Nous revenons vers vous pour discuter plus en détail du profil de base Intel, un sujet que nous avons déjà exploré précédemment et qui a un impact direct sur les performances des processeurs Intel Core i9-13900KS et i9-14900KS.

Ces CPU comptent parmi les plus performants du marché grand public. Cependant, leur haute performance vient avec son lot de défis : des utilisateurs signalent des instabilités et des crashs sur divers jeux basés sur l’Unreal Engine. Ces problèmes sont principalement liés aux réglages des cartes mères Z790, lesquelles permettent aux processeurs de dépasser leur puissance thermique nominale de 253W.

Pour y remédier, les principaux fabricants de cartes mères que sont Asus, MSI et Gigabyte ont publié des mises à jour de BIOS qui visent à verrouiller la consommation des processeurs K et KS de 13e et 14e génération dans les limites fixées par Intel. D’ailleurs, comme nous l’avons évoqué il y a 10 jours, Intel blâme les fabricants pour l’instabilité des CPU Core i9 13900k/14900k

Le site spécialisé Expreview a voulu tester l’efficacité de ces mesures correctives et leur impact sur les performances. Voici ce qu’il faut en retenir.

Des profils « Intel Baseline » qui limitent sévèrement la consommation CPU

Asus, MSI et Gigabyte ont opté pour des approches différentes mais qui visent toutes à ne pas dépasser une consommation CPU de 253W sur les Core i9 :

• Asus a ajouté un profil baptisé « Intel Baseline » qui modifie plusieurs réglages liés à la gestion de l’énergie : désactivation du ASUS MultiCore Enhancement, passage du SVID Behavior en mode Intel Default, ajustement des limites de courant IA/SA CEP et IA TDC
• MSI ne propose pas de nouveau profil automatique mais un guide pour ajuster manuellement deux paramètres : « CPU Cooler Tuning » qu’il faut passer en mode « Boxed Cooler (PL1 253W) » et « CPU Lite Load Control » à remettre sur « Intel Default »
• Gigabyte adopte une approche similaire à celle d’Asus en ajoutant un profil « Intel Baseline », accessible depuis le sous-menu « Advanced CPU Settings > Turbo Power Limits » qui ajuste les limites de puissance PL1/PL2 en plus du courant maximal

Profil de base Intel testé avec plusieurs cartes mères

Pour mesurer précisément l’impact de ces changements, Expreview a réalisé une batterie de tests avec et sans le profil de base Intel sur trois configurations :

• Core i9-14900KS + carte mère Asus ROG Maximus Z790 Hero
• Core i9-14900KS + carte mère MSI MEG Z790 Godlike
• Core i9-14900KS + carte mère Gigabyte Z790 Aorus Pro

Premier constat, les performances en mode monococur ne sont quasiment pas affectées. Par contre, dès qu’on sollicite fortement tous les cœurs, les scores s’effondrent :

• Avec la carte mère Asus, CBR23 multicœurs chute de 10%, de même que Corona Benchmark (-10%) ou V-Ray (-8%). Pire, sur 3DMark CPU Profile, la différence atteint -14,5% avec le nombre maximum de threads !

• Même punition sur la plateforme MSI avec un recul moyen de 10% sur la plupart des tests multicœurs, voire davantage sur certains benchmarks gourmands comme CBR23 multicœurs (-13%)

• Du côté de Gigabyte, la dégringolade est un peu moins marquée, de l’ordre de 8% en moyenne, mais avec quand même près de 10% de perdu sur Blender ou V-Ray

Des différences en termes de température et de consommation

Si Asus, MSI et Gigabyte parviennent tous les trois à maintenir la consommation des processeurs Core i9-14900KS dans l’enveloppe des 253W, on note quelques écarts au niveau des températures relevées :

• La plateforme Asus se montre la plus froide avec seulement 70°C en moyenne et un package power stabilisé à 215W grâce au profil Intel Baseline
• Sur la carte MSI, la température grimpe à 75°C pour une consommation CPU mesurée à 253W
• Gigabyte fait un peu moins bien avec 79°C en moyenne et des pointes à 81°C, pour un package power de 235W, soit un peu plus que ses concurrents

Trop tôt pour enterrer les Core i9 Raptor Lake Refresh ?

En l’état, force est de constater que pour garantir une stabilité optimale, Asus, MSI et Gigabyte ont dû fortement brider leurs cartes mères Z790, ainsi que les processeurs Intel Core i9-13900KS et i9-14900KS. Résultat, des performances en recul de 8 à 14% sur les applications intensives multicœurs par rapport à une configuration non bridée. De quoi décevoir les utilisateurs à la recherche d’un maximum de puissance !

Expreview souligne néanmoins quelques différences entre les constructeurs :

• Asus propose le profil le plus équilibré avec un bon rapport performances/température
• MSI mise sur la simplicité avec seulement 2 paramètres à ajuster
• Gigabyte préserve un peu mieux les performances, mais au détriment de la chaleur dégagée

La rédaction regrette l’impact important de ces mesures sur les performances mais reconnait qu’elles sont nécessaires pour assurer une stabilité sans faille. Elle espère cependant que des optimisations plus fines pourront être trouvées à l’avenir pour minimiser les pertes. Intel devrait en dire plus en mai sur les causes profondes de ces instabilités et les moyens d’y remédier.

D’ici là, plusieurs questions restent en suspens :

• Intel parviendra-t-il à corriger ces défauts de jeunesse sur les prochains stepping de Raptor Lake Refresh ?
• Les utilisateurs vont-ils se détourner de la plateforme à cause de ces problèmes ?

Une affaire à suivre de près donc. Car ce qui se joue ici, c’est l’avenir des plateformes ultra haut de gamme d’Intel. Après une sortie en fanfare, les Core i9-13900KS et i9-14900KS risquent de déchanter…

TerraMaster est une marque professionnelle spécialisée dans la fourniture de produits de stockage pour les particuliers et les entreprises. Via une campagne Kickstarter la marque a récemment lancé le D8 Hybrid, un stockage hybride RAID composé de 4 baies HDD/SSD SATA + 4 emplacements SSD M.2 NVMe. Une configuration idéale pour les configurations RAID 0/1/JBOD, les emplacements 3 et 4 et les SSD M.2 NVMe

Jusqu’à 128 To de stockage, sur deux types de support avec le TerraMaster D8 Hybrid

Nous trouvons un stockage pouvant monter jusqu’à 128 To brut, via quatre disques durs/SSD SATA (jusqu’à 24 To chacun) et quatre SSD M.2 2280 NVMe (jusqu’à 8 To chacun), ce qui permet d’étendre de manière considérable l’espace de stockage des ordinateurs Windows, Mac ou Linux.
Il est possible de définir manuellement l’emplacement de stockage de ses données en fonction du type et de la fréquence d’utilisation. Ce qui permet de garantir un accès rapide aux données chaudes en les stockant sur les SSD à haute vitesse. Tandis que les données froides seront stockées sur les disques durs.

Le TerraMaster D8 Hybrid prend en charge divers formats de système de fichiers : notamment NTFS, APFS, EXT4, FAT32 et exFAT. Ce dernier format permet de gérer des fichiers volumineux, mais permet surtout de lire les disques durs formatés exFAT d’être lus et écrits sous Windows, Mac, et certains NAS. Ce qui est pratique pour facilement partager et échanger ses données entre différents appareils.
Via un bouton de commutation manuel, le D8 Hybrid permet de définir rapidement le mode RAID souhaité. Il prend en charge quatre modes de réglage matériel : SINGLE, JBOD, RAID 0 et RAID 1.

Connecter le TerraMaster D8 Hybrid à son NAS est très simple. Il suffit de le connecter au port USB de son NAS, et l’on profite au maximum d’un espace de stockage jusqu’à 128 To.

Pour celles et ceux qui seraient intéressés, le TerraMaster D8 Hybrid est encore disponible via la campagne Kickstarter pendant encore 29 jours. Le tarif affiché ? 199 $ au lieu de 299 $.

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Voici le boîtier PC Antec C5 ARGB Black & White. Le nouveau boîtier est doté d’un superbe panneau en verre trempé permettant une vue à 270 degrés sans entrave grâce à une liaison transparente entre la façade et la paroi latérale gauche obtenue par une technique de biseautage du verre à 45 degré.

Le ANTEC C5 ARGB profite également d’une bande lumineuse ARGB au niveau de la façade, d’une conception sans outil, d’un châssis à double chambre et d’une prise en charge des cartes graphiques de la série RTX 40. Il prend en charge les cartes mères à connexion arrière de nouvelle génération, les ASUS BTF et MSI Zero Project pour un aspect propre et fluide.

Le C5 ARGB a un châssis à double chambre. La chambre secondaire comporte une zone d’alimentation et 95 mm d’espace de gestion des câbles. Le C5 ARGB est livré avec 7 ventilateurs ARGB PWM de 120 mm préinstallés, 3 en bas, 3 sur le support latéral et 1 à l’arrière du châssis et un contrôleur ARGB et PWM pour les contrôler et les synchroniser à partir du bouton LED du boîtier ou de la carte mère.

Le ANTEC C5 ARGB prend en charge des radiateurs en haut et en bas de 360 ​​mm et des radiateurs latéraux de 280 mm avec un dégagement total de 75 mm pour ces derniers. Il sera possible de monter un combo ventilateur/radiateur en haut du boîtier. Cependant, il n’y aura plus que 35 mm d’espace pour les barrettes mémoire. Le C5 ARGB peut accueillir jusqu’à 10 ventilateurs de 120 mm simultanément avec possibilité de mettre des ventilateurs de 140 mm sur le côté et en haut.

Spécifications techniques de l’ANTEC C5 ARGB :

Spécification principales :

• Prise en charge de carte mère ATX, Micro-ATX, ITX,
• Facteur de forme : moyen tour,
• Matériau du boîtier : acier, plastique, verre,
• Matériau de la fenêtre latérale : verre trempé de 4 mm,
• Ports d’E/S : alimentation, bouton de commande LED, USB 3.0 x2, Type-C 3.2 Gen 2×1, MIC x1, HD-Audio x1,
• Dimensions du boîtier (PxLxH) : 469x285x400mm.

Compatibilité et dégagements :

• Hauteur maximale du refroidisseur de processeur : <160 mm,
• Longueur maximale du GPU : <410 mm,
• Longueur maximale de l’alimentation : (câble inclus) <240 mm,
• Espace de routage des câbles : <90 mm.

Prise en charge des ventilateurs :

• Haut : 120 mm x 3 / 140 mm x 2,
• Côté : 120 mm x 3 / 140 mm x 2,
• Fond : 120 mm x 3,
• Arrière : 120 mm x 1.

Ventilateurs inclus :

• 3 ventilateurs inversés P12 R PWM ARGB 120 x 25 mm (côté),
• 3 ventilateurs inversés P12 R PWM ARGB 120 x 25 mm (en bas),
• 1 ventilateur P12 PWM ARGB 120 x 25 mm (arrière).

Les spécifications des ventilateurs préinstallés de la série P12 diffèrent de la version commerciale

Prise en charge des radiateurs :

• Haut : Jusqu’à 360 mm,
• Côté : Jusqu’à 280 mm,
• En bas : jusqu’à 360 mm,
• Arrière : Jusqu’à 120 mm.

Côté stockage, le ANTEC C5 ARGB a des supports pour deux disques 2.5″ et un disque 3,5″. Il est aussi possible d’en loger un (2,5″ ou 3,5″) en bas du boîtier.

Le boîtier est disponible sur Amazon.com à 129,99$.

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Amazon Prime Gaming en mai 2024 gâte ses membres avec des jeux gratuits, dont Tomb Raider et STAR WARS. Découvrez ces offres exclusives ! En effet, Les membres Amazon Prime ont accès chaque mois à une sélection de jeux vidéo gratuits via Prime Gaming, inclus dans leur abonnement qui offre de nombreux autres avantages comme la livraison gratuite, des réductions exclusives et du divertissement de qualité.

À l’occasion du « May the 4th », la journée Star Wars, Prime Gaming propose du contenu spécial pour les amateurs de la franchise culte. Les abonnés pourront notamment réclamer gratuitement LEGO STAR WARS III: The Clone Wars sur PC et y jouer via le service de cloud gaming Amazon Luna dans les pays éligibles. LEGO STAR WARS: The Complete Saga sera aussi jouable sur Luna tout au long du mois de mai.

Vous aimeriez découvrir tous les secrets de Prime Gaming et Amazon Luna ? Jetez un œil à notre Guide ultime sur Prime Gaming !

Jeux populaires sur Luna via Prime Gaming en mai 2024

Les membres Prime des États-Unis, Canada, Allemagne, France, Italie, Espagne et Royaume-Uni auront aussi accès gratuitement en mai à plusieurs jeux populaires sur Luna, comme Fortnite Battle Royale, Fortnite Festival, Trackmania, LEGO Fortnite et Rocket Racing. Fallout 3 et Fallout: New Vegas dans leurs éditions Game of the Year seront aussi disponibles pendant 5 mois.

La liste des jeux PC disponibles sur Prime Gaming en mai 2024

Au-delà de l’offre Luna, 9 jeux PC seront à réclamer sur Prime Gaming en mai :

• Le 2 mai : Tomb Raider GOTY Edition (code GOG) qui permet de redécouvrir les origines de Lara Croft, et LEGO STAR WARS III: The Clone Wars (code GOG) pour s’amuser dans l’univers Star Wars.
• Le 9 mai : Dark City: International Intrigue (appli Amazon Games), un jeu d’objets cachés captivant ; Fallout 3 GOTY (GOG) et son monde post-apo immersif ; Nine Witches: Family Disruption (Amazon Games) pour une aventure surnaturelle et humoristique ; et Electrician Simulator (Epic Games Store) pour s’initier au métier d’électricien.
• Le 16 mai : 100 Doors Games: Escape from School (Legacy Games), un jeu d’évasion et d’énigmes, et The Forgotten City (Amazon Games) où vous devrez élucider le mystère d’une cité antique.
• Le 23 mai : Spirits of Mystery: Whisper of the Past (Amazon Games) vous entraîne dans une sombre histoire d’esprits.

Rendez-vous chaque jeudi sur Prime Gaming pour obtenir vos jeux gratuits et suivez les réseaux sociaux du service pour ne rien manquer des dernières offres, contenus et concours à venir

Si vous êtes fan de Streaming de jeux , notre guide simple et pratique sur Twitch Prime est fait pour vous !

Excellente nouvelle pour les amateurs de EA Sports FC 24 ! Amazon marque l’événement chaque mois en dédiant un PRIME GAMING FC 24, avec des récompenses uniques réservées aux membres Prime. Apprenez à obtenir sans peine vos packs gratuits, qui incluent des joueurs exceptionnels, des objets de consommation, et même des cartes de Héros en prêt.

CONTENU DU PACK PRIME GAMING FC 24 #7 ( valable jusqu’au 20 mai 2024)

Articles inclus :

• 8 joueurs Or rares (non échangeables)
• 2 choix de joueur avec au moins 81 OVR (non échangeable)
• 12 consommables rares
• 1 icône de base avec au moins 88 OVR (prêt de 20 matchs)

PROCÉDURE POUR RÉCLAMER VOS RÉCOMPENSES :

1. Connectez votre compte Twitch à votre compte Amazon Prime
2. Liez votre compte EA Sports à Twitch
3. Cliquez sur l’icône Prime Gaming dans Twitch et réclamez vos récompenses
4. Lancez FC 24, allez dans la « Boutique » d’Ultimate Team
5. Cliquez sur « Mes Packs » pour y trouver vos récompenses prêtes à être ouvertes

PÉRIODE DE VALIDITÉ

Saisissez l’occasion d’enrichir gratuitement votre équipe avec le Pack Prime Gaming FC 24 #7, disponible jusqu’au 20 mai 2024. Ne ratez pas cette chance unique !

Grâce à Prime Gaming, boostez votre expérience EA Sports FC 24 chaque mois avec des récompenses exclusives. Un partenariat avantageux pour progresser dans le mode Ultimate Team sans dépenser un centime de plus. Alors, qu’attendez-vous pour récupérer vos packs gratuits ?

Et pour tout savoir sur les autres avantages de Prime Gaming, les nouveautés à venir et l’actualité des jeux gratuits, consultez notre article complet Amazon Prime Gaming : Le Guide Ultime. Bon match !

Selon les dernières fuites et rumeurs de Digital Foundry, la future console de jeu de Sony, la PlayStation 5 Pro, codée « Trinity« , pourrait proposer un GPU aux performances accrues avec une fréquence maximale de 2,35 GHz. Cette information révèle une amélioration significative par rapport aux spécifications précédemment anticipées, qui plaçaient la fréquence maximale du GPU à 2,18 GHz.

La PS5 Pro devrait comporter deux Shader Engines et une configuration de 30 WGP (Work Group Processor) ou 60 unités de calcul, ce qui représente une configuration assez robuste pour les jeux de nouvelle génération. L’augmentation de la fréquence du GPU à 2,35 GHz pourrait théoriquement permettre d’atteindre jusqu’à 36,1 TFLOPS de performance en pointe, contre 33,5 TFLOPS initialement estimés.

PS5 PRO

En outre, la console bénéficiera également de caches plus importants pour accélérer le ray tracing, avec notamment une augmentation du cache GLOV de 16 KB à 32 KB. Cependant, il est important de noter que la fréquence maximale de 2,35 GHz ne sera pas toujours atteignable en fonction des conditions d’utilisation. Pour plus d’infos sur les rumeurs qui circulent, vous pouvez lire notre article La PS5 Pro de Sony arrive en 2024 : une console surpuissante pour des graphismes à couper le souffle.

Bien que la PlayStation 5 Pro n’ait pas encore de date de sortie officielle, il est fortement pressenti que Sony pourrait dévoiler cette nouvelle console en novembre 2024, juste à temps pour la période des fêtes de fin d’année, créant ainsi une forte anticipation parmi les amateurs de jeux vidéo.

Il reste à voir comment ces améliorations de performance se traduiront en termes d’expérience utilisateur et si la nouvelle console pourra répondre aux attentes croissantes des joueurs en matière de graphismes et de fluidité des jeux. En attendant, les fans de PlayStation attendent avec impatience plus de confirmations et de détails de la part de Sony.

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Selon des informations rapportées par le site chinois UDN, NVIDIA prévoirait de lancer sa prochaine génération de cartes graphiques gaming, les GeForce RTX série 50, à partir du quatrième trimestre 2024. Cependant, la stratégie différerait des lancements des séries 30 et 40, avec la mise sur le marché uniquement du modèle phare RTX 5090 pour fin 2024, d’après les informations recueillies auprès de Moore’s Law is Dead.

D’après UDN, des partenaires de NVIDIA tablent sur une arrivée au 4ème trimestre des RTX 5090 et 5080, gravées par TSMC en 4NP (4 nm+). Des analystes estiment que cette nouvelle génération dopera les livraisons et le prix moyen. Mais NVIDIA n’aurait pas encore figé les spécifications et se montrerait prudent, après l’annulation de la RTX 4080 12 Go.

Lancement en solo de la GeForce RTX 5090 pour fin 2024 ?

Moore’s Law is Dead ajoute que cette approche plus conservatrice de NVIDIA pour les RTX 50 viserait à écouler les stocks de RTX 40, tout en priorisant les GPU Blackwell pour l’IA, avec une meilleure marge sur le haut de gamme. Les modèles s’étaleraient du GB202 au GB207 avec des bus de 128 à 512 bits, du PCIe 5.0, du DisplayPort 2.1 et de la GDDR7 jusqu’à 24 Gbit / 28 Gbps.

Si ces informations se confirment, il faudra sans doute attendre 2025 pour voir arriver le reste de la gamme RTX 50. NVIDIA semble vouloir rééquilibrer avec précaution son offre entre gaming et calcul après plusieurs années mouvementées. Affaire à suivre !

Logitech G, la branche Gaming de la célèbre marque de périphériques, célèbre le 10e anniversaire de la légendaire souris de jeu G502. Au cours de sa première décennie d’existence, cette dernière est devenue l’une des souris de jeu les plus appréciée de la communauté des joueurs en raison de ses performances de premier plan, de ses technologies innovantes et de ses avancées en matière de conception.
Au fil des années, la marque a beaucoup travailler pour optimiser le confort au maximum et conserver une très grande réactivité. Tous ses efforts leur ont permis de porter leur création comme étant la souris de jeu la plus vendue au monde, avec plus de 21 millions d’exemplaires vendues depuis son lancement.

Conception de la G502 : le confort, la réactivité, l’équilibre

Dès la naissance du projet, la conception a donné la priorité aux besoins des joueurs et lors de chaque mise à jour, l’équipe d’ingénieurs et de concepteurs de Logitech G a quantifié les facteurs qui influencent le gameplay et a donné vie à ces idées avec la G502 originale et tous les modèles depuis.

L’histoire

En 2014, Logitech G lance le premier modèle, Proteus Core de son petit nom, avec une personnalisation approfondie, des performances de suivi et une réactivité inégalée, ainsi qu’un confort maximal.

Elle sera immédiatement suivie dès 2016 par une première déclinaison : la Proteus Spectrum, offrant aux joueurs jusqu’à 16,8 millions d’options de couleurs d’éclairage personnalisables.

L’année 2018 a vu le lancement du modèle HERO, conçue avec le nouveau capteur Logitech G HERO 25K, le capteur le plus performant à l’époque.

En 2019, nouvelle mise à niveau avec la technologie sans fil LIGHTSPEED pour une réactivité et une fiabilité incroyable et le chargement sans fil POWERPLAY ; pour finir en 2022, elle a été mise à niveau avec la G502 X, la G502 X LIGHTSPEED et la G502 X PLUS avec des commutateurs optiques-mécaniques hybrides LIGHTFORCE.

« Chez Logitech G, nous sommes très fiers de ce que nous avons accompli au cours de la dernière décennie« , a déclaré Ujesh Desai, directeur général de Logitech G. « Ce qui distingue la G502 – une technologie de pointe et un design innovant – est devenu la norme pour les souris de jeu dans tous les domaines.« 

« Lorsque nous l’avons imaginée, l’équipe de concepteurs et d’ingénieurs a dû quantifier les facteurs qui influençaient le plus le gameplay tout en proposant une souris dotée d’une multitude de fonctionnalités supérieures. La souris G502 originale était dotée d’un capteur puissant, extrêmement précis, qui pouvait être adapté à différente surface d’utilisation. »

Ergonomie, déclinaison, personnalisation

Le design de cette souris et son ergonomie générale qui vise à optimiser sa prise en main en s’adaptant à un maximum des besoins des joueurs et en offrant un positionnement optimal des boutons, a grandement contribué à son succès commercial.

Toutes les différentes déclinaisons au fil des ans ont elles aussi maintenu cette aura bien présente dans le milieu.

Mais les différentes personnalisation ou collaboration qui ont vu le jour, comme par exemple la magnifique édition STAR WARS présenté fin 2023 ont achevé sont encrage dans milieu gaming comme une souris référence.

Participez à la célébration !

Actuellement, les joueurs qui commanderont une souris G502, recevront également un tapis de souris gratuit. De plus, tout au long de l’année, Logitech G organisera des activations spéciales, des cadeaux et des célébrations autour de leur souris star.

Notamment depuis le 2 mai, Logitech G s’associe à PUBG : BATTLEGROUNDS de KRAFTON pour proposer un duo mondial : un tournoi avec de nombreux produits et prix, dont la possibilité de gagner des souris G502 X PLUS et des tapis de souris G640 édition limitée. Le tournoi sera diffusé en direct sur la chaîne Twitch officielle de PUBG : BATTLEGROUNDS. Pour vous inscrire, rendez-vous sur le canal Discord officiel de Logitech G.

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Dans un revirement spectaculaire, Sony Interactive Entertainment a annoncé l’annulation de sa politique controversée exigeant la liaison d’un compte PlayStation Network (PSN) pour jouer à Helldivers 2 sur PC. Cette décision intervient à peine un jour après l’annonce initiale, face à la pression massive de la communauté des joueurs. Retour sur cet épisode rocambolesque.

Rappel de la situation : Une obligation PSN mal accueillie

Hier, nous vous informions de la décision polémique de Sony d’imposer la création et la liaison d’un compte PSN pour continuer à profiter de « Helldivers 2 » sur Steam . Une annonce qui avait suscité l’incompréhension et la colère des joueurs PC, notamment en raison des nombreux pays non couverts par le PSN et des antécédents de failles de sécurité du réseau.

Les réactions n’ont pas tardé : en quelques heures, le jeu s’est retrouvé submergé par plus de 55 000 avis négatifs sur Steam. Un véritable raz-de-marée de mécontentement qui a visiblement fait trembler les dirigeants de Sony.

Helldivers 2 sur PC : Sony capitule en moins de 24 heures

Face à cette levée de boucliers, Sony Interactive Entertainment a dû se rendre à l’évidence : sa décision était tout simplement intenable. Dans un communiqué publié aujourd’hui (lien vers la source), le géant japonais a annoncé l’annulation pure et simple de l’obligation de lier un compte PSN pour jouer à Helldivers 2 sur PC.

Helldivers fans — we’ve heard your feedback on the Helldivers 2 account linking update. The May 6 update, which would have required Steam and PlayStation Network account linking for new players and for current players beginning May 30, will not be moving forward.

We’re still…

— PlayStation (@PlayStation) May 6, 2024

Un revirement aussi soudain qu’inattendu, qui contraste avec les propos confiants du community manager d’Arrowhead hier. Ce dernier minimisait alors l’impact de la grogne des joueurs, affirmant que leur mécontentement ne changerait rien à la politique de Sony. Il aura suffi d’une journée pour lui donner tort.

Une victoire pour les joueurs, une leçon pour Sony

Ce retournement de situation est avant tout une victoire pour la communauté des joueurs. En faisant front commun et en exprimant massivement leur désaccord, ils ont réussi à faire plier l’un des plus grands éditeurs de jeux vidéo au monde. Une démonstration éclatante du pouvoir des consommateurs à l’ère du numérique.

"We're still learning how far we can push the line. We will reconvene in the board room on Monday to devise a draconian plan to push past the line slower so that it is less noticeable next time."
– Sony PlayStation, "still learning" since 1994

— GamersNexus (@GamersNexus) May 6, 2024

Pour Sony, cet épisode a des airs de leçon d’humilité. La firme a clairement sous-estimé l’attachement des joueurs à leur liberté, et leur capacité à se mobiliser pour la défendre. Espérons que ce camouflet lui serve d’avertissement pour ses futures décisions stratégiques.

Un dénouement heureux, mais des questions en suspens

Alors Sony, on a voulu jouer au plus malin en imposant ses règles, mais on a vite déchanté devant la révolte des joueurs ? Retenir la leçon pour la prochaine fois : les gamers d’aujourd’hui ne sont pas des moutons, et n’hésiteront pas à vous le faire savoir haut et fort si vous essayez de leur forcer la main.

En attendant, ils peuvent savourer leur victoire et continuer à défendre la Terre contre les hordes extraterrestres d' »Helldivers 2″, sur PlayStation comme sur Steam. Et si jamais l’envie vous prend d’en découdre sur PC, n’hésitez pas à consulter notre guide des meilleurs réglages pour une expérience optimale (lien interne) !

Mais !!! Si l’annulation de cette mesure controversée est une excellente nouvelle pour les joueurs de Helldivers 2 sur PC, elle laisse tout de même quelques questions en suspens. Sony va-t-il revoir plus largement sa politique de liaison des comptes PSN, notamment pour les prochaines exclusivités PlayStation Studios sur PC comme « Ghost of Tsushima Director’s Cut » ? Les joueurs seront vigilants.

En attendant, nous saluons ce retour à la raison, même si votre volte-face ressemble plus à une retraite qu’à un acte de sagesse. Les joueurs se souviendront de cet épisode au moment d’acheter vos prochains jeux !

Il y a maintenant une quinzaine de jours, CORSAIR a mystérieusement présenté sa nouvelle machine prémontée appartenant à la gamme de PC compacts ONE. Le nouveau PC, le CORSAIR ONE i500 nous est apparu au cours d’une courte vidéo ne dévoilant que deux lignes latérales et un logo central grâce à un éclairage de couleur blanche.

Aujourd’hui, le mystère est levé et nous allons pouvoir en exclusivité vous présenter le nouveau fleuron de la gamme ONE de CORSAIR. Le i500 arrive pour répondre aux besoins des joueurs exigeants et des professionnels de la création de contenu. C’est un ordinateur « puissant et peu encombrant, doté de composants de nouvelle génération pour que vous puissiez créer, travailler et jouer sans compromis ».

Dans ce test approfondi, nous allons plonger dans l’examen détaillé du CORSAIR ONE i500. Celui-ci va nous révéler ses caractéristiques techniques, ses performances et sa conception. Nous évaluerons également sa capacité à répondre aux exigences des jeux les plus gourmands, des tâches de production de contenu intensives et des besoins quotidiens de l’informatique multitâche.

Tout comme les gammes précédentes, le nouveau CORSAIR ONE i500 va utiliser une solution de refroidissement liquide pour calmer les ardeurs du CPU et du GPU de nouvelle génération. Car, sous le capot, nous n’avons pas moins qu’un Intel Core i9-14000K (test ici) et une NVIDIA GeForce RTX 4080 SUPER (voir notre dossier spécial concernant cette carte) accompagnés de 32 Go de mémoire DDR5. Cependant, pour cette nouvelle mouture, la marque aux trois voiles va plus loin et propose également une version plus musclée avec le même processeur, mais épaulé d’une RTX 4090 et de 64 Go de mémoire DDR5.

Sur le papier, les composants proposés font rêver ! Avec une solide garantie de deux ans, le CORSAIR ONE i500 pourra en plus arriver sur vos bureaux en deux habillages avec un Wood Dark (eh oui il y a du bois dans ce PC compact) et un Wood Bright, donc une version foncée et une version claire. Attention, cependant, pour accéder au saint Graal, il faudra débourser près de 4200 euros pour la version « moins musclée » et 5499,99 euros pour la version la plus puissante.

Un prix qui donne le tournis ! Mais un prix justifié ? Découvrons le CORSAIR ONE i500.

CORSAIR ONE i500 : emballage & Contenu

L’emballage du CORSAIR ONE i500 est très épuré. Nous avons, au centre, le logo et la marque accompagnés de logos et d’étiquettes donnant certaines consignes de sécurité et surtout précisant que le colis est lourd, et est à manipuler à deux personnes. Seule une étiquette code barre mentionne le nom du produit.

Le spectacle se joue à l’intérieur de ce premier emballage car à l’ouverture, nous avons un deuxième carton équipé d’une poignée permettant de soulever l’ensemble sans trop de difficulté. Ce deuxième carton est accompagné d’une planche d’instructions concernant le déballage et d’un guide de garantie.

Déballage du CORSAIR ONE i500

Voici donc l’écrin contenant le CORSAIR ONE i500 ! Ici, nous avons une photographie en noir et blanc du dernier PC compact de la marque. Il est sobrement entouré de petits symboles évoquant les triangles chers à CORSAIR et chapeauté du nom de la gamme CORSAIR ONE. Sur les côtés nous avons deux poignées permettant un assemblage sécurisé de l’ensemble du packaging. Le logo et la marque sont à nouveau présents.

Un des petits côtés comporte en plus deux étiquettes. L’une mentionne la version contenue (Dark Walnut « noyer foncé ») et l’autre nous donne des premières spécifications.

Voici les spécifications. Elles sont accompagnées de plusieurs codes barre.

Le CORSAIR ONE i500 repose dans un carton berceau muni de poignées et d’un bloc de mousse rigide pour maintenir une base ultra solide. Soucieux de l’impact écologique de la vente de ses produits, CORSAIR utilise une mousse EPE recyclée et reverse un dollar par PC ONE vendu à l’association One Tree Planted. Le PC compact est en plus recouvert d’un élégant tissu blanc et épais, et en plus chapeauté d’un autre bloc de mousse rigide.

Le CORSAIR ONE i500 est accompagné de plusieurs accessoires. Nous avons :

• Un support de casque à accrocher en haut du PC,
• Deux câbles d’alimentation (un européen et un anglais),
• Deux antennes WiFi.

À l’avenir, CORSAIR prévoit la sortie d’autres accessoires pour une harmonie idéale avec le CORSAIR ONE i500. Nous aurons un clavier CTSM80 avec une finition en bois de noyer ou d’érable, un repose-poignets lui aussi en bois de noyer ou d’érable et enfin un tapis de bureau conçu avec les fonds d’écran de CORSAIR ONE.

Extérieur du Corsair One i500

Voici le CORSAIR ONE i500. La marque change de cap et abandonne le design ultra moderne aux notes Sci Fi avec ses deux bandes latérales évocatrices des lignes du film Tron de son précédent PC compact i300. Nous sommes en présence d’un boîtier beaucoup plus sage et diablement élégant ! Pour rappel, ce CORSAIR ONE i500 sort en deux versions : foncée avec une façade en noyer et claire avec l’utilisation de bois d’érable afin de satisfaire un maximum d’utilisateurs. Le bois est certifié FSC et provient de produits 100% recyclés. Il pourra, à l’avenir, être échangé contre des panneaux entièrement en aluminium.

La version Wood Dark est visuellement ultra séduisante. La façade est composée de deux parties en bois séparées par une bande tactile avec différentes fonctions selon que l’on glisse le doigt dessus ou que l’on exerce un appui bref. Cette bande est en plus divisée en deux par le bouton d’alimentation arborant le logo de la marque en son centre. Les paroi latérales viennent englober avec douceur cette façade grâce à deux parties courbes non agressives. Le bas de la façade est relevé et permet de suggérer sans imposer le panneau des différents ports disponibles.

Ce panneau avant intègre un nombre de ports minimal, mais néanmoins suffisant pour une utilisation quotidienne. L’objectif est, là aussi, de proposer une esthétique non chargée et visuellement agréable. Nous avons :

• Un port 3,5 mm combo casque/micro,
• Deux USB-A 5 Gbps,
• Un USB-C 10 Gbps.

Nous voici sur les parois latérales. CORSAIR joue avec la symétrie et propose des panneaux latéraux identiques. Ils sont recouverts de tissu permettant la circulation de l’air tout en freinant l’insertion de poussières et autres impuretés. Nous l’avons dit, ce CORSAIR ONE i500 est bien sage visuellement, mais le mariage des différents matériaux est une réussite ! Ce PC compact est un bijou d’élégance et chacun aura le loisir de le placer où bon lui semble tant son design est adaptable à différents environnements.

Le reste du CORSAIR ONE i500 est entièrement en aluminium recyclé épais, gage d’une solidité à toute épreuve et expliquant en partie son poids conséquent. En arrière, nous retrouvons une disposition classique avec :

• Une large bande supérieure tactile avec une fonction d’éclairage actionnable avec un appui simple,
• Le panneau des E/S de la carte mère,
• Un espace agrémenté de petites ouvertures en forme d’étoiles à trois branches permettant l’évacuation de l’air chaud,
• Les différents ports de la carte graphique et deux emplacements d’extension supplémentaires,
• L’arrière de l’alimentation.

A l’arrière, la carte mère intègre un nombre conséquent de ports et de prises. Nous avons :

• Quatre ports USB-A 2.0 5 Gbps,
• Un port HDMI et un port DisplayPort,
• Un port USB-C 3.2 20 Gbps,
• Trois ports USB-A 3.2 10 Gbps,
• Un port Ethernet 2.5G,
• Deux prises pour antenne WiFi 6E,
• Les ports audio.

En dessous, nous avons donc les ports de la carte graphique comprenant un HDMI 2.1a et trois DisplayPort 1.4a. Nous remarquons le petit logo de la marque ZOTAC Gaming.

L’élégance de ce CORSAIR ONE i500 ne se situe pas qu’au niveau de la façade. En effet, au-dessus de ce boîtier compact, CORSAIR utilise l’aluminium recyclé pour un design très harmonieux évoquant à nouveau une étoile à trois branches.

Les lignes sont courbes, elles annihilent toute agressivité et proposent une esthétique tout en douceur. L’intérêt de cette paroi entièrement en aluminium va se situer également au niveau de l’absorption et de la dissipation de la chaleur.

En dessous, nous avons toujours une paroi en aluminium agrémentée d’ouvertures en étoile situées au niveau de l’alimentation. Le CORSAIR ONE i500 a en plus quatre importants pieds en caoutchouc antidérapant assurant une stabilité maximale à l’ensemble. La surface de ces pieds associée au poids de l’ensemble est telle qu’il est très compliqué de faire glisser le PC compact sur le bureau ! Au centre, nous avons une étiquette reprenant diverses informations et logos.

Pour le plaisir des yeux, voici quelques clichés montrant l’attention de CORSAIR portée à l’élaboration de ce ONE i500 ! La conception est remarquable, chaque élément est présenté de façon fine et élégante. Les finitions sont admirables et chaque matériau vient s’unir harmonieusement pour un ensemble remarquablement réussi !

Nous ne pouvons qu’admirer le soin apporté par la marque pour proposer un produit prémium avec des matériaux de haute qualité lui conférant une apparence luxueuse et une sensation de durabilité accrue. Le passage d’un matériau à un autre est sans défaut, le tissu ne souffre d’aucune couture visible, les parties en aluminium sont sans bavures et le tout témoigne du savoir faire de la marque en matière de création de produit de qualité. C’est un produit exceptionnel qui obligera tout fan de Hardware à s’extasier sans relâche.

Intérieur du CORSAIR ONE i500

Explorons l’intérieur de ce CORSAIR ONE i500. Pour rappel, nous avons la version intégrant un Intel Core i9-14900K et une ZOTAC RTX 4080 SUPER, tous les deux refroidis par AIO. Les deux précieux produits sont installés sur une carte mère B760M et épaulés de 32 Go de mémoire DDR5. Le CORSAIR ONE i500 est un PC compact qui mesure 391mm x 185mm x 300mm pour un volume de 22 litres. Il a donc fallu loger tout ce petit monde de façon optimisée.

L’exploration du CORSAIR ONE i500 va se faire en ôtant les parois latérales. La première paroi, recouverte de tissu, est aimantée. Elle vient se fixer à une deuxième paroi en aluminium et dispose de détrompeurs pour la disposer facilement. La deuxième paroi repose sur le bas du châssis et y est fixée grâce à deux vis.

Une fois enlevée, elle nous laisse découvrir trois ventilateurs sur deux zones. La première zone (en haut) va concerner le refroidissement du CPU et la deuxième (en bas), l’arrivée d’air frais sur le GPU. Les trois ventilateurs sont des CORSAIR AF120 Slim. Leurs spécificités incluent une vitesse de 600 à 2000 Tr/min avec une nuisance sonore évaluée entre 5 et 25.6 dB(A). La pression statique est évaluée entre 0,2 et 1.9mm-H2O et l’airflow de 13.4 à 56.3 CFM.

Les ventilateurs du haut sont installés sur un support à charnière. Ce support inclut un radiateur de 120 mm d’une épaisseur de 25 mm. La conception est ultra simple, les tuyaux sertis au radiateur ne sont pas gainés et se prolongent vers la tête de pompe qui nous fera immédiatement penser aux AIO iCUE LINK de la marque. Estampillé //ELITE sur le côté, non RGB (puisque pas de paroi en verre trempé sur le boîtier du CORSAIR ONE i500), ce corps de pompe est lui aussi esthétiquement très basique et ne comporte que le logo de la marque en son centre. Il viendra refroidir le Intel Core i9-14900K que nous avons testé à sa sortie.

Cependant, en sachant qu’un AIO de 120 mm peut supporter un TDP maximal de 200W, on peut s’interroger sur ses capacités à refreiner les ardeurs de l’Intel Core i9-14900K qui, à lui seul, peut développer jusqu’à 253W de puissance maximale (source Intel).

La carte mère sur laquelle repose le processeur est une MSI MAG B760M MORTAR WIFI, que nous avons également testée sur notre site. La série MAG est choisie pour sa robustesse et sa qualité. Arborant un style militaire, elle est pourvue d’un PCB à 6 couches de cuivre, d’un refroidissement efficace aux endroits stratégiques (dissipateurs larges avec pad thermique 7W/mK pour les VRM, du M.2 Shield Frozr pour les SSD), d’une alimentation 12+1+1 phases / DrMOS 75A, de slot PCIe Steel Armor pour supporter les cartes graphiques les plus lourdes et du BIOS UEFI CLICK BIOS 5 proposant un mode facile et avancé pour convenir à chacun.

À cette MSI MAG B760M MORTAR WIFI viennent s’ajouter deux barrettes de mémoire de la marque, des CORSAIR Vengeance DDR5-6000 32 Go (2×16).

Passons à la partie graphique ! Nous l’avons vu en explorant la paroi arrière du CORSAIR ONE i500, cette carte graphique est une ZOTAC. Et, grâce à l’étiquette ci-dessous, nous pouvons déterminer qu’il s’agit d’une ZOTAC GAMING GeForce RTX 4080 SUPER Trinity 16GB. Celle-ci dispose de 10240 cœurs CUDA et de 16GB de mémoire GDDR6X à 23 Gbps. Elle est capable d’atteindre une horloge boostée de 2550 MHz et nécessitera au moins une alimentation de 750 W puisqu’elle consommera un maximum de 320W en charge.

Le refroidissement est là aussi assuré par un AIO de CORSAIR. Le corps de pompe est identique à celui du CPU et est également estampillé //ELITE. Les tuyaux ne sont pas non plus gainés, mais ce coup-ci ils emmènent vers un radiateur de 240 mm surmonté par deux autres ventilateurs.

Enfin, pour alimenter le tout, CORSAIR équipe le ONE i500 d’une SF1000L. Cette alimentation SFX entièrement modulaire est conforme aux normes ATX 3.0 et PCIe 5.0. Idéale pour les PC compacts, elle ne mesure que 125 x 130 x 63,5 mm. Elle dispose d’un ventilateur de 120 mm, avec prise en charge du mode Zero RPM garantissant un fonctionnement pratiquement silencieux lorsqu’elle n’est pas soumise à une charge élevée.

Passons de l’autre côté du CORSAIR ONE i500. Pour visualiser cet espace, il suffit également d’ôter la paroi recouverte de tissu et la paroi en aluminium. CORSAIR a méticuleusement organisé les câbles sur une seule zone rendant cette partie visuellement très propre. Les branchements circulent du haut vers le bas et suivent un chemin équipé de plusieurs attaches velcro. Ici, il sera possible d’installer un SSD 2,5″ supplémentaire entre deux supports verticaux fixés à la plaque par deux vis.

Show Time : Le CORSAIR ONE i500 en action

Le teaser de CORSAIR nous montrait une des possibilités d’éclairage du ONE i500 avec deux bandes latérales et un logo central illuminés. À ceci s’ajoutent deux éclairages « underglow » situés tout en bas de chaque paroi latérale. L’ensemble renforce de façon maitrisée le côté prémium du PC compact en sublimant l’élégance déjà bien établie.

Les bandes latérales mettent en valeur les deux panneaux de bois avec un logo discret au centre d’une bande noire opaque. Non content de proposer un produit de qualité de par ses matériaux et son design hors normes, CORSAIR enfonce le clou avec une solution de gestion d’éclairage inhabituelle et ingénieuse.

En effet, cette bande noire centrale, scindant en deux la façade en bois et majorant la symétrie globale du CORSAIR ONE i500, est tactile. La partie supérieure de la bande change la couleur active de l’éclairage, et la partie inférieure de la bande contrôle l’effet RGB et les niveaux de luminosité. En faisant glisser le doigt vers le haut et vers le bas sur la partie supérieure de la bande du panneau avant, la couleur RGB du CORSAIR ONE i500 est modifiée.

Un appui sur la bande inférieure permet de modifier l’effet RGB du CORSAIR ONE i500. En maintenant le doigt en place sur la partie inférieure pendant environ 5 secondes, le panneau avant et l’éclairage « underglow » s’éteindront, laissant uniquement le bouton d’alimentation allumé. Enfin, en faisant glisser le doigt vers le haut et vers le bas de la bande inférieure, les niveaux de luminosité de l’éclairage du CORSAIR ONE i500 seront modifiés.

Pour une meilleure visibilité en cas d’environnement un peu sombre, la face arrière du CORSAIR ONE i500 est équipée de LED qui éclairent les connexions d’E/S arrière. Ces LED peuvent être activées en tapotant la partie supérieure du panneau arrière pour allumer ou éteindre la lumière. Si la lumière reste allumée, elle s’éteint automatiquement au bout de 20 secondes.

Aucune onomatopée ne sera assez représentative de l’effet provoqué sur votre humble rédacteur lors des premiers contacts avec ce CORSAIR ONE i500. Le poids conséquent du colis et le soin apporté à sa conception nous ont laissé perplexes dans un premier temps. Il nous a ensuite fallu un temps d’observation assez conséquent pour admirer toutes les subtilités visuelles de ce nouveau produit. C’est une observation banale et un peu simpliste mais ce CORSAIR ONE i500 est tout simplement beau.

Le mélange des matériaux et le soin apporté à leur association est une belle réussite. Nous l’avons dit mais nous tenons à le (re)souligner, ce PC compact ne souffre d’aucun défaut de construction. Le design est « chanmé » et sort de ce que la marque proposait avec le i300. Nous sommes en face d’un produit plus mature, plus élégant sans agressivité et incroyablement sexy sans toutefois être extravagant. L’éclairage présent mais retenu élève l’esthétisme de ce produit à un niveau rarement vu.

Oui ! Je crois qu’il est possible de tomber amoureux d’une machine (Ridley Scott ne se trompait pas dans son film culte Blade Runner) ! Plus sérieusement, ce CORSAIR ONE i500 est un produit qui saura à coup sûr charmer un bon nombre d’entre nous. Découvrons maintenant si les composants intégrés auront de quoi nous surprendre aussi de par leurs performances.

Bios & Logiciels du CORSAIR ONE i500

Le CORSAIR ONE i500 n’attend plus que votre petit doigt appuie sur le bouton Power pour se mettre en route. Prêt à l’emploi, il est disponible pour une utilisation immédiate. Voici un rappel de la configuration :

Bios

Le point de ralliement entre tous les composants installés dans ce CORSAIR ONE i500 est la carte mère MSI MAG B760M MORTAR WIFI. Le BIOS proposé est estampillé de la version E7E01IZ1.MC4 et date du 02/02/2024. Comme tous les BIOS proposés par les différents fabricants de cartes mères, nous avons une approche standard ou avancée. Voici quelques clichés du BIOS et des réglages possibles.

Au lancement, sur le bureau, CORSAIR propose deux logiciels maison : CORSAIR Dashboard et CORSAIR Diagnostic. Le premier n’était pas présent lors du test du CORSAIR i300.

CORSAIR Dashboard

Ce CORSAIR Dashboard va proposer un état du système avec la possibilité de modifier l’éclairage du CORSAIR ONE i500 (effet, couleur et niveau de luminosité) et une vue sur les températures du processeur et de la carte graphique ainsi que la vitesse des ventilateurs installés.

CORSAIR Diagnostic

Le CORSAIR Diagnostic, présent sur le i300, est une mine d’informations sur le système. Chaque élément est détaillé et il sera même possible d’effectuer un check-up du système ou de lancer des utilitaires Windows (classés par catégories). Véritable couteau suisse, ce logiciel permet aussi de visionner rapidement les températures du processeur et de la carte graphique et de relever les évènements particuliers sur un calendrier (erreurs potentielles, modifications des applications).

CORSAIR iCUE

On ne peut pas aborder les logiciels utilitaires sans parler d’iCUE. Malheureusement, notre CORSAIR ONE i500 n’était pas présent sur la liste des produits répertoriés par le logiciel. Seules les barrettes de mémoires apparaissent. Il sera possible de checker les températures et de gérer les profils XMP.

D’ailleurs CORSAIR nous a répondu sur la question sur l’absence de support iCue :

Notre objectif était que le CORSAIR ONE dispose d’un logiciel minimal qui personnalise de manière transparente l’éclairage de votre système et offre des informations de surveillance pour les ventilateurs et les lectures de température du système de refroidissement liquide, tout en maintenant une structure et un flux de phrases optimaux, ainsi qu’une cohérence et une pertinence accrues.

Gabriel Lopez, Senior Product Manager

CPU-Z

Un petit passage par le logiciel incontournable CPU-Z confirme bien évidemment la présence d’un Intel Core i9-14900K, de la carte mère MSI MAG B760M MORTAR WIFI, de la mémoire DDR5-6000 de CORSAIR (puces SK Hynix) et de la NVIDIA RTX 4080 SUPER.

Températures et bruit du CORSAIR ONE i500

Les tests ont été réalisés sans aucune intervention dans le BIOS ou modification matérielle du CORSAIR ONE i500.

Pour rappel, le Intel CORE i9-14900K est refroidi par un AIO avec radiateur de 120 mm et un ventilateur de 120 mm également. La carte graphique, une ZOTAC RTX 4080 SUPER est refroidie par un AIO avec radiateur de 240 mm et deux ventilateurs de 120 mm. Deux autres ventilateurs de 120 mm sont présents dans le système, en aspiration, pour participer à la circulation de l’air.

Nous avions évoqué notre scepticisme quant à l’efficacité d’un AIO de 120 mm pour le refroidissement du processeur d’Intel pouvant générer jusqu’à 253W en charge.

Au repos, pas de soucis de températures puisque le processeur ne développe que 3,35W et la carte graphique que 6W. Le bruit généré par l’ensemble du système n’est que de 36.4 dB(A), un bruit considéré comme agréable et correspondant à une environnement type chambre à coucher ou bureau calme.

En charge, les températures ont tendance à s’affoler un peu concernant le processeur. Comme le montre la capture d’écran ci dessous, ce dernier peut monter jusqu’à 98°. Il frôle la température critique établie par Intel qui est de 100° (température maximale autorisée dans la matrice du processeur). A ce niveau, le processeur a une consommation de 240W (-13W par rapport à la consommation max donnée par Intel), la pompe de l’AIO plafonne à 2300 Tr/min et le bruit généré est à 47.1 dB(A) (bruit d’une conversation dans la catégorie des bruits confortables). A ce niveau les fréquences d’horloge du processeur atteignent 5985 MHz pour les P-Core et 4394 MHz pour les E-Core.

La carte graphique, épaulée par son AIO de 240 mm s’en sort bien. Bien que développant une consommation de 313W en charge, elle n’atteindra que 64° au maximum.

Performances du CORSAIR ONE i500 : Tests et Analyses

Performances WiFi 6E

Le CORSAIR ONE i500 est fourni avec deux antennes WiFi, et la carte mère MSI MAG B760M MORTAR WIFI prend en charge la connexion WiFi 6E théoriquement capable d’atteindre des vitesses supérieures à 10 Gbps. Cependant, les débits réels dépendent de la vitesse et de la qualité de votre connexion internet ainsi que des performances de votre box/routeur.

Lors de nos tests, avec le routeur situé à quelques mètres sans obstacle, les débits étaient de 537,95 Mbps en réception et 596,76 Mbps en émission. Pour une utilisation standard ou intensive, le WiFi 6E du CORSAIR ONE i500 devrait convenir tant que votre connexion internet est suffisamment rapide. La carte mère dispose aussi d’un port Ethernet 2,5 Gbps permettant une connexion filaire plus stable si nécessaire.

Stockage du CORSAIR ONE i500 : SSD Nvme PCIe 4.0

Le stockage est assuré par un Samsung MZVL22T0HBLB-00B00. C’est le modèle PM9A1 (modèle OEM). Selon les spécificités fournies par Samsung, ce SSD PCIe 4.0 x4 NVMe M.2 a une capacité de 2 To et a des performances de 7000 Mo/s (lecture) et 5200 Mo/s (écriture).

Les performances relevées par CrystalDiskMark sont un peu en deçà des performances annoncées par Samsung.

Les températures au repos sont de 37° et atteignent 65° en charge. Bien que hautes en charge, nous sommes en dessous des températures critiques pour un SSD et ce SAMSUNG PM9A1 conviendra pour toute utilisation qu’elle soit professionnelle ou ludique.

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CORSAIR ONE i500 : Performances mémoire vive & cache

Le CORSAIR ONE i500 est équipé de mémoire CORSAIR Vengeance DDR5-6000 32 Go (2×16) 30-36-36-76.

Le kit VENGEANCE RGB 2 x 16 Go DDR5 6000 CL30 avec sa latence CL30 très basse parvient à obtenir de meilleures performances en lecture, atteignant 94 206 Mo/s, contre 91 420 Mo/s pour le kit G.Skill DDR5 6000 MHz CL40.

Le CORSAIR ONE i500 garde l’avantage en écriture par rapport au kit G.Skill DDR5 6000 MHz CL40, mais l’écart entre les deux est très faible. Le constat est le même en copie, mais avec une avance plus marquée.

Le test AIDA64 place les barrettes CORSAIR Vengeance DDR5-6000 au centre de nos résultats globaux, en cohérence avec les timings et les fréquences des autres mémoires testées.

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CORSAIR ONE i500 : Benchmarks de Productivité

PCMARK 10

Premier test qui va nous épauler dans l’analyse de ce CORSAIR ONE i500 : PCMARK 10. Ce bench propose un ensemble complet de tests qui couvrent une grande variété de tâches effectuées sur le lieu de travail moderne.

Le score total est de 9820. Le CORSAIR ONE i500 va se démarquer dans la catégorie Création de contenu numérique avec des scores importants dans le domaine de la photo ou de l’édition de vidéo.

Les scores obtenus en productivité et en tâches « essentielles » (vidéo conférence ou navigation Web) démontrent une aisance générale du CORSAIR ONE i500 dans ces domaines, mais toutefois se rapprochent des résultats obtenus avec le i300.

RealBench 2.56

RealBench est un logiciel de benchmark qui utilise des applications open source et un cryptage simple pour simuler des performances en situation réelle sur un PC. Ce benchmark est conçu pour montrer la différence avant et après une mise à niveau du PC, évaluer l’effet réel d’un overclocking ou d’un paramétrage différent du BIOS (source ASUS).

Sous Realbench, le processeur d’Intel suit les pas du Core i9-13900K, mais reste en retrait et obtient des scores inférieurs.

Bien que partageant une architecture similaire, le Core i9-14900K se distingue par ses fréquences d’accélération nettement plus élevées. Toutefois, il est important de rappeler que l’activation de ces fréquences supérieures n’est pas garantie dans un environnement thermiquement contraignant.

Il est donc légitime de se demander si le processeur n’est pas affecté par un Thermal Throttling causé par un refroidisseur AIO de 120 mm insuffisant, surtout pendant des benchmarks rigoureux qui poussent le processeur à ses limites de consommation, entraînant une régulation des fréquences d’horloge pour ne pas excéder la barre critique de 100 °C.

CrossMark

CrossMark est un benchmark multiplateforme natif facile à exécuter qui mesure les performances globales du système et sa réactivité à l’aide de modèles d’applications du monde réel. Ce benchmark, un peu à l’instar de PCMARK 10, va mesurer les performances du système sur trois catégories : « Productivité, Créativité et Réactivité ».

Le score global du CROSAIR ONE i500 est de 2550. Il atteint des niveaux supérieurs au CORSAIR i300. Là aussi, le score le plus élevé va se situer dans la catégorie « Créativité » indiquant une aisance plus importante en montage vidéo ou de la modélisation 3D poussés. Les scores de « Productivité » et de « Réactivité » sont cependant également satisfaisants et témoignent des performances globales du PC dans de nombreux domaines.

SPECviewperf

L’objectif du benchmark SPECviewperf est d’évaluer les performances graphiques et de calcul d’un système lors de l’exécution d’applications de modélisation et de rendu 3D professionnelles. Nous retrouvons des tests concernant la conception assistée par ordinateur (CAO), la modélisation et l’animation 3D, le rendu, la visualisation scientifique et médicale, etc.

Afin de comparer les performances du CORSAIR ONE i500 avec celles d’autres appareils, nous vous invitons à consulter la base de données officielle mise à disposition par l’éditeur. Vous y trouverez toutes les informations nécessaires pour évaluer les capacités de cette machine par rapport aux modèles concurrents et ainsi faire votre choix en toute connaissance de cause.

Cinebench

Cinebench est un benchmark populaire développé par Maxon, qui permet de tester les performances des processeurs en effectuant des rendus 3D complexes.

Il est couramment utilisé pour comparer les performances des différents processeurs du marché.

Sous Cinebench R23, le CORSAIR ONE i500 obtient un score impressionnant de 37 285 en multi-cœurs, se classant ainsi parmi les meilleurs. Cependant, il est à noter qu’il affiche une performance légèrement inférieure, de 3%, par rapport à notre Core i9-14900K ‘MTP 253W’, testé dans des conditions optimales avec un système de refroidissement robuste et une carte mère Z790.

Cette différence est donc prévisible. Lors du test de stress de 10 minutes, le score se stabilise autour de 35 000 points, principalement en raison du Thermal Throttling déjà mentionné. En mono cœur, il passe devant et se place en seconde position dans notre classement.

Blender

Le benchmark Blender est un outil conçu pour évaluer les performances d’un système informatique lors de l’exécution de tâches de rendu et de modélisation 3D. L’objectif principal est de mesurer la capacité de ce système à exécuter efficacement des tâches de rendu et de simulation complexes. Il met particulièrement l’accent sur les performances multi-cœurs.

Lors des tests réalisés avec le logiciel Blender, le CORSAIR One i500 a démontré des performances remarquables en se classant à une excellente 3ème position, talonnant de près les processeurs 14900K et 7950X.

CPU-Z

CPU-Z va également analyser le processeur sur des tâches variées en mono et en multi cœur mais le niveau de charge est plus modéré comparé à Cinebench par exemple.

Le résultat est aussi éloquent que Cinebench R23 avec une aisance particulière de l’Intel Core i9-14900K pour des tâches mono coeur avec un score de 934 points qui le fait passer en tête de notre classement.

En multicœurs, le CORSAIR ONE i500 recule juste derrière le i9-13900K, soulignant l’importance d’un refroidissement optimal pour des performances de pointe.

En effet, c’est le même constat que lors du test du CORSAIR i300, le nouveau PC de la marque va se montrer plus véloce sur des tâches mono cœur et un peu plus en retrait sur les tâches utilisant plusieurs cœurs, mais ce n’est pas étonnant de voir cela avec une machine compacte tel que le CORSAIR ONE i500.

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Performances 3D et Gaming du CORSAIR ONE i500

3DMARK

Avec sa ZOTAC GeForce RTX 4080 SUPER et son Intel i9-14900K, le CORSAIR ONE i500 devrait pouvoir nous permettre de jouer sans compromis.

Sous 3DMark Time Spy, le résultat est sans appel et le benchmark classe le CORSAIR ONE i500 en seconde position dans nos tests.

L’écart avec l’ASUS ROG STRIX Gaming RTX 4080 SUPER OC et la plus grosse carte d’AMD, la RX 7900 XTX, se joue à peu de points, mais la ZOTAC watercoolée du CORSAIR ONE i500 est devant avec 27176 points sous Time Spy et 13891 sous Time Spy Extreme.

Sous Fire Strike, le CORSAIR ONE i500 suit logiquement la ASUS ROG STRIX Gaming RTX 4080 SUPER OC.

Le score est de 43154 sous Fire Strike et de 31250 sous Fire Strike Extreme où les écarts avec les concurrentes sont moindres.

CORSAIR ONE i500 : Performances Jeux vidéo

Nous avons testé le CORSAIR ONE i500 dans neuf jeux (jeux utilisés pour tester nos cartes graphiques) et en trois résolutions.

Shadow of the Tomb Raider

Dans « Shadow of the Tomb Raider », le CORSAIR ONE i500 maintient une performance excellente avec 296 FPS en moyenne à 1080p et 250 FPS à 1440p. En 4K, il délivre 115 FPS, ce qui est encore très jouable pour un jeu graphiquement intensif.

Cyberpunk

Pour « Cyberpunk », le jeu tourne à 278 FPS en moyenne à 1080p, ce qui garantit une fluidité impeccable. À 1440p, la moyenne est de 204 FPS. Cependant, en 4K, les performances chutent à 87 FPS.

Control

« Control » montre des résultats similaires avec un exceptionnel 447 FPS à 1080p et un solide 276 FPS à 1440p. En 4K, le CORSAIR ONE i500 gère 133 FPS, assurant une expérience agréable même à cette haute résolution.

Metro Exodus

« Metro Exodus » fonctionne à la perfection, atteignant 460 FPS en 1080p et 400 FPS en 1440p. La résolution 4K affiche un score moyen impressionnant de 335 FPS !

Doom Eternal

« Doom Eternal » présente une fluidité extrême avec 531 FPS en 1080p et 487 FPS à 1440p. Même à 4K, le jeu est fluide à 351 FPS, montrant la robustesse du système dans un environnement de jeu rapide et exigeant.

The Division 2

Dans « The Division 2 », il y a un bon équilibre avec 384 FPS à 1080p et 310 FPS à 1440p. Le jeu en 4K est ultra fluide avec 154 FPS !

Red Dead Redemption 2

« Red Dead Redemption 2 », connu pour sa demande en ressources, tourne à 224 FPS à 1080p et 194 FPS à 1440p. En 4K, il tourne à 164 FPS, prouvant que le CORSAIR ONE i500 peut gérer des titres exigeants à des résolutions élevées.

GTA V

« GTA V » offre une expérience superbe avec 276 FPS à 1080p et 258 FPS à 1440p. À 4K, la performance reste haute avec 192 FPS, idéale pour ce monde ouvert.

Borderlands 3

« Borderlands 3 » fonctionne sans accroc à 395 FPS en 1080p et 278 FPS en 1440p. En 4K, les performances sont respectables avec 147 FPS, montrant que le CORSAIR ONE i500 peut exceller même sous des conditions de test intensives.

Quelle que soit la résolution, le CORSAIR ONE i500 va permettre de jouer très confortablement avec les détails poussés au maximum. Nous obtenons des scores supérieurs à 100 FPS en moyenne en 4K (sauf sous Cyberpunk où la moyenne est à 87 FPS). Bien évidemment, les résolutions inférieures ne viennent pas perturber les scores et le PC compact de CORSAIR assure comme un grand !

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Conclusion

Retrouvez tous nos tests ici

Les processeurs Intel de 13e génération (Raptor Lake-S) et 14e génération (Raptor Lake-S Refresh) sont au cœur d’une controverse grandissante concernant leurs performances et leur compatibilité avec les cartes mères. Le cœur du problème réside dans l’initiative d’Intel d’imposer un « Profil de base » (Intel Baseline Profile), récemment rebaptisé « Paramètres par défaut d’Intel » selon benchlife.info. Cette décision, qui doit être appliquée par les fabricants de cartes mères d’ici le 31 mai 2024, suscite l’inquiétude et la frustration parmi les fabricants et les consommateurs.

Toutefois, malgré la confirmation de plusieurs sources, veuillez prendre les informations suivantes avec des pincettes, car elles n’ont pas encore été publiées par Intel lui-même.

Le Profil de Base d’Intel : Une Approche Contre-Productive

Le Profil de base d’Intel vise à standardiser les paramètres du BIOS selon les recommandations du fabricant. Cependant, cette approche s’avère contre-productive, bridant significativement les performances des processeurs haut de gamme comme le Intel Core i9-14900K.

Sous le Profil de base, la puissance de boost (PL2) du i9-14900K est réduite de 253W à seulement 188W, limitant drastiquement sa capacité à maintenir des fréquences turbo boost élevées (jusqu’à 6.0 GHz) sur des périodes prolongées. D’autres paramètres clés comme Iccmax et Iccmax.app sont également revus à la baisse, restreignant davantage les performances.

En effet, la valeur PL2 du Core i9-14900K de 253W permet l’exécution de Turbo Boost à 6,0 GHz, mais après l’application du profil de base Intel, la valeur PL2 du Core i9-14900K est ramenée par défaut à 188W, quel que soit le modèle de Core i9-14900K et la carte mère à chipset Z690 ou Z790 utilisée.

Il est également amusant de constater que dans la proposition d’Intel, comme dans le kit de presse lors du lancement de la 13e génération, on trouve la fameuse ligne qui recommande de régler le PL1 à 253W pour obtenir les meilleures performances. Le profil de base Intel, qui est maintenant spécifié par défaut, vise à limiter complètement ces paramètres, de sorte que l’utilisateur doit alors agir manuellement. La puissance de base du processeur (PBP) reste à 125W et n’est pas modifiée.

Dans la plupart des cas, les paramètres d’alimentation pour les valeurs maximales d’Iccmax et d’Iccmax.app étaient auparavant de 307A et 245A, en plus du PL2 de 253W pour le Core i9-14900K. Mais après l’application du profil de base Intel et des nouveaux paramètres par défaut du BIOS, les valeurs maximales seront probablement abaissées à 249A et 200A par défaut, ce qui constitue une limitation assez importante qui devrait limiter considérablement les performances globales du processeur Core i9-14900K tant que vous utilisez les paramètres par défaut du BIOS.

Le PL4 passe des 420 watts actuellement rapportés à un maximum de 380 watts dans le profil Performance ou Extrême, mais reste au-dessus des 314 watts qui étaient autrefois utilisés en interne avant le lancement, mais qui n’ont jamais été appliqués de cette manière.

Dans la mise en œuvre actuellement prévue, la ligne de charge ACDC (parfois aussi appelée ligne de charge AC/DC) reste floue pour le moment. Chez les processeurs Intel, il s’agit pourtant d’un paramètre très important qui influence à la fois la stabilité et la consommation d’énergie et joue un rôle majeur dans la régulation de la tension du processeur, notamment en liaison avec l’alimentation électrique et la consommation d’énergie sous charge.

Ces paramètres sont particulièrement importants pour les overclockeurs qui veulent tirer le maximum de performances de leur système sans compromettre le matériel. Ils permettent un contrôle plus fin du comportement du processeur dans différentes conditions de charge, ce qui peut conduire à une meilleure stabilité des performances et potentiellement à des résultats d’overclocking plus élevés.

L’Impact sur les Fabricants de Cartes Mères et les Consommateurs

Cette situation place les fabricants de cartes mères dans une position délicate. Malgré leurs efforts pour concevoir des cartes mères haut de gamme capables de supporter des configurations exigeantes, l’adoption forcée du Profil de base rend ces capacités superflues et sous-exploitées.

Les consommateurs, en particulier ceux qui ont investi dans des processeurs de la série K, se sentent floués. Leurs attentes de performances optimales sont déçues, rendant leur investissement dans des cartes mères haut de gamme et des processeurs débloqués largement inutile.

Les Perspectives Futures et les Implications

Face au mécontentement croissant, Intel prévoit de faire une annonce officielle d’ici fin mai 2024. Beaucoup espèrent des clarifications, voire des ajustements de cette politique controversée.

La transition à venir vers la série Intel Core Ultra 2″ (Arrow Lake-S) pourrait être une opportunité pour Intel de rectifier le tir et de restaurer la confiance ébranlée de ses partenaires et clients. Cependant, cela nécessitera une réévaluation approfondie de l’approche du Profil de base et une meilleure prise en compte des attentes des utilisateurs en termes de performance et de flexibilité.

La Nécessité d’une Meilleure Collaboration et Communication

Pour surmonter ces défis, Intel doit impérativement revoir son approche du Profil de base. Une collaboration plus étroite avec les fabricants de cartes mères est essentielle pour développer des solutions qui répondent aux besoins de l’ensemble de l’écosystème.

De plus, une communication transparente avec les consommateurs est cruciale. Intel doit clairement expliquer les raisons derrière le Profil de base et travailler pour trouver un équilibre entre standardisation et flexibilité qui ne sacrifie pas les performances.

Biostar en avance

Biostar se distingue comme le premier fabricant de cartes mères à implémenter automatiquement le profil par défaut suite à l’installation d’un nouveau firmware, selon Uniko’s Hardware. Cette avancée élimine le besoin pour les utilisateurs de naviguer dans les paramètres de réglage pour ajuster manuellement les profils. De plus, pour ceux qui utilisent des processeurs de série K sur leur carte mère, l’augmentation de puissance à 253W ne sera effective qu’après une modification manuelle de ces paramètres.

Conclusion

Les problèmes entourant les processeurs Intel de 13e et 14e générations et le Profil de base mettent en lumière les défis auxquels le géant des semi-conducteurs est confronté. Pour maintenir sa position dominante sur le marché, Intel doit écouter les préoccupations de ses partenaires et clients, et adapter sa stratégie en conséquence.

Seule une réponse qui donne la priorité aux performances, à la transparence et à la collaboration permettra à Intel de regagner la confiance de l’écosystème et de continuer à innover de manière à satisfaire les attentes élevées des utilisateurs passionnés de technologie.

Les futurs processeurs Intel Core Ultra 200 « Arrow Lake » pour PC de bureau se dévoilent. Au menu : un léger recul des fréquences, mais des gains en IPC, jusqu’à 4 cœurs graphiques Arc et le support natif du Thunderbolt 4 sur le chipset Z890. Détails.

La bataille fait rage sur le marché des processeurs pour PC, et Intel compte bien reprendre la main face à AMD avec sa prochaine génération baptisée Arrow Lake-S. Gravée en 3nm chez TSMC ou 20A en interne selon les modèles, cette 15e génération de CPU Intel Core sera commercialisée sous la bannière « Core Ultra 200 ».

Le Core Ultra 9 285K plafonnée à 5,5 GHz !

Le fer de lance de cette famille, le Core Ultra 9 285K (Core i9-15900K), proposerait 24 cœurs au total, dont 8 cœurs hautes performances Lion Cove et 16 cœurs efficaces Skymont. Mais selon le leaker réputé MebiuW sur Weibo, sa fréquence maximale serait plafonnée à 5,5 GHz. Un chiffre en net retrait par rapport aux 6,2 GHz atteints par le Core i9-14900KS Raptor Lake-S, actuel recordman en la matière.

Intel aurait donc fait le choix de privilégier l’IPC (instructions par cycle) plutôt que les Mhz à tout prix pour améliorer les performances. Cependant, avec une amélioration estimée à moins de 12% en IPC par rapport à Raptor Lake, Arrow Lake risque de ne pas apporter de révolution dans les benchmarks en applications, et encore moins dans les jeux où les hautes fréquences restent cruciales….mais aussi problématiques dans certains cas de figures comme nous l’avons récemment constaté avec les Crashs des Core i9 13 et 14è génération d’Intel sous des jeux sous Unreal Engine.

Intel Core Ultra : 4 cœurs Xe-LPG au programme

Les changements les plus intéressants sont peut-être à chercher du côté du GPU intégré. Exit les cœurs graphiques traditionnels UHD, place au retour des puces Xe comme sur les récents processeurs mobiles Meteor Lake de 14e génération. Mais contrairement aux 8 cœurs Xe de ces derniers, la puce graphique des Arrow Lake de bureau se limiterait à 4 cœurs basés sur l’architecture Alchemist des cartes graphiques discrètes Arc A770 & co.

Pas de quoi transformer votre PC en bête de jeu, mais un boost graphique appréciable pour l’affichage vidéo 4K et le multimédia. Reste à voir si la fréquence plus élevée de ces 4 cœurs sur les modèles desktop suffira à compenser la réduction du nombre d’unités. Réponse cet été avec des benchmarks.

Chipsets 800 Series et Z890

Côté plateforme, Intel vise une compatibilité des chipsets 800 Series avec les CPU Arrow Lake jusqu’en 2026. Les cartes mères haut de gamme Z890 introduiront plusieurs nouveautés comme le support natif du Thunderbolt 4, une meilleure répartition des lignes PCIe 5.0 et la compatibilité DDR5-6400 native.Pas de DDR4 donc pour cette génération !

Le socket LGA 1851 des Arrow Lake sera également reconduit sur les processeurs Lunar Lake et Nova Lake jusqu’en 2026.

NPU dédié à l’intelligence artificielle

Arrow Lake introduira aussi un NPU (Neural Processing Unit) dédié à l’intelligence artificielle au sein même du CPU. De quoi permettre de nouvelles fonctionnalités logicielles basées sur l’IA, mais aussi de potentiellement rogner quelques watts au GPU intégré. Mais ce NPU a un coût, et les tarifs des CPU pourraient augmenter de 10 à 15% selon les estimations.

Gamme processeurs de bureau Intel Arrow Lake-S ( non officielle)

Avis Pause Hardware

Intel en dira plus sur sa feuille de route CPU lors de sa conférence Vision 2024 le 15 mai. Mais il faudra sans doute patienter jusqu’au salon Computex début juin pour découvrir en détail les modèles Core Ultra 200 pour PC de bureau. Leur lancement officiel est attendu au second semestre 2024…Wait and see !

Au CES 2024, Samsung a annoncé la sortie de trois nouveaux moniteurs Odyssey OLED. Le plus petit, le Samsung Odyssey G60SD commence à apparaitre sur les marchés asiatiques. Ce nouveau moniteur propose une dalle QD-OLED de nouvelle génération de 27 pouces.

Le Samsung Odyssey G60SD a une résolution de 2560 x 1440 avec un taux de rafraîchissement allant jusqu’à 360 Hz. De quoi satisfaire la communauté des gamers ! Le temps de réponse (GtG) est de 0,03 ms, la luminosité typique est de 250 nits, le rapport de contraste statique est de 1 000 000:1 et la gamme de couleurs DCI-P3 est de 99 %. Avec un angle de vision de 178 degrés (horizontal et vertical), le nouvel écran prend en charge le HDR10 et l’AMD FreeSync Premium Pro.

Le design est épuré et le cadre est ultra mince (3,9 mm pour la partie la plus fine du cadre). En arrière, le Samsung Odyssey G60SD peut diffuser un éclairage grâce à un anneau lumineux type turbine d’avion. Il est en plus doté d’un revêtement anti-éblouissant (- 61 % par rapport à la technologie anti éblouissement traditionnelle), permettant à l’écran OLED d’afficher un noir pur et des couleurs riches.

Samsung Odyssey G60SD : une technologie anti brûlure

Samsung a également introduit une nouvelle génération de solutions anti-brûlure d’écran, la technologie Pulsating Heat Pipe (PHP). Par rapport aux solutions traditionnelles de refroidissement au graphène, elle diffuse la chaleur par évaporation et condensation, ce qui réduit efficacement le risque de brûlure de l’écran. Toujours pour réduire le risque de brûlure de l’écran, Samsung propose une technologie de détection des logos/barres de tâches pilotée par l’IA. Un système de modulation thermique peut provoquer la réduction de la luminosité de l’image statique et optimiser la courbe de luminosité de l’écran grâce à des algorithmes.

Côté connections, le Samsung Odyssey G60SD a deux HDMI 2.1, un DisplayPort 1.4a et une prise audio 3,5 mm. L’ergonomie est aussi de la partie avec une hauteur de levage de 0 à 20 mm, une rotation horizontale de -30° à 30°, une inclinaison avant et arrière de -2° à 25° et une rotation verticale de -92° à 92°. L’écran est aussi compatible VESA 100 x 100 mm.

Le prix serait aux alentours des 900 euros (6 999 yuans).

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L’Unreal Engine est de plus en plus privilégié par les développeurs de jeux, même si l’optimisation au lancement sur UE5 laisse parfois à désirer. Cependant, les résultats visuels peuvent s’avérer époustouflants, comme le montre la dernière démonstration technologique.

Dans une récente vidéo publiée par la chaîne YouTube MxBenchmarkPC, le potentiel graphique de l’Unreal Engine 5.4, lancé fin avril est mis en avant à travers une démo intitulée « Industrial Factory ». La configuration PC utilisée pour cette démonstration comprend :

• Processeur : Intel Core i7-10700F
• GPU : Gigabyte RTX 4080 EAGLE OC 16 Go
• RAM : 16 Go (2×8) DDR4 à 2933 MHz CL15
• Carte mère : Asus Prime B460-Plus
• SSD : Kingston NV1 1 To NVMe M.2

Unreal Engine 5.4 : performances au Rendez-vous ?

La performance observée lors de cette démonstration est remarquable : entre 70 et 90 images par seconde à une résolution de 1440p. En 4K natif, les performances chutent légèrement avec des fréquences d’images variant de 40 à 50 FPS.

La scène est issue du pack proposé par SCANS Factory [SCANS] Industrial Abandoned Buildings – Modular Environment pour des environnements industriels abandonnés, utilisable dans les moteurs de jeu Unreal Engine 4 et 5. Ce pack comprend plus de 700 actifs, dont 400 uniques, optimisés pour les scènes en temps réel grâce à la technique de photogrammétrie.

Il inclut divers éléments comme des constructions modulaires, des conteneurs et des clôtures, avec des configurations d’éclairage pour les scénarios de jour et par temps couvert. Le pack est actuellement en promotion à $132.99, réduit de $189.99, et propose des démos interactives pour visualiser les différences entre les versions du moteur de jeu. Des mises à jour gratuites sont prévues après chaque lot de 10 commentaires reçus.

Cette vidéo de démonstration montre à quel point les graphismes de l’Unreal Engine 5.4 peuvent être réalistes et immersifs, même dans les scénarios les plus exigeants….et ce n’est que le début.

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Très attendu par les amateurs de FPS tactiques hardcore, Gray Zone Warfare débarque enfin en accès anticipé. Mais entre optimisation aux fraises, bugs en pagaille et servers défaillants, le jeu de Madfinger Games part avec de sérieux boulets aux pieds. Dommage car sous sa technique bancale se cache un titre au potentiel certain.

Un monde immense mais vide

L’ambition de GZW est claire : proposer un bac à sable gigantesque mélangeant PvE et PvP avec des mécaniques de survie et de loot inspirées d’Escape from Tarkov. Et sur le papier, ça donne envie avec ses 100 km² de map, ses déplacements en hélicoptère ou encore sa météo dynamique.

Manette en main, c’est déjà moins glorieux. Malgré des panoramas parfois époustouflants, notamment en altitude, la zone de guerre de Lamang manque cruellement de vie et de personnalité au sol.

Les bâtiments sont génériques, la végétation clairsemée et les effets visuels limités. Pas de civil, de faune ou de véhicule pour meubler ce monde trop propret pour être honnête. Un constat d’autant plus dommageable que l’IA des ennemis est complètement à la rue, oscillant entre passivité absurde et agressivité injuste. Difficile de se sentir en terrain hostile.

Tirer, looter, mourir

Heureusement, le gameplay apporte un peu de fraîcheur. Le gunfight est plutôt satisfaisant malgré un manque de pep’s et de punch des armes, renforcé par un sound design très moyen. La customisation façon Tarkov est bien pensée et permet d’affiner son arsennal. On apprécie aussi le système de heal assez pointu obligeant à composer avec différents types de blessures.

Mais tout cela manque encore d’équilibrage et de profondeur. Les missions sont barbantes, le loot pas assez motivant et les risques minimes. Qu’on meure face aux balles des IA ou d’un joueur, on récupère facilement son stuff sans réelle tension. À quoi bon se faire un gros équipement avec des centaines de milliers de dollars ? L’adrénaline et le stress qui font le sel d’un Tarkov ne sont pas au rendez-vous.

Oubliez la fluidité avec Gray Zone Warfare

Le pire reste à venir avec les performances catastrophiques du jeu. Comptez 60 fps grand max sur une RTX 3070 en 1080p avec tout en Low et FSR en marche. Sinon ce sera un joli slideshow agrémenté de freezes, de chutes d’IPS monstrueuses et de lags incessants de l’IA, le tout sur fond de crash régulier. Un calvaire même sur des configs musclées qui donneraient presque envie de repasser sur console.

Et malchanceux propriétaires de GPU AMD ou de vieilles RTX, soyez forts. Le FSR 3 vous sera obligatoire pour espérer jouer mais au prix d’un rendu bien moins séduisant qu’avec le DLSS 3. Une politique matérielle déjà critiquable, au même titre que les DLC cosmétiques allant jusqu’à 100€. On sent les habitudes mobiles pointer le bout de leur nez.

Le pire accès anticipé de l’année ?

Qu’on se le dise : en l’état, Gray Zone Warfare n’est pas digne d’être joué. Son optimisation désastreuse, ses serveurs en carton et son contenu faiblard en font un produit bancal et frustrant malgré un potentiel évident. Espérons que Madfinger Games saura redresser la barre via de gros patchs dans les mois à venir.

Car on a envie d’y croire devant ce shooter bac à sable qui ose miser sur la survie en terrain hostile. Mais pour l’instant, ce n’est même pas le FSR ou le DLSS qui pourra sauver ce naufrage. Rendez-vous dans 6 mois pour un nouveau point technique. Si le jeu existe encore d’ici-là.

Près de sept ans après l’impact retentissant de « Hellblade: Senua’s Sacrifice« , Ninja Theory est prêt à raviver la flamme avec « Senua’s Saga: Hellblade II », prévu pour une sortie le 21 mai. Le jeu promet de nous replonger dans les tourments de Senua, l’héroïne brave et troublée qui transporte la tête de son amant déchu dans une quête mythologique pour retrouver son âme auprès de la déesse Hela. Malgré son apparente fragilité, Senua affronte des adversaires redoutables avec une détermination inébranlable.

Le scénario du second opus, bien que mystérieux, se situe après les événements du premier jeu, laissant les joueurs avides de réponses suite à une conclusion énigmatique. Ninja Theory a fait le saut de l’Unreal Engine 4 à l’Unreal Engine 5, garantissant ainsi une expertise technique solide pour cette suite tant attendue.

Exigences matérielles du Senua’s Saga: Hellblade II

Quant aux exigences matérielles pour profiter du spectacle visuel du Senua’s Saga: Hellblade II, voici ce que Ninja Theory recommande, bien qu’il faille prendre ces spécifications comme des repères et non comme des absolus, étant donné la diversité du matériel PC :

• Bas (1080p Low): Intel i5-8400 / AMD R5 2600, NVIDIA GTX 1070 / AMD RX 5700, 6 Go VRAM, 16 Go RAM, 70 Go SSD, Windows 10/11 x64.
• Moyen (1080p Medium): Intel i5-9600 / AMD R5 3600X, NVIDIA RTX 2070 / AMD RX 5700 XT, 8 Go VRAM, 16 Go RAM, 70 Go SSD, Windows 10/11 x64.
• Élevé (1440p High): Intel i7-10700K / AMD R5 5600X, NVIDIA RTX 3080 / AMD RX 6800 XT, 8 Go VRAM, 16 Go RAM, 70 Go SSD, Windows 10/11 x64.
• Très Élevé (2160p High): Intel i5-12600K / AMD R7 5700X, NVIDIA RTX 4080 / AMD RX 7900 XTX, 12 Go VRAM, 16 Go RAM, 70 Go SSD, Windows 10/11 x64.

Les configurations exigées soulignent l’intensité requise pour tirer pleinement parti de l’Unreal Engine 5, potentiellement en version 5.3 ou 5.4.

Enfin, les technologies d’upscaling telles que DLSS 3 de NVIDIA, FSR 3 d’AMD et XeSS 1.3 d’Intel seront disponibles dès le lancement, offrant des performances optimisées pour diverses configurations matérielles. Cela garantit une expérience visuelle impressionnante peu importe le système, en réduisant la latence et en améliorant les détails visuels.

L’attente est donc presque terminée pour les fans désireux de replonger dans l’univers complexe et captivant de Senua, avec des promesses de nouveautés techniques et scénaristiques qui devraient redéfinir les standards des jeux utilisant Unreal Engine…Cependant, les utilisateurs de processeurs Intel i9 de 13e et 14e générations doivent s’assurer d’activer le profil BIOS Intel Baseline pour prévenir tout risque de plantage.

Un utilisateur a récemment acquis un processeur AMD Ryzen 9 7950X3D, qui se démarque par une configuration de mémoire cache exceptionnelle. D’après une vidéo mise en ligne sur Bilibili, ce processeur serait équipé de 192 Mo de cache L3, ce qui représente 64 Mo de plus que le modèle standard de cette série.

Détails techniques et implications

Le Ryzen 9 7950X3D d’AMD est conçu avec deux die de cœur Zen 4, chacun équipé initialement de 64 Mo de cache L3. La nouveauté ici est l’ajout de deux piles de cache 3D V-Cache, chacune offrant 64 Mo supplémentaires, ce qui élève le total à 192 Mo. Cette configuration n’est pas seulement une prouesse technique mais elle pourrait aussi représenter une amélioration significative des performances, particulièrement dans les applications exigeant de grandes quantités de données rapidement accessibles.

Augmenter la mémoire cache peut entraîner des améliorations notables en termes de performances, surtout dans les jeux et les applications professionnelles. Cependant, cette configuration peut compliquer la disposition des empilements de cache, affectant potentiellement l’uniformité du cache et entraînant des latences plus élevées. Il est intéressant de noter que, selon les discussions dans un article de Gamers Nexus et les informations publiées sur Bilibili, AMD a déjà expérimenté avec des configurations similaires dans ses échantillons de test internes, bien que ces produits n’aient jamais été commercialisés.

Ryzen 9 7950X3D avec 192 Mo de cache L3 : Vrai ou faux ?

L’origine exacte de cette configuration de 192 Mo de cache reste incertaine. Il pourrait s’agir d’une modification permanente ou d’un bug logiciel affectant la manière dont les spécifications du processeur sont rapportées par des outils comme CPU-Z et le gestionnaire des tâches de Windows. Quelle que soit la réalité derrière cette découverte, elle soulève des questions intéressantes sur les futures directions que pourrait prendre AMD dans la conception de ses processeurs.

Verdict ?

Bien qu’il soit trop tôt pour dire si cette version du Ryzen 9 7950X3D avec 192 Mo de cache L3 sera disponible sur le marché, cette révélation suscite indéniablement un intérêt marqué chez les amateurs de technologie et les professionnels de l’informatique. AMD n’a pas encore commenté officiellement sur cette découverte, mais les développements futurs pourraient éclairer davantage sur les capacités et la disponibilité de cette puce révolutionnaire.

Intel pourrait être contraint de retarder ou même d’annuler le lancement de ses GPU de prochaine génération, les Arc Battlemage Xe2 et Celestial Xe3, selon les dernières informations divulguées par Golden Pig Upgrade sur Weibo, un leaker reconnu pour sa fiabilité concernant les fuites sur Intel et AMD.

Contexte et implications des retards potentiels d’Intel

Intel envisageait d’introduire les GPU Battlemage « Xe2 » comme éléments centraux de ses futurs processeurs « Core Ultra 200V » de la série Lunar Lake, prévus pour être disponibles au premier semestre de 2024. Ces processeurs promettaient d’offrir des performances largement supérieures à celles des générations précédentes, Alchemist et Alchemist+, grâce à une architecture graphique renouvelée.

Toutefois, selon les informations partagées par le leaker Golden Pig Upgrade, Intel pourrait reporter le lancement de ses GPU discrets de nouvelle génération. Ce report pourrait également impacter les GPU intégrés de la série Xe3 « Celestial », qui étaient censés accompagner la sortie de la gamme de processeurs Panther Lake, programmée pour le second semestre de 2025.

Détails des retards potentiels des GPU Arc Battlemage Xe2 et Celestial Xe3

Malgré l’absence de confirmation officielle de ces retards, les publications de Golden Pig Upgrade laissent entrevoir des ajustements dans les plans d’Intel pour sa prochaine génération de GPU Arc, incluant les séries Battlemage et Celestial. Initialement, les GPU Intel Arc Battlemage « Xe2 » devaient jouer un rôle clé dans les processeurs Lunar Lake « Core Ultra 200V », dont le lancement était anticipé pour plus tard cette année. Cependant, il est maintenant possible que les versions mobiles de ces GPU, notamment le Xe2-LPG, ainsi que les variantes de GPU discrets haut de gamme, le Xe2-HPG, soient retardées.

Concernant les GPU de la série Xe3 « Celestial », prévus initialement pour être intégrés dans les CPU Panther Lake sous forme de GPU Xe3-LPG, il semble que leur lancement ne se fera pas l’année prochaine. Intel a déjà confirmé que le lancement de Panther Lake est prévu pour le second semestre de 2025, utilisant des technologies de fabrication avancées telles que les processus Intel 18A et Intel 3, ainsi qu’un nœud de processus externe (TSMC).

Il reste incertain si les retards évoqués concernent uniquement les GPU discrets, les GPU intégrés, ou les deux. Il apparaît que le développement des GPU discrets pourrait être temporairement suspendu, Intel privilégiant vraisemblablement le développement de ses capacités en graphiques intégrés. Des informations indiquent que les cartes graphiques Arc Battlemage « Xe2 » devraient être lancées vers la fin de 2024, des travaux étant actuellement observés à travers diverses mises à jour.

Un éventuel retard ou une annulation de ces puces serait une source de grande déception pour de nombreux utilisateurs et acteurs de la communauté technologique, indiquant qu’Intel pourrait renoncer à son plan de développement de GPU à peine un an après avoir introduit sa première famille de produits discrets. Néanmoins, Intel a réussi à optimiser significativement les performances de ses produits Arc grâce à des mises à jour régulières de ses pilotes, incluant des optimisations et des corrections, ainsi qu’un support immédiat pour de nombreux nouveaux jeux.

Nous espérons que ces scénarios de retard ne se concrétiseront pas et attendons des informations plus détaillées de la part d’Intel.

Les joueurs de Helldivers 2 sur pc, le dernier jeu à succès d’Arrowhead Game Studios, doivent désormais créer et lier un compte PlayStation Network pour continuer à y jouer. Cependant, de nombreux pays n’ont pas accès à la création de comptes PSN, ce qui signifie que les joueurs concernés ne pourront plus accéder au jeu après la mise en place de cette obligation.

Pourquoi cette obligation de compte PSN ?

Le 3 mai 2024, le compte X officiel du jeu HELLDIVERS™ 2 a publié un message le qualifiant d’important avec une capture d’écran issue d’un communiqué publié sur Steam signé Sony Interactive Entertainment :

ttention Helldivers,

Due to technical issues at the launch of HELLDIVERS™ 2, we allowed the linking requirements for Steam accounts to a PlayStation Network account to be temporarily optional. That grace period will now expire. See details below in this post.

Account linking plays a critical role in protecting our players and upholding the values of safety and security provided on PlayStation and PlayStation Studios games. This is our main way to protect players from griefing and abuse by enabling the banning of players that engage in that type of behaviour. It also allows those players that have been banned the right to appeal.

As such, as of May 6th, all new HELLDIVERS 2 players on Steam will be required to connect their Steam account to a PlayStation Network account. Current players on Steam will start to see the mandatory login from May 30th and will be required to have linked a Steam and PlayStation Network account by June 4th. PlayStation Network accounts are free and easy to set up using this link
https://www.playstation.com/support/account/create-account-for-psn/

We understand that while this may be an inconvenience to some of you, this step will help us to continue to build a community that you are all proud to be a part of.

Many thanks for your continued support of HELLDIVERS 2!

Sony Interactive Entertainment

En gros les joueurs de HELLDIVERS 2 sur PC (Steam) doivent noter un changement important : le lien obligatoire entre les comptes Steam et PlayStation Network sera requis desormais. Initialement facultatif en raison de problèmes techniques au lancement, ce processus devient une exigence pour améliorer la sécurité et réduire les comportements abusifs. Les nouveaux joueurs doivent établir ce lien dès le 6 mai, tandis que les joueurs actuels ont jusqu’au 4 juin pour se conformer.

Officiellement, selon le communiqué, cette mesure vise à renforcer la communauté et à protéger ses membres.

Mais on peut aussi supposer qu’elle vise à renforcer l’écosystème PlayStation et à attirer plus de joueurs vers le PSN, même sur PC. Mais elle pénalise fortement une partie de la base de joueurs PC existante.

Quels sont les pays concernés ?

Une longue liste de 121 pays, dont l’Afghanistan, l’Albanie, les Antilles néerlandaises, l’Azerbaïdjan, le Congo, Cuba, Curaçao, l’Égypte, la Gambie, la Jamaïque, le Maroc, Monaco, les Philippines, le Pakistan et le Suriname, ne disposent pas de la possibilité de créer un compte PSN valide.

Que faire si vous êtes joueur de Helldivers 2 sur PC ?

Sony rappelle que la création d’un compte PlayStation Network est gratuite et peut être réalisée facilement via le site de PlayStation. Mais pour le pays n’ayant pas accès aux comptes PSN malheureusement, à l’heure actuelle, il n’y a aucun moyen officiel de continuer à jouer à Helldivers 2 sur PC si vous vous trouvez dans un pays concerné. Valve propose des remboursements même au-delà des deux heures d’utilisation habituelles.

Helldivers 2 sur PC : Réactions et perspectives

Cette décision a fait l’objet de vives critiques de la part de la communauté, avec plus de 55 000 revues négatives en quelques heures seulement. Le community manager d’Arrowhead (Spitz) a admis avoir sous-estimé l’ampleur du problème mais soutient la décision de sony.

Toutefois, les commentaires de Spitz, reflètent une réalité inévitable pour de nombreux joueurs : la décision de Sony de requérir un compte PlayStation Network pour jouer sur Steam est définitive, malgré le mécontentement des utilisateurs.

Cette exigence, selon Spitz, est fondamentale pour permettre à Sony de gérer plus efficacement les interdictions de joueurs, en remplaçant un processus de collaboration plus lent avec Valve par une action directe sur les comptes PSN. Cela est perçu comme un moyen plus efficient pour identifier et gérer les comportements abusifs dans le jeu.

Néanmoins, Spitz semble minimiser l’impact de l’opinion des joueurs, suggérant que les plaintes, même massives, ne changeront probablement pas cette politique établie dès le lancement du jeu. Les réactions mitigées dans la communauté, y compris des menaces de quitter le jeu, soulignent la frustration vis-à-vis de cette politique, mais Spitz reste ferme sur la position de Sony, ce qui peut paraître déconnecté des préoccupations des joueurs.

Sony pourrait revenir sur cette obligation face au tollé, mais rien n’est garanti pour l’instant. Les joueurs concernés n’ont d’autre choix que d’attendre des évolutions. N’hésitez pas à partager vos retours et questionnements dans les commentaires. Nous suivrons les développements et vous tiendrons informés.

Lire aussi : Helldivers 2 sur ROG Ally : Guide de performance et meilleurs réglages

Après le COUGAR FOBOS 150 annoncé en fin d’année dernière, COUGAR Gaming réitère dans le mobilier de jeu et annonce ses nouveaux bureaux E-STAR 120 et E-STAR 140. Ces deux nouveaux bureaux réglables en hauteur électriquement diffèrent par leur largeur. L’un fera 1200 x 600 x 15 mm, l’autre fera 1400 x 600 x 15 mm.

COUGAR E-STAR : réglable de 720 à 1170 mm

En ce qui concerne la hauteur, ces nouveaux E-STAR ont une plage de réglage de 720 mm à 1170 mm grâce à un panneau de configuration élégant entièrement noir. Il sera même possible de conserver deux préréglages en mémoire et d’enregistrer un rappel de pause (pour ne pas trop bosser quand même).

Le panneau supérieur est en stratifié texturé en fibre de carbone pour un aspect élégant et moderne. Il sera recouvert d’un tapis de bureau complet (résistant à l’eau) recouvrant l’intégralité du COUGAR E-STAR permettant ainsi une totale liberté de mouvement à la souris.

De plus, la marque maximise l’espace utilisable grâce à un support de moniteur indépendant à accrocher en arrière du bureau, à un plateau de gestion des câbles et un support de casque. L’encombrement est ainsi réduit au minimum. Le COUGAR E-STAR peut supporter jusqu’à 60 kilos.

Les prix et la date de sortie en Europe ne sont pas connus mais le nouveau bureau commence à apparaitre sur les marchés asiatiques (Environ 190 euros sur tanthanhdanh.vn).

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Après le surprenant Tower 300 Bumblebee Edition au design unique et à l’efficacité remarquable, Thermaltake nous propose aujourd’hui de tester le View 270 TG ARGB. Ce boîtier est sorti en février de cette année et se classe dans la catégorie des boîtiers type aquarium avec une vue imprenable sur les composants grâce à ses deux parois en verre trempé sans pilier.

L’heureux futur acquéreur aura le choix dans la couleur puisque comme à l’accoutumée, Thermaltake propose un vaste panel de coloris et le View 270 TG ARGB pourra s’habiller de noir, de blanc, de bleu hortensia ou de vert matcha. Pour Pause Hardware, la marque a généreusement fourni une version blanche.

Le boîtier moyen-tour Thermaltake View 270 TG ARGB est un boîtier ATX livré avec un ventilateur CT140 ARGB Sync préinstallé à l’arrière. Son éclairage RGB peut être contrôlé par les logiciels des cartes mères d’ASUS, GIGABYTE, MSI et ASRock. De plus, il pourra recevoir jusqu’à neuf ventilateurs de 120 mm et un radiateur de 360 ​​mm maximum qui pourra être placé en haut du boîtier.

Proposé à un peu moins de 110 euros, le Thermaltake View 270 TG ARGB propose des prestations simples et est conçu pour les passionnés à la recherche d’un boîtier PC attrayant et performant. Découvrons-le.

Thermaltake View 270 TG ARGB : emballage et contenu

Sur la face principale, le Thermaltake View 270 TG ARGB apparait sous forme de dessin. Il nous est présenté de trois quarts et nous laisse apercevoir de nombreux détails. Ainsi, nous devinons un emplacement pour système de refroidissement en haut et deux sur le côté droit de la carte mère. Le ventilateur arrière apparait juste au-dessus de sept emplacements d’extension.

Les parois en verre trempé ont un cadre noir et la partie basse du boîtier semble être recouverte de petites ouvertures facilitant la circulation de l’air. Une étiquette est apposée sur l’emballage indiquant la compatibilité de l’éclairage avec les logiciels des principaux fabricants de cartes mères.

Les petits côtés nous donnent la compatibilité matérielle grâce à un tableau comprenant également les dimensions (456 x 230 x 454 mm) ainsi que les matériaux utilisés. Une flopée de logos et étiquettes diverses est présente.

Déballage

On déballe ! Le Thermaltake View 270 TG ARGB est calé entre deux blocs de polystyrène qui assurent son immobilité dans le carton lors du transport. Il est en plus ensaché pour une protection supplémentaire.

Le Thermaltake View 270 TG ARGB est accompagné de divers accessoires. Nous avons :

• Un buzzer pour boîtier,
• Huit serre câbles plastique,
• Un chiffon anti statique,
• Un ensemble de vis,
• Deux clips pour câble,
• Un guide d’utilisateur.

Design extérieur du boîtier Thermaltake View 270 TG ARGB

Voici le Thermaltake View 270 TG ARGB. Entièrement blanc, ce boîtier mesure 456 x 230 x 454 mm. Les parois en verre trempé sans pilier permettent une vue imprenable et sans entrave sur son intérieur. Le design est ultra simple et ne présente aucune rondeur. Cependant, il s’en dégage une certaine élégance mise en valeur par ce blanc immaculé. Le cache alimentation est astucieusement intégré dans le bas du boîtier de sorte qu’il n’y a pas de séparation disgracieuse avec la chambre principale. Ce cache alimentation est effectivement pourvu de nombreuses petites ouvertures pour un airflow maximisé.

En arrière, nous avons une disposition classique, à savoir :

• Un emplacement pour plaque E/S de la carte mère,
• Un emplacement pour ventilateur/radiateur de 120 ou 140 mm,
• Sept emplacements d’extension,
• Un emplacement pour alimentation.

De côté, nous apercevons une zone en maille correspondant aux emplacements pour ventilateurs situés à droite de la carte mère.

Les emplacements d’extension sont sécurisés par une petite plaque montée sur charnière et fixée au châssis par une vis à main.

La paroi latérale droite est en acier, fixée au châssis par deux vis à main et son extraction se fera en la faisant coulisser vers l’arrière. La paroi gauche en verre trempé et la façade sont clipsées dans le haut du châssis et reposent sur le haut du cache alimentation.

En haut du Thermaltake View 270 TG ARGB, pour protéger les composants de la poussière et autres impuretés, nous avons un grand filtre aimanté, souple et amovible. Il se retire donc facilement et laisse place à une zone servant à l’installation de système de refroidissement. Cette zone est pourvue de nombreux trous facilitant la circulation de l’air. Ici, il sera possible d’installer trois ventilateurs de 120 mm ou deux de 140 mm. Pour les fans de watercooling, il sera possible de loger un radiateur de 360 mm.

C’est en haut du Thermaltake View 270 TG ARGB que nous avons les différents boutons et ports/prises. Nous avons :

• Un bouton d’alimentation,
• Un bouton Reset,
• Une prise micro et une prise casque,
• Deux ports USB-A 3.0,
• Un port USB type C.

Enfin, pour terminer la présentation extérieure du Thermaltake View 270 TG ARGB, nous pouvons observer le dessous du boîtier qui repose sur quatre petits pieds pourvus de patins antidérapant. Bien que de petite taille, ces pieds assurent une très bonne stabilité.
Cet espace est en plus équipé d’un filtre recouvrant le dessous de l’alimentation pour la protéger de la poussière. Ce filtre est souple, aimanté et amovible pour faciliter son nettoyage.

Intérieur du Thermaltake View 270

Nous l’avons dit, les deux parois en verre trempé sont amovibles en tirant dessus vers soi. Elles sont clipsées au châssis en haut et reposent sur le bord du cache alimentation. Leur retrait facilitera l’installation des composants.

La partie intérieure droite du Thermaltake View 270 TG ARGB est protégée par une paroi en acier. Cette paroi est pourvue de trous facilitant la circulation de l’air vers la partie située à droite de la carte mère (partie pouvant accueillir deux ventilateurs). Pour limiter l’introduction de poussière, cette paroi est équipée d’un filtre également aimanté, souple et amovible pour un entretien facile.

Nous voici donc dans la partie intérieure droite du Thermaltake View 270 TG ARGB. ici, nous avons un espace de 25 mm environ pour l’organisation des câbles. Cet espace peut être délimité en quatre zones distinctes.

À gauche, nous avons un emplacement pour deux ventilateurs de 120 mm. Cet espace est lui aussi pourvu de nombreux trous pour la circulation de l’air dont un central plus important. À droite de cet emplacement, Thermaltake propose deux larges ouvertures pour le passage des câbles d’avant en arrière.

La deuxième zone distincte se situe en dessous de l’emplacement réservé au dos de la carte mère. C’est un espace réservé à l’installation d’un disque dur au format 2,5″. Ce disque viendra se loger sur un support en acier amovible fixé lui-même au châssis par une vis à main. L’installation du disque se fait par de simples vis.

En bas du Thermaltake View 270 TG ARGB, dans le cache alimentation, nous avons à gauche un support à disques durs. Ce support est entièrement en acier est et fixé au châssis par deux vis à main. Entièrement amovible, il peut se positionner sur deux emplacements et ainsi libérer de la place à l’alimentation qui viendra se placer à sa droite. Cette dernière aura 280 mm de libre si le support est placé totalement à gauche ou 250 mm s’il est placé plus à droite.

Ce support peut recevoir soit deux disques durs de 3,5″ ou un disque de 3,5″ et un disque de 2,5″ au dessus.

Enfin, tout à droite du cache alimentation, nous avons l’emplacement pour l’alimentation. Celle-ci pourra mesurer jusqu’à 220 mm selon les préconisations de Thermaltake. Elle reposera à même le châssis et sera située au-dessus du filtre amovible vu précédemment.

Voici les branchements du Thermaltake View 270 TG ARGB. Nous avons :

• Une prise USB type C,
• Une prise Audio,
• Une prise Front Panel,
• Une prise USB-A.

Passons dans la chambre principale de ce Thermaltake View 270 TG ARGB. La façade et la paroi latérale gauche sont en verre trempé de 3 mm d’épaisseur.

Le Thermaltake View 270 TG ARGB est un boîtier moyen tour de 456 x 230 x 454 mm. Il pourra accueillir des cartes mères au format E-ATX, ATX, micro-ATX et mini-ITX. Les ventirads pourront mesurer jusqu’à 180 mm de hauteur et les cartes graphiques jusqu’à 420 mm de longueur. À droite de l’emplacement de la carte mère, nous retrouvons l’emplacement pour deux ventilateurs de 120 mm.

À gauche, nous retrouvons le ventilateur de 140 mm préinstallé. Il pourra être remplacé par un ventilateur ou un radiateur de 120 mm. Il est placé juste au-dessus de sept emplacements d’extension et d’une zone verticale pourvue de trous pour faciliter l’évacuation de l’air chaud.

En haut, le Thermaltake View 270 TG ARGB a de la place pour recevoir trois ventilateurs de 120 mm ou deux de 140 mm, mais aussi un radiateur de 360 mm.

Enfin, en bas, au-dessus du cache alimentation ajouré par de nombreux trous, il sera possible d’installer trois ventilateurs de 120 mm. Ce cache alimentation est pourvu de nombreux passe câbles dont un vertical permettant le passage des câbles vers la carte graphique.

Le ventilateur fourni avec le Thermaltake View 270 TG ARGB est un Thermaltake CT140 ARGB. En 140 mm, il présente sept pales semi-transparentes et est entièrement blanc excepté l’étiquette du moyeu et les quatre tampons antivibration situés à chaque coin. Alimenté par une prise 4 pins, il tourne de 500 à 1500 Tr/min pour des nuisances sonores évaluées à 30.5 dB(A).

Montage dans le Thermaltake View 270

Pour faire notre test, nous avons donc équipé le Thermaltake View 270 TG ARGB de la configuration suivante :

• ASUS ROG Strix B550-F Gaming
• AMD Ryzen 5 5600X
• 16 Go HyperX Fury 3200 MHZ DDR4
• AMD RX 6750 XT
• Fractal Design ion+ 860P
• be quiet! Dark Rock 4
• SSD Samsung 970 EVO NVMe M.2 250 Go

Notre configuration loge sans soucis et nous n’avons éprouvé aucune difficulté particulière au montage. Les passe câbles à droite de la carte mère sont idéalement situés et en nombre suffisant. La teinte claire des parois en verre trempé de ce Thermaltake View 270 TG ARGB laisse passer tous les détails de la configuration et habiller le boîtier de ventilateurs RGB permettrait un spectacle de lumière sans retenue.

Le ventilateur préinstallé laisse ainsi échapper tout son éclairage.

Méthodologie de test et résultats pour le Thermaltake View 270

Dans un premier temps, nous avons effectué des tests de notre configuration en dehors d’un boîtier pour obtenir des valeurs réelles sans interférence avec la circulation de l’air liée au fonctionnement de ventilateurs préinstallés. À une température de 19° dans la pièce et en charge, le CPU est monté à 79° et le GPU à 73°.

Ensuite, pour tester le Thermaltake View 270 TG ARGB, nous l’avons équipé de deux ventilateurs supplémentaires (deux Thermaltake SWAFAN 14 RGB) en aspiration et laissé le ventilateur préinstallé en extraction. Nous avons ensuite mis en place ce protocole, à savoir :

• La configuration citée ci-avant (boîtier fermé),
• Burn CPU : OCCT sur l’ensemble des threads sous Cpu Linpak 2019 pendant 30 min,
• Burn GPU : Fire Strike Stress Test (3DMark) avec 20 passes pour chauffer la carte graphique,
• CrystalDiskMark 8.0.0 pour mesurer la température du SSD en charge,
• Rise of the Tomb Raider : 30 minutes de jeu,
• La carte graphique toujours en mode auto,
• Meterk MK09 placé à 50 cm du boîtier pour mesurer le niveau sonore,
• Les mesures sont réalisées en 2 situations : au repos et en charge.

Températures

Suite aux différents tests réalisés, les résultats obtenus sont donc les suivants :

Au niveau des températures, avec la vitesse de ventilation réglée en auto et une température ambiante de 19 °C, le CPU reste aux alentours de 38 °C au repos. Une fois sollicité sous OCCT, le processeur affiche une température maximale de 79°C. En jeu le Ryzen 5 5600X monte à 57°C.

Au repos, la RX 6750 XT, avec son mode semi-passif, tourne à 30°C. Après 20 passes de stress test Firestrike, la température de celle-ci atteint les 74°C. En jeu, la carte ne dépasse pas 56°C après 30 minutes dans Rise of the Tomb Raider.

Le SSD affiche 31°C au repos, et 44°C après un test CrystalDiskMark.

Les résultats obtenus dans ce Thermaltake View 270 TG ARGB sont bons et quasiment identiques aux tests effectués hors boîtier. Avec 79° en charge pour le CPU et 74° pour le GPU en charge, le boîtier saura garder vos composants au frais. Il faudra cependant ajouter au moins deux ventilateurs pour une circulation de l’air efficace. Le SSD est à l’abri des contraintes thermiques avec seulement 31° au repos et 44° en charge.

Niveaux sonores

PS : Ces résultats peuvent varier selon la configuration.

Pour les mesures de bruit, nous avons donc placé notre Meterk MK09 à 50 cm du boîtier. Au repos, avec la ventilation en mode auto comme indiqué ci-avant le Thermaltake View 270 TG ARGB monte à 38.6 dB(A) dans une pièce à vivre classique. En jeu, le niveau monte à 41.5 dB(A) et à 100 % de charge (12 v), le niveau grimpe à 43.1 dB(A).

Là encore, les résultats obtenus par ce Thermaltake View 270 TG ARGB sont satisfaisants. Au repos, les ventilateurs émettent un léger souffle. En jeu, le niveau de bruit correspond à un environnement calme et est considéré comme agréable. Le boîtier conviendra à tout type d’environnement que ce soit une pièce à vivre comme un salon ou une chambre à coucher.

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Conclusion

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