que possible.
Mais bordel, on attend quoi pour se réveiller en France ?
Microsoft vient littéralement d’avouer devant le Sénat français qu’ils ne pouvaient PAS garantir que nos données restent bien chez nous. Et cela sous serment devant nos sénateurs probablement en pleine digestion.
Et on fait quoi ? Et bah RIEN.
C’était le 18 juin dernier, qu’Anton Carniaux, directeur des affaires publiques et juridiques de Microsoft France, a été auditionné par la commission d’enquête sénatoriale sur la commande publique. La question était simple : “Pouvez-vous nous garantir, sous serment, que les données des citoyens français ne peuvent pas être transmises au gouvernement américain sans l’accord explicite du gouvernement français ?”
Sa réponse ?
“Non, je ne peux pas le garantir.” BOUM. Voilà. C’est dit. Mais bon, apparemment à par moi, ça ne dérange personne.
Le Cloud Act, cette loi américaine de 2018, donne en effet le pouvoir au gouvernement US de récupérer TOUTES les données stockées par des entreprises américaines. Peu importe où elles sont physiquement.
Vos données médicales chez Microsoft Azure en France ? Les Américains peuvent les demander. Vos documents administratifs sensibles ? C’est pareil. Vos secrets industriels ? Allez, cadeau ! Et le pire dans tout ça c’est qu’on le sait depuis des années. Le Cloud Act est incompatible avec le RGPD européen puisque l’article 48 du RGPD dit clairement qu’aucune décision d’une juridiction étrangère ne peut forcer le transfert de données sans accord international. Mais le Cloud Act s’en tape royalement.
Et pendant ce temps, qu’est-ce qu’on fait en France ? Et bien on signe des contrats à 74 millions d’euros avec Microsoft pour l’Éducation nationale. On leur confie les données de santé des Français via le Health Data Hub. On migre nos administrations sur Microsoft 365. C’est du suicide de nos données personnelles, purement et simplement.
Et les excuses de Microsoft sont pathétiques : “On résiste aux demandes infondées”, “On demande à rediriger vers le client”…etc. Mais à la fin, s’ils reçoivent une injonction légale américaine, ils DOIVENT obéir. Point final.
Et ne me sortez pas l’argument du “ça n’est jamais arrivé” car c’est exactement ce qu’on disait avant Snowden, avant PRISM, bref, avant qu’on découvre l’ampleur de la surveillance américaine ou encore de l’existence des tribunaux secrets. Donc le fait que ça ne soit pas encore arrivé ne veut pas dire que ça n’arrivera pas. Surtout avec Trump au pouvoir.
La solution existe pourtant… Des hébergeurs français, des clouds européens : OVH, Scaleway, et des dizaines d’alternatives qui ne sont PAS soumises au Cloud Act. Mais non, on préfère donner nos millions à Microsoft parce que c’est “plus pratique” ou que parce que “tout le monde fait ça”.
Alors c’est quoi la prochaine étape du coup ? On va attendre qu’un scandale éclate ? Que les données médicales de millions de Français se retrouvent entre les mains de la NSA ? Que des secrets industriels français soient “mystérieusement” récupérés par des concurrents américains ? AWS et Google font exactement la même chose d’ailleurs. Ils tentent de nous rassurer avec leurs “clouds souverains” mais c’est du pipeau car tant qu’ils sont américains, ils sont soumis au Cloud Act, c’est aussi simple que ça.
Ce qui me rend dingue, c’est qu’on a TOUTES les cartes en main. L’Europe est un marché énorme et on pourrait imposer nos conditions, exiger de vraies garanties, développer nos propres solutions…etc… Mais non, on préfère se coucher devant les GAFAM et devant les Etats-Unis.
Il est temps je pense de dire STOP et d’arrêter ces contrats débiles avec des entreprises qui ne peuvent même pas garantir la protection de nos données. Ce serait bien de soutenir les acteurs européens du cloud, de respecter l’article 48 du RGPD et de commencer à construire notre souveraineté numérique au lieu de la brader. Parce que là, on est en train de donner les clés de la maison à des gens qui nous disent en face qu’ils pourront les filer à leur gouvernement quand il le demandera.
C’est complètement con, non ?
Source : The Register
L’Internet Archive vient de décrocher le statut de Federal Depository Library. Hé oui, cette institution qui archive le web depuis presque 30 ans fait maintenant partie du programme officiel des bibliothèques fédérales américaines. Le Government Publishing Office (GPO) leur a remis la médaille, et franchement, il était temps.
Il faut savoir que le programme Federal Depository Library existe depuis 1813 et à l’époque, c’était pour distribuer des documents papier aux bibliothèques à travers les États-Unis. Et comme maintenant, en 2025, ce ne sont quasiment plus que des archives numériques, c’est normal que l’Internet Archive devienne la première organisation 100% numérique à rejoindre ce club très select.
Pour ceux qui ne connaissent pas (vraiment ?), l’Internet Archive c’est cette organisation à but non lucratif qui fait tourner la Wayback Machine. Vous savez, ce truc magique qui vous permet de retrouver à quoi ressemblait n’importe quel site web en 2007. Mais c’est bien plus que ça puisqu’ils archivaient déjà des documents gouvernementaux depuis des années… et maintenant c’est officiel !
Le timing est assez dingue quand on y pense car en octobre dernier, l’Internet Archive s’est fait défoncer par des cyberattaques massives. Ils ont perdu 31 millions de comptes utilisateurs dans la nature et quelques mois plus tard, paf, reconnaissance fédérale. Brewster Kahle, le fondateur, n’a d’ailleurs pas caché sa joie en déclarant que ça reconnaissait leur rôle crucial dans la préservation de l’information publique. Le mec archive le web depuis 1996, il peut bien savourer un peu.
Et sinon, qu’est-ce que ça change ??? Et bien d’abord, l’Internet Archive devient une source reconnue par l’Etat pour les documents gouvernementaux. Les chercheurs, les journalistes, et tous ceux qui ont besoin d’accéder à l’info publique ont maintenant un point d’accès reconnu par l’État. C’est énorme pour la transparence démocratique. Et puis il y a le côté préservation. Avec ce statut, l’Internet Archive peut désormais recevoir et archiver directement les publications gouvernementales sans avoir besoin de passer par des circuits compliqués ou de se demander si c’est légal. Ils font partie du système maintenant !
Le gouvernement américain reconnaît enfin ce que tout le monde savait déjà : l’Internet Archive fait un boulot indispensable. Combien de fois vous avez utilisé la Wayback Machine pour retrouver un article disparu ou vérifier une info ? Moi, c’est au moins une fois par semaine.
Cette reconnaissance arrive à un moment crucial à une époque où l’information disparaît à la vitesse de la lumière. Des sites ferment, des articles sont supprimés, des gouvernements changent et effacent leurs traces (coucou Trump !)… Alors avoir une institution qui préserve tout ça, c’est vital. Et pour l’équipe de l’Internet Archive, c’est aussi une forme de protection.
Bref, au final, je trouve que c’est une excellente nouvelle pour tous ceux qui croient en la liberté d’information et la préservation du patrimoine numérique. L’Internet Archive continue sa mission, mais avec la bénédiction de l’Oncle Sam. Et vu comment les choses évoluent sur le net, on va avoir besoin d’eux plus que jamais.
J’sais pas si vous avez vu, mais Microsoft vient de dévoiler quelque chose d’absolument incroyable. Non je déconne, c’est encore de la merde et ça s’appelle Windows Recall.
Windows Recall, pour ceux qui auraient raté le début du film, c’est cette fonctionnalité qui prend des screenshots de tout ce que vous faites sur votre PC toutes les quelques secondes. Microsoft nous vend ça comme un outil de productivité pour “retrouver vos pas numériques”. Perso, j’appelle ça Big Brother qui s’installe direct dans votre bécane.
Face à ce délire orwellien, les développeurs des apps qu’on utilise pour justement protéger notre vie privée ont décidé de ne pas se laisser faire. Signal a ouvert le bal en mai dernier, et maintenant Brave et AdGuard viennent grossir les rangs de la résistance.
AdGuard ne mâche pas ses mots et qualifie carrément la fonctionnalité de “dérangeante”. Ils expliquent que même avec les soit-disant garde-fous de Microsoft (authentification Windows Hello, chiffrement, et tout le tralala), il reste des failles béantes. Vous pouvez par exemple accéder à Recall avec juste votre code PIN après la config initiale… Pas de biométrie requise, et les filtres censés protéger vos données sensibles ratent régulièrement des trucs importants comme vos infos bancaires.
Le truc vraiment naze, c’est que Recall capture aussi les messages éphémères de Signal, Telegram ou WhatsApp. Comme ça, quand vous envoyez un message qui doit disparaître, et bien si votre correspondant a Recall activé, hop, c’est stocké pour l’éternité sur son PC. Sympa pour la confidentialité des messages “secrets”, non ?
Heureusement, Microsoft a quand même prévu des moyens pour que les développeurs puissent bloquer cette surveillance. Il y a donc deux méthodes principales : l’API SetInputScope et un flag DRM.
Signal a choisi l’option nucléaire avec le flag DRM. En gros, ils font croire à Windows que leur fenêtre diffuse du contenu protégé par copyright, ce qui empêche toute capture d’écran. C’est radical et ça a l’inconvénient que même les outils légitimes comme les lecteurs d’écran pour l’accessibilité ne peuvent plus fonctionner.
Brave a opté pour une approche plus fine avec l’API SetInputScope. Ils marquent toutes leurs fenêtres avec le flag IS_PRIVATE, ce qui dit à Windows “pas touche, c’est privé”. Comme ça, les captures d’écran normales continuent de marcher, et seul Recall est bloqué. La version 1.81 de Brave avec cette protection sortira le 5 août prochain.
AdGuard pousse le bouchon encore plus loin avec leur version 7.21. Quand vous activez la protection contre le tracking, ça bloque carrément Recall au niveau système. Le truc ne peut même plus se lancer, point barre.
Ce qui me fait marrer (jaune), c’est que les trois apps laissent quand même aux utilisateurs la possibilité de réactiver Recall s’ils le veulent vraiment. Genre “si vous tenez absolument à vous faire surveiller, libre à vous”. Mais bon, qui voudrait faire ça sérieux ?
Cette fronde des développeurs montre bien que les inquiétudes autour de Recall sont légitimes et Microsoft a beau promettre monts et merveilles niveau sécurité, je pense que personne n’est dupe.
Bref, y’a vraiment un sérieux problème avec ce truc…
Source : TechSpot
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Une nouvelle mise à jour, la 25.08, a été publiée le 23 juillet.
J'ai, comme d'habitude, mis à jour la traduction française.
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